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Puisaye Forterre

Exit 2017, place à 2025 ! Il aura fallu tout ce temps pour que se construise patiemment, et à force de pugnacité et de conviction, le projet qui s’est fait jour devant les yeux de très nombreux élus de la Communauté de communes de la Puisaye-Forterre (CCPF) et du public, invités il y a peu à Saint-Fargeau, à l’occasion de l’inauguration du siège de l’intercommunalité. Un projet ayant nécessité près de trois millions d’euros qui aura permis de réhabiliter le bâtiment imposant et de belle facture de l’ancienne mairie…

 

SAINT-FARGEAU : C’est presque une manifestation vécue en « deux en un ». Sans l’effet « Kiss Cool » mais avec des messages forts, tout aussi prégnants, adressés à la population. Une double inauguration qui aura certes un peu traîné en longueur avec pléthore de discours sous une chaleur naissante mais cela valait la peine de tout écouter pour mieux en appréhender les conséquences. D’un côté, l’officialisation du nouveau siège de l’intercommunalité de Puisaye-Forterre, chère à son président en exercice, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI. Un édifice sublimé par tant de créativité au niveau de sa rénovation qui devient une vitrine à part entière de la communication de cette entité décisionnelle. Et l’ouverture d’un nouveau bâtiment public offrant des services administratifs n’est jamais anodin en soi, qu’on se le dise, surtout dans des contrées géographiques un peu reculées de la capitale du département.

De l’autre côté, mais le symbole était en soi ô combien important, c’est une fresque mémorielle composée de plusieurs panneaux réalisés par des scolaires à l’imaginaire fécond encadrés par des staffeurs qui fut également au centre de l’intérêt porté par toutes les personnalités du sérail icaunais présents ce jour-là. Dont les deux sénateurs de l’Yonne venus en symbiose dans la partie occidentale de l’Yonne, Dominique VERIEN – elle était presque dans son pré carré, venue en voisine depuis Saint-Sauveur ! -  et Jean-Baptiste LEMOYNE. Mais, le Gâtinais n’est guère éloigné, non plus ! Une fresque commémorant les 80 ans de la Libération, source d’inspiration de collégiens plutôt doués.

C’était également l’opportunité pour la nouvelle sous-préfète de la Nièvre sur l’arrondissement de Cosne-Cours-sur-Loire, Delphine BONNIN, d’effectuer sa première sortie opérationnelle sur le terrain, quelques jours après sa nomination. Bref, autant de symboles observables, avec comme dénominateur commun : la nouveauté !

 

La centralité géographique de Saint-Fargeau incitait à l’évidence

 

Saint-Fargeau – on ne présente plus la localité connue et reconnue pour son fameux château et ses spectacles estivaux qui assurent avec brio une évocation réussie de l’histoire de ces derniers siècles en ces lieux – devient donc la « capitale » de cette communauté de communes dont les fonts baptismaux remontent à 2017. La plus importante EPCI de l’Yonne, par le nombre d’habitants (plus de 34 000 personnes) et par son étendue géographique, couvrant 57 communes. Comme aime le rappeler le président de cet exécutif, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI.

« Une fusion ce sont évidemment des enjeux économiques, une organisation du travail à mettre en place mais c’est aussi et surtout créer une image, une seule entité dans la diversité. Le siège a donc été, dès la fusion, une question majeure pour regrouper les agents et créer une synergie et ne pas démultiplier les coûts liés au fonctionnement… ».

Du fait de sa centralité, Saint-Fargeau, dont l’édile n’est autre que Dominique CHARPENTIER, fut immédiatement cochée comme la ville devant accueillir le nouveau siège de cette supra-collectivité communale.  

 

 

 

Explications de JPSA : « au départ, nous avions envisagé l’école des filles, juste en face mais compte tenu du nombre d’agents, cela n’était pas viable. C’est pourquoi j’avais proposé au conseil municipal précèdent de rénover le bâtiment de la mairie que nous inaugurons aujourd’hui… ».

