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Une petite pièce. Puis, une seconde. Une troisième, enfin, pour couronner le tout. D’un métal jaunâtre, un brin pâteux, de surcroît. Rien n’a à voir avec de l’or qui tomberait en abondance d’une utopique corne, malheureusement. Quelques piécettes extirpées bien malgré elles d’un fond de porte-monnaie usé jusqu’au cuir qui viennent grossir le petit tas de ferraille, posé à côté de la canette de bière. Un bref merci sans relever la tête de la personne destinatrice de ce don, miracle du  ciel, presque affalée sur le sol, un merci teinté de honte et d’amertume face à cette existence qui n’en est plus une depuis des lustres ; et le seul contact avec un être humain qui daigne encore s’approcher de ce corps très abîmé s’éloigne à pas rapides sur le trottoir peu ragoûtant du cœur de ville...Comme si le généreux donateur ne voulait montrer son excès de zèle en public car favorisant la mendicité…aux côtés de ce « semblant » d’humanité.

C’est une scène de vie de la rue ordinaire. Une scène de plus en plus courante de ce que l’on appelle communément l’extrême pauvreté. Celle qui concerne chaque jour de très nombreux Français ou des ressortissants étrangers, ces laissés pour compte de la société, ignorés par les uns, moqués par les autres. Là, juste sous nos fenêtres de nos appartements au confort bourgeois et au charme cosy. Nuit et jour, et par tous les temps. Partout, dans l’Hexagone…

 

La France des sans-abris, des sans le sou et des sans-emplois

 

C’est l’un des autres reflets pernicieux de cette France, pays que l’on aime pourtant et qui nous l’a fait détester. Celle qui ne gagne jamais à être connue et reconnue, celle que l’on vilipende du matin au soir et du soir au matin en traitant ces exclus de la vie professionnelle et de « France Travail » de rebuts de la société quand ce ne sont pas les qualificatifs de parasites ou de fainéants qui leur collent telle une tique à la peau comme d’outrageux quolibets dont ils et elles n’ont même pas connaissance, faute de contacts avec autrui.

C’est la France des sans-papiers, des sans domicile fixe, des sans-dents comme le résumait un tantinet ironique et décalé François HOLLANDE alors pensionnaire de l’Elysée. La France des sans le sou, un autre monde qui ne verra jamais la lumière des ors et des falbalas de ces palais présidentiels et ministériels qui font la grandeur de notre Nation et qui captent sans commune mesure les intérêts analytiques et critiques de nos intelligences non artificielles à chaque remaniement !

Des silhouettes à l’apparence humaine qui naviguent hirsutes et la tête cabossée d’un trottoir à l’autre, accompagnées d’un maigre paquetage comprenant un sac de couchage et d’une couverture maculée de poussière et de miasmes quand ce n’est pas un carton faisant office de matelas ; parfois, le seul compagnon n’est autre qu’un chien au regard apeuré et à l’aspect famélique. Pauvre bestiole : elle donnerait tout un empire de croquettes pour se retrouver derrière le grillage d’un refuge de la SPA…et espérer mieux au niveau adoption !

 

 

Drôle de solidarité et de fraternité…

 

C’est donc çà la France du XXIème siècle à l’heure de l’IA, des progrès technologiques, de la fusée Ariane VI, du TGV et de la digitalisation à outrance ?!! C’est donc çà la France de la liberté, de l’égalité et de la fraternité ?!! La fraternité, parlons-en ! Elle a bon dos, n’est-ce pas ?

Surtout quand la masse de piétons détourne à l’heure de pointe parce que trop pressé le regard sur cette impensable exemple de « déchéance humaine », l’évitant à peine et ronchonnant parce que cette présence est incommodante pour la bien-pensance collective. Ne la montrez pas aux enfants ! Les bambins pourraient en faire des cauchemars, la nuit suivante.

