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C’est une nouvelle ligne à ajouter sur la carte de visite. Ou plus exactement parmi les nombreuses attributions exercées par le réseau régional du conseil et de l’expertise comptable. D’ailleurs, si le concept n’existait pas, il aurait fallu l’inventer tôt ou tard ! A l’instar de ce qui se pratique déjà dans d’autres contrées de l’Hexagone. Après les présentations de FERMOSCOPIE – vision globale et analytique très poussée du monde de l’agriculture -, CERFRANCE BFC vient de dévoiler les dessous de son nouvel outil informatif et très éclairant, VITISCOPIE, une somme d’éléments de référence permettant de mieux appréhender la filière de la viticulture en Bourgogne Franche-Comté.

 

VERMENTON : Le concept semble déjà bien rodé. Testé il y a quelques jours à Beaune avec un focus très détaillé sur l’activité viticole de la Côte d’Or, que l’on ne présente plus !, CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté a décidé de remettre le couvert, ce mercredi, invitant les professionnels de la viticulture et les spécialistes des chiffres en mode comptabilité à s’interroger davantage sur ce qui préoccupe la corporation. Un secteur d’activités qui aura connu comme tant d’autres les affres de l’après COVID, les soubresauts de la géopolitique internationale, sans omettre la crise inflationniste et la récurrente problématique du recrutement !

C’est sous les voûtes séculaires de la magnifique abbaye de REIGNY, haut lieu patrimonial et historique réhabilité par le couple Béatrice et Louis-Marie MAUVAIS, ayant accueilli jadis des moines cisterciens, que CERFRANCE BFC avait choisi de se poser, en proposant un évènementiel constructif de plus de deux heures, entremêlés de présentations et d’échanges interactifs.

 

Un souvenir à Jacques CHANCEL ?

 

Nom de code de ce concept porté pour la première fois dans l’Yonne sur les fonts baptismaux : VITISCOPIE ! Une appellation issue de la même veine que les fameuses sessions didactiques offrant une orientation globale de l’univers agricole, FERMOSCOPIE que le réseau d’esthètes es comptabilité et expertise décline déjà dans le landerneau régional depuis plusieurs années. Serait-ce d’ailleurs un petit clin d’œil au regretté homme de lettres et de média, Jacques CHANCEL, qui nous régalait antan sur les ondes hertziennes (celles de France Inter) avec sa célèbre émission culturelle, « RADIOSCOPIE » ?

Là ne fut pas la question posée au directeur général de CERFRANCE BFC, Thomas LEMAITRE, qui expliqua les contours de ce rendez-vous bien physique celui-ci dans l’une des salles de réception de la magnifique abbaye.

« Avec cette animation, devait-il souligner, CERFRANCE BFC propose une analyse fine et détaillée du monde de la viticulture. On est reparti sur des données comparatives qui remontent à 2015 pour étayer nos débats. L’objectif étant d’amener une sorte de projection sur les années à venir… ».

 

Inscrire le concept dans le temps avec des analyses fines…

 

Parmi les interrogations incontournables du public : le positionnement actuel de la filière viticole face aux marchés, mais face aussi aux autres vignobles de l’Hexagone, sachant que la viticulture bourguignonne se distingue des autres régions viticoles françaises, avec des cours qui se tiennent, voire en forte progression et des volumes qui se vendent.

« On rentre dans une seconde récolte pleine, ajoute le directeur général de CERFRANCE BFC, mais il y aussi un autre sujet qui sera creusé via notre intervenant Olivier BAS - ancien vice-président du groupe HAVAS, auteur et enseignant à la Sorbonne spécialisé sur les changements qui impactent le monde du travail - sur l’envie, facteur d’attractivité et de fidélisation des jeunes générations… ».

On l’aura compris, l’autre intérêt de cette manifestation aura été de faire un focus précis et de s’appesantir sur les problématiques de recrutement dans la filière. Notamment les ouvriers viticoles qui font défaut dans les domaines. Un véritable paradoxe en fait ! Le secteur de la viticulture a de forts besoins de recrues nouvelles et permanentes.