Débuta alors une longue période d’atermoiement et de difficultés ! L’équipe municipale précédente avait décliné la proposition du président de la CCPF car elle souhaitait conserver ce bâtiment pour son administration municipale qui comptait alors trois agents administratifs pour 1 200 mètres carrés ! Chercher l’erreur !

Puis, les idées fusèrent. Et pourquoi pas la construction d’un bâtiment neuf mais hors du centre bourg, en lieu et place des anciens HLM ?!

Il faudra attendre l’arrivée d’une nouvelle équipe à la tête de la municipalité, avec Dominique CHARPENTIER à la manœuvre en qualité d’édile, pour que le projet initial souhaité par Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI ressurgisse tel un Phénix renaissant de ses cendres !

 

 

Un budget de près de trois millions d’euros d’investissement

 

L’opération prend réellement son envol en 2021. Avec en substance, la réhabilitation d’un ancien bâtiment, devenu la vitrine du patrimoine du village. Soit plus de 1 200 mètres carrés rénovés du sous-sol aux combles.

Désormais, le nouveau siège de la CCPF accueille en ses murs quarante agents sur les 120 collaborateurs que compte la Communauté de communes de Puisaye-Forterre.

Trait d’humour, apporté par un JPSA jovial en ce jour inaugural, « il ne faut pas oublier les chauves-souris qui disposent de l’équivalent de deux bureaux ! ».

Quant à l’investissement, il aura été conséquent avec près de 3 millions d’euros nécessaires au relookage de cette ancienne mairie reconditionnée. Il était temps pour le président de la CCPF de remercier les « généreux » partenaires ayant contribué au succès de cette opération immobilière.

« Je remercie l’État qui a contribué via la DETR, la DSIL et le Fonds vert, à hauteur de 1 646 225,84 euros soit 55 % du coût total du projet. Mais, il y aussi pour les 1 346 991,29 euros la Communauté de communes de Puisaye-Forterre… ».

Les économies réalisées auront été pointées du doigt par l’orateur. « Avant ce siège, au-delà des locaux qui étaient inadaptés et vétustes, les agents étaient éparpillés sur quatre sites. Nous allons donc réduire, évidemment, nos coûts de fonctionnement… ».

Capital par les temps qui courent où toutes les collectivités sont invitées à réduire leur budget. Saluant le travail collectif qui a permis d’obtenir ce brillant résultat, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI souhaita que la population s’approprie les lieux.

Puis, il dit quelques mots sur la seconde inauguration de la journée, celle proposée par le comité départemental du Souvenir Français de Puisaye-Forterre, représenté par Philippe BLOT.

« Plusieurs collégiens et quelques membres des équipes pédagogiques sont présents pour témoigner de ce travail qui a été réalisé sur le 80ème anniversaire de la Libération, ajouta JPSA, cette fresque mémorielle a été réalisée par les six collèges de Puisaye-Forterre : Charny, Courson-les-Carrières, Saint-Amand-en-Puisaye, Saint-Fargeau, Saint-Sauveur-en-Puisaye et Toucy. Elle compte six panneaux distincts comme les six collèges avec chacun une partie de notre Histoire locale… ».

Une double inauguration qui restera dans les annales de la CCPF. Le public, venu en nombre, pourra toujours le confirmer…

 

 Thierry BRET

 

 


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Il est bien rare, reconnaissons-le, que notre joli département soit mentionné dans les pages gastronomiques d'un quotidien national. Surtout quand il s'agit du journal « Le Figaro » du samedi. Désormais, l'Yonne joue plutôt en Ligue 2 en la matière. C'est ainsi,  même si cela ne fut pas toujours le cas. En 1986, sur les vingt tables triplement étoilées en France, deux étaient icaunaises, à Joigny et à Saint-Père-sous-Vézelay. 

 

CHASSY : Mais revenons en 2025 ! Samedi dernier, le premier quotidien national français a réservé une pleine page au jeune couple prometteur qui vient de reprendre la table gastronomique « Erre », sise dans le magnifique domaine du golf de Roncemay. Les chefs Clément VERGEAT (côté fourneaux) et Marine MATEOS (côté pâtisserie) furent heureux de troquer leur bitume parisien, pour ce joli coin de verdure ! 

