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C’est à ne rien y comprendre dans cette France qui ne tourne pas toujours bien rond ! Voilà l’exemple parfait d’une belle entreprise, possédant deux boutiques à Auxerre, joliment décorées et abondamment fleuries – c’est normal, la fleur et le végétal sont leur raison d’être professionnelle -, qui peine à recruter de nouveaux collaborateurs/collaboratrices alors que les potentialités de développement existent ! Y compris en s’installant dans les départements limitrophes au nôtre. Une incongruité sans nom qui trouve pourtant son explication…dans l’absence de formation locale.

 

AUXERRE : Lorsqu’il aborde le sujet de l’emploi et des vocations, on le sent un tantinet désolé, voire courroucé Olivier LECLERC. Pourtant, celui qui aux côtés de son épouse, égaie l’existence de celles et ceux qui convolent en justes noces avec ses sublimes compositions florales, celles et ceux qui célèbrent un anniversaire de mariage ou une fête en les agrémentant des plus beaux végétaux aux couleurs chatoyantes ou celles et ceux qui accompagnent à sa dernière demeure un proche passé vers l’au-delà en fleurissant le cortège funéraire n’est pas d’un naturel pessimiste. Loin s’en faut !

Depuis quinze ans, déjà, ce professionnel de la fleur et du végétal, présentée et commercialisée dans toutes ses variantes et configurations, aime avec passion ce métier, qui lui occasionne tant de plaisirs.

Toutefois, là, sur le registre de l’employabilité de nouveaux collaborateurs – en l’occurrence des collaboratrices car il semblerait que la filière « fleur » soit à l’apanage de la gent féminine en France, à tort bien sûr -, son visage n’affiche plus le même sourire bienveillant que celui de la présentation de la seconde boutique, ouverte il y a maintenant deux ans, le long de l’avenue Charles-de-Gaulle.

Un concept store novateur, auquel il faut rendre visite, ne serait-ce que pour admirer le lieu, nimbé de lumière naturelle et regorgeant d’innombrables plantes et fleurs coupées, séchées, décoratives, stabilisées. Un endroit idéal pour se ressourcer en reprenant attache avec les merveilles créées par Dame nature.

 

 

Des boutiques au supplément d’âme évident

 

« Numéro 13 ». Le bien-nommé. Un chiffre porte-bonheur pour le couple de commerçants/artisans auxerrois qui emploie aujourd’hui huit collaborateurs au sein des deux structures. La boutique en centre-ville, si caractéristique et toujours animée en périodes festives, y compris sur les parvis. Et puis, celle de l’avenue Charles-de-Gaulle, aux quatre cents mètres carrés, judicieusement bien implantée dans un ancien site industriel.

« L’effectif idéal serait de dix personnes pour faire face à la demande croissante de la clientèle, explique Olivier, un brin pragmatique.

Une clientèle qui se décompose en différentes strates : les particuliers, le nerf de la vente, mais aussi les collectivités, les associations et les entreprises. Un melting-pot gagnant ! Rien qu’en 2023, l’enseigne a fleuri avec ses plus beaux atours 123 cérémonies nuptiales ! Qui dit mieux dans le landerneau ?

L’endroit, la seconde boutique qui est devenue le vaisseau amiral de la flottille, se présente comme un véritable parcours végétalisé. Un univers à part où il fait bon flâner, sans se préoccuper de la montre. C’est fou ce que le monde floral et végétal propose comme diversité ! E met du baume au cœur…

 

 

 

Le vide sidéral des formations en floriculture dans l’Yonne

 

Cela tombe bien, Olivier LECLERC et son épouse, aiment se démarquer. Se distinguer. Une différence assumée, certes, mais toujours dans le respect de la qualité, de la clientèle, de la politique tarifaire pratiquées, aussi. Un supplément d’âme que le couple tente tant bien que mal de transmettre aux jeunes recrues qui toquent à la porte. Des alternants, la plupart du temps, qui suivent le cursus du CAP ou du BP en s’immergeant davantage dans les arcanes de ce fantastique métier. Avec pourquoi pas, le job en guise de précieux sésame au bout du compte.

