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Le teint légèrement halé, dégustant une part de pâtisserie devant un café encore fumant, il prend le temps de savourer sa victoire. Sous le chaud soleil de ce début d’été qui illumine la place de la République, face à la cathédrale de Sens, le député réélu dès le premier tour, avec 50,44 % des suffrages, ne perd pas une miette de cet instant de joie, vécu aux côtés de son suppléant, Ludovic MASSARD. Sa première conférence de presse depuis sa réélection se déroulera dans un bref instant. Histoire de décrypter la situation à quelques encablures du second tour où il souhaite le carton plein du RN sur le département…

 

SENS : Les moins timides des passants se hasardent à sa table pour y discuter le bout de gras et se faire prendre en photo avec lui. D’autres badauds lui font un signe amical d’un peu plus loin, presque à la dérobée, afin de le saluer avant de se rendre sur le marché. Des gestes qui attestent de la popularité du personnage…

L’atmosphère se veut très détendue et les plaisanteries fusent entre les convives de la formation politique, sous ce soleil radieux, autour des cafés qui fument encore dans les tasses.

Ici et là, sont jetés sur la table quelques exemplaires de « L’Yonne Républicaine ». La gazette narre le succès du candidat du Rassemblement National sur la troisième circonscription. Un étalage d’articles qui met en lumière l’inexorable poussée du parti mariniste sur le territoire de l’Yonne.

A l’instar de ce qui se joue ailleurs, aux quatre coins de l’Hexagone. Seuls les DOM-TOM échappent peut-être encore à l’issue de ce premier tour de scrutin à cette singulière vague aux couleurs violette qui a chamboulé le paysage de la France métropolitaine en l’espace d’une soirée…

 

« Le cadeau que me font les électeurs de l’Yonne… ».

 

Les représentants de la presse prennent place autour de la table ronde en forme de guéridon. Ils sont au nombre de cinq. C’est dire si le député réélu du Sénonais et du Nord de l’Yonne mobilise l’intérêt des rédactions depuis sa victoire éclatante, dimanche soir aux alentours de 21 heures. Le terme de l’acte 1 de ces législatives anticipées qui décidément réserveront bel et bien leur lot de surprises.

« Pour la petite histoire, tout était prêt pour repartir en campagne, confie un Julien ODOUL agréablement surpris de son score, les affiches du second tour étaient même imprimées ! C’est une merveilleuse nouvelle ! C’est un cadeau que me font les électeurs de l’Yonne avec la reconnaissance de leur confiance, du travail effectué sur le terrain et de la proximité au-delà des idées politiques. Il y a un lien et un attachement qui se sont créés avec les électeurs. Je tenais à les remercier… ».

Il est vrai qu’avec ce score définitif de 50,44 %, il n’y a pas eu de match dans cette élection entre le porte-étendard du RN de Bourgogne Franche-Comté et les autres postulants à la députation, incarnés entre autres par le vice-président de la Région et maire de Joigny Nicolas SORET (second avec 25,51 % des voix pour le compte du Nouveau Front Populaire) et Michèle CROUZET, pour la majorité présidentielle qui obtiendra 17,51 % des suffrages.

 

L’élu des motards et des vide-greniers : tout pour la proximité

 

Réinstallé dès le premier tour dans le fauteuil de parlementaire, Julien ODOUL ne manquera pas de fustiger les « tambouilles politiciennes » et les « ralliements totalement improbables » de ses opposants – il citera volontiers le soutien de la sénatrice UDI Dominique VERIEN en faveur de Nicolas SORET-, « des attelages très inquiétants pour tenter d’empêcher les électeurs du nord de l’Yonne d’assumer leurs idées… ». Derrière le sourire du porte-parole du RN, il y a aussi la volonté manifeste de rendre les coups.

