Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le concept s’inscrit dans la politique patrimoniale de DOMANYS. Haute de 25 mètres et large de 15 mètres, l’immense fresque murale à la gloire des sports et des Jeux Olympiques a été inaugurée par François BOUCHER, maire de Migennes et Karine LASCOLS, directrice du bailleur social, la veille du passage du Relais de la Flamme. L’œuvre est signée du collectif « La Douceur » qui est intervenu dans le cadre de PALM, « Peint à la Main ». La nouvelle fierté des habitants de ce quartier populaire de la ville du Centre Yonne…

 

MIGENNES : Les deux personnages se tournent le dos. Des « géants » au coloris bigarré peints sur la surface de l’immeuble. Impressionnante réalisation, haute de vingt-cinq mètres et large de quinze mètres ! La femme – initialement, il était prévu par les artistes de concevoir des têtes d’oiseaux au sommet des corps humains, mais l’idée devait être retoquée fort judicieusement par l’édile de Migennes François BOUCHER  – porte une planche de skate-board et des chaussures de football.

L’autre figure murale, l’homme, serre dans sa main une pagaie. Clin d’œil élégant à la discipline sportive de la seule Icaunaise, devant participer aux Jeux de Paris d’ici quelques jours, la canoéiste Eugénie DORANGE. La touche astucieuse de Karine LASCOLS, directrice de DOMANYS !

Inaugurée la veille du passage du Relais de la Flamme dans la localité, cette fresque géante est le fruit de la collaboration du bailleur social, de la Ville et de PALM. Une structure spécialisée dans la conception de fresques artistiques et décoratives murales. PALM étant d’ailleurs l’acronyme de  « Peint à la Main ». L’œuvre est remarquable et suscite bon nombre de commentaires des personnes présentes à cette cérémonie officielle, présidée par François BOUCHER, vice –président du Conseil départemental et édile des lieux.

 

 

280 mètres carrés de fresque murale sur un  immeuble !

 

Comme travail de mémoire, en l’honneur du Relais de la Flamme, ce n’est pas mal du tout au niveau graphisme. Illustrative, reflet des disciplines sportives olympiques – elles n’y sont pas toutes, certes ! -, la fresque a été conçue sur 280 mètres carrés de façade murale par des artistes, membres du collectif « La Douceur ». Dessinée sur cet immeuble de ce quartier prioritaire de la ville (1 rue Ernest Lavisse), la peinture monumentale a aussi pour vocation d’embellir le lieu. A la grande satisfaction des habitants du quartier, questionnés à l’issue de la cérémonie.

« Ce projet a pour but d’envoyer une image gaie et colorée de ce quartier, explique le maire de Migennes, François BOUCHER, d’ailleurs, il faudra penser à réaliser le jumeau de cet immeuble… ».

Une manière agréable et visuelle pour que le quartier populaire soit moins fade au plan de l’esthétisme architectural. Naturellement, les services de la Ville furent à l’ouvrage autour de ce projet, dont Aurélie HAERINCK  - « la cheville incontournable de la politique qualité de vie dans la ville » -  qui a réussi à mettre tous les partenaires de cette opération artistique originale en harmonie, malgré les délais impartis et la date butoir du 11 juillet, date du passage de la flamme olympique dans l’Yonne.

Quant à la population, elle aura été consultée en amont afin de donner son choix sur les palettes de couleurs utilisées par les artistes. Ces derniers se sont rencontrés en 2017. SILAS et LEMILO – ils créent alors le collectif « La Douceur » - travaillent sur l’aménagement et le design d’espaces par le biais de différents médiums. Créant des fresques et autres installations, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur pour différents secteurs d’activités publics et privés.

 

 

 

Même Patrick GENDRAUD a trouvé le concept très chouette…

 

En un laps de temps record de trois mois, ce projet a donc vu le jour. « Le délai était très court, confirme Karine LASCOLS, il fallait tenir compte de la concertation avec les habitants et le montage des dossiers afin d’obtenir des subventions auprès de la Région… ».