Sauf qu’il n’est guère facile de trouver, à date, des néo-apprenants qui veulent faire de la fleur et du végétal leur métier.

Un sérieux problème de recrutement qui inquiète les deux managers du magasin.

« C’est logique, explique Olivier LECLERC, les centres de formation proposant les diplômes requis pour notre filière sont implantés à Dijon, Orléans, Nevers, Montereau. Il n’y a rien dans l’Yonne… ».

 

 

Une problématique en termes d’emploi qui suppose venir s’installer dans l’Yonne, territoire pourtant d’attractivité dans certaines bouches institutionnelles mais qui ne présente pas toutes les caractéristiques de la diversité en matière d’orientation et de formation, ce qui est préjudiciable à certaines corporations. Il faudra donc revoir la copie !

Pour que le monde de la petite fleur flamboyante et de la belle plante en pamoison se ressaisisse et reprenne espoir dans l’Yonne, et suscite à défaut de réelles vocations des emplois pérennes, il serait peut-être grand temps que les acteurs de l’orientation et de la formation professionnelle se penchent réellement sur la question.

Surtout sur un marché – celui de la fleur coupée notamment – qui est en proie à un véritable dynamisme auprès de consommateurs, férus notamment de produits locaux issus de la floriculture du terroir, moins consommatrice en carbone…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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De la fierté. Des compliments, aussi. De la part des parents qui encouragent, en toute logique, leur progéniture. Elles et ils, ont réussi leurs examens. En l’occurrence, elles, puisque c’est bien du concours « Un des Meilleurs apprentis de France » catégorie esthétique dont il s’agit. Une épreuve consacrée à la sélection départementale qui s’est disputée dans le saint du saint de l’excellence en matière d’apprentissage, le CIFA de l’Yonne.

 

AUXERRE ; Ils ont de quoi être fiers les parents des candidats du concours « Un des Meilleurs apprentis de France », de la catégorie esthétique. La sélection départementale de l’épreuve qui se déroulait dans les locaux du CIFA de l’Yonne, le centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage, a tenu toutes ses promesses avec quatre jeunes filles qualifiées pour le concours régional de Bourgogne Franche-Comté sur les six lauréates ayant obtenu une distinction. Précisons que treize prétendantes au sacre se lançaient sur la grille de départ.

Un concours dont les récompenses et les encouragements oraux furent prononcés par le président départemental des MOF, Marc LABARDE, toujours affublé de sa célèbre écharpe rouge, sa griffe vestimentaire qui porte chance aux candidats de l’Yonne visiblement.

 

Les résultats

Lucie POQUEREAU, institut Citron Vert, médaille d’or

Adèle GUEGAN, institut Yves Rocher, médaille d’or

Capucine BERTRAND, institut Yves Rocher, médaille d’argent

Alicia OUDART, institut Pur Elégance, médaille d’argent

Rachelle SAIB, institut Yves ROCHER, médaille de bronze

Lauren BONGIBAULT, institut Azur Bien Etre, médaille de bronze.

Les quatre premières obtiennent leur billet pour le concours régional.

 

Thierry BRET

 

 


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Ce n’est pas un centre de formation ordinaire. Ici, sur le vaste site implanté à Appoigny, on y parle de transport routier, de logistique, de marchandises à affréter, de CACES, de matières dangereuses, de manipulation de chariots, etc. De transport de voyageurs, aussi. Mais, avec le retour du mois d’avril, le centre AFTRAL auxerrois va mettre l’accent sur un tout autre sujet, propre à l’actualité sportive ; les Jeux Olympiques. Lors d’une opération bien particulière qui se déclinera le 06 avril prochain, à partir de 09 heures…

 

APPOIGNY ; Nom de baptême du chantier élaboré depuis plusieurs mois par les responsables du centre de formation transport et logistique de la place, « AFTRALYMPIQUES ». Un jeu de mot non dénué d’humour, faisant référence directe et subtile avec l’actualité sportive qui nous attend cette année en France, les Jeux Olympiques de Paris.

Samedi 06 avril, en matinée, sera donné le coup d’envoi de cette animation spécifique, première du nom et pour cause au vu de la rareté du fameux évènement sportif international. Le centre AFTRAL devrait connaître l’effervescence des grands jours, similaire aux journées où se déroulent les examens.