Mais, au bout du compte, combien ont pris le temps de se pencher vers ce pauvre hère pour lui prodiguer quelques mots de sympathie ? Combien ont pris soin de s’inquiéter de son état physique et de sa santé ? Combien ont saisi leur sacro-saint smartphone afin de trouver une solution d’hébergement évitant ainsi une énième nuitée à la belle étoile dans l’encadrement d’un commerce fermé de longue date ? Combien lui ont apporté de quoi se nourrir et se désaltérer alors qu’à une dizaine de mètres de là était grande ouverte une supérette regorgeant de fruits et légumes sur sa devanture ? Combien lui ont offert des vêtements salubres et décents pour éviter de vivre dans la vermine ?

 

L’Yonne ne « recense » que 47 000 pauvres…

 

Zéro pointé sur toute la ligne en quarante-huit heures d’observation dans cette France, dite des « Lumières » et des philosophes, dite des « Droits de l’Homme » qui vient pourtant de vivre son double rêve olympique et paralympique, synonyme d’amour et de trêves !

C’est sûr, dans la discipline « humaniser une relation avec un SDF dans la rue », cela aurait été la disqualification immédiate, sans même avoir pris le temps de se rendre sur la ligne de départ pour notre team tricolore !

Que les bonnes consciences se rassurent et sommeillent tranquille ! La Bourgogne Franche-Comté ne compte, in fine, que 13,4 % de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté en 2024 !

Nonobstant, l’Yonne recense tout de même, 47 000 pauvres ! Une broutille, pensez-vous ? Pas si sûr ! Quand on sait que la population globale de ce territoire peu attractif au plan économique s’élève à 330 000 habitants. Faites le ratio et vous aurez tout compris quant à la précarité qui nous guette, avec son lot de sans-abris en voie d’expansion…

 

Thierry BRET

 


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Le député suppléant de la première circonscription de l’Yonne, le Rassemblement National Jean-Marc PONELLE, a décidé de prendre la plume afin de nous éclairer sur sa perception de ce que l’on appelle désormais, « l’affaire Daniel GRENON », suite aux propos pour le moins étrange tenus par ce dernier lors d’une interview accordée à la presse et qui avaient fait grand bruit dans la sphère médiatique juste avant l’été. Un texte, dont nous laissons à la libre appréciation analytique et critique de notre lectorat dans le seul souci informatif…(ndlr).

 

TRIBUNE : « Un mien ami, ou peut-être un ancien ami, apparemment les divergences politiques ont tendance à transformer les amis en simples connaissances, m’a sommé de prendre position sur ce que l’on appelle désormais « l’affaire Daniel GRENON ». Mon habitude personnelle et professionnelle ne me conduit pas à obéir aux ukases d’autant que le fond juridique du litige sera tranché puisque la justice et la commission de discipline du Rassemblement National doivent statuer sur le sujet.

Comme l’écrivait Paul CLAUDEL, le pire n’est pas toujours sûr et la question pour moi est de savoir si les propos de mon ami que j’ai accompagné lors de cette élection, justifient que son honneur soit dépecé et dévoré par ses adversaires politiques afin que je me pose la question de la pertinence de mon choix.

Une certaine presse locale et les adversaires politiques de Daniel GRENON ont mis en exergue une simple phrase pour le vouer aux gémonies et le classer dans la catégorie infamante des « racistes » : « les Maghrébins n’ont pas leur place dans les hauts lieux… ».

 

Redéfinir avec précision le terme « hauts lieux »…

 

Hors contexte, cette phrase ne signifie pas grand-chose puisque le terme « les hauts lieux » peut avoir de nombreux sens (Présidence de la République et/ou Premier Ministre et/ou Membres du gouvernement et/ou Présidence ou Direction de grandes entreprises et/ou postes liés à la sécurité nationale ou à la défense, etc…) et le terme « maghrébins » désigne des personnes qui ont la nationalité de l’un des pays du Maghreb (Algérie, Tunisie, Maroc auquel on ajoute la Mauritanie et la Libye si l’on parle du grand Maghreb).