Conçu dans le cadre du projet « A(r)tmosphère », c’est-à-dire changer l’atmosphère d’un quartier, DOMANYS réalise des œuvres artistiques pour embellir plusieurs bâtiments dont le bailleur a la gestion, notamment à Saint-Julien-du-Sault, Chablis ou à Joigny. Il était normal de s’intéresser à Migennes.

« C’est aussi une manière de sensibiliser les habitants à l’art et de les rendre fiers de leur quartier, ajoute la directrice de DOMANYS, et là plus particulièrement sur la thématique du sport, avec le reflet sur l’actualité olympique… ».

Quant au budget (il s’élève à 50 000 euros), il a été cofinancé dans le cadre de la politique de la Ville et de la Région, permettant de redonner de l’attractivité au quartier avec des couleurs visibles de très loin. Même absent de ce rendez-vous, le président de DOMANYS, Patrick GENDRAUD, s’est dit ravi de la réalisation lorsqu’il a vu le cliché de l’immeuble habillé de sa fresque : « il a trouvé cela très chouette, confirma Karine LASCOLS en guise de conclusion.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Sacré Guy ! L’œil pétille toujours d’excitation, malgré ses 85 ans. Mais, il n’aurait voulu manquer, le moins du monde, une pareille fête. Celle du sport universel et de l’olympisme, vécue avec beaucoup d’intensité et d’émotion au contact de la foule. Surtout lorsque l’évènement est célébré dans sa ville de prédilection, Auxerre, dont il a su populariser le nom aux quatre coins de l’Hexagone quand ce n’est pas dans l’Europe entière. On retiendra de cette 54ème étape du « Relais de la Flamme » cette image pour la postérité de l’ancien coach de l’AJA, soulevant la torche en tenant la main d’un petit garçon, sur la pelouse de l’Abbé Deschamps. Comme un passage de témoin…devant les dieux de l’Olympe.

 

AUXERRE : Sur le torse, un numéro « EO59 ». Celui-là, les aficionados du célèbre personnage auxerrois le conserveront longtemps en mémoire, en souvenir de ce jour de gloire, celui du passage de la flamme olympique dans la capitale de l’Yonne. Un numéro floqué sur la tenue blanche de l’homme qui aura été le premier relayeur (elle est presque immaculée à l’estampille des Jeux de Paris) et qui répond désormais à la presse, au terme de cette journée historique.

Goguenard, l’œil malicieux et vif, Guy ROUX se prend un malin plaisir à expliquer son ressenti après une telle journée, face à la caméra de nos confrères de « France Télévision » et aux micros des médias régionaux.   

Un exercice oratoire qui n’a jamais fait peur au charismatique ancien entraîneur de l’AJA, toujours aussi bavard et prolixe devant un micro, et dont l’aura demeure quasi iconique auprès des suiveurs et autres supporters du club blanc et bleu, qui évoluera de nouveau en Ligue 1, dès la saison prochaine.

 

 

Le premier relayeur démarre à l’allure tranquille à 17h50 !

 

Guy ROUX, le premier des relayeurs de la flamme, à Auxerre. Ce n’est que de la pure logique, en vérité, tant le personnage a changé la configuration de la ville, de son bassin et du département par sa conception du sport de haut niveau, lui donnant ses lettres de noblesse aux quatre coins du Vieux continent, quand ce n’est pas un peu plus loin ! Avec le bonnet bleu ou pas, rivé sur la tête ! D’ailleurs, l’actuel actionnaire du club n’est-il pas originaire de Chine ?! C’est dire !

Guy ROUX, l’éternel meneur d’hommes, en véritable ambassadeur de ce territoire qui devait s’élancer un peu avant 18 heures, l’allure tranquille ce jeudi 11 juillet, date à mettre dans les annales (précisément aux alentours de 17h50) sous le regard attendri de la ministre des Sports, Amélie OUDEA-CASTERA, effectuant de la sorte son second déplacement dans l’Yonne en moins de trois mois !

On se souvient de son précédent séjour en terre septentrionale de la Bourgogne : c’était pour l’inauguration du musée de l’AJA ! Déjà !

