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Stop ! Il faut que cela cesse ! Tout le monde se gausse au quotidien à grands renforts de commentaires dithyrambiques le plus souvent anglicisés, voire enjoués via les réseaux sociaux ou lors de soirées conférence proposées dans les cercles économiques, des apports faramineux de l’intelligence artificielle (IA) sur le devenir de l’humanité. Histoire de la rendre plus performante, plus sûre d’elle-même, plus crédible aux yeux de tous oui mais de qui ?, plus rentable, plus brillante encore qu’elle ne l’est déjà et surtout… plus « conne » que dans la réalité !

Georges ORWELL et René BARJAVEL nous avaient bien prévenus jadis avec leurs écrits ô combien prophétiques dont il faut relire la moindre des pages en se délectant, des écrits  qui ne ressemblaient nullement à de la science-fiction : l’homme sera tôt ou tard rattrapé par la machine et sa prétendue intelligence numérique, qui n’en est pas une dans les faits.

Car, elle est utilisée le plus souvent à mauvais escient pour mieux spolier, voler, arnaquer, escroquer, menacer, truander…celles et ceux de nos semblables, des néophytes, des béotiens, des jeunes, des vieux qui en sont les premières victimes. Comme de bien entendu…

Un sacré coup de poignard dans le dos dont bon nombre de Français (et autres citoyens de la planète) observent désormais les actes fallacieux et pervers à la vitesse grand V, répréhensibles à bien des égards par la justice.

 

Tu paies ou je te dénonce sur la toile !

 

Voulez-vous des preuves ? Il ne se déroule pas une journée sans que l’on ne reçoive sur les appareils à haute valeur ajoutée technologique que sont nos ordinateurs, portables, tablettes, etc. – nos référents bibliques du quotidien puisque nous sommes tellement intoxiqués et dépendants à leurs usages comme une drogue que nous que nous dormons même avec pour certains ! - des menaces et accusations de la part de ces « professionnels », ultra rodés et friands utilisateurs de l’« IA » à tous les étages et qui en détournent les soit disant bien-fondés, en exigeant rançons, acquittements d’une dette, pénalités, prélèvements bancaires, et tutti quanti !

Sous peine de publier les photographies, l’identité, le patronyme de votre auguste personne sur la toile en vous pointant de l’index pour des raisons ubuesques : hou, le vilain, il a commis une faute indigne et masturbatoire face à sa web caméra, il faut qu’il paie tout de suite sinon on le livre à la vindicte populaire !

Sous peine d’être convoqué par la gendarmerie nationale ou la justice qui ont le mauvais rôle dans l’histoire puisque sollicitées à tout bout de champ par ces faussaires de l’âme sans vergogne qui produisent de fausses convocations judiciaires et qui ne sont plus comme auparavant bourrées de fautes d’orthographe et de syntaxes ! A croire que les malfrats auraient gagné en neurones en prenant des cours de grammaire et de vocabulaire ?!

 

 

Le monde du XXIème siècle est devenu « cyber-connerie » !

 

Sans compter les menaces récurrentes de procès avec lourdes amendes à l’appui qui virent au harcèlement mental pour les malheureux destinataires de ces e-mails, SMS et messages téléphoniques abjects, dénués de fondement car ne reposant sur rien au plan juridique, qu’il faut donc ingurgiter à longueur de journée. Ils sont des centaines de milliers chaque jour en France et des millions dans le monde à recevoir cela ! Sans protection aucune, sauf à les dénoncer ouvertement et à les combattre !

Bonjour, le respect de l’intégrité morale ! Merci à cette « Intelligence Artificielle » de daube pour ne pas dire autre chose qui est à l’origine de ces nouveaux maux qui polluent la société ! Une société qui n’avait vraiment pas besoin de cela, à l’heure actuelle, qu’on en convienne…

Qu’on se le dise, mesdames,  messieurs, le monde du XXIème siècle (totalement pourri, répugnant et nauséabond au plan de la moralité et du civisme) est devenu cyber à bien des égards. Cyber sécurité. Cyber attaque. Cyber contre-attaque, aussi. Bref, surtout cyber connerie !

 

 

Des conséquences catastrophiques sur l’économie et la société…

 

Sauf que dans les faits, les répercussions sur le mental des humains, sur les pans de l’économie toute entière, sur le fonctionnement des institutions sont catastrophiques. Chaque jour, les harceleurs dont il faut pendre haut et court toutes les initiatives scandaleuses provoquent des drames aux conséquences funestes incalculables.

