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Puisaye Forterre

C’est une action solidaire des plus vertueuses réalisée envers nos amis les bêtes. Elle est l’œuvre des élèves de la classe de CAP 1 Agent de sécurité, ceux qui fréquentent le groupe scolaire Saint-Joseph-La-Salle à Auxerre. Ce lundi, les dons récoltés à cet effet ont été remis aux bénévoles de la SPA, la Société Protectrice des Animaux, qui en ont bien grandement besoin avant la période estivale. Une période synonyme de surabondance d’abandons de nos amis à quatre pattes, chiens et chats…

 

AUXERRE : Altruistes et généreux les jeunes gens qui suivent le cursus d’agent de sécurité en section CAP au sein de l’établissement privé auxerrois ? Cela y ressemble, en effet ! Grâce à leur mobilisation, au soutien des équipes pédagogiques et de la communauté scolaire, et surtout avec le concours généreux de la clientèle de plusieurs hypermarchés de la place (Auchan, Carrefour, Leclerc), une belle quantité de nourriture et de matériel a ainsi pu être collectée au profit de la SPA locale.

Les bénévoles de la structure, présents ce matin-là pour la remise de leurs dons, ont exprimé leur gratitude pour cette initiative concrète en faveur du bien-être animal. Un bien-être animal qui risque à la veille de la période estivale de pâtir des grandes vacances et de l’incivilité absurde de certains propriétaires qui abandonnent en nombre leurs animaux de compagnie.

On ne peut que dire bravo à ces élèves et à M. JOLLY, leur encadrant, pour leur bel engagement solidaire, confirmé par le geste de tous les donateurs pour leur précieuse contribution.

 

Thierry BRET

 


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Invité de la première édition auxerroise de « Récid’Eau », Thierry CASTEL, maître de conférences à AGROSUP Dijon et chercheur au Centre de Recherches de Climatologie (CRC) de l’Université de Bourgogne, a dressé un constat préoccupant : la région Bourgogne Franche-Comté se réchauffe plus vite que la moyenne nationale. Un basculement thermique qui modifie déjà le cycle de l’eau et fragilise une ressource précieuse pour l’agriculture, la biodiversité et la vie quotidienne de chacun.

 

AUXERRE : « L’eau et le climat sont deux objets qui dialoguent entre eux en permanence… ». Des propos introductifs qui plantent le décor et résument bien l’approche systémique que défend le climatologue dijonnais dans ses travaux. Car comprendre les mécanismes du climat régional revient à scruter les interactions permanentes entre l’hydrosphère, l’atmosphère et les surfaces continentales. Et dans ce jeu d’équilibres, la Bourgogne Franche-Comté est un territoire en pleine mutation, observé à la loupe par les chercheurs.

Depuis plus de soixante ans, les données des stations météo régionales le confirment : les températures maximales moyennes augmentent. Deux scénarios de lecture coexistent. Le premier, linéaire, évoque une hausse progressive de l’ordre de + 0,3 °C par décennie. Le second, non linéaire, met en évidence des ruptures soudaines. Selon Thierry CASTEL, deux bascules majeures ont été identifiées : l’une en 1987, l’autre en 2014. À chaque fois, le climat régional a franchi un nouveau palier thermique. Résultat : + 1,3 °C de hausse des températures entre 1988 et 2014, suivie d’une moyenne qui passe à + 2,1 °C sur la décennie suivante. Plus frappant encore : cette hausse n’est pas uniforme. Les reliefs, comme le Morvan ou le Haut-Jura, accusent une augmentation encore plus marquée. Le climatologue évoquant un « déséquilibre thermique » qui reconfigure déjà les équilibres hydriques de la région : « dans le Morvan, les anciens vous le diront : depuis une vingtaine d’années, il n’y a quasiment plus de neige… ».

 

Des implications majeures pour les territoires

 

« Le climat ne réagit pas comme un simple thermostat, mais comme un système complexe avec des boucles de rétroaction », insiste Thierry CASTEL. Ce que l’on observe aujourd’hui avec la fonte accélérée du Groenland, préfigure à une autre échelle, ce qui se produit déjà en Bourgogne Franche-Comté : « ce qu’il faut bien avoir en tête, c’est que les surfaces continentales vont se réchauffer plus fortement que les océans, c’est-à-dire que plus vous allez vers le Nord, plus l’amplitude du réchauffement est importante, à l’image du Groenland, qui a « gagné », si j’ose dire, + 6°C… ».

Dans notre région, le réchauffement s’accompagne d’une amplification des extrêmes et d’une désynchronisation des cycles hydriques. À terme, c’est la gestion même de la ressource qui devra être repensée. Ce bouleversement du régime thermique a des répercussions directes sur le cycle de l’eau : «avec la hausse des températures, on observe une évaporation accrue qui affecte tous les compartiments de la ressource…».

