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Il est des évènements de l’histoire qui sont autant de failles temporelles où s’inscrit à jamais la mémoire. On se souvient tous de ce que l’on faisait, de l’endroit où l’on était quand tomba l’information sur les attentats de Charlie ou ceux du Bataclan. Quand on découvrit que deux avions venaient de frapper le World Trade Center à New York ou pour les plus anciens, quand fut annoncée la mort de Jacques BREL ou l’assassinat de John KENNEDY… L’incendie de Notre-Dame, il y a cinq ans le 15 avril, est resté lui aussi gravé dans les cœurs et hante les mémoires. Nul besoin pour cela d’être croyant ou d’avoir des attaches catholiques, foi de parpaillot !   

 

HUMEUR : « Je me souviens »…C’est la jolie devise du Québec en référence à son histoire commune avec la France. C’est aussi le titre d’un célèbre recueil du regretté Georges PEREC, où l’auteur égrène ses souvenirs enfouis sous forme d’anaphore, martelant ces trois mots en début de chaque phrase pour mieux ressusciter des fragments de vie communs à tous. A sa façon, l’auteur de ces lignes se souvient de ce lundi 15 avril 2019…

« Je me souviens,
de David PUJADAS, interrompant à 19h34 ses invités sur LCI, pour évoquer un incendie « très sérieux » à Notre-Dame de Paris…

Je me souviens,
de l’annonce faite par l’Elysée à 19h41, du report de l’allocution présidentielle prévue délivrer à 20h les arbitrages d’Emmanuel MACRON après la crise des Gilets jaunes…  

Je me souviens,
de l’épaisse fumée noire au-dessus de la cathédrale, vaisseau de pierre immobile semblant prêt à larguer les amarres…

Je me souviens,
de la consternation et de la stupéfaction qui se lisaient sur les visages des journalistes et commentateurs présents en plateau…

Je me souviens,
de la foule silencieuse rassemblée, où croyants et agnostiques, paraissaient communier de concert, témoins impuissants d’une mort en direct…

Je me souviens,
des forces de police en émoi, criant dans l’urgence aux badauds d’évacuer…

Je me souviens,
du point zéro situé sur le parvis de Notre-Dame, matérialisant le lieu où les routes de France entament leur voyage…

Je me souviens,
de cette flèche embrasée, point d’orgue de tous les regards, qui à 19h50 s’inclina lentement en un ultime hommage avant de s’effondrer sur la nef…

Je me souviens,
de la couleur orangée des flammes dévorant la charpente et des fumées jaunes gorgées de vapeurs de plomb…

 

 

Je me souviens,
des bateaux qui pompaient l’eau de la Seine pour l’envoyer sur le brasier…

Je me souviens,
de cet échafaudage resté debout, squelette de métal rescapé sur lequel semblait reposer l’édifice tout entier…

Je me souviens,
de Donald TRUMP, évoquant l’idée d’envoyer des Canadair pour bombarder d’eau Notre-Dame et éteindre l’incendie, sans préciser si, comme pour le COVID, il suggérait pour cela de privilégier de l’eau de Javel !

Je me souviens,
du recteur archiprêtre de la cathédrale, Patrick CHAUVET et de son masque triste aux faux airs de l’acteur Michel BLANC, racontant qu’il prenait un verre en terrasse sur l’île Saint-Louis, quand on l’informa du début d’incendie…

Je me souviens,
des 12 apôtres et 9 évangélistes, statues de cuivre ornant la flèche de la cathédrale, rescapées de l’incendie pour avoir quelques temps auparavant été envoyées dans le Périgord pour restauration…

Je me souviens,
des larmes de plomb fondu dessinant des gerbes de feu sous le plafond éventré de la nef…

Je me souviens,
des mots du général Jean-Claude GALLET, après que l’incendie se soit propagé dans le beffroi nord, prévenant les autorités à 21h34, du risque de voir s’effondrer le bourdon de Notre-Dame, plus grosse cloche de France, dont les 13 tonnes pouvaient entraîner tout l’édifice dans sa chute…