« En 1960, j’étais aux Jeux de Rome, glisse l’emblématique figure du football hexagonal avec le souci de l’anecdote savoureuse et complice, mais là, je n’étais pas encore connu ! ».

 

 

La transmission entre deux générations comme un passage de témoin…

 

Dans la zone réservée aux interviews, Guy ROUX ne cache pas sa satisfaction de se trouver là. « On arrive à rassembler dans la joie et le bonheur toute une population, constate-t-il, avec un brin de feu (allusion au chaudron qui devait s’enflammer par le geste assuré par la basketteuse Emmeline NDONGUE). L’homme est fait pour avoir le feu… ».

Auparavant, au beau milieu de la pelouse de l’Abbé Deschamps, stade où il a connu les plus grandes joies de sa carrière d’entraîneur pendant quatre décennies, Guy ROUX devait être rejoint par un jeune garçon, porteur du maillot de l’AJ Auxerre. La torche soulevée au-dessus de leurs têtes, le plus âgé des deux transmettait-il sa flamme au plus jeune ?

 

 

 

Celle de la pugnacité, de la force tranquille, de l’envie ? Belle image, pleine de symboles, que celle-ci !

Reconnaissant qu’il aurait dû la porter plus longtemps sur le parcours qui lui était réservé, Guy ROUX avoua avec un zeste d’humour qu’il avait connu un petit problème de résistance au niveau des bras, l’obligeant à écourter quelque peu l’exercice physique.

« Pourtant, je m’était préparé, devait-il souligner avec humour, mais le public était là à mes côtés ! ».

 

 

L’étonnement, le ressenti de Guy ROUX…

 

Surpris, d’ailleurs, par la densité de la foule, présente et participative réunie au Parc Roscoff. « Vous voyez, il y a beau avoir cinq gros nuages noirs là-bas dans le ciel – des nuages peut-être annonciateurs de futurs orages -, personne ne s’en va ! Les gens aiment ce genre d’évènement ».

Guy ROUX aurait-il vécu ce Relais de la Flamme comme une cure de jouvence qui fait du bien à l’âme ?

« Je ne sais pas si ce que j’ai vécu correspond à une nouvelle jeunesse, répondra-t-il amusé, mais je suis comme tout le monde, ici, on a tous oublié nos problèmes en vivant cette journée très étonnante ! ».

L’étonnement ? Le mot reviendra à maintes reprises dans la bouche de Maître Guy ! « Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de mobilisation et d’engouement autour de cet évènement dont tout le monde me parlait ces derniers jours ! ».

Quant à l’émerveillement suscité auprès des enfants, Guy ROUX n’en revient toujours pas. « J’ai commencé à saluer les 500 jeunes garçons et filles qui fréquentent l’AJA en début d’après-midi, ils étaient tous là à admirer cette flamme ! S’ils avaient vu MBAPPE, cela aurait été pareil… ».

La magie de l’olympisme brille dans le regard du « vieux grognard » du football français. Il en apprécie la moindre des minutes en prenant son temps, apposant sa griffe sur un maillot ou signant un autographe pour un gamin dont les parents filment la scène en étant fous de joie de l’autre côté de l’espace presse. L’éternel Guy ROUX aura su marquer de son empreinte cette très belle cérémonie auxerroise. Lui, le « roi des coaches » intègre de plain-pied la légende de l’Olympe, en porteur de torche…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Ils sont touchés par la grâce. Des beautés diaphanes, filles et garçons, toutes auréolées de lumières, celles des projecteurs du théâtre de Verdure, cher à l’édile Yves DELOT ! Un spectacle à en prendre plein la vue pour férus de danse classique mais aussi pour les béotiens. Pour sa troisième édition, « Jeune Danse » prend ses quartiers estivaux à Saint-Florentin, non loin du port de plaisance, pour un spectacle de belle facture ce vendredi 12 juillet à 21h30. Le terme d’une semaine intensive de stages réunissant le ferment de la relève chorégraphique de demain…

 

SAINT-FLORENTIN : Que tous les passionnés et autres aficionados de la danse classique se lèvent en chœur ! Non, pas pour vanter les mérites d’un yaourt chocolaté à la marque bien connue ! Mais, plutôt pour converger vers le théâtre de Verdure de la jolie ville de Saint-Florentin, qui possède aux abords du port de plaisance et de son espace piscine, un espace naturel propre à l’évasion et à l’onirisme.  

