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Nos glorieux aînés doivent se retourner dans leurs tombes. Et pas qu’un peu ! Des plus humbles citoyens aux plus grands défenseurs de l’idéal européen, unissant les peuples de l’après-guerre ayant vécu tant de malheurs et de combats acharnés sur le sol gorgé de sang du Vieux Continent, au nom de la démocratie et de la préservation de la liberté.

C’est sûr : cette appellation caractérisant si justement notre vieillissement se justifie à 200 %, désormais. Qu’il est loin le temps des Lumières, des grandes inventions, de la Renaissance, de l’exploration sur les océans et les mers, voire dans les cieux, de l’ère de l’industrialisation, de cette culture si enviée et de cette intelligence rare qui se propageaient tout autour du globe !

Le règne européen fait de tant de révolutions et de libres pensées (il y aura eu aussi en substance les tragiques épisodes de la colonisation à tout crin à oublier) aura duré plusieurs siècles, jusqu’à son apogée au beau milieu du vingtième. Depuis, c’est un long et immuable processus de délitement, de chute progressive et inexorable qui nous plonge vers l’absurde, l’excès abusifs de normes, la cacophonie sociétale et économique, une insupportable faiblesse en matière de géopolitique et une absence de discernement pour le respect de la nature et de son environnement ainsi que les grandes causes sociétales.

Faiblesse de l’Europe ? A tous les étages de la fusée, dans toutes les composantes des rouages administratifs et stratégiques qui nous régentent. Les exemples ne cessent de se multiplier depuis le début de cette décennie ; et cela commence à nous faire mal, très mal même, à nous autres, Européens convaincus et fiers de l’être ! Que l’on soit profondément fédéraliste dans l’âme ou chantre de la souveraineté nationale mais agissant au bénéfice du sens commun…

 

Le poids de l’Europe se minimise

 

Nous sommes faibles. Très faibles, même, par rapport à tous les grands enjeux internationaux qui se présentent à nous. Face à la Russie depuis son intervention belliqueuse et meurtrière en Ukraine en 2022 (une cynique « opération militaire spéciale » que personne n’aura su arrêter !), face à la Chine qui nous inonde de son hégémonie en trompe l’œil et de ses marchandises à bon marché et de qualité déplorable créant du chômage et des suppressions de sociétés à gogo dans les structures occidentales, face aux Etats-Unis et à son imprévisible président qui s’agite en permanence pour faire monter la pression commerciale et obtenir ainsi, pour sa propre gouverne, le meilleur des deals, supposés favorables à son pays. Le pot de fer contre le pot de terre…Mais, attention, le pot de fer uniquement destiné aux faibles.

Les exemples sont tellement nombreux qu’un simple éditorial n’y suffirait pas afin de répertorier tous ces points d’achoppement et ces échecs successifs où l’Europe est perdante qui nous plombent le moral et enraillent les systèmes économiques et sociaux de nos nations, totalement inféodées aux volontés des uns et aux desideratas des autres. Le tout, dans leurs propres intérêts, il va de soi…

 

 

Une Europe qui n’est plus audible dans le monde

 

Le semblant de négociations sur les droits de douane, imposés par les Etats-Unis, que les observateurs ont relaté lors du récent séjour du président américain Donald TRUMP en territoire écossais en début de semaine accueillant une timide et très compatissante Ursula Von Der LEYEN, en est la preuve manifeste.

Il faut bien se le dire en boucle même si cela procure de méchantes migraines : l’Europe ne pèse rien, ou pas grand-chose sur le grand échiquier international aujourd’hui. Ni militairement, ni économiquement.

Ce n’est plus une sphère d’influence sérieuse et écoutée dans le monde (le Sud global ou l’Afrique) malgré les soubresauts véhéments de quelques-unes des personnalités politiques européennes qui tentent encore de relever un peu la tête, à l’instar de l’anglais, Keir STARMER ou du français, Emmanuel MACRON, contre la triade de puissances qui veulent régenter le monde à leur sauce : la Chine, les Etats-Unis (paradoxalement nos fidèles alliés au comportement bien étrange depuis un semestre) et la Russie.

