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Ils étaient 105 000 selon la préfecture de police, à défiler ce dimanche à Paris, à l’appel des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat, pour une grande marche citoyenne contre l’antisémitisme. Un rassemblement populaire qui avait aussi valeur de symbole pour dire non à toutes les formes de haine et de racisme…

 

PARIS : « Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers… ». Des dizaines de milliers même, comme aurait pu chanter Jean FERRAT, à défiler ce dimanche à Paris pour dire non à l’antisémitisme et oui à la République.

Une mobilisation populaire qui sonne comme un réveil à l’heure où une fois encore, l’unité nationale fait rempart contre les haines de toutes sortes. Partie des Invalides, c’est une vague humaine qui déferla boulevard Saint-Germain pour rejoindre le Sénat. Autant de visages, autant de citoyens qui, à l’image de cette petite main jaune aperçue sur une pancarte, réminiscence des combats des années 80, se refusent à accepter l’indicible en disant « Touche pas à mon juif »…

Du haut de ses « presque 16 ans », Paul affiche un discours sans ambiguïté : « non à l’antisémitisme, non au F Haine ». Revendiquant le droit, érigé en devoir, de pleurer à la fois sur les enfants d’Israël et de Gaza : « une vie est une vie, il n’y a pour moi aucune différence. Contrairement à ce que peut laisser entendre Jean-Luc MELENCHON, ce n’est pas une marche pour soutenir les massacres… ».

Bien trop jeune pour avoir connu les accords d’Oslo ou de Camp David, mais ferme dans ses certitudes empreintes d’une maturité surprenante pour son âge : « il faudra bien un jour que l’on se remette autour d’une table, la solution à deux états, Israël et Palestine, est la seule possible, même si beaucoup voient cela aujourd’hui comme une utopie, c’est penser le contraire qui est une utopie… ».

 

 

Faire front pour lutter contre la discrimination et le racisme

 

Français d’origine algérienne, imam et théologien, Nabil REZZA, dont la présence a valeur de symbole, est amer : « je suis là aussi pour déplorer l’absence des grandes organisations musulmanes de France au premier rang desquelles la Mosquée de Paris qui, pour des prétextes fallacieux, a déclaré forfait et se refuse d’être présent aux côtés de nos frères Français de confession juive… ».

Prônant un discours de paix et d’amour, il se refuse à faire tout amalgame entre le peuple israélien et son gouvernement et lui aussi appelle à l’union sacrée : « l’Histoire malheureusement se répète, il est important de faire front en s’unissant, toutes confessions confondues, pour lutter et sauver cette société qui risque de se désagréger face à la discrimination, au racisme et à l’idéologie… ».

Juste derrière le « carré d’or » gouvernemental, inaccessible dans sa bulle retranchée, une première ligne de parlementaires en rangs serrés, écharpe tricolore en bandoulière. Parmi les ténors de la droite républicaine, une figure icaunaise bien connue, celle de l’ancien député Guillaume LARRIVÉ : « en ma qualité de président des Républicains de l’Yonne, il était important de montrer que notre département participe à ce mouvement national. Aujourd’hui, toute la nation doit se rassembler pour dire non à l’antisémitisme, tous les citoyens ont le devoir de se mobiliser, ce qui est en jeu, c’est la France telle que nous l’aimons, forte de cette mobilisation populaire… ».

 

 

 

 

Honte aux deux absents de marque…

 

Un discours repris peu ou prou par son « voisin de marche », figure tutélaire pour sa part d’Europe Ecologie Les Verts, le sénateur Yannick JADOT : « s’en prendre à un juif en France et c’est toute la République qui est attaquée, c’est chacune et chacun d’entre nous. Il faut que la société française soit unanime pour combattre l’antisémitisme et toutes les formes de racisme, qui sont aujourd’hui un poison pour notre pays… ».

Une « Marseillaise » s’élance, saluée par une salve d’applaudissements. Sur les pancartes, des messages qui donnent le refrain : « Non à l’antisémitisme, non à l’islamophobie », « Echange 1 otage contre 100 antisémites, c’est bon pour tout le monde ! », « Mon devoir de citoyen, c’est d’être là aujourd’hui »…

 

 

 

Mais aussi « Honte aux deux absents », allusion à peine voilée à l’absence d’Emmanuel MACRON et  du leader de La France Insoumise. « On est au plus mauvais endroit du monde, ça fait quatre fois qu’on me marche sur les pieds, on s’en va de là les enfants, je vais étouffer… ». A l’instar de nombreux « people », Michel BOUJENAH était présent ce dimanche et de l’aveu même de l’intéressé, ancien président de la Fête des vins, aurait pour l’heure « apprécié un verre de chablis » !

