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Puisaye Forterre

Il est bien rare, reconnaissons-le, que notre joli département soit mentionné dans les pages gastronomiques d'un quotidien national. Surtout quand il s'agit du journal « Le Figaro » du samedi. Désormais, l'Yonne joue plutôt en Ligue 2 en la matière. C'est ainsi,  même si cela ne fut pas toujours le cas. En 1986, sur les vingt tables triplement étoilées en France, deux étaient icaunaises, à Joigny et à Saint-Père-sous-Vézelay. 

 

CHASSY : Mais revenons en 2025 ! Samedi dernier, le premier quotidien national français a réservé une pleine page au jeune couple prometteur qui vient de reprendre la table gastronomique « Erre », sise dans le magnifique domaine du golf de Roncemay. Les chefs Clément VERGEAT (côté fourneaux) et Marine MATEOS (côté pâtisserie) furent heureux de troquer leur bitume parisien, pour ce joli coin de verdure ! 

Au début du siècle (2002-2005), cette table fut même étoilée au Michelin, sous la férule du chef Christophe DUFOSSE, parti ensuite à Metz, puis dans le « ch'nord » désormais. On s'y régalait alors de cassolette gourmande d'escargots, de turbot poché au lait d'aromates beurre blanc au caviar d'Aquitaine, pour terminer par une assiette tout chocolat.

 

Un cadre magnifique pour se sustenter

 

A côté de la table gastronomique plutôt ouverte en fin de semaine, il existe aussi un bistrot fermé mercredi et jeudi. Ces jours-là, la plancha prend le relais. Le cadre est magnifique. On y voit golfeuses et golfeurs roulant leur volumineux caddie, en train de préparer leurs balles avant de se mesurer au parcours dix-huit trous. Un vieux copain à moi tint antan, quelques années durant, un restaurant de golf.

« C'est une clientèle aussi exigeante que radine, m'avait-il expliqué, souhaitant souvent le menu supérieur au prix inférieur ! ».

Avant de repartir, comme de bien entendu, au volant du coupé Mercedes dernier cri !

Ce jeudi-là, le personnel y est des plus aimables, même si notre réservation n'a pas été notée. On conversa même l'espace d'un instant, avec la nouvelle cheffe pâtissière, se réjouissant de bientôt découvrir le proche marché de Toucy, le samedi. 

A l'apéritif,  le verre de Saint-Bris est plutôt bon. Une gougère ou une olive (plus politiquement correcte pour nos golfeurs !) n'auraient  pas été de trop. Ensuite, trois salades constituent le buffet d'entrée : l’une, délicieuse, est composée de chou rouge bien assaisonnée, l’autre est faite de concombres plutôt quelconque, la troisième propose des pommes de terre au thon, elle aussi, bien assaisonnée !    

 

 

  

 

Mais où sont passés les légumes de saison ?

 

Ensuite, le cuisinier grillardin nous fait choisir le morceau destiné à la plancha. Il y a du poisson, dont du muge. Je ne connaissais pas. Plus des morceaux de bavette ou de la volaille marinée. La bavette est servie impeccablement saignante. Quant au poisson, peut-être pas salé avant cuisson, il est un brin fadasse ! On peut juste regretter qu'à 30 euros la formule club-house, aucun légume chaud n'accompagne viande ou poisson. Riz au poivron et des courgettes sautées à l'huile d'olive feraient l'affaire.

En dessert, la crème aux œufs est fort bonne et bien vanillée. Quant au cookie, il est un brin « étouffe-chrétien » ! La saison se prêterait plus à un clafoutis aux fruits, peut-on penser…

Ce fut une découverte plutôt agréable, mais nous reviendrons vous tester le bistrot, puis la table « Erre » et sa démoniaque brioche, dixit « Le Figaro » ! Ne quittons pas ce journal, sans vous présenter le dernier livre de celui qui en fut un quart de siècle durant le sémillant chroniqueur gastronomique, François SIMON !  « Y retournerai-je ? » : c’est le livre de chevet de vos vacances gourmandes ! 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : il n’est pas servi de légumes avec viande ou poisson.

Les + : le personnel est aimable. Quant au cadre, il est exceptionnel.

 

 

Contact :

 

Domaine du Roncemay

89110 CHASSY

Tel : 03.86.73.50.50.

Ouverture 7/7 jours avec trois formules différentes.  

 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Impossible de commencer ces quelques lignes, sans se souvenir de cette bonne petite auberge de bord de route qu'était jadis « L'Auberge de la Vanne ». L'un de ces derniers cuisiniers, le chef BOURREAU, y était un véritable saucier. Il suffit de se rappeler le turbot sauce hollandaise ! Quant au café, il était élégamment servi dans du grès de Puisaye, accompagné d'une cerise au cassis. Une autre époque, assurément ! 