Un concept VITISCOPIE qui tombe à pic, c’est certain. « Un concept essentiel, insistera Thomas LEMAITRE, l’idée est d’inscrire dans le paysage un focus viticole annuel sur nos deux secteurs majeurs que sont la Côte de Beaune et le secteur de Chablis/Auxerre. Cela va nous permettre d’apporter une expertise plus fine... ».

S’il n’existait pas, il aurait fallu le créer, avons-nous dit !

 

Thierry BRET

 


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En soi, c’est de la logique pure. Narrer l’histoire de la Gaule en version grandeur nature avec reconstitutions, conférences et expositions à l’appui, au temps où les Romains la convoitaient, en y ajoutant l’élément olympique, né de la Grèce antique, s’imbrique légitimement comme une pièce d’un immense puzzle, devant prendre forme cette saison du côté d’Alise Sainte-Reine. Pour son dixième anniversaire, le site touristique de Côte d’Or (84 000 visiteurs sur la seule année 2023) propose depuis le 10 février une immersion forte dans notre passé. Fascinant et instructif. Un voyage à vivre en famille aux frontières du temps…

 

DIJON (Côte d’Or) : De la pure évidence, en fait ! Le Muséo Parc d’Alésia place sa ligne directrice en matière de rendez-vous émotionnels et de diversités culturelles, cette année, sous le sceau des Jeux Olympiques de Paris ! Ne pas l’envisager eut été une grossière faute de goût ! A l’égard de ce que représente ce formidable évènement sportif universel, aux origines si lointaines et bien avant que la Gaule ne devienne la France !

Alors oui, lors de la conférence de presse, concoctée par les responsables de ce fameux site touristique de Côte d’Or en un lieu si inhabituel et très éloigné de sa base originelle (le gymnase Gilles COMETTI et ses multiples agrès créant une curieuse atmosphère de début d’entraînement au cœur des universités dijonnaises !), que l’invité surprise à cette longue prise de paroles, via différents interlocuteurs, se nomme les Jeux d’été de Paris, s’inscrit dans un cadre ô combien naturel d’échanges et discussions.

L’endroit s’y prête à merveille. Sa vocation initiale d’éduquer, d’informer, de divertir, scolaires et leurs familles, touristes et férus d’histoire, s’en trouve ainsi parfaitement normale. Ainsi, mêler l’histoire de la Gaule à celle des Jeux antiques est une excellente trouvaille. D’ailleurs, Albert UDERZO et René GOSCINNY – les jubilatoires créateurs d’Astérix le Gaulois – se seront permis cette même incursion livresque en revisitant les temps passés, envoyant leur délégation de farouches Gaulois, gavés de potion magique, affronter les meilleurs athlètes du monde hellénistique et de Rome dans de désopilantes aventures, baptisées « Astérix aux Jeux Olympiques ! ».

Alors, pourquoi ne pas réitérer la séquence ludique et pédagogique tout au long de l’année 2024 du côté du Muséo Parc de Côte d’Or ?!

 

 

Même la flamme olympique a prévu de faire une halte !

 

Assis sur plusieurs strates de bancs faisant face à une scène improvisée, les représentants de la presse régionale et spécialisée – le tourisme et la culture possèdent d’innombrables médias la plupart exerçant à Paris ou en Ile-de-France – ne se sont donc pas privés de venir assister à ce show de présentation d’une part du dixième anniversaire du concept muséographique, qui attire au bas mot plus de 12 000 scolaires à l’année et d’autre part de se délecter à l’annonce de l’alléchante programmation concoctée par les équipes de l’heureux directeur général du site, Laurent BOURDEREAU. Car, ce qui est proposé à partir de maintenant – cocorico, le site a ouvert officiellement ses portes depuis le 10 février – jusqu’au mois de novembre, est infiniment enthousiasmant ! Du lourd, du très lourd, nous gratifierait un Fabrice LUCHINI au meilleur de sa verve !

Combats d’athlètes antiques pratiquant la lutte et le pancrace, incitation à la découverte sportive à vivre en famille, animation trampoline pour prendre de la hauteur au-dessus du site, exposition « O Sport, des jeux pour des dieux », parcours de danse, vacances sportives et créatives, promenade parmi l’installation sonore immersive baptisée « Forêt Olymphonique », concerts et conférences, thématiques autour de la Grèce et des Jeux antiques… : rien ne manque à ce copieux menu qui sera ponctué du passage de la flamme olympique (la vraie, cette fois, mais de l’époque des Jeux modernes !), un évènement à vivre le 12 juillet !

