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Particulièrement humain et profondément chaleureux. C’est en ces termes élogieux que l’on pourrait qualifier le discours prononcé par le président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne (CPME), Didier BARJOT, lors de la traditionnelle cérémonie des vœux à laquelle ont assisté les adhérents du syndicat patronal en attente du successeur de François ASSELIN, au plan national – ce sera ce mardi 21 janvier -, dans les celliers de la préfecture à Auxerre. Des vœux partagés avec les représentants de la Fédération Française du Bâtiment et de son antenne départementale…

 

AUXERRE: Une assistance nombreuse. Une centaine de personnes, voire un peu plus, bénéficiant de ce cadre architectural de très belle facture que sont les celliers de l’hôtel de la préfecture auxerrois. Un bâtiment copartagé avec le Conseil départemental de l’Yonne qui y accueille son siège et les bureaux de son président. Une pensée furtive pour feu Patrick GENDRAUD, trop tôt disparu et que l’on regrette déjà. Un personnage clé de la vie politique départementale qui avait fait de l’attractivité économique l’une de ses priorités. A l’instar du préfet Pascal JAN, représentant de l’Etat.

L’attractivité économique ? Forcément, il en sera question dans l’exercice du jour – du soir devrait-on dire ! – avec cette séance de vœux, sise en ces murs, en présence de la CPME (Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de l’Yonne) et son alter ego, dans la branche du bâtiment, la FFB 89, la Fédération Française du Bâtiment, en mode icaunaise, avec son représentant, Cyril CHARETIE, qui réitérera l’exercice d’ici quelques jours lors de la cérémonie des vœux regroupant l’UIMM, le MEDEF et la Maison de l’Entreprise. Ce sera le 23 janvier à partir de 18h30, avec la bénédiction de l’éditorialiste, Christophe BARBIER ! Nous reviendrons donc d’ici quelques jours sur les propos du président de la FFB 89…

 

La santé mentale et la pression vécue par les dirigeants : les priorités

 

Mais, attardons-nous davantage sur les messages forts qu’aura adressé à ses fidèles adhérents, le président de cette Confédération des Petites et Moyennes Entreprises au cœur de l’actualité. Demain, sera connu en effet le successeur du charismatique et médiatique François ASSELIN qui passera le relais au niveau hexagonal. Une passation des pouvoirs qui se fera dans les valeurs et les objectifs qui sont chers à la grande maison du syndicalisme patronal, comme le stipulera dans son discours un Didier BARJOT, à l’aise avec la fonction dont il a hérité voilà maintenant un an.

Un président départemental qui a parmi ses grands sujets de préoccupation actuels l’isolement des chefs d’entreprise, confrontés parfois à eux-mêmes, et à leur problématique de santé mentale.

« D’ici peu, insistera-t-il, l’Yonne pourra proposer le dispositif « Casque Bleu » - on se croirait presque en présence avec les forces d’interposition de l’ONU ! – sous l’impulsion de la CPME 89. Ce système va regrouper de nombreux partenaires de tout horizon et permettre à un chef d’entreprise d’être accompagné tant au niveau administratif que psychologique lorsqu’il rencontre des difficultés… ».

On n’en saura pas davantage sur le dispositif, malheureusement. Mais, une chose est sûre : grâce à ce « Casque Bleu », la CPME de l’Yonne devrait répondre à des priorités dans les semaines à venir. Supprimer en réduisant la pression qui s’accentue sur les dirigeants de sociétés.

Autre item qui interpelle tout particulièrement le responsable de la CPME de l’Yonne, l’égalité entre les femmes et les hommes, notamment dans le domaine de l’emploi.

« En tant qu’employeurs, il est de notre devoir de promouvoir l’équité et de garantir des opportunités égales et de garantir la diversité… ».

Un discours qui prendra vite l’apparence de celui de politique générale que distillerait le président en pensant à la nouvelle année et à ses perspectives.