Bientôt 17h30, la pluie qui s’était faite discrète tout au long de l’après-midi, a fait son retour. Le ciel pleure sans que l’on sache très bien sur qui ? Enfants de Gaza ou d’Israël ? Larmes de pluie sans couleur ni drapeaux… « Shalom, Salam » !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Les médias nous inondent de publicités qui nous vantent les mérites de voitures pour cent euros par mois, avant même les caractéristiques techniques desdits véhicules. Que cachent ces moyens de financements ? Il ne faut pas oublier que les concessionnaires touchent des commissions sur les contrats de financement, versées par les sociétés financières, parfois liées aux marques. Afin d’accompagner le développement de la voiture électrique, les sociétés financières spécialisées et les banques traditionnelles participent au développement de solutions de financement des automobiles, tant pour les particuliers que pour les entreprises.

 

TRIBUNE: Le crédit est une base fondamentale de nos économies modernes depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le crédit est né de la création des banques depuis plus de 5 000 ans, avant même l’apparition de la monnaie. Il faudra attendre le XIIème siècle pour la naissance du crédit-bail, sous la houlette des chrétiens usuriers, qui contournent l’interdiction du crédit édictée par Rome.

Si les crédits immobiliers sont en berne, la vente de voitures est boostée par les voitures électriques et hybrides. Le prix moyen d’une voiture hybride se situe à plus de 41 000 euros. Une somme conséquente surtout en période de crise économique et d’inflation. On peut noter que la location est en hausse, avec un taux de près de 50 % des acquisitions de nouveaux véhicules. Les formules locatives séduisent de plus en plus et correspondent à un réel besoin.

 

La concurrence effrénée des établissements bancaires…

 

Payer cash, c’est prendre l’argent sur son épargne et ce n’est peut-être pas la meilleure des solutions. Si vous faites plus de 20 000 km par an, vous aurez un coût d’entretien et de réparation important. Attention, bien lire son contrat, les garanties ne couvrent pas tout ! De plus, lors de l’immobilisation du véhicule, il faudra louer et payer le remplacement provisoire. Ces dispositions proscrivent de facto l’achat de véhicules électriques d’occasion : les batteries sont garanties de six à huit ans. Au-delà, le remplacement est à la charge du propriétaire.

Quant au crédit bancaire, les banques et sociétés financières (CETELEM, COFIDIS, YOUDGE…) rivalisent et proposent des taux parfois très bas. Elles se livrent une concurrence effrénée au profit des consommateurs en pratiquant parfois, un dumping sur les taux (1 %). Financer sa voiture avec un crédit présente les mêmes remarques que pour le cash. Tout dépend du type de voiture, de son utilisation et du montant du crédit sollicité. Un crédit à hauteur de 100 % devient moins intéressant qu’une location.

 

 

Les subtilités réservées à la location

 

Les formules de location gagnent du terrain par rapport au crédit classique. Reste à savoir laquelle des deux choisir entre LOA ou LLD lorsque le cas de figure se présente.

La notion de propriété en fin de contrat reste le principal critère qui différencie ces deux solutions de financement. Comme son nom l’indique, la LOA regroupe les deux sortes de clients face à l’acquisition d’une nouvelle voiture. Si vous êtes indécis et préférez reporter votre choix au terme de votre contrat, l’option d’achat est idéale pour ce cas.

La LOA est également parfaite pour vous qui avez déjà planifié à l’avance votre investissement global entre apport, budget mensuel, et surtout prix d’achat de votre voiture, tout en laissant la possibilité de revenir sur votre décision en fin de contrat. En choisissant la LLD, on paie un loyer « à fonds perdu » en quelque sorte, puisque l’on ne devient jamais propriétaire de son véhicule, qui doit impérativement être restitué au terme du contrat de location longue durée.

 

 

La LOA ou location avec option d’achat

 

Appelée souvent « leasing automobile », la location avec option d’achat ou LOA permet de circuler avec un véhicule neuf, mais aussi d’occasion depuis quelques années, moyennant un loyer mensuel, avec possibilité de devenir propriétaire en fin de contrat. Confidentielle il y a une dizaine d’années, la LOA connaît un succès exponentiel sur le marché automobile face à l’achat à crédit. Dans le cadre de la LOA, la société de crédit, qui reste propriétaire du véhicule pendant toute la durée de location, exigera une assurance tous risques. Par ailleurs, les contrats de LOA sont assortis d’un forfait kilométrique (de 10 000 à 30 000 km par an). Des indemnités peuvent être demandées en cas de dépassement.