Se satisfaisant des cinq points de retard observés à Joigny qui reste toutefois le fief du socialiste Nicolas SORET, et du bon score constaté à Sens, à touche-touche avec ses adversaires, le président du groupe RN à la Région a réaffirmé le poids et son ancrage dans la ruralité. Un mot devenu dans sa bouche plus qu’un credo, un véritable sacerdoce politique…

« Notre parti répond aux attentes de la ruralité, explique le parlementaire, entre deux gorgées de café, on est un bouclier pour défendre la ruralité. La proximité qui est la mienne sur les marchés et les évènements locaux pèse sur les résultats. Je ne suis pas un candidat hors sol comme d’autres ! Je suis un député de terrain, je serai toujours le député des motos et des vide-greniers ! Et je vais continuer à l’être à l’avenir…».

 

Désigner les trois « avocats » de la ruralité

 

Analysant les composantes de son électorat, le lauréat de la troisième circonscription estime que bon nombre d’électeurs des Républicains avaient soutenu sa candidature – « ces électeurs ont bien compris qu’il y avait une menace réelle de l’extrême gauche » - en se mobilisant pour « éviter le pire ». Puis, évoquant l’alliance hexagonale avec Eric CIOTTI, Julien ODOUL s’en satisfait : « cela a pesé dans le vote, c’est indéniable. C’est un tout qui a su convaincre…».

Dès lors, le député de l’Yonne en appelle à la réussite de ses collègues sur les deux autres circonscriptions où les représentants du RN, le député sortant Daniel GRENON dans la première et l’inattendue Sophie-Laurence ROY, dans la seconde, sont en ballotage extrêmement favorable pour supplanter leurs adversaires directs, dès le 07 juillet prochain. Des adversaires qui ont pour patronyme André VILLIERS, député de l’Yonne sous l’étiquette du parti « Horizons » de la majorité présidentielle et l’écologiste, NFP, Florence LOURY.

« Il est nécessaire que nous l’emportions dans ces deux circonscriptions, précisa l’orateur, pour que vivent les dynamiques nationales et locales à condition que notre électorat se remobilise dimanche prochain. C’est faisable et même souhaitable pour que l’Yonne dispose de trois avocats de la ruralité grâce à ces parlementaires du Rassemblement National ».

Placer les bonnes personnes aux postes clés et stratégiques, c’est le changement que désire de tous ses vœux le patron du RN dans l’Yonne. « Je vais les aider durant la semaine à pouvoir engranger le nombre de suffrages nécessaires à ce futur succès… ».

 

 

Premières mesures : la baisse de la TVA et l’abrogation de la hausse du gaz

 

S’intéressant ensuite à la configuration politique de l’Hexagone, Julien ODOUL martela à maintes reprises que le « RN était la seule formation à pouvoir gouverner ce pays en obtenant la majorité absolue au soir du 07 juillet ».

Puis, il poursuivit : « tout autre résultat qu’une victoire du Rassemblement National ouvrirait une période d’incertitude et d’instabilité de notre pays, chose que veut Emmanuel MACRON… ».

Le temps serait-il donc venu d’essayer le parti à la flamme ? « Oui, c’est le principe de la démocratie, répond spontanément Julien ODOUL, nous pouvons éviter le chaos social, économique et sécuritaire en éradiquant sept ans de « macronisme » ! ».

Le RN est donc fin prêt à gouverner, insiste l’élu. Parmi les premiers dossiers qui arriveront dès le 08 juillet sur le bureau du parlementaire icaunais et de ses collègues marinistes au Palais Bourbon figurera le pouvoir d’achat avec la baisse de la TVA, et plus globalement la diminution des taxes.

 « Nous allons faire en sorte que celles et ceux qui se lèvent tôt le matin puissent vivre du fruit de leur travail. Mais, ce sera également abroger l’augmentation du gaz qui a pris aujourd’hui plus de 11 % de hausse. Cela fragilise tout particulièrement les classes moyennes… ».

 

Un Julien ODOUL potentiellement destiné à un maroquin ?