 

Un constat de « soumission » oui mais après ?

 

En adoptant le barème des 15 % de droits de douane, en acceptant d’investir massivement sur le territoire américain au détriment de l’Europe, en se pliant au dictat de l’homme fort du camp des Républicains et de son idéologie « MAGA » outrancière, en important du gaz et du pétrole à volonté des USA, et tout ceci sans aucune contrepartie ni moyen de rétorsion contre les produits américains ou les GAFAM, on ne peut plus parler de négociations commerciales en bonne et due forme entre deux acteurs désireux de se satisfaire d’une esprit gagnant/gagnant, mais de réelle capitulation économique, voire de reddition au profit du plus fort !

Certains de nos politiciens dont le Premier ministre François BAYROU sont montés au créneau en poussant des cris d’orfraie et en parlant de « soumission » (c’est un peu tardif, non ?) mais force est de constater que dans la guerre commerciale que Donald TRUMP a déclaré à l’hiver dernier à la planète entière, l’Europe fait figure désormais de grande perdante – une fois de plus – et qu’elle aura beaucoup de mal à recouvrer sa crédibilité auprès des autres puissances et blocs économiques de la planète.

Les Chinois et les Russes l’ont d’ailleurs bien compris. Ils ne cessent depuis la signature de ce pseudo accord de s’en réjouir avec beaucoup d’ironie et de sarcasmes, démontrant ainsi toute la mollesse coutumière de l’Occident et de son plus joli symbole, l’Europe, qui ne pourra pas résister très longtemps aux enjeux de demain…Ceux que ces grandes puissances hégémoniques sont en train d’écrire, à nos dépens.

 

Thierry BRET

 


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Le second opus des rubriques régulières rédigées par le chroniqueur société de Presse Evasion, Jean-Paul ALLOU, vient de paraître aux éditions Stylit. Un ouvrage de référence pour retrouver dès cet été au détour d’une pause sur une plage ou à la montagne tous les moments forts de notre société sur l’exercice 2023/2024. Un ouvrage à laquelle a également participé France C., la compagne de notre chroniqueur…

TRIBUNE: Si l’année 2023 peut être présentée comme l’année de tous les dangers, les catastrophes prévisibles sont arrivées en 2024, pour se poursuivre en 2025. Voilà un inventaire à la Prévert qui est proposé avec cet ouvrage, deuxième du nom consacré aux grands changements de société. Avec à la clé, la mondialisation des conflits, crise économique et financière, attentats, révoltes (agriculteurs, personnels de santé, taxis, enseignants…), crise politique… Presse Evasion s’efforce de faire le tour d’horizon de l’actualité en ne s’inscrivant pas dans la doxa ambiante, sans être soumise au politiquement correct, et en n’utilisant pas le concours de l’insuffisance artificielle – je veux parler de l’intelligence artificielle !

Bien sûr, l’information nationale et internationale est très importante, mais les journalistes dit « de province » sont vitaux pour la transmission de la vie qui concerne chacune et chacun. Les journaux locaux parlent de la vie qui nous intéresse ! Ils racontent une histoire, la vraie, celle des Français de Provence ou de Bourgogne, celle de la France des régions, des terroirs qui font vibrer nos cœurs. Ils parlent des entreprises qui investissent localement, créent des emplois, soutiennent économiquement et financièrement les initiatives locales.

Dans nos terroirs, les journalistes ne recherchent ni le buzz, ni à défrayer la chronique dans le seul but de conforter leur vedettariat ! On ne court pas après le prix Albert Londres ou le prix Pulitzer. Nous sommes des laborieux, des consciencieux, des besogneux, fiers de restituer une information, vecteur de solidarité !

 

En savoir plus

France C. possède trois livres à son actif et l’illustration des ouvrages de Jean-Paul ALLOU.