 

 

La fierté de François SAUVADET d’être le premier partenaire du site

 

Si les journalistes n’en perdaient pas une miette, grattant des norias de notes sur leurs calepins pendant que d’autres faisaient crépiter les flashes de leurs appareils photographiques immortalisant les orateurs, il en était de même pour les représentants de la classe politique.

Au premier rang duquel François SAUVADET, président du Conseil départemental de la Côte d’Or, saluant l’éclatant coup de projecteur apporté par le passage de la flamme au Muséo Parc d’Alésia. Un président de département fier (et de le rappeler séance tenante devant l’auditoire) d’être le premier partenaire de ce lieu culturel émérite dont le succès au fil de cette décennie n’est plus à démontrer, attirant chaque année davantage de visiteurs, qui n’hésitent pas à parcourir des kilomètres afin de profiter des expositions, conférences et animations interactives et pédagogiques qui enchantent petits et grands.

« Nouvelle saison, nouvel élan ! » titrait l’esthétique dossier de presse du musée. Elle vient de débuter et on a hâte de s’y plonger au gré des évènements !

 

 

En savoir plus :

 

Pour retrouver toutes les informations et la programmation 2024, consulter le site alesia.com

 

Thierry BRET

 

 


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Rêver d’un métier, c’est bien ; dénicher le métier de ses rêves, c’est mieux. Pour sa seconde édition, le Salon de l’étudiant a fait le plein à Auxerrexpo, proposant à un public de collégiens et lycéens, mais aussi de jeunes en reconversion, de découvrir tout un panel de cursus de formation souvent insoupçonnés, pour beaucoup présents dans le département ou sur le territoire bourguignon.

 

AUXERRE : Que l’on soit en quête d’études longues post-Bac ou de formations en alternance, trouver un métier n’est pas toujours chose aisée pour des jeunes en mal d’avenir. La tâche s’apparente le plus souvent à un parcours du combattant. Le salon de l’étudiant qui s’est tenu deux jours durant à Auxerrexpo, aura pour beaucoup permis d’entrevoir des pistes, voire de se forger des projets, au travers de la soixantaine d’organismes présents. Pilote de chasse, hôtellerie restauration, développeur informatique, ébéniste d’art, métiers de l’industrie ou de la santé… Un inventaire que n’aurait pas renié le regretté Jacques PREVERT, témoin de la quantité de formations proposées et des débouchés possibles dès lors que naît une passion.

 

Sortir de sa zone de confort et intégrer un métier où il y a de l’éthique

 

Comme souvent avec ce type d’évènements, il y avait foule sur le pôle sécurité, englobant à la fois les stands de l’armée, de la police ou des pompiers Un engouement dû en partie au prestige de l’uniforme, reconnait Fendi, pompier professionnel depuis six ans, mais pas seulement : « c’est aussi lié au désir de se sortir de sa zone de confort, d’intégrer un métier avec des mots clé parlant à tout le monde, comme cohésion, éthique, secours aux personnes… ».

A deux pas de là, Arnaud et Louise échangent depuis une dizaine de minutes. Le premier est chargé de recrutement à l’échelle de la Bourgogne Franche-Comté au sein de la police nationale, après plus de vingt ans en qualité d’enquêteur ; la seconde est une jeune adolescente accompagnée de sa maman, qui cherche à tracer sa route au milieu de la « jungle » des formations possibles.

« C’est un métier difficile, exigeant, où l’on ne compte pas ses heures, même si elles seront récupérées. On a affaire à la mort, au pire de l’humanité parfois. Un monde où l’on peut le matin escorter un Président de la République, et le soir venu, aller ramasser « Gérard », clochard complètement désociabilisé, alcoolique, qui va nous gueuler dessus et vomir dans la voiture… ».

Par-delà le discours « trash » d’Arnaud, la passion d’un métier et la volonté de convaincre un jeune que tout est possible dès lors que la volonté est présente. Louise semble convaincue, mais avec quelques doutes en bandoulière : « je ne suis pas certaine de pouvoir passer les épreuves physiques de sélection, mais je vais m’accrocher… ».

