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Il affiche un sourire radieux, le premier secrétaire fédéral du Parti Socialiste de l’Yonne. D’une part, Mani CAMBEFORT, portant désormais une barbe fournie, est heureux de proposer le tour du propriétaire, le nouveau local auxerrois occupé par le PS, allée du Panier Vert – ce serait plutôt un nom de rue à destiner aux écologistes, non ?! - ; d’autre part, de dévoiler les résultats plutôt prometteurs de la consultation proposée par « Vivre l’Auxerrois » sur le devenir du marché accueillie place de l’Arquebuse. Une enquête à laquelle ont répondu près de 1 925 personnes…

 

AUXERRE : Allée du Panier Vert. Une ruelle située juste en face de l’école Jean Zay, au cœur d’Auxerre. L’une de ses petites rues tranquilles où il fait bon flâner pour se rendre vers la bibliothèque, fréquentée par les férus de bouquins et de culture. Là, au beau milieu de cette rue calme, se situe le nouveau local qui accueille le Parti Socialiste de l’Yonne.

Dans l’unique pièce, faisant office de lieu de réception, Mani CAMBEFORT, son premier secrétaire fédéral, attend en classant quelques feuilles. Il n’est pas tout seul puisque sa collègue de l’opposition au conseil municipal d’Auxerre, la socialiste Sophie FEVRE, est déjà assise.

En l’absence de la troisième élue, également membre fondateur du Collectif « Vivre l’Auxerrois » la conseillère régionale, Isabelle POIFOL-FERREIRA – cette dernière n’est pas apparentée au parti politique qui jadis possédait son siège national rue de Solferino à Paris mais se revendique comme étant une radicale de gauche -, excusée de ce point avec la presse.

Les propos liminaires sur la situation politique hexagonale et locale évacués au plus vite, le tandem de « Vivre l’Auxerrois » se concentre sur le contenu majeur de la soirée : le résultat de la consultation lancée en février dernier par la structure associative – elle se définit comme apolitique, soit dit en passant – sur le devenir de la place de l’Arquebuse et de son marché.

Rappelons que « Vivre L’Auxerrois » est une entité apparue il y a déjà deux ans, regroupant à date plus d’une centaine de personnes de toutes obédiences intellectuelles, très attachées à l’avenir de la capitale de l’Yonne. Les valeurs défendues sont les suivantes : citoyennes, démocratiques, humanistes, sociales, écologiques. L’objectif s’affiche clairement : « vivre mieux dans ce beau territoire qu’est l’Auxerrois ».

 

Plus de 1 900 auxerrois intéressés par la consultation

 

Partant du simple postulat que ce secteur géographique local, la place de l’Arquebuse et son marché, ne suscite aucun nouveau projet depuis quatre ans, le collectif s’est engouffré dans la brèche afin de tâter le pouls de celles et de ceux (les citoyens, les commerçants, les producteurs, bref, toute la population interpellée par la thématique !) qui prennent à cœur de s’y intéresser.

Outre le marché en tant qu’entité commerciale et économique, il était important dans la démarche initiale de cette étude de prendre en compte les usages du lieu, mais aussi son aire de stationnement, ce fameux parking d’une praticabilité complexe et peu avenante dont on entend pis que prendre quant à son utilisation.

Les trois responsables de « Vivre L’Auxerrois » n’ont donc pas ergoté sur les moyens pour lancer la chose. Un site numérique a ainsi été créé. Vingt mille flyers ont été édités avant d’être distribués dans les boîtes aux lettres des habitants et remis en main propre sur ledit marché. C’était sans compter également sur la contribution des réseaux sociaux (Facebook et Instagram) qui relayèrent les informations vers les plus branchés des citoyens auxerrois.

Résultat des courses – il n’y a pas photo comme à l’arrivée du tiercé pour départager les chevaux ! - ; plus de 1 900 réponses (1 925 avec exactitude) ont été collectées par les équipes qui travaillent avec le trio d’élus de l’opposition auxerroise. Ce qui n’empêche nullement Mani CAMBEFORT, un brin ironique et le sourire aux lèvres, de rappeler que la précédente consultation faite par la municipalité sur le renouveau de la place du Maréchal Leclerc n’avait recueilli que…1 371 votants. Les augures y verront-ils un signe de la destinée ?!

 

Plus de 77 % des votants favorables à une halle à l’ancienne

 

Plus sérieusement, c’est le nombre de propositions et de commentaires qui surprend quelque peu. 429 personnes ont apporté des réflexions lors de ce retour d’information. La plupart réalisés via le papier. C’est mieux : les écrits restent, les réponses digitales s’effacent !

