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D’une durée moyenne de quatre-vingt-dix minutes et proposé uniquement sur rendez-vous, le don de plasma fait figure de grand méconnu auprès d’un très grand nombre de nos compatriotes. Pourtant, tout aussi important que le prélèvement de sang, le geste est vital, voire irremplaçable pour des milliers de malades au quotidien. Dépendant à 65 % du plasma fourni par les Etats-Unis, la France veut remédier à cela en organisant à l’avenir plus de 3 000 dons journaliers.

 

DIJON (Côte d’Or) : Prendre le temps pour soi mais aussi pour les autres ! C’est le leitmotiv de l’Etablissement Français du Sang qui propose, via son antenne régionale en Bourgogne Franche-Comté, une opération de sensibilisation autour du don de plasma, l’un des dons souvent oubliés en France.

Liquide aux vertus insoupçonnées, le plasma contient des protéines et des anticorps d’un intérêt thérapeutique majeur pour la fabrication de médicaments. Mais, il n’y a pas que cela ! Le plasma est également précieux en dehors de la transfusion car il sert aussi à fabriquer des médicaments. C’est sur ce point que les besoins sont en très forte augmentation pour les patients, créant des tensions mondiales.

L’Hexagone doit faire face à un double défi : assurer sa souveraineté sanitaire et défendre son modèle éthique de non marchandisation du corps humain.

Pour le relever, elle a besoin de rendre publique cette problématique. C’est pourquoi l’EFS propose jeudi 24 août un premier webinaire consacré aux besoins des patients en médicaments dérivés du plasma et à ses enjeux mondiaux.

 

Des spécialistes pour répondre à toutes les interrogations

 

Ce webinaire sera présenté, côté EFS, par le Dr Fanny DELETTRE, directrice Biologie, Thérapies et Diagnostics et le Dr Christophe BARISIEN, responsable régional des prélèvements ainsi que les présidents des commissions médicales des CHU de Dijon et de Besançon, les professeurs Alain BONIN et Samuel LIMAT.

Durant 45 minutes, ces spécialistes répondront aux questions suivantes : pourquoi les besoins sont-ils de plus en plus importants créant des tensions internationales autour de l’approvisionnement en médicaments dérivés du plasma ? En parallèle, ils aborderont aussi les maladies soignées par les médicaments dérivés du plasma. Avant de poser comme équation la question suivante : comment donner son plasma participe à défendre le modèle éthique de non marchandisation du corps humain et à assurer la souveraineté sanitaire de la France en médicaments dérivés du plasma ?

Donneurs et patients partageront également leurs expériences. L’exercice s’adressera également aux donneurs de sang. Logique, car lors d’un don du sang, on récupère des globules rouges, des plaquettes mais aussi du plasma.

Webinaire sur le don de plasma de 18h à 18h45 jeudi 24 août.

 

Inscription sur https://urlr.me/4tRXp

 

Thierry BRET

 

 


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Dire que cette filière professionnelle sera au centre de toutes les préoccupations lors de cet évènement, nourri de la présence de moult intervenants, est un doux euphémisme en soi ! Décortiquée, analysée, étudiée, approfondie, discutée, commentée, encouragée… : cette branche noble de l’artisanat, se situant à mi-chemin entre l’art et le luxe, représente le nirvana du savoir-faire à la française, promu à travers la planète. Entre tradition et haute technicité : c’est le sésame d’un made in France gagnant qui fait toujours recette…

 

TONNERRE: Officiellement, il en existe 281, pratiqués dans l’Hexagone ! Ni plus, ni moins. Selon un texte de loi qui en esquisse les contours précis dans un arrêté aux origines étatiques. On les dit manuels, on les qualifie d’artisanaux. On ne sait pas trop s’il est bon de les classer dans le domaine de l’art ou du luxe, voire des deux en même temps ! Catalogués parmi les métiers d’exception, ils font de plus en plus d’émules en France, auprès des plus jeunes. Voire, d’anciens, des adultes confirmés qui éprouvent le besoin de les exercer en guise de reconversion. Pourquoi pas ? Un mouvement qui n’a rien d’un épiphénomène qui gagne aussi l’Europe. On les pratique en perpétuant parfois des gestes et traditions séculaires dans leurs approches méthodiques. L’art de la transmission et d’un savoir, à la limite du secret…

Ils, ce sont évidemment les métiers d’art. Avec eux, on parle de rénovation, de restauration, de création, de patrimoine. Ah, les jolis mots et le beau langage qui réchauffent les âmes. Et fait du bien au corps. Car, parfois, ce sont aussi des métiers physiques lorsqu’il est nécessaire d’apprivoiser la matière et de lutter avec elle pour en sortir un chef d’œuvre.