 

 

Le bâtiment, la voie rapide à l’entrepreneuriat

 

Difficile pour la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne de rivaliser avec l’aura de l’uniforme ! Pour son président, Jean-Pierre RICHARD, l’important est bien d’être présent : « nous sommes au début du commencement de la remontée ! Les gens prennent enfin conscience que parfois, plus on est diplômé, plus ça fait mal quand on est au chômage… ».

Si le bâtiment peine encore à recruter, ses atouts sont multiples, à commencer par une rémunération de ses apprentis supérieure de 25 % aux autres filières, souligne fièrement celui qui est également président de la CAPEB : « il est à noter aussi que c’est, je pense, la voie la plus rapide pour accéder au statut de patron… ».

Un univers de plus en plus technique, où les anciens d’un niveau CAP sont en train de prendre leur retraite, remplacés très souvent par des personnes en reconversion après de longues études et une ébauche de carrière avortée : « avec en poche un BTS économie ou gestion, augmentant d’autant le niveau des futurs artisans… ».  

 

Des métiers en tension faute de ressources

 

Même déficit de notoriété pour les métiers de l’industrie et de la métallurgie, reconnaît Edita KOZAR, en charge du développement de la formation initiale au pôle formation d’Auxerre : « sur un salon de ce type, l’on s’aperçoit que la plupart des visiteurs n’imaginent même pas le champ des formations proposées, allant du CAP au Master en passant par BAC et BTS. Chaque année, nous accueillons plus de 600 jeunes apprentis, avec un taux de réussite aux examens de 92 % et une entrée dans la vie active pour 86 % d’entre eux après leur diplôme… ».

Reste à savoir si la ligne virtuelle d’usinage couplée à une batterie d’écrans de contrôle présentée à bord d’une semi-remorque sillonnant toute la Bourgogne et les arguments avancés feront naître de nouvelles vocations. Il y a urgence et le secteur recrute à tour de bras : « nos entreprises ont besoin de compétences et aujourd’hui, beaucoup de métiers sont en tension faute de ressources… ».

C’est en famille que Théo VILLAIN, croisé sur le stand de l’armée de l’air, est venu se renseigner pour faire de son rêve une réalité : devenir un jour pilote de chasse. Pas plus perturbé que cela, d’avoir un jour à quitter la maison familiale au sortir de la seconde pour intégrer une école militaire à Saintes. Elève de 1ère en Sciences et Technologies de l’Agronomie et du Vivant, son frère Lucas est également en quête de renseignements : « je cherche surtout des études courtes et professionnelles après le Bac, ingénieur, ça ne me plaît pas trop. Je préfère le BTS et vise le machinisme agricole… ».

Bonne pioche ! Le secteur est lui aussi en mal de recrutement et embauche à tour de bras. Gaelle, aujourd’hui en 4e, attendra un peu pour se positionner. « Il y a moins urgence », explique Yannick, leur père, tout en soulignant le bien fondé d’un salon de ce type : « ici, nous sommes dans le concret, avec la possibilité de rencontrer un maximum de personnes et l’avantage d’avoir plusieurs établissements sur un même site, cela évite d’avoir à multiplier les journées Portes Ouvertes…».

 

 

Des études supérieures dans l’Yonne ? Oui, c’est possible !

 

« Mes études supérieures dans l’Yonne »… Un slogan affiché fièrement sur le stand de la CCI ne pouvant qu’interpeller positivement des parents en mal de logement, pour leur progéniture tentée de poursuivre leur cursus en dehors du territoire. Il y a longtemps que la chambre consulaire propose au registre de ses formations, un BTS commercial en alternance, Hervé AUBERGER, directeur du pôle Emploi Formation se souvient : « plus de quinze ans que l’on a une école de commerce sur Sens. On nous a pris pour des fous à l’époque, personne n’y croyait, considérant que les études supérieures ne pouvaient se faire qu’à Paris ou Dijon mais surtout pas dans l’Yonne… ».

Une « évasion » préjudiciable aux entreprises du département : « il est important de lutter contre cela, car notre territoire a besoin de garder ses jeunes ressources et ses jeunes talents et notre département a de vrais atouts pour développer l’enseignement supérieur, notamment la qualité de vie… ».