Ici, des PME et entreprises sont en proie à des grandes difficultés car soumises à d’innombrables rançons auxquelles il est impératif de ne jamais verser le moindre centime d’euro (la technique de la demande de signature du faux patron est très répandue) ! Là, des centres hospitaliers sont pris en otage par les attaques cyber des états voyous de la planète – il n’est même plus nécessaire de les citer, on les identifie par simple évidence ! -, condamnant les praticiens à différer les interventions chirurgicales, faute de dossiers médicaux fiables et sérieux.

Cette semaine, ce sont plus de 33 millions de Français, vous, moi et autant d’autres, qui ont été victimes sans même le savoir des attaques coordonnées de ces « hackers » à grande échelle au niveau international, commandités par les forces  obscures du mal comme le dirait Dark Vador (!) contre des mutuelles hexagonales. Les professionnels des soins (dentaire, optique…) ne savent plus à quels saints se vouer depuis, privés pour l’heure des effets régulateurs du tiers-payant !

La France redoute des attaques de tout poil numérique lors des prochains Jeux Olympiques, accueillis à Paris  à l’été. Sommes-nous prêts pour y faire face ? Aurons-nous les parades nécessaires ? Sachant que des réponses appropriées de l’avis des experts existent pour contourner cela.

Non contente de supprimer au cours de la décennie à venir plus de 300 millions d’emplois aux Etats-Unis et en Europe – ce qui laisse a priori tout le monde indifférent à date dans nos sphères bien pensantes ! -, l’IA, mal intentionnée et détournée de ses valeurs originelles, représente une telle menace pour l’Humanité que l’on n’ose en imaginer les véritables conséquences psychiques et psychologiques sur la société. Il ne manquerait plus que son usage s’inscrive au programme des futurs Jeux Olympiques de Los Angeles en 2028 ? Elle obtiendrait assurément la médaille d’or !     

 

Thierry BRET

 

 


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On le sait, l’artiste possède un cœur gros comme ça ! N’hésitant jamais à consacrer beaucoup de son énergie et de son talent sur scène, exhumant de nos mémoires ces ritournelles populaires qui ont fait la France de la chanson. Beaucoup de son temps, aussi, lorsqu’il s’agit de discuter ou prendre la pose, après le récital, avec son public d’aficionados. Ambassadrice de charme et de tête de notre territoire, Christelle LOURY a une fois de plus émerveillé le public du théâtre d’Auxerre lors d’un concert à vocation caritative au profit des œuvres sociales du KIWANIS Club d’Auxerre…

 

AUXERRE : Lumineuse, Christelle LOURY ! Dans le halo des projecteurs, sa gestuelle enrichie des paillettes de sa robe sombre virevolte comme un papillon gracile, un soir d’été. Et puis, il y a la voix. Sa voix. Cette voix ! Elle peut interpréter avec décontraction et aisance les plus beaux titres du catalogue hexagonal.

« Que reste-t-il de nos amours ? » de l’éternel Fou chantant, Charles TRENET. « Avec le temps », emprunté au répertoire du plus anarchiste des interprètes français, Léo FERRE. Mais, aussi, « Ne me quitte pas » de l’indémodable Jacques BREL ou encore « La Javanaise », qui inspira tant Serge GAINSBOURG et Juliette GRECO ! Mais, le registre de prédilection de la dame, toute vêtue de noir, c’est naturellement…Edith PIAF !

La môme de l’Yonne parsème son tour de chant, accompagnée par le virtuose instrumentiste au piano, Christophe KOTSIRAS, de morceaux populaires de la muse de Marcel CERDAN. « Paris », « La vie en rose », « Sous le ciel de Paris » ou « Padam » : des airs ultra entendus, dont on connaît la moindre note et le plus délicat des mots, que le public pourrait chanter, a capella, sans la moindre peine.

Un public, venu en nombre, plus de 500 personnes, confortablement installés dans la grande salle du théâtre auxerrois…

 

Un soutien aux enfants d’Ukraine par voie canine…

 

Une scène mise à disposition de manière gracieuse par la municipalité à la structure organisatrice de la soirée : le club service local, le KIWANIS Auxerre. Principe d’un club service en règle générale comme son patronyme l’indique : rayonner autour de lui et faire du bien, en pratiquant l’altruisme et la solidarité à tous les étages. En faveur des personnes âgées et atteintes d’un handicap, mais pas que. Il y a les malades, celles et ceux qui subissent le décrochage social, ou toute autre forme de fragilité. Au KIWANIS, l’un des trois clubs service international les plus réputés, le credo est précisément de « servir les enfants du monde ». Dieu sait qu’il y a du travail !