Quant à la LLD ou location longue durée, autrefois réservée principalement aux professionnels, elle se développe progressivement pour les particuliers, 11 % l’ayant choisie en 2017 (contre 3 % en 2011). Une croissance ayant poussé les constructeurs à remplacer le tarif de leur automobile par un coût mensuel, voire promu en prix journalier (3 euros par jour pour une Dacia par exemple). Contrairement à la LOA, vous devrez également restituer le véhicule en fin de contrat et n’avez aucune possibilité d’en devenir propriétaire. En clair, la location longue durée sans apport permet de circuler à moindre frais qu’avec un véhicule neuf acheté en crédit classique, tout en sachant qu’il ne vous appartient pas et qu’il faudra le restituer en fin de contrat, ce qui n’est pas le cas avec la LOA.

Attractive donc et ne nécessitant pas toujours un apport, la LLD ne laisse cependant pas le choix des services (assurance, entretien, réparations, assistance…), car cette formule de location comprend exclusivement ceux du loueur.

 

La location, idéale quand on roule peu !

 

La location séduit de plus en plus de consommateurs, et les constructeurs l’ont bien compris. Néanmoins, lorsque l’on souhaite acheter une voiture en leasing, il est tout de même conseillé de rester vigilant vis-à-vis des offres alléchantes chez son concessionnaire ou des nombreuses publicités face à ses capacités financières. Toutefois, la location se révèle généralement intéressante si l’on roule peu et souhaite changer de voiture régulièrement. Si cela comble les flottes de véhicules professionnels en LLD, la LOA (de plus les professionnels récupèrent la TVA sur les loyers), qu’elle soit avec ou sans apport, est la solution parfaite, car elle laisse le choix au détenteur de devenir ou non propriétaire. Ce mode de financement est donc une excellente alternative à l’achat d’un véhicule en crédit classique, grâce aux services qu’elle peut inclure et à des mensualités également inférieures en général.

En résumé, voici les points-clés à retenir sur la LOA et la LLD :

  • La LOA permet de devenir propriétaire en fin de contrat.
  • La LOA est de plus en plus plébiscitée par les particuliers et les professionnels.
  • La LLD impose une restitution en fin de contrat.
  • La LLD est une solution intéressante pour la gestion de flotte automobile professionnelle.
  • La fin de contrat pour une LLD peut révéler un piège : la remise en état du véhicule est facturée de manière souvent exorbitante.
  • Les mensualités de la LOA sont moins élevées que celles de la LLD (Hors apports.

Il faut donc faire le bon choix en toute connaissance de cause et surtout bien lire toutes les lignes des contrats proposés. Les financiers ont complexifié à souhait les possibilités de financements de nos « chères » voitures. « Un financier digne de ce nom ne va pas à la Bourse, il y «vole».» Ambrose PIERCE.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Pour l’un de ses ultimes tours de piste sous les projecteurs, il est parfaitement décontracté et rodé à la pratique de l’exercice, le président de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté. Si son alter ego décisionnaire, mais directeur général de la structure, nommé en juillet, Thomas LEMAITRE découvre les arcanes d’une assemblée de territoire, accueillie dans l’Yonne ; lui, Eric COQUILLE ne les compte même plus ! C’est en affichant un large sourire qu’il s’est donc rendu au pupitre de l’estrade de l’espace culturel ayant reçu la manifestation afin de tirer les enseignements de l’exercice 2023, frappé de plein fouet par la crise économique et l’inflation…Avant d’aborder les perspectives.

 

APPOIGNY : Il ne pouvait pas manquer de saluer le travail sérieux effectué au cours de l’exercice écoulé, par l’ancien directeur général, Laurent BEURIENNE, parti au premier janvier 2023, sous d’autres cieux promotionnels du côté de la capitale. Un Laurent BEURIENNE qui aura laissé presque une marque indélébile dans le microcosme tant le personnage jouait sa partition avec maestria au sein de l’édifice CERFRANCE régional ; lui qui désormais occupe une fonction à haute responsabilité, au sein du Conseil national du réseau CERFRANCE, à Paris.

Mais, Eric COQUILLE lorgnant vers l’avenir sera aussi mettre en évidence son successeur, Thomas LEMAITRE, dès les premières minutes d’une assemblée territoriale qui s’ouvrait selon le cérémonial habituel.