Au début du siècle (2002-2005), cette table fut même étoilée au Michelin, sous la férule du chef Christophe DUFOSSE, parti ensuite à Metz, puis dans le « ch'nord » désormais. On s'y régalait alors de cassolette gourmande d'escargots, de turbot poché au lait d'aromates beurre blanc au caviar d'Aquitaine, pour terminer par une assiette tout chocolat.

 

Un cadre magnifique pour se sustenter

 

A côté de la table gastronomique plutôt ouverte en fin de semaine, il existe aussi un bistrot fermé mercredi et jeudi. Ces jours-là, la plancha prend le relais. Le cadre est magnifique. On y voit golfeuses et golfeurs roulant leur volumineux caddie, en train de préparer leurs balles avant de se mesurer au parcours dix-huit trous. Un vieux copain à moi tint antan, quelques années durant, un restaurant de golf.

« C'est une clientèle aussi exigeante que radine, m'avait-il expliqué, souhaitant souvent le menu supérieur au prix inférieur ! ».

Avant de repartir, comme de bien entendu, au volant du coupé Mercedes dernier cri !

Ce jeudi-là, le personnel y est des plus aimables, même si notre réservation n'a pas été notée. On conversa même l'espace d'un instant, avec la nouvelle cheffe pâtissière, se réjouissant de bientôt découvrir le proche marché de Toucy, le samedi. 

A l'apéritif,  le verre de Saint-Bris est plutôt bon. Une gougère ou une olive (plus politiquement correcte pour nos golfeurs !) n'auraient  pas été de trop. Ensuite, trois salades constituent le buffet d'entrée : l’une, délicieuse, est composée de chou rouge bien assaisonnée, l’autre est faite de concombres plutôt quelconque, la troisième propose des pommes de terre au thon, elle aussi, bien assaisonnée !    

 

 

  

 

Mais où sont passés les légumes de saison ?

 

Ensuite, le cuisinier grillardin nous fait choisir le morceau destiné à la plancha. Il y a du poisson, dont du muge. Je ne connaissais pas. Plus des morceaux de bavette ou de la volaille marinée. La bavette est servie impeccablement saignante. Quant au poisson, peut-être pas salé avant cuisson, il est un brin fadasse ! On peut juste regretter qu'à 30 euros la formule club-house, aucun légume chaud n'accompagne viande ou poisson. Riz au poivron et des courgettes sautées à l'huile d'olive feraient l'affaire.

En dessert, la crème aux œufs est fort bonne et bien vanillée. Quant au cookie, il est un brin « étouffe-chrétien » ! La saison se prêterait plus à un clafoutis aux fruits, peut-on penser…

Ce fut une découverte plutôt agréable, mais nous reviendrons vous tester le bistrot, puis la table « Erre » et sa démoniaque brioche, dixit « Le Figaro » ! Ne quittons pas ce journal, sans vous présenter le dernier livre de celui qui en fut un quart de siècle durant le sémillant chroniqueur gastronomique, François SIMON !  « Y retournerai-je ? » : c’est le livre de chevet de vos vacances gourmandes ! 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : il n’est pas servi de légumes avec viande ou poisson.

Les + : le personnel est aimable. Quant au cadre, il est exceptionnel.

 

 

Contact :

 

Domaine du Roncemay

89110 CHASSY

Tel : 03.86.73.50.50.

Ouverture 7/7 jours avec trois formules différentes.  

 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Nous allons momentanément tenter, pour certains, de prendre un repos bien mérité. Mer, montagne ou campagne, selon les goûts, des lieux de prédilection pour vivre une parenthèse idyllique… Pas de problème, l’été, il ne se passe rien ou pas grand-chose. Un lieu commun entendu très souvent. Nos politiques et nos dirigeants sont aussi en vacances. Alors, attendons septembre, une rentrée prévue comme riche en confrontations et manifestations en tout genre. Hélas, depuis fort longtemps, l’histoire a montré que tout peut arriver, même l’été !