Présidente de l’association, Lucile BEAULIEU pose le décor, avant que ne débute le concert tant attendu. Cette année, les fonds levés auprès des nombreux partenaires et les bénéfices des évènements de l’année convergeront vers le SDIS 89 et à l’Union départementale des sapeurs-pompiers de l’Yonne. Grâce à une opération humanitaire (et canine !) destinée à l’Ukraine !

« Six chiens ont été sauvés de la maltraitance ou de l’abandon, explique l’oratrice, ils ont été formés par un maître-chien agréé et référencé au SDIS au sauvetage en milieu périlleux, en l’occurrence sur le théâtre de guerre actuel… ».

On l’aura compris, ces animaux – les meilleurs amis de l’homme – auront pour tâche d’effectuer des recherches de survivants ou disparus sous les décombres. Une tragédie qui concerne les enfants, malheureusement.

Des chiens, popularisés par les médias régionaux, qui ont été remis par le SDIS 89 à six femmes, maîtres-chiens et démineuses de l’armée ukrainienne, il y a quelques jours à Auxerre.

 

 

« Aimer à perdre la raison » : l’accomplissement des gestes altruistes

 

Parmi les autres actions qui figureront au programme des aides de l’année 2024 : citons le projet de l’association ALOPIAS, du sportif de l’extrême Arnaud CHASSERY. Le KIWANIS Club d’Auxerre financera l’acquisition d’une joëllette à assistance électrique – un fauteuil tout terrain monoroue – favorisant la pratique de la randonnée à toute personne en situation de handicap. Là aussi, les enfants sont en première ligne des bénéficiaires, car utilisateurs de ce moyen de locomotion ludique intégrant l’inclusion sociale par l’accès aux loisirs et l’acceptation de la différence.

Traditionnellement, la structure associative propose des baptêmes de l’air à des enfants fragilisés de notre département, confiés ou non à des organismes d’aide à l’enfance comme la Protection de l’Enfance ou des établissements socio-médicaux. Le rendez-vous est d’ores et déjà prévu à la mi-juin.

« Aimer à perdre la raison », chanta si bien, sur des vers de Louis ARAGON, le formidable Jean FERRAT en 1971 : Christelle LOURY en donnera par ailleurs une sublime version, lors de ce rendez-vous caritatif. N’est-ce pas le propre du KIWANIS Club d’Auxerre d’aimer son prochain et les enfants sans compter lorsqu’il réalise autant de manifestations altruistes et si utiles ?

 

Thierry BRET

 


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Le nœud papillon tient toujours une place prépondérante dans le dressing code du patron du groupe SCHIEVER. Elégance dans la vêture, élégance dans le verbe ! Les habitués du réseau Entreprendre Bourgogne de l’Yonne en savent quelque chose. Eux qui se délectent chaque année du discours original les accompagnants dans la nouvelle année, celui des vœux de leur président, Vincent PICQ. Un must dans le genre oratoire qui se veut dynamique et vraiment très énergisant !

 

SENS : Décalé, le président de l’antenne icaunaise du réseau Entreprendre Bourgogne ? Certes, le charismatique responsable du groupe SCHIEVER – un des poids lourds de la grande distribution hexagonale – est toujours affublé d’un ravissant nœud papillon à chaque apparition publique ; c’est un peu sa signature vestimentaire en quelque sorte ! Raffinement et élégance quand tu nous tiens !

Mais, c’est plutôt dans la formulation de ses discours que se situe réellement le distinguo qui le place sur le seuil de la différence, vis-à-vis d’autres représentants de la sphère économique. Car, écouter un Vincent PICQ s’exprimer, c’est prendre un sacré bol d’énergie dans la face, en laissant idées noires, pessimisme et manque de confiance à la revoyure !

 

« Chaque année, je fais des vœux qui ne servent à rien ! »

 

Le ton, tout d’abord. Il est enjoué, chaleureux, convivial. Pas de monotonie lénifiante ni de discordance dans les propos. Devant un parterre représentatif de ce qui se fait de mieux dans le milieu économique du terroir – le réseau Entreprendre Bourgogne animé depuis le départ vers les étoiles de la regrettée Sophie BERNARD par la pétillante et lumineuse  Catherine GUIGNARD-MILLET – ne cesse de croître en termes d’effectifs. Pour preuve, la grande salle mise à la disposition par Pascal CHAROT au sein de sa structure professionnelle éponyme pour accueillir cette cérémonie annuelle était comble.

Le contenu de l’allocution, ensuite. Une fois la page d’histoire tournée – Vincent PICQ fait référence en quelques mots à la capitale des Sénons et à son commandant militaire Brennus qui a mis la pâtée aux soldats romains ! -, l’orateur aborde ses vœux. Présentés à l’ultime journée de janvier. Un 31 ! Comme si c’était ceux-là qu’il fallait imprimer longtemps dans toutes les mémoires !

