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Derrière l’échange de maillots, il y avait de la tristesse qui embuait les regards. Logique ! Comment ne pas regretter que cette immersion en terre icaunaise ne dure pas plus longtemps, en compagnie de joueuses nord-américaines, si joviales et en totale décontraction, lors de la cérémonie de clôture de ce stage préparatoire à l’échéance olympique. L’équipe féminine de rugby à VII du pays de l’érable se souviendra longtemps de l’accueil qui lui fut réservée au complexe sportif du RCA. Un club qui s’est accommodé soudain de sa stature internationale…

 

AUXERRE : Des remerciements, il y en aura eu à la pelle ! De la part du Conseil départemental de l’Yonne et de ses représentants (son vice-président en charge des Sports, François BOUCHER) ; mais aussi de la Ville d’Auxerre, via l’un de ses élus, Sébastien DOLOZILEK ! Des satisfécits, également, qui émaneront des dirigeants du Rugby Club Auxerrois (RCA), trop heureux d’avoir su accueillir dans leurs pénates structurelles la délégation sportive du Canada, comprenant une quinzaine de joueuses ainsi que le staff des cinq encadrants, de l’équipe olympique du rugby à VII aux couleurs de l’érable.

Dix jours après son arrivée sur le sol de l’Yonne, la délégation canadienne de rugby à sept tirait donc sa révérence à l’issue d’un stage préparatoire d’avant Jeux des plus réussis, selon David PARIZOT, l’ancien président du RCA. L’occasion était trop belle de se quitter dans l’allégresse, à l’occasion d’une petite cérémonie peu protocolaire, organisée dans les salons d’honneur du club auxerrois.

 

Une médaille dans le viseur de la formation canadienne

 

Avant de procéder à l’ultime séance d’entraînement sur la pelouse du stade Pierre-Bouillot, les féminines de l’équipe canadienne auront eu tout le loisir de participer dans un esprit festif et convivial à ces retrouvailles avec leurs « copines » du Rugby Club Auxerrois, heureuses de vivre ce beau moment de fraternité sportive aux cotés de leur coach, Jérôme LEGARE.

 

 

 

Sans doute avec beaucoup d’admiration dans le cœur : cinquièmes mondiales, les Canadiennes peuvent prétendre en effet à l’une des médailles olympiques dans ce futur tournoi qui débutera à Paris au Stade de France dès le 28 juillet.

A raison de deux séances physiques par jour, le quotidien des joueuses nord-américaines fut plutôt intense dans la capitale de l’Yonne. A peine, le temps de se détendre aux abords de la rivière afin de respirer un peu !

 

 

Une délégation internationale à Auxerre ? De bon augure pour l’avenir !

 

De l’avis de David PARIZOT, l’expérience a été des plus encourageantes pour le club de l’Yonne. « On a prouvé après l’accueil de la phase finale du championnat de France militaire que le club d’Auxerre pouvait recevoir des délégations internationales, confia-t-il, c’est de bon présage pour de futurs évènements que nous pourrions accueillir à l’avenir sur notre territoire… ».

Un objectif confirmé par l’ancien président du club, renouant ainsi avec les relations presse et publiques au cours de cette soirée. David PARIZOT ne manqua pas de remercier l’ensemble des bénévoles de la structure associative, mobilisée sur ce qui restera un très bel évènement dans le calendrier de l’année 2024. Un suivi 24/24 que le groupe canadien aura su apprécier à sa juste valeur…

 

Thierry BRET

 

 


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Tout ça pour ça ! La plupart de nos compatriotes doivent aujourd’hui tirer les mêmes conclusions après les deux tours des élections législatives anticipées, ayant pour vocation première de clarifier le paysage politique dans l’Hexagone. Une clarification en choisissant la voix du peuple que souhaitait de tous ses vœux le Président de la République au lendemain des européennes, lassé de n’avoir que la majorité relative à l’Assemblée nationale depuis 2022 pour gouverner. Et imprimer ainsi, selon des résultats qu’il espérait tout autre sans aucun doute et en restant dans sa zone de confort, le cap de la gouvernance durant les trois dernières années de son second mandat.

Or, il s’avère que désormais sur le papier et surtout dans les faits, la France semble aujourd’hui être dans l’impasse, car devenue ingouvernable ! Près de trois semaines après le verdict du second tour des législatives au soir du 07 juillet, le pays n’est toujours pas doté d’un gouvernement, faute d’avoir pu choisir son Premier ministre qui en prendrait les légitimes commandes.