Un Thomas LEMAITRE qui aura déjà un rôle prépondérant à jouer en cette période automnale en préparant la succession et l’imminent départ du président Eric COQUILLE.

En effet, ce dernier a annoncé son retrait du poste d’administrateur qu’il occupait depuis plusieurs années, en date du 28 novembre prochain, lors de l’assemblée générale annuelle. C’est-à-dire demain ou presque à l’échelle du temps !

 

Un nouveau président à la tête de CERFRANCE BFC fin novembre

 

Une manière intelligente de préparer l’avenir de la structure en mode résolument binôme, une structure spécialisée dans l’expertise comptable mais pas que puisque CERFRANCE BFC a su ajouter une multitude de cordes à son arc – c’est devenu une harpe au fil des années ! – au service des entreprises et des entrepreneurs dans leurs quêtes de rentabilité et de sécurisation financière.

Pour l’heure, rien n’a donc filtré sur le patronyme exact qui succédera au président COQUILLE en cette journée du 28 novembre. Toutefois, l’orateur profitera de sa prise de parole, face à un auditoire très attentif, pour préciser que le Conseil d’administration de la structure avait fait le nécessaire en amont pour que les deux rouages de cette indispensable courroie de transmission devant pérenniser le travail de ce leader du chiffre et du droit puissent poursuivre leur travail en toute sérénité.

 

 

Le rôle des délégués de territoire, à ne pas oublier…

 

Insistant sur la vie de ce binôme (président/directeur général), Eric COQUILLE n’hésitera pas à tresser des louanges sur ce mode opératoire très fonctionnel et à s’appesantir sur la nécessaire cohésion décisionnelle propre à ce système de gouvernance associative. Tel que l’a pratique avec succès CERFRANCE.

Sur sa lancée, le président évoqua également la réorganisation de l’entreprise – elle s’appuie sur une stratégie de développement ambitieuse depuis la fusion de 2019 – qui sera largement explicitée au cours de la soirée, trombinoscopes et cartographies en sus, avant d’aborder l’engagement politique de l’équipe.

Il sera ainsi présenté dans le détail le rôle des délégués de territoire, véritable articulation de cette société.

Dans cette longue explication de texte permettant de mieux saisir la gouvernance de la structure, Eric COQUILLE ne pouvait clore ce chapitre sans revenir une fois encore sur la nomination au début de l’été de Thomas LEMAITRE dont nous avions présenté le portrait dans l’un de nos précédents articles.

Un nouveau directeur général qui est depuis bien installé dans son fauteuil de dirigeant, choisi parmi une centaine de candidatures à l’origine. Ce qui n’est pas rien et témoigne, comme devait le préciser le président COQUILLE de l’intérêt porté à CERFRANCE par les cadres supérieurs en recherche d’ambitions…

 

Thierry BRET

 


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On dit qu’il est le révélateur de l’âme. Le regard. Le sien est profond et intense. D’un bleu azuréen, comme gorgé de soleil. Chaud et doux à la fois, à l’image de ces toiles, petits et grands formats, figuratives ou abstraites, aux couleurs éclatantes mais finement choisies que l’artiste icaunaise se plaît à positionner avec sérénité et harmonie sur les cimaises de l’Espace culturel. Jusqu’au 03 décembre, celle qui a fréquenté les ateliers de Montparnasse et de Paris aux côtés des esthètes en la matière va donc prendre racine. Pour y dévoiler sa rétrospective. Logique, quand on a la passion comme elle de la nature et des arbres, sources d’inspiration…

 

GURGY : Elle est très volubile, Odette LACAZE-BERNARD, dans ses explications. Surtout dès qu’elle évoque ses souvenirs d’enfance – particulièrement âpres et difficiles –, sa relation privilégiée entretenue avec sa maman, toujours sa référence pour avancer dans l’existence, et sa vie personnelle, un brin complexe parfois. Son rapport salvateur avec le monde des arts et de la créativité, aussi. Un refuge pour sa paix intérieure. Elle, qui ne se prédestinait pas vraiment à embrasser un jour la carrière d’artiste.   

D’ailleurs, aujourd’hui, la dame – respect, elle fête ses vingt-cinq ans d’imagination fertile en dévoilant cette rétrospective unique en son genre déclinée en une trentaine d’œuvres, certaines colorées, aux constructions éclectiques – est fière du chemin parcouru. Se remémorant ce que lui disait jadis une enseignante du collège qu’elle fréquentait : « n’arrête jamais de dessiner, tu as un don, du talent et tu verras un jour tu t’y remettras… ».