A l’évidence, la phrase n’est donc pas raciste au sens strict puisque seule la nationalité est invoquée et le mantra « propos racistes de Daniel GRENON » n’a pas plus de sens.

Elle n’est pas plus injurieuse à l’égard des personnes de nationalité algérienne, tunisienne, marocaine, mauritanienne ou libyenne puisqu’il n’est pas dit que ces personnes, du fait de leur nationalité, n’auraient pas les capacités intellectuelles pour accéder à certains postes et qu’il ne s’agit pas d’une parole offensante adressée délibérément à ces personnes dans le but de les blesser moralement, d’atteindre leur estime de soi, leur honneur ou leur dignité.

Invoque-t-elle pour autant une discrimination injustifiée qui pourrait s’analyser en de la xénophobie ?

En l’absence d’une définition précise du terme « hauts lieux » dans la phrase incriminée, aucune certitude.

 

Faut-il avoir peur du RN aujourd’hui ?

 

Il faut donc revenir aux propos qui ont précédé cette phrase et ici, dans l’extrait sonore de l’enregistrement (dont seuls des extraits incomplets sont parus dans la presse écrite), apparemment effectué sans autorisation et publié sur le site du journal, après une question sélective du journaliste : « Il faut avoir peur du RN aujourd’hui ? ».

Pourquoi ne pas poser la même question sur LFI à la représentante du NFP alors qu’à l’époque beaucoup prônait un vote ni RN, ni LFI ? Il n’est question que du temps de Jean-Marie LE PEN, vu comme un passé révolu, du fait que le grand-père de Daniel GRENON était un binational arménien, de la limitation d’accès à certains postes liés à la sécurité ou la défense nationale pour les binationaux, Daniel GRENON évoquant le cas d’un franco-russe.

Ce n’est que sur la question tendancieuse du journaliste : « on prend souvent l’exemple du russe mais dans le propos de certains candidats RN, on y voit plus des franco-maghrébins, c’est plutôt cette population-là qui est visée » que Daniel GRENON est amené à parler du cas des franco-maghrébins « le maghrébin binational a sa place en France mais pas dans les hauts lieux ».

En référence à ce qui venait d’être dit, les « hauts lieux » sont donc les postes lies à la sécurité nationale et à la défense nationale qui venaient d’être évoqués, il n’existe effectivement pas de raison d’adopter une règle différente à un franco-russe ou à un franco-maghrébin si l’on considère que la binationalité peut imposer de limiter l’accès à certains postes liés à la sécurité ou à la défense nationale.      

 

MAZARIN, italien ou NECKER, suisse, ont été ministres

 

Certes, la phrase est maladroite car elle permet une interprétation différente si elle est détachée des propos qui la précédent et la suivent, on pourrait penser qu’il est dit que les maghrébins (i.e), les étrangers non dotés de la binationalité franco-maghrébine) n’auraient pas vocation à devenir ministres ou seraient devenus ministres.

Les journalistes ont d’ailleurs eu tendance à déformer les propos et présenter cette phrase comme concernant les français d’origine maghrébine ou en présentant le terme « maghrébin » comme s’il s’agissait d’une race ce qui est totalement faux.

S’agissant de la possibilité pour un étranger de devenir ministre, en pratique la question ne se pose jamais car, en général, les ministres sont désignés parmi les députés ou les sénateurs et ces derniers doivent être français.

Sur le papier aucun texte ne l’interdit pour l’instant et rappelons que MAZARIN, italien, ou NECKER, suisse, ont été ministres en France mais c’était un autre temps.

Si on évoque ce dont il était question dans le débat organisé par le quotidien local, c’est à dire les binationaux, il s’agirait alors de limiter les droits des binationaux en leur interdisant d’être ministres comme cela se pratique par exemple en Algérie, en Tunisie ou au Maroc pour parler des pays du Maghreb suivant des modalités différentes.