 

SENS : Le restaurant « ANORA » annonce une cuisine franco-turque. La salle est impeccablement refaite. Les beaux jours permettent d'avoir accès à une jolie terrasse, bordée par la Vanne. 

L'apéritif « maison », c'est le régional raki, un anis gras. Il est servi avec une petite carafe individuelle. Et plutôt que cette quelconque mise en bouche, on préférerait de bonnes olives. Le service, dynamique, est essentiellement féminin.  Les jeunes serveuses y sont aussi souriantes que tatouées !

 

Un petit rosé turc de bon calibre !

 

En entrée, c'est un peu dommage que les beignets de calamar soient un produit congelé. Cela le rend un peu quelconque. J’ai choisi l'assiette « mezze », avec quatre petites entrées, que l'on aurait aimé un peu plus orientales peut-être. La présentation est plutôt jolie : un ramequin coloré avec un petit croûton. Carottes puis concombres retiennent un peu mon attention !  Dommage aussi que le pain en  corbeille ne soit pas un peu plus typé, dirons-nous. Bonne pioche, en revanche, pour le vin rosé turc, frais et gouleyant à souhait ! 

 

 

A déguster le « tsilac », le riz au lait turc

 

En plat (22 euros de mémoire), la dorade est correcte. Quant à la salade présente sur la planche, elle est fort bien assaisonnée. Moult passages des serveuses qui s'enquièrent si tout va bien, le tout avec grand sourire ! En dessert, le riz au lait turc s'appelle le « tsilac ». C'est plutôt bon, avec un rien de cannelle ! Et pour conclure : un thé local ! 

 

 

 

Un établissement en devenir

 

Avec un brin de vrai  travail culinaire en sus, et quelques effluves d'assaisonnement toutes droit venues du Bosphore, on peut penser que cette agréable table pourrait s'inscrire dans le futur, dans le registre des honnêtes établissements sénonais !

 

 

En savoir plus :

Les - : il manque un aspect de cuisine traditionnelle turque (pain simit, lahmacun épicé et autres...). 

Les + : le service est aimable et souriant.

 

 

Contact :

 

Restaurant ANORA

176, Avenue de Senigallia

89100 SENS

Tel : 06.11.83.98.81.

Parking ombragé à droite, avant de franchir la Vanne. 

 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


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Un pied sur l'Yonne et la Nièvre, un autre du côté de Las Vegas en traversant l'Atlantique : tel est le chef Jean-David GROFF, la soixantaine dynamique  qui après un quart de siècle passé aux Etats-Unis et avoir quitté Auxerre - il tenait antan un restaurant - revient au berceau familial. Non sans un petit pincement au cœur peut-être, en évoquant les Etats-Unis...

 

AUXERRE : « Le Dix » est un peu atypique : il est ouvert toute la journée, de midi à 21h30, sauf le mercredi. Permettant ainsi d'y déjeuner tardivement ou de s'offrir un milk-shake aux fruits frais pour le goûter. La rénovation intérieure de l'endroit est des plus réussies, et ce, de la cave à vin au grenier ! Point de formule-déjeuner, pour un classique menu trois plats, comptez environ 32 euros par personne étant entendu que désormais nombre de convives plébiscitent une formule deux plats (entrée/plat ou plat/dessert). Au service, c'est avec plaisir que l'on retrouve la souriante Nelly, que l'on connut jadis au « Marmiton » du chef Manu DELANNOY.

En entrée,  le « crab roll » a très nettement un petit parfum US : la fraîcheur du crabe est ostensible sur ces petits pains « bun », s'assimilant quelque peu au pain au lait. L'assaisonnement est plaisant, et complète cette entrée fraîche ! L'œuf mimosa « Kimchi » est bon aussi, marquant un léger clin d'œil aux produits nippons. 

 

  

Frites et ketchup sont réalisés maison !

 

Ensuite, impossible d'y couper - même si votre serviteur préfère le bœuf, façon entrecôte béarnaise !... - le « smash burger » (16 euros) est l'incontournable des lieux ! C'est un classique du genre. Il n’est pas trop cuit et accompagné de bons produits, dont le fromage cheddar. Les saveurs sont nettes. La sauce ketchup maison, accompagnante des frites, est plutôt bonne. Un mot sur l'excellent Irancy « Les Mazelots » du domaine VERRET qui tint toute sa place au déjeuner. Un fort joli vin qui honore ce joli vignoble !

 

 

 

Un dessert qui rend baba les épicuriens !