 

Plus localement, la construction du nouveau lycée dans la partie septentrionale de l’Yonne est devenue le cheval de bataille de l’élu depuis quelques mois, tout comme la priorité aux soins et à la santé, dans un territoire qui brille par la désertification médicale dans bon nombre de disciplines (allergologues, dermatologues, rhumatologues, etc.), sans omettre les transports, le retour des services publics, l’éducation, la sécurité…

Le parlementaire ne put s’empêcher de conclure sans évoquer la nécessité de respecter « l’expression démocratique », chère à ses yeux. « Cela signifie que nous sommes un peuple qui vivons, que nous reprenons le contrôle. C’est une chance historique et il ne faut pas la rater… ».

Quant à la question qui brûle toutes les lèvres des journalistes un peu curieux, Julien ODOUL l’éludera d’un revers de la main !

« Serez-vous ministrable si Jordan BARDELLA occupe la fonction de Premier ministre à Matignon ? ».

Réponse de l’intéressé : « Chaque chose en son temps ! Il faut déjà que l’on ait la majorité absolue et ensuite on verra ce qu’il adviendra de la composition du futur gouvernement… ».

Sachant, c’est sûr et c’est lui-même qu’il le dit, que « Jordan BARDELLA possède bel et bien le numéro de portable de l’élu icaunais parmi ses favoris dans son portable ! »…

 

Thierry BRET

 


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On connaît la formule coutumière. « Trop tôt disparu… ». Mais, là, la phrase prend tout son sens et résonnera longtemps dans les mémoires de celles et ceux qui ont connu le conseiller municipal de la localité de l’Auxerrois, commune aujourd’hui en deuil après la perte de son élu. Alain CREPIN a quitté les siens et ce monde, de manière trop rapide et imprévisible. Normal, que Chevannes rende hommage à l’un de ses fidèles serviteurs…

 

CHEVANNES : Les chouquettes et les jus de fruit, servis au terme de la cérémonie, n’y changeront rien : ils auront bien du mal à distiller un peu de réconfort à cette assistance attristée, réunie dans la grande salle de la mairie, afin de se souvenir de l’un de siens.

Pour certains, il était un membre de la famille, un représentant de l’équipe municipale, un humaniste parmi tant d’autres, un vrai républicain avec ses valeurs, bref, un véritable serviteur de la chose publique.

Emporté il y a quelques jours par la maladie, de celle que l’on qualifie d’incurable, Alain CREPIN a été honoré de la manière la plus officielle par l’édile et ami, Dominique CHAMBENOIT, lors d’une brève cérémonie hommage, en présence de sa maman et de sa proche famille.

Aux côtés d’un grand portrait du défunt, le maire a invité l’auditoire à un moment de silence et de recueillement en mémoire de ce collègue qui aura marqué les esprits. Auparavant, Dominique CHAMBENOIT avait retracé les aspects caractéristiques de l’homme enthousiaste et chaleureux qu’incarnait le disparu.

 

 

 

Discret, fidèle, pugnace : Alain CREPIN était tout cela à la fois, faisant preuve d’une remarquable constance dans sa fonction d’élu municipal.

« Il était toujours présent aux réunions du conseil y compris jusqu’aux derniers instants de sa vie, constata l’édile de Chevannes. C’était un élu dévoué pour l’intérêt général, avec le courage, la simplicité et le respect des vertus cardinales… ».

Un personnage qui avait aussi de fortes convictions et des idées visionnaires pour le développement de sa commune, une localité où il aura donné toute son énergie.

« Alain CREPIN aimait la vie, renchérit Dominique CHAMBENOIT, il aimait la vie parce que la vie lui a permis de s’engager, de donner, de servir et d’aimer… ».

Un élu toujours sur le chemin du bien commun, déclara en substance le maire de la commune périphérique à Auxerre. Un vibrant hommage, amplement mérité, pour cet homme de passion, de rigueur et de sympathie…que Chevannes n’oubliera jamais.

 

Thierry BRET

 

 


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Les correcteurs de l’Education nationale ne s’ennuient jamais. Surtout, quand ils font passer les oraux du bac. Les réponses de nos chers étudiants dépassent parfois l’entendement et la réalité se situe bien au-delà de la fiction. S’amuser un peu, rire et sourire, sûrement. Mais, il n’est pas question de se moquer : nos aînés n’ont pas nécessairement fait mieux !

