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Major des majors ! Cela en jette sur la carte de visite, incontestablement. Le meilleur des meilleurs. Le saint des saints, bref, la quintessence de l’excellence, si chère à l’esprit de la grande maison qu’est devenue en près de cinquante ans, le CIFA de l’Yonne. Entre Lily-Rose MARTENS et Alexandra DUFOUR, le cœur du public a balancé lors de la remise des prix. Deux lignes de vie différentes, certes, mais avec beaucoup de similitude entre ces jeunes filles, promises à un avenir rayonnant…

 

AUXERRE: « Oh les filles, Oh les filles ! ». Le groupe « Au Bonheur des Dames » n’avait qu’à bien se tenir en 1974 en interprétant ce fameux morceau, passé depuis à la postérité, encensant, et ce bien avant l’heure, la place prédominante de la gent féminine dans notre société. Une place depuis confortée dans toutes les strates de la vie sociale et professionnelle hexagonale, y compris dans la formation, via l’une de ses filiales phare, l’apprentissage.

Deux de ses représentantes icaunaises ont eu droit aux honneurs officiels lors de la traditionnelle cérémonie de la remise des prix, déclinée au centre de formation professionnel du CIFA de l’Yonne, il y a peu. Deux jeunes filles que les médias connaissent déjà presque sur le bout des doigts, tant les titres glanés çà et là de par leur pugnacité à accomplir des concours et à relever les challenges nous sont familiers ! Des apprenties, tout simplement. L’une a été sacrée lors du concours de l'Amicale des Cuisiniers de France meilleure apprentie de France dans sa spécialité, la cuisine. L’autre a pour particularisme de collectionner les titres de major des majors, comme ce fut déjà le cas en 2022 !

Leurs patronymes : Lily-Rose MARTENS et Alexandra DUFOUR !

 

Une véritable « Engagée de l’Yonne » selon Dominique VERIEN !

 

Non seulement, la première des susnommées a obtenu le « Graal » suprême offert par le CIFA de l’Yonne, ce titre de major des majors qui augure de belles perspectives tant pédagogiques que professionnelles mais en outre elle s’est vue décerner le trophée récompensant des « Engagées » de l’Yonne, une distinction mettant en lumière ces femmes qui permettent à notre territoire de rayonner bien au-delà de nos frontières. C’est l’instigatrice de ce trophée, la sénatrice Dominique VERIEN, qui devait remettre la récompense à l’issue de cette cérémonie placée sous le sceau des Jeux olympiques de Paris à la jeune fille, souvent distinguée lors de cette soirée.

 

 

A 20 ans, la demoiselle qui avait déjà obtenu son baccalauréat général avec une moyenne de 17, avait ajouté en guise de corde à son arc, le CAP cuisine obtenu en un an, l’année dernière. Avant de décrocher la Lune comme meilleure apprentie de France de la catégorie cuisine. La quatrième jeune femme française à déposer ce titre plus qu’honorifique dans sa besace en seulement 69 éditions ! Une réussite qui en appelle d’autres, tant au CIFA où Lily-Rose suit une spécialisation dans les desserts qu’au restaurant familial, tenu par son paternel, à Troyes, le « Midi O’Halle ».

 

Le savoir-être et les chiffres, la recette du succès d’Alexandra DUFOUR

 

Tout sourire et la parole facile aux côtés des personnalités devant se succéder sur la scène, Alexandra DUFOUR est l’autre versant de ce titre de major des majors 2024. Une fervente adepte de l’alternance qui accumule le nombre des années d’apprentissage au CIFA de l’Yonne qui est devenu sa seconde maison !

Suivant un cursus dans les métiers de bouche (la pâtisserie, notamment), la jeune fille s’est orientée ensuite vers le bac pro animation et gestion des entreprises, en épousant peut-être un jour les traces de son père, artisan.

Cette adoratrice des chiffres est aussi une férue du « savoir-être », notion qui plaît beaucoup aux responsables du CIFA qui savent récompenser celles et ceux des sujets qui y sont sensibles, mais aussi aux employeurs qui aiment embaucher ce type de profil dans leurs entreprises…Les filles de l’excellence de cet été 2024 !