Tout d’abord, n’oublions pas les 40 % de Français qui ne partent pas. De plus, contexte économique oblige, les futurs vacanciers ont prévu de partir moins longtemps et surtout de dépenser moins en restaurants. Nous débutons nos vacances avec des raisons de rester vigilants. En premier lieu, l’instabilité de la plupart des dirigeants de la planète. Donald TRUMP peut toujours prendre des décisions spectaculaires, économiques et militaires, entre deux parties de golf. Le président américain court encore pour le prix Nobel de la paix, fort d’un accord de paix signé à Washington entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda. Bravo, mais n’oublions pas que ledit TRUMP lorgne les réserves de cobalt du Congo. A défaut d’un Nobel, il peut espérer une médaille pour son sens des affaires…

Vladimir POUTINE ne dort plus et continue de bombarder l’Ukraine. Volodymyr ZELENSKY à la riposte au bout du doigt et ne s’en prive pas. Benyamin NETANYAHOU, qui n’a toujours pas digéré l’injonction brutale de TRUMP concernant l’arrêt des bombardements sur Téhéran, promet de reprendre la guerre en cas de nécessité. Téhéran reste tout aussi imprévisible quant à ses intentions belliqueuses à l’égard d’Israël. Les dirigeants refusent toujours le contrôle de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique), sous l’égide de l’ONU. La Chine, lorgne plus que jamais sur Taïwan, et cherche un prétexte pour une invasion. Les terroristes, bien manipulés par l’Iran, sont prêts à intervenir en Europe. Entre l’Inde et le Pakistan, les échauffourées frontalières se multiplient et les tensions sont toujours vivaces.

Les réactions du locataire de l’Elysée (bail de plus en plus précaire), deviennent non seulement imprévisibles, mais surtout en dehors de toute stratégie cohérente et efficace. Face à un tel président, difficile de dormir tranquille tout l’été. Il peut nous concocter une dissolution de l’Assemblée nationale, provoquer une altercation à l’international. La « bonne-mauvaise » nouvelle, est qu’il refuse de réclamer la libération de deux otages français détenus en Algérie : Boualem SANSAL et le journaliste Christophe GLEIZES…

 

Plus rien ne va dans notre société, des raisons d’inquiétude…

 

Que prépare le FMI et la communauté européenne ? La mise sous tutelle de la France, rien de moins ! Les dépôts de bilan vont bon train, avec son cortège de chômage et de pauvreté. Le gouvernement est désavoué par la majorité des Français, le président désapprouvé par les citoyens, le Parlement et de nombreux ministres, ainsi que par la communauté internationale, parachèvent le tableau… La France perd pied, avec en plus, une misère grandissante et une insécurité prégnante. La société française se liquéfie. Les trois piliers de notre société s’écroulent. Quels sont-ils ?

Le pilier régalien : la justice n’a plus de crédit auprès du public, et les juges semblent laxistes et non craints par les voyous, les finances sont sous tutelles. Notre président se prend des « claques » au propre comme au figuré : la dernière en date, le chantier nucléaire tchèque passe définitivement sous pavillon coréen. L’EDF vient de perdre la construction de réacteurs nucléaires civils en Tchéquie, une perte estimée à 28 milliards d’euros !

Les affaires étrangères se figent sans aucune influence possible. La défense est critiquée par des généraux limogés par le président dès qu’ils avancent des contestations face à sa politique militaire. Quant au ministre de l’Intérieur, Bruno RETAILLEAU, certes, ourdi de bonnes intentions, mais qui restent au niveau de la communication, il est paralysé par l’Assemblée et non soutenu par le Premier ministre…

 

 

Mais où est passée l’autorité parentale ?