L’humour, enfin. C’est presque dans l’ADN de notre personnage qui se veut être un trublion du verbe. « Chaque année, je fais des vœux qui ne servent à rien ! ». Prétextant qu’il souhaite le meilleur à chaque exercice à ses ouailles entrepreneuriales mais que ce n’est ni pire, ni mieux, au demeurant une fois l’exercice calendaire clôt !

 

Une bande d’entrepreneurs, bourrés de qualités…

 

Nonobstant, il y a de l’optimisme à revendre dans le discours. « Est-ce que c’est si grave si chaque année on observe son lot de crises, de guerres ou de catastrophes, s’interroge celui qui place Avallon parmi les plus belles villes de l’Hexagone, ce sera toujours comme ça… ».

Surprenant ? Sans doute, mais poursuivons. « Ce soir, vous êtes tous là parce que vous avez réussi à surmonter les obstacles. C’est ça, la bonne nouvelle : c’est que vous avez toutes les qualités pour savoir surmonter les obstacles ! ».

Pourquoi ? « Parce que vous êtes une bande d’entrepreneurs, bourrés de qualités, qui avez réussi à braver les obstacles de 2023… ».

Fidèle à sa litote décomplexée, le président du réseau Entreprendre Bourgogne répète avec insistance : « je n’ai rien à souhaiter pour 2024 puisque vous êtes pareil qu’en 2023 ! 2024 ? Vous avez l’année entre vos mains. Donc, qu’est-ce que je peux vous souhaitez de plus que vous n’ayez déjà ! Si vous êtes là ce soir, c’est parce que vous êtes tous performants, individuellement… ».

 

 

Des phrases qui font afficher de larges sourires à un auditoire sous le charme. Et conquis par une intervention oratoire, pour le moins peu ordinaire.

« Ce soir, vous souriez, c’est du bonheur, continue un Vincent PICQ qui ne sait que faire de son micro car adepte de la gestuelle scénique, vous souriez parce que vous êtes heureux et que vous avez réussi ! Malgré les difficultés et la concurrence – elle est saine sinon on n’avance pas ! -, et le côté anxiogène de la vie, vous êtes tous là, souriants ! ».

 

Partager le bonheur de créer et de réussir autour de soi !

 

S’en suivra la justification de ces sourires : « l’entreprise, vous appartient, vous vous éclatez, vous générez de l’emploi, vous réussissez… ».

Puis, Vincent PICQ demandera aux adhérents du réseau d’affaires régional de partager ce bonheur. « Vers les autres, dans l’entreprise, communiquez ce bonheur autour de vous ! Rendez heureux vos salariés ! Parce que c’est bon pour l’entreprise et la santé, ce bonheur du désir d’entreprendre doit se répandre autour de vous… ».

Philosophe, il citera même le grand VOLTAIRE, le chef d’entreprise de l’Yonne !

« J’ai deux vœux à formuler, dira-t-il en guise de conclusion, partager votre bonheur de réussir et d’accomplir avec votre entourage cela contribuera à améliorer le climat social et à le rendre meilleur, le deuxième est de prendre conscience du moment que l’on vit. Nous avons la chance d’être ensemble ce soir, des entrepreneurs heureux et ensemble… ».

Mieux que la prestation d’un consultant, d’un coach ou d’un psy ! Dites, Monsieur PICQ, est-ce que vos discours vitaminés et réconfortants à l’endroit des entrepreneurs sont remboursés par la Sécurité sociale ?! En tout cas, ils sont source d’inspiration !

 

Thierry BRET

 

 


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« Notre invitée d’honneur, on a tous l’impression de la connaître un peu, comme une amie de la famille… » Claude VAUCOULOUX. Celle de l’UIMM ? Celle du MEDEF ? De la FFB, la puissante fédération du Bâtiment ? Un peu de tout çà, à la fois, tant il est vrai que Roselyne BACHELOT a su susciter la mobilisation lors de son récent passage à Auxerre, à la Maison de l’Entreprise, lors de la cérémonie des vœux au monde économique. Une ancienne ministre et sociétaire des « Grosses Têtes », courageuse et pugnace, puisqu’elle aura tenu à être présente lors de cette conférence, concentrée sur le devenir de la culture, malgré une forte température dont elle souffrait encore le matin même…

 

AUXERRE : Le sourire, quelque peu timide, s’affiche sur son visage légèrement pâlot. Précautionneuse, l’ancienne multi-ministre de l’Etat français (Ecologie et développement durable, Santé, Cohésion sociale, Culture…) s’entretient discrètement avec la cheville ouvrière de la soirée, Florence POULAIN.