 

Le tourisme du savoir-faire s’adresse à 15 millions de visiteurs annuels…

 

La filière est presque intemporelle quand on veut s’y essayer. Ce sont des années de pratique, d’apprentissage chevronné pour réaliser enfin le geste le plus abouti. Pur et léger, avec sérénité et maîtrise. Qui n’a jamais visité une verrerie ou une cristallerie pour se satisfaire des gestes parfaits effectués par les compagnons. Une tapisserie, un atelier de céramique, un ébéniste, une styliste…

Les métiers d’art englobent à eux seuls une kyrielle de secteurs économiques depuis le luxe et la mode – une évidence dès que le nom de la France circule hors de nos frontières – mais aussi de la décoration d’intérieur, du patrimoine, de l’architecture, du spectacle vivant, etc. Les matières premières les plus usitées par ces milliers de professionnels qui exercent en France sont la pierre, le métal, le cuir, le bois, la terre, les matières végétales, voire pour certaines issues de l’innovation technologique récente.

Alors, méritent-ils une journée spéciale qui soit consacrée à leur importance économique sur notre territoire ? Naturellement et sans aucune ambiguïté : ce ne sont pas les quinze millions de visiteurs qui découvrent les entreprises artisanales chaque année dans notre pays à la recherche de la création la plus insolite qui diront le contraire ! Car, de ces métiers d’art est apparu le tourisme du savoir-faire, un tourisme qui avec le concours de plusieurs labels met également au cœur de ses activités l’artisanat d’art. Comme si un bonheur n’arrivait jamais seul, assurément ! Que dire, également, de l’un des rendez-vous les plus prisés par nos compatriotes annuellement : les JEMA, pour Journées Européennes des Métiers d’Art. A chaque printemps, elles attirent deux millions de visiteurs. Et cela ne cesse d’aller crescendo ! Que dire, aussi, des fameuses Journées européennes du Patrimoine qui en octobre permettent à plus de 8 millions de Français de se ruer dans les monuments historiques et autres musées pour y apprécier nécessairement les œuvres conçues par ces orfèvres du travail manuel et du génie créatif.

 

 

 

Le projet de rebond économique pour Tonnerre…

 

Y aura-t-il un engouement similaire à Tonnerre, dans le cadre de ces Rencontres premières du genre ? On peut le souhaiter. Déjà, il y a le cadre typique de l’endroit. Le marché couvert : il mérite à lui seul le coup d’œil. Et puis, il y aura le contenu. Sur une pleine journée de retrouvailles autour de cet item, on a le temps de convier des orateurs esthètes en la matière pour parler, avec passion, de l’une des plus belles filières qu’il soit !

Les thèmes, quant à eux, aborderont la transmission – c’est capital dans une telle filière -, les usages, le patrimoine, l’innovation (elle existe de plus en plus parmi ses 281 métiers), la formation – indispensable source nourricière pour susciter des vocations -, la durabilité ou les territoires (ne parle-on pas là d’attractivité ?). Le lieu dans cette ville orientale de l’Yonne s’impose. Victime de la désindustrialisation, Tonnerre conserve pourtant de sérieux atouts pour mieux rebondir, via précisément ces métiers d’art, l’implantation de manufactures, d’ateliers et d’écoles ; un projet de développement qui taraude l’esprit de l’édile, Cédric CLECH, investi à fond derrière ce concept original et inventif. Un concept qui en appelle d’autres, selon la formule consacrée !