Deux visions de projets de nouvelle halle étaient ainsi suggérées par « Vivre l’Auxerrois ». L’une, traditionnelle. L’autre, résolument moderniste.

Explications de Mani CAMBEFORT : « La halle traditionnelle avait pour vocation de rendre plus visible le marché, commente-t-il, avec plus d’identité et davantage centré sur ses missions. En fait, il s’agit de redonner au marché auxerrois sa majesté, en le dotant de cette halle au design rappelant l’ancienne structure des Cordeliers. Modernisée, l’Arquebuse pourrait accueillir des évènements complémentaires au marché, à l’instar d’évènements ponctuels, tels un marché de Noël, des brunchs lors des journées dominicales, des spectacles ou des expositions… ».

Face à cela, une édification plus contemporaine. Avec des usages renouvelés. Sophie FEVRE l’explicite : « dans un bâtiment moderne et écologique, fonctionnant à énergie positive, l’Arquebuse pourrait intégrer un restaurant qui cuisinerait les produits du marché – voilà une excellente idée de circuit court du producteur au consommateur ! – mais aussi une salle de conférence et, même, une maison des associations ».

Le choix de la population à ces deux propositions n’est guère surprenant in fine. 77,3 % des votants ont opté pour une construction traditionnelle. A l’ancienne, donc, dans ses formes renvoyant largement aux calendes grecques, les adorateurs du projet moderne avec seulement 22,7 % des suffrages !

 

Comment maximiser l’occupation du marché ?

 

On notera aussi parmi les commentaires annexes, des propositions se rapportant à l’aménagement de la place avec la présence de la végétalisation plutôt que du béton, la présence d’un kiosque, etc.

« La libération de l’actuel marché augmentera l’offre de stationnement au cœur de la ville, précise Sophie FEVRE, quant à l’espace extérieur, il bénéficiera de plantation d’arbres et d’une végétalisation en harmonie avec la présence d’espaces ludiques permettant d’accueillir des enfants. Ce sera un lieu de rencontre et de partage aux abords de la nouvelle halle à réaliser… ».

La conclusion revient à Mani CAMBEFORT. Pour lui, c’est simple : il faut un projet multimodal.

« La rénovation du marché engagera la ville sur plusieurs décennies. Il faut donc un temps de concertation et de l’ambition… ».

Et se poser, aussi, quelques judicieuses interrogations. « Que voulons-nous faire au-delà des 104 demi-journées d’occupation du marché ? ».

Une question qui trouve peut-être son lot de réponses appropriées et pertinentes, parmi les 429 suggestions émises par des auxerroises et auxerrois ravis d’y avoir répondu, visiblement…En attendant d’autres initiatives de la sorte car les sujets, on l’aura compris, ne manquent pas !

 

Thierry BRET

 


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Utile ? Inutile ? Depuis le premier choc pétrolier datant de 1973 et l’adoption du changement horaire dans l’Hexagone, la question récurrente revient tous les six mois tel un métronome coutumier. Cela sert-il réellement à quelque chose au niveau économique alors que les métabolismes, tant des humains que des animaux, sont perturbés au quotidien ? Depuis 2019, des débats sur le sujet sont menés au Conseil de l’Union européenne à Bruxelles sans que pour autant les réponses ne fusent ! Ce n’est plus un changement d’heure mais le prolongement du temps suspendu dans les alcôves de la politique européenne !   

 

Lundi

 

Certains surveillants pénitentiaires, sans doute soucieux de découvrir toutes les facettes de leur métier, poussent la conscience professionnelle jusqu’à endosser le costume de taulard ! Six surveillants de la prison de Réau en Seine-et-Marne sont accusés d’y avoir fait entrer depuis octobre 2022, de la résine de cannabis, des téléphones portables ou de l’alcool. Ce qui se traduit dans le jargon judiciaire par « accusés d’avoir participé à l’introduction en détention d’objets ou substances interdites… ». Moyennant finances, bien sûr ! Mais, comme l’a déclaré sous couvert d’anonymat un haut cadre de l’administration pénitentiaire, « la population carcérale est très demandeuse ou incitative, et donc il y a une préoccupation sur le rapport à l'argent et sur la relation entre les personnels et les détenus… ». Autrement dit, ces braves « ripoux » n’ont fait que répondre au marché de l’offre et de la demande !