Non, c’est plutôt une réflexion à mener sur la pédagogie et le mode d’enseignement qu’il serait nécessaire de réaliser. Peut-être que celles et ceux qui ont confondu Simone VEIL (l’ancienne ministre) avec Simone WEIL (la philosophe, anarchiste et spécialiste de la condition ouvrière), proposée cette année dans un sujet du bac philo, devront-ils atterrir aux oraux de rattrapage !

C’est au XIIIe siècle qu’apparaît pour la première fois le bac qui se divise alors en « filières ». Élèves latinistes, vous les avez probablement entendus lors de vos cours dans le secondaire. C’est ce que l’on appelait « Trivium » (arts de la parole) : la grammaire, la rhétorique, la dialectique ou « Quadrivium » (arts du nombre), avec l’arithmétique, la géométrie, la musique et l’astronomie.

En 1809 se déroule la première édition du « bachot » (ancienne appellation du bac), uniquement composé d’épreuves orales avec cinq disciplines : droit, lettres, médecine, sciences, théologie. Trente-et-un candidats obtiennent le diplôme. En 1924, les femmes peuvent enfin passer l’examen. C’est un grand tournant dans la société française !

Notons tout de même qu’une exception s’est produite à notre insu : Julie-Victoire DAUBIE, jeune femme de 37 ans, a eu la possibilité de passer son baccalauréat en 1861, appuyée par l’impératrice Eugénie.

Intéressons-nous un instant à l’étymologie de « baccalauréat ». Il est intéressant de revenir sur le mot en lui-même. Il provient du latin « bacca laurea », qui signifie « couronne de laurier ». Cette fameuse couronne de laurier est le couvre-chef des héros de l’Antiquité.

 

Quelques perles de nos chers candidats

 

Nous avons donc, face à face, un examinateur et un candidat. Règlementairement, il faut qu’il y ait dans la salle au moins un autre étudiant. Un témoin en cas de problème. Que la séance commence : « quelle est la capitale de l’Argentine ? ». L’étudiante semble sécher et l’examinatrice veut l’aider : « ça commence par Buen… » et réponse spontanée de la jeune fille : « Buenos Dias » ! Bravo, mademoiselle et « Buenos Noches »…

Parlez-moi du réchauffement climatique. Réponse : « c’est quand les pôles fondent et que la « capote » glacière disparaît ». Le prof veut rattraper l’élève : « vous voulez dire « la calotte» ? Non, non répond l’effrontée, de toute façon l’un ne va pas sans l’autre ! » CQFD…

Comme ce croustillant fait historique : « qui était le chef de la Résistance française en 1940 ? ». Une réponse à méditer : Louis De GAULLE ! Vous voulez dire Charles de GAULLE ? réplique un prof qui croit tout savoir. Non, non Louis comme tous les rois !

Avouons qu’au second degré, la réponse a de la saveur. Restons-en à 1940. Et le début de la Seconde Guerre mondiale. L’étudiant inspiré : « ça commence par les Etats-Unis qui déclarent la guerre à l’Amérique ! Ensuite, les Français se font prendre par derrière par les Allemands ! Mais, tout se termine en 1918 par la signature du traité de Versailles ! ».

Hors du temps mais propos rigoureusement authentiques.

 

 

Un florilège d’âneries à faire sourire !

 

Quel est l’impact d’Internet dans l’économie ? « Ben oui, c’est les sites de rencontre qui provoquent des divorces. Après, il faut déménager, acheter de nouveaux équipements ». C’est bon pour l’économie. On sent du vécu familial… Quel est la taille de Hong-Kong ? « Environ 10 mètres, il était très grand ». Logique : quand nos gamins jouent à King-Kong…bien sûr !