 

Le RN, parmi les « cocus » de la République…

 

Il est vrai que la physionomie politique entre les deux tours aura beaucoup changé. Surfant largement en tête au soir du 30 juin, avec plus de 33 % des suffrages, le Rassemblement National est devenu très vite hors-jeu du fait du front républicain mis en place par ses concurrents, reproduisant ainsi avec succès ce qui avait été déjà réalisé par le passé lors de précédentes échéances importantes pour le pays. Recréant un irrémédiable plafond de verre d’élection en élection sur lequel vient s’échouer à chaque fois le parti bleu marine…

Du fameux « ni, ni » au « ni » tout court contre le RN, il n’y aura eu qu’un unique pas, savamment mené par des tractations de tout poil ! Des tractations renouvelées lors du vote des vice-présidences et des postes clé au Palais Bourbon, où le Rassemblement National restera in fine en rade avec un zéro pointé, affiché au compteur quant aux postes à responsabilité devant lui échoir ! De mémoire, il y en avait plusieurs lors de la mandature précédente.

Les uns se plaignant de « magouilles » et de « tambouilles » de bas étage pour expliquer leur défaite ; les autres parlant de bon sens et de convergence d’idées et d’intérêt pour faire barrage à l’extrême droite.

In fine, dans le jeu des sept familles des « cocus » de la République, incontestablement, le RN et ses millions de partisans viennent d’étaler tout leur jeu d’un seul tenant sur la table accueillant les cartes ! Ils ont perdu la partie ! Rideau et rendez-vous à la prochaine échéance en…2027 pour un énième recommencement ?!

 

 

Le NFP enverra-t-il l’un des siens à Matignon ?

 

Mais, les représentants du Nouveau Front Populaire (NFP) ne sont pas mieux lotis ! Certes, si LFI a pu sauver les meubles, du moins certains d’entre eux, en obtenant deux vice-présidence à l’Assemblée nationale et la réélection de l’expérimenté Eric COQUEREL à la présidence de la commission des finances, quid de la nomination du nouveau locataire à Matignon au bout de bientôt trois semaines d’âpres négociations, de gesticulations en tout genre et de contradictions ubuesques entre les différentes composantes d’une union de la gauche qui semble se fissurer de toute part chaque jour !

Leurs électeurs, là aussi, en sont à se demander avec colère et découragement si malgré la victoire au soir du deuxième tour via le verdict délivré dans les urnes, ils verront bientôt un des leurs s’installer à Matignon et nommer enfin un gouvernement de cohabitation devant composer avec la ligne présidentielle recluse à l’Elysée !

Dans la seconde famille des « cocus » de la République, le Nouveau Front Populaire à l’heure où se rédigent ces lignes n’a rien à envier à la première des familles issues de la frange souverainiste ! Un partout et la balle au centre comme dirait un célèbre coach au bonnet bleu du côté de l’Yonne !

 

Des Républicains certes en arbitre mais….

 

Dire que les Républicains sautent de joie au plafond après la découverte de leurs résultats aux législatives serait là aussi extrapoler dans la béatitude ! Bien sûr, la bande à Laurent WAUQUIEZ a su jouer les pompiers de service à la cause de la majorité présidentielle lors des votes de ces jours derniers au Palais Bourbon moyennant quelques compensations (deux postes à la vice-présidence de la vénérable assemblée) et sans doute quelques accessits de second ordre, mais au bout du compte, quid de leur suprématie à leur hypothétique retour aux affaires à l’horizon (sans jeu de mot d’ailleurs pour la droite modérée résolument présidentielle comme chacun le sait !) de 2027 ?! Eux aussi intégreraient-ils le fameux jeu des sept familles « cocufiées » de la République ? Evidemment !

 

Rendez-vous en juillet 2025 pour de nouvelles élections ?

 

Reste la majorité présidentielle ! L’ancienne devrait-on dire en attendant la nouvelle avec les alliances de circonstance qui se font jour ? Avec la confirmation de Yaëlle BRAUN-PIVET au perchoir de l’hémicycle du Palais Bourbon en sa qualité de présidente et la désignation de plusieurs de ses représentants aux postes clé de l’institution, on pourrait presque suggérer que le pensionnaire de l’Elysée ne s’en sort pas si mal que cela, après coup ! Un vrai stratège en somme ou un veinard défiant la chance ? Les deux mon capitaine !