 

Mardi

 

Ancien ministre de la Santé et ex-porte-parole du gouvernement, Olivier VERAN, après s’être vu remercié lors du remaniement de janvier dernier, s’est « découvert » une vocation de « médecin esthétique » ! Et pas n’importe où, mais au sein de la très chic « clinique des Champs-Elysées ». Même si elle relève de la sphère privée, cette reconversion fait débat et soulève pas mal d’indignation, que ce soit dans le landerneau politique ou celui de la santé, concernant un ancien neurologue qui, à longueur de tribune, en sa qualité de ministre, se lamentait sur le sort des déserts médicaux. L’hôpital brûle et les priorités sont ailleurs, mais promis juré, il ne touchera « ni à des pénis, ni à des fessiers » et sera « très loin des prothèses mammaires », privilégiant des soins de confort correspondant entre autres à « une cicatrice sur le visage, un vieillissement lié à la ménopause ou une calvitie précoce… ». On espère qu’il fera un prix à son ancien « patron », Edouard PHILIPPE !

 

 

Mercredi 

 

Bien sûr, l’événement est d’envergure exceptionnelle et suscitera sans nul doute un intérêt planétaire, mais le budget dédié à la masse salariale globale des Jeux de Paris, estimé à plus de 584 millions d’euros commence à faire tousser… Un budget soit dit en passant, supérieur de 115 millions d’euros à celui annoncé dans le dossier de candidature. Avec des salaires ne cessant d’augmenter, à l’exemple de la directrice de la communication, passée de 150 à 195 000 euros en un an ! Quant au président du Comité d’organisation Tony ESTANGUET, ses émoluments dépassent les 286 000 euros annuels, au point que la justice a ouvert une enquête en début d’année sur les conditions d’une telle rétribution. Bien inférieure affirment ses défenseurs à celle de l’ancien champion de demi-fond, Sébastien COE, patron des JO de Londres en 2012, évaluée à plus de 400 000 euros. Ouf, la morale est sauve ! « L’important est de participer » comme disait le baron Pierre de COUBERTIN, il n’avait pas dit à quel prix…

 

 

Jeudi 

 

Fondateur de l’entité « Magictech » où se marient technologie et magie, Samuel GAULAY a fait le show, en ouverture des premiers « Trophées des Entreprises » à Auxerrexpo, usant d’un discours aux accents dithyrambiques pour vanter les vertus de l’Intelligence Artificielle, avec la complicité de quelques spectateurs appelés sur scène. L’occasion pour lui de rappeler d’où l’on vient et se pencher sur un passé pas si lointain, prenant pour exemple la conquête spatiale et la mission Apollo 11, qui permit en juillet 1969 à l’homme de marcher sur la Lune, mais dont l’ordinateur de bord n’était équipé que de 4 ko de mémoire vive et 32 ko de stockage ! De quoi aujourd’hui faire sonner de rire n’importe quel iPhone à la mémoire vive un million de fois supérieure !

 

 

Vendredi

L’on pourrait ranger l’anecdote au rang de « poisson d’avril », si ce n’est qu’elle est hélas bien réelle ! En prévision du déplacement qu’a effectué Emmanuel MACRON au Brésil et en Guyane, un major de la Marine nationale, membre de son intendance, a embarqué à bord d’un avion d’Air France reliant Rio de Janeiro, après réservation de deux sièges en classe affaire, le second étant destiné à faire voyager confortablement deux housses contenant les précieux costumes du chef de l’Etat ! Une dépense estimée à plus de 4 000 euros l’aller-retour, qui a dû, à l’heure de la rigueur budgétaire annoncée, faire s’étrangler Bruno LE MAIRE, qui pourra toujours « tailler un costard » que l’on imagine « présidentiel », à son patron ! Avec de telles dérives, l’on se demande s’il ne serait pas plus simple de remettre tout de suite les clés de l’Elysée à Marine LE  PEN… 

 

Samedi

La fronde des agriculteurs envers la grande distribution semble souvent se limiter à un combat binaire avec une seule enseigne, « LECLERC » ! La faute sans doute au très médiatique président du groupe, Michel-Edouard LECLERC, qui a depuis longtemps son rond de serviette sur tous les plateaux TV de France et de Navarre. A des années-lumière du silence feutré d’un Gérard MULLIEZ, très discret fondateur du groupe AUCHAN, retranché dans son fief du Nord, quand ce n’est pas en Belgique. Cibles favorites du monde agricole, suspectées de tous les maux, les enseignes Leclerc font souvent l’objet de manifestations diverses. On aimerait savoir ce qu’en pensent ces producteurs icaunais, habitués semble-t-il à commercialiser avec cet hypermarché auxerrois sous ce pavillon… 