 

Thierry BRET

 

 


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La démarche était pertinente. Permettre aux utilisateurs, petits et grands, de la chose numérique d’en savoir davantage sur les usages et les risques de cette technologie qui, il est vrai, a révolutionné notre manière d’être, de penser et d’agir au quotidien. La venue du « Numérique Ethique Tour » - une première pour le territoire de Bourgogne Franche-Comté – aura, trois jours durant, su marquer les esprits du côté de la Puisaye. Grâce à ses ateliers immersifs et démonstratifs, chacun des publics a découvert les impacts de cette technologie à travers ses aspects positifs et ses risques…

 

TOUCY: Ce n’est pas une, mais trois journées, dont aura bénéficié le public de Puisaye lors de ce voyage insolite en terre du numérique, animé par la MAIF ! Une grande première qui n’a pas laissé insensible le président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, présent à la clôture de cet évènement.

Conscient de l’omniprésence de l’informatique dans notre univers, l’élu de l’Yonne a été intéressé par les chiffres qui lui ont été communiqués. « Je dois dire que je ne suis pas surpris, précise-t-il, de lire que les jeunes âgés de 3 à 17 ans passent en moyenne trois heures devant les écrans par jour. C’est énorme et c’est trop ! ».

L’occasion était donc donnée via cette toute première tournée régionale de poser les jalons et d’apporter des informations utiles et concrètes à ce jeune public, cible préférée des vendeurs de jeux vidéo et de logiciels.

Certes, les scolaires – ils seront près de 500 personnes à fréquenter ce mini-salon in fine – étaient concernés par ces échanges pédagogiques, mais les personnes les plus éloignées de cet univers du virtuel ne furent pas oubliées, pour autant. Chacun ayant le mérite de s’interroger.

 

Rendre obligatoire ce type d’évènements auprès des scolaires de France

 

Questionné à ce sujet, le maire de Moulins-sur-Ouanne est très clair sur sa position : « ce genre d’évènement devrait être obligatoire auprès de tous les établissements scolaires de l’Hexagone. Nous le savons, notre société, les jeunes et les moins jeunes, est confrontée à l’usage excessif, voire addictif aux écrans. Certes, la modernité a du bon. Mais, il est impératif de maîtriser les risques et de les prévenir, au mieux, dès le plus jeune âge… ».

Dans l’absolu, c’est dans le cadre du contrat local de santé et de grandir en milieu rural que la CCPF s’est engagée à sensibiliser les adolescents et les adultes aux risques du numérique. La collectivité étant soutenue financièrement par la CAF, la MSA et l’ARS.

« La prévention est la clé pour éviter les problèmes les plus délicats à résoudre, poursuit Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, c’est lorsque l’on est jeune que l’on doit prendre le goût à la pratique sportive, à la culture et aussi passer des moments en famille sans être rivé en permanence à son smartphone… ».

 

 

La seule étape en Bourgogne Franche-Comté…

 

L’élu mettra ensuite l’accent sur les drames liés aux réseaux sociaux qui touchent le plus souvent les adolescents et qui font désormais la une des journaux.

A l’aide de cette structure itinérante – elle sillonne l’ensemble de l’Hexagone -, la CCPF a pu distiller un certain nombre de messages bienveillants et protecteurs à destination des parents. Même l’angle ludique fut employé pour les centres de loisirs de la contrée avec la réalisation d’un grand jeu thématique, occasion d’intégrer davantage les enfants au concept.

Des partenaires associatifs se seront greffés aussi tout naturellement à la démarche et toujours dans ce souci préventif. Ce fut le cas, notamment, de la Ligue de l’Enseignement et La Californie.

Au final, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI ne cachait pas sa satisfaction au moment de tirer le rideau sur ce premier évènementiel d’importance sur ce sujet.

« Je suis très heureux que le « Numérique Ethique Tour » ait choisi de faire étape ici à Toucy ! Je suis même très fier que nous soyons le seul territoire de la Région Bourgogne Franche-Comté à s’être associé à cet évènement ! ».