Non seulement, Ensemble a su éviter la fessée historique que beaucoup lui promettaient et surtout l’entre-deux-tours lui a été profitable pour renforcer ses positions qui ne tenaient parfois plus que par un fil avec l’aide de ses précieux soutiens imputables au front républicain.

Et si demain, Emmanuel MACRON reconduisait tout bonnement Gabriel ATTAL dans sa fonction de premier des ministres de son futur gouvernement ?!

Ni vu ni connu et tout ça pour ça, donc ? Et oui ! Comme aurait dit avec humour et sa gouaille légendaire le regretté COLUCHE, « on prend les mêmes et on recommence… ! ».

Françaises, français, rendez-vous en juillet 2025 pour de nouvelles échéances législatives, après dissolution, évidemment !

 

Thierry BRET

 


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Elle en est presque gênée aux entournures la secrétaire générale de la CGT de l’Yonne ! S’y reprenant à deux à trois fois pour pouvoir lire son discours de manière audible face à ses « ouailles » rassemblées sur le parking de la préfecture, tant les cloches annonciatrices de l’Angélus sonnant pile poil à midi cinq perturbent fortement la manifestation. Celle-ci se déroulant à l’appel de la force syndicale au pied de la cathédrale Saint-Etienne...

 

AUXERRE: Ce n’était pas prévu dans le déroulé de la prise de parole syndicale. Mais, cet épisode presque anecdotique en temps normal aura suscité un énorme fou rire de la part des manifestants, devant se réunir à l’appel de la CGT, de LFI et du PCF, jeudi en fin de matinée, certes devant la grille de la préfecture de l’Yonne où il n’y eut pas d’audience mais sur le parvis latéral de la cathédrale gothique auxerroise.

Alors qu’elle s’apprêtait à délivrer son message de conclusion au nom de la Confédération Générale du Travail (CGT) à l’issue de ce rassemblement contestataire proposé au premier jour de la nouvelle législature, la secrétaire générale du puissant syndicat, Véronique DEGOIX-BUTTIN, a dû s’y reprendre à deux à trois fois pour lire son texte dans son intégralité, rendu totalement inaudible par le volume sonore des cloches de l’édifice religieux, aux alentours de midi passé de cinq minutes.

 

 

 

Il était impossible pour l’assistance de capter le moindre mot malgré l’amplificateur du micro, si bien que l’oratrice dût stopper net son élan verbal et s’arrêter après quelques lignes de lecture. Déclenchant parmi le public un large fou rire que les porteurs de la banderole à l’estampille de la CGT s’empressèrent de relayer de manière très communicative !

Après les douze coups de midi où les cloches de la cathédrale tintèrent déjà de très belle manière dans le ciel auxerrois, ce fut le coup de grâce pour les manifestants des forces de gauche, après la longue envolée de cloches de l’Angélus, cinq minutes plus tard.

Si Dieu se mêle désormais aux revendications syndicales et les perturbe de manière sonore à les rendre incompréhensibles, alors dans quel monde vit-on !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 

 


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Il ne fallait pas s’attendre à la grande foule. A la mobilisation du « grand soir » ! Normal, quand un tel rassemblement s’organise de manière prompte au beau milieu du mois de juillet. Mais, actualité politique oblige, il fallait en passer par là, le jour de l’élection de la présidence de l’Assemblée nationale ! A l’appel de la CGT et autres formations à l’instar du Parti Communiste Français ou de La France Insoumise, l’heure était à la revendication et à l’unité non loin des grilles de la préfecture. Histoire d’exercer un peu de pression en faveur du Nouveau Front Populaire…

 

AUXERRE: Le message se veut fraternel. Il est adressé aux représentants du Nouveau Front Populaire (NFP) et émane de la secrétaire générale de la CGT de l’Yonne, Véronique DEGOIX-BUTTIN qui en lit le contenu couché sur ses documents. Micro en main, l’oratrice fait face à une foule quelque peu éparse, placée juste là devant les marches latérales qui mènent à l’intérieur de la cathédrale Saint-Etienne. Le mariage de l’Eglise et de la CGT ?! Quel symbole ! Cela en fait sourire quelques-uns. « Les Cathos avec nous ! », scandent une poignée de manifestants, provoquant une franche rigolade parmi les premiers rangs de suiveurs.

 

 

Une envolée de cloches et la foi envers les dirigeants du NFP !