 

 

Un plateau de rêve pour promouvoir les métiers d’art…

 

On doit la réalisation de ce rendez-vous fait de réflexions et de préconisations à Romain MOUTON. Aux manettes de son cabinet de conseil  à « impact positif » - la belle formule ! -, le dirigeant de RM Conseil n’en est pas à son coup d’essai, question évènementiel qui carbure au niveau des bonnes idées. Le Cercle de Giverny (lieu mythique des impressionnistes et de Claude MONET) – un laboratoire d’idées hybride façon « think tank » décidé à agir en faveur du déploiement opérationnel de la RSE systémique -, c’est lui ! Des travaux annuels, sous le haut patronage du ministère de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, où se réunit la fine fleur des acteurs engagés dans la RSE qu’ils soient économiques, politiques, institutionnels, sociaux. En quatre éditions, ce Cercle a rassemblé la bagatelle de 2 000 décideurs, une centaine d’intervenants, quatre-vingts partenaires, une dizaine de ministres…afin de formuler in fine quatre-vingt-dix propositions !

D’ailleurs, le garçon ramène dans sa besace un plateau d’intervenants digne de la « Piste aux Etoiles » - émission culte de feu l’ORTF que les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaître ! - ; du président d’HENNESSY, Laurent BOILLOT, à la déléguée générale du Comité Colbert (Bénédicte EPINAY), en passant par Pascal MORAND (président de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode) au directeur de l’ENSAD, Emmanuel TIBLOUX. Sans omettre pour les épicuriens du luxe : Alexandre BOCQUEL, directeur des métiers d’excellence chez LVMH !

Bref, que du lourd et des experts, soit une vingtaine d’invités qui côtoieront les orateurs du cru dont Dominique VERIEN, André VILLIERS, Jean-Baptiste LEMOYNE ou Patrick GENDRAUD.

Trois ministres, et non des moindres, seront du voyage dans le Tonnerrois – une grande première à Tonnerre qui comble d’aise son maire Cédric CLECH – avec la venue de Bruno LE MAIRE, en charge de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Rima ABDUL MALAK, la ministre de la Culture qui aura fait une étape auparavant à Auxerre afin d’y inaugurer la nouvelle exposition du Centre Pompidou à l’Abbaye Saint-Germain « Echos » dans le cadre d’un fructueux partenariat, et Olivia GREGOIRE, ministre déléguée en charge des PME, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme.

Alors, Tonnerre qui endosse l’habit de capitale de l'Hexagone de la filière des métiers d’art ? C’est une certitude, le temps de cet évènement à la dimension nationale, ce vendredi 30 juin 2023 !

 

Thierry BRET

 

 

  

 

 


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Après Dijon, ce jour, l’exercice est dupliqué dès mercredi à Troyes. De la pure logique, en fait, puisque l’établissement bancaire offre ce particularisme d’agir au plus près des territoires sur sa zone d’influence, tant en Champagne qu’en Bourgogne. La « Banque verte » place dorénavant l’accompagnement des entreprises vers la transition écologique comme l’une de ses missions primordiales. Une direction spécifique vient même d’y être créée. Elle est incarnée par Eric CAMPOS : il en a défini les contours lors d’une intervention publique…

 

DIJON (Côte d’Or) : Ce n’est pas une marotte de plus liée à un quelconque phénomène modal. Bon nombre d’entreprises prennent désormais le taureau par les cornes, non pas pour le mener à l’abattoir afin de mieux l’achever mais bien pour l’emmener avec elles vers d’autres rivages plus sûr où l’on parle à foison de développement durable, d’économies d’énergies, de transition écologique. Des bienfaits concédés à la planète pour qu’elle devienne plus respirable et par ricochet, favorable à l’humain. Dont il faut préserver coûte que coûte l’existence…

Dans ce domaine, le Crédit Agricole n’est pas en reste. Une évidence quand on demeure la première banque à agir quotidiennement sur son territoire auprès des filières corporatistes ayant un lien direct avec la nature. Une légitimité quand on dispose d’une telle force de frappe (vitrines commerciales, nombre de salariés, présence de proximité, modernisme technologique, moult expériences acquises au fil de l’eau, désirs d’expérimentation…).