Une opération relayée par l’assureur MAIF qui aura porté ses fruits, au vu du bilan de fréquentation globale…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une évidence : s’il n’existait pas, il serait nécessaire de l’inventer ! Qui ça ? Mais le GEIQ BTP, pardi ! Soit le Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification de la filière du bâtiment et des travaux publics. Celui qui intervient en Bourgogne Franche-Comté et qui tenait il y a peu à Auxerre, sa traditionnelle assemblée générale, une séance de travail et de réflexion suivie par une cinquantaine d’adhérents et de partenaires…Ambiance !

 

AUXERRE : Derrière chaque salarié, il y a des histoires. Une mission. Des voix. Le petit clip vidéo déroule sa présentation avec ses témoignages. Des femmes et des hommes qui vantent devant la caméra les mérites de cette structure. Face à une cinquantaine de personnes, assises dans les confortables fauteuils de l’amphithéâtre de la Fédération Française du Bâtiment 89 où est accueillie cette nouvelle assemblée générale du GEIQ BTP.

Jadis, on s’en souvient encore, dans l’Yonne, c’est un garçon du nom de Daniel CARTEREAU qui en assurait la promotion avec sérieux. Aujourd’hui, la structure régionale de Bourgogne Franche-Comté a pour capitaine de route, une autre figure Didier MICHEL. Un personnage emblématique de la vie institutionnelle et économique de notre territoire que l’on ne présente plus.

Ancien président de la FFB 89, ancien élu municipal sous l’ère de Guy FEREZ, dirigeant de la société éponyme, Didier MICHEL revient en ce début d’été 2024 comme au plus beau jour : il y a peu, il a succédé à Emmanuèle BONNEAU à la présidence du MEDEF de l’Yonne, on le retrouve ici, dans cette réunion professionnelle, sous l’égide de la présidence du Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification de la filière qu’il affectionne tant : le BTP !

 

La présence de trois partenaires financeurs

 

Mais, revenons aux images. Dans un silence de plomb, les témoins filmés narrent leurs expériences en termes de formation et de plus-values pédagogiques. L’ADN, même du GEIQ BTP ! A ce titre, en 2023, le groupement a accompagné 197 parcours professionnels. Cela représente au bas mot en moyenne 350 heures de formation et dix mois de contrat. Une accumulation de connaissances et de savoir fort utiles pour mieux rebondir dans la vie active.

Un chiffre est donné durant les travaux de cette session annuelle : 82 % ! C’est en pourcentage la part de salariés qui en fin de parcours ont pu trouver la solution d’emploi durable idoine en bénéficiant du concours de ce groupement dont les initiatives sont pleinement encouragées par de nombreux partenaires, à commencer par France Travail – une petite délégation est d’ailleurs présente dans la salle -, CONSTRUCTYS ou encore la DDETS, la Direction départementale de l’Emploi, du Travail et des Solidarités. Logique, ils en sont, entre autres, les principaux financeurs.

A date, ce sont 395 structures entrepreneuriales – ce n’est pas rien ! – qui ont rejoint ce groupement. Elles représentent l’ensemble des métiers du secteur BTP dont 50 % emploient entre dix et cinquante salariés. A titre d’exemple, les techniciens en fibre optique, les monteurs de panneaux photovoltaïques, comme le précisera Céline GUILLOT, directrice de l’organisme. Cette dernière animera la séance aux côtés de sa directrice adjointe, Céline RUFFLOCH.

 

 

 

Une mission largement remplie par l’organisme associatif

 

Evoquant la labellisation du GEIQ – axiome indispensable pour développer des contrats de professionnalisation -, le tandem souligna les efforts collectifs de l’équipe qui œuvre pour répondre aux besoins de main d’œuvre des entreprises adhérentes et pour l’insertion professionnelle durable des salariés. 351 heures de formation, soit une semaine par mois, c’est le nombre d’heures consacrées aux aspects sécuritaires du secteur. 139 000 heures salariés – un peu moins de dix mois de contrat – pour 71 % des salariés qui obtiennent une qualification reconnue par le ministère du Travail ou l’Education nationale, des chiffres très importants devait préciser Céline GUILLOT, « cette année, on a permis la signature de 120 contrats avec 98 % des effectifs qui étaient issus d’un public en insertion et en qualification, on a rempli largement les missions qui nous sont attribuées… ».