 

Certains postes de la Fonction publique sont réservés aux seuls ressortissants français

 

Ce n’est manifestement pas ce que Daniel GRENON a voulu dire si l’on veut bien écouter l’intégralité de ses propos qui n’évoquent finalement que les quelques dizaines de postes liés à la sécurité intérieure appelés « les hauts lieux ». Certes, le propos est insuffisamment clair et ce défaut de clarté a été malicieusement utilisé par des journalistes spécialistes dans l’art du découpage et c’est ce qui peut être reproché à Daniel GRENON qui ne maîtrise pas cet art du « discours politique consistant à n’émettre que des idées avec lesquelles tout le monde est déjà d’accord avant » pour reprendre la définition de COLUCHE, nous verrons si cette maladresse sera sanctionnée d’une manière ou d’une autre et force est de constater que les électeurs ont tranché en réélisant Daniel GRENON.

En ce qui me concerne, foin de péché éternel, le pardon et l’amitié demeurent car je sais que, la bise et l’orage venus, Daniel me tendra la main comme il l’a fait pour beaucoup dans notre circonscription.

D’un point de vue général, la proposition du Rassemblement National visant à modifier le Code de la Sécurité Intérieure et à légiférer sur une pratique réservant aux nationaux français les postes les plus stratégiques de l’Etat afin de lutter contre les tentatives d’ingérences orchestrées par des intérêts étrangers méritait-elle autant de débats et d’attaques ?

Dans les faits, certains postes de la fonction publique sont déjà réservés aux seuls ressortissants français « emplois dits de souveraineté » « qui relèvent d’un secteur régalien (justice, intérieur, budget, défense, affaires étrangères » outre les emplois qui présentent « des prérogatives de puissance publique (élaboration d’actes juridiques, contrôle de leur application, exercice d’une tutelle) ». (Cf. articles L 321-1 et L 321-2 du Code de la Fonction Publique).

La nouveauté de la proposition du Rassemblement National réside évidemment dans le fait qu’elle concerne des personnes qui ont une double nationalité franco-étrangère ce qui à priori les autorise à travailler pour le service public sauf les exceptions prévues au Code de la Sécurité Intérieure.

  

« Des adversaires qui pensaient l’affaire pliée »

 

Dans sa rédaction actuelle, l’article 1 146 du Code la Sécurité Intérieure organise les enquêtes administratives qui ont pour but de « vérifier que le comportement des personnes physiques ou morales intéressées n’est pas incompatible avec l’exercice des fonctions ou des missions envisagées » et doivent précéder les « décisions administratives de recrutement, d’affectation, de titularisation, d’autorisation, d’agrément ou d’habilitation » relatives aux « emplois publics participant à l’exercice de la souveraineté de l’Etat » et « les emplois publics ou privés relevant du domaine de la sécurité et de la défense ».

Lors d’une interview sur Europe 1, le 25 juin 2024, le ministre de l’Intérieur, Gérald DARMANIN, précisait d’ailleurs que : « les membres de mon cabinet, par exemple, passe un entretien d’habilitation où on regarde leurs faiblesses. Ça peut être une binationalité bien évidemment, ça peut être aussi l’argent, ça peut être aussi une faiblesse familiale ».

Rien de bien révolutionnaire donc, s’agissant d’introduire dans la loi ce qui existe déjà dans les faits pour quelques dizaines de postes, la seule difficulté sera de rédiger correctement la loi et de définir en quoi la binationalité peut constituer un risque avéré en matière de sécurité nationale ou de défense afin d’éviter les fourches caudines du Conseil Constitutionnel et l’obligation de recourir à une révision de la Constitution.

Il est par conséquent regrettable que cette guerre picrocholine, l’attaque contre le propos de Daniel GRENON et l’écume médiatique engendrées par des adversaires politiques fort dépités de leur défaite électorale alors qu’ils pensaient l’affaire pliée, ait occulté les véritables sujets qui devaient animer cette campagne électorale dans notre circonscription comme la fracture territoriale, la métropolisation, l’absence de redistribution efficiente, la protection du pouvoir d’achat et de la sécurité des Français.