Le premier des deux épisodes déclinés cette semaine par l’établissement régional auprès des chefs d’entreprises sur la transition écologique est ainsi sans appel : le Crédit Agricole se positionne comme l’un de ces acteurs inaliénables avec lequel il est impératif de travailler afin d’être guidé au plus juste vers les nouveaux paradigmes se présentant à nous.

 

 

Le fruit de trente années d’expériences et de réflexions…

 

Alors, quand l’orateur de l’instant – Eric CAMPOS, directeur du pôle transition énergétique, nouvellement apparu au sein de la « grande maison » - prend la parole en guise de préambule lors de ce moment qui restera une journée de travail intense et enrichissante à bien des égards par le flux d’informations fournies et des réflexions, affirmant que le Crédit Agricole demeure au passage le premier partenaire bancaire des énergies renouvelables, on ne peut que le croire !

« Cela fait bientôt plus de trente ans que nous nous intéressons à cette thématique, confesse-t-il devant un parterre d’entrepreneurs du microcosme dijonnais. Nous sommes aussi le premier investisseur institutionnel avec la filiale Crédit Agricole Assurances ; celle-ci a une production de 15 GigaWatts en objectif d’investissements d’ici 2025. ».

 

 

Un groupe entrepreneurial bien engagé sur ce sujet comme va s’en apercevoir tout au long de cette prise de parole une assistance fort à l’écoute.   

« Il faut investir massivement dans les énergies renouvelables, renchérit l’intervenant, micro en main, aujourd’hui, toutes les caisses régionales sont positionnées sur ce sujet. Sortir des énergies fossiles est donc une nécessité. Nous, de notre côté, on s’est engagé à en sortir. Même si nous sommes encore dans l’obligation de les financer parce que l’économie ne peut pas s’arrêter comme cela du jour au lendemain… ».

 

 

 

Créer un deuxième métier : celui de producteur d’énergie…

 

 

Toutefois, dans huit ans, plus un centime d’euro d’investissements ne sera accordé par le Crédit Agricole aux entreprises qui produisent des énergies fossiles dans l’OCDE. Reste une autre problématique qu’évoquera dans la foulée Eric CAMPOS : celle de la transition écologique vue par le prisme de la société. Avec une équation très complexe à résoudre entre la croissance et la décarbonation. Sur un aspect purement immobilier, la rénovation thermique devra s’appliquer à plus de 400 000 logements en France. Pas si simple !

« Face à tous ces enjeux, poursuit Eric CAMPOS, le Crédit Agricole a décidé de créer un nouveau métier autour de la transition énergétique. Dont j’ai aujourd’hui la charge. On doit être capable de créer de nouvelles expertises techniques pour décarboner le plus possible. Notre établissement recrute ainsi des conseillers, des ingénieurs, des spécialistes de la transition afin d’accompagner les entreprises… ».

Et l’orateur de citer l’exemple décalé de SOFINCO, filiale autrefois connue pour la pratique de ses crédits à la consommation, devenue au fil des ans un vecteur indispensable de la mobilité douce.

« Nous allons passer d’un modèle centralisé à un modèle décentralisé, ajoute le conférencier, la création d’énergie sera demain au plus près des territoires. Il faut être en capacité d’accompagner cette granularité de la production d’énergie en France. Nous exercerons alors un deuxième métier, celui de producteur d’énergie… ».

Conclusion pour Eric CAMPOS : la solution globale au niveau de la question climatique n’existe pas ; seule la solution faisant référence à la somme des solutions locales fera foi. D’où ce besoin inextinguible pour l’établissement de tenter des choses et d’expérimenter à outrance. C’est en essayant que l’on trouve des solutions précise l’adage. Une maxime partagée par l’ingénierie bien-pensante du Crédit Agricole, visiblement et qui veut la partager vers le plus grand nombre !

 

Thierry BRET

 


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La facturation électronique va se déployer progressivement à compter de 2024 afin de, non seulement renforcer la lutte contre la fraude à la TVA, mais aussi connaître l’activité en temps réel des entreprises françaises. Cela permettra de piloter les politiques publiques, améliorer leur rentabilité en réduisant les coûts de traitement et les délais de paiement, et à terme, permettre le pré-remplissage des déclarations de TVA.