 

En dessert, le baba au rhum, ananas rôti à la vanille (9 euros), tient toutes ses promesses. Le biscuit en étant joliment imbibé ! C'est un bon dessert,  agrémenté d'une crème à la vergeoise, peut-être un rien trop sucrée.  « Le Dix » ou « The Ten » possède des effluves « voyageuses » pour notre plus grand plaisir. Bienvenue à bord ou « welcome on board » : c'est vous qui voyez ! 

 

 

 

En savoir plus :

 

Les - : les serviettes en papier mériteraient une qualité supérieure  en intissé, par exemple. 

Les + : le cadre est joli pour une cuisine atypique ! 

 

 

Contact :

 

Le Dix

Au 10 rue Fécauderie

89000 AUXERRE

Tel : 03.86.34.36.42.

Fermeture le mercredi

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Entre Napoléon Bonaparte et la capitale de l’Yonne, c’est une histoire d’amour à l’infini ! Mieux qu’à Ajaccio, visiblement, pourtant terre natale du personnage qui repose désormais sous la coupole des Invalides ! Avec la quatrième manifestation organisée à Auxerre en l’espace de deux saisons, sur les commémorations de personnalités militaires qui se situaient dans le pré carré de l’Empereur, Auxerre fait son maximum pour être reconnue enfin « Ville Impériale ». Le tourisme « napoléonien » est-il en bonne voie dans l’Yonne ?  

 

Lundi 26 

Comme dans nombre d’autres pays européens, les récentes élections législatives au Portugal se sont soldées par une forte progression de l’extrême droite et son parti, « Chega », propulsé au rang de troisième force politique, après un discours populiste fortement marqué par les questions migratoires. Un résultat démontrant s’il en était besoin, l’extrême volatilité de la mémoire… Oubliant au passage que l’émigration a toujours été au fil des siècles, un processus majeur au sein de la société portugaise, notamment à la fin des années 50, lorsque par centaines de milliers, des familles entières franchissaient clandestinement les Pyrénées, pour fuir la dictature de SALAZAR et trouver en France un avenir meilleur. Une main d’œuvre corvéable à merci et sujette au racisme, dont le souvenir est là pour rappeler que l’on est toujours le « migrant » de quelqu’un…

 

Mardi 27  

Et toc ! C’est avec des trémolos dans la voix, que le plus Brésilien des joueurs de l’AJA avait laissé entendre qu’il pourrait peut-être quitter l’Abbé Deschamps et aller voir ailleurs si l’herbe y était plus verte… Arrivé en fin de contrat après cinq saisons passées à Auxerre et à 31 ans, rien de plus normal, quand on sait combien une carrière footballistique est courte. La promesse d’un salaire multiplié par quatre a sans doute pesé dans son choix et conduit JUBAL à s’envoler pour Krasnodar en Russie. Une ville à l’ouest du pays, non loin de la Crimée et de l’Ukraine… Difficile de résister au chant des sirènes, surtout quand il s’accompagne des notes de la balalaïka. Et toc ! Ethique… ?  

 

 

Mercredi 28 

Quartier des Boussicats à Auxerre, les places de parking se font rares depuis le début des travaux d’extension du réseau de chaleur urbain. Une entreprise qui travaillait chez un particulier, avenue Hoche a trouvé la solution pour manœuvrer plus aisément en « privatisant » une place handicapée située en face du chantier où elle œuvrait, au moyen de rubalise… C’est bien connu, « Les c…, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! » Tristes « Tontons flingueurs » !

 

 

Jeudi 29 

Campé entre le jubilé de Djibril CISSÉ et la finale de la Ligue des champions de dimanche prochain, ce triste anniversaire n’a rencontré que peu d’échos dans les médias : il y a quarante ans jour pour jour, 39 personnes trouvaient la mort au stade du Heysel à Bruxelles lors de la finale de la Coupe des clubs champions entre Liverpool et Turin. Pour la plupart transalpines, victimes à la fois de la folle violence des supporters anglais, de l’inefficacité du service de sécurité, notamment de la gendarmerie belge et de la vétusté des lieux. Une tragédie annonciatrice du drame qui allait se jouer moins de quatre ans plus tard, le 15 avril 1989, à Sheffield lors de la demi-finale de Cup opposant cette même équipe de Liverpool à Nottingham Forest. Ce jour-là, 95 supporters des « Reds » périrent écrasés contre des grilles, suite à un mouvement de foule. Ou quand le foot rend fou…

 