Pour la plupart des opposants au Rassemblement National, il s’agit évidemment d’éviter que l’on s’interroge sur le bilan des gouvernements qui se sont succédé depuis une quarantaine d’années et qu’ils ont soutenu ou soutiendront, sur la pertinence d’une priorité nationale ou la régulation drastique de l’immigration irrégulière, mesures recueillant l’approbation d’une majorité de français.

 

Les jeux sont faits, à dans un an, peut-être…

  

Que propose le Président de la République et son union factice d’idées irréconciliables dont l’objectif principal était de s’opposer au fantôme d’une extrême droite fantasmée en créant la peur du moulin à vent ?

Que proposent aujourd’hui par voie de conséquence les députés dits « de la minorité présidentielle » et leurs affidés ou futurs affidés toujours prompts à saisir le maroquin qui passe, venant du centre, de la gauche ou de la droite ?

Impôts aggravés pour tous, désorganisation de l’économie, libération de détenus, droits supplémentaires pour les squatters, aggravation des déficits publics, absence de régulation de l’immigration, désarmement de la police ou le « pacte législatif d’urgence » qui ressemble furieusement au programme du Rassemblement National pour ce qui concerne l’immigration avec une dose de libéralisme concernant la lutte contre l’assistanat et la dégradation des comptes publics et l’étiquette Les Républicains ?

« Changer profondément de modèle » nous disait Emmanuel MACRON en ressuscitant sous un autre nom le Conseil National de la Résistance initié par le Général de GAULLE.

Mais à l’époque tout était à construire, aujourd’hui l’édifice est là, il suffit de le faire fonctionner… à moins que le but soit de le détruire en propulsant Jean-Luc MELENCHON au pouvoir.

Le Président de la République a trouvé la martingale : l’illusion d’une participation à l’élaboration des décisions grâce à un tour de passe-passe… à la Gérard MAJAX… la vieille lune de la participation rocardienne et de la démocratie participative à la Ségolène ROYAL, les accords d’appareils et la répartition des prébendes entre certains partis en dehors de leurs représentations électorales, tellement préférables aux solutions référendaires ou à l’élection des députés au scrutin uninominal majoritaire à un tour afin de redonner la parole au peuple et d’assurer une représentation réelle de ce dernier à l’Assemblée.

Merveilleuse magie de la boîte à disparition, invisibiliser ceux qui ne sont rien, « la classe malheureuse », ceux qui n’ont d’autres richesses que leur nation et leur capacité de travail.

Ultime lâcheté d’un pouvoir aux abois qui veut associer le peuple et tous les élus à ses échecs afin de leur transférer la responsabilité de ces derniers, un Président Ponce Pilate qui se lave les mains en gardant la maîtrise du pouvoir.

Impossible de ne pas avoir en tête cette chanson en évoquant ce Président : « Je suis un homme plein d’ambition… je suis le roi de l’illusion… je tourne en rond, je tourne en rond ».

Rien ne change à défaut de résistance des électeurs, le Président à la fois Ponce Pilate et Houdini restera le maître du modèle et d’une, éventuelle, majorité de circonstance aux ordres qui récupèrera tous les partis et tous ceux qui sont ou ont été aux manettes depuis quarante ans.

Les jeux sont faits, rien ne va plus, à nous de jouer désormais, dans un an peut-être…".

 

Jean Marc PONELLE

Député suppléant de la 1ère circonscription de l’Yonne

 


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Certains paniquent à la rentrée lorsque les courriers du Trésor Public s’amoncellent dans les boîtes aux lettres, faisant émerger à la surface de nos souvenirs encore distants avec la réalité du quotidien le poids de la fiscalité ! D’autres prennent peur lorsqu’ils reçoivent un étrange pli, à la limite de l’opacité quant à son contenu, pourtant bienveillant à bien des égards. Un courrier qui se décline en trois volets, concernant un test de dépistage du cancer colorectal. Après le cap des cinquante ans, et de manière régulière, ces tests se pratiquent de manière simple et indolore au titre de la prévention…

 

AUXERRE : Organisée il y a peu à Bléneau, et programmée début novembre, à la date du 07 dans la halle culturelle de la localité de Champignelles, chère à son ancien édile, Jacques GILET - le toujours dynamique responsable des fameux « Entretiens » du même nom ! -, la séance informative sur les dépistages organisés contre le cancer (les cancers, devrait-on dire) pourrait faire salle comble, car porteuse d’un grand intérêt pédagogique auprès de la population. Un public, majoritairement composé de seniors, mais pas que, quand on sait que ces pathologies touchent de plus en plus de jeunes gens à l’heure actuelle.