Jean-Paul ALLOU  a déjà publiés une quinzaine d’ouvrages. Il est l’auteur de la chanson officielle du centenaire de la statue de la Liberté. Son privilège : des rencontres exceptionnelles avec Philippe de Villiers, Arnaud de Rosnay, Michel Serres, Yves Gonnord, Dominique Rey (évêque honoraire de Fréjus-Toulon), Philippe Barbarin (ancien cardinal de Lyon) et des interviews inoubliables. Il eut le rare privilège de participer aux émissions d’Yves Calvi, de Thierry Demaiziére (« Sept à Huit »),  d’Olivier Delacroix et Thierry Ardisson.

 

Jean-Paul ALLOU 

 


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On se gargarise à tout va du succès populaire des Jeux Olympiques de Paris dont l’ouverture officielle eut lieu jour pour jour il y a un an. Retransmission de la cérémonie inaugurale sur les chaînes de télévision dans son intégralité – on peut se demander avec pertinence de savoir quel est l’intérêt profond de revoir durant plus de quatre heures les mêmes images qu’il y a un an ! -, retour de la fameuse vasque qui s’envolait dans les airs à Paris, multiplication des expositions photographiques et audiovisuelles sur ledit évènement qui nous couronna de près de soixante-dix médailles…, un vent de nostalgie souffle cet été sur tout un pays qui en a bien besoin alors qu’on nous promet déjà le pire, socialement parlant, le 10 septembre prochain, à l’invitation des syndicats qui appellent à la paralysie totale d’un Etat proche du chaos, dès la rentrée !

Ce week-end, au beau milieu de la période estivale, on commémore donc – la France et ses élites politiques adorent cela en vérité et pour toutes les occasions qui se présentent – le premier anniversaire de l’après JO de Paris 2024, d’une manière hautement visuelle, à grand renfort de manifestations diverses et variées.

Soit, pourquoi pas, après tout puisque l’Etat avait fort justement évoqué ce patrimoine exceptionnel dont nous héritions après une organisation quasi parfaite de ces Jeux, tant au niveau environnemental qu’économique et sportif. Bravo Léo MARCHAND, tu nous auras fait chavirer de plaisir durant plusieurs soirées !

Nonobstant, de belles paroles et de superbes engagements avaient également été prononcés par le président de la République au lendemain de ces Jeux rassembleurs et vitrines attractives de la diversité hexagonale, et de son savoir-faire entrepreneurial.

Des engagements sur le soutien inconditionnel à celles et à ceux qui en sont les meilleurs des ambassadeurs, les sportifs eux-mêmes ! En vue de préparer du mieux possible les futures échéances olympiques de Los Angeles, mine de rien dans trois ans déjà en 2028, une paille à l’échelle du temps…

 

 

17,6 % de crédits alloués au sport en moins !

 

Oui mais, voilà. Si l’après dissolution et des élections législatives aux contours alambiqués quant à ses résultats ont pu être compensés socialement parlant par l’avènement immédiat de ces Jeux au cœur de l’été 2024 en calmant les ardeurs et les esprits, qu’en est-il aujourd’hui alors que le projet de loi de finances 2026 envisage de couper drastiquement les crédits alloués à la plupart des fédérations sportives qui nous ont tant enchanté durant la quinzaine olympique en portant hautes nos couleurs et en nous rendant notre fierté tricolore ?

La dette publique (elle représente plus de 116 % du PIB de la France en 2025) est donc passée par là ! Chacun sait qu’il faut la réduire coûte que coûte en réduisant le train de vie de l’Etat !

Le sport et ses champions pouvant prétendre briller sur le toit de l’Olympe en 2028 sur les rivages de la Californie en seront donc pour leur frais, côté aides financières et ambitions démesurées ! L’Etat, par la voix de son Premier ministre François BAYROU, a prévu une diminution de 17,6 % des crédits alloués aux disciplines sportives mais aussi par ricochet à la jeunesse et à la vie associative, source de cohésion sociale et garante de proximité.

Un paradoxe quand on sait que la France va accueillir l’organisation des Jeux d’hiver des Alpes en 2030 ! La décision fait un peu tâche et les fédérations nationales de moult disciplines ne décolèrent pas depuis que cette nouvelle s’est confirmée. Ne parlons pas des instances olympiques de l’Hexagone. Leurs délégations régionales et départementales avaient déjà eu à souffrir de la coupe sombre dans les budgets des subsides adressés par les régions et les départements…l’inquiétude est grandissante quand ce n’est pas la colère…

 

Des engagements déjà oubliés douze mois après !