Le cadre idéal pour rêver à la vue de jeunes danseuses et danseurs, des plus prometteurs, dont certains aspirent déjà à suivre les pas (pas de deux ?!) des plus grands, peut-être…

On doit cette manifestation qui s’est progressivement installée dans le paysage culturel de l’Yonne à l’ancienne danseuse étoile, Mireille LETERRIER. Une belle personne, humaniste et au cœur gros comme ça, qui encourage les vocations dans cette belle discipline artistique que représente la danse classique. Une spécialité hexagonale qui a donné la possibilité à de belles pointures d’atteindre les sommets, à l’image d’un Patrick DUPOND ou Marie-Claude PIETRAGALLA.

 

 

Un socle opérationnel à Saint-Florentin, soutenu par les institutionnels

 

Avec de telles références tricolores, on imagine que les jeunes pousses rêvent d’égaler leurs glorieux aînés. C’est le fondement de cette approche culturelle qui nous est proposée là. La présence de stagiaires – ils sont dix-huit cette année à prendre part à l’aventure depuis quelques jours à la salle Daullé – qui ont été choisis minutieusement par les organisateurs, selon leurs aptitudes et leurs parcours préprofessionnels.

Pour se faire et mener à bien ce concept novateur dans le département du football et de la vigne, l’insatiable Mireille LETERRIER s’est appuyée sur une structure associative qu’elle a portée sur les fonts baptismaux il y a quelques années déjà. Une entité qui a trouvé son socle opérationnel à Saint-Florentin, bien sûr, avec le soutien de différents partenaires, dont la Ville, la Communauté de communes Serein-Armance, le Conseil départemental et le FDVA de l’Yonne, c’est-à-dire, le Fonds pour le Développement de la Vie Associative. Nom de code de l’association : « CYDALISE & Cie ». Au plan étymologique, et pour mémoire, le terme « cydalise » qui signifie glorieux selon ses origines grecques, est le surnom donné à une jeune femme « qui a désigné ces compagnes et inspiratrices, à la fois amantes et muses, des poètes et artistes du Doyenné ».

 

 

Des créations originales par de jeunes danseurs prometteurs…

 

A quoi s’attendre avec cette représentation nocturne ? Un condensé de danse classique, certes, mais pas que, puisque les jeunes gens présenteront aussi des tableaux, issus du répertoire contemporain. Tout cela sous la houlette de quatre professeurs de renommée internationale ayant encadré le stage, en provenance du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris et de Lyon. Notons, aussi, des créations originales avec une compagnie qui est en résidence dans le Florentinois, la WABI Cie - Igor STRAVINSKY sera à l’honneur avec « Le Dîner » - ainsi que Malik PELKES qui présentera un solo baptisé « Les pieds rapides » et trio de Watson SARTOR (Jupiter) avec Nhoa BARTOUX et Alexia APECHE.

Signalons le travail scénique de Corentin DAVOUST et Alexia APECHE. Ils interpréteront un pas de deux, extrait de l’œuvre sublimissime de Félix MENDELSOHNN, « Le Songe d’une nuit d’été », sur une chorégraphie d’Alexandre NIPAU. On en salive d’avance !

Notons que cette vitrine icaunaise est extraordinaire pour ces jeunes danseurs  encore stagiaires qui se frottent à la scène et qui partiront dès l’automne, soit à New York (l’école Alvin AILEY va accueillir Watson SARTOR) et à Saint-Pétersbourg (Corentin DAVOUST et Nhoa BARTOUX) où la prestigieuse école VAGANOVA les prendra sous son aile…

 

 

En savoir plus :

« Jeune Danse » de l’association CYDALISE et Cie

Au théâtre de Verdure de Saint-Florentin

Vendredi 12 juillet à 21h30.