 

Des séances informatives auprès de la population

 

Effet du stress qui va crescendo dans une société anxiogène, effet de la sédentarisation et du manque de contribution physique donnée à son corps, conséquence de la mauvaise nutrition qui s’accumule dans nos assiettes : autant de sujets récurrents dont il est bon de s’informer dans le cadre d’une prévention sanitaire optimale.

Ces sessions pédagogiques, on les doit à la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie (CPAM), associée au Centre de coordination du dépistage des cancers de Bourgogne Franche-Comté, au CPTS de Puisaye-Forterre (la Communauté Professionnelle Territoriale de Santé) et la Communauté de communes de Puisaye-Forterre. Une initiative louable, à plus d’un titre, quand on sait que paradoxalement (et très curieusement), le dépistage a encore du mal à s’inscrire parmi les bonnes habitudes des habitants de l’Yonne. Des dépistages, rappelons-le, qui concernent aussi bien le cancer du sein que celui du col de l’utérus chez les femmes. Le dépistage du cancer du côlon et du rectum étant réalisable de manière unisexe.

 

 

96 % des dépistages reviennent négatifs !

 

Dans le dernier cas, il ne faut pas prendre la pathologie à la légère. La maladie est à l’origine de 17 000 décès chaque année dans l’Hexagone. Un véritable fléau qui en fait le deuxième cancer le plus meurtrier en France après celui du poumon…

Pourtant, le dépistage demeure un moyen de prévention efficace. On le sait, détecté suffisamment tôt un cancer se soigne plus facilement avec la batterie de thérapies possibles. Quant aux tests, il ne faut pas en avoir la crainte : dans 96 % des cas, ils reviennent négatifs. Près de 95 % des cancers colorectaux sont diagnostiqués après cinquante ans, tant chez les femmes que chez les hommes. Le principe du teste est simple. Il s’effectue par la recherche de sang dans les selles tous les deux ans. Cela le principe d’un prélèvement. Si la présence de sang (non visible à l’œil nu) est avérée, la personne doit ensuite procéder à une coloscopie. L’examen permet de déceler les lésions bénignes avant qu’elles n’évoluent en cancer ou de détecter un cancer pris à ses débuts.

Les personnes de deux sexes sont prévenues à partir de 50 ans par un courrier, les invitant à réaliser ce dépistage. Fiable, il est gratuit et s’obtient par un kit de dépistage remis par le médecin traitant ou votre pharmacien. Rappelons pour mémoire, que l’analyse du test est prise en charge à 100 % par la Caisse Primaire de l’assurance Maladie.

Dans l’Yonne, précisons que ce dépistage est proposé à 115 000 personnes âgées de 50 à 74 ans. Pourquoi pas vous ?

 

 

En savoir plus :

Renseignements complémentaires sur le dépistage organisé du cancer colorectal dans l’Yonne sur ameli.fr

 

Thierry BRET

 

 


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Sa finalisation est prévue pour l’automne 2024. Cela mettra donc un terme à une période de travaux très importants, soit sa rénovation complète, entamée depuis plus d’un an à cet édifice que les Auxerrois connaissent bien. Elus et techniciens de la Ville ont profité de la grande revue de « casernement » organisé en ce début de semaine dans la capitale de l’Yonne pour se poser quelques instants au cœur de la salle des fêtes, totalement méconnaissable et qui a livré quelques secrets architecturaux.