 

Bref, c’est toute une génération de jeunes sportifs qui vont pouvoir ainsi gravir l’autel du sacrifice et voir leur rêve olympique passer de manière définitive dans la trappe des oubliettes à l’avenir ; sans aides des collectivités, les fédérations sportives pourront toujours se tourner vers les sponsors privés ; ces derniers ont revu depuis longtemps leurs budgets à la baisse, vu le contexte économique délétère qui traverse ce pays et ce continent, décidément bien vieux dans sa réalité.

A défaut de nouvelles belles et grandes performances pour les futurs Jeux olympiques à venir, il nous restera toujours la possibilité de revisionner très longtemps la cérémonie inaugurale des Jeux de Paris 2024, prometteuses de tellement d’espérances qu’elles ont déjà été oubliées à peine douze mois après…Quant aux sportifs, ils se consoleront de la médaille en…chocolat !

 

Thierry BRET

 


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Nous allons momentanément tenter, pour certains, de prendre un repos bien mérité. Mer, montagne ou campagne, selon les goûts, des lieux de prédilection pour vivre une parenthèse idyllique… Pas de problème, l’été, il ne se passe rien ou pas grand-chose. Un lieu commun entendu très souvent. Nos politiques et nos dirigeants sont aussi en vacances. Alors, attendons septembre, une rentrée prévue comme riche en confrontations et manifestations en tout genre. Hélas, depuis fort longtemps, l’histoire a montré que tout peut arriver, même l’été !

Tout d’abord, n’oublions pas les 40 % de Français qui ne partent pas. De plus, contexte économique oblige, les futurs vacanciers ont prévu de partir moins longtemps et surtout de dépenser moins en restaurants. Nous débutons nos vacances avec des raisons de rester vigilants. En premier lieu, l’instabilité de la plupart des dirigeants de la planète. Donald TRUMP peut toujours prendre des décisions spectaculaires, économiques et militaires, entre deux parties de golf. Le président américain court encore pour le prix Nobel de la paix, fort d’un accord de paix signé à Washington entre la République Démocratique du Congo et le Rwanda. Bravo, mais n’oublions pas que ledit TRUMP lorgne les réserves de cobalt du Congo. A défaut d’un Nobel, il peut espérer une médaille pour son sens des affaires…

Vladimir POUTINE ne dort plus et continue de bombarder l’Ukraine. Volodymyr ZELENSKY à la riposte au bout du doigt et ne s’en prive pas. Benyamin NETANYAHOU, qui n’a toujours pas digéré l’injonction brutale de TRUMP concernant l’arrêt des bombardements sur Téhéran, promet de reprendre la guerre en cas de nécessité. Téhéran reste tout aussi imprévisible quant à ses intentions belliqueuses à l’égard d’Israël. Les dirigeants refusent toujours le contrôle de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique), sous l’égide de l’ONU. La Chine, lorgne plus que jamais sur Taïwan, et cherche un prétexte pour une invasion. Les terroristes, bien manipulés par l’Iran, sont prêts à intervenir en Europe. Entre l’Inde et le Pakistan, les échauffourées frontalières se multiplient et les tensions sont toujours vivaces.

Les réactions du locataire de l’Elysée (bail de plus en plus précaire), deviennent non seulement imprévisibles, mais surtout en dehors de toute stratégie cohérente et efficace. Face à un tel président, difficile de dormir tranquille tout l’été. Il peut nous concocter une dissolution de l’Assemblée nationale, provoquer une altercation à l’international. La « bonne-mauvaise » nouvelle, est qu’il refuse de réclamer la libération de deux otages français détenus en Algérie : Boualem SANSAL et le journaliste Christophe GLEIZES…

 

Plus rien ne va dans notre société, des raisons d’inquiétude…

 

Que prépare le FMI et la communauté européenne ? La mise sous tutelle de la France, rien de moins ! Les dépôts de bilan vont bon train, avec son cortège de chômage et de pauvreté. Le gouvernement est désavoué par la majorité des Français, le président désapprouvé par les citoyens, le Parlement et de nombreux ministres, ainsi que par la communauté internationale, parachèvent le tableau… La France perd pied, avec en plus, une misère grandissante et une insécurité prégnante. La société française se liquéfie. Les trois piliers de notre société s’écroulent. Quels sont-ils ?