 

Imperturbable, la secrétaire générale de la Confédération Générale du Travail poursuit sa lecture, parfois entrecoupée par la sonnerie des cloches qui résonnent à la volée et très fortement au-dessus de sa tête. Logique, il y a eu celle de midi tapante, puis celle cinq minutes après de « l’Angélus » !

Bon, qu’à cela ne tienne ! Véronique DEGOIX-BUTTIN remet le couvert. Remobilisant l’attention et l’écoute de l’auditoire qui discute çà et là, après le double épisode des cloches. Elle se réjouit de la défaite de l’extrême droite et de l’avènement au soir du 07 juillet du Nouveau Front Populaire.

« Nous avons réussi tout ce que les sondages et les politologues disaient impensables, précise-t-elle, mais nous avons maintenant un message très simple à adresser aux dirigeants du NFP : ne nous décevez pas ! Soyez à la hauteur des espoirs et des attentes de la population ! ».

Une salve d’applaudissements s’en suit. L’oratrice, galvanisée, renchérit : « Bien sûr, Emmanuel MACRON et le patronat font tout pour empêcher la mise en place d’un gouvernement conforme au choix et aux attentes des électeurs de gauche. Vous avez été capables de vous réunir en 24 heures, de vous mettre d’accord sur un programme en quelques jours, alors vous êtes capables de proposer un gouvernement commun… ».

 

 

Le programme du NFP, rien que le programme…

 

Puis, la secrétaire générale de la CGT se veut davantage menaçante dans ses arguments : « si tel n’était pas le cas, vous devrez assumer vos responsabilités… ». Puis, elle prévient que « la colère, la désillusion, la démobilisation des électeurs seraient immenses : nos luttes s’en trouveront durablement affectées et à la fin, il n’y aura qu’un seul vainqueur : l’extrême droite… ».

Une extrême droite, qui selon elle, avec l’aide de ses alliés pourraient se proclamer comme seule alternative à Emmanuel MACRON. Toutefois, comme il le fut rappelé lors de cette allocution, la CGT n’a pas de légitimité pour dire qui doit être premier ministre et qui doit diriger le gouvernement. Cependant, Véronique DEGOIX-BUTTIN est affirmative dans ses attentes : « le choix qui doit être fait par le NFP est la mise en application du programme que nous avons soutenu… ». Encore une fois, un tonnerre d’applaudissements ponctua la phrase prononcée sous le chaud soleil auxerrois du zénith.

 

 

Vers la construction d’une société réconciliée…

 

« Nous voulons des ministères de combat sur le volet social, ajoute-t-elle, nous voulons aussi des ministères de progrès avec une grande loi cadre contre les violences sexistes et sexuelles, un engagement sans faille pour la vraie égalité entre les femmes et les hommes, et une lutte contre le racisme et l’antisémitisme, etc. ».

Pour elle, c’est simple : il va falloir inventer une nouvelle forme de démocratie qui n’existe pas encore.

La CGT se dit prête à organiser des mobilisations de conquête pour gagner « du plus au lieu de chercher à empêcher le pire ».

« Le temps presse, alerte Véronique DEGOIX-BUTTIN, chaque jour perdu est un jour gagné par l’extrême droite… ».

Fustigeant le spectacle des divisions partisanes de ces derniers jours, la porte-parole de la CGT rappelle que cela provoque l’ire et l’incompréhension des citoyens ayant choisi de barrer la route du Rassemblement National.

« Il n’y a plus de place pour les egos et les intérêts partisans ! Nous sommes convaincus de vivre un tournant pour notre démocratie et nous sommes persuadés de pouvoir construire ensemble une société réconciliée… ».    

L’avenir le dira. Fin du discours pour le porte-étendard de la CGT. Un prélude à d’autres actions revendicatives, annonciatrices d’un automne indien particulièrement chaud ?

  

Thierry BRET

 

 


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Certes, cela aura été éphémère. De très courte durée parfois, au détour d’une rue traversée par le mini cortège du relayeur et de ses accompagnateurs. Une vision fugace, peut-être pour celles et ceux qui ignoraient encore l’existence de l’évènement (il y en a toujours dans le landerneau), mais le Relais de la Flamme olympique, dont on nous abreuvait tant les oreilles depuis des lustres – presque deux années de patience ! – a daigné enfin se poser sur notre territoire.