Le décor sur l’estrade de la Maison de l’Entreprise se modifie à sa demande : il serait judicieux de placer la belle composition florale, à côté du pupitre. Exact ! Oui, la bouteille d’eau, salvatrice à souhait lorsque l’on a un chat dans la gorge, de se trouver là, à portée de main au cas où.

Posant ses affaires au premier rang qui lui était réservée, Roselyne BACHELOT respire quelques instants. Elle se concentre. Pas si simple de donner une conférence et apporter son regard critique sur la société actuelle lorsque le matin même, une poussée de fièvre à près de 39° de température vient jouer les trouble-fêtes !

Un petit échange avec elle – on parle de la qualité de public présent en nombre dans l’amphithéâtre auxerrois qui n’a rien à voir avec celui des studios de RTL lorsque l’ex-ministre joue les sociétaires des « Grosses Têtes » avec humour et finesse d’esprit – et voilà que la chroniqueuse de BFM TV s’absorbe dans ses notes, en faisant le vide autour d’elle.

 

Pas de questions directes à l’intervenante…

 

C’est que ce soir, Roselyne BACHEL OT et sa pertinence sont les stars de l’évènement porté par l’UIMM, le MEDEF et la FFB de l’Yonne ! « Une femme qui est notre marraine lors de ces retrouvailles liées à la cérémonie des vœux, ce n’est pas commun, lâchera même quelques instants après la patronne des patronnes de l’Yonne, version MEDEF 89, Emmanuèle BONNEAU !

Et quelle femme, devrait-on dire ! Car, l’humour parfois corrosif et les anecdotes croustillantes vont ponctuer ces trente-cinq minutes d’intervention, permettant à un auditoire toute ouïe de se délecter.

Dommage, mille fois dommage, toutefois, qu’il n’y eut pas les traditionnelles questions posées à l’invitée à l’issue de sa prouesse orale : on aurait peut-être eu de grandes envolées lyriques ou des échanges mémorables à se mettre sous la dent ! Et des révélations d’Etat à se raconter longtemps autour de la cheminée en ces longues soirées hivernales !

Mais, en sage qu’il est, et toujours très respectueux de ses invités, choisis parfois six mois auparavant parmi son carnet d’adresse des plus garnis, Claude VAUCOULOUX n’aura pas proposé l’exercice à l’intervenante, souhaitant de ne pas trop exposer l’ancienne ministre de la Santé sur scène, un peu fébrile comme chacun le savait…

Femme de caractère qui ne s’en laisse pas conter – ces échanges avec son confrère médiatique le sieur DUHAMEL sur BFM TV ne manquent jamais de piquant ! -, Roselyne BACHELOT écouta attentivement les propos introductifs de Claude VAUCOULOUX devant brosser un synthétique portrait de la ministre aux six maroquins.

 

Jack LANG et François MITTERRAND : le bilan flatteur de la culture au temps des socialistes…

 

D’emblée, elle invita par ses propos et la pensée l’indémodable ancien ministre de la Culture de l’ère MITTERRAND, Jack LANG – il est toujours à la présidence de l’Institut du Monde Arabe à Paris - à la « rejoindre » de façon symbolique dès le début de son exposé.  

« Même mon ami Frédéric MITTERRAND m’a toujours précisé que lorsqu’il était salué dans la rue en qualité de ministre de la Culture, il se retournait pour voir si Jack LANG n’était pas derrière lui ! ».

Le ton est donné. Rires et sourires à l’appui. Elle tacle « Télérama » avec une couverture du fameux magazine culturel, mettant en scène François MITTERRAND et Jack LANG, posant devant les colonnes de BUREN. « On n’a l’impression que la culture n’a jamais existé avant mai 1981 dans ce pays ! ».

Observant que la France est un état qui mène une politique culturelle comme un outil économique, la conférencière insista ensuite sur le statut des intermittents du spectacle. Prenant à parti le public. « Savez-vous que c’est le patronat qui a instauré ce système en France ? ».

Ce sont en effet les grands patrons de l’industrie cinématographique qui ne trouvant pas de personnels adéquats ont développé ce statut si particulier : maquettistes, techniciens, régisseurs, éclairagistes…

« Une fois, à la rencontre de syndicalistes de la CGT, je leur ai demandé pourquoi ils se battaient comme des diables pour défendre une disposition imaginée par le  patronat français, plaisanta-t-elle, à la stupeur des cégétistes ! ».