Le pilier régalien : la justice n’a plus de crédit auprès du public, et les juges semblent laxistes et non craints par les voyous, les finances sont sous tutelles. Notre président se prend des « claques » au propre comme au figuré : la dernière en date, le chantier nucléaire tchèque passe définitivement sous pavillon coréen. L’EDF vient de perdre la construction de réacteurs nucléaires civils en Tchéquie, une perte estimée à 28 milliards d’euros !

Les affaires étrangères se figent sans aucune influence possible. La défense est critiquée par des généraux limogés par le président dès qu’ils avancent des contestations face à sa politique militaire. Quant au ministre de l’Intérieur, Bruno RETAILLEAU, certes, ourdi de bonnes intentions, mais qui restent au niveau de la communication, il est paralysé par l’Assemblée et non soutenu par le Premier ministre…

 

 

Mais où est passée l’autorité parentale ?

 

Quant au pilier de l’enseignement, ce n’est pas mieux ! Nos enseignants sont contestés, critiqués, menacés de mort, blessés, tués… La ministre Elisabeth BORNE doit en permanence se souvenir que c’est grâce à LFI qu’elle fut élue députée et donc obtenu sa mission à l’Education nationale. Face à l’assassinat d’une surveillante à l’entrée d’un collège, elle a constaté les dégâts et décoré ladite surveillante de la Légion d’honneur à titre posthume. Dans le même temps, Marlène SCHIAPPA recevait la même breloque pour avoir…posé dans la revue « Lui » ! Mélanie G., notre héroïque surveillante, méritait un hommage national. Marlène SCHIAPPA illustre parfaitement ce qu’a déclaré le fondateur de la Légion d’honneur, Napoléon Bonaparte : « c’est avec des hochets qu’on mène les hommes ». Ainsi répondit Napoléon à un conseiller d’Etat qui s’inquiétait de ce que la Légion d’honneur violait le principe révolutionnaire d’égalité !

Reste le pilier de l’éducation parentale ! De nombreux parents n’ont plus de prise avec leur progéniture, ils perdent le pouvoir. Des enfants peuvent porter plainte contre un parent qui aurait la main un peu leste. Pour la maltraitance, la plainte est légitime et bienvenue. Un avocat m’a rapporté cette autre scène devant le tribunal des Affaires Familiales : « un étudiant, majeur, refuse de travailler chez lui, car ses frères et sœurs font trop de bruit. Il veut son studio et refuse de travailler. Le père déclare ne plus pouvoir financer les études de son gamin exigeant. Réponse du président de séance : « vous êtes propriétaire de votre logement, alors vendez-le et vous pourrez offrir des conditions de travail bénéfiques à votre fils ! ».

Aujourd’hui, l’Education nationale interfère de plus en plus dans le rôle des parents. L’enseignement développe l’éducation sexuelle, la théorie du genre, la pilule proposée gratuitement aux jeunes filles. L’autorité parentale est bafouée par la société. 

 

Doit-on abandonner nos projets de vacances ?

 