 

Quant au pilier de l’enseignement, ce n’est pas mieux ! Nos enseignants sont contestés, critiqués, menacés de mort, blessés, tués… La ministre Elisabeth BORNE doit en permanence se souvenir que c’est grâce à LFI qu’elle fut élue députée et donc obtenu sa mission à l’Education nationale. Face à l’assassinat d’une surveillante à l’entrée d’un collège, elle a constaté les dégâts et décoré ladite surveillante de la Légion d’honneur à titre posthume. Dans le même temps, Marlène SCHIAPPA recevait la même breloque pour avoir…posé dans la revue « Lui » ! Mélanie G., notre héroïque surveillante, méritait un hommage national. Marlène SCHIAPPA illustre parfaitement ce qu’a déclaré le fondateur de la Légion d’honneur, Napoléon Bonaparte : « c’est avec des hochets qu’on mène les hommes ». Ainsi répondit Napoléon à un conseiller d’Etat qui s’inquiétait de ce que la Légion d’honneur violait le principe révolutionnaire d’égalité !

Reste le pilier de l’éducation parentale ! De nombreux parents n’ont plus de prise avec leur progéniture, ils perdent le pouvoir. Des enfants peuvent porter plainte contre un parent qui aurait la main un peu leste. Pour la maltraitance, la plainte est légitime et bienvenue. Un avocat m’a rapporté cette autre scène devant le tribunal des Affaires Familiales : « un étudiant, majeur, refuse de travailler chez lui, car ses frères et sœurs font trop de bruit. Il veut son studio et refuse de travailler. Le père déclare ne plus pouvoir financer les études de son gamin exigeant. Réponse du président de séance : « vous êtes propriétaire de votre logement, alors vendez-le et vous pourrez offrir des conditions de travail bénéfiques à votre fils ! ».

Aujourd’hui, l’Education nationale interfère de plus en plus dans le rôle des parents. L’enseignement développe l’éducation sexuelle, la théorie du genre, la pilule proposée gratuitement aux jeunes filles. L’autorité parentale est bafouée par la société. 

 

Doit-on abandonner nos projets de vacances ?

 

Renoncer aux vacances, non bien entendu ! Un ultime conseil est de faire le plein de gaz, de fuel, de bois, de granulés, si votre chauffage en dépend, et mesurer l’exposition de votre portefeuille boursier. Conseil d’un médecin auprès de ses clients déprimés : « partez en vacances et coupez les chaînes d’information en continu » … En plus, ne privons pas nos enfants des doux souvenirs de vacances passées en famille. Habitant du Sud de la France, j’ai pu assister à de glorieuses parties de pétanque. Avant de jouer, les boulistes ne demandent jamais le parti politique ou la religion des adversaires et des partenaires… Vivre l’humanisme grâce au jeu de boules, parfois arrosé de pastis et de jus d’oranges… Je laisse aux connaisseurs ce que veut dire l’expression « faire Fanny » quand un joueur perd une partie 13 à zéro !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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De très belle facture, le document – une plaquette de 28 pages à la conception finement ciselée – est posé à chaque emplacement qui sera occupé d’ici quelques instants par l’un des invités de cette présentation peu commune. Des invités institutionnels (les élus de l’Yonne, comme ceux de l’Auxerrois) aux représentants des médias locaux. Même le correspondant des « Echos » a effectué le déplacement, c’est dire si la manifestation revêtait de la plus haute importance pour les organisateurs de ce rendez-vous, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et l’AJ Auxerre…

 

AUXERRE : Et si on parlait économie à l’AJA ? C’est suffisamment rare pour insister sur l’importance de l’événement qui était proposé dans les salons du stade Abbé-Deschamps (le très ergonomique et fonctionnel « 1905 ») au début de la semaine, en présence de pléthore de représentants de la classe politique et institutionnelle de l’Auxerrois, si ce n’est de l’Yonne. On aura noté au tout premier rang, au plus près des intervenants devant assurer la prise de parole, le sénateur Jean-Baptiste LEMOYNE qui ne perdit pas une miette des commentaires et analyses entendus. Installés tel des étudiants studieux prêts à recevoir le cours magistral d’un professeur dans une salle universitaire, une trentaine de personnalités du sérail icaunais reçurent durant plus d’une heure une véritable leçon…d’économie !