Autre cocasserie qui fit sourire la salle : « la loi sur les fouilles archéologiques, sur la protection du patrimoine d’état, sur les archives, la création de l’organisme d’aide au cinéma, le CNC, ont été créé par le régime scélérat de Vichy et de PETAIN ! ». On sent alors l’œil amusé de la dame et son aspect joueur à distiller quelques saillies provocatrices, toute en subtilité verbale !

Puis, de nouveau, Jack LANG revient sur le devant de la scène : « ce n’est pas le ministre de la Culture de François MITTERRAND qui a inventé le festival d’Avignon comme le prétendait jadis un élu communiste, martèle Roselyne BACHELOT, il faut se souvenir que ce festival a été créé en 1947 ! ».

Du président de la République à la rose, le socialiste François MITTERRAND, l’ancienne ministre dira que son bilan culturel est de loin flatteur. On se souvient de la création des fonds régionaux d’art contemporain, de la Fête de la Musique, des Journées du Patrimoine, etc.

« Il y eut des réussites qui ont été contestées mais qui sont maintenant acceptées par tout le monde. Je pense à ces colonnes de Buren qui ont été adoptées alors que conspuées au début de leur présentation, trop élitistes, voire offensantes par l’intelligentsia… ».

 

La durée de vie expéditive des ministres de la Culture !

 

Mais, devait-elle ajouter en défendant les politiques culturelles de l’époque, « personne ne parlait de réchauffement climatique, ni d’écologie, ni de sobriété énergétique… ». Ne parlons de la politique numérique, juste en appoint et en accompagnement à l’époque dans l’esprit des grands faiseurs de l’Etat. Ce qui n’est plus du tout le cas, désormais.

Tour à tour, Roselyne BACHELOT commentera la banalisation du livre et de l’édition dans la société consumériste avec le poids de la grande distribution,  les propos de Jacques TOUBON qui dans un ouvrage fit un état des lieux à charge de la situation avec le déséquilibre de Paris et la province, l’échec de la démocratisation culturelle, l’état d’abandon de bon nombre d’institutions culturelles, l’instrumentalisation de la politique culturelle…

« La rue de Valois – elle accueille le ministère de la Culture – s’est même transformée en un ministère de la propagande ! ».

Mais, assure-t-elle tout de go, « je ne fais pas un procès d’intention à Jack LANG ! ».

Repenser à un équilibre territorial culturel ne serait pas néfaste pour les régions de France. Histoire de bouter une bonne fois pour toute la politique « parisiano-centrée » de la culture qui fut incarnée par François MITTERRAND, pourtant homme de terroir, vivant entre Morvan et les Landes ?

« En général, il y a trois ministres de la Culture par président, s’amuse Roselyne BACHELOT, on a à peu près au ministère de la Culture la durée de vie sur la bande d’urgence de l’autoroute ! ».  

 

 

55 % des Français ne fréquentent jamais une salle culturelle

 

Toujours dans la même veine, l’oratrice nous livrera quelques perles truculentes sur les travaux à envisager pour préserver lesdites colonnes de Buren (encore elles !), « une restauration au bout de dix ans avec 6 millions d’euros pour réhabiliter les colonnes elles-mêmes et 14 millions pour réparer les malfaçons structurelles de ces colonnes, soit 20 millions en dix ans ! ». Ca pique !

Quant à la rénovation de Beaubourg, qui aura lieu après les Jeux de Paris, il en coûtera une enveloppe de 500 millions d’euros. Un peu moins pour le Grand Palais avec 400 millions d’euros et la restauration du château de Villers-Cotterêts, estimée à 250 millions d’euros.

Des budgets à la culture qui ont doublé à la prise de fonction de Jack LANG. La mission culture équivalait à 4,2 milliards d’euros. Avant de passer à 8,5 milliards ! La politique démentielle de l’offre culturelle n’aura pas servi, a contrario, la démocratisation de la culture dans l’Hexagone. Une étude le constate : « on a installé des plats sur la table de la culture de plus en plus nombreux, mais les convives sont restés les mêmes ! ».

Aujourd’hui, 55 % des Français ne fréquentent jamais un lieu de spectacle vivant, ni opéra, ni cabaret, ni théâtre, ni salle de concert, ni un cirque, etc. Seuls 9 % de nos concitoyens suivent l’actualité culturelle en se rendant dans les salles à raison d’une dizaine de manifestations artistiques annuelles !

Pourtant, le monde de la culture représente 70 milliards d’euros de chiffre d’affaires et emploie 700 000 personnes, soit plus que l’automobile, l’aéronautique et le nucléaire.