 

 

La présence de la CPME dans les grandes instances et organisations

 

« En 2025, nous souhaitons – il y ajoute volontiers son équipe qui travaille à ses côtés – également renforcer l’information et la formation pour nos adhérents, poursuit l’orateur au pupitre posé dans l’un des angles de cette salle emblématique quant à son esthétique patrimoniale, mais toujours aussi difficile à sonoriser, il nous faut aussi consolider les liens entre les membres de notre structure, tout en développant des évènementiels avec nos partenaires dont je remercie la présence… ».

Et de se référer aux représentants du groupe VYV, de la Banque Populaire de Bourgogne-Franche-Comté, de la Caisse d’Epargne du même secteur géographique, de GROUPAMA Paris Val-de-Loire ou encore de la Banque de France.

Naturellement, Didier BARJOT ne put s’empêcher d’évoquer les mandataires de la CPME 89. « Ce sont des chefs d’entreprise qui, bénévolement, donnent de leur temps pour représenter leurs homologues et leurs intérêts. Aujourd’hui, nous avons des représentants dans toutes les grandes instances et organisations comme les prud’hommes, le Tribunal de Commerce, l’AIST médecine du travail, la Caisse des Allocations Familiales (CAF), l’URSSAF ou la CPAM, la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie… ».

Une fierté, non feinte chez l’intervenant du jour. Preuve que la CPME est devenue au fil du temps un acteur incontournable du développement économique local.

« Cette année, continua Didier BARJOT, nous porteront haut et fort la voix des entrepreneurs auprès des institutions locales, des collectivités, et des partenaires sociaux… ».

 

Le CIFA d’Auxerre doit rester sous pavillon départemental !

 

A cet instant précis de son allocution, le président du syndicat patronal souligna l’importance du CIFA de l’Yonne, implanté à Auxerre. « Ce centre de formation d’excellence doit impérativement rester dans le giron départemental…Nous travaillons aussi avec les établissements qui proposent des formations post-bac et en alternance qui sont en lien avec les entreprises de notre territoire et de nos adhérents… ».

Une phrase, lourde de sens, pour le responsable de la CPME ; démontrant ainsi avec ses propos qu’il est crucial que les décisions politiques tiennent compte de la réalité du terrain et des besoins spécifiques des petites et moyennes entreprises implantées sur le territoire.

« Il est grand temps de regarder l’avenir, clama Didier BARJOT, et faire que cette année 2025 soit celle de la concrétisation des projets et chantiers initiés en 2024… ».

Quant aux rendez-vous habituels, ils se prolongeront au cours des douze prochains mois. On pense, notamment, à ce fameux « Pôle Femmes » de la CPME qui a su faire ses preuves dès sa création. Ou encore les traditionnels « Bistros PME », avec de nouvelles dates à découvrir bientôt.

Bref, on l’aura compris : 2025 devrait être l’année de la solidarité entrepreneuriale parmi cette communauté de chefs d’entreprise qui développe de plus en plus de synergies et de collaborations. La vraie force d’un réseau, en somme !

 

 

En savoir plus :

 

L’équipe qui entoure le président Didier BARJOT sur la photographie se compose de Peggy PRINCE, secrétaire de l'association, Emma REMY, présidente de la section Service, Ghislaine MOREAU, présidente section Commerce, Philippe SERRANO, trésorier et Sophie BILLON, chargée de développement. Il manque Karim BOUCHROU, le président de la section industrie et le responsable de la section artisanat.

 

Thierry BRET

 


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Le sujet reste toujours aussi vivace dans les esprits. Déjà le 26 juin dernier, sur les ondes de « RMC », le porte-parole du Rassemblement National et député de la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL, déclarait tout de go que « le voile serait interdit en France dès que le parti de Marine LE PEN s’installerait au pouvoir ». Fort des intentions radicales sur le dossier de l’actuel ministre de l’Intérieur Bruno RETAILLEAU, il semblerait que le parlementaire souverainiste n’ait pas attendu l’échéance de 2027 pour lever le voile sur ses intentions ! Il vient de déposer une proposition de loi allant dans ce sens…

