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« Baobab ». Réputé pour la circonférence de son tronc, le végétal africain est aujourd’hui, bien malgré lui, au centre de l’actualité politique dans le landerneau. C’est le terme peu commun qui aurait été utilisé par le premier vice-président de la Région Bourgogne Franche-Comté, le socialiste Michel NEUGNOT, à l’encontre de l’un des élus de la Ville de Nevers, Mahamadou SANGARE. Créant ainsi une polémique sur fond de racisme relaté par de nombreux médias hexagonaux. L’un confirme le propos. L’autre le dément. Conséquence immédiate : le bureau national du PS n’a pas ergoté pour suspendre à titre conservatoire le premier fédéral de Côte d’Or de ses fonctions…en attendant de faire toute la lumière.

 

DIJON (Côte d’Or) : Voilà un arbre évoluant d’ordinaire au beau milieu de la savane africaine qui est aujourd’hui la cause d’une nouvelle polémique au sein de la sphère politique nationale. Un végétal 100 % tropical, donc exotique ! Sauf que dans le cas présent, l’histoire ne se déroule pas sous les ors des édifices calfeutrés de la capitale mais bel et bien en Bourgogne Franche-Comté !

Elle met en scène une figure de la Région, son premier vice-président, le socialiste Michel NEUGNOT. Il est reproché à ce dernier d’avoir tenu des propos racistes à l’encontre d’un élu de la Ville de Nevers, Mahamadou SANGARE, lors d’une réunion de travail, organisée le 22 août à Imphy (Nièvre).

Des faits jugés suffisamment sérieux par le bureau national du PS qui a donc décidé de suspendre à titre conservatoire le premier secrétaire fédéral de la Côte d’Or, une décision entérinée le 12 septembre, à la suite d’une réunion organisée en région parisienne. Saisie par les instances nationales, la commission des conflits devrait livrer son verdict d’ici quelques jours après enquête.

 

Michel NEUGNOT prend acte pour se défendre en toute sérénité…

 

Or, Michel NEUGNOT, premier vice-président de la Région en charge de la modernisation de l’administration, des transports, des déplacements et de l’intermodalité depuis 2010 réfute ces allégations.

« Je prends acte de ma suspension à titre conservatoire de premier fédéral, décidé par le bureau national du Parti socialiste du 12 septembre 2023, explique-t-il dans un court communiqué de presse adressé aux rédactions. Cette décision me permettra de me défendre sereinement. J’affirme que je ne me suis jamais adressé à cet élu dans les termes qui me sont reprochés… ».

Puis, l’élu incriminé de rajouter : « Plusieurs témoignages de participants à la réunion du 22 août confirment cette version des faits. Ils seront versés au dossier. Je ne doute pas que le débat contradictoire annoncé par mon parti permettra de rétablir les faits réels. Je ne peux imaginer que mon parti balaie cinquante ans d’engagements en faveur des valeurs socialistes et humanistes sur la seule foi d’un témoignage d’un opposant politique… ».

 

 

L’élu de Nevers ira jusqu’au bout s’il le faut…

 

De son côté, l’élu de Nevers Mahamadou SANGARE ne l’entend pas de cette oreille et s’indigne de la posture du premier vice-président de la Région. « Un élu qui se dit de gauche, de surcroît ! ». Pour l’heure, le conseiller communautaire de Nevers Agglomération n’a déposé aucune plainte contre son homologue qui siège à Dijon. Même « s’il ira jusqu’au bout si nécessaire ». C’est-à-dire en justice si l’on comprend bien entre les lignes.

Du côté du Parti Socialiste, toute la lumière sera faite sur les accusations portées à l’égard de Michel NEUGNOT. Si les faits s’avéraient exacts, ils seraient graves, car contenant des propos racistes tenus à l’encontre d’un confrère représentant les citoyens. Si les faits étaient faux, ils le seraient tout autant pour tromperie et accusation à tort d’un élu.

Bref : le nouveau feuilleton automnal à vivre dans notre contrée sous le prisme politique s’annonce déjà kafkaïen pour se faire une véritable opinion…

 

Thierry BRET

 


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Phénomène modal des années 2000, décrié par Anne HIDALGO, qui en a fait son cheval de bataille pour les enlever de plusieurs ponts enjambant la Seine – à cause de leurs poids et de leurs aspects esthétiques qui au fil du temps s’apparentaient à des objets rouillés -, les cadenas d’amour refont surface dans notre actualité. Après l’exposition que leur a consacrée à Clamecy en juillet dernier Phileas FIQUEMONT, voici les premiers de ces spécimens qui font leur apparition sur la passerelle au-dessus de l’Yonne. Y-resteront-ils longtemps ?