« Personne ne se rend compte de cela, s’étonne l’ancienne ministre de la Culture, alors que faut-il faire ? Faudrait-il un ministère recentré sur le pilotage des politiques culturelles ? Il faut des capacités budgétaires et des capacités d’expertise en interne : or, le ministère de la Culture n’a pas les moyens ni les compétences humaines… ».

 

Changer les mentalités autour de l’art et de la collection en France

 

Quant à la sauvegarde du patrimoine, Roselyne BACHELOT est on ne peut claire sur le sujet : « on ne peut pas tout sauver, il nous faudra faire des choix ! ». Cruels, certes, mais réaliste. « Le patrimoine de la France s’est construit en détruisant certaines choses, à l’exemple des édifices religieux… ».

L’oratrice évoqua aussi les risques occasionnés par le réchauffement climatique.

« La rénovation climatique des bâtiments publics suppose 500 milliards d’euros !  C’est colossal… ».

Quant à l’égalité entre les femmes et les hommes, elle ne pouvait passer cela sous silence, depuis qu’ont éclaté bon nombre d’affaires sexistes. « C’est un torrent de boue qui coule sur le cinéma, le théâtre, l’opéra avec la complicité de tous ! Tout le monde savait ! ».

Enfin, la France doit retrouver sa place prédominante sur le marché de l’art. Une place qui a été perdue au fil des ans.

« Nous sortons péniblement de cette période crépusculaire, souligne-t-elle, et je regrette que le nombre de collectionneurs d’art contemporain soit très nettement inférieur à celui de nos voisins. Nous n’avons pas besoin de mesures fiscales à ce niveau mais d’un changement de mentalité qui veut la collection soit l’affaire de l’Etat. Nous sommes des républicains qui ne rêvons que de monarchie sur le marché de l’art ! ».

Si elle ne croit pas aux vertus du mécénat populaire qui ne permettra pas de couvrir les besoins énormes du marché de l’art, Roselyne BACHELOT le dira tout net en guise de conclusion : « La culture est l’un des enjeux citoyens les plus périlleux qui nous guette car elle touche à notre histoire personnelle intime et à l’idée que nous nous faisons de notre destin collectif… ».

Citant une dernière fois, en guise de pirouette et avant de quitter la tribune, André MALRAUX et d’invoquer la mobilisation générale en forme appel avec une petite formule dont elle a le secret « Enrichissez-vous de vos engagements citoyens, ceux-là ne vous décevrons jamais ! ». Rideau !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Faites vos jeux, Mesdames, Messieurs ! Rien ne va plus ! La France ressemble de plus en plus à une sordide table de roulette défraîchie, dans un casino respirant l’encaustique où l’atmosphère surannée commence à sentir le souffre et la scoumoune en guise de martingale.

Les joueurs – en l’occurrence les citoyens lambda que nous sommes tous – ou du moins presque tous ! – y déposent leurs plaques (leur argent, leur espérance, leurs envies, leurs illusions, leur travail…) sur le tapis vert de la vie avant que la boule blanche ou noire, selon les cas, lancée par le gouvernement ou la technocratie européenne, tourne inexorablement avant de s’arrêter sur la case. Gagnante ? Pas si sûr dans la loterie de l’existence actuelle ! Car, on le sait tous, la loterie de la vie, elle est vraiment pipée, injuste et pas égalitaire !

 

La loterie de la vie ? A tous les coups, on perd !

 

Tiens, je suis tombé sur l’emplacement de l’agriculture avec son lot de revendications à outrance, soutenues par plus de 80 % des Français. Une corporation qui se paupérise à l’extrême et dont les revenus moyens, bien en deçà des mille euros mensuels, donneraient de l’urticaire à qui veut l’entendre !

Tiens, voici celle de l’Education nationale qui n’est pas mal non plus, côté stabilité et réjouissance, avec ses enseignants et ses parents d’élèves en colère qui ne cessent de manifester pour des jours meilleurs, une vraie reconnaissance de certains de leurs métiers et des postes supplémentaires à créer pour combler les manques stratosphériques existants à toutes les étapes de la filière.

Tiens, voilà celle des élus territoriaux qui souffrent de leur ruralité et qui en ont ras-le-bol de voir partir leurs habitants, faute de services de l’Etat dignes de cette appellation, d’hôpitaux qui fonctionnent, de réseaux téléphoniques qui ne soient pas défectueux en permanence et de classes qui ferment…En y perdant leur attractivité !