 

 

Dimanche

 

Près d’un demi-siècle que le changement d’heure a été instauré et pourtant, ils seront encore nombreux à s’interroger ce dimanche : « alors cette fois-ci, on avance ou on recule… ? ». C’est à la suite du premier choc pétrolier en 1973, que l’heure d’été fut rétablie trois ans plus tard, supposée être synonyme d’économies d’énergie. Depuis, chaque année, se rouvre le débat sur son utilité et sa possible suppression. Des travaux ont été menés en ce sens au Parlement européen, bloqués depuis décembre 2019 au Conseil de l’Union Européenne à Bruxelles, faute pour tous les pays de s’entendre sur le sujet. Pas facile de mettre « les pendules à l’heure » !

 

Dominique BERNERD

 


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Etonnant concours que celui-ci ! Soit la sélection départementale « d’Un des Meilleurs Apprentis de France », disputé dans la catégorie couverture en bâtiment. L’épreuve était accueillie dans l’un des édifices possédés par le CFA de l’Yonne sur la rive droite d’Auxerre. Elle aura vu au final deux de ses lauréats obtenir la médaille d’or et leurs accessits directs pour la finale nationale ! Tandis que deux des prétendants initiaux s’étaient abstenus de se présenter sur la grille du départ…consternant !

 

AUXERRE : Parfois, les concours à l’estampille d’Un des Meilleurs Apprentis de France (MAF) réservent encore quelques surprises, histoire de sortir du lot des innombrables rendez-vous de ce type qui parsèment la saison au gré des titres et des distinctions ! Bien malin qui aurait pu prévoir ce qui allait réellement se produire dans l’enceinte du pôle couverture du centre de formation du bâtiment (CFA) auxerrois.

L’épreuve accueillie en ces murs, la sélection départementale de l’Yonne, allait révéler quelques surprises afin de pimenter un challenge tout droit promis aux plus véloces et ingénieux de ces apprentis couvreurs dont les entreprises du BTP ont tant besoin afin d’honorer leurs chantiers une fois le précieux sésame – le diplôme et non le titre de MAF – dans la poche !

Primo, ils (les concurrents) devaient être initialement sept, puis cinq au départ de ce défi, d’importance dans l’existence d’un apprenti alternant. Or, à la grande surprise du maître de cérémonie et grand officiant devant l’éternel, Marc LABARDE, président du Comité départemental des Meilleurs Ouvriers de France et président de jury, ils ne furent que cinq, in fine, à s’être inscrits sur la feuille de candidature, dont deux manquaient déjà à l’appel, dès le début du concours !

Un fait surprenant qui laissa un bon moment perplexe, l’ami Marc et sa célèbre écharpe rouge qui aurait presque pu virer au noir de la colère face à ces désistements de dernière minute.

 

Un désengagement reflet de notre société ?

 

Ce 39ème concours MAF couverture aurait même pu laisser un sérieux goût d’amertume au palais du MOF président de jury. Il aurait aimé que tous les jeunes aillent dans le même sens que les deux lauréats, obtenant in fine la médaille d’or, des jeunes gens qui ont su se mettre en danger dans la réalisation de cette pièce de belle taille, soumise à l’appréciation du jury, après coup.

« J’ai constaté un grand nombre de désistements des jeunes candidats sur cette promotion, observa Marc LABARDE, est-ce que les jeunes apprentis n’ont plus envie de se dépasser dans le bâtiment ? Est-ce qu’ils n’ont pas envie de se mettre en compétition avec eux-mêmes ? J’ai peur qu’il y ait désormais un désengagement et que ce soit le reflet de notre société… ».

Sans doute, le président du jury de ce MAF couverture en bâtiment n’est-il pas très loin de la vérité !

« Nous devons en être tous conscients, poursuivit-il, et que nous devons redoubler d’efforts dans l’amélioration de ce dépassement, dans le savoir-faire et le savoir-être… ».

 

 

Deux médailles d’or synonymes de qualification nationale…

 

Un dépassement de soi en matière professionnelle synonyme de bon ouvrier et de bon patron demain mais aussi d’employabilité garantie, selon Marc LABARDE, plutôt soucieux pour l’avenir.

« Ce concours MAF couverture en bâtiment est l’un des rares dans l’Hexagone qui soit reconnu au niveau national, devait ajouter l’homme à l’écharpe rouge.