Possibilité de prendre les billets sur place (ouverture de la billetterie une heure avant le spectacle) ou auprès de l’OTSA au 03.86.35.11.86.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il en rêvait depuis très longtemps. Lui, l’homme de tous les défis. Se retrouver désormais dans un cadre professionnel, ergonomique et spacieux, lui permettant de s’épanouir aux côtés de ses trente-cinq collaborateurs. Car, elle a bien évolué, la « petite entreprise » de Gaëtan QUILLIN qui ne connaît pas la crise, depuis ses origines, datant du 01er octobre 2019. 1,2 million d’euros plus tard et après plusieurs mois de patience, le traiteur auxerrois qui ne cesse d’étendre son aura sur le territoire de l’Yonne, vient de s’installer dans ses nouveaux locaux. Le prétexte idéal pour une soirée inaugurale réussie…

 

MONETEAU : Certes, le nom de la société est simple. « QUILLIN Traiteur ». Facile à retenir, dirons les uns ! Pratique à commercialiser, dirons les autres ! On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même, dixit le fameux adage. Pourtant, au-delà de ces considérations de pure sémantique marketing, cela n’empêche nullement le nom de cette société, spécialiste de la réception, de l’évènementiel dans sa phase traiteur, de se faire depuis sa création une solide réputation dans le landerneau auxerrois. En cinq ans, la boîte vole de ses propres ailes et pas du tout en rase-motte ! Bien au contraire.

Installée à l’origine à Augy dans des locaux que le garçon supposait trop grands à son goût mais qui s’avérèrent très vite trop étroits, la jeune entreprise relève tous les challenges. Normal pour cet entrepreneur, issu d’une famille où la cuisine se vit de manière passionnelle. Gaëtan QUILLIN, lui-même, fourbit ses armes auprès de grandes toques de l’Yonne, apprenant le métier sans relâche, pugnace et créatif. Son parcours l’atteste. Les nombreuses récompenses, glanées çà et là, aussi !

Lui vient alors l’idée de changer d’air. De trouver cette parcelle de terrain, elle est d’une superficie de 3 100 mètres carrés, dans l’une des zones artisanales et industrielles de Monéteau où il sera bon de s’installer, histoire de développer ses activités et de surcroît, son chiffre d’affaires.

 

« Si je ne fais pas ce projet maintenant, je ne le ferais jamais… »

 

Septembre 2023 : Gaëtan QUILLIN acquiert ce terrain à l’Agglomération de l’Auxerrois. Coût de la manœuvre : 1,2 million d’euros avec l’installation du bâtiment, flambant neuf qui a été inauguré en grande pompe en présence des élus (Crescent MARAULT, Christophe BONNEFOND…) mais aussi des institutionnels. Les représentants de l’association « INITIACTIVE 89 » aident au financement de ce projet, couplé par la Banque Populaire de Bourgogne Franche-Comté et des Pays de l’Ain. Un établissement bancaire en qui Gaëtan QUILLIN accorde toute sa confiance.

« Je l’ai dit à Benoît, mon conseiller commercial bancaire. Si vous ne me faites pas confiance maintenant avec l’apport que j’ai aujourd’hui, je ne ferais jamais ce projet. Je ne suis l’héritier ni le fils de personne : mes parents m’ont seulement appris à me lever le matin… ».

Respect quant à la volonté de ce jeune entrepreneur lucide qui ne perd pas le nord…

 

 

La réussite, c’est une affaire d’équipe !

 

Humaniste et généreux, Gaëtan QUILLIN. Ses premières pensées, quand on lui parle du chemin parcouru depuis cinq ans, vont à ses bras droits, de fidèles lieutenants, prénommés Edouard et Camille. Ils se reconnaîtront.