Des salariés qui pour 38 % ont plus de 26 ans, 10 % ont plus de 45 ans, un public accueilli de tous les âges. Sur les sorties de 133 salariés, 82 % ont trouvé à terme une solution d’emploi durable à l’issue de ces contrats de professionnalisation, 28 % ayant signé un CDI, 37 % un CDD de moins ou plus de six mois, 24 % ont poursuivi en contrat d’alternance.

 

 

Des valeurs du travail qui provoquent le coup de foudre…

 

Arrivée depuis peu à la tête de l’organisme professionnel, Céline GUILLOT souligna que pour elle, « le GEIQ représentait un véritable coup de foudre où elle retrouvait toutes les valeurs qui lui étaient chères, à savoir celles du monde du travail… ».

Des valeurs déclinables autour de l’humain et le sens du travail.

En seconde partie d’assemblée, plusieurs intervenants purent s’exprimer sur la scène de l’amphithéâtre. Tout d’abord, Maxime PASSOT, de la société « PCE Services » qui évoqua l’aide précieuse fournie par le GEIQ régional sur le recrutement de la main d’œuvre et de la montée en compétences de ses salariés dans le cadre des travaux de mise en place de la fibre optique dans l’Yonne.

Puis, ce fut le tour d’Eric COQUET, de l’atelier « Art et Vitrail », qui développa la mise en exergue des bénéfices collaboratifs entre son entité et le groupement d’employeurs. Avant de céder la parole à une Emmanuèle BONNEAU, ayant fraîchement rendu son tablier de présidente du MEDEF Yonne, pour se consacrer exclusivement désormais à son entreprise, implantée à Saint-Florentin, « BC Entreprise ». Des témoignages qui corroboreront l’impression du départ, vue de l’extérieur, s’il n’existait pas, il faudrait nécessairement inventer ce fameux GEIQ !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Affable, il est égal à lui-même, le « Traiteur intraitable » ! Accessible, humaniste, souriant, détendu, dispo. Pourtant, à 77 ans, il est à la tête d’une entreprise familiale qui n’a rien perdu de sa superbe, dans le domaine des plats préparés dont certains, tel le fameux taboulé, sont passés à la postérité médiatique et…publicitaire ! Grâce à ce génial « gimmick » où le Bourguignon natif de la Bresse a su redonner ses lettres de noblesse à la corporation des traiteurs. Normal alors que le CFA La Brosse prônant les valeurs et les vertus du travail bien fait, le choisisse comme parrain des nouvelles salles de cours inaugurées au sein de l’établissement…

 

VENOY : L’an dernier, à pareille époque, l’Isérois d’adoption avait effectué le déplacement depuis Saint-Quentin-Fallavier et ses trois mille mètres carrés d’unités de production jusque dans l’Yonne à l’invitation de la CPME (Confédération des Petites et Moyennes Entreprises) lors de la conférence d’honneur accueillie pour les Trophées « Prestige & Patrimoine », concept évènementiel entre golf et économie, concocté par le spécialiste de la gestion patrimoniale, Gilles GENEST.

Cette fois-ci, Pierre MARTINET était de nouveau dans l’Yonne, du côté du CFA La Brosse, en qualité d’invité d’honneur, d’une cérémonie qui ne pouvait que lui faire chaud au cœur – il est de formation agricole d’origine -, l’inauguration de nouvelles salles de classe, au sein de l’établissement agricole. Un invité accueilli comme une rock star, toujours à la pointe du succès ! Logique, le personnage est devenu une figure de l’entrepreneuriat familial dans l’Hexagone depuis le succès rencontré par les produits commercialisés à son estampille. Ces jours-ci, les chaînes audiovisuelles hexagonales inondent de spots publicitaires bien ficelés les éléments marketing de la société, en rappelant à qui veut l’entendre le fameux slogan du « traiteur intraitable », le coup de génie de quelques publicistes heureux !

 

 

 

L’envie, le dénominateur du succès cher à Pierre MARTINET

 

Arborant un ensemble rouge des plus vivifiants à l’œil, Hélène DECULTOT-TREMBLAY, toute en élégance et hôte de ces lieux en sa qualité de directrice du CFA La Brosse, ne put s’empêcher d’accueillir son illustre invité comme il se devait, le plaçant immédiatement sur le piédestal de la réussite professionnelle.   