Moins de neige, des précipitations parfois plus intenses mais moins bien réparties, et une évapotranspiration végétale plus forte, font que les bilans hydriques s’en trouvent fragilisés. Si la ressource en eau dépend de trois mécanismes : le ruissellement de surface, les écoulements de subsurface et la vidange des nappes, ces deux dernières composantes, dites « lentes », sont particulièrement vulnérables à la hausse des températures. Leur réactivité moindre au climat laisse planer une incertitude supplémentaire et l’inertie des nappes phréatiques pourrait masquer aujourd’hui les effets de demain.

 

 

 

Morvan, château d’eau menacé : les nouvelles lois du cycle de l’eau

 

Il pleut… Il pleut même parfois beaucoup et pourtant, les sols s’assèchent. En région BFC, les données climatiques compilées depuis les années 1960 dressent un tableau contrasté du cycle de l’eau. Si les précipitations totales demeurent relativement stables, leur variabilité interannuelle est forte, et leur répartition dans l’année tend à se modifier. En parallèle, l’évapotranspiration, cette vapeur d’eau rendue à l’atmosphère par le sol et les plantes, connaît une hausse continue. En découle un déséquilibre hydrique préoccupant. Longtemps perçu comme un réservoir naturel, le Morvan subit de plein fouet les effets du changement climatique, menaçant son rôle historique de « château d’eau » de la Bourgogne. Les chiffres sont sans appel : entre 1959 et 1987, le territoire enregistrait un excédent hydrique de 296 mm, un bilan qui, sur la période 2015-2024, chute à 88 mm. Une baisse de près de 70 %, symptomatique d’un territoire qui perd sa capacité de stockage en eau. Avec pour conséquence une végétation entrant en stress plutôt, des sols qui se vidangent plus vite et des rivières asséchées en été.

À l’échelle de la région, les modélisations du bilan hydrique annuel sur plusieurs décennies montrent une dégradation constante : - 3 % d’eau dans les sols entre 1988 et 2014, puis - 7 % entre 2015 et 2024. Le Morvan, du fait de son socle granitique et de l’absence de nappes profondes, est particulièrement vulnérable souligne le chercheur dijonnais : « on n’y trouve pas de ressources profondes, ni de remontées de nappes, c’est un territoire où l’eau vient essentiellement de la pluie et la moindre altération du cycle s’y fait sentir avec d’autant plus d’intensité… ».

Le rythme saisonnier des pluies, autrefois assez régulier dans la région, évolue lui aussi. Les modèles climatiques anticipent moins de pluies au printemps et en été, et davantage en automne et hiver. Un déplacement du calendrier hydrologique qui ne coïncide plus avec les besoins de la végétation. Résultat : une montée en puissance des sécheresses estivales, de plus en plus précoces et plus longues, avec sur certains cours d’eau, des étiages atteignant des niveaux inédits, voire des écoulements devenus intermittents. Et attention aux « faux semblants » !

L’année 2024, bien que perçue comme « humide », illustre à quel point notre perception est biaisée par les repères du passé. Cette année-là, les précipitations furent dans la moyenne de la période 1980/2014, mais l’évaporation très faible, liée à un important déficit d’ensoleillement, a faussement redonné l’impression d’un retour à la normale. En réalité, elle s’inscrit dans un contexte de dérèglement structurel durable.

L’agriculture, la biodiversité, l’approvisionnement en eau potable, la prévention des crues, le tourisme, l’agroforesterie, sont autant d’enjeux désormais liés aux mutations climatiques en cours, mais les perspectives dressées par Thierry CASTEL dans ses propos de conclusion ne rassurent guère.

Si la trajectoire actuelle des émissions de gaz à effet de serre se poursuit, le Morvan pourrait devenir déficitaire en eau d’ici la fin du siècle : « le château d’eau de la Bourgogne est menacé et déjà fortement ébranlé… ».