Même tonalité dans le discours de François-Xavier WILLIG, chef d’établissement du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle, qui ouvrira prochainement un bachelor « Responsable de Zone Import-Export », point d’orgue de la formation BTS commerce international initialement proposée : « on passera ainsi à BAC + 3 et cela fait partie de ce que recherchent nos étudiants. Nous sommes d’ailleurs en train de travailler pour élargir la zone et imaginer que des jeunes de Dijon ou Paris viennent pour cela jusque chez nous. Il n’y a pas de raison que cela soit toujours dans le même sens… ».

Beau pied de nez à une idée préconçue, sous-entendant jusqu’alors que sans passage par la capitale ou la cité des Ducs de Bourgogne, point de salut !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Il se dit têtu et engagé. Fidèle et loyal vis-à-vis des autres, aussi. Exigeant envers lui-même, dévoué et rigoureux, le natif de la vierge qu’est Ludovic DAME sait qu’il endosse une vêture adaptable à ses ambitions professionnelles. Pourtant, le challenge n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Car succéder à l’inamovible Jacques BLANCHOT, seize années à la tête de la direction des établissements départementaux de GROUPAMA PVL dans l’Yonne mais également en Seine-et-Marne, s’apparente presque à un pari des plus fous !

 

AUXERRE : Dans la vie, il a deux passions ce fringuant jeune homme de 46 ans ! Il le dit lui-même en empruntant une célèbre expression méridionale : « je suis fada du numérique ! ». Pourtant, que je sache, Biarritz où il a donné son premier souffle d’existence au monde ne se situe pas vraiment près de la Canebière ! Mais, c’est ainsi. Le garçon aime le soleil et la chaleur, de celle qui rayonne visiblement dans son âme quand il parle de lui. Il se livre avec sincérité.

Ludovic DAME (damé) avec un accent aigue sur le « e » au titre de la prononciation, a poussé le luxe, à son domicile, de s’installer une table basse connectée dans son salon ! « J’ai toujours été dingue de ces nouvelles technologies, précise-t-il le regard presque émerveillé dans les yeux. Les tablettes, les Go Pro, les drones, je le vis avec un réel enthousiasme…». On dirait un grand gamin !

L’autre versant de sa personnalité se rapporte à la chose automobile. Le nouveau patron de GROUPAMA dans l’Yonne et la Seine-et-Marne aime les sports mécaniques. Tant mieux ! Car, l’assureur mutualiste possède parmi ses innombrables activités la gestion du centre de sécurité, CENTAURE, situé en lisière de la Francilienne en Seine-et-Marne où régulièrement néophytes de la conduite automobile et férus de sensations fortes s’y retrouvent avec plaisir pour y parfaire les techniques de la maîtrise de leur véhicule. Via des obstacles et des exercices appropriés.

 

Tomber dans la potion magique de l’assurance mutualiste

 

Le numérique et l’automobile. Curieuses martingales pour ce natif de la vierge, un signe plutôt calme et éthéré d’ordinaire ! Oui, mais ce sont là les archétypes même d’un responsable entrepreneurial dans le vent qui se doit de gérer de façon optimale la destinée de deux caisses départementales de GROUPAMA, celle de l’Yonne et de la Seine-et-Marne.

Perfectionniste jusqu’au bout des ongles, volontaire, Ludovic DAME est aussi un humaniste convaincu. « Toutes les causes soutenues par mon groupe assurantiel me conviennent parfaitement, commente-t-il, je pense aux enfants malades avec l’association des Petits Princes, mais aussi à la déclinaison de ce programme hexagonal de former plus d’un million de nos concitoyens aux gestes qui sauvent via le concours de secouristes ou de représentants des forces de l’ordre… ».

En la matière, GROUPAMA n’est pas en reste avec ses opérations « Dix de Conduite », la prévention aux cyber-attaques et à la sécurité destinée aux seniors, le rayonnement par la cohésion sociale via les valeurs du sport. Le soutien à l’éducation, aussi, en encourageant les jeunes à suivre le BTS assurance et son enseignement, distillés à Toucy ou à Troyes.