Toutefois, que l’on ne s’y méprenne pas. Derrière le côté fantaisiste de la chose, réaliser une série d’épreuves théoriques et pratiques sur une journée supposée riche en émotions, se cache un rendez-vous bien tangible, celui-là, qui servira de notation dans le cadre du CAP Conducteur routier en marchandises, un examen.

Formateurs et apprenants seront placés à la même enseigne ; c’est-à-dire qu’ils participeront avec cet état d’esprit de réciprocité et de partage aux épreuves. Une première, en somme, qui dynamise déjà les futurs candidats. Un peu l’application concrète de la célèbre formule que l’on doit au baron Pierre de COUBERTIN, « l’essentiel est de participer… ».

Répartis en équipes de quatre à cinq candidats, élèves, formateurs et tuteurs joueront le jeu. Afin de se surpasser lors des épreuves qui comprendront des quizz, une évacuation en situation d’urgence d’un autocar, un test de connaissance du code de la route, un plateau sur le CACES, des exercices à concevoir avec l’aide des deux simulateurs dont est pourvu le centre de l’Yonne. Au total, six défis qui permettront de départager les meilleurs, on s’en doute mais aussi de donner un maximum de points, bien réels ceux-là, afin d’obtenir le CAP, précieux sésame qui conduit vers l’avenir professionnel.

Précisons, et cela mérite aussi un cocorico pour la prise d’initiatives, que le centre de formation AFTRAL d’Auxerre est le premier à l’échelle de l’Hexagone à proposer une telle manifestation. Un concept qui pourrait être dupliqué sur les autres structures que compte cet acteur de la formation pédagogique en France, soit plus de 135 accueillis aux quatre coins du territoire national.

Si le jeune Guillaume NARCY – il est un des alternants à suivre ce CAP Conducteur routier marchandises en prenant part à cette épreuve originale – se charge de la communication et des relations presse autour de l’évènement, c’est la formatrice de référence du centre icaunais, Sophie THEVENET qui en pilote le déroulé et le contenu.

Des « AFTRALYMPIQUES » qui ne devraient pas manquer de piment lors de cette journée où les familles et les amis sont invités à venir encourager dans un cadre festif les jeunes champions…La flamme est déjà allumée chez AFTRAL Auxerre.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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La connaissance de l’eau à distiller dès le plus jeune âge, cela coule de source chez VEOLIA. Eduquer aux gestes salvateurs pour la planète – l’économie d’une ressource naturelle qui va aller en se raréfiant à l’avenir – les enfants dès la maternelle et le primaire pour qu’ils servent de courroie de transmission auprès de leurs parents et leur environnement familial est un fin calcul sur lequel l’opérateur a décidé de miser en Bourgogne Franche-Comté. Grâce à une mallette au contenu pédagogique qui a été testée aux côtés du SIVOM du Gâtinais. Explications…

 

VILLETHIERRY ; C’est presque une mallette diplomatique. Avec un contenu plutôt éclectique dans les tests et expériences à réaliser que les enseignants peuvent mener auprès de leurs jeunes élèves en classe afin de les éduquer à préserver, voire à économiser, cette ressource naturelle si nécessaire à l’homme, l’eau. Là, où on est surpris en qualité d’observateur de l’initiative, c’est la cible visée. Des enfants, certes, mais pas ceux qui fréquentent les collèges ou les lycées, mais bel et bien ceux du primaire, voire de la maternelle.

Une sacrée initiative que pilote VEOLIA et ses équipes en Bourgogne Franche-Comté. Une animation qui repose sur cette mallette offerte par l’entreprise gestionnaire de l’eau au…SIVOM du Gâtinais. Pour les amateurs d’explication d’acronymes, le Syndicat intercommunal à Vocation Multiple, pour celles et ceux qui avaient déjà oublié.