 

 

Une grande liberté dans la richesse créative

 

Une sage prémonition, qui aura permis à la « peintresse » comme elle aime à se définir de travailler avec les maîtres parisiens de l’art pictural.

Paris. Ville lumière qui lui apportera que du bonheur. Elle y a fréquenté pendant de nombreuses années les maîtres compétents, tous auréolés d’un Grand Prix de Rome à l’instar de Me DIEBOLD, mais aussi de VERDEILLE, Mickaele André SCHATT, Ros BLASCO, GERMIGNAGNI…

A leurs côtés, Odette apprend, assimile, travaille, essaie, se teste, esquisse. Son travail évolue d’année en année. Passant de la peinture figurative à l’abstraction que son second époux, hélas aujourd’hui disparu, ne percevait pas trop, voire à l’expressionnisme abstrait. Tel que le conçoit l’école de New York, source d’inspiration. Elle qui affectionne aussi en s’en nourrissant des toiles de PICASSO, BACON, BASQUIAT, ROTKO…Que du lourd dans ce registre des créateurs intemporels !

« J’ai toujours aimé leur impression de force et de vitalité, admet-elle tout sourire, leur grande liberté et leur richesse créative… ».

 

 

Une impérieuse nécessité de fonctionnement

 

La passion, toujours et encore, dont elle ne se départit pas. Même quand elle présente l’un après l’autre ses tableaux en les commentant à quelques visiteurs ayant osé braver leur timidité pour pénétrer dans cette enceinte artistique de renom, que le maire de Gurgy Jean-Luc LIVERNEAUX et sa fidèle collaboratrice, Ludivine ALLIOT, poussent en avant.

« Peindre ou dessiner reste  une impérieuse nécessité de fonctionnement dit cette charmante personne qui adore les chats et vénère la nature.

Une nature à qui elle rend hommage. Sur toile, évidemment. On y voit des troncs léchés par les flammes incandescentes d’un incendie. Sur fond de couleurs orangées. Une façon expressive de dire stop à l’incivilité et au non-respect que l’humain entretient avec la forêt.

L’eau, ressource primordiale pour la vie sur Terre, est également magnifiée par l’artiste, établie dans l’Yonne depuis 1991. C’est beau, franchement poignant, didactique – les deux tableaux de la Garde républicaine placés côte-à-côte en version figurative ont valeur de pédagogie -, émouvant à la contemplation de ce dessin d’un homme qui, attristé sur son sort, pense à la manière du fameux personnage de RODIN et qui regarde l’avenir sur la séquence suivante pour mieux l’appréhender, vivifiant avec ces paysages nimbées de coloris éclatants…

Bref, une exposition à découvrir de suite pour mieux comprendre qu’un artiste se doit ne jamais transiger avec soi-même au risque d’y perdre sa liberté de création. Une liberté imaginative qu’Odette LACAZE-BERNARD a su conserver tout au long de cette belle carrière…

 

En savoir plus :

Exposition vente d’Odette LACAZE-BERNARD

Espace culturel de Gurgy

Du 04 novebre au 03 décembre 2023

Entrée gratuite

Les mercredis, samedis et dimanches de 14h à 18 h

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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L’ensemble des experts-comptables conseille au quotidien près de trois millions d'organisations (sociétés, entreprises individuelles, associations…) en France, de tous secteurs et de tous types. Il les accompagne dans de nombreux domaines : de la gestion à la recherche de financement, en passant par le social (de l’embauche de salariés, à la procédure de licenciement, par la gestion de la paie et de la collecte des cotisations sociales) ou encore le système d’informations… Ce professionnel joue un rôle clé auprès des entreprises, en conseillant les dirigeants sur des sujets stratégiques tels que l’investissement, l’innovation, l’exportation, le recrutement…

 

TRIBUNE : Acteur incontournable de la vie économique, l’expert-comptable est le premier conseiller des chefs d’entreprise. De plus en plus connecté et doté de compétences variées, voici, pour le rappeler, un zoom sur un métier moderne qui évolue avec son temps et la numérisation.

Bien sûr, il gère toute d’activité comptable de l’entreprise, mais il fait bien plus que cela. Il est également conseiller de ses clients, entrepreneur lui-même pour son cabinet et en tant que membre de l’Ordre des experts comptables, engagé au sein d’une profession libérale. Il conseille les dirigeants dans leurs choix stratégiques, alerte, analyse et accompagne les entreprises dans toutes les étapes de leurs développements quel que soit le secteur d’activité. C’est un véritable partenaire soumis au secret professionnel et à des règles déontologiques.

