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C’est beaucoup plus qu’un simple symbole distinctif. Même si le trophée, au coloris vert et bleu, se présente de qualité optimale, côté esthétique. C’est aussi une marque de respect et de fraternité entre les peuples. Ceux d’Afrique et celui de France, où était célébrée cette cérémonie, placée sous la présidence du conseiller départemental de l’Yonne, Magloire SIOPATHIS. Edile d’une localité ivoirienne distante de 700 km d’Abidjan (Bin-Houyé), André Narcisse MEMAN a été distingué par la plus africaine des associations auxerroises, Lune d’Afrique, en faveur de la promotion du vivre ensemble…

 

AUXERRE : Dans le civil, il possède le titre d’inspecteur vérificateur principal, le maire de la commune de Côte d’Ivoire, André-Narcisse MEMAN. Bref, c’est un féru de chiffres mais aussi de lettres, qui a obtenu en octobre dernier dans son pays les félicitations officielles de la direction générale du Trésor et de la Comptabilité publique. Une institution de l’Etat.

Bref, cet inspecteur des impôts, maire de la commune de Bin-Houyé, localité aux 60 000 âmes située à la frontière avec le Libéria, aime la terre de l’Yonne et plus particulièrement sa capitale auxerroise.

Présent en Bourgogne septentrionale, il y a déjà quelques semaines pour y recevoir une distinction honorifique – le prix du bien vivre ensemble, tout un programme ! -  qui lui a été attribuée par la structure associative, accueillant des membres de la diaspora africaine mais aussi des Français, Lune d’Afrique – on connaît particulièrement bien les activités qui y sont déployées en faveur de l’égalité des droits aux femmes, la promotion du cacao et les manifestations gorgées d’exotisme et de chaleur sur fond d’actualités artistiques et culturelles -, l’élu de Côte d’Ivoire fera une nouvelle halte, vendredi dans la cité de Paul Bert, pour y rencontrer à la fois des représentants de la Commission économique de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Relations internationales. Ainsi que son compatriote, le journaliste Dieusmonde TADE, qui y séjourne depuis plusieurs années, ce dernier préside à la destinée de l’antenne hexagonale de cette Lune d’Afrique qui ne cesse de briller.

 

 

Une étape au Congrès des maires de France avec une forte délégation

 

Mais, avant de profiter de la vision champêtre du nord de la Bourgogne, André-Narcisse MEMAN durant ce prochain séjour, l’élu ivoirien aura fait étape au 105ème Congrès de l’association des Maires de France et au Salon des Collectivités, à Paris, en compagnie d’une quarantaine de maires ivoiriens, conduits par le ministre Danho PAULIN et le président de l’UVICOCI (l’Union des Villes et Communes de la Côte d’Ivoire), un organisme ayant pour raison d’être de développer des liens de solidarité et d’entraide entre les agglomérations du pays, sans omettre le développement de relations vers l’international.

Lors de son précédent séjour, André-Narcisse MEMAN avait été accueilli par le conseiller départemental et communautaire de l’Auxerrois, Magloire SIOPATHIS, avec lequel il sera entretenu longuement sur les sujets de l’environnement, du développement économique, de l’éducation et de l’amitié qui doit exister entre les peuples. Un message fort et mobilisateur, relayé également par Dominique DORENT, qui représentait la présidente de la Maison de la Francophonie et des Relations internationales, Marité CATHERIN, déjà investie sur d’autres missions ce jour-là.

Il fut également question d’économie avec sa production phare, le cacao (la Côte d’Ivoire demeure le premier producteur au monde de cette fameuse fève de cacaoyer qui une fois transformée régale les gourmands du monde entier !), mais aussi le café, et l’hévéaculture qui donne naissance, comme chacun le sait, au caoutchouc. Dans les sous-sols, s’il n’y a pas de pétrole (tiens, tiens, c’est comme en France !), certaines zones contiennent de l’or.

Lors de ce nouveau déplacement, et accompagné d’une petite délégation d’élus, André-Narcisse MEMAN fera l’objet d’un suivi médiatique avec la présence de journalistes de la RTI, la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne, qui filmera le moindre de ses faits et gestes officiels aux côtés de ses amis français. Bref, un peu de lumière et de vraie chaleur dans ces relations franco-africaines qui perdurent au nom de la fraternité…

 

Thierry BRET

 


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Triste nouvelle que celle-là. Elle concerne la disparition d’un personnage incontournable de notre territoire qui aura su sublimer durant toute sa carrière professionnelle les arts de la table, le plaisir du palais et la découverte gastronomique, à l’aide de l’un de ses produits fétiches, déclinés dans ses multiples variantes gustatives, le saumon. A l’âge de 78 ans, Daniel RAYMOND nous a quittés. Lui, l’incarnation même de cette belle entreprise familiale, « LE BORVO » – c’est son fils Benjamin qui a repris les rênes de la structure il y a quelques années – dont on se sustente volontiers de ces délicieux produits qui donnent des airs de fête permanentes aux tables icaunaises…

 

CHEMILLY-SUR-YONNE : Sur la page Facebook de l’entreprise, ces quelques mots lapidaires qui apparaissent sur les écrans. « Nous tenons à vous informer que notre établissement sera exceptionnellement fermé ce vendredi 24 novembre 2023… ». Et sur la ligne du dessous, laconique, la phrase suivante, « il n’y aura pas d’expéditions possibles … ».

Il est vrai que dans le même laps de temps, en l’église de Seignelay qui sera pleine comme un œuf, se dérouleront en fin de matinée les obsèques de ce chef d’entreprise visionnaire et créatif que fut Daniel RAYMOND durant toutes ces années.

Un nom connu et reconnu, une réputation de perfectionniste, un véritable professionnel qui savait se mettre en quatre pour accueillir les clients et partager avec eux sa passion immodérée du…saumon puisqu’il en construisit même un musée dans son complexe de Chemilly.

Normal, il possédait en lui le sens du relationnel, l’ami Daniel. Des réminiscences sans doute de sa vie antérieure, lorsqu’il exerçait encore derrière les fourneaux du « Berkeley » à Paris en qualité de chef cuisinier, tout auréolé d’étoiles, au contact des adorateurs de ses mets !

 

 

Changement de cap au début des années 1980

 

Mais, en 1980, le garçon opte pour une toute autre carrière : la production du saumon fumé, issu d’un procédé artisanal familial. L’originalité est là. La qualité du produit, aussi. Si bien que l’enseigne qui porte le nom de « Borvo » se fait une notoriété qui dépassera allègrement les frontières de l’Yonne.

C’est simple : en l’espace de quelques années, de l’huile de coude, d’ingéniosité et d’un savoir-faire aguerri à toute épreuve, le BORVO deviendra l’une des références incontournables dans le monde de la gastronomie européenne, notamment dans son domaine de prédilection que sont les salmonidés et leurs multiples préparations culinaires.

Plats cuisinés, terrines, servis en produits à tartiner : le saumon revu et corrigé à la sauce experte de Daniel RAYMOND et de ses équipes – environ soixante-dix collaborateurs - y gagnera ses lettres de noblesse. Et pas uniquement au moment des fêtes de fin d’année !

Un succès tel que les grandes tables de la gastronomie hexagonale, voire d’ailleurs puisque la société exporte dans une vingtaine de pays dont certains en Asie, se fourniront avec une régularité constante auprès du site entrepreneurial de l’Yonne. Dans les cénacles de la vie institutionnelle et politique de la France, on se régale aussi de saumons à l’estampille « BORVO », y compris à la table présidentielle !  Parmi les autres grands références qui ont fait la renommée du produit travaillé dans l’Yonne : LENOTRE, l’hôtel CRILLON, DALLOYAU ou ROBUCHON ! Même le grand critique gastronomique, Gilles PUDLOWSKI en brossait un portrait élogieux dans ses écrits en 2011 ! Rien que ça…

Respect, donc, pour ce visionnaire de la gastronomie qui ne manquait pas d’imagination ni de créativité dans son quotidien. Respect pour l’entrepreneur qui a su créer une marque de fabrique aux accents internationaux dont seront fiers longtemps les Icaunais…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Avant qu’ils ne plongent vendredi dans le quatrième acte de ce colloque annuel spécifique à la Puisaye-Forterre où réflexions et questionnements nourrissent les neurones des élus – il y sera abordé l’épuisement d’une ressource vitale à la vie humaine, c’est-à-dire l’eau -, les participants des « Entretiens de CHAMPIGNELLES » ne manqueront pas de se remémorer le chaleureux accueil de leurs homologues institutionnels allemands qui les ont réceptionné quatre jours durant à Hambourg et dans sa proche périphérie. Un voyage d’étude utile pour mieux comprendre les enjeux de la RSE, de la mobilité, de la maîtrise des énergies, et tant d’autres choses encore, vues de l’autre côté du Rhin…

 

HAMBOURG (Allemagne) : L’eau n’est pas une ressource inépuisable. C’est presque devenu une évidente litote, digne de La Palice qui mobilisera toute l’attention des élus de Puisaye-Forterre, vendredi 24 novembre, lors de l’acte IV de ces « Entretiens » 2023 de belle cuvée, devant se clôturer le soir-même.

Un ultime round, non pas d’observation mais fait de débats, d’échanges et de discussions où viendront s’exprimer des esthètes en la matière sur ce sujet ô combien crucial de notre société contemporaine et, par extension, de l’économie. Car, sans cette précieuse ressource aquatique, qui est à l’origine de la vie, point de productions agricoles et d’alimentation. Le président de la Chambre départementale d’agriculture de  l’Yonne, Arnaud DELESTRE, en sera précisément un des judicieux témoins…

Mais, avant qu’ils ne nagent dans les eaux troubles du réchauffement climatique et de ses pernicieux effets sur la pluviométrie et la régression des nappes phréatiques, cause de sécheresses durables et multiples aux quatre coins du globe, très inquiétantes pour la survie des espèces se mouvant sur Terre, les élus de Puisaye-Forterre tireront les enseignements de ce déplacement, début novembre, en territoire germanique, du côté de Hambourg, voire même au-delà à quelques encablures de la frontière danoise.

 

 

Entretenir les indéfectibles liens d’amitié avec nos voisins européens

 

Certains des observateurs chafouins ou d’éternels réfractaires à toute idée positive que nos élus puissent s’inspirer de ce qui se fait ailleurs sur le sol européen (voire plus loin) se poseront toujours cette récurrente question basique : mais à quoi peuvent donc bien servir ces voyages d’étude où sont emmenés des élus locaux hors de leurs lieux de prédilection ?!

Ne serait-il pas judicieux qu’ils se contentent uniquement d’assurer les affaires courantes dans leur localité – ce dont pourquoi ils ont été élus ! – et s’assurer à titre d’exemple que les poubelles soient bien remises à leur place sur les trottoirs, une fois qu’elles ont été collectées dès potron-minet et de manière hebdomadaire par les services de ramassage ad hoc, et encore quand elles le sont !

La réponse est non, bien évidemment ! A l’heure des grands bouleversements et des enjeux qui perturbent nos collectivités dans leurs approches des problèmes sociétaux, se rapportant à tous les Français (environnement, gestion de l’eau, réduction des énergies fossiles, simplification administrative, développement économique, essor des circuits courts, emploi…), il est parfois de bon ton de regarder un peu plus loin que ses bésicles et de s’immerger, non pas en terre inconnue, mais bel et  bien chez nos voisins européens pour mieux comprendre et appréhender comment ils font à leur niveau !

Qui plus est, au-delà de l’amitié et de la fraternité à ne jamais galvauder entre peuples, socle de cette Union européenne tant décriée parfois mais qui nous préserve encore de la réalité effroyable de la guerre, comme celles qui frappent à nos portes.

 

 

 

Un condensé d’explications autour d’une économie efficiente

 

Alors oui, les élus de Puisaye-Forterre qui sont partis nombreux – une quarantaine de personnes - s’aérer l’esprit quelques jours durant dans le pays de Goethe et de Beethoven auraient eu tort de ne pas s’y rendre !

D’une part, l’amitié franco-allemande n’est pas un vain mot même si les Français méconnaissent largement la langue aux accents gutturaux d’Outre-Rhin – il y a belle lurette que l’allemand n’est plus choisi par les potaches en première langue au collège ! – du fait de la qualité de l’accueil et des réceptions officielles (un critère de référence très germanique !) ; mais en outre, ils y ont appris beaucoup de choses sur ce pays qui soit dit en passant demeure le fer de lance de la vie économique de ce Vieux continent, qui est parfois en totale déshérence sur le plan international.

De quoi faire tourner dans leurs tombes respectives les dépouilles de Charles de GAULLE et de Konrad ADENAUER, les pères de la modernité européenne !

A Hambourg comme à Rendsburg, localité plus septentrionale au grand port ouvrant l’Allemagne vers le monde, les élus de l’Yonne se sont nourris de conférences riches et démonstratives sur la gestion des collectivités, les atouts économiques et le rayonnement d’un pays où l’industrialisation se montre toujours aussi efficiente à l’export (peut-on en dire autant par chez nous ?), le savoir-faire, le poids de l’Europe et de sa kyrielle de fonds spécifiques faisant office de salvateurs coups de pouce – c’est bizarre mais vu d’Allemagne ils savent vraiment comment les obtenir et les utiliser à bon escient ! -, la culture et ses beautés architecturales, la pratique du sport (des sports devrait-ton dire) avec ses dérivatifs réussis en matière de complexes structurels luxueux où petits et grands peuvent s’épanouir en famille, l’environnement et ses innovations permettant de réduire les effets nocifs des énergies fossiles, etc.

 

 

 

La ville hanséatique et sa belle région campagnarde ont procuré à ce petit groupe, emmené par un Jacques GILET toujours aussi scrupuleux du timing, des bouffées d’oxygène intellectuelles agréables, qui ne sentaient pas trop le hareng fumé – il est servi à toutes les sauces y compris dans le traditionnel hamburger maison ! – afin de bien assimiler ce qu’est le modèle allemand dont on nous parle tant à longueur de journée dans les médias économiques.

De retour dans leurs pénates, les élus de Puisaye-Forterre se sont certes replongés dans leur quotidien – l’eau dont ils évoqueront le manque demain en est une des illustrations – en gardant en mémoire un excellent souvenir de cette déambulation au rythme soutenu à près de mille kilomètres de chez eux, qui n’avait rien de touristique en soi mais qui aura renforcé leur désir de devenir encore plus européen à l’avenir. Heureux hasard, ça tombe bien : n’y a-t-il pas des échéances électorales en juin 2024 concernant l’Europe ?

 

Thierry BRET

 

 


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Rendons grâce à Fred MARTIN et à sa sœur Sabine de faire vivre, depuis quelques années, avec gourmandise, le quartier de la gare de Sens. C'est toujours un plaisir que de pousser la porte de leur établissement et de retrouver ce comptoir, qui avec le temps, devient familier. Que les « comptoirophobes » se rassurent ! Il est possible de passer son chemin, en s'attablant directement ! 

 

SENS: Au siècle passé, dans les années 70, cet estaminet, proche de l'abattoir existant alors, était tenu par le couple MASSOLOT, d'anciens artisans bouchers de la banlieue parisienne. Ca rigolait sec, entre deux canons et un morceau de terrine maison, dégustée tout en jetant les dés sur la piste d'une partie de 421 !

Il demeure un brin de cette âme, dans cet antre du XXIème siècle désormais.  Fred est trufficulteur à ses heures perdues. Cet amoureux sincère des produits de France affectionne tout particulièrement ceux de son Aveyron familial. La convivialité... : c'est aussi son truc à Fred, qu'il pleuve, neige,  vente, ou fasse soleil, ce qui permet de s'installer en terrasse, et d'admirer les jolies plantations un brin exotiques des jardiniers de la ville aux quatre fleurs !

 

 

L’alliance réussie entre le cresson, les crevettes et le parmesan

 


Ce midi-là, arrive alors le caviste local réputé, Christophe DUCASSOU. Sur son diable dernier cri, quelques cartons d'un vin blanc plutôt bon : le vézelay du domaine DUPONT à Saint-Père-sous-Vézelay. Mais l'heure file, et voici le temps de s'attabler, quittant ce comptoir. Auquel on promet de revenir bientôt ! 

L'entrée est fort bonne. Il s'agit d'une crème de cresson avec des copeaux de parmesan, agrémentée de quelques crevettes. Franchement, c'est très bon, et l'alliance est des plus réussies.

 

 

 

Les blettes, peu présentes sur les tables, à redécouvrir avec gourmandise

 


Les plats sont ici proposés avec des frites maison. Elles remportent souvent les suffrages des convives ! Pour accompagner le filet de lingue, je choisis plutôt la fricassée de blettes au lard. C'est très bon. Elle mêle les côtes ainsi que le vert du légume si prisé dans la cuisine niçoise (pour les tourtons ou farcir les sardines, notamment). Bonne et originale idée que ce légume peu présent sur les cartes ! N'en déplaise à la famille TUCHE, il n'y a pas que les frites dans la vie !

 

 

 

Ah, la mandarine Napoléon !

 

En dessert, la tarte fine à la délicate mangue parachève ce fort bon déjeuner. Avant de sommairement retrouver notre ami le comptoir pour y prendre le café, accompagné d'une mandarine « Napoléon ». C’était le cadeau favori de fête des pères de mon papa !