Lundi

Oh la gaffe ! Dans son édition de ce week-end, « L’Yonne Républicaine » a quelque peu fait dérailler le « chemin de fer », du nom en jargon journalistique, de ce tableau supervisé par le secrétaire de rédaction, détaillant l’emplacement des pages avant impression. Avec d’un côté, en page 4, un article relatant la découverte à Courlon-sur-Yonne du corps du septuagénaire disparu depuis le 22 juillet dernier et de l’autre, en page 5, un article au sujet d’un dépôt sauvage de plusieurs tonnes de déchets sur le territoire de la même commune, avec ce titre malavisé, « Courlon n’est pas une poubelle ». La famille et les amis de la personne retrouvée morte ont dû apprécier… De l’humour noir qui frôle le carton rouge !

 

Mardi   

Aussi fondée soit-elle, l’interdiction de l’abaya à l’école annoncée par le ministre de l’Éducation nationale Gabriel ATTAL à quelques jours seulement de la rentrée n’est sans doute pas fortuite. Le sujet de cette longue robe traditionnelle portée par certaines élèves musulmanes a monopolisé les médias, contre-feu salutaire pour passer sous silence la crise que traverse la grande maison face à un déficit de recrutement sans précédent. Confrontée à des rémunérations peu attractives, des conditions de travail de plus en plus difficiles et des classes surchargées, la promesse d’Emmanuel MACRON de « mettre un enseignant devant chaque classe » s’est heurtée à la réalité du terrain. Plus de 3 000 postes n’ont pas été pourvus aux concours faute de candidats et selon le syndicat Snes-FSU, il manquerait au moins un enseignant dans près de la moitié des établissements du secondaire. 

 

   

 

Mercredi

Le geste est encore timide, mais prometteur… La passerelle qui enjambe l’Yonne à Auxerre, connaîtra-t-elle un jour le destin romantique de sa célèbre consœur parisienne ? Pendant plusieurs années, touristes et amoureux en goguette avaient pris pour habitude d’accrocher aux rambardes grillagées de la passerelle des arts, face à l’Institut de France, dans le 6e arrondissement de Paris, des cadenas portant leurs initiales, en témoignage de l’amour qu’ils se portaient. Si la capitale du romantisme n’avait jamais autant mérité sa réputation, le phénomène fut moins apprécié des autorités municipales, face au risque de voir les grilles s’écrouler sous le poids des quarante tonnes de ferraille ainsi collectées et en 2015, tout fut enlevé à la disqueuse et les rambardes remplacées par des panneaux de verre. Crescent MARAULT peut encore dormir tranquille. Pour l’heure, seuls trois cadenas d’amour ont fait leur apparition sur la passerelle de la Liberté.

 

 

Jeudi

Prendre le pouvoir par la force n’est pas synonyme de démocratie, mais comment ne pas se réjouir de voir la fin d’une dynastie familiale qui dominait le Gabon d’une main de fer depuis 56 ans. Un règne sans partage, depuis la mise en place en 1967 d’Omar BONGO, par celui qui restera indissociable de la politique africaine du Général de GAULLE et de plusieurs de ses successeurs, le sulfureux Jacques FOCCART. Si la manne pétrolière a fait de ce petit pays d’Afrique l’un des plus riches du continent en PIB par habitant, plus d’un tiers de ses habitants vivent toujours sous le seuil de pauvreté. Figure incontournable de la « Françafrique », Omar BONGO est réputé avoir arrosé à tout-va pendant plusieurs décennies l’ensemble des partis politiques français et fait la part belle à de nombreuses multinationales tricolores, au premier rang desquelles, Elf, Bolloré ou Total Energies. Une « générosité » qui a longtemps servi de paravent au pillage systémique des richesses du pays mis en place par l’ancien président, relayé par son fils Ali, qui lui succéda en 2009. Sur fond de fraudes électorales, les militaires ont sifflé la fin de la partie. Reste à savoir combien de temps la junte s’éternisera à la tête du pays avant de redonner le ballon au peuple gabonais !