Lui, Ludovic, il est tombé dans cette potion magique du mutualisme et de la solidarité, il y a 24 ans de cela. Pourtant, il a longtemps hésité avant de devenir professeur d’espagnol, ayant effectué ses primes études à l’Université de lettres de Dijon. Mais, la langue de PICASSO et de CERVANTES ne l’ont pas plus inspiré que cela, au bout du compte ! C’est dans le domaine commercial que notre homme s’engage au tout début des années 2000, signant un premier contrat chez GROUPAMA. L’affectation lui plaît : ce sera la vitrine commerciale d’Avallon !

« Cela m’a plu, concède-t-il, je suis devenu chargé clientèle agricole durant six années de mon existence… ».

 

Etre sensible aux valeurs humaines…

 

Le garçon a de l’envie. Il fait ses gammes en apprenant tout ce qui est bon à prendre. La production, le terrain, les sinistres, ses premiers pas en qualité de coordonnateur, avant de devenir manager ! Avec un terrain de prédilection qui lui est cher et qui lui va comme un gant : le secteur automobile ! Un département où le nombre de sinistres annuels dépasse allègrement les 60 000 dossiers ! En sus, Ludovic DAME est cornaqué par Maître Jacques BLANCHOT qui a repéré en lui de véritables atouts de leader et de décisionnaire. Cela va le placer sur orbite. En 2021 où il s’installe à Amiens, la belle ville de la Somme réputée pour sa majestueuse cathédrale gothique et de manière anecdotique par les macarons de la famille de… Brigitte MACRON ! Il y reste deux ans avant d’effectuer son come-back par la grande porte en 2023…

Le 01er octobre, il assume la succession de Jacques BLANCHOT, méritant retraité aux multiples occupations, à la tête de vingt-trois caisses locales réparties sur les deux départements, la Seine-et-Marne et l’Yonne.

« Mon credo, c’est d’apporter de la qualité dans la relation client, souligne-t-il, sans oublier d’augmenter le sociétariat au sein du groupe mutualiste… ».

Une feuille de route qui s’appuie sur une solide force de frappe, comprenant 120 technico-commerciaux.

Quelle griffe va-t-il apporter dans sa gestion au quotidien de la fonction managériale ?

« J’ai une vision macro et micro économique, souffle-t-il, je suis très proche de mes équipes. Je suis sensible aux valeurs humaines. Je serai un directeur de nouvelle génération… ».

Avancer ensemble, créer de la valorisation : autant de mots qu’il emploie pour indiquer le cap à ses collaborateurs. Une équipe qui le lui rend bien et qui se sent comme du temps de Jacques BLANCHOT en parfaite osmose avec leur capitaine de jeu.

Ludovic DAME ? Un nom à ajouter à son carnet d’adresse pour les décideurs de l’économie et les partenaires institutionnels. C’est sûr : ce garçon fera parler de lui dans les mois à venir, lui qui incarne les valeurs de cette entreprise assurantielle, vouée à s’ancrer davantage encore sur le territoire…

 

Thierry BRET

 

 


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Tradition quand tu nous tiens ! Mais, celle-là se veut noble et emplie d’agréables souvenirs. Fleurant bon le terroir et le vignoble. L’esprit de ces fêtes d’antan ravive les cœurs au détour de ces villages, posés çà et là sur les collines. Ici à Jussy, on a vécu la fameuse fête du saint patron de la vigne avec simplicité et sérénité. Comme si le temps s’était arrêté là, suspendu, et loin de ce monde fou et turbulent…

 

Lundi 

A quelques mois des élections européennes, « y’avait l’feu dans les cours de fermes » et le pompier ATTAL s’en est pas mal sorti, perdant toutefois en chemin un peu de son « âme écologique » si tant est qu’il en ait une… Par-delà les mesures « de bon sens » annoncées dans une ferme de Haute-Garonne, restera une image de « Premier ministre aux champs », sans doute concoctée avec soin par ses conseillers, saucissonnant avec entrain, un verre de rouge à la main, dans son costume d’énarque, devant une assistance sous le charme, avec en toile de fond une stabule. Quelle bonne idée, cette botte de paille improvisée en bureau de campagne pour y déposer ses fiches ! Déjà que l’on soupçonnait l’ancien porte-parole de l’Elysée d’être devenu le porte-voix d’Emmanuel MACRON, le voici d’un coup revêtu du costume « d’homme de paille » !