Quant aux littéraires qui deviennent cinéphiles : « parlez-moi d’Arthur RIMBAUD ». Réponse sur le ton de la certitude : « Rambo, il a fait plein de choses. D’abord Rambo 1, puis Rambo 2, 3 et 4 avec Julie Benz… Il n’y aura pas d’entracte ! Léonard de VINCI était, quant à lui, un grand écrivain, selon un amateur de littérature, il a écrit « Da Vinci Code »…

Comment est formé un sonnet ? Et l’étudiant spécialiste de répondre : « un quatrain et deux tiercés ! ». Le prof désabusé de rétorquer : « tiercé gagnant bien sûr et dans l’ordre ! ». Et c’est dans l’ordre, pas de désordre… Parlez de l’âge de pierre. C’est environ 35 ans. Le prof d’insister : l’âge de bronze ? 50, 55 ans…

Parlez-moi d’Albert CAMUS et particulièrement de la difficulté à exprimer ses sentiments. Oui, les hommes ont du mal à exprimer leurs sentiments. Les chiens, c’est facile, ils remuent la queue et on sait qu’ils sont contents ! Pour les hommes, c’est pareil ! Heureusement, le prof était une femme car elle avait du mal à cacher sa joie…

L’économie « circulaire » correspondrait au secteur des roues de vélo, de moto et d’auto ; tandis que le libre-échange, pour un adepte de l’économie libérale : « c’est quand tout le monde couche avec tout le monde »…La palme revient à ce spécialiste des sciences : « quelle est la composition de l’air ? ».  70 % d’azote, 50 % d’oxygène, 40 % d’hydrogène et 30 % de gaz rares, comme le xénon… Quand on aime, on ne compte pas !

 

 

Une « Foire aux cancres » parfois faite de bon sens !

 

 

Pas question de moqueries, juste de se détendre et sourire un peu dans un monde de plus en plus complexe. Jean-Charles, dans son célèbre livre « La Foire aux Cancres », a montré que nos aïeux, des années 50 et 60 n’étaient pas moins hilarants.

Nos jeunes, c’est notre avenir et les défis de demain, pour aborder le marché de l’emploi. Notre jeunesse est pleine d’enthousiasme ! Comment adapter notre enseignement à la révolution technologique ? Donner des cours, hors de ce qu’ils peuvent trouver dans les livres. Enseigner des contenus que nos étudiants ne trouveront pas sur Internet, c’est un défi compliqué, mais c’est aussi son charme.

Un enseignement proche de l’humain, du contact direct, d’une interaction émotionnelle, loin de l’Intelligence Artificielle, qui va venir encore compliquer la manière d’enseigner. Un étudiant venait de recevoir la copie corrigée de son partiel : zéro. Il me croise et me dit : « je suis nul, Monsieur ». Ai-je dit cela ?

« Non, votre copie est nulle mais personne n’a le droit de vous dire que vous êtes nul ! ». Il est important de l’affirmer, de redonner du tonus à cet étudiant, et ça, aucune Intelligence Artificielle ne pourra lui offrir la dignité nécessaire à sa vie d’homme.

Je laisserai la parole à cet autre étudiant, qui me donna l’illusion, un court instant, de me sentir utile. Avant de corriger sa copie (copie blanche) de son partiel de gestion financière, je pus lire ce que l’étudiant avait écrit en marge : « je n’ai rien compris à la gestion financière, mais avec vous j’ai compris comment ne pas se laisser abattre et relever la tête »…Plutôt encourageant pour l’avenir, non ?

 

Jean Paul ALLOU   

 


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Même si tous les panneaux d’affichage ne sont pas encore pourvus de leur document identifiant l’image de leurs candidats, le parti « Reconquête ! » sera bel et bien présent sur les trois circonscriptions de l’Yonne, lors de ce premier tour de scrutin, ce dimanche 30 juin. Un choix stratégique que le délégué départemental de l’Yonne, Jean-Christophe LETIERCE, avait validé le 17 juin dernier avec la publication d’un communiqué de presse…

 

AUXERRE : « La France et l’Yonne ont besoin des vérités que porte « Reconquête ! ». Le message ne fait l’once d’aucune ambiguïté. Le parti souverainiste, un peu déboussolé après le départ de Marion MARECHAL et de quelques-uns de ses leaders nationaux après les européennes, sera bien dans la course des législatives, sur les trois circonscriptions de l’Yonne. Ainsi en a décidé la fédération départementale et son responsable, Jean-Christophe LETIERCE.