Un jour de grâce que celui du 11 juillet 2024 ! Il restera à jamais gravé dans les mémoires des habitants de l’Yonne, fiers et trop heureux d’avoir pu participer à pareille célébration, jusqu’à tard dans la nuit !

Bon, il est vrai qu’il y aura toujours les pisse-froids et les « coincés du bocal » qui exprimeront leur mécontentement sur les réseaux sociaux. Ces fameux canaux de communication si perfides et sournois pour cracher de manière anonyme ou pas, voire à visage découvert, son venin dans la soupe, sur tout ce qui se fait ou ne se fait pas ici-bas, et qui sont devenus au fil du temps de véritables exutoires dont tout le monde n’a cure au final !

 

Des émotions et des sourires qui ont fait vibrer le public…

 

Alors, celles et ceux qui remettront en question le simple fait d’avoir accueilli ce symbole universel de la paix et de l’olympisme en nos murs ; celles et ceux qui critiqueront les organisateurs (en l’occurrence le Conseil départemental de l’Yonne à l’origine de la venue du Relais) d’avoir dilapidé beaucoup trop d’argent pour recevoir ce « barnum » inutile à leurs yeux dans sept villes de notre territoire ; celles et ceux qui n’ont pas apprécié ce long cortège du fait du blocage de la circulation et des contraintes pour accéder aux commerces des hyper centres des villes ; celles et ceux qui détestent le sport et toutes les valeurs qui y sont rattachées ; celles et ceux qui ronchonnent pour un oui ou pour un non et qui intègrent une catégorie de personnes dont Coluche avait fait sa cible chronique préférée dans ses sketchs hilarants ; on peut leur dire stop à toutes ces réactions néfastes et pessimistes !

La liste des litanies est longue, trop longue même au bout du compte. Et cela n’a, in fine, que bien peu d’importance au regard des émotions, de la joie, des sourires qui auront égayé le public  venu  en nombre lors de cette journée mémorable. Que certaines et certains n’oublieront jamais de leur mémoire. Qu’ils soient jeunes ou plus vieux, ruraux ou urbains, sportifs ou inaptes à la pratique d’une quelconque discipline athlétique...

 

 

 

Oublier un bref instant le monde et ses désillusions…

 

On attendait du monde et il y a eu du monde. A Chablis, Avallon, Sens ou à Auxerre. Ailleurs, aussi. Idem en Côte d’Or dès le lendemain puisque la 55ème étape se jouait du côté de Beaune et de Dijon. Peut-être pas le succès global escompté selon les prévisionnistes, mais tout de même. Avec, pour ne citer qu’un seul exemple, ce parc Roscoff dans la capitale de l’Yonne, garni jusqu’à plus soif. Entre 17 heures et 21 heures, ce jeudi sous ce soleil couchant et ses menaces orageuses.

Les témoignages sont formels. Recueillis à chaud, auprès des spectateurs comme des organisateurs et observateurs : la joie était dans l’air. Comme un jour d’été sans fin aux couleurs bleues azur, un 14 Juillet sans l’ombre d’un nuage ou d’une perturbation. Un jour de bonheur à l’état pur pour oublier tout ce qui nous entoure. Le monde et ses désillusions, celles-ci étant distillées au quotidien…

Dire que la foule était en liesse serait peut-être un peu fort de café et encore que, à la simple vision d’un Guy ROUX toujours  aussi populaire, qui a l’âge de 85 ans passés et ayant porté la mythique torche de l’Olympe, dispose d’une cote de sympathie à faire pâlir bon nombre de politiques en ces périodes gouvernementales si complexes !

 

 

La France que l’on aime en parfaite symbiose…

 

La France du football et de MBAPPE n’auront pas su passionner nos concitoyens cette année à cause de leurs résultats en dents de scie malgré cette demi-finale inespérée perdue face à l’Espagne, les Français se sont donc rabattus, et bien avant que ne démarre la quinzaine olympique, vers le passage de ce Relais de la Flamme aux quatre coins, ou presque, de l’Hexagone.

Pour que vive l’espoir d’une France unie et unique de par sa diversité. Une France en communion, davantage dans l’allégresse que dans l’austérité. Une France qui aime entreprendre et qui remporte des victoires sur l’adversité. La France que l’on aime, en somme, la nôtre. Illuminée par cette flamme, symbole d’un hymne à la joie retrouvé, le temps d’une pause estivale…

 

Thierry BRET

 


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