 

 

Eduquer les plus jeunes pour qu’ils en parlent à leurs parents

 

D’ailleurs, la représentante de la structure, en l’occurrence sa présidente, Christine AITA, ne manque pas une miette des explications fournies par Thierry CHANUSSOT, directeur du territoire Nord-Bourgogne de VEOLIA. Carte façon planisphère à l’appui, ce dernier en bon pédagogue explique la situation de l’eau à l’échelle du globe. L’eau douce disponible par habitant sur la Terre. Et à bien regarder la carte dépliée par notre interlocuteur devant les yeux intéressés des institutrices de l’école maternelle de Villethierry, il y a du souci à se faire pour certains des pays du continent africain ou du Moyen-Orient. La guerre de l’eau est déjà dans tous les esprits ; le réchauffement climatique et son aggravation n’arrangent rien en matière de crise géopolitique qui risque de poindre son nez dans l’échiquier planétaire.

Alors, éduquer les plus jeunes des générations de cette véritable problématique qui va vraiment s’accélérer dans les années à venir n’est peut-être pas le moindre mal.

Les enseignantes posent des questions sur le contenu de cette mallette magique qui propose pipettes, fioles, et ustensiles utiles à des prélèvements. Une manière ludique de découvrir le cycle de l’eau, tel un mini-laboratoire portatif puisque facile à manipuler. Commentaires de Thierry CHANUSSOT durant son exposé aux représentantes du SIVOM et aux enseignantes, « cette mallette pédagogique permet à l’élève de suivre une vraie démarche scientifique, basée sur l’observation, la formulation d’hypothèses, et la validation par l’expérience… ».

 

 

Une quinzaine d’expériences à réaliser avec la mallette…

 

Joindre l’utile à l’agréable donc autant pour les institutrices que nos chères têtes blondes (ou brunes) qui vont accroître leurs connaissances autour de cette matière liquide indispensable à la vie.

Si d’ordinaire, le public visé par ce genre d’initiative se situe davantage vers le secondaire en mode 6ème et 5ème, VEOLIA a voulu tester avec la bénédiction du SIVOM du Gâtinais les bienfaits de cette malle à la Houdini dans les classes inférieures, notamment les cours moyens et élémentaires. Même les maternelles, avec un langage adapté, ont pu bénéficier de cette session pour le moins enrichissante de perles et paroles d’enfants. In fine, ce sont trois écoles à Domats, Villebougis et Villethierry qui ont ainsi pu profiter de ces séances explicatives, et leurs écoles de ces mallettes prêtes à l’emploi.

Des mallettes offertes, rappelons-le, par VEOLIA Eau, aux écoles des collectivités dont les services aquatiques sont gérés par l’opérateur hexagonal.

Une quinzaine d’expériences se rapportant à l’état de l’eau, sa potabilité, son transport peuvent ainsi être tentées en cours durant la période scolaire. Une judicieuse idée qui ne demanderait qu’à être dupliquée dans les autres SIVOM de l’Yonne. Voire à destination des plus grands et notamment des adultes, grands gaspilleurs de la ressource au quotidien, comme chacun le sait…

 

Thierry BRET

 


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L’acronyme du jour fait presque penser à un personnage androïde sorti tout droit de la « Guerre des Etoiles » ! L’un de ses mutants qui désire conquérir le monde, celui de l’enseignement et de la formation, en ce qui nous concerne ! « RZIE », tel est son nom ! Ce n’est pas la plaque d’immatriculation d’un véhicule venant d’une lointaine république de l’Est. Non, sa signification est beaucoup simple que cela : « Responsable Zone Import-Export ». Proposé sous la forme d’un « bachelor », dès septembre, il enrichira le panel d’offres de formation de l’enseignement supérieur décliné dans le groupe scolaire privé auxerrois…

 

AUXERRE : Le faire savoir. En parler. Le dire. Communiquer à outrance autour de soi, des semaines durant, celles qui vont précéder son lancement afin de le faire connaître. Auprès des familles et des élèves, une évidence que n’aurait reniée Monsieur de La PALICE. Mais aussi des acteurs des milieux économiques, à commencer par leurs représentants institutionnels. La création de ce nouveau diplôme de l’enseignement supérieur est plus qu’un énième évènement éducatif. C’est aussi un lien, inexorable, et nécessaire avec le monde de l’entreprise, notamment celui qui exerce des activités à l’international.