 

AUXERRE : Une immersion instructive au cœur de l’un des grands chantiers programmé dans la ville cette année. Voilà ce que retiendront les élus et leurs accompagnateurs des services techniques, ainsi que les journalistes conviés à pareille fête, à la découverte de cette salle aux origines séculaires, Vaulabelle, quasi « déshabillée » de l’intérieur et remodelée à la sauce moderniste avec des matériaux qui favoriseront son embellissement, son isolation et son acoustique, notamment, qui faisait tant défaut à ce bâtiment qui a accueilli pléthore de réunions publiques et politiques par le passé.

On se souvient des récurrentes et insupportables problématiques sonores de l’endroit, et des conditions parfois calamiteuses pour y suivre un conseil communautaire en essayant de ne pas perdre une miette des propos tenus entre les représentants de la majorité et ceux de l’opposition, malgré des micros mal réglés du fait de l’endroit peu propice à ce type de réception politique ! Malentendants s’abstenir !

 

Une salle qui était en piteux état

 

Voici douze mois, et selon la volonté de la gouvernance actuelle, en s’appuyant sur les aides de l’Etat via le DSIL (Dotation de Soutien à l’Investissement Local), de la Région Bourgogne Franche-Comté et du Conseil départemental de l’Yonne, la Ville d’Auxerre décidait d’enclencher la première, côté travaux, en effectuant un relooking total de cette salle qui faisait froid dans le dos dès qu’une manifestation publique y était organisée ! Soit un budget de 3,5 millions, version TTC !

Depuis, il y a eu du chemin parcouru sur ce gros « vaisseau », limite délabré, qui fleurait bon la Mer des Sargasses ! La toiture a été refaite ; quant aux travaux d’isolation, ils sont également achevés, permettant désormais aux entrepreneurs spécialisés dans le BTP d’intervenir dedans pour tout ce qui concerne la phase de finition et du second œuvre.

 

 

 

Une capacité d’accueil de 700 personnes

 

Les visiteurs du jour auront donc apprécié le plafond de l’immense nef, doublement perforé et aux caractéristiques propres à l’optimisation de l’acoustique. Les cloisons latérales, à l’instar des murs, ont été entièrement isolées, à l’aide de matériaux bio-sourcés, grâce à la laine de bois. La ventilation des lieux a été améliorée avec un soufflage d’air pour le chauffage. Des écrans de rappel seront installés à terme pour accentuer la visibilité de la future scène. Des leds vont éclairer la totalité de la salle en plus des luminaires. Sauf les sanitaires sont restés à l’état d’origine ainsi que le vestiaire. Un appareil élévateur sera également fonctionnel afin de favoriser l’accessibilité. Des rideaux occultant seront posés sur les fenêtres qui ne s’ouvriront pas.

Quant à la capacité de la future configuration, elle sera de 700 personnes, avec possibilité de monter à 1 200 personnes avec une dérogation.

 

 

Conserver l’esprit « vintage » de la pièce bar

 

La partie scène sera par ailleurs équipée des technologies d’usage.

Quant à la petite salle du fond, elle sera également bien sonorisée afin de maîtriser l’acoustique. Si le plafond demeure intact hormis une bonne couche de peinture et l’enlèvement des bardages en bois afin de la rajeunir, la salle retrouve ses fenêtres originelles qui avaient été occultées jusqu’alors. Effet garanti au niveau luminosité, dorénavant !

La pièce, à l’étage, conserve son bar en version « vintage » avec ses coloris vert d’origine. Le sol sera de bois. L’âme du site est ainsi préservée.

Une visite qui aura séduit notamment les élues féminines de ce petit cortège municipal, à l’instar d’Isabelle JOAQUINA qui n’a pas manqué d’immortaliser l’endroit, via son smartphone, ou encore Marie-Ange BAULU et Patricia VOYE en grande conversation dans l’une des pièces, afin de mieux y tester l’acoustique ?!