Puis, à son équipe, exerçant son savoir-faire aux côtés de Guillaume COLLET, chef de cuisine, Alexis ROLLET, chef de réception – il quittera prochainement la structure après être partie prenante depuis le début de l’aventure -, mais aussi Amélie, Alexandre, le second de cuisine depuis deux ans, Myriam, la responsable de l’alimentation du groupe pro de l’AJ Auxerre (c’est cela aussi « QUILLIN Traiteur » !), les chefs de parties, Bruno et Kylian, etc.

Le chef d’entreprise n’oubliera pas de remercier les 37 serveuses et serveurs sous contrat qui travaillent à la réussite de sa société.

 

 

Etre arrivé en haut mais il faut y rester !

 

Bien sûr, Gaëtan eut une pensée émue pour sa compagne, Sarah.

« Ce n’est pas toujours facile de vivre à mes côtés et de supporter ce mode de vie à cent à l’heure mais tu m’accompagne toujours de la meilleure façon dans ma vie professionnelle et personnelle… ».

Si ce n’est pas une belle preuve d’amour, çà ?! Poursuivant dans l’émotion, l’orateur se souvint de toutes celles et ceux, trop tôt disparus, qui laissent une place béante dans les cœurs, aujourd’hui. Avec humilité et pudeur. « Je pense à toi, maman, qui m’a quittée bien trop tôt... ».

Sans oublier son grand-père qui lui dit un jour lorsque le jeune homme gagna son premier concours de cuisine à 15 ans : « c’est bien « p’tit gars », tu es arrivé en haut mais attention le plus dur est d’y rester… ».

Place au plus dur pour Gaëtan QUILLIN, entre sagesse, humilité et…succès !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

On appelle cela un grand chelem. Un terme bien connu et usité particulièrement dans le monde de l’ovalie, chez les adeptes de la chose rugbystique. Mais, aussi le carton plein. Au terme de la journée dominicale du 07 juillet et de ses inattendues législatives anticipées, le département de l’Yonne a réalisé lui aussi la bascule. Au niveau de sa préférence politique. Ainsi, le Rassemblement National rafle la mise, empochant d’un seul coup les trois circonscriptions du territoire. Trois députés sur trois. Une première commentée par Julien ODOUL…

 

AUXERRE : Tourner la page de l’ère MACRON sur le département de l’Yonne ? C’est l’explication de texte qui est apportée par le député de la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL, qui avait déjà renouvelé son bail de parlementaire la semaine passée au soir du premier tour des législatives, dans un communiqué de presse diffusé ce lundi 08 juillet, au lendemain des élections législatives anticipées.

Saluant la victoire – il parle de « triomphe » - historique des candidats du Rassemblement National sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne, le président du groupe RN à la Région Bourgogne Franche-Comté estime que « ce succès est sans appel pour le projet patriotique porté par Marine LE PEN et Jordan BARDELLA qui a rassemblé plus de 70 000 Icaunais sur leurs candidats ».

Puis, il poursuit dans ses commentaires : « Cette soirée est historique. Il n’y a jamais eu autant de députés patriotes à l’Assemblée nationale ! Nous réussissons le grand chelem dans l’Yonne, preuve de la confiance qu’accordent les Icaunais à leurs candidats RN. A l’échelle de la région, nous remportons la majorité des sièges et nous faisons barrage au projet de l’extrême-gauche avec qui la « Macronie » et certains LR se sont compromis. Sans majorité absolue à l’Assemblée nationale, Emmanuel MACRON n’aura pas d’autre choix que d’écouter enfin le peuple et le Rassemblement National ou d’offrir les rênes du pouvoir à Jean-Luc MELENCHON et au chaos ».

Julien ODOUL considère aussi que ces victoires, celles de Sophie-Laurence ROY, Daniel GRENON et lui-même, sont « le fruit d’un travail collectif et d’une mobilisation sans précédent. Elles témoignent de la volonté des électeurs de tourner la page MACRON tout en rejetant la violence du projet porté par le Nouveau Front Populaire… ».

Rejetant de fait une « Macronie » en faillite et une gauche, compromise avec les éléments les plus radicaux. Du trois en un, en somme, pour la ligne politique qui sera défendue au Palais Bourbon par les parlementaires de l’Yonne…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil