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Elle se nomme « Jolie Star ». Et la bête, un poney shetland portant fière allure du haut de ses quatre ans, est sympa et docile comme tout. Elle, qui a su prendre la pose lorsque ses généreux acquéreurs lui ont rendu une visite plus que de courtoisie, il y a peu, dans l’espace animalier accueilli au sein de l’IME des Isles à Auxerre. Le Rotary Club local a donc fait des heureux, juste avant Noël. Permettant aux très jeunes pensionnaires de l’institut médico-social, géré par l’EPNAK, de s’adonner aux activités équestres à l’aide de leur nouvelle amie à quatre pattes !

 

AUXERRE: Son patronyme pourrait sortir tout droit de la dernière aventure de « Lucky Luke », le cow-boy qui tire plus vite que son ombre. Traduit-il pour autant des traits innés de son caractère ? En tout cas, la « bestiole » n’est pas farouche pour un sou et se laisse gentiment caresser par toutes celles et tous ceux qui en éprouvent l’envie ! N’est-ce pas mesdames les représentantes de La Poste ?!

Une « Jolie Star » au centre de moult attentions, il est vrai, vedette incontestable de la soirée, à rendre jaloux moutons, lapins et chèvres qui dans leurs enclos respectifs aimeraient bénéficier d’autant signes d’affections et de faveurs de la part des membres du Rotary Club d’Auxerre, venus en petite délégation saluer le fruit de leur générosité.  

Car « Jolie Star » est presque devenue leur poney « adoptif », puisque ce sont les oboles offertes avec souci d’altruisme et de solidarité par les adhérents du club service auxerrois qui ont financé son achat. Et pas n’importe quelle acquisition, il est vrai !

 

 

Posséder un poney beaucoup plus adapté à la monte qu’un cheval…

 

Ce jeune poney, âgé de quatre ans, de race shetland jusqu’au bout de la crinière et des sabots, a été offert à l’IME des Isles où sont accueillis par l’établissement EPNAK de jeunes enfants (entre autres), souffrant de déficiences intellectuelles et de handicaps.

La ferme de l’institut médico-social auxerrois est accueillie dans un édifice de très belle facture, on s’y croirait avec des enclos et des espaces appropriés pour recevoir cette petite ménagerie. Tout cela conduit sous le sceau de la pédagogie et du rapport privilégié à développer avec la présence animalière.

Il y a peu, trois chevaux occupaient encore ces boxes. Deux sont morts. Le survivant, « AZYRIS », s’ennuyait fort, après la perte de ses deux compagnons. En outre, beaucoup plus grand au garrot qu’un simple poney, il ne permettait pas à tous les enfants – les plus petits au demeurant – de pouvoir se hisser dessus. D’où la réflexion de la responsable du centre, Cécile THALEN, de se doter enfin d’un poney, plus adapté à la monte des jeunes enfants.

 

 

 

 

Le mariage réussi de « Jolie Star » et de ses jeunes cavaliers !

 

Après contact, c’est l’écurie auxerroise, adepte de la valorisation équestre, CAVAL JUMP qui sera sur les rangs et apportera la solution idoine, incarnée désormais par « Jolie Star ». Restait son financement.

Le projet éducatif en direction de l’enfance handicapée – l’un des axes prioritaires parmi les nombreuses actions sociales portées par le Rotary – interpella le président de l’un des deux clubs du cru, Vincent VALLE. Les membres du club service lui emboitèrent le pas : in fine, 2 700 euros furent ainsi alloués à la finalisation de cette belle opération, l’achat du poney pour les besoins des petits.

Depuis son installation à l’IME de l’EPNAK, « Jolie Star » vit aux côtés des petits pensionnaires comme un coq en pâte ! Normal, ils l’adorent et elle les aime : bravo au Rotary Club d’Auxerre d’avoir su gérer cet hymen !

 

Thierry BRET

 

 


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L’innovation dans tous ses états. De surcroît, celle qui fleure bon les initiatives entrepreneuriales et associatives émanant de la Bourgogne et de la Champagne ! Les esthètes en la matière le savent et ne cessent de le marteler, à grand renfort de prises de parole ou de conférences : « il ne peut y avoir d’attractivité territoriale, sans innovation ! ». Une vérité de La Palice que les responsables du « Village by CA » (comprenez par-là l’excellent écosystème décliné par le Crédit Agricole) ont su reprendre à leur compte en créant la première édition des Talents de l’Innovation. Il fallait y penser : la Banque Verte l’a fait ! Neuf lauréats s’en souviendront longtemps…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est un évènementiel qui au vu du succès escompté devrait immanquablement appeler à se pérenniser dans le temps. C’est une certitude. Une manifestation à l’ancrage territorial, devant mettre sous le feu nourri des projecteurs médiatiques, ce qui se fait de mieux sur le registre de l’innovation de cette contrée qui excelle en la matière. Il suffit de s’intéresser de très près à l’actualité de l’hydrogène ou de l’énergie avec le nucléaire. Bref, la Bourgogne et la Champagne regorgent d’idées et de talents – même si ses sols ne contiennent pas de pétrole et pas de gaz ! – et veut le faire savoir.

Mettre en lumière les esprits innovants, désireux de façonner notre territoire, à partir de projets et de judicieuses envies entrepreneuriales, est donc le socle avoué de ce rendez-vous où devaient se réunir plus de deux cents personnes, le 13 novembre dernier, à Dijon. Un cadre idoine pour accueillir l’animation : la « Burgundy School of Business », qu’on ne présente plus !

 

L’innovation, une vertu à valoriser au nom de l’attractivité

 

Grande vedette de la soirée qui permettait de décerner des sésames à neuf lauréats choisis par un jury ayant examiné avec dextérité et patience plus d’une centaine de dossiers de candidature : l’innovation.

On le sait, celle-ci se manifeste à tous les étages de la société. Dans tous les domaines professionnels. Sans innovation, une entreprise est vouée à disparaître, dit l’adage propre au développeur d’affaires.

Alors, encourager en les récompensant celles et ceux des « startupeurs » qui pratiquent l’innovation au quotidien comme Monsieur Jourdain se délectait sans même le savoir de la prose devenait une impérieuse nécessité. Une passerelle que le Crédit Agricole, ici même dans sa configuration territoriale de Champagne Bourgogne, aura su construire avec en corollaire son passionnant concept du « Village By CA ».

Une formule magique, sans poudre de perlimpinpin et de breuvages abjects à avaler, qui aujourd’hui offre l’opportunité à ces entrepreneurs de la région d’être soutenus à la concrétisation de leurs projets novateurs à fort potentiel engagés dans des domaines aussi éclectiques et fondamentaux que peuvent l’être la santé, l’énergie, l’agriculture ou la recherche…Et encore, la liste n’est pas exhaustive.

 

 

Plus d’une centaine de dossiers sur la grille de départ…

 

Proposer des « Talents de l’Innovation » résulte donc d’une logique implacable pour dynamiser et valoriser le territoire à travers le prisme de l’attractivité. D’ailleurs, pourquoi les dirigeants de l’établissement financier n’y avaient pas pensé avant ?! Etonnant, non, s’en serait amusé le regretté Pierre DESPROGES !

Partant du postulat qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire, ce concours  s’inscrit donc parmi les nouvelles priorités de notre paysage économique. Ouvert à toutes les castes de la vie professionnelle – et par extension associative qui est aussi génératrice d’excellentes initiatives en matière d’innovation -, il devrait se tenir désormais chaque année. Sur la base du volontariat et de l’inscription, à déposer avec dossier de candidature, au préalable.

D’ailleurs, les chiffres ne trompent pas. Une centaine de dossiers sur la grille de départ initiale, puis, une petite quarantaine de pré-sélectionnés (38 précisément) invités à assurer un « pitch », le propre de l’exercice oratoire face un jury pour tout bon responsable de startup qui se respecte ! In fine, ils ne seront plus que neuf à recevoir une récompense pour leur ingéniosité, leur audace, leur culot, leur talent !

Bref, neuf structures en quête du Graal qui repartiront de Dijon avec la bénédiction urbi et orbi d’un jury de professionnels aguerri à cet exercice !

 

 

Avant que ne tombe le verdict et que le rythme cardio-vasculaire baisse d’un cran parmi les candidats, Emmanuel VEY, directeur du Crédit Agricole Champagne Bourgogne prit soin en préambule de rappeler la genèse et le mode opératoire d’un tel challenge. « Nous avons imaginé ce concours comme un tremplin pour tous ceux qui innovent en Champagne Bourgogne. Nous souhaitions encourager ces acteurs qui repoussent sans cesse les limites pour s’adapter à un environnement en constante mutation… ».

Pour se faire, quatre catégories permettaient de départager les futurs lauréats. Soit les agriculteurs/viticulteurs – le credo traditionnel de la Banque verte -, les artisans/commerçants, les chefs d’entreprises et le milieu associatif. Signalons que l’Yonne arrivera à se distinguer par sa fameuse structure associative, « La Grange de Beauvais » et son président, Patrick HENRY, trop heureux de glaner un nouveau prix. Un prix sur neuf attribué à une structure icaunaise, incontestablement, l’Yonne peut mieux faire à l’avenir. Peut-être en 2024 ?

 

 

    

Les résultats

Nos lauréats sont :

Catégorie Artisans/Commerçants

 

Benoit BERT – Bussy Compost

Jean-Paul LOUREIRO – Opti-Toit

Catégorie Associations

Emma PICARD – CCulte

Patrick HENRY – Grange De Beauvais Venouse

 

Catégorie Agriculture/viticulture

Manon CHAILLAN – Les Ruchers du Bassigny

Michel VILLARMET - Les Fermes de l'Auxois et leurs Petits Casiers

 

Catégorie Entreprises

Magali BAJARD – Sintermat

Arnaud DORIDOT – Boostherm

 

Trophée Coup de Coeur 

Isabelle BLIN - Association " les ateliers des petites herbes"

 

Les membres du jury étaient

François - Xavier Lévêque – Président Caisse Locale de l’Innovation

Flavien Lemière -  ENGIE

Frédéric Imbert - Dijon Céréales

Vincent Delatte - BFC ANGELS

Dorian GUIU - GUIIU

Simon Massot -  Suntec

Valérie Vuillemot  -  Caisse Locale de l’Innovation

Euphémie Picq - Schiever

Franck Duhamel  - CAPEC

Quant aux trophées, taillés dans la pierre de Bourgogne, ils ont été réalisés par le lycée des Marcs d’Or, par les élèves de la section « Taille de pierre ». Il s’agit de pièces uniques. La preuve qu’innover c’est aussi renouer avec la tradition…

 

Thierry BRET

 

 


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Ce n’est pas une convention mais bel et bien trois documents, établis entre la Région Bourgogne Franche-Comté et la Communauté de communes de Puisaye-Forterre (ainsi que les communes de Saint-Fargeau et de Saint-Amand-en-Puisaye) qui ont été paraphés cette semaine par les instances représentatives, lors d’une cérémonie protocolaire organisée en présence de Nicolas SORET, le « grand argentier » de l’organisme régional. De quoi donner le sourire au président de la CCPF, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI…

 

MOULINS-SUR-OUANNE : Au moins, quand il se déplace au cœur des territoires, en l’occurrence celui de la Puisaye-Forterre, le troisième vice-président du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté Nicolas SORET n’effectue pas le voyage à vide ! Dans sa besace, trois conventions à parapher en public, devant un parterre d’élus locaux, attentifs à la symbolique de l’acte. En charge des Finances, du Développement économique, de l’Economie Sociale et Solidaire et de l’Emploi, le maire de Joigny s’est prêté à cet exercice, inauguré quelques jours auparavant dans sa propre ville et à Auxerre, avec célérité et expérience. La maîtrise de l’instant et de l’importance du geste, sans doute. Lui qui est parti pour une très longue tournée aux implications similaires aux quatre coins de la contrée.

Premier des contrats à faire l’objet de cette validation publique : celui des « Territoires en action ». Le fameux « TEA », pour les initiés ! Il court sur la période allant de 2022 à 2028. Trente-cinq projets de la sorte vont ainsi permettre à l’organe institutionnel régional d’injecter près de 170 millions d’euros. Des projets qui portent prioritairement sur l’adaptation au changement climatique et à l’attractivité des territoires. Parmi lesquels, le traitement des espaces dégradés ou de friches, la rénovation énergétique de bâtiments publics, les aménagements des espaces publics, le développement de l’alimentation de proximité – ce que l’on nomme communément les circuits courts -, les pistes cyclables, les équipements publics nouveaux à l’instar de ceux aménagés pour la petite enfance, les tiers-lieux, les maisons de santé, etc.

 

78 000 euros de fonds non affectés pour garder une poire pour la soif

 

Une typologie de contrat qui s’articule à merveille avec d’autres fonds régionaux existants mis à disposition des territoires comme ceux de « Centralités rurales en Région, LEADER, le FEDER territorial, les Fonds d’aide aux projets… ».

Dans le secteur géographique qui nous incombe, la dotation s’élève à 1 792 422 euros. Comme devait le rappeler le président de l’EPCI, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, « ces fonds visent quatre objectifs qui constituent le projet de territoire, à savoir l’accompagnement  des transitions écologiques et énergétiques, le développement et la promotion d’une agriculture locale et durable, l’essor des mobilités durables et solidaires, ainsi que d’assurer la promotion de la Puisaye-Forterre en qualité de lieu attractif, solidaire et agile… ».

Dans l’absolu, la déclinaison de ces subsides se traduira sur cinq axes d’intervention dont celui de la santé pour tous (14 % de l’enveloppe) afin de maintenir l’offre de soins et l’accroître, la sobriété – le mot est extrêmement usité de nos jours ! – sur le foncier, l’urbanisme durable et l’alimentation de proximité (32 % de l’enveloppe), le développement de l’offre de services à la population (17 % de l’enveloppe), favoriser les mobilités durables (6 % de l’enveloppe) et l’accompagnement structurel des filières, soit 28 % de l’enveloppe. Ici, le président de la CCPF insistera plus spécifiquement sur les actions déclinables au bénéfice des métiers d’art, une filière en pleine expansion dans l’Yonne occidentale, avec notamment le poids apporté par l’EMA CNIFOP et le campus MANA.

Il restera un reliquat de 4 % de l’enveloppe initiale allouée par ce fonds. Soit une somme de 78 000 euros que la gouvernance de la Puisaye-Forterre souhaite conserver en partie de façon non-affectée. Afin, sans doute, de pouvoir réagir à chaud sur d’éventuelles opportunités…

 

 

 

Des fonds européens et des fonds autour de la centralité rurale…

 

Seconde convention se rapportant là aussi à l’intercommunalité : le programme « LEADER ». La Puisaye-Forterre profitera d’une manne non négligeable d’1 356 618 euros, en provenance de Bruxelles. Ce qui fera dire à Nicolas SORET, un tantinet admiratif devant la démarche, « qu’effectivement, cet EPCI savait parfaitement bien où trouver des fonds afin de financer ses projets, notamment les fonds européens, ce qui est loin d’être le cas de la majorité des EPCI de l’Yonne ! ».

En clair, le programme LEADER (Liaison entre action de développement de l’économie rurale)  se destine au développement des territoires ruraux – 22 groupes d’actions locales (GAL) ont signé ou signeront ces conventions avec la Région BFC pour la période 2023/2027 – pour des projets comprenant de la rénovation énergétique, des aménagements d’espaces publics, la mobilité douce, des axes culturels et/ou touristiques. Il faut savoir que l’enveloppe ciblée sur la Bourgogne Franche-Comté s’élève à près de 40 millions d’euros.  

La Puisaye-Forterre se verra attribuée plus de 900 000 euros. Pas mal du tout, et très prometteur quand on sait qu’au cours de la dernière programmation, 64 projets ont ainsi été soutenus par des fonds européens, soit plus de 2,3 millions d’euros injectés ! On comprend mieux le sourire affiché sur le visage de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI !

Quant aux élus des communes de Saint-Fargeau et de Saint-Amand-en-Puisaye – respectivement, Dominique CHARPENTIER et Gilles REVERDY -, ils furent appelés à leur tour à la  table des signatures afin de valider la convention « Centralités Rurales en Région », l’un des quatre piliers de la politique de cohésion territoriale voulue par la Bourgogne Franche –Comté, avec les  politiques de la ville, les territoires de projets et les Parcs naturels régionaux, et les ruralités. L’enveloppe globale votée par les élus régionaux se monte à 50 millions d’euros durant la période 2022/2026 afin de garantir un socle de services aux citoyens, de redynamiser les centres bourgs ou de lutter contre le sentiment d’abandon, entre autres.

Quatre-vingts communes dont Saint-Fargeau et Saint-Amand-en-Puisaye bénéficient de ce conventionnement avec la Région. Soit une enveloppe de 500 000 euros pour ces deux localités.   

Tout cela méritait bien quelques signatures à apposer au bas de documents placés dans un parapheur, non ?!

 

Thierry BRET

 

 

 


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Forcément, cela va ruisseler en mode ultra positif pour l’ensemble des professionnels du secteur ! Et le sourire du président de la Fédération Régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, en dit long sur les perspectives excellentes à venir ! En investissant 421 millions d’euros pour la modernisation des lignes ferroviaires de notre contrée, SNCF Réseau redonne du baume au cœur à des partenaires indispensables à la réalisation de ces chantiers…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le Forum de l’Economie et de l’Emploi du ferroviaire a vécu sa troisième édition, ce jeudi, réunissant plus de cent cinquante acteurs intéressés par les projets et perspectives de la SNCF en matière d’aménagement des lignes qui traversent la Bourgogne Franche-Comté. Et en premier, les représentants de la FRTP, c’est-à-dire la Fédération régionale des Travaux Publics !