A la sauce AJA, bien évidemment, qui fut couplée par des démonstrations chiffrées de la part de la CCI 89  en sus des ajouts précieux de son président, Thierry CADEVILLE. Via une étude très détaillée de l’impact économique, social et sociétal du club de football ayant fêté ses cent-vingt-ans, sur son territoire…

 

Le dixième plus gros employeur de l’Auxerrois : l’AJA !

 

Un document faisant office de vadémécum pour tout savoir sur tout, en quelque sorte et qui servit de trame à l’exposé mené en binôme par le président exécutif du club, Baptiste MALHERBE et son homologue de la chambre consulaire, Thierry CADEVILLE. En maître de cérémonie, devant articuler de manière fluide les interventions, le responsable d’études économiques de la CCI de l’Yonne, Fabien DINGS. Une précédente étude se rapportant à l’impact économique sur son territoire du club fétiche des Icaunais avait été présentée il y a plusieurs années de cela. Là, il s’agissait de mettre en exergue une réalité que nul ne peut désormais ignorer, l’AJ Auxerre est bien et bien un acteur phare de l’économie de l’Yonne ! Un rôle qui va comme un gant au dixième employeur de l’Auxerrois avec ses 224 salariés dont 174 en équivalent temps plein.

Si le responsable de la communication du club sportif évoluant en Ligue 1, Thierry HUBAC, prit soin de rappeler en guise de préambule à l’auditoire la genèse méthodique de cette étude menée avec le concours des services de la chambre consulaire départementale, Baptiste MALHERBE, son président exécutif, souligna le caractère particulier de cette AJA, chérie depuis longtemps par des milliers de spectateurs à travers l’Hexagone, « une entreprise à part entière ».

« Je ne sais pas si on se rend bien compte de la chance que nous avons, dans l’Yonne, de posséder un tel patrimoine vivant de l’économie, expliqua le dirigeant de l’AJA, un club qui est né il y a 120 ans ! ».

 

« On ne peut pas valoriser les sourires des enfants… »

 

Cinquante ans que la structure tutoie le haut du panier de l’élite française depuis l’arrivée d’un célèbre monsieur portant un curieux bonnet bleu sur la tête ! Et Baptiste MALHERBE de rajouter, lucide, « sans notre actionnaire d’aujourd’hui – le Chinois James ZHOU -, il n’y aurait plu de sport de haut niveau à Auxerre… ». Un club aux 48 millions d’euros de budget qui a réussi le tour de force de se maintenir pour la seconde année consécutive parmi l’élite, malgré un championnat très resserré autour de 18 formations.

Parlant de valeurs, de fierté, Baptiste MALHERBE eut cette formule bien à propos : « on ne peut pas valoriser le dynamisme sur un territoire, on ne peut valoriser les sourires de nos enfants quand l’équipe gagne des matches ou quand ils accompagnent les joueurs sur la pelouse, tout cela est intangible et ça compte beaucoup… ».

Alors, était-il nécessaire de produire des chiffres, de les communiquer très largement autour de soi afin de bien ancrer les choses dans les neurones et faire taire toutes les critiques infondées de ces personnes qui n’aiment ni le football ni le meilleur ambassadeur de l’Yonne, loin de ses frontières ?

Baptiste MALHERBE est en cela catégorique ! « Le football, c’est le sport le plus populaire, pratiqué par le plus grand nombre et dans des territoires tels que les nôtres, heureusement que tous les quinze jours, il y a ces rencontres qui apportent du rêve et de la joie… ».

 

 

 

Les effets du triple impact économique, social et sociétal

 

Quant aux entreprises locales (plus de 350), elles ne se font pas prier pour rejoindre les rangs des soutiens indéfectibles d’un club qui rayonne aux quatre coins de l’Hexagone, quand ce n’est pas plus loin, à l’échelle internationale.