 

Vendredi

Le projet de labellisation Grand Site de Vézelay méritait sans nul doute un voyage d’étude. C’est chose faite nous apprend le mensuel « Yonne notre département » dans son édition de septembre. Un voyage sous l’égide de la vice-présidente départementale en charge du tourisme, Isabelle FROMENT-MEURICE qui a conduit la délégation jusqu’à Solutré en Saône-et-Loire. Un lieu bien connu de tous les historiens de la préhistoire, fréquenté depuis 50 000 ans, dont la réputation connut son apogée à l’ère « Mitterandus », lorsque le chef de clan d’alors, y effectuait chaque année une ascension mémorielle à la Pentecôte ! Un rite initiatique fort couru des journalistes et autres prétendants de l’époque, qui profitaient de l’occasion donnée pour se faire apprécier du Président. Et quand on sait que celui-ci vouait un culte quasiment mystique à la « Colline éternelle », l’on se dit que la boucle est bouclée !

 

Samedi

L’été va bientôt tirer sa révérence et le bilan n’est pas des plus réjouissants, avec des températures record et des incendies catastrophiques à travers la planète. Pas de quoi pour autant inquiéter le député RN Thomas MÉNAGÉ, qui a tempéré sur France Inter les données publiées par le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) en matière de réchauffement climatique, évoquant même des « exagérations » pouvant « contrevenir à notre économie, à la croissance ». Le porte-parole du groupe Rassemblement national à l'Assemblée nationale considérant sans doute que les membres du Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat, à l’image de son ancien vice-président, le paléoclimatologue Jean JOUZEL sont tous d’ultra-gauchistes anti-France ! Mais qui se souviendra de Thomas MÉNAGÉ dans cinquante ans, tombé dans les oubliettes de l’Histoire et du déni climatique ?

 

 

Dimanche

Plus de 36 heures après la tragédie qui a frappé le Maroc, mis à part une « réunion de travail » à Rabat savamment orchestrée, toujours pas de réaction du souverain chérifien, Mohamed VI. Un silence qui contraste avec l’émotion de la communauté internationale, face à un tremblement de terre dont les victimes se compteront sans doute par milliers. On le dit malade et « fantomatique », plus souvent en Europe pour s’y faire soigner que proche de ses sujets. Surnommé le « roi des pauvres » au début de son règne en 1999, Mohamed VI est aujourd’hui toujours adulé par une grande partie de la population, mais pour combien de temps encore… ?

 

Dominique BERNERD

 

 


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Les agneaux, au nombre de 46, ce qui constitue déjà un joli troupeau pour l’éleveur local Nicolas CARBOGNANI, paissent tranquille dans le pré, un délaissé de l’autoroute A6 où le trafic se densifie au fil de la cérémonie protocolaire. Une recrudescence de la circulation, imputable aux ultimes retours des vacances malgré la touffeur ambiante ? Cela n’affecte nullement les officiels d’EDF - et son corollaire EDF Renouvelables – ainsi que les élus qui inaugurent sous une chaleur étouffante la seconde centrale solaire érigée aux abords du réseau autoroutier à la charge d’APRR…

 

NITRY : L’endroit est très facile à trouver : un immense terrain aux abords de l’autoroute A6, situé juste après le péage en revenant vers le village où se dressent 7 600 panneaux solaires qui profitent ce jour-là abusivement de l’astre diurne au meilleur de sa forme ! Une chaleur à couper le souffle, des températures caniculaires à ne pas mettre un officiel dehors pour couper un ruban symbolique, qui plus est pour célébrer l’ouverture d’une nouvelle centrale solaire, implantée à quelques encablures du ruban d’asphalte à quatre voies. La seconde, en fait, qui est réalisée sur un délaissé – zone de terre en friche non-utilisable – du réseau autoroutier géré par APRR.

 

Panneaux photovoltaïques et ovins font bon ménage !

 

Deux visions insolites captent immédiatement l’œil du visiteur en approche. La première, et c’est toujours impressionnant, cette édification de 7 600 panneaux solaires ou photovoltaïques posés là au milieu de nulle part. D’une puissance de 3.8 MWc, ils peuvent produire suffisamment d’électricité pour alimenter les besoins de…1 900 personnes.

Fichtre ! Et dire qu’au dernier recensement de 2020, on ne comptabilise qu’à peine 400 âmes qui vivent dans la localité de Nitry, chère à son élue qui ne pratique jamais la langue de bois, la truculente Jacqueline PERRET !