 

Expert-comptable, une profession réglementée 

 

Il appartient à une profession réglementée régie par l’Ordre des experts-comptables qui assure la défense de l’honneur et de l’indépendance de la profession qu’il représente. Soumis à un code de déontologie et à des normes professionnelles, il est obligatoirement inscrit au tableau de l’Ordre des experts-comptables, prête serment lors de son inscription, fait l’objet de contrôles réguliers sur son activité professionnelle, et est soumis à une obligation d’assurance civile professionnelle.

Un expert-comptable détient par la loi une prérogative exclusive d’exercice consistant en différentes missions, à savoir réviser, apprécier mais aussi tenir, centraliser, ouvrir, arrêter, surveiller, redresser ou consolider les comptabilités des entreprises et organismes auxquels il n'est pas lié par un contrat de travail. Il est également habilité à attester la régularité et la sincérité des comptes de résultats.

Autrement dit, si une entreprise ne fait pas sa comptabilité en interne et souhaite la confier à une personne extérieure, cette personne doit être expert-comptable et donc être inscrite au Tableau de l’Ordre. Cette prérogative garantit aux entreprises, à leurs partenaires financiers, à leurs salariés et aux pouvoirs publics, compte tenu de la réglementation qui encadre l’activité des experts-comptables (normes, déontologie, discipline, assurance obligatoire…), des travaux de qualité en matière de comptabilité et de fiscalité.

A défaut d’être inscrit au Tableau de l’Ordre, la personne peut être poursuivie au pénal pour exercice illégal de la profession d’expert-comptable et/ou pour usurpation du titre. La vérification de l’inscription au Tableau de l’Ordre peut s’effectuer en consultant l'annuaire de l'Ordre des experts-comptables. Si le prestataire qui effectue ces missions ne figure pas dans cet annuaire, vous êtes invité à effectuer un signalement à l'Ordre.

 

 

La profession en quelques chiffres

 

21 000 experts-comptables dont 15 000 hommes et 6 000 femmes exercent aujourd’hui en France. Auprès de 3 millions d’entreprises clientes pour 130 000 collaborateurs. Quant au chiffre d’affaires, il est de 11,5 milliards.

L’expert-comptable n’est ni un gourou, ni une « voyante ». Homme de chiffres, il peut établir des comptes prévisionnels, mais ne pourra jamais remplacer le chef d’entreprise. Certains souhaiteraient que l’expert-comptable puisse gérer leur entreprise ou leur personnel à leur place. Nous pouvons établir par exemple les déclarations de revenus fonciers, avec communication des documents ou informations, mais nous ne pouvons pas gérer la gestion des loyers et des locataires.

Nous pouvons par exemple rappeler à nos clients restaurateurs ce qu’est un taux de marge, et le coefficient qu’ils doivent appliquer pour courir les charges fixes. L’expert-comptable n’a pas pour mission de préparer les menus. Si, si cela m’a déjà été reproché !

Nous pouvons accompagner le chef d’entreprise, mais ne pouvons le remplacer. Même pendant les vacances… Une commerçante m’a reproché de ne pas pouvoir gérer son magasin et sa salariée pendant ses vacances d’été !

Nous pouvons vous accompagner dans l’établissement de déclaration de revenus ou de biens immobiliers. Mais nous ne pouvons pas « être dans votre tête ». Si vous ne nous informez pas, nous ne pouvons pas connaître les changements de situation (mariage, naissance…), le détail de votre patrimoine immobilier et de vos revenus locatifs (et des éventuels travaux déductibles).

Sans communication de l’intégralité des documents comptables (seules les factures sont comptabilisables et non pas les bons de commande, bons de livraison et devis) ou des informations (stock, impayés clients…), nous ne pourrions pas vous dire où vous en êtes, en établissant votre bilan comptable, qui doit être « la photo » de votre entreprise à un moment donné.

En conclusion, l’expert-comptable n’est que le conseiller du chef d’entreprise et ne pourra pas le remplacer. Pour pouvoir le conseiller au mieux, l’expert-comptable doit avoir tous les documents et informations en sa possession. Même si le chef d’entreprise attend beaucoup de son expert-comptable, n’oubliez jamais que nous ne pouvons pas « être dans votre tête » et que nous ne pouvons pas vous remplacer…

 

Lionel LEBLANC

 Expert-comptable

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