Je me souviens,
des fragments de poutres calcinées jonchant les trottoirs alentours, élevés au rang de reliques et collectés pieusement par les passants…

Je me souviens,
des croyants à genoux, entonnant des cantiques persuadés que leur foi à défaut de soulever des montagnes parviendrait à éteindre l’incendie…

 

 

Je me souviens,
des œuvres les plus précieuses du trésor, rescapées de l’incendie, parties trouver asile à l’hôtel de ville et de la maire de Paris, Anne HIDALGO s’inquiétant de savoir si tout tiendrait dans son coffre-fort…

Je me souviens,
de la vingtaine de sapeurs-pompiers envoyés dans la tour nord pour une mission de la dernière chance et de l’annonce à 22h50 que Notre-Dame était sauvée…

Je me souviens,
de ce coq de cuivre imaginé par VIOLLET-LE-DUC, rénové en 1937, qui trônait depuis cette date en haut de la flèche et que l’on retrouva le lendemain, au pied des arcs boutants, cabossé, meurtri, noirci, mais « vivant ! »...

Je me souviens,
des camions de pompiers s’enfonçant dans la nuit une fois l’incendie sous contrôle, sous les applaudissements et remerciements des Parisiens encore debout…

Je me souviens,
des thèses complotistes qui dès le lendemain enflammèrent les réseaux sociaux, remettant en cause le caractère accidentel de l’incendie, comme cet « incendiaire » perché sur le toit de Notre-Dame, contemplant les flammes, en fait une statue !...

Je me souviens,
de Stéphane BERN racontant le lendemain matin de l’incendie sur BFMTV avec forces trémolos dans la voix, qu’il faudra « 40 à 50 ans pour reconstruire Notre-Dame » meurtri à l’idée qu’il ne connaîtra pas cela de son vivant…

Force est de constater, cinq ans après, que « Monsieur Patrimoine » était dans l’erreur et pêchait par excès de pessimisme ! La vieille dame de 850 ans, après un chantier et des moyens humains exceptionnels, est prévue rouvrir officiellement au public le 08 décembre prochain. Elle appartient à tous, n’en déplaise à cette frange identitaire de la sphère catholique française qui a déjà prévu d’y faire converger à la mi-septembre un vaste pèlerinage ayant traversé la France tout l’été, suivi d’une messe géante le lendemain, manière de rappeler que la cathédrale est avant tout un lieu de culte avant d’être l’un des joyaux les plus prestigieux du patrimoine national. Il en est deux là-haut dans les tours, qui n’ont que faire de ces polémiques. Plus de cinq ans que Quasimodo attendait de refaire chanter ses cloches et il sait déjà que sa belle gitane d’Esmeralda dansera pour lui le 08 décembre, sur des notes d’éternité…

 

Dominique BERNERD

 

 


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Forcément, il y a de la fierté parmi les élus et les acteurs de l’économie avec la concrétisation de ce nouveau projet favorisant l’entrepreneuriat. Le troisième étage de la fusée auxerroise « AUX R…quelque chose » (en l’occurrence « Factory » dans le cas présent) prend donc son envol vers sa cible de prédilection : la planète « Innovation » ! Un décollage en grande pompe, vers un voyage sans retour, celui menant vers l’industrie du futur et son ultra-technologie. Une étape qui n’est pas un aboutissement en soi, selon le président-maire de l’Auxerrois Crescent MARAULT, plus visionnaire encore qu’auparavant…

 

AUXERRE : C’est un étage supplémentaire de la fusée qui est parti dans la bonne direction, ce lundi en milieu de matinée ! Celle du rayonnement de la capitale de l’Yonne, bien au-delà de ses frontières, et de l’attractivité du territoire, propice à accueillir un nouvel écosystème avec le monde, parfois très hermétique pour les béotiens, des start-ups !