Vite l'addition, et courir pour attraper le train sur la voie 2. La vie, vous l'aurez compris, n'est pas toujours un long fleuve tranquille !

 

 

En savoir plus :

Les - : il n’est pas toujours facile d'avoir de la place. C’est la rançon d'un succès mérité et entretenu…

Les + : l’accueil et le service sont aimables. Quant aux produits, ils sont de qualité. 

 

 

Contact :

 

Brasserie de la Gare

03 Place François Mitterrand

89100 Sens

Tel : 06.31.47.29.06.

Ouverture tous les jours sauf le samedi et le dimanche.

Formule à partir de 20 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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C’est un retour aux sources. Sur les lieux mêmes de ses débuts. Là, où l’aventure a commencé. Elle, qui aime la nostalgie à travers ses interprétations romantiques des grandes voix de la chanson hexagonale, devrait avoir son lot d’émotivité ce week-end pour mettre un terme définitif à cette tournée anniversaire où la silhouette gracile de la Môme PIAF aura plané au-dessus des têtes. Dimanche soir, le rideau s’abaissera en l’église de Perrigny. Mais, pour combien de temps ?

 

PERRIGNY : Toute de noire vêtue, mimant avec perfection la gestuelle de l’artiste trop tôt disparue, en 1963, Christelle LOURY ne laisse jamais le spectateur qui découvre l’un de ses nombreux récitals donnés aux quatre coins de l’Hexagone, et bien au-delà des frontières, indifférent.

D’abord, il y a la voix. Puissante, chaude, vibratoire. On ferme les yeux afin d’être bercé par sa tessiture, sa capacité à tenir la note. Et puis, il y a le décorum. Sobre, féministe, mystérieux, dans son halo de lumière créé par des projecteurs qui savent la mettre en scène : seule face au public ou accompagnée par des musiciens, voire un pianiste qui excelle dans son style instrumental, Christelle LOURY continue d’impressionner celles et ceux qui la suivent à chaque concert.

Notre ambassadrice de charme dont le buste a inspiré un sculpteur pour en faire notre « Marianne » départementale, demeure très attachante. Souriante, car elle prend du plaisir à maintenir le cap qui l’a mène toujours un peu plus loin vers la réussite. Accessible, aussi, avec son public quand vient le moment béni des dieux où elle signe des autographes et discute avec celles et ceux qui l’ont créé.

 

Commémorer un double anniversaire par le biais de ces récitals

 

C’est en l’église de Perrigny qui l’histoire a débuté. Une décennie, déjà et toujours des souvenirs à foison dans les esprits. La « Môme de l’Yonne » déclame sur scène sa flamme et sa passion irréversible pour l’une des plus grandes chanteuses dont l’existence fut un mélodrame et que les moins de quarante ans ne doivent pas connaître (à tort au niveau de la connaissance musicale), j’ai nommé Edith PIAF.

Un look, une gouaille, de la tendresse à revendre, un parcours terrestre semé d’embûches, des histoires d’amour tragiques dont celle vécue avec le boxeur, Marcel CERDAN. Il faut visionner l’excellent long-métrage de Claude LELOUCH, « Edith et Marcel » (1983), pour apprécier toutes les péripéties épiques de ce couple. Que seule la mort dissoudra.

Soixante ans après le décès de l’interprète de « L’Hymne à l’amour », de « Non je ne regrette rien » ou  de « La Foule », et dix ans après le début de sa carrière, la plus internationale de nos chanteuses icaunaises souhaitait retourner sur les lieux de ses débuts. Ici, en périphérie d’Auxerre. Elle qui a promené sa silhouette longiligne entre New-York et les Pays de l’Est, voire au Festival d’Avignon où le prix du spectacle de l’année remis par nos confrères de France Bleu lui a été remis pour sa qualité et son panache.

Deux récitals durant, le public de l’Yonne ne s’y trompera pas en venant écouter et saluer l’artiste pour le supplément d’âme délivré lors de ces instants magiques. Bouleversant et tendre, à la fois…

 

En savoir plus :

Récital Christelle LOURY raconte et chante Edith PIAF

En l’église de PERRIGNY

Samedi 18 novembre 2023 à 17h et à 20h30

Dimanche 19 novembre 2023 à 17 h

Tarif : 15 euros

Réservations au 06.78.25.96.22.

 

Thierry BRET

 


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