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Plus de 200 sympathisants et militants, exaltés par l’espoir de voir leur candidate ravir le fauteuil de député à l’extrême droite ont assisté hier soir au Silex au meeting organisé par le NFP, en soutien à Florence LOURY et son suppléant, Bruno CANCELA-BRAULT. Une soirée riche en moments d’émotion, où les différents intervenants ont voulu montrer qu’aussi hétéroclite soit-il, « l’attelage » de gauche roule et tient la route ! Une route, ils en sont persuadés, ne pouvant conduire qu’à la victoire dans la première circonscription de l’Yonne le 30 juin et le 07 juillet.

 

AUXERRE : « C’est un moment où l’Histoire nous convoque… ». A l’heure où les derniers sondages voient entre 250 et 300 députés RN rejoindre les bancs de l’Assemblée Nationale au soir du second tour des législatives, l’élue municipale d’opposition Sophie FEVRE, qui a ouvert la soirée, a rappelé en quelques mots les enjeux à quatre jours du premier tour : « la défaite du « macronisme » ne doit pas être celle de la République…».

Mais dénoncer la pensée de l’extrême droite ou rappeler le passé néofasciste et collaborationniste de ceux qui portèrent le Front National sur les fonts baptismaux peut-il suffire aujourd’hui à convaincre et retrouver tous ces électeurs des classes populaires, sensibles au chant des sirènes « bleu marine » ?

A tour de rôle, les représentants icaunais des partis rassemblés sous la bannière du Nouveau Front Populaire (NFP) ont pris la parole, déclinant les différents thèmes du programme concocté au national et porté par la candidate, Florence LOURY, dans la première circonscription.

 

 

Le « Mozart de la finance » en perd ses partitions !

 

Un programme « porteur d’espoir », selon Adrien PROVENCE (LFI), Valentin ANDRY (EELV), Mani CAMBEFORT (PS) et Pascale MARLIN (PCF), pour sa part pressée d’en découdre : « nous attendions cette union entre les forces de gauche depuis longtemps, alors maintenant, on y est et on fonce ! ».

L’occasion aussi pour Mani CAMBEFORT d’ironiser sur l’héritage d’Emmanuel MACRON en matière de finances publiques : « Suppression massive et non ciblée de recettes fiscales pour 50 milliards d’euros, aides aux entreprises mal ciblées pour 223 milliards d’euros selon « France Stratégie » qui n’est pas un repère de gauchistes ! La France épinglée avec six autres pays par la Commission Européenne pour déficit excessif…, pas mal pour quelqu’un se présentant comme le « Mozart de la finance » et prétend nous donner des leçons ! ».

 

 

Rappelant dans le même temps la position inscrite dans le programme au regard du conflit israélo-palestinien : « paix au Proche-Orient, avec la reconnaissance immédiate de l’Etat de Palestine, aux côtés de celui d’Israël ». Une position qui, a rajouté dans un sourire le conseiller municipal et communautaire d’opposition, est « celle de la France depuis 1982 et le discours de François MITTERRAND devant la Knesset, le socialiste que je suis ne pouvait pas ne pas le nommer… ».

 

 

La politique sociale de la France, juste, fraternelle et équitable…

 

Rouge, vert, rose, violet…, un kaléidoscope de couleurs semble rythmer la soirée lorsqu’au fil des différentes prises de paroles, les militants agitent leurs drapeaux respectifs. Des retrouvailles pour beaucoup, faisant fi des querelles du passé. Les témoignages s’enchaînent, parmi lesquels celui particulièrement émouvant d’Adrien, jeune militant LGBTQ venu rappeler les craintes de sa communauté à l’idée de voir l’extrême droite arriver au pouvoir : « on ne choisit pas son orientation sexuelle ou son identité de genre… Nous aussi avons droit au « Liberté, égalité, fraternité »… ».

Citant pour exemple l’agression d’une personne au soir des élections européennes, pour cause d’appartenance sexuelle différente : « ils nous ont fait sentir que d’ici quelques semaines, cela pourrait devenir la norme et ça fait peur… ».