 

Mardi 

Rachida DATI est rattrapée par la « diplomatie du caviar ». Celle qui fut un temps, vice-présidente de l’association des « Amis de l’Azerbaïdjan », est critiquée depuis longtemps déjà, pour sa proximité avec le pouvoir dictatorial d’Ilham ALIYEV, omettant au passage de déclarer au Parlement européen, comme la loi l’y oblige, plusieurs voyages dans le pays en qualité d’invitée. Pour avoir croisé un jour d’octobre 2012 dans un palace de Bakou, la maire du 7ème arrondissement de Paris semblait bien y avoir son rond de serviette… Une présence due sans aucun doute, au seul attrait prémonitoire pour l’art azerbaidjanais et sa figure de proue, le grand poète Saiyid Imad ad Din, préfigurant le poste qu’elle occuperait un jour, rue de Valois, en sa qualité de ministre de la Culture !

 

 

Mercredi

So chic, so cute, so fashion ! Il est désormais possible à Dubaï de prendre son apéro avec de la glace vieille de plusieurs dizaines de milliers d’années, venue tout droit du…Groenland ! D’une pureté sans égal et la « plus propre de la planète » aux dires de son importateur, la start-up « Arctic Ice ». Peu importe les moyens mis en œuvre pour la faire arriver jusque-là, accentuant d’autant le réchauffement climatique. « Réchauffement »…? Rajoutez moins donc deux glaçons, c’est ma tournée !

 

Jeudi  

Loin des blocages de Rungis et des autoroutes parisiennes, chasse gardée de leurs confrères de la FNSEA, les sympathisants icaunais de la Confédération paysanne, marquée plus à gauche sur l’échiquier agricole, ont fait le choix d’un filtrage de la circulation sur le pont Paul-Bert à Auxerre pour y distribuer des tracts et faire part de positions les différenciant des autres syndicats, que ce soit au sujet des normes environnementales, « n’oublions pas qu’elles sont là avant tout pour protéger les citoyen.nes, les paysan.nes et la biodiversité » ou leur refus de voir les revenus complémentaires issus de la production d’énergie prendre le pas sur le reste, « nous refusons d’abandonner le combat pour un revenu digne issu de notre activité agricole elle-même… ».  Pour autant, était-il nécessaire de ressortir de la grange ce modeste tracteur à l’âge canonique, contre-pied sans doute aux « monstres » de 150 000 euros croisés sur les autoroutes et aux portes de Paris ? A trop forcer le trait, l’on prend le risque de tomber dans la caricature, affaiblissant d’autant le message !

 

 

Vendredi 

C’est le genre d’info qui fait du bien à l’âme et réchauffe les cœurs…Dans son édition de ce jour, « L’Yonne Républicaine » nous apprend qu’un quarteron de militaires du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie d'Auxerre, ont aidé une maman en détresse à mettre au monde son bébé au bord de la route, à quelques kilomètres de la maternité. Des « gamins » d’à peine plus de vingt ans qui par leur geste, nous rappellent qu’il fut une époque où les pandores étaient aussi surnommés « les anges gardiens de la route »…

 

Samedi  

C’est une Saint-Vincent à l’abri du temps, bien loin du faste lié aux vignobles plus « nobles » et plus « prestigieux » des cousins chablisiens… Jussy a fêté son saint patron en une cérémonie empreinte de simplicité mais au registre d’authenticité, souvenir de l’époque où le village vivait directement de la vigne et de cet esprit de solidarité qui cimentait la vie d’alors.

 

 

Dimanche  

Les ruelles sont désertes en ce dimanche matin de février à Vézelay, offrant au visiteur solitaire les clés d’une « Colline éternelle » à lui seul promise… Rue Saint-Pierre, la pente menant à la basilique se fait rude. Quand un panneau ornant la façade d’un hébergement siglé « « Gîte de France », semble éclairer la grisaille dominicale. Quelques mots pour rappeler que notre histoire s’est bâtie en ouvrant nos frontières, contre-pied salutaire à toutes les thèses privilégiant l’identité de « vraie France » ! Avec une pensée émue et nostalgique pour François CAVANNA et son « rital » de père, à tous ceux qui le précédèrent et à tous ceux qui lui succéderont. Vézelay ! Terre de paix, terre de tolérance, terre de lumière… 

 

Dominique BERNERD

 


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