 

PARIS : Interdire le port du voile lors des sorties scolaires et à l’université, voilà une idée qui taraude depuis très longtemps les esprits combatifs dans le camp des marinistes. En fin de semaine dernière, et à la suite des déclarations d’intention du ministre de l’Intérieur, le pourtant très Républicain Bruno RETAILLEAU, le député de la troisième circonscription de l’Yonne Julien ODOUL, à l’estampille Rassemblement National, y est allé de sa proposition de loi sur le sujet. Exit donc les signes religieux et ostentatoires de la sphère éducative puisque l’objectif de ce texte est de renforcer celui rédigé en 2004, en prohibant les symboles religieux et politiques au sein des universités hexagonales. Parmi les cibles préférées de l’élu de l’Yonne, le voile islamique en priorité, il va de soi !

Son communiqué de presse, publié quelques heures après le dépôt de cette proposition parlementaire, est d’ailleurs sans équivoque : « Alors que la France est confrontée à une pression islamiste inquiétante, notamment à l’école, il est urgent d’adapter notre législation pour répondre à ce défi. L’assassinat des professeurs Samuel PATY et Dominique BERNARD, les menaces reçues par le principal du collège Jean-Bertin à Saint-Georges-sur-Baulche (Yonne) ou encore l’agression récente d’une professeure à Tourcoing illustrent ces dérives alarmantes. Contournant la loi de 2004, les activités éducatives hors les murs comme les sorties scolaires, les remises de prix ou les événements sportifs, sont devenus des cibles privilégiées des fondamentalistes islamistes qui cherchent à y imposer leurs dogmes et leurs emblèmes au détriment de la liberté et de la neutralité… ».

 

 

Protéger les lieux d’éducation de toute emprise religieuse…

 

Un voile qui ne fait donc toujours l’unanimité dans les cénacles de la bien-pensance dans l’Hexagone, mais aussi parmi une large frange de la population. Ce qui fait dire au député de l’Yonne la remarque suivante : « Si le voile n’est pas souhaitable dans la société française, il doit être interdit dans toutes les activités liées à l’éducation de notre jeunesse… ».

Puis, pédagogue, le quadra du Rassemblement National explique : « Cette proposition de loi entend protéger les activités et lieux d’éducation de toute emprise religieuse et rappelle que l’école et l’université doivent rester des espaces de neutralité dédiés à la formation et à l’éveil des consciences. Face à la montée des menaces islamistes, il est impératif de défendre avec détermination nos valeurs, notre modèle de société et l’avenir de nos enfants… ».

En proposant ce texte législatif, Julien ODOUL, porte-parole du RN, demeure dans la droite ligne de la volonté de sa formation d’exclure le voile dans l’espace public. En anticipant peut-être sur ce qui pourrait être applicable de manière très concrète dès 2027 si le parti de Marine LE PEN venait à remporter le suffrage présidentiel.

C’est ce qu’avait affirmé son président, Jordan BARDELLA, il y a quelques mois encore dans les médias. Une interdiction du voile, devenue la priorité des priorités pour les marinistes, qui souhaitent également procéder à des vagues d’expulsion – peut-être à la manière de Donald TRUMP au lendemain de son investiture ! – en ce qui concerne les ressortissants étrangers radicalisés, celles et ceux qui sont répertoriés au fameux « Fichier S », voire les imans qui assurent des prêches parfois incendiaires, contraires aux idéaux démocratiques de la Nation…

 

Thierry BRET

 


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Disponible en librairie depuis le 06 septembre 2024 et publié par l’Institut La Boétie – la « fondation insoumise » ambitionne d’être à la fois un lieu d’élaboration intellectuelle de haut niveau tout en ayant un rôle d’outil d’éducation populaire -, le livre « Extrême droite : la résistible ascension », signé d’un collectif d’auteurs, fera l’objet d’une conférence-débat, samedi 25 janvier à Sens. Avec à l’animation : la députée de Paris Danièle OBONO (LFI) et le journaliste Stathis KOUVELAKIS…

 

SENS : Cela débutera par une manifestation « porte-à-porte », dès l’après-midi à partir de 15 heures, dans le quartier des Champs-Plaisants de la sous-préfecture septentrionale de l’Yonne. Une opportunité pour tâter le terrain, sans doute…et y prêcher la bonne parole !

