Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
puisaye forterre
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_small.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png
Puisaye Forterre

La créativité se vit sous toutes ses variantes à la MJC Auxerre ! Le vernissage de l’exposition « Recycl’Art », mettant en lumière la structure associative « La Huitième Source » - cela ne s’invente pas comme appellation mais elle est née un 22 décembre 2014 jour du solstice d’hiver ! - vient une fois de plus de le démontrer. Musique et œuvres d’art, celles sorties de l’imaginaire iconoclaste et débridée de Philippe LALLEMAND, auront créé la surprise culturelle du week-end dernier dans l’Auxerrois. Une exposition à découvrir avec toutes ses subtilités insolites jusqu’au terme de ce joli mois de mai…

 

AUXERRE : Des voûtes et des colonnes en guise de décors. La salle capitulaire de la MJC auxerroise mérite déjà à elle seule la visite qui s’impose, au plan architectural. Un lieu magique, chargé d’histoire où l’on aimerait méditer, à défaut de le contempler.

Alors, quand on la saupoudre d’un zest de musique réduite à sa plus simple expression (harmonica et guitare en parfaite symbiose), agrémentée de chants et de la vision d’œuvres d’art, là cela confine au sublime !

Celles et ceux – malheureusement peu nombreux - qui ont pu assister au vernissage de la nouvelle aventure artistique de « La Huitième Source », en conserveront un excellent souvenir ! D’autant que le duo apportant cette atmosphère envoûtante et musicale à ce moment précis de la journée en ce lieu magnifique avait improvisé cette petite jam-session pour le plaisir des oreilles. Un splendide corollaire aux plaisirs des yeux obtenu avec le travail artistique de Philippe LALLEMAND, qui a pour fil d’Ariane et signature caractéristique sur l’ensemble de ses œuvres, une…coccinelle !

Oui, oui, la fameuse bête à bon Dieu ! L’auteur s’en explique. « C’est mon signe de reconnaissance, souligne l’artiste affublé de son chapeau de paille, en chemise hawaïenne et en short – il a une vraie tenue de vacancier et pourtant il a travaillé pour mettre en judicieuse harmonie ses pièces ! -, la coccinelle, c’est plus que le symbole du bonheur. C’est aussi une référence que je positionne sur chacune de mes œuvres en hommage à GOTLIEB, le dessinateur. Ce n’est pas de la superstition ni de la religion ! Mais, c’est l’animal de la bienveillance… ».

Une histoire qui selon la légende relate les péripéties d’un condamné à mort qui a eu la vie sauve grâce à une coccinelle qui s’est posée par trois fois sur son cou alors qu’il aurait dû être tranché par la main experte du bourreau ! D’où une grâce royale faisant référence à la bête que le bon dieu envoie sur Terre pour épargner les âmes perdues…

 

 

La déclinaison de l’exposition amovible

 

En décembre dernier, « La Huitième Source » a célébré sa première décennie d’existence. La structure associative, née le jour du solstice d’hiver, d’où peut-être l’origine un peu mystique de son appellation, rassemble des artistes de divers horizons créatifs.

« Notre objectif est de participer à l’essor de la dynamique socio-culturelle de notre territoire, explique Philippe LALLEMAND, particulièrement volubile dans ses arguments, nous déclinons le principe de l’exposition amovible… ».

Une formule que l’on retrouve d’ailleurs sur le flyer remis à l’entrée de la salle capitulaire de la MJC auxerroise qui accueille cette exposition jusqu’au dernier jour de mai.

« De l’exposition amovible à l’infini des possibles » ! Telle est l’appellation de ce rendez-vous culturel. On dirait du SPINOZZA dans le texte et nous n’avons pas quatre heures pour bien en mesurer toute la compréhension !

« L’exposition amovible, c’est simple, ajoute Philippe LALLEMAND, entre deux présentations de ses tableaux, c’est une idée lumineuse, fraîche et novatrice ! Les artistes peuvent au gré de leurs envies retirer ou remplacer une de leur création par une autre lors de la présentation… ».