Le chef d’entreprise et conseiller municipal de Charny-Orée-de-Puisaye est lui-même candidat sur la première circonscription.

Infirmière en psychiatrie, c’est Sylvie DEMUSSY qui portera le flambeau de la formation créée par Eric ZEMMOUR, sur la seconde circonscription tandis qu’Annick VILBOIS – elle est cheffe d’entreprise dans le civil – défendra les couleurs de « Reconquête ! » dans la zone la plus septentrionale du département, la troisième circonscription.

Au total, ce sont 330 prétendants à l’hémicycle du Palais Bourbon qui s’élanceront dans les starting-blocks en ce prochain jour dominical.

« C’est avec le sens du devoir que nous nous lançons dans cette bataille cruciale pour la survie de notre pays, précise Jean-Christophe LETIERCE, nos candidats sont plus motivés que jamais au regard de l’espoir que suscite cette dissolution… ».

Avec ces candidatures, le parti du polémiste Eric ZEMMOUR fait le choix de continuer d’imposer ses idées dans le débat public. Des idées qui ne sont pas forcément portées par d’autres, en vérité…

 

Thierry BRET

 


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En terminer avec l’entre soi politique et le clientélisme existant entre les élus qui représentent les citoyens. Etre des élus indépendants et transparents dans leurs actions menées en faveur des administrés : voilà ce que demande dans une tribune en mode lettre ouverte, le suppléant du député sortant (Daniel GRENON) de la première circonscription de l’Yonne, Jean-Marc PONELLE.

 

TRIBUNE : Pour quelle raison s’engager en politique ? Par amitié pour un homme qui comme moi vit à l’ombre du plaisir de Dieu, dans ce beau pays de forêts, de lacs et de collines magnifiées par la main de l’homme de culture, qui consacre sa vie à aider autrui et dont la porte, une fois élu député, est restée toujours ouverte comme pourrait en témoigner le restaurateur en face de chez moi ou l’épicier non loin.

Par admiration pour ce même homme de bonne volonté qui s’est lancé dans l’arène politique prenant le risque de l'opprobre permanent des médias, des réseaux, des personnalités qui, du haut de leur Aventin, donnent la leçon au bon peuple et la présence d'un "front républicain" bien artificiel et hypocrite, cherchant surtout à protéger des situations assises depuis de nombreuses années maintenues à coups de petits arrangements entre partis, de clientélisme et d'argent public dilapidé pour des causes douteuses.

Par convictions car cela est nécessaire et utile afin que notre pays ne tombe pas dans une décadence économique, sociale, éducative et culturelle ou une soumission à des idéologies délétères incitant à des 07 octobre en les relativisant.

En ces temps difficiles, la situation de la France est inquiétante tant du point de vue de la disparition annoncée de son identité multiséculaire, de la faiblesse d'un gouvernement pusillanime dont la communication est souvent ridicule, incapable de limiter une immigration illégale devenue impossible à assimiler, de se faire respecter, d'organiser l'ordre et la sécurité des citoyens, d'anticiper les difficultés en donnant des instructions lisibles et contraignantes aux administrations, de se libérer du carcan européen lorsque celui-ci empêche de prendre des décisions plus efficaces et conformes à l'intérêt des citoyens.

 

Une ère historique où il faut changer de modèle…

 

Depuis les dernières élections européennes, nos dirigeants ont vu pour reprendre les écrits de Chantal DELSOL que « l’Europe politique requiert un changement primordial : cesser de considérer les peuples comme des ramassis de crétins. Reprendre à nouveaux frais le fondement démocratique qui veut l’autonomie des particularités, régions et nations. Le mépris et l’intolérance qui nous assaillent évoquent davantage un despotisme qu’une démocratie. »

Ils ont vu mais leur attitude n’a pas changé à l’égard des gens d’ici que nous sommes, leur préférant les gens d’ailleurs ou de nulle part.