Puis, les militants de La France Insoumise (LFI) de Sens et du Sénonais proposeront aux alentours de 16h30, une conférence-débat. Elle sera accueillie dans la salle Saint-Savinien, située au 137 Bis de la Rue Alsace-Lorraine. Là, deux personnalités « insoumises » viendront débattre avec le public. Militants ou non. La thématique choisie est le fruit des réflexions compulsées dans l’ouvrage, publié à l’automne dernier de manière collective par l’Institut La Boétie, « Extrême droite : la résistible ascension ».

 

 

Un opus qui a été diffusé à de nombreux lecteurs, parfois très éloignés de la sphère d’influence de LFI. Dix-huit contributrices et contributeurs, issus de l’univers des sciences sociales, auront donc travaillé à la réalisation de cette analyse détaillée sous la coordination d’un sociologue, Ugo PALHETA. Un livre qui vise, selon leur éditeur, « à fournir des armes intellectuelles pour comprendre et décrypter le processus de l’extrême droite à conquérir et à se développer dans le champ politique hexagonal ».

L’opportunité de susciter le débat à Sens, comme partout en France, avec ce cycle de rencontres conférences où les citoyens peuvent poser à leurs interlocuteurs toutes les questions leur trottant dans la tête.  

La députée LFI du dix-septième arrondissement de Paris, Danièle OBONO et le membre de la rédaction de la revue critique communiste et de l’Institut La Boétie, « Contretemps », Stathis KOUVELAKIS, donneront leurs avis lors de ces échanges. Dès samedi à 16h30, salle Saint-Savinien à Sens…

 

Thierry BRET

 

 


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Le Syndicat Départemental d'Energies de l'Yonne s’est donné pour ambition il y a dix ans d’accompagner les communes du département dans leur transition énergétique. Pari tenu et reconnu, à voir les nombreux maires et autres élus, présents à la cérémonie des vœux, jeudi soir à Beines. L’occasion pour son emblématique président de dresser un bilan des actions menées et des perspectives à l’aube de l’année nouvelle.

 

BEINES : C’est par une minute de silence à la mémoire des élus et collègues disparus qu’a débuté la soirée, avec une pensée particulière pour le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, « un homme de bonté, de gentillesse, un véritable humain comme on aime en rencontrer », comme l’a rappelé Jean-Noël LOURY, président du SDEY. L’occasion aussi de saluer le maire d’Irancy, Stéphane PODOR, dont on avait appris la disparition en début de matinée, après un long et dur combat contre la maladie.

Entré dans sa onzième année d’existence, le SDEY (Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne) est devenu au fil des années un partenaire privilégié de toutes les communes du département. Au fil de l’évolution des technologies, la demande se fait croissante, notamment pour le passage en LED de l’éclairage public, source d’économies d’énergies non négligeables dans le budget de fonctionnement d’une municipalité. Autre volet des missions que s’est donné le syndicat : la réduction de la facture énergétique sur les bâtiments existants ou en projet. Un accompagnement qui concerne aujourd’hui 160 communes du territoire, avec cette annonce à l’attention des 43 bourgs en attente d’intervention : le recrutement d’un cinquième conseiller en économie d’énergie, venu rejoindre l’équipe existante.

 

 

La pose d’ombrières sur le parking du SDEY en 2025

 

Les ambitions pour 2025 sont multiples, à commencer par la poursuite des investissements sur les réseaux électriques : « c’est un devoir régalien de le faire et de continuer à travailler avec ENEDIS en partenariat intelligent pour renforcer et sécuriser noter réseau ». Des propos sans nul doute appréciés par son directeur, Gérald FREGUIN, aujourd’hui sur le départ, pour une fonction similaire dans la Nièvre, présent à la soirée et accompagné pour l’occasion de son successeur, François TILLOUS.