Autre témoignage émouvant, celui d’Isabelle POIFOL-FERREIRA, ancienne adjointe de l’ancien édile Guy FEREZ à la culture et au patrimoine, aujourd’hui conseillère régionale et conseillère municipale d’opposition. Fille d’immigrés portugais fuyant la dictature de SALAZAR, père ouvrier, membre d’une fratrie de huit enfants, porteuse elle aussi d’espoir et de défense des valeurs de gauche : « Quel avenir pouvait-on me prédire quand j’étais enfant ? J’ai pourtant fait des études et je suis là devant vous, parfaitement intégrée et porteuse de mandats de la République. Ce parcours, je le dois à la politique sociale de la France, je n’ai pas honte de le dire. Je le dois aussi aux valeurs de la République, que sont la fraternité et l’égalité… ».

 

 

Un écart minime de 730 voix par rapport à 2022…

 

Déjà deux heures que le meeting est commencé. Les plus chanceux (ou les plus prévoyants…) ont la chance d’être assis confortablement dans l’atmosphère climatisée du Silex. Un voyage en « première classe » au regard de la cinquantaine de personnes installées à l’extérieur sous la moiteur estivale, sur des sièges rajoutés à la hâte, faute de places suffisantes à l’intérieur. Bientôt 21 heures, la candidate fait enfin son apparition sur scène, précédée par un suppléant « requinqué » : « ça rebooste des soirées comme ça et ça fait du bien ! ».

Les traits sont tirés, mais Florence LOURY reste ferme dans son discours : « c’est une campagne express, fatigante, mais nous sommes déterminés… ». Rappelant qu’en 2022, seulement 730 voix la séparaient de son rival au soir du second tour, « à peine 2 % des abstentionnistes de la circonscription ».

Les « on va gagner » s’enchaînent au son de l’air des lampions. Clap de fin et photo de famille sur scène, avec en toile de fond musicale les notes et paroles de « Bella ciao » : « Una mattina mi sono alzato, un matin je me suis réveillé…. » Chant d’espoir ? Chant de victoire ou chant de résistance ? Pour tous ceux présents ce mercredi soir au Silex, réponse le 07 juillet au soir !  

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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C’est une évidence : s’il n’existait pas, il serait nécessaire de l’inventer ! Qui ça ? Mais le GEIQ BTP, pardi ! Soit le Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification de la filière du bâtiment et des travaux publics. Celui qui intervient en Bourgogne Franche-Comté et qui tenait il y a peu à Auxerre, sa traditionnelle assemblée générale, une séance de travail et de réflexion suivie par une cinquantaine d’adhérents et de partenaires…Ambiance !

 

AUXERRE : Derrière chaque salarié, il y a des histoires. Une mission. Des voix. Le petit clip vidéo déroule sa présentation avec ses témoignages. Des femmes et des hommes qui vantent devant la caméra les mérites de cette structure. Face à une cinquantaine de personnes, assises dans les confortables fauteuils de l’amphithéâtre de la Fédération Française du Bâtiment 89 où est accueillie cette nouvelle assemblée générale du GEIQ BTP.

Jadis, on s’en souvient encore, dans l’Yonne, c’est un garçon du nom de Daniel CARTEREAU qui en assurait la promotion avec sérieux. Aujourd’hui, la structure régionale de Bourgogne Franche-Comté a pour capitaine de route, une autre figure Didier MICHEL. Un personnage emblématique de la vie institutionnelle et économique de notre territoire que l’on ne présente plus.

Ancien président de la FFB 89, ancien élu municipal sous l’ère de Guy FEREZ, dirigeant de la société éponyme, Didier MICHEL revient en ce début d’été 2024 comme au plus beau jour : il y a peu, il a succédé à Emmanuèle BONNEAU à la présidence du MEDEF de l’Yonne, on le retrouve ici, dans cette réunion professionnelle, sous l’égide de la présidence du Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification de la filière qu’il affectionne tant : le BTP !