Renoncer aux vacances, non bien entendu ! Un ultime conseil est de faire le plein de gaz, de fuel, de bois, de granulés, si votre chauffage en dépend, et mesurer l’exposition de votre portefeuille boursier. Conseil d’un médecin auprès de ses clients déprimés : « partez en vacances et coupez les chaînes d’information en continu » … En plus, ne privons pas nos enfants des doux souvenirs de vacances passées en famille. Habitant du Sud de la France, j’ai pu assister à de glorieuses parties de pétanque. Avant de jouer, les boulistes ne demandent jamais le parti politique ou la religion des adversaires et des partenaires… Vivre l’humanisme grâce au jeu de boules, parfois arrosé de pastis et de jus d’oranges… Je laisse aux connaisseurs ce que veut dire l’expression « faire Fanny » quand un joueur perd une partie 13 à zéro !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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La loi des séries s’achève pour le préfet de l’Yonne Pascal JAN. Depuis sa nomination en terre icaunaise, en avril 2022, l’ancien recteur de l’Education nationale n’avait travaillé qu’aux côtés de directrices de cabinet – elles furent deux à se succéder à ce poste ô combien stratégique dont Clémence CHOUTET partie récemment sous les cieux parisiens - pour relayer sur notre territoire la politique de l’Etat. Depuis le 07 juillet 2025, il en va tout autrement avec l’arrivée à Auxerre du nouveau sous-préfet de 38 ans, originaire du Morbihan, Hugo LE FLOC’H.

 

AUXERRE : Sa très récente prise de fonction dans le département de l’Yonne suscite déjà de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Entre félicitations et contentement. Des messages de courtoisie, aussi, qui souhaitent au nouvel arrivant la bienvenue sur sa nouvelle terre de prédilection comme une formule de politesse républicaine. Certains de ces commentaires proviennent de Saint-Etienne où le nouveau sous-préfet et directeur de cabinet du préfet exerçait il y a encore quelques jours ses activités professionnelles. Et visiblement, en terre ligérienne, du côté du Forez et dans une contrée toute auréolée du souvenir des « Verts » du football, on regrettera longtemps le passage remarqué de ce jeune haut fonctionnaire qui occupait le poste de secrétaire général adjoint de la préfecture de la Loire depuis deux années. Là-bas, il avait en charge deux grandes thématiques particulières : la cohésion sociale – elle intègre la politique de la ville – et le développement économique.

 

Un premier contact officiel avec la presse

 

Conformément à la tradition, Hugo LE FLOC’H n’aura pas attendu très longtemps avant de se présenter à la presse départementale. Logique, en somme, le positionnement d’un directeur de cabinet de l’appareil préfectoral se veut stratégique et capital, en véritable courroie de transmission qu’il est, entre le préfet et les nombreuses prérogatives intégrant son domaine de compétence. C’est dans la petite cour extérieure de la résidence dédiée à accueillir les directeurs ou directrices de cabinet que les médias furent invités à la première conférence de presse d’un jeune homme, souriant et affable. Détendu et très à l’aise, également face aux journalistes…

Tout fut rondement mené grâce au professionnalisme du chef de cabinet adjoint du préfet de l’Yonne, Clément CARREZ. Comme à l’accoutumée, aurions-nous pu dire !

D’entrée de jeu, l’orateur débuta ses propos par des références à l’ASSE (allez les Verts de la grande époque, celle de 1976 et de la finale perdue pour cause de poteaux carrés lors d’une rencontre mémorable à Glasgow !), et la comparaison territoriale existante entre la Loire et l’Yonne.

 

Deux grandes missions à appliquer : la sécurité du quotidien et l’ordre public

 

Créer un lien ténu avec la presse représente l’une des priorités du nouveau directeur de cabinet de la préfecture de l’Yonne. Comme son nom l’indique, Hugo LE FLOC’H n’a rien d’un Stéphanois. Natif de Lorient dans le Morbihan, le jeune homme semble être attiré pour la poursuite de son évolution de carrière dans des villes faisant partie de l’élite footballistique, en Ligue 1 !

« Je ne vis que dans des villes de Ligue 1, plaisante-t-il, et la future rencontre de championnat de France devant opposer l’AJ Auxerre au FC Lorient (les Merlus ont retrouvé la division supérieure à l’issue d’une excellente saison 2024/2025) à la mi-août m’offre un défi de loyauté entre ma ville natale et ma nouvelle ville de résidence ! ». L’heure des choix, visiblement !

Pas simple, en effet ! Nonobstant, le football pour ses nombreux aspects sécuritaires qu’il engrange, fait partie des enjeux saillants du poste de directeur de cabinet du préfet de l’Yonne. Nul doute, qu’à Saint-Etienne, le nouvel Icaunais a eu le temps de se roder à l’ensemble de ces problématiques sécuritaires où le civisme doit être respecté dans le stade et à ses abords.