Concernant les rénovations globales de l’éclairage public pour les communes s’étant manifestées avant septembre 2023, le président du SDEY l’assure : « on ne pourra pas tout faire, mais l’on s’engage à ce que ce soit fait pour celles que nous avons en portefeuille, d’ici la fin du mandat ». Montrer l’exemple en matière d’autoconsommation collective, c’est ce à quoi s’attache le syndicat d’énergie qui l’an passé, a installé sur son bâtiment de l’avenue Foch à Auxerre, des panneaux solaires garants d’une diminution de sa facture électrique. Avec en projet, dès cette année, « de poser des ombrières sur notre parking afin de produire plus et mettre des batteries pour stocker l’énergie et la réinjecter au bon moment ».

Une installation que les élus seront amenés à venir visiter le moment venu. A noter qu’un nouvel ingénieur en la personne de Rémi COQUILLÉ a été recruté au sein du service « Optimisation énergétique », dirigé par Aurélie ROSSIGNOL et qu’il se tient à disposition de tous pour les accompagner dans leur projet.

 

 

 

L’avenir des bornes de 25 et 50 kg à l’étude…

 

Quid du parc de bornes de recharge pour véhicules électriques ? L’Yonne était en 2024 l’un des départements français les mieux dotés en la matière, avec une borne pour sept véhicules. Mais les habitudes des « électromobiles » ont aujourd’hui changé, les recharges s’effectuant désormais le plus souvent à domicile ou pour les longs trajets, sur des bornes plus rapides de 150 à 300 kg, gourmandes en énergie : « est-ce qu’on les remplacera ? J’aurais tendance à dire non, il n’y a plus d’intérêt maintenant, nous ne pouvons pas lutter contre cette évolution, ce n’est pas notre rôle… ».

D’autant que le déficit avoisine aujourd’hui les 700 000 euros. Plusieurs pistes sont à l’étude concernant ces bornes de 25 et 50 kg devenues obsolètes : les céder à un partenaire privé, se rapprocher d’une structure existante ou de syndicats d’énergies, ou encore, lancer une délégation de service public. La décision sera prise en cours d’année, mais assure Jean-Noël LOURY, « je serai vigilant sur notre maillage départemental afin que la ruralité ne soit pas oubliée… »

 

Le regrettable abandon par l’ADEME du projet « Hycaunais »

 

L’avenir se dessine au présent, c’est bien connu ! Pour preuve, ce renouvellement de contrat de concession signé avec GRDF, engageant les deux parties pour les trente ans à venir. Au registre des regrets, la mise en suspens du projet « Hycaunais » dans le domaine éolien, prévu faire tourner ces appareils lorsqu’ils n’étaient pas utilisés dans leur fonction première et récupérer l’énergie produite pour en faire de l’hydrogène, une fois passée dans un électrolyseur.

Mêlé à du gaz carbonique, issu de centres d’enfouissement et à une bactérie, cela aurait permis de produire du méthane de synthèse, énergie propre, propice à alimenter les réseaux de gaz : « on devait appuyer sur le bouton en septembre dernier, mais en mai, on a reçu un courrier de l’ADEME nous informant qu’elle arrêtait tout et qu’elle fléchait son argent ailleurs ! Un tel gâchis, c’est vraiment dommage ! D’autant qu’il aurait suffi de douze ou treize centres de ce type pour rentabiliser l’affaire… ».

Un challenge d’autant plus facile à tenir que le projet était à vocation européenne. La SEM Yonne Energie peut toutefois s’enorgueillir d’autres projets innovants, à l’image des ombrières photovoltaïques de Villeneuve-la-Guyard, menés en collaboration avec le maire de la commune, Dominique BOURREAU, ou bien encore sa participation au projet éolien des Hauts de l’Armançon, « jouant ainsi son rôle d’opérateur économique en s’associant à un stade relativement précoce du projet et en prenant donc un véritable risque industriel aux côtés du développeur privé sélectionné par les communes de Nuits, Aisy et Cry-sur-Armançon ».