Bref, un moyen méthodique et judicieux de renouveler sans cesse les fruits artistiques de l’exposition pour en faire un jour nouveau à l’infini ou presque ! Astucieux !

 

 

A voir pour son originalité, le « Panthéon des chaussettes orphelines » !

 

Autre particularisme, totalement décalé : la présence d’une machine à écrire de la marque Oliver, posée sur un tapis de fils de laine multicolore.

« Cette machine à écrire a été placée en plein air pendant quatre-vingt saisons et je l’ai customisé à ma façon, en lui apportant quelques touches personnelles. Et plus loin, on peut apercevoir le « Panthéon des chaussettes orphelines », l’une des quatorze œuvres présentées, le clou de l’exposition qui peut accueillir des pensées positives placées par les visiteurs… ».

Un livre d’or est mis à disposition pour que les visiteurs puissent y déposer leurs commentaires, œuvre d’art par œuvre d’art. Le quatorzième tableau n’est autre que la vieille guimbarde stationnée à l’extérieur de la MJC !

 

 

En savoir plus :

Exposition de la Huitième Source à la MJC d’Auxerre

« De l’exposition amovible à l’infini des possibles »

Jusqu’au 31 mai 2025

Entrée libre.

 

Thierry BRET

 

 

 

Unique dans l’Yonne, le concept se veut cocardier, ne serait-ce que par son appellation un brin insolite. « Le Bouillon Auxerrois ». Un nom facile à retenir pour un nouvel établissement, idéalement bien placé au cœur du centre-ville. A l’emplacement de feu « Le Schaeffer », qui rappelle de biens jolis souvenirs en se remémorant l’agréable sourire de Marie qui en tenait les rênes. Ici, la politique tarifaire sera volontairement basse sans en dénaturer la qualité des produits, garantis à la fraîcheur optimale. Foi de Cyril PARMENTIER, à la barre de ce nouveau restaurant, qui fera équipe avec son associé, le viticulteur de Chablis Daniel-Etienne DEFAIX…

 

AUXERRE : Le principe de ce genre d’estaminet est simple. En ces murs, la cuisine doit être bonne, fraîche, peu coûteuse, abondante, abordable même pour celles et ceux qui connaissent des fins de mois difficile, tenant bien au ventre et au cœur ! C’est le précepte même de ce que l’on caractérisait jadis par le vocable très parisianiste de « bouillon ». Un ersatz du fameux « bouchon » lyonnais, mais adapté à la partie septentrionale de la France !

On doit la dénomination de ce type de maison populaire à un boucher parisien qui fit ses choux gras en 1855 en ouvrant dans la capitale de l’Hexagone cette famille de restaurants qui proposaient des plats uniques et peu chers à sa clientèle ouvrière. Une sorte de cantine conviviale, mêlant les classes sociales et les atmosphères festives selon les convives. Sauf qu’ici, au 14 Place Charles Lepère, en plein centre de la capitale de l’Yonne, c’est bien une cuisine bourguignonne des plus traditionnelles qui sera proposée pour garnir les assiettes !

 

Un régal de spécialités gastronomiques très populaire

 

Citons pêle-mêle, l’œuf mayonnaise, le filet de hareng pommes à l’huile, les escargots made in Bourgogne (il va de soi !), les terrines maison, les œufs en meurette, la gougère aux escargots et à la persillade, une saucisse au couteau – l’emblématique plat popularisé par les bouillons parisiens de jadis -, le jarret de porc caramélisé, le bœuf bourguignon…

La carte des desserts devrait elle aussi mettre en appétit celles et ceux qui viendront se sustenter dans ce lieu et admirer les fresques de verre, murales et au plafond, qui valent amplement le détour en termes d’attributs décoratifs somptueux.

Les gourmets y retrouveront avec plaisir la traditionnelle mousse au chocolat, le riz au lait à l’ancienne, la crème brûlée, de succulentes profiteroles dégoulinantes de chocolat nappé, etc.