La seconde vision concerne le mini cheptel de ces ovins qui gambadent gentiment dans le pré d’â côté, il jouxte pourtant le terrain d’accueil de la centrale solaire, et qui broutent une luzerne un peu famélique – les ravages de la sécheresse – sans trop se soucier de l’évènementiel, se jouant à proximité. Curieux et décalé paysage que celui-ci !

 

 

 

Six ans d’attente avant que ne sorte le projet

 

Affable et tout sourire, Jean-Roger MOUSSET, directeur de cabinet de la direction d’EDF – il remplace le « patron » Robert POGGI qui n’a pu se déplacer en terre de l’Yonne du fait d’un agenda déjà trop serré en ce mois de septembre – accueille en costume cravate – oups, il est courageux car il fait pourtant si chaud ! - en compagnie du staff de la grande maison invités et représentants de la presse. Dont certains viennent de loin à l’image de nos confrères du « Journal du Palais » ou de l’excellent Valéry CHOPLAIN « Echo des Communes » en provenance de Dijon, ce dernier se faisant rare dans l’Yonne !

Il est vrai que ce n’est pas un jour ordinaire pour EDF et sa filiale, EDF Renouvelables dont son responsable régional Alexandre MARGAIN explique volubile tous les tenants et aboutissants de ladite centrale.

Avant que ne démarrent les prises de parole officielles, petit aperçu visuel de ce grand terrain contenant des structures métalliques où sont installés ces panneaux photovoltaïques aux capacités remarquables. Et dire qu’il aura fallu un delta temporel de six ans pour en arriver là, depuis la date initiale de la validation du projet par les autorités locales. Mais, le jeu en vaut aujourd’hui la chandelle aux dires de chacun des interlocuteurs devant se succéder au pupitre, au nom du vertueux principe de la transition énergétique.

 

 

L’énergie produite à Nitry pourrait alimenter une partie d’Avallon

 

Qu’est-ce donc que cette centrale solaire, la troisième qui est arrimée sur le sol de l’Yonne après celle de Massangis – l’élu Xavier COURTOIS est présent à la cérémonie et en connaît un rayon sur les potentialités offertes par cette infrastructure super puissante établie sur 150 hectares de terrain ! – et celle de Subligny, de cinquante hectares, sortie de terre en 2022.

Réponse d’Alexandre MARGAIN : « cette centrale solaire de Nitry est l’aboutissement d’une collaboration étroite entre le territoire et EDF Renouvelables, mais également la volonté de la commune de s’engager dans les énergies renouvelables… ».

Une explication claire qui traduit en filigrane la volonté de leurs auteurs (l’ensemble des acteurs s’étant investis sur le dossier) de favoriser la valorisation des atouts de ce site (la proximité de l’échangeur autoroutier) dans le but de promouvoir le développement économique et humain de ce secteur oriental de l’Yonne.

On l’aura compris, pourvue de cette centrale solaire, la commune dirigée par Jacqueline PERRET revêt désormais d’un intérêt tout particulier jusqu’à Avallon, puisque 30 % de la ville pourra être alimenté par l’énergie produite à Nitry.

 

 

Une demi-douzaine de projets en réserve chez EDF Renouvelables

 

Un autre acteur de poids aura tenu un rôle primordial dans la conception de ce dossier : APRR. Son directeur patrimoine, Philippe GIGUET, avait effectué le déplacement pour constater les faits : s’apercevoir que le partenariat initial monté en 2017 entre son entité et EDF Renouvelables était bien fondé. Un rapprochement fructueux qui aura donné naissance à de multiples projets de centrales tant dans l’Yonne, près de l’A 19 qu’aux abords de l’A6, du côté du Col de Bessey, au-dessus de Beaune, un des points culminants de l’autoroute du Soleil, assorti d’un…« magnifique radar » dans sa voie descendante vers la capitale des vins de Côte d’Or au palmarès si éloquent !

Un bonheur ne venant jamais seul, dit l’adage, la réussite de ces centrales solaires au plus près des autoroutes sur des zones de friches devrait engendrer d’autres réalisations au cours des prochaines années dans l’Yonne. Une demi-douzaine de projets serait déjà dans les tiroirs de l’ingénierie d’EDF Renouvelables.

Une information qui aura été appréciée par la vice-présidente de la Région en charge de la Transition écologique, Stéphanie MODDE, présente à cette inauguration. Pour qui la transition énergétique est prioritaire. C’est sûr et sans plagier la formule : le changement, c’est maintenant !