« Qu’importe d’où l’on vient, le dénominateur commun du succès, c’est l’envie. Cette phrase que l’on trouve dans votre livre, Pierre MARTINET, je souhaite qu’elle nous inspire toutes et tous au quotidien, en particulier nos apprentis. Elle nous inspirera avec certitude puisqu’elle se trouve affichée à l’intérieur de ce nouveau bâtiment. Que ce soit l’envie d’apprendre, l’envie de transmettre ou l’envie de développer chaque jour de nouveaux projets… ».

Une entrée en matière idéale pour la jeune femme avant de laisser la parole à l’homme d’affaires qui vient de décider de céder son entreprise, fin mai, au groupe « LDC », l’un des leaders européens sur le marché de la volaille et du traiteur. Une cession devant être effective d’ici la fin de l’année pour les 700 collaborateurs de l’entreprise iséroise.

 

La jeunesse, la priorité de la transmission du « traiteur intraitable »

 

Le fils d’agriculteur de Beaurepaire-en-Bresse qui a débuté sa carrière en 1968 est aujourd’hui à la tête d’une entreprise aux 230 millions d’euros de chiffre d’affaires. « J’ai su prendre le train en marche de la grande distribution et j’ai surtout osé, glissera savoureusement en guise de préambule, et devant une assistance tout ouïe, le « traiteur intraitable », sur la qualité des produits.  

Soumis au jeu de l’interview par quatre apprentis, devant poser des questions en direct, Pierre MARTINET retraça ses origines, se référant à sa vie dans l’exploitation familiale. Il expliqua ensuite ses rapports privilégiés avec les acteurs des milieux agricoles.

« Que retenez-vous de votre parcours en tant qu’apprenti ? ». Une jeune fille posa une seconde interrogation au professionnel de l’agro-alimentaire.

« L’apprentissage, c’était très dur, expliqua Pierre MARTINET, narrant ses péripéties de jeune charcutier – un métier qui n’a plus rien à voir avec ce qui se pratique de nos jours -, je commençais à 6 heures du matin et je finissais vers 21 heures. Ce n’était pas raisonnable mais c’était une autre époque… ».

Sur les 700 salariés, plus de 40 apprentis vivent leur alternance au sein du groupe MARTINET. « C’est la volonté de donner leur place aux jeunes, 90 % sont embauchés à l’issue de cet apprentissage… Nous recrutons toujours des jeunes, en permanence… ».

Accordant sa confiance aux jeunes générations, l’ancien dirigeant du club de rugby de Bourgoin-Jallieu possède une belle image de la jeunesse, même « s’il y en a une minorité qui font c… ! ».

 

 

Le taboulé chez MARTINET ? 35 000 tonnes de produits annuels !

 

Quant à la recette du succès, elle est simple selon le célèbre traiteur. Il faut bosser, bosser, bosser et avoir la « gnaque », tout le temps ! « Mais, il faut avoir un petit peu la tête bien faite, aussi ! ».

La question suivante fut un tantinet plus philosophique. « Quel message voulez-vous transmettre aux générations du futur ? ».

« Il faut être créatif, tout le temps, rétorqua l’homme d’affaires, j’ai commencé à faire les marchés en vendant des poulets, et puis j’ai trouvé un tripier qui confectionnait des museaux. J’ai ajouté des légumes au museau et j’ai élaboré des recettes de traiteur. Il faut également être polyglotte avec l’anglais et l’espagnol, c’est le plus important aujourd’hui… ».

Ne parlant pas la langue de Shakespeare, Pierre MARTINET a pu néanmoins écouler ses produits aux Etats-Unis, au Brésil ou dans d’autres pays européens. Avec une certaine réussite.

Il raconta ensuite l’élaboration des recettes de ses fameux taboulés, ajoutant des raisins secs et en lui donnant une connotation orientale dans les années 90. Un marché qui pèse aujourd’hui 70 000 tonnes dont 35 000 échoient au seul groupe MARTINET ! C’est dire !

Du petit lait pour Hélène DECULTOT-TREMBLAY et Marc LABARDE, fidèle d’entre les fidèles de l’apprentissage en sa qualité de responsable du concours du Meilleur Apprenti de France dans l’Yonne !