 

Thierry BRET

 

 


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Une volonté du don de soi. De servir la patrie afin de mieux en protéger ses habitants confrontés à de réels dangers. Un engagement permanent au service des autres…Quelques phrases prononcées par le préfet de l’Yonne Pascal JAN auront permis de mieux comprendre la solennité de l’instant présent, vécu tôt ce matin, dans le vaste hall du bâtiment préfectoral sur la portée des signatures de contrats d’engagés volontaires qui iront rejoindre leurs affectations dans les régiments de l’Armée de terre et des Sapeurs-Pompiers de Paris…

 

AUXERRE : C’est un acte exemplaire, méritant, et…engagé. Il se formalise par un simple paraphe apposé au bas de plusieurs documents qui en disent long sur l’intérêt de cette signature chez leurs auteurs. Petits, ils en rêvaient déjà. Devenus grands, ils en acceptent désormais le principe, en l’officialisant de la plus belle des manières, sous le regard attendri (et ému) de leurs parents, très fiers de leur progéniture. Leur jour de gloire, à eux ! Ces jeunes gens âgés de 18 à 21 ans, au nombre de dix pour cette session, qui se situent aux antipodes des clichés stériles que l’on se fait habituellement de cette nouvelle génération, inapte à l’effort et à la véritable prise de décisions si elle n’est pas virtuelle…

Dix jeunes Icaunais qui ont décidé, pour certains après avoir effectué une préparation spécifique, et après mûres réflexions de rejoindre le corps militaire de l’Armée de terre. Un évènement qui aura touché l’hôte de ces lieux, le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, peu habitué à accueillir en préfecture une manifestation protocolaire de l’armée.

« C’est un instant rare que nous vivons, devait-il préciser, pourtant nous partageons les mêmes valeurs que l’on soit représentant de la Nation civile ou de la Nation militaire… ».

 

 

Plus de 130 000 recrutements à l’année

 

Chaque année, le nombre de contrats d’engagement au sein des forces terrestres mais aussi des autres corps d’armée à l’instar de celui des sapeurs-pompiers de Paris s’élève à une soixantaine pour notre département, selon les informations fournies par le CIRFA, le Centre d’Information et de Recrutement des Forces Armées de l’Yonne. Dans l’Hexagone, ce sont plus de 130 000 nouvelles recrues (femmes et hommes de 17,5 à 32 ans) qui rejoignent les rangs, via différentes spécialités professionnelles. En tout, on recense seize domaines d’activités dont l’artillerie, l’infanterie, l’informatique, le renseignement, le génie de combat, les forces spéciales, l’administratif mais aussi la restauration, le BTP, la santé, le sport, la musique ! In fine, il existe 117 spécificités professionnelles !

Cette session, comprenant neuf garçons et une fille, comprenait de nouvelles recrues pour l’infanterie, la cavalerie blindée ou encore les fameux sapeurs-pompiers de Paris. C’était le cas de la demoiselle…

 

 

 

 

Une jeunesse altruiste ayant le sens des valeurs

 

Côté motivations, il y eut un peu plus d’éléments sur les intentions de ces jeunes gens lors de la signature des documents. L’un après l’autre, les nouveaux engagés livrèrent leurs impressions, micro à la main, avec plus ou moins d’émotivité, devant le préfet et le lieutenant-colonel Emmanuel VARLET, délégué militaire départemental de l’Yonne, et du sergent-chef, Clémence DIDIER, adjoint au responsable du CIRFA.

Morceaux choisis : « j’ai voulu m’engager pour vivre des aventures, pour donner du sens à ma vie, pour rendre fiers mes parents, parce que je suis fan de chars d’assaut, parce que je voulais être parachutiste, pour servir mon pays, pour trouver ma place dans un métier qui me corresponde, pour m’aider à me surpasser pour soutenir les plus démunis… ».

N’est-elle pas belle la jeunesse française, pleine d’optimisme et d’altruisme ?! En tout cas, l’aperçu qui nous a été proposé à la préfecture de l’Yonne, mardi matin, plaide en sa faveur…

 

Thierry BRET

 

 


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