Quant aux pièces réalisées par Antoine BOBIN et Gabin RINKER LIGAULT, elles ont obtenu les meilleurs suffrages de la part des membres du jury, malgré quelques imperfections. Ingéniosité et maîtrise de la complexité auront été des atouts imparables pour obtenir le maximum d’étanchéité de la pièce de toiture travaillée, dans les règles de l’art. Avec en outre la médaille d’or pour chacun et un billet pour la finale nationale ! Une manière de sauver brillamment la face et d’être l’arbre qui cache la forêt.

 

Thierry BRET

 

 


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Il y a peu, c’était jour de fête à Charolles. Le chef Frédéric DOUCET (48 ans, en paraissant dix de moins, sûrement les effets de la petite reine !) recevait des mains du président du conseil départemental de Saône-et-Loire les insignes de chevalier dans l'Ordre national du Mérite, une décoration créée dans les années 60 par le Général de GAULLE.

 

CHAROLLES (Saône-et-Loire) : Mérite est un qualificatif qui convient bien à Frédéric. Gamin, il traîna dans les cuisines de l'hôtel-restaurant de ses parents, avant de le racheter au début du siècle, après un joli parcours essentiellement lyonnais (Pierre ORSI, Paul BOCUSE). Le Charolais coule dans les veines de ce gentil garçon,  excellent cuisinier sans l'ego d'une diva des fourneaux, et qui aime ses clients autant que ses équipes.

Pour cette paisible commune rurale, pareil ambassadeur est une chance. Car Frédéric DOUCET est un battant  et sous sa férule,  la maison éponyme s'est transformée avec une étoile Michelin en 2012, des travaux hôteliers d'envergure, un accès à la prestigieuse chaîne des « Relais et Châteaux », la reprise d'un bistrot fermé  pour le faire évoluer en une table « viandarde », « Le Bistrot du Quai ». Rien n'arrête ce chef-patron volontariste, discrètement soutenu par Anne, son épouse. 

 

 

Loin de la Bourgogne snobinarde !

 

Car oui, ici, nous sommes bien loin de la « snobinardise » de la Bourgogne viticole de Côte d’Or ! Dans laquelle, bien souvent, le principal souci consiste à fixer le prochain lieu de vacances à Courchevel ou les Maldives ! On ressent, autour de ces pâturages d'élevage, une sorte de bonhomie conviviale. Et pour arriver jusqu'à la gare la plus proche de Paray-le-Monial, votre serviteur, depuis Sens, passa 4h30 dans le train avec deux changements, et un fort joli parcours campagnard après Beaune et les gares de Cheilly-les-Maranges, Santenay, Blanzy, Ciry-le-Noble.... Une autre Bourgogne assurément ! 

 

 

Un décor chaleureux pour les « viandards » !

 

Un déjeuner au « Bistrot du Quai » et c’est un décor chaleureux et un brin viandard, une belle terrasse surplombant l'Arconce, des plaques de comices agricoles, une vue sur la cuisine, qui nous sont proposés. Le décor est planté pour la deuxième adresse de la maison DOUCET, faisant l’objet de la prochaine rubrique.

L'apéritif charolais est délicieux (vin rouge, liqueurs, un trait de gin). Plus une place de libre ce midi-là, avec une première formule servie à 25 euros. Bien sûr, la tête de veau, tout comme le poulet en ragoût, nous font de l'œil, mais comment résister à l'ode charolaise (53 euros) avec comme vedette, un mets-phare de la maison : l'entrecôte cuite au beurre sur plaque de fonte. Cette idée fut celle de Daniel, le paternel de notre chef dans les années 80, faisant œuvrer une fonderie voisine à Génelard.

 

 

Au paradis du charolais et de la tendreté de la viande


L'entrée est comme un prélude, avec un tartare charolais, impeccablement assaisonné. Le pain est fort bon. En salle œuvre une équipe souriante et dynamique. Ensuite, chut ! Voici l'arrivée de notre vedette : « miss entrecôte » sur sa plaque de fonte, accompagnée de frites cuites dans la graisse de bœuf comme dans le « ch'nord » ! Pour les amateurs, ce mets est sublime et c'est un véritable régal à chaque bouchée. Difficile ensuite de déguster cette reine des nobles appellations bouchères, d'une autre façon. A Charolles chez DOUCET ou rien, telle semble  la devise de ce régal viandard, signe aussi du soutien de la maison aux éleveurs de qualité et de leurs nobles culardes.

 

 

Le flambage des crêpes Suzette, tout un art !