TRIBUNE : Mais la facture électronique, quèsaco ? C’est une facture établie électroniquement, selon un format normé, directement compréhensible de machine informatique à machine informatique. Sa transmission est également réglementée. Elle devra obligatoirement transiter par le portail de l’Etat (aussi appelé PPF) ou une plateforme privée agréée et immatriculée (dite PDP) pour être routée vers son destinataire. Cela signifie la fin des factures remises en mains propres, envoyées par courrier ou en PDF par mail !

 

Suis-je concerné ?

 

Toutes les entreprises assujetties à la TVA établies en France (redevables ou non) sont impactées par cette réforme. L’obligation de facturation électronique à proprement parler (e-invoicing) concerne les opérations entre professionnels. L’obligation de transmission de données de transaction (e-reporting), moins connue, quant à elle, s’impose pour les opérations entre un professionnel et un particulier. Les entreprises réalisant  des ventes à la fois aux professionnels et à la fois aux particuliers sont soumises à ces deux obligations concomitamment.

Une autre obligation s’applique aux professionnels redevables de la TVA sur les encaissements. Ils devront également transmettre à l’administration fiscale les informations relatives au paiement de leurs factures par leurs clients.

 

Et le calendrier ?

 

Toutes les entreprises, quel que soit leur taille, devront être en capacité de recevoir les factures électroniques à compter du 01er juillet 2024. En clair, chaque entreprise devra avoir choisi sa plateforme d’ici cette date.

Concernant l’obligation d’émission de factures électroniques ou de transmission de données de transaction, le déploiement est progressif :

  • Au plus tard le 01er juillet 2024 pour les grandes entreprises ;
  • Au plus tard le 01er janvier 2025 pour les entreprises de taille intermédiaires ;
  • Au plus tard le 01er janvier 2026 pour les petites et moyennes entreprises.

Votre expert-comptable vous accompagne pour anticiper et réussir ce virage numérique. Transformons ensemble cette obligation en opportunité pour votre entreprise !

 

Anne-Sophie MAUPOIS

Expert-comptable

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Il ne regrette pas son choix, le paysan boulanger de Charny-Orée-de-Puisaye ! Depuis qu’il a validé son inscription sur la plateforme numérique, www.pourdebon.com, Fabien MARROY, de la Ferme du Bois RAMARD, a réalisé près de 1 800 transactions par ce biais. Soit l’équivalent de 10 % de son chiffre d’affaires mensuel. Au maximum de la crise sanitaire, ce chiffre s’élevait à 90 % !

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Géré par l’une des filiales du groupe La POSTE, le site www.pourdebon.com est chapeauté par GEOPOST et lui permet de livrer en sec, frais et surgelé, partout aux quatre coins de l’Hexagone plus de 20 000 produits en provenance de plus de 600 agriculteurs et artisans de notre pays. Apparu dans le paysage de la distribution il y a six ans déjà, cette plateforme de vente directe en circuit court rencontre un joli succès auprès des consommateurs français qui ne cesse de l’employer à bon escient. Les marchandises sont ainsi livrées à domicile via les services postaux, ce qui fait aujourd’hui de cette référence de la distribution un pré »cieux auxiliaire favorisant la valorisation des producteurs du terroir.

Aujourd’hui, en Bourgogne Franche-Comté, une vingtaine de producteurs agricoles et artisans ont recours à ses services pour assurer la commercialisation de leurs productions. C’est le cas de Fabien MARROY, paysan boulanger de Puisaye, qui est un fervent adepte de ce concept depuis 2019.

 

 

La vitrine en ligne lui offre l’opportunité de pouvoir écouler ses produits (des pains bio qu’il prépare avec les céréales issues de sa ferme) à travers la France.

« Cela m’est déjà arrivé de préparer une commande pour Nice, explique-t-il amusé, elle est partie à 13 heures et elle est arrivée le lendemain sur la Côte d’Azur à 8 heures ! ».

Une manière peu académique mais réussie de pouvoir déguster une brioche bio faite maison les pieds dans l’eau, au bord de la Grande Bleue !

 

Thierry BRET

 


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