Vendredi 30  

Lors de sa venue à Auxerre, le 30 avril dernier, Jean-Luc MELENCHON l’avait affirmé haut et fort : « Oui, c'est nous aujourd'hui qui représentons cette part d'humain attentive à la souffrance des autres, quelle que soit la situation ou le lieu dans le monde… ». Alors que penser du refus des élus de La France Insoumise à l’Assemblée de voter en faveur d’une résolution appelant à la libération de l’écrivain franco-algérien Boualem SANSAL… ? Une résolution jugée « instrumentaliser » le cas de celui qui, après six mois de détention, malade et affaibli, a été condamné à cinq ans de prison à l’issue d’un simulacre de procès à Alger. Au-delà de La France Insoumise, c’est une large part de la gauche dans son ensemble qui semble avoir des « pudeurs de rosière » à évoquer le sort d’un homme accusé de propager dans ses écrits « le fantasme réactionnaire du grand remplacement ». Quand l’indignation se fait sélective et paravent politique, pas certain que la démocratie en sorte grandie…

 

 

Samedi 31 

L’affaire n’a pas semblé émouvoir plus que cela Pascal PRAUD, pourtant natif de Nantes et « CNews » s’est pour une fois montrée bien discrète sur un drame sordide mettant en cause un quadragénaire mis en examen pour viol et agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans… Il est vrai que ce père de famille était policier, affecté depuis six mois à la brigade de protection de la famille, chargée des violences commises dans la cellule familiale au sein du service nantais de police judiciaire. Selon le quotidien Ouest-France, il avait même récemment demandé son transfert vers une unité s’occupant exclusivement de mineurs. Demande rejetée en raison de « gestes indélicats » envers une collègue ! N’est pas Emile LOUIS qui veut !

 

Dimanche 01  

Eh bien si avec tout ça, Auxerre ne décroche pas son bâton de « Ville impériale » ! Pour la quatrième fois en moins de deux ans, une déambulation aux accents napoléoniens s’est élancée ce dimanche matin dans les rues de la cité. Après le maréchal NEY en mars dernier, place au maréchal DAVOUT pour le 202e anniversaire de sa mort. A ce rythme-là, on ne va pas tarder à frôler la crise de «napoléonite aiguë» ! Un défilé dominical tristounet, sans fifres ni tambours, sous l’œil interloqué des quelques touristes présents, s’apparentant plus à la retraite de Russie qu’au soleil d’Austerlitz ! 

 

Dominique BERNERD

 


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La pose est lascive. Un brin étrange. Mais, très sensuelle. On dirait presque le corps d’une sirène ou une naïade sortant de l’eau. Dévoilant au grand jour, toute sa féminité. Le socle représente peut-être la tête et sa chevelure. Longue et gracieuse. Une petite merveille de créativité faite de bronze que l’on doit à l’artiste sénonaise, Valérie FAGEOT, venue le temps d’une exposition présentée ses œuvres aux lignes si féminines et dénudées dans la capitale de l’Yonne…

 

AUXERRE: Il ne reste plus que quelques jours pour se rendre à la galerie auxerroise « Au Théâtre des Arts » (soit le dimanche 08 juin inclus) pour y découvrir l’univers fascinant de la photographe de paysages et sculptrice icaunaise, Valérie FAGEOT. Une artiste qui a fait de la féminité son grand sujet de prédilection au fil du temps et qui présente en ce mois de juin une trentaine de pièces de bronze, réparties dans la galerie tenue par Claire EVIEUX.

« Féminité et sensualité ». Le titre de ce rendez-vous que ne manqueront pas d’apprécier les puristes de ces lignes épurées, de ces bronzes magnifiés par la créativité experte d’une artiste passionnée et fière de l’être. Plus de vingt ans après ses débuts artistiques, l’ancienne professionnelle de la communication – elle officiait au sein du quotidien régional « L’Yonne Républicaine » dans une vie antérieure – a bien négocié le virage de sa reconversion professionnelle, elle qui possède depuis dans sa besace un diplôme de mouleur noyauteur en fonderie d’art !

Sacrée Valérie ! La voilà devenue une artiste à la renommée régionale dont les sculptures séduisent les férus d’art contemporain et d’art tout court. Comme quoi : il y a toujours une vie après…la vie !

Elle s’est donc installée dans la galerie auxerroise, ouverte depuis quelques mois, située juste en face du théâtre d’Auxerre d’où son appellation si significative, pour montrer son travail, fait de dextérité et de patience.

« De la féminité à la sensualité » nous réserve quelques belles surprises au niveau de ces pièces formant une série évolutive, à base de corps réalistes, de courbes et de lignes de belle facture.

Présente au marché couvert à Sens au mois de mai, enchaînant en juin à Auxerre, la blonde Valérie n’arrête pas de garnir de rendez-vous son agenda artistique ; l’an passé, son travail avait été admiré par les férus de l’espace culturel de Gurgy lors d’une exposition collective. Chouette : la saison ne fait que commencer !

 

 

En savoir plus :

Exposition Valérie FAGEOT

A la galerie « Au Théâtre des Arts »

45 Rue Joubert

89000 Auxerre

Jusqu’à dimanche 08 juin 2025

 

Thierry BRET

 

 

 


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