Le nouveau vaisseau spatial se nomme « AuxR_ Factory ». Ses réacteurs ont été allumés, en présence d’un grand nombre de personnalités du sérail institutionnel et économique du cru, malgré des températures extérieures glaciales et des conditions atmosphériques suffocantes sous un chapiteau réunissant les invités à faire tomber d’apoplexie le moindre convive sujet à de l’hypertension !

Une fusée correspondant à une énième étape et non à un aboutissement de ce programme de « conquête spatiale » vers les technologies du futur qu’encouragent l’Agglomération de l’Auxerrois et son président, le maire d’Auxerre, Crescent MARAULT. Depuis quatre ans, en effet, Auxerre a porté un incubateur de start-up baptisé « AuxR_Lab » et s’est rapproché en y adhérant du réseau national de l’innovation, RETIS.

Avec ce complexe installé dans l’un des bâtiments accueillant autrefois les vestiaires de l’ancienne usine GUILLET, la ville principale de l’Yonne veut proposer une offre de service à celles et ceux qui désirent innover, créer un prototype, voire compléter une formation dans la modélisation de leurs futurs produits. Bienvenu dans le futur ultra moderniste et le XXIème siècle, le vrai !

 

La gouvernance économique au lieu de la gouvernance politique

 

L’endroit est fait de partages, d’échanges, de discussions. Grâce à son espace de coworking, accueillant des appareillages de dernier cri ; ils permettent la modélisation, le prototypage, l’effervescence des idées. Du pur bonheur pour les dirigeants de start-ups !

« C’est la genèse d’une dynamique entre les co-financeurs du projet, c’est-à-dire l’Etat, la Région, l’Agglo et la Ville, constate Crescent MARAULT, qui a opté pour un petit point presse informel afin de faire part de son ressenti après la cérémonie inaugurale, et les acteurs économiques du territoire, la WACANO, la CCI, l’AER, etc. En l’espace de trois ans, on a réussi à mettre en place une démarche technopolitaine à travers un incubateur (AuxR_Lab) et un Fab-lab (AuxR_Factory) et on va continuer à travailler selon différents piliers comme la formation professionnelle, l’industrialisation de ces start-ups à travers ses zones d’activité, un parcours de résidentialisation avec la pépinière de la Chambre de Commerce et d’Industrie…Il y a toute une stratégie globale qui s’est mise en place au service de l’économie dans l’Auxerrois. ».

Un projet qui est loin d’être abouti comme le précise l’édile d’Auxerre car d’autres lieux pourraient accueillir à l’avenir des initiatives similaires en faveur de la créativité, de l’économie et de l’emploi.

« Depuis le début du mandat, ajoute-t-il, on applique la stratégie à la gouvernance économique au lieu de la gouvernance politique. On part d’une vision, d’une ambition et ensuite, on établit un état des lieux pour identifier les enjeux et en face de ceux-ci, on y met des plans d’actions. C’est ce qu’on l’a fait sur l’agglomération dans le cas du développement économique… ».

 

 

Ce n’est pas la quantité de start-ups qui prime mais la concrétisation des projets

 

Dans le cas présent, l’ambition est symbolisée par la redynamisation du territoire. Ses enjeux sont imputables aux effets du réchauffement climatique, sur la baisse constante de la démographie et la raréfaction des ressources, voire la souveraineté de celles-ci. Ainsi est née la stratégie de développement économique en lien avec l’innovation afin de repenser l’économie de demain.

« L’innovation, c’est le relais de croissance de l’économie auxerroise, analyse Crescent MARAULT face caméras et appareils photos, par exemple, l’hydrogène est une des technologies issue du travail de start-ups et si l’on veut amener de nouvelles technologies, il faut investir sur les start-ups. Elles nous donneront les nouvelles filières sur lesquelles investir dans l’Auxerrois ».

Environ 1,5 million d’euros ont été nécessaires à la réhabilitation du bâtiment de près de 500 mètres carrés accueillant le concept technologique haut de gamme, et l’apport d’équipements, comprenant un large parc de machines à commande numérique, d’une communauté et d’un manager de qualité, en la personne de Sylvain HENO, un jeune ingénieur au top arrivé fraîchement de Bretagne. Un investissement ambitieux mais nécessaire pour l’élu auxerrois, « une brique qui s’apparente au tout début de l’entreprise ».