Aussi – et ce n’est malheureusement pas coutume mais tous ont promis de faire bouger les lignes à l’avenir -, n’était-il pas surprenant de retrouver des responsables de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et de la Maison de l’Entreprise, lors de ce premier rendez-vous explicatif – il en appellera immanquablement d’autres, à commencer par une prochaine session le 09 avril prochain au même endroit – en ces lieux : l’une des salles de réception du campus BTS du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle.

 

Un diplôme proposé en exclusivité régionale à Auxerre

 

Objectif de François-Xavier WILLIG, chef d’établissement coordinateur ouvert à bon nombre de suggestions : la présentation de ce nouveau bachelor à l’international, proposé en alternance, qui concerne naturellement le milieu entrepreneurial de l’Yonne. Les arguments du responsable de l’entité lassalienne auxerroise sont limpides de clarté : « l’international est dans le cœur de nos projets pédagogiques depuis plus de trente ans. Grâce notamment au développement de notre BTS Commerce international… ».

Jusque-là, les choses sont clairement établies. Mais, François-Xavier WILLIG va aller un peu plus loin encore dans ses explications : « aussi, pour donner toutes leurs chances à nos étudiants et pour répondre aux attentes de tous les acteurs économiques, notamment ceux qui travaillent à l’international, nous avons décidé de créer un bachelor RZIE (responsable import-export) de niveau Bac + 3 dès la rentrée de septembre… ».

 

 

Une nouveauté très intéressante dans le panorama auxerrois et icaunais, de surcroît, qui assurera la complémentarité de la préparation des futurs cadres du commerce international dans l’Yonne. On l’aura compris cette filière sera exclusive dans la région…

Cerise sur le gâteau, comme le spécifiera Céline MARTI, responsable pédagogique de l’enseignement supérieur pratiqué sur le campus de St-Jo : « ce diplôme sera préparé en alternance, animé par des professionnels reconnus du secteur, possédant une vision du terrain et une parfaite connaissance des entreprises ».

 

Une passerelle légitime avec le monde de l’entreprise…

 

Ca y est, le mot magique a été lâché ! « Entreprise » ! C’est là que, dans un premier temps – ce fut le cas mardi soir au cours de cette réunion avec la représentativité institutionnelle – et dans un second temps, le 09 avril, en présence des entrepreneurs eux-mêmes et de leurs réseaux, le projet est dévoilé sous toutes ses latitudes afin de travailler en complémentarité le dossier.

Joannick PECHENOT, consultant et spécialiste de l’orientation et de la formation, ajoute : « avec les acteurs du monde économique et institutionnel, c’est l’occasion enfin d’ouvrir les portes de la coopération afin d’imaginer ensemble l’accueil et l’intégration des étudiants au sein des équipes professionnelles sous contrat d’apprentissage… ».

Développant un cursus se décomposant en grands blocs thématiques – administration des achats et des ventes, management, stratégie de développement à l’export, droit des affaires, art de la négociation commerciale, RSE, analyse et gestion financière, anglais de niveau professionnel, etc.-, le bachelor « RZIE » devrait intégrer la première année une douzaine de candidats, en possession d’un BTS Commerce international. Toutefois, une période de mise à niveau est possible pour les titulaires d’un autre diplôme de niveau Bac + 2.

Un diplôme qui sera complémentaire aux offres pédagogiques déployées par le Pôle formation de la Chambre de Commerce et d’Industrie, comme le confiera son directeur, Jérôme MAYEL, ravi de cette rencontre quasi informelle. Un diplôme qui ne peut que satisfaire la représentante de la Maison de l’Entreprise de l’Yonne, Florence POULAIN, une structure qui accueille les organismes patronaux que sont le MEDEF et l’UIMM, avec leurs préoccupations premières, la recherche de nouveaux collaborateurs qualifiés (cadres) pour doper les carnets de commande que ce soit dans le secteur industriel ou autre.

Ce diplôme Bac + 3 newlook du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle et ses 500 heures de cours à assurer pourraient peut-être faire des probables ramifications parmi le réseau des 150 établissements lassaliens répartis aux quatre coins de l’Hexagone à terme…A suivre !

 

Thierry BRET

 

 


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