 

Thierry BRET

 

 


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Ce n’est pas commun, comme lieu de visite. Mais, pourquoi ne pas s’y intéresser de plus près alors que la valorisation du patrimoine vivant s’insère de plus en plus dans notre quotidien. Suggérée par la Communauté de communes Chablis Villages et Terroirs, concoctée par VEOLIA, la découverte de la station d’épuration de Chablis mérite un intérêt tout particulier. S’immiscer au sein d’un maillon essentiel de la préservation des milieux aquatiques de notre territoire…passionnant !

 

CHABLIS : Entre musées et châteaux, édifices de style accueillant des collectivités, ou lieux touristiques réputés pour leurs aspects pittoresques, pourquoi ne pas étonner la galerie (celle de ses proches et ses amis) en allant à la rencontre d’une…station d’épuration ! L’idée n’est pas aussi incongrue qu’elle n’y paraît ! D’autant que ces installations liées au service assainissement intègrent notre patrimoine industriel et écologique où les savoir-faire pour protéger l’environnement se transmettent de génération en génération…

Fort de ce postulat, la CC Chablis Villages et Terroirs a donc décidé d’ouvrir grandes les portes de la station d’épuration de Chablis. Cinq créneaux de visites y sont proposés à vivre en famille : il faut se dépêcher de s’inscrire car les places sont limitées !

Réalisée en parfaite accointance technique et explicative avec VEOLIA, multinationale française spécialiste de la gestion de l’eau, la valorisation de déchets et la gestion de l’énergie vers les collectivités locales et les entreprises, l’opération s’articulera tout au long de la journée de ce samedi 16 septembre. De 10h à 15h.

Concrètement, les visiteurs plongeront parmi les différentes étapes du traitement de l’eau (un sujet ô combien d’actualité !), les enjeux de la protection des milieux aquatiques, et l’importance de réaliser des gestes au quotidien propices à la préservation de la qualité de nos rivières.

L’occasion de parler en sus de pollution, de ressources naturelles, de sécheresse, de santé humaine, de lutte contre le réchauffement climatique, etc.

 

    

En savoir plus :

 

Visite de la station d’épuration de Chablis avec VEOLIA lors des Journées du Patrimoine organisées par la Communauté de communes Chablis Villages et Terroirs.

Samedi 16 septembre 2023

Créneaux de visites : 10h, 11h, 13h, 14h et 15h.

15 places par créneaux.

Chaussures fermées obligatoires

Inscription sur https://evdr.co/59jhow

 

Thierry BRET

 


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Peut-être que ce dossier, si brûlant mais tellement peu médiatique à l’instar de l’abaya, finira-t-il par arriver un jour sur le bureau du nouveau ministre de l’Education nationale, Gabriel ATTAL afin qu’il se penche mieux dessus ? Ou peut-être pas, d’ailleurs, car bloqué par l’un des services nébuleux de la tentaculaire maison que même le sémillant et dithyrambique Claude ALLEGRE jadis sous l’ère mitterrandienne ne put se résoudre à dégraisser. On appelait alors cela, le « mammouth » !

En tout cas, le ras-le-bol se généralise à peu près partout en France, et pas uniquement par la voix des syndicalistes purs et durs de la corporation de la filière pédagogique. Trop, c’est trop ! Tant pour le corps enseignant que chez les élèves qui ne supportent plus d’être entassés, que dis-je, parqués à l’échelle de 35, 36, 37 ou 38 unités comme des troupeaux de ruminants que l’on mènerait à l’étable (pour ne pas dire à l’abattoir de l’absence de savoir !) dans ces classes si petites et inappropriées qu’elles ne peuvent même plus les accueillir.

Ne parlons pas des familles qui se font un sang d’encre à chaque retour le soir à la maison de leur progéniture désabusée qui ne cesse de s’épandre en jérémiades bien légitimes contre un système éducatif qui ne tourne vraiment pas bien rond dans ce pays. Cocorico, sur ce domaine, la France demeure et de très loin championne du monde…  

 

 

Exit l’épanouissement et l’enrichissement des connaissances à plus de trente élèves

 

Le fléau touche principalement les lycées de France et de Navarre. Alors que les collèges sont à peu près épargnés par cet engorgement inéluctable de potaches qui arrivent en très grand nombre dès les classes de secondes. La faute à la courbe démographique ?