« On est au stade de l’idée, observe-t-il, il faut l’amener au stade de l’industrialisation. Ces outils, Lab et Factory, accompagneront toute la vie de l’entreprise… ».

En outre, ce n’est pas le nombre de start-ups se reconnaissant dans ce nouveau concept icaunais qui intéresse au fond Crescent MARAULT.

« La finalité, c’est la concrétisation des projets portés par cette démarche, assure-t-il, l’objectif est que les entrepreneurs s’approprient l’outil et développent derrière une vraie stratégie de prototypes, de développement des processus, pour améliorer leur compétitivité. ».

 

 

Détecter les métiers du futur et anticiper sur les emplois de demain

 

Faisant référence à la ville de Mayenne, Laval – et pas sous l’angle footballistique, évidemment ! -, Crescent MARAULT compare les similitudes existantes entre les deux cités de moins de 50 000 habitants.

« La municipalité a commencé sa démarche technopolitaine depuis plus de vingt ans, et aujourd’hui, a minima trois start-ups incubées sur cinq concrétisent un projet économique en entreprise et une sur deux dans le territoire ! Mais, Laval n’a pas su anticiper la récurrente problématique du foncier pour accueillir ces entreprises. Ce qui devient de plus en plus compliqué avec les nouvelles législations (on pense immanquablement au ZAN, Zéro Artificialisation Nette)... ».

L’Agglo de l’Auxerrois souhaite régénérer son territoire via le développement économique en s’appuyant sur les filières du futur à fortes valeurs ajoutées, pérennes de surcroît. Quant à la complémentarité de l’ensemble des morceaux du puzzle – les fameux étages de la fusée à la conquête de l’innovation ! – elle est évidente entre « AuxR_Lab » et « AuxR_Factory ». Cela ne fait aucun doute pour Crescent MARAULT !

« Avec ces deux structures, on est dans l’accompagnement, le parcours du stade projet au stade de l’industrialisation ; c’est pourquoi nous avons choisi la CCI de l’Yonne comme partenaire pour animer cette démarche technopolitaine. D’une idée, et en l’accompagnant, cela peut devenir une start-up, avant de prototyper et d’industrialiser dans l’une de nos zones d’activité… ».

Le volet formation n’a pas été occulté de cette stratégie finement ciselée (autant qu’un laser découpant un morceau de métal). Le travail sur les filières de demain est déjà dans les tuyaux des équipes dédiées sur le développement du concept.

« On pourra ainsi détecter les métiers du futur, ajoute le maire d’Auxerre, ce sont des compétences qui n’existent pas encore mais cela va nous permettre de favoriser l’émergence des formations sur le territoire… ».

Une stratégie déjà payante dans la filière de l’hydrogène avec des formations (bac, BTS et maîtrise). Ou dans la valorisation des déchets avec la création d’une maîtrise. Afin de permettre, en bout de course, aux entreprises du territoire de disposer de leurs futures compétences dont elles auront besoin à l’embauche.    

Derrière ce site, on l’aura compris, il existe une kyrielle de symboles. Notamment entre l’histoire du lieu et cette fameuse usine GUILLET et le futur de l’endroit, désormais orienté vers les technologies de l’innovation.

Une logique toute naturelle, en somme, dans ce quartier du Batardeau qui a toujours été au cœur de l’innovation…

 

Thierry BRET

 

 


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Le travail proposé lors de plusieurs séances publiques a su privilégier la cohésion sociale et l’envie de créer. Une addition de bonne volonté et d’imaginaire que l’Espace culturel local, celui de la commune de GURGY, a su mettre à profit en se l’appropriant. L’artiste Romain HURDEQUINT a pu apprécier les contacts directs avec les villageois durant sa résidence…riche d’expériences…

 