« Nous sommes dans une ère historique qui impose de changer profondément de modèle » avait déclaré Emmanuel MACRON, raison pour laquelle il a choisi de « dégoupiller une grande pour l’envoyer entre les jambes » des parlementaires.

Les électeurs de l’Yonne l’ont pris au mot et ont choisi de placer en tête le Rassemblement National lors des élections européennes et devront transformer l’essai. Une révolution copernicienne, la découverte d’un nouveau monde comme en 1492, dans ce pays qui, jusque-là, se laissait docilement mener par une politique centriste vidée de toute substance immédiatement prête à céder aux sirènes du « macronisme ».

Mais le monde s’est transformé et le constat des difficultés croissantes en matière de pouvoir d’achat, de transports, de santé, la dégradation des services publics résonne comme un démenti éclatant de toute action véritable à la tête de l’Etat, droite et gauche confondues depuis une quarantaine d’années.

L’enlisement dans une spirale négative, chaque pseudo-réforme aggrave un peu plus la situation, les dysfonctionnements s’accumulent comme les couches administratives et les directives, la « chienlit » comme aurait dit un certain Général.

Cet échec est cuisant et ce, à tous les niveaux : santé, sécurité, drogue, justice, enseignement, transports, pouvoir d’achat, police démobilisée, magistrature en doute, personnels de santé désabusés et dégoutés, enseignants démotivés, dettes, désindustrialisation, immigration clandestine exponentielle, appauvrissement des classes moyennes, disparition du sens des responsabilités au sein de certains syndicats ou institutions.

 

La fausse dramaturgie de la « peste brune »…

 

Nos concurrents centristes ne proposent rien d’autre que la perpétuation d’un système inamovible, ce qui entrainera une désaffection de plus en plus grande de la politique et des élus. Le parti LR se divise entre ceux qui sont incapables de saisir une opportunité historique et ceux qui franchissent le Rubicon.

A moins que l’on préfère un chaos économique, social et identitaire avec une gauche disparate rassemblant des défenseurs de la laïcité comme des soutiens au communautarisme islamique, des pro-nucléaires comme des pro-éoliens, des européens comme des souverainistes, embrassons-nous, Folleville pour quelques investitures de plus et surtout rejouons une énième fois la fausse dramaturgie de la « peste brune ».

Nous citoyens de base, nous ne demandons rien d’autre que de vivre sereinement, en paix avec des familles stables.

Quelques mesures simples peuvent dans l’immédiat améliorer la situation (baisse de la TVA sur l’énergie (dont le coût sera d’ailleurs compensé par le maintien ou l’augmentation de la consommation), augmentation des salaires de 10 % sans charges dans la limite de 3 000 euros (mesure dont le coût est à relativiser puisque sans cette mesure l’augmentation n’aurait pas eu lieu et que la consommation engendrée provoquera une augmentation des recettes de TVA), suppression de subventions inutiles, réduction d’avantages exorbitants pour des clandestins, amélioration des contrôles à la frontière, peines planchers et double peines, véritable négociation des OQTF, meilleur contrôle des fraudes sociales, etc… mais il est impératif qu’une majorité absolue soit donnée au Rassemblement National et à ses alliés.

Par la suite viendra l’amélioration du système des carrières longues pour les retraites et les solutions référendaires pour modifier la constitution viendront avec la présidentielle.

Par ailleurs, nous l’avons dit et redit pendant la campagne, pour faire revenir les citoyennes et les citoyens aux urnes, il faut en terminer avec des élus issus du monde de l’entre-soi politique et choisir des élus qui représentent les citoyens, en toute indépendance, sans compte à rendre, sans clientèle à satisfaire, sans amis à récompenser, sans cursus « honorum » à compléter. Daniel GRENON a été l’un de ces élus et il le sera encore après le 30 juin ou le 07 juillet…

 

Jean-Marc PONELLE

 


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