 

Il se dit enfin, selon des préceptes culinaires peut-être un rien surannés que la crêpe Suzette ne doit pas être flambée ! C'est en tout cas, ce que me rappela récemment avec malice, l'ami François HENNARD, professeur impliqué de cuisine au lycée hôtelier Vauban à Auxerre !

Quel dommage ce serait ici, où ce joli flambage exercé avec maîtrise par la maîtresse d'hôtel, donne à ce dessert de belles lettres de noblesse et de saveur gourmande.....par « Grand-Marnier » interposé ! Ce joli spectacle ravit les sens (vue et odorat) avant de satisfaire le palais.

Ce cérémonial permet aussi d'affirmer le professionnalisme des équipes de salle, dont le recrutement est devenu difficile parfois. Le chef DOUCET a traversé la rue pour faire un rapide tour de tables. Beaucoup de clients l'ont connu gamin ou copain dans la cour de récréation. Son pays, il l'aime Frédéric ! Et, cette sincérité se ressent forcément dans l'assiette !

 

 

Contact :

Le Bistrot du Quai

01 Avenue de la Libération

71120 CHAROLLES

Tel : 03.85.25.51.75.

Fermé lundi et mardi midi.

Première formule proposée à 25 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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En charge de la Jeunesse, de la Vie associative, de la Citoyenneté et de la Démocratie participative, la vice-présidente de l’exécutif régional, Sarah PERSIL, était en déplacement ce mardi en Puisaye afin d’y remettre un chèque de 7 000 euros, une aide généreuse à la création du mille cinq centième emploi associatif soutenu par la Région Bourgogne Franche-Comté. L’élue de Lons-le-Saunier s’est félicitée de ce qu’elle a pu observer au Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement (CPIE) Yonne et Nièvre…

 

SAINT-SAUVEUR-EN-PUISAYE : Elle peut se frotter les mains en signe de contentement, la représentante de l’exécutif régional ! Tout ce qu’elle a pu entendre et constater de ses propres yeux sur le site du CPIE (Centre Permanent d’Initiatives pour l’Environnement) Yonne et Nièvre, ce mardi après-midi sous un vent frisquet à ne pas mettre une élue dehors, l’a ravie !

« C’est une grande fierté d’avoir pu soutenir une association qui agit en ruralité, ici à Saint-Sauveur-en-Puisaye, confia la vice-présidente Sarah PERSIL, c’est un encouragement à la vitalité de notre région. Les associations effectuent un travail de solidarité et de lien social extrêmement important. Et, là, en plus, on est sur une logique de transition écologique ».

Du pur bonheur en fait pour cette élue à l’étiquette écologiste, originaire du Jura. Sarah PERSIL avait fait le déplacement depuis Lons-le-Saunier, soit un périple de près de trois heures, pour venir remettre en main propre aux responsables du CPIE Yonne et Nièvre un fac-similé, modèle certes un peu réduit, traduisant un subside, a contrario, plus conséquent que la taille du document : une somme de 7 000 euros.

 

Un projet qui joue le jeu de la coopération

 

Au-delà de la somme, rondelette et intéressante à percevoir pour une entité associative, le symbole fort de la journée était de consacrer officiellement le « mille cinq centième emploi » associatif qui bénéficiait ainsi d’une aide financière de la Région BFC. Un job se situant dans l’axe prioritaire de l’élue : la transition écologique, une aubaine, donc !

« Ce qui est important, ajouta l’oratrice, c’est que ce poste nouvellement créé dans le domaine du bocage, trognes et agroforesterie est en lien direct avec le monde des agriculteurs locaux. Mais, aussi avec l’ensemble des partenaires et des collectivités. C’est presque la synthèse de tous les projets que l’on a envie de porter, dira-t-elle avec un réel enthousiasme.

Accompagnée de son homologue et régional de l’étape, Gilles DEMERSSEMAN, Sarah PERSIL prit soin durant plus d’une heure d’écouter toutes les explications, depuis la genèse du projet jusqu’à son aboutissement à date fournies par les responsables associatifs.

« C’est un beau projet qui joue le jeu de la coopération, souligna la vice-présidente de la Région, c’est un modèle de société et de démocratie labellisé national qui est pilote sur l’ensemble des actions entreprises, notamment sur les trognes (arbre taillé périodiquement à même hauteur afin de produire durablement du bois). C’est un beau projet qui est fait ici chez nous et qui rejaillit au niveau national dont on peut être fiers ! ».

 

Thierry BRET

 

 

 


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