 

 

La distribution de récompenses en guise de final

 

C’est une commune endeuillée par la disparition de son maire le matin même qui a été mise à l’honneur en fin de réunion, en recevant des mains de Jean-Noël LOURY et d’Aurélie ROSSIGNOL, un chèque de 8 534 euros dans le cadre du programme « ACTEE » de la Fédération Nationale des Collectivités Concédantes et Régies (FNCCR), à laquelle adhère le syndicat d’énergie de l’Yonne.

Programme qui a pour objectif d’apporter un concours financier aux collectivités ayant mis en place un plan d’économie d’énergie pour la gestion de leur patrimoine. En l’occurrence, la rénovation de la salle des fêtes d’Irancy, passée en basse consommation, occasionnant une économie non substantielle explique cet adjoint : « là où l’on consommait 2 200 litres de fuel pour chauffer six fois par an et une dépense de 2 300 euros, cela nous revient désormais à 600 euros avec des pellets, pour un chauffage à l’année... ».

Autre acteur du « paysage énergétique » icaunais mis à l’honneur vendredi, Gérald FREGUIN, ancien directeur territorial d’ENEDIS, parti prendre ses fonctions dans la Nièvre. Il a reçu pour l’occasion un trophée né de l’imagination et du talent de l’artiste jurassienne Nacéra KAINOU. Trophée réalisé à partir de matériaux recyclés bien sûr, en l’occurrence, des isolateurs électriques !

 

Dominique BERNERD

 

 

 

 


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Dans cet antre de la Rue du Pont à Auxerre, leur auguste prédécesseur fut le regretté cuisinier Jean-Pierre SAUNIER « Le Rendez-Vous », sorte de convivial parrain de la cuisine auxerroise de terroir, quarante années durant. Il est parti la semaine dernière rejoindre de grands noms de la gastronomie hexagonale, à l’instar de Bernard LOISEAU, Paul BOCUSE ou encore la fameuse « Mère BRAZIER » au paradis des cuisiniers...

 

AUXERRE : Apprendre une bonne nouvelle après le départ de Jean-Pierre SAUNIER pourrait être interprété comme l’un de ses derniers signes adressés à de jeunes collègues méritants. Un coup de pouce à la SAUNIER en quelque sorte !
On ne peut que féliciter ces restaurateurs à la tête de de cette table prometteuse, au service pro et souriant. Nous y avions apprécié une cuisine inspirée, aux cuissons précises, en avril 2024 dans le cadre de cette chronique culinaire...

Sur 175 000 points de restauration en France, seuls moins de 10 000 méritent aujourd'hui la noble appellation de restaurants. Ces endroits où l'on cuisine sur place des produits bruts (épluchage des légumes, lever les filets d'un poisson entier, faire des fonds de sauce avec des os de viande et des légumes...).

Notre pays est envahi, année après année, de chaînes de restauration, et force est de reconnaître hélas que l'art de vivre à la française est un peu en train de se barrer en sucette !

 

 

 

Un très récent déjeuner en ce mois de janvier confirma cette belle impression d'avril 2024 laissée par le « Sarment » : un carpaccio de Saint-Jacques bien fraîches, suivi par de délicieux et originaux gnocchis au parmesan (clin d'œil à la cuisine niçoise, et à sa voisine transalpine !) nous régala ce midi-là, Rue du Pont.

C'est aussi une bonne nouvelle de s'apercevoir que le Michelin - comme il n'y a encore pas si longtemps d’ailleurs ! - se souvient un peu, des routes menant dans l'Yonne !

Sortie du palmarès Michelin 2025 depuis Metz, le 31 mars prochain. Avec à la page « Auxerre », une mention gourmande des plus mérités pour « Le Sarment » auxerrois. C'est notre bonne nouvelle de ce début d'année ! Il y en aura d'autres, c’est certain !

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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