Revenant sur ses deux grandes missions que lui a confiées le préfet Pascal JAN, le représentant de l’Etat évoqua dans un premier temps la sécurité du quotidien déclinée avec un plan de restauration ad hoc applicable depuis 2025. Analysant l’existant, Hugo LE FLOC’H considère que le « territoire de l’Yonne est déjà bien armé pour faire face aux problèmes qui en découlent ».     

L’application de ce plan sécuritaire sera l’un de ses rôles, en s’appuyant sur la gendarmerie et la police. Quant à l’ordre public, il correspond au second sujet majeur sur lequel interviendra le nouveau sous-préfet.

« Cela se rapporte à la gestion et à la sécurisation de tous les grands évènements, devait-il souligner, dont les matches de l’AJA, les gens du voyage, la gestion de crises et la sécurité routière. Sans omettre les autres missions inhérentes à ce poste… ».

 

 

 

Les jeunes conducteurs, la cible privilégiée de la communication routière

 

Sur ce dernier point, celui de la sécurité routière, Hugo LE FLOC’H insista sur le double volet de la stratégie à renforcer, à la fois sur le plan de la répression mais également sur celle de la prévention.

« Il faut retravailler la communication car chaque année, nous avons des jeunes conducteurs qui arrivent sur les routes, notamment les premiers mineurs de 17 ans qui pourront dès cette année obtenir leur permis de conduire. S’adapter à de nouveaux outils de communication du fait de ce rajeunissement des conducteurs est primordial… ».

Sachant que là aussi, le nouveau directeur de cabinet du préfet pourra s’appuyer sur ce qui a été mis en place dans le département de la Loire qu’il connaît bien, puisque le préfet en poste, Alexandre ROCHATTE, fut autrefois le numéro deux de la délégation de la Sécurité routière. De là à dire que la préfecture communiquera davantage sur « TikTok » et les réseaux sociaux spécifiques à la jeunesse, il n’y a qu’un pas !

 

Un féru de lecture et de patrimoine

 

Ces prochains jours, Hugo LE FLOC’H fera fi des vacances estivales ! Se concentrant d’abord sur des rendez-vous importants avec l’ensemble des acteurs de la sphère institutionnelle, associative et économique de notre territoire. Une manière de prendre le pouls de cette contrée, dans un souci d’optimisation de la performance et de l’innovation dans les actions à décliner. Un axe coopératif qui plaît beaucoup au nouveau sous-préfet en poste, l’ayant déjà pratiqué dans la Loire au niveau de la cohésion sociale et de l’activité économique.

Ce jeudi, le directeur de cabinet de Pascal JAN entrait déjà en relation avec les associations cultuelles de l’Yonne, notamment les structures accueillant les musulmans. Aux côtés des forces de l’ordre – celles du commissariat de police auxerroises notamment -, Hugo LE FLOC’H partira d’ici peu en patrouille afin de découvrir la capitale de l’Yonne à travers le prisme sécuritaire.

Passionné de lecture – il a déjà passé commande dans une librairie auxerroise de l’un des ouvrages de référence sur l’Yonne pour mieux en assimiler tous ses subtilités politico-sociétales ! -, le proche collaborateur de Pascal JAN profitera de son passage dans l’Yonne d’une durée estimative de deux ans pour visiter le territoire de manière touristique et en apprécier avec intérêt son riche patrimoine historique et culturel.

Des moments de pures aérations nécessaires qui seront profitables à ce serviteur de l’Etat, né sous le signe des gémeaux, à l’ouverture d’esprit aiguisée et possédant le sens de la communication…Comme nous avons pu le constater à l’issue de ce premier entretien très cordial avec la presse !

 

En savoir plus :

 

Hugo LE FLOC’H est diplômé de l’ESSEC, de l’Ecole normale supérieure et a été rattaché au cabinet de la ministre déléguée en charge des Collectivités territoriales et de la Ruralité à Paris.

Il a également occupé les fonctions de conseiller budgétaire et affaires régaliennes du ministre des Outre-mer.

 

Thierry BRET

 

 


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