Tiens, il y aussi celle de ses boîtes qui s’écroulent les unes après les autres, de ces artisans et commerçants, de ces indépendants qui vidés de leur substantifique moelle de professionnels perfectionnistes  – leur clientèle et leur savoir-faire – ne trouvent même plus la force d’ouvrir leurs boutiques et se prennent à rêver de retraite. Normal, il n’y a plus personne qui souhaite venir bosser dans leurs entreprises…Ni chez les jeunes, encore moins chez les vieux !

 

 

 

Où est le système qui viendra sauver l’Humanité ?

 

Ah oui ? Sauf que la retraite, ce n’est pas pour tout de suite, désormais : et qu’il faudra bien s’armer de patience jusqu’à 64 ans révolu et trimer comme un beau diable, en serrant les poings et les dents tout en acceptant son stress, les brimades de supérieurs parfois névrosés car soumis à trop de pression et l’arthrose afin d’effectuer dignement les ultimes trimestres (ou semestres) qui mènent tout droit vers la liberté ! De celle dont on parle avec un grand « L » !

Si, évidemment, les lourdeurs, rigueurs et autres absurdités administratives, sans souplesse aucune qui gèrent ce pays et ceux de l’Union européenne, ne viennent pas entre-temps vous clouer aux piloris avec des taxes, des pénalités et des charges à n’en plus finir qui conduisent certaines et certains – plus de 600 personne l’année dernière dans le seul milieu agricole, on aimerait bien avoir les chiffres de toutes les professions en France – à se munir d’une corde pour mieux trouver la poutre idéale à leur salut…Circuler, il n’y a plus rien à voir, cela fera cinq lignes dans la rubrique des faits divers !

Mais, alors d’où viendra-t-il ce salut salvateur à l’homme moderne, dépassé par des évènements que nul ne maîtrise véritablement ? Du retour du Messie sur Terre ? Peu probable !

De l’accueil des Jeux Olympiques de Paris, dont les mirifiques louanges nous sont vendues à grandes doses de messages mirobolants tous les quatre matins parmi toutes les mondanités institutionnelles et entrepreneuriales de France et de Navarre, alors que le pays n’est sans doute pas prêt au niveau logistique et sécuritaire à recevoir un tel évènement ?

Du premier implant digitalisé que l’une des entités technologiques d’Elon MUSK – un docteur « Follamour » incontrôlable et dangereux qui se prend pour Dieu le père en modifiant la génétique de l’homme et en envoyant des pseudos fusées dans l’espace – en posant ladite puce électronique dans un cerveau humain afin de le rendre plus intelligent ou…plus asservi à sa folie ?! Pour ne pas dire plus…

A la multiplicité de ces réseaux « associaux » qui ne véhiculent que haine et voyeurisme, qui ne provoquent que colère et jalousie en attisant les rancœurs et l’égocentrisme parmi ses suiveurs ?

Aux partis politiques, enfin, tous en ordre de marche, parés à livrer la mère des batailles à l’assaut du palais élyséen en…2027 ? Déjà, que les Européennes ne passionnent pas les foules ! C’est dire !

 

D’une roulette à l’autre, il n’y a qu’un pas pour certaines filières…

 

Cet inventaire à la Prévert pourrait noircir des centaines de pages, c’est évident. Tant il existe des fractures qui ressemblent à des failles sismiques, voire abyssales, dans notre société, notre pays, notre monde. Sociale, numérique, financière, intellectuelle, sectorielle, géographique, culturelle et cultuelle, pour sûr !

On naît tous égaux, dit-on, à l’image, soi-disant, de notre créateur. Sauf que dans la France, l’Europe, le monde du XXIème siècle, l’égalité est une valeur qui n’a plus lieu d’être, au vu de cet individualisme galopant et cet incivisme exacerbé qui nous conduisent tous à notre perte.

De même, les deux autres mentions qui sont frappées sur les frontons de nos mairies, liberté et fraternité. Belles paroles démocratiques que celles-là qui ploient sous le joug des régimes autoritaires, ne cessant d’étendre leur influence sur le globe.

Le problème, c’est que ce petit jeu-là, celui de la roulette où politiques et technocrates font tourner sans cesse à leur manière et en leur faveur la boule blanche ou noire de notre vie, selon leur bon vouloir et sans concertation aucune avec les citoyens, commence à peser lourdement sur les existences et le moral de ces hommes de bonne volonté, qui possèdent encore une once de discernement dans les neurones.

Peut-être que ces derniers n’auront alors plus qu’un seul choix, un jour, pour faire face à toutes ces décisions imposées méthodiquement par le haut. Celui de jouer avec une toute autre roulette, nettement plus funeste et irréversible quant à l’issue, russe de surcroît…Faites vos jeux, rien ne va plus…

 

Thierry BRET

 


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