Autant de recettes à faire titiller les papilles des épicuriens et autres férus de ces établissements populaires à ambiance festive comme peuvent l’être les bouchons lyonnais et les bouillons parisiens, qui seront proposées à des prix ultra doux et compétitifs.

« Ce seront les prix bouillon, confirme un Cyril PARMENTIER joyeux comme un pape venant d’accéder au Saint-Siège après l’élévation de la fumée blanche et le verre de blanc à la main en cette soirée inaugurale, veille d’ouverture de son nouveau jouet, codirigé avec son ami de longue date, le viticulteur et aussi propriétaire d’établissements épicuriens à Chablis, Daniel-Etienne DEFAIX, habillé pour la circonstance de la célèbre tenue des grandes brasseries parisiennes, chemise blanche, pantalon et tablier noir, le tout agrémenté d’une cravate épousant les mêmes coloris.

 

 

 

Des tarifs ultra doux pour toutes les bourses

 

Pour les entrées, on devra débourser de trois à neuf euros ! Quant aux plats, ils apparaîtront sur la carte à des prix plutôt sympathiques, compris entre dix et quatorze euros. Les desserts ne coûteront que la bagatelle de cinq à sept euros pour pouvoir se régaler ! Bref : il va falloir réserver pour pouvoir occuper l’une des 65 places accueillies dans cet espace qui aura été relooké après la fermeture du « Schaeffer » dont il ressuscite en partie l’esprit.

Cyril PARMENTIER agrémentera sa carte d’un menu du jour selon la formule usuelle (entrée, plat, dessert). Le vendredi soir sera réservé à la soirée moules/frites à volonté à partir de 20 euros, avec des pommes de terre préparées comme en Belgique à base de graisse de bœuf. Dans sa cible clientèle, le néo-gestionnaire de l’établissement tablera également sur les étudiants qui pourront tous les midis sur simple présentation de la carte ad hoc emporter le plat du jour et une boisson, servis à dix euros !

Les végétariens se rattraperont sur la gamme de salades fraîcheur. Les poissons seront cuisinés également dans cet endroit qui devrait très vite attirer une clientèle d’habitués.

 

 

Une création de quatre emplois

 

Après le « Dilo » à Saint-Florentin, le « Seignelay » et le « Café de la gare » à Auxerre, Cyril PARMENTIER poursuit son aventure culinaire en relevant ce nouveau challenge original, lui permettant de travailler de concert avec Daniel-Etienne DEFAIX. Les puristes auront d’ailleurs l’opportunité de déguster, avec modération tout de même, les nectars issus de sa production vineuse. La plupart des appellations de l’Yonne trouveront ici chaussure à leurs pieds au niveau des amateurs de ces vignobles. Avec là aussi, des prix tirés irrésistiblement vers le bas.

Respectueux du travail réalisé par les anciens occupants de cette maison quand elle se nommait encore le « Schaeffer », Cyril PARMENTIER a pourtant voulu redonner une nouvelle esthétique à ce lieu aux décorations très sympa. Une enveloppe de 25 000 euros aura été consentie pour relooker la maison, telle que la voulait Daniel-Etienne DEFAIX et Cyril PARMENTIER, afin de redonner vie à ce site bien connu des Auxerrois, dont certains éléments patrimoniaux datent du XIVème siècle !

Fermé les mercredis et les dimanches, « Le Bouillon Auxerrois » accueillera selon de larges amplitudes horaires les futurs clients. Ils feront ainsi connaissance avec les quatre personnes en poste au sein de cet établissement dont la jeune femme officiant derrière les fourneaux. Un cordon bleu, dixit Cyril PARMENTIER qui est lui-même un véritable « bec fin » !

 

Thierry BRET

 

 

23 mai 2025

mai 20, 2025

Le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté tient sa commission permanente à Besançon.

 

 

22 mai 2025

mai 20, 2025

 Remise des prix du Festival des mini-entreprises à 15 heures à Dijon.

 

 

21 mai 2025

mai 20, 2025

Célébration des 20 ans de Nuclear Valley à Givry (Saône-et-Loire).

 

 

Articles

Bannière droite accueil