GURGY : Participer. N’est-ce pas l’adage usuel, attribué à Pierre de COUBERTIN lorsqu’il a su ressusciter les Jeux Olympiques oubliés durant des siècles à la fin du XIXème en les modernisant à Athènes ? Oui, évidemment ! Eh, bien cette envie « participative » a eu grâce aux yeux de l’artiste français Romain HURDEQUINT, actuellement en résidence spécifique dans la localité proche d’Auxerre, qui en a fait l’une de ses priorités lors de la conception d’une œuvre collective. Une fresque toute à la gloire de ces antiques sportifs d’une autre époque, des Athéniens qui concourraient peut-être du côté d’Olympie face aux Spartes et aux Corinthiens !

Une œuvre terminée ou presque, à quelques points de détails près, que les enfants de la bourgade, parfois sous le regard attendri de leurs parents, ont réalisé avec la complicité bienveillante de l’artiste, spécialisé dans l’embellissement des skate-boards ! Une belle initiative, en somme qui sera expliquée vendredi 26 avril aux alentours de 18 heures lors de la restitution de cette résidence, profitable à la vie culturelle locale…

 

Thierry BRET

 


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On le savait au préalable depuis la pose de la première pierre (copieusement arrosée !), le projet « OCTOPUS » porté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne est ambitieux. Déjà dans l’appellation, en référence à la pieuvre (terme en anglais) et ses nombreux tentacules ! Ils sont le symbole de la connaissance et de la transmission du savoir, dans le cas présent. Un chantier en effervescence qui avance à son rythme et que quelques élus de la chambre consulaire ont pu visiter, histoire de faire travailler leur imaginaire…

 

AUXERRE : Admiratif sur l’avancée du chantier, le patron des FESTINS, Didier CHAPUIS, n’en manque pas une miette ! Il écoute avec beaucoup d’intérêt les explications abondantes fournies par le directeur de la CCI Yonne, Jérôme MAYEL, jouant pour le temps de la visite les conducteurs de travaux ! A ses côtés, son président plus disert mais très observateur, Thierry CADEVILLE. Intérieurement, il se félicite de la tournure des évènements, cela se sent.

 

Une desserte pour la ligne de bus

 

Coiffé de son casque jaune, le nouveau responsable de la CPME, Didier BARJOT plaisante avec l’entrepreneur Georges CARLIERE sur lequel de ce deux téméraires osera gravir les marches un peu abruptes de l’échafaudage afin de jouir de la très belle vue surplombant l’ensemble depuis le deuxième étage de l’un des édifices en construction. Et pourquoi pas le journaliste ?, dit-il un brin amusé ! Non merci, le plancher des vaches correspond mieux à mes appétences…

Pendant ce temps-là, le petit groupe où Ghislaine MOREAU, présidente de la FNAIM 89 et Tessa CHARVET, l’une des encadrantes de  la CCI départementale ferment la marche, progresse à hauteur de la future entrée de cette pépinière d’entreprises newlook devant être livrée si tout ce se passe bien, en novembre 2024.

Jérôme MAYEL apporte des précisions utiles : « les véhicules arriveront vers la station hydrogène et auront la possibilité de stationner ici – il désigne un espace dédié -, ensuite, ce flux circulera de l’autre côté de la pépinière. Mais, on se garde encore la  possibilité de changer… ».

 

 

1 800 mètres carrés de bâti réservés à la formation…

 

Cerise sur le gâteau pour celles et ceux des entrepreneurs, salariés et étudiants qui fréquenteront à l’avenir ce nouvel endroit baptisé « OCTOPUS », ils bénéficieront d’un arrêt pour les bus, selon le nouveau schéma de circulation qui sera proposée par la Ville et l’Agglo dès la rentrée. Idéal pour se rendre au travail ou en cours sans avoir la contrainte de l’automobile à gérer ! Une ligne qui effectuera le trajet pépinière/gare, quartier de Vaulabelle et des Clairions.

C’est en 2022, et ce dans le cadre du plan de mandature 2022/2026 que les élus de la CCI Yonne ont validé la réhabilitation de la pépinière d’entreprises auxerroise. Une stratégie déclinable en différentes partitions dont l’une se rapporte au vétuste bâtiment B02 totalement réaménagé.