« Ces chiffres sont la parfaite illustration de ce que l’on représente exactement, souligna le président auxerrois, des chiffres à mettre en corrélation avec les projets d’agrandissement du club… ».

Des projets, quelque peu perturbés par des avis politiques contraires émanant de personnalités locales, devant se procurer coûte que coûte cette étude à l’analyse si complète et pertinente qui éclaire sur la réalité économique, les retombées concrètes et les fortes potentialités de développement d’un club décidément pas comme les autres !

Le président de la CCI Thierry CADEVILLE se souvint, quant à lui, d’un séjour vécu sur l’île de Gorée, située face à Dakar au Sénégal, où les habitants du cru lui parlèrent de l’AJ Auxerre ! Instant d’émotion. Un excellent préambule pour le chef d’entreprise icaunais pour amener avec moult explications les aspects prioritaires de cette étude (les chiffres) sous le feu des projecteurs, étude qui aura mobilisé les moyens techniques de la chambre consulaire.

 

 

Que retenir de ces informations statistiques concernant la 237ème ville de l’Hexagone, Auxerre, et de sa communauté d’agglomération de l’Auxerrois forte de ses 67 663 habitants ?  Le secteur géographique le moins peuplé accueillant un club évoluant en Ligue 1, si l’on fait abstraction de Monaco. Un « petit Poucet » donc qui n’a pas peur de rivaliser avec les ogres et les géants !

L’impact du club est considérable en tout point sur le volet économique, social et sociétal, avec 27,6 millions d’euros de retombées générées au cours de la saison 2024/2025. Dont plus de dix millions d’euros en impact économique induit. Au niveau de l’emploi, si l’AJA possède un effectif direct de 174 collaborateurs, il y a au total avec les emplois induits, 367 personnes qui voient leur activité professionnelle liée à l’existence du club. Tout un écosystème social qui ne cesse de se développer de saison en saison, notamment dans la filière de la communication.

L’impact sociétal est non négligeable, également. Si la RSE est devenue le fil d’Ariane du club au cours de ces dernières, il se décline par des actions orientées vers la jeunesse, l’éducation et la citoyenneté, avec à la clé plus d’une cinquantaine d’actions réalisées à chaque saison, soit plus de 5 000 personnes soutenues dans le landerneau, depuis les ateliers contre les harcèlements à la mobilisation de la lutte contre le cancer du sein, en passant par l’aide à la Banque Alimentaire ou la Croix Rouge…

Le quatrième club préféré des Français en termes de notoriété possède donc de sérieux atouts avec son 1,4 million de supporters, tant en France qu’en Europe, voire même plus loin (les Chinois suivent avec intérêt les grandes rencontres du club bourguignon) et ses 12 144 abonnés. Comme l’a dit un jour Baptiste MALHERBE, lors d’une conférence de presse tenue aux côtés de l’édile d’Auxerre Crescent MARAULT, « l’AJA s’apparente à un village gaulois peuplé d’irréductibles auxerrois qui doivent faire face aux grosses cylindrées de l’Hexagone footballistique… ».

Gageons que la recette de cette potion magique qui unie ce club unique du paysage sportif national et son public ne se tarisse pas de sitôt afin de le faire prospérer du mieux possible, via les projets de transformation du stade ! L’avenir nous le dira, par Toutatis !

 

En savoir plus :

 

Les chiffres clés de l’étude à connaître :

69 % des Français qui se passionnent pour le football ont une bonne image de l’AJA

10,5 millions de téléspectateurs ont assisté aux diffusions des rencontres de l’AJA en Chine

6,5 millions de spectateurs suivent régulièrement les matches de l’AJA

Les recettes des deux boutiques de l’AJA engendrent 2,25 millions d’euros de chiffre d’affaires

19,7 millions d’euros de recettes publicitaires et de sponsoring

4,4 millions d’euros de recettes billetterie

Le nombre d’abonnés a été augmenté par 4,6 en quatre ans

Le taux de remplissage de l’Abbé-Deschamps s’élève à 95,1 % (6ème sur 18 clubs de Ligue 1)

25 % du public est féminin au stade

3 millions d’euros hors taxes sont injectés par le club auprès des prestataires (74) implantés dans l’Auxerrois

Le club a reversé cette saison 303 000 euros d’impôts locaux au territoire.