Dans cette mécanique désormais bien enclenché, chaque degré compte. Chaque tonne de Co2 évitée a son importance, même si une partie du futur est déjà écrite du fait de l’inertie du climat et des erreurs commises. C’est la suite de l’histoire, celles des années après 2050 que nous pouvons encore écrire, mais il faut agir vite, très vite… Le combat est entamé et sur le front, l’eau est déjà en première ligne !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Effervescence des grands jours à l’abbaye Saint-Germain ! Ils discutent, s’interrogent, questionnent les intervenants, rigolent tout en testant les différents ateliers, courent un peu trop vite, aussi, sous les voûtes séculaires, et regardent en silence les grands panneaux explicatifs qui narrent les aventures de l’eau et de son improbable circuit. Ils ? Ce sont les scolaires, nombreux à être inscrits, qui viennent s’immerger (c’est le cas de le dire !) dans cet évènement si spécifique que sont les Récid’Eau 2025, accueillis à Auxerre…

 

AUXERRE: Préserver la nature. Se soucier de l’environnement et de ses richesses. Notamment, découvrir le circuit de l’eau et l’émergence de ses biotopes. Les enjeux de l’eau et des milieux aquatiques étaient donc au centre de cet évènementiel, accueilli à l’abbaye Saint-Germain, ce week-end, une animation pédagogique remarquable à tout niveau que les scolaires ont eu tout le loisir d’admirer, durant les deux premières journées de cet évènement. Une manifestation portée par le syndicat mixte, Yonne Médian (SMYM).

Plus de vingt exposants locaux, engagés dans la préservation de l’eau, étaient mobilisés durant ces trois jours de rencontre avec le public de tout âge. Des temps forts, adaptés aux différents publics, sont venus rythmer ces journées intéressantes, avec spectacles, ateliers ou conférences.

 

 

Conseiller départemental de l’Yonne, très investi dans toutes les problématiques inhérentes à l’environnement et à la ressource aquatique, Yves VECTEN accueillait les scolaires, vendredi matin.

« La finalité est de cet évènement proposé à ce jeune public reste la prise de conscience de l’effet de l’eau sur notre environnement, sous tous ses états, qu’il s’agisse des inondations, de la sécheresse. Nous avons eu ce matin plus de vingt classes de CM1 et de CM2 présentes sur ce rendez-vous, avant de recevoir le grand public le samedi… ».

Un évènement accueilli pour la première fois dans cet endroit chargé d’histoire et fort en symboles pour évoquer l’eau. Un avis partagé par Yves VECTEN, tout heureux de servir de guide aux jeunes élèves des écoles primaires de l’Auxerrois !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Grande cause nationale 2025, la santé mentale à travers l’une de ses formes expressives la plus courante (la dépression) affecte entre 15 à 20 % de la population française, selon les études fournies par l’INSERM. Nul n’est épargné par les diverses pathologies qui se manifestent au quotidien à degré variable : ni les enfants, ni les adolescents, ni même les adultes dans la fleur de l’âge, voire de plus en plus de seniors qui sont confrontés eux-aussi à la rudesse de l’existence. De quoi interpeller la Caisse Primaire d’Assurance Maladie…

 

AUXERRE : La santé mentale ? Un terme devenu très à « la mode » en cette année 2025 ? Oui, d’autant que le gouvernement a décidé d’en faire sa cause prioritaire au niveau de ses campagnes préventives en matière d’information sanitaire relayée à grande échelle. Une santé mentale qui est plutôt fluctuante, il est vrai, parce qu’elle dépend de nombreux facteurs liés à notre environnement personnel, professionnel ou familial.

Bref, la CPAM (Caisse Primaire d’Assurance Maladie) – en particulier celle de l’Yonne qui vient de lancer une campagne d’information – a décidé de s’emparer de ce sujet actuel qui nous concerne tous ou presque.

Un dispositif existe. Sobrement, il s’intitule « Mon soutien psy ». Aujourd’hui, à l’échelle hexagonale et ce, depuis son lancement en 2022, ce sont plus de 600 000 personnes qui ont pu en bénéficier.  

 

Une douzaine de séances avec un psychologue pour parler…

  

De quoi parle-t-on exactement ? S’adressant à toute personne éprouvant du mal-être, se sentant déprimée ou angoissée, et ce dès l’âge de trois ans, l’outil propose jusqu’à douze séances d’accompagnement psychologique auprès d’un psychologue, partenaire de l’opération.  

La séance coûte 50 euros. Elle est prise en charge à hauteur de 60 % par l’Assurance Maladie, le reliquat revenant aux complémentaires santé. Donc, la mesure est accessible à tous. Facilement. Au terme de ces séances, il n’y a pas nécessité de prescription médicale. La gratuité des séances est possible pour les bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire (C2S) ou liée à une affection de longue durée (ALD).

 

 

Une recrudescence des troubles psychiques en France

 

Devant la recrudescence des troubles psychiques et des pathologies qui en découlent en France depuis plusieurs années (16 % de dépression, 23 % d’anxiété), ce dispositif s’impose comme une réponse clé de la grande cause nationale 2025. Autant d’améliorations qui ont eu pour conséquence d’augmenter le nombre de psychologues conventionnés dans le pays : ils sont passés à environ 5 500 en 2025.