Logique que le président régional Vincent MARTIN soit aux premières loges de ces échanges nourris et constructifs car SNCF Réseau poursuit le travail entamé depuis 2019 avec son partenaire, à savoir la modernisation des lignes ferroviaires régionales.   

Une modernisation dont l’investissement s’élève à 421 millions d’euros en 2023, avec une moyenne de plus de 350 millions d’euros chaque année pour les trois prochaines années, qui permet de recruter plus d’une centaine de personnes chaque année.

 

 

Rappelons que cet investissement est financé conjointement par l’Etat et la Région ; il profite au plan économique aux entreprises locales qui sont spécialisées dans les travaux ferroviaires mais aussi auprès des nombreux sous-traitants, voire des entreprises d’insertion, qui évoluent dans le domaine de l’emploi.

Logique que le président Vincent MARTIN pose aux côtés du président directeur général de SNCF Réseau, Marc CHABANEL, aux termes de cette journée de rencontres fructueuses pour les travaux publics et les opportunités qui lui sont offertes à l’avenir…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est nouveau et cela fonctionne plutôt bien depuis le lancement. Celui-ci est survenu en septembre. Un apprentissage de la viticulture, porté avec efficacité par le CFA Agricole La Brosse. Quoi de plus naturel, en somme, dans une zone géographique où le vignoble règne en maître et les emplois sont légion, même en période de hors saison !

 

VENOY : L’affiche fait plaisir à voir. Promotionnelle, de prime abord, elle résume à elle seule, à l’aide de quelques mots bien choisis et d’une jolie iconographie placée en son centre, la philosophie de la formation. On y voit un adolescent pieds nus dans le vignoble, scrutant attentivement des ceps de vigne. Le tout nimbé par la luminosité de l’astre diurne. Effet garanti ! Quand on voit cela, on a envie d’en savoir davantage sur le nouveau pôle viticulture par le prisme de l’apprentissage, décliné par le CFA Agricole La Brosse.

Ouverte depuis la rentrée, l’option viticole en mode apprentissage assujettie à l’obtention d’un CAP semble d’une logique absolue. Ici, au centre de formation agricole, on s’intéresse déjà de très près à ce tout ce qui a attrait à l’agriculture, les espaces verts, les spécialités équines, alors y ajouter dans l’escarcelle la viticulture ne dépareille pas de l’ensemble. C’est ce que confirme la toujours dynamique Hélène DECULTOT-TREMBLAY, aux commandes de cet univers pédagogique de premier plan.

« Pour nous, c’était naturel d’accueillir une formation spécifique à la viticulture dans nos murs, explique-t-elle, d’ailleurs, nous avons pour projet de l’étoffer avec un baccalauréat dès la rentrée… ».

 

 

 

Prioritairement les jeunes sortis de la 3ème mais pas que !

 

 

Le postulat de départ était simple : alors que le département de l’Yonne brille par la présence de ses nombreux vignobles dont certains sont de réputation mondiale (le chablis), peu de formations étaient jusque-là proposées sur le territoire. Une étrange curiosité que la directrice du CFA La Brosse a souhaité corriger.

« Ce nouveau pôle viticulture par l’apprentissage est notre manière de réagir par rapport à cet état de fait, ajoute la jeune femme, nous avons repris l’offre de formation à notre compte, l’ouvrant au passage à un public fraîchement émoulu de l’école (juste après la classe de troisième) mais aussi pouvant accueillir de jeunes adultes âgés de 29 ans maximum… ».

Les fondamentaux du travail de la vigne y sont abordés. A l’instar du travail quotidien sur le terrain mais aussi la connaissance du cycle de la vigne, et les différents aspects inhérents au métier.

La filière peine à pourvoir tous les emplois qu’elle propose à l’année et non en période saisonnière des vendanges. Une quinzaine de jeunes constituent la cible privilégiée de l’établissement qui attend beaucoup de ce nouveau pôle éducatif autour de la viticulture. L’accueil de formations supérieures de type BTS intègre les projets de développement à l’avenir. C’est un beau projet pédagogique qui ne demande qu’à prospérer avec le concours de maître d’apprentissage bienveillant et soucieux de transmettre leur savoir-faire aux plus jeunes…

 

Thierry BRET

 

 


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