8,3 millions d’euros de retombées économiques indirectes à chaque saison au bénéfice de l’agglomération auxerroise, dont 586 000 euros en transports, restauration, boissons, hôtellerie, etc.

 

Thierry BRET

 


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Joindre l’utile à l’agréable. Chacun connaît la formule. Dans la commune située en périphérie d’Auxerre, cela s’appliquera de la manière la plus vertueuse qu’il soit. En partenariat avec l’association « Les Copains des Mômes », la localité de Gurgy donne rendez-vous à la population sur la place de la Rivière pour une grande fête populaire le dimanche 13 juillet à partir de 15 heures. Sachant que l’ensemble des bénéfices de la soirée sera reversé aux écoles de la commune…

 

GURGY : 13 et 14 juillet  2025 ? Ce sont deux journées plutôt chargées au niveau du programme à biffer sur l’agenda des habitants de la commune dirigée par l’édile Cyril CHAUVOT. La Fête nationale, c’est quelque chose et ici-bas, on ne célèbre pas cela à la demi-mesure !

Les célébrations débuteront dès la journée dominicale avec le concours de la structure associative « Les Copains des Mômes » et la commune. Le menu se veut des plus alléchants avec des animations pour petits et grands. Et attention, il y en a vraiment pour tous les goûts !

Qu’on en juge ! Dès 15 heures, les amateurs de sensations fortes – pas trop tout de même ! – viendront tester leur témérité sur l’eau, embarquant sur un jet-ski pour y vivre des baptêmes permettant de mieux cerner la discipline, plutôt physique en vérité.

Celles et ceux qui préfèrent le calme bucolique de la campagne environnante pourront se satisfaire de promenades à bord d’une calèche (un moment de détente très familial) ; les enfants profiteront aussi en parallèle d’un atelier de maquillage. Il sera alors 16 heures à la montre !

Puis, viendra le temps de la soirée festive et musicale, avec buvette et restauration sur place. Une sorte de circuit court de la consommation pour celles et ceux qui voudront prolonger ces instants de retrouvailles entre amis ou accompagnés de leur progéniture.

A partir de 19 heures, les choses vont alors s’enchaîner. D’une part, il y aura la traditionnelle intervention du maire, Cyril CHAUVOT. Forcément un discours républicain aux intonations cocardières afin de célébrer notre fête nationale. Offert par la municipalité, le verre de l’amitié suivra. Avant que les organisateurs de la soirée ne distribuent les fameux lampions, objets fétiches de ces 14 Juillet d’hier et d’aujourd’hui. Vingt heures sonneront alors au clocher de l’église.

Une heure durant, à partir de 20h30, « MALTAVERN », groupe local spécialisé dans le rock celtique, assurera une prestation dont les musiciens ont le secret en créant une atmosphère rappelant la « verte Irlande » et son folklore si typique. Voire breton, puisque c’est un territoire aux origines celtes ! La déambulation dans le village débutera alors avec les flambeaux à la main à partir de 21h30. La nuit sera alors tombée et il sera grand temps de profiter d’un peu de fraîcheur nocturne pour admirer sous la voûte étoilée le feu d’artifice sonorisé, prélude à la soirée dansante animée par le DJ Patrick LATOUR, un habitué de ces événements qui ne concernent pas uniquement les noctambules.

Le lendemain, toujours sur la Place de la Rivière, aux alentours de midi, les habitants de Gurgy (mais pas que) pourront toujours tirer de leurs sacs le coutumier pique-nique qui n’a rien de frugal avant d’esquisser quelques pas de danse dès 14 heures lors d’un après-midi musical spécial concocté par le CCAS. Vive la Fête nationale, prometteuse de joie et de détente !

 

Thierry BRET

 

 


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