A titre d’exemple caractéristique, on recense tout de même la bagatelle de 23 de ces secondes aux classes surchargées au possible ne serait-ce que dans l’un des lycées phares de la Bourgogne Franche-Comté, celui de Sens – l’un des plus importants en nombre -, qui accueille bon an mal an près de trois mille scolaires en ces murs !

Comment, mais il faudra sans aucun doute poser la question directement au ministre lui-même lors de son premier déplacement dans notre contrée, peut-on décemment penser, travailler, étudier, réfléchir et s’épanouir ainsi que se perfectionner au contact de ses professeurs dans des classes de seconde, de première ou de terminale qui accueillent plus de trente gamins à minima !?

Le regretté humoriste Robert LAMOUREUX l’avait écrit un jour dans le cadre d’un scénario pour l’une de ses pièces triomphales, « Impossible n’est pas Français ! ». Malheureusement, il faut pourtant croire que si !

 

 

La norme idéale se situe à 26/28 élèves par classe

 

La problématique de ces classes de cours hyper bondées et totalement inaptes à l’exercice du métier d’enseignant ne date pourtant pas d’aujourd’hui. En 1978, à titre personnel, je fréquentai une classe de seconde dans un lycée public de la Bourgogne du Sud qui accueillait déjà la somme de…38 élèves ! Chose positive au demeurant, nous n’étions que cinq garçons pour un reliquat très confortable de trente-trois filles, l’année de rêve en somme !

Blague à part, il semble illogique et anormal que 45 ans après cet état de fait qui était déjà décrié par tout ce qui comptait de syndicalistes, d’élèves et de parents à l’époque, voire de politiques, rien ne semble avoir changé d’un iota dans le monde de l’Education nationale à ce propos.

Pourquoi des classes sont-elles toujours aussi surchargées en France ? Alors que la norme prescrite par les recommandations étatiques situe à 26/28 élèves le nombre idéal de jeunes filles et de jeunes hommes à accueillir dans les lycées pour parfaire leurs connaissances intellectuelles en toute sérénité.

Comment, peut-on effet suivre des cours de physique/chimie ou de sciences naturelles,  dans des espaces ressemblant à des laboratoires avec tout leur attirail en termes d’équipement si précisément il n’y a pas assez de postes de travail avec les outils adéquats permettant aux élèves de suivre un cours convenablement et de pratiquer dans le même temps les exercices indiqués par le professeur ?

 

 

Même le saint patron des enseignants brûle des cierges pour que cela change !

 

Comment apprendre et comprendre une langue étrangère en la parlant le plus possible avec son enseignant ? Et ne pas suivre bêtement un cours magistral où la malheureuse professeure d’anglais aura bien du mal à intéresser et à échanger oralement avec sa quarantaine d’élèves en soixante minutes ?

Cela ne surprend personne quand on dit que les Français s’expriment dans la langue de Shakespeare comme une vache espagnole ! Mais, la réciproque est tout à fait la même dans la langue de Cervantès ou de Goethe !

On ne rit pas : cela arrive tous les jours dans les lycées de France, au grand dam des élèves et des enseignants qui ne savent plus à quels saints se vouer ! Même Saint-Jean-Baptiste-de-la Salle, patron des enseignants, a déposé il y a bien longtemps les armes devant un tel chaos orchestré de main de maître depuis tant de décennies par une technocratie aveugle et sourde aux changements…

Comment peut-on accueillir dans un minimum de respect et de conscience, voire de qualité alimentaire optimale – de cela, c’est autre débat ! -, des jeunes lycéens à la cantine lorsque l’établissement nourricier ne peut contenir tout le monde dans ses murs au même instant ?

Là où il est prévu 800 places (ce qui n’est déjà pas rien !), ce sont 1 200 gamins qui déboulent simultanément sur le coup de midi pour une heure de pause alimentaire bien méritée ! On imagine le désarroi du personnel face à une telle meute de garnements affamés et pressés de trouver la place idoine afin de se sustenter ! Pas sûr, qu’il y ait du rab pour tout le monde au fond de l’assiette !

Voilà donc, en cette période de rentrée, du grain à moudre pour le nouveau ministre de l’Education nationale qui veut marquer de son empreinte son passage à l’hôtel de Rochechouart, qui comme chacun ne le sait pas, accueille son ministère ! Bonne rentrée, Monsieur le ministre, et surtout ne vous y méprenez pas : « tout ne va pas très bien Madame la Marquise, dans le monde de l’Education nationale ! ».

 

Thierry BRET

 

 


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