En outre, cette campagne vise à lever le frein financier et déstigmatiser les troubles psychiques en encourageant la consultation. Et, à en parler autour de soi…

Sur le territoire de l’Yonne, 18 psychologues sont à date conventionnés sur un total de soixante-dix praticiens. Une progression de 14 professionnels en sus entre 2023 et 2025. Cette tendance positive témoigne de l'intérêt des professionnels pour ce dispositif mis en place par la CPAM, dispositif qui a le mérite d’exister. Mais, le nombre de praticiens partenaire reste néanmoins encore insuffisant par rapport au flux croissant de la demande.

Quant à l’annuaire répertoriant les psychologues partenaires, il est consultable sur ameli.fr et permet aux patients d’avoir la possibilité de prendre directement contact avec le psychologue conventionné de son choix. Un plus à ne pas négliger.

 

Thierry BRET

 


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Nom de code du rendez-vous, plutôt mobilisateur au niveau des partenaires : « job dating géant en extérieur ». Le premier du genre qui est accueilli dans l’enceinte du centre de formation des métiers de la filière transport et logistique dans l’Yonne. De quoi satisfaire le directeur du site, Cyril ROUZE, visiblement aux anges ! L’évènement s’est déroulé sur la journée de ce mercredi et aura permis de faire coïncider les attentes et besoins des entrepreneurs avec les désidérata des personnes souhaitant faire carrière dans ce secteur d’activité qui connaît toujours de l’engouement au niveau de l’embauche, surtout dans le domaine de la logistique…

 

APPOIGNY : C’est une scène que l’on n’a pas l’habitude de voir sur le site du centre de formation de la filière transport et logistique de l’Yonne ! Un chef cuisinier préparant méthodiquement ses frites tandis qu’un de ses collègues à l’autre bout du stand fait cuire d’appétissantes saucisses sur le grill, embaumant de fait l’atmosphère d’une sympathique odeur de viande délicatement aromatisée qui titille les palais gustatifs ! Un air de kermesse, façon fin d’année scolaire dans un lycée entre formateurs et élèves ? Que nenni ! Même si les collaborateurs du centre AFTRAL sont tous mobilisés sur le pont de cette nouvelle animation qui n’avait pas encore vu le jour in situ !

Dans le cas présent, il s’agit de la première édition de ce « job dating géant en extérieur » - c’est l’intitulé exact de cette manifestation qui ne manque pas de sel ! – proposé sur une journée entière ou presque (une amplitude de 09h30 à 16h30) qui mettra en relation les personnes en quête de stage, d’alternance ou d’emploi avec les donneurs d’ordre sur le sujet de l’employabilité que sont les entreprises et les structures positionnées sur le travail temporaire.

 

 

 

Plus de 4 000 personnes en formation chaque année

 

Il revenait à Audrey BUELLONI, chargée de recrutement au sein du centre de formation la « maternité » organisationnelle de ce premier rendez-vous, réussi de l’avis du directeur de l’établissement, Cyril ROUZE. Sur un lieu unique, l’enceinte extérieure du centre de formation icaunais, auront pu se réunir une vingtaine de partenaires, entreprises et institutionnels, de la place ainsi que les personnes soucieuses de se projeter professionnellement vers la filière du transport et de la logistique. Un gain de temps très appréciable pour celles et ceux (plutôt ceux d’ailleurs car la féminisation de la filière n’est pas aussi évidente à l’œil nu) qui souhaitaient sauter le pas en se positionnant sur le marché.

Toutes les entreprises présentes proposaient des postes à pourvoir, soit à l’instant « t », soit un peu plus tard. D’où l’intérêt des participants sur cet évènement qui en appellera d’autres, un public sélectionné par le centre lui-même, mais également par les réseaux sociaux, voire les services de France Travail. De la publicité a également été réalisée avec le concours collaboratif de partenaires telles les enseignes commerciales THIRIET ou FEUILLETTE.

Le centre AFTRAL accueille chaque année plus de 4 000 personnes suivant une formation. Côté matériel, les visiteurs purent apprécier également la présence d’un car et de trois semi-remorques, manière tangible de se mettre dans l’ambiance de la filière transport ! Même la dernière Renault 4 était de la partie sur le stand du concessionnaire local grâce à un partenariat !

Précisions que le centre de l’Yonne ouvrira de nouveaux cursus dès la rentrée de septembre avec un CAP CRM (Conducteur Routier de Marchandises), le BTS GTLA (Gestion des Transports et Logistique Associée) et le BAC +2 TSMEL (Technicien Supérieur en Méthodes et Exploitation Logistique). Quant à son club business, opérationnel une fois par mois, il a le vent en poupe !

 

Thierry BRET

 

 

 


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