C’est précisément en son sein que Jérôme MAYEL emmène le petit groupe ensuite.

« C’est là que seront accueillis dorénavant les étudiants fréquentant le centre de formation, souligne-t-il, la surface totale est de 1 800 mètres carrés… ».

 

 

 

Un projet d’environ 5 millions d’euros d’investissement

 

Visite imaginaire des lieux : à droite, le bloc sanitaire et espaces techniques ; à gauche, la partie espace d’accueil avec trois salles dont une servant de réception devant mesurer 90 mètres carrés. Pour l’heure, il n’y a que du vide ou presque autour des visiteurs qui remarquent aussi le curieux filet sur les charpentes afin de protéger la dalle de béton au sol. A contrario, il n’y aura pas d’amphithéâtre. Sachant que la salle de réception sera modulable et accueillera du matériel roulant pour en faciliter son aménagement. Au total, une petite dizaine de salles seront opérationnelles pour y suivre les cours. Au coup d’œil, on se sent déjà transporter dans ce qui sera  un environnement de travail attractif et novateur, qui intégrera évidemment les ultimes outils et méthodes technologiques.

Sacré chantier que celui-là, d’ailleurs ! Un coût total de 4 millions d’euros dont 1,4 million de subventions qui émanent de l’Etat avec le fonds friches et du Département. Auquel il faut ajouter les aménagements extérieurs. Soit in fine 5 millions d’euros d’investissement. La Région se positionnant sur la partie pépinière et formation.

 

Thierry BRET

 

 


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Etrange équipage que celui-là ! Vu et aperçu, récemment, lors du novateur Forum des Métiers en uniforme, accueilli sur l’une des grandes places auxerroises, une aire de stationnement ordinairement utilisée par les aficionados de football et transformée ce jour-là en un vaste espace démonstratif militaire afin de promouvoir la noria de métiers qui peuvent intéresser les plus jeunes dans les corps d’armées…

 

AUXERRE: Parmi la kyrielle de personnalités en uniformes galonnés et autres VIP institutionnels présents ce jour-là sur la manifestation vantant les mérites de la carrière militaire (« engagez-vous, rengagez-vous qu’ils disaient ! ») symbolisée par ce premier forum accueilli à Auxerre, une silhouette nettement plus féminine grâce son élégance sortait du lot. Elle était accompagnée d’un compagnon à quatre pattes, au particularisme canin évident et reconnaissable.

C’était un chow-chow à l’allure altière, une jeune « fille » au poil bien fournie et aux pattes presque de velours dans sa discrétion. Prénommée « Ume », la bête escortait donc la « Belle » !

Qui n’était autre que la conseillère municipale de l’opposition auxerroise, Farah ZIANI, cible préférée des réseaux sociaux ! Rare, dans les mondanités et autres soirées « pince-fesse » où s’entrechoquent les coupes de crémant et les verres de chablis !

 

 

Mais, que faisait-elle là, assortie de son amie canin aux…origines chinoises ?!  Loyal, indépendant, silencieux : telles sont les caractéristiques du chow-chow, curieuse boule de poil importée de l’Empire du Milieu au début du XIXème siècle, via l’Angleterre. Une race de chien qui peut se montrer distante, effacée et…très curieuse. Un chien aux origines chinoises, isolé au beau milieu de militaires français de haut rang présentant du matériel et des plans de carrière pour les futures recrues ?

Pas de doute ! Et compte tenu du contexte géopolitique actuel et du complotisme ambiant, la corrélation s’avérait évidente à nos esprits : Farah ZIANI s’est bel et bien reconvertie à ses moments perdus dans l’espionnage militaire, telle une troublante « Mata-Hari » à la solde de la puissance asiatique !

Que les réseaux sociaux et les férus de « fake news » fassent leurs besognes coutumières et relaient abondamment l’information !

 

Thierry BRET

 

 


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