Recevant quelques présents gentiment offerts par les apprentis agricoles, l’entrepreneur fut ensuite invité à couper le ruban de ces quatre nouvelles salles de classe, offrant ainsi ergonomie et optimisation de l’espace pour ces têtes bien pleines qui rêvent peut-être en secret de devenir elles aussi des « traiteurs intraitables » ! Qui sait !

 

Thierry BRET

 

 


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Une première pierre à poser afin de prendre date avec la construction d’un nouvel édifice : c’est toujours un exercice des plus sympathiques pour les personnalités du sérail politique, se prêtant au jeu du maniement de la truelle et du ciment ! A observer le sourire du premier vice-président du Conseil départemental de l’Yonne, Grégory DORTE s’est donc livré à ce geste symbolique avec une certaine bonne humeur, aux côtés de ses collègues élus et des représentants du collège Albert Camus à Auxerre !

 

AUXERRE : Coiffé d’un casque de chantier, mais bel et bien habillé de sa veste de costume qu’il n’aura pas maculé de ciment, l’élu du Conseil départemental de l’Yonne Grégory DORTE, en charge de l’Education et de la Jeunesse, a tenté de maîtriser du mieux possible le maniement de la truelle, avec une relative précaution, lors de la pose de la première pierre de la demi-pension du collège Albert Camus, une animation protocolaire prétexte à ce rendez-vous entre collègues et institutionnels.

 

 

Un collège qui accueille près de 500 élèves

 

Après avoir été imité par quelques collègues de l’assemblée départementale – Marie-Laure CAPITAIN, vice-présidente en charge des Finances ou l’expert Christophe BONNEFOND nettement plus véloce dans ce type d’exercice ! -, le maire de Pont-sur-Yonne s’est accordé un temps de pause photographique, avec la taloche et le niveau en main, afin d’immortaliser ce moment des plus cordiaux entre personnalités.

Quelques minutes auparavant, et au pupitre cette fois, l’élu du nord de l’Yonne, plus à l’aise avec un micro, évoquait les origines de ce chantier.

Il y a plusieurs semaines devait débuter la réhabilitation de cette demi-pension de l’établissement accueillant 500 collégiens, situé non loin du cimetière des Conches. L’actuelle étant de conception provisoire, à partir de constructions modulaires mais de belle facture où les élèves peuvent se sustenter chaque midi dans un cadre fonctionnel dans de bonnes conditions, avec les repas livrés par la société ELITE Restauration à Joigny, assemblés sur place.

 

 

 

Cinq établissements de l’Yonne concernés par ces réhabilitations

 

Pour s’en rendre compte, les élus en petite délégation purent visiter cet ensemble modulaire en compagnie des responsables de l’établissement, la proviseure Nathalie ROMANOWSKI, accompagnée des encadrants.

Juste à côté, les ouvriers s’affairaient sur le chantier de la construction du nouvel accueil de cette demi-pension. Une opération d’envergure nécessitant dix-huit mois de travaux pour une enveloppe financière globale de six millions d’euros. Le terme du chantier est prévu pour l’été 2025. Le bâtiment bénéficiera de toutes les normes techniques en vigueur. Ici, dans ce qui est encore à l’état embryonnaire seront servis 11 300 repas chaque année aux collégiens utilisant cette prestation.

Le Conseil départemental réhabilite beaucoup de demi-pensions à l’heure actuelle, sur le budget global de 100 millions d’euros consacrés à ces rénovations de collèges. Cinq établissements profitent de ce sérieux lifting à Villeneuve l’Archevêque, à Pont-sur-Yonne, à Sens dans le quartier des Champs-Plaisants et Courson-les-Carrières. 85 % des entreprises travaillant sur ces différents chantiers viennent de l’Yonne. Quant au chantier du collège Albert Camus, il est suivi par le maître d’œuvre UBIK, cabinet d’architecture de Vermenton.

Le projet comprend dans sa globalité l’agrandissement et la réfection de la demi-pension, mais aussi la réfection du terrain de sport et de la piste d’athlétisme. On a hâte d’admirer le résultat final en…2025 !

 

Thierry BRET

 

 

 


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