 

La présence de trois partenaires financeurs

 

Mais, revenons aux images. Dans un silence de plomb, les témoins filmés narrent leurs expériences en termes de formation et de plus-values pédagogiques. L’ADN, même du GEIQ BTP ! A ce titre, en 2023, le groupement a accompagné 197 parcours professionnels. Cela représente au bas mot en moyenne 350 heures de formation et dix mois de contrat. Une accumulation de connaissances et de savoir fort utiles pour mieux rebondir dans la vie active.

Un chiffre est donné durant les travaux de cette session annuelle : 82 % ! C’est en pourcentage la part de salariés qui en fin de parcours ont pu trouver la solution d’emploi durable idoine en bénéficiant du concours de ce groupement dont les initiatives sont pleinement encouragées par de nombreux partenaires, à commencer par France Travail – une petite délégation est d’ailleurs présente dans la salle -, CONSTRUCTYS ou encore la DDETS, la Direction départementale de l’Emploi, du Travail et des Solidarités. Logique, ils en sont, entre autres, les principaux financeurs.

A date, ce sont 395 structures entrepreneuriales – ce n’est pas rien ! – qui ont rejoint ce groupement. Elles représentent l’ensemble des métiers du secteur BTP dont 50 % emploient entre dix et cinquante salariés. A titre d’exemple, les techniciens en fibre optique, les monteurs de panneaux photovoltaïques, comme le précisera Céline GUILLOT, directrice de l’organisme. Cette dernière animera la séance aux côtés de sa directrice adjointe, Céline RUFFLOCH.

 

 

 

Une mission largement remplie par l’organisme associatif

 

Evoquant la labellisation du GEIQ – axiome indispensable pour développer des contrats de professionnalisation -, le tandem souligna les efforts collectifs de l’équipe qui œuvre pour répondre aux besoins de main d’œuvre des entreprises adhérentes et pour l’insertion professionnelle durable des salariés. 351 heures de formation, soit une semaine par mois, c’est le nombre d’heures consacrées aux aspects sécuritaires du secteur. 139 000 heures salariés – un peu moins de dix mois de contrat – pour 71 % des salariés qui obtiennent une qualification reconnue par le ministère du Travail ou l’Education nationale, des chiffres très importants devait préciser Céline GUILLOT, « cette année, on a permis la signature de 120 contrats avec 98 % des effectifs qui étaient issus d’un public en insertion et en qualification, on a rempli largement les missions qui nous sont attribuées… ».

Des salariés qui pour 38 % ont plus de 26 ans, 10 % ont plus de 45 ans, un public accueilli de tous les âges. Sur les sorties de 133 salariés, 82 % ont trouvé à terme une solution d’emploi durable à l’issue de ces contrats de professionnalisation, 28 % ayant signé un CDI, 37 % un CDD de moins ou plus de six mois, 24 % ont poursuivi en contrat d’alternance.

 

 

Des valeurs du travail qui provoquent le coup de foudre…

 

Arrivée depuis peu à la tête de l’organisme professionnel, Céline GUILLOT souligna que pour elle, « le GEIQ représentait un véritable coup de foudre où elle retrouvait toutes les valeurs qui lui étaient chères, à savoir celles du monde du travail… ».

Des valeurs déclinables autour de l’humain et le sens du travail.

En seconde partie d’assemblée, plusieurs intervenants purent s’exprimer sur la scène de l’amphithéâtre. Tout d’abord, Maxime PASSOT, de la société « PCE Services » qui évoqua l’aide précieuse fournie par le GEIQ régional sur le recrutement de la main d’œuvre et de la montée en compétences de ses salariés dans le cadre des travaux de mise en place de la fibre optique dans l’Yonne.

Puis, ce fut le tour d’Eric COQUET, de l’atelier « Art et Vitrail », qui développa la mise en exergue des bénéfices collaboratifs entre son entité et le groupement d’employeurs. Avant de céder la parole à une Emmanuèle BONNEAU, ayant fraîchement rendu son tablier de présidente du MEDEF Yonne, pour se consacrer exclusivement désormais à son entreprise, implantée à Saint-Florentin, « BC Entreprise ». Des témoignages qui corroboreront l’impression du départ, vue de l’extérieur, s’il n’existait pas, il faudrait nécessairement inventer ce fameux GEIQ !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Plus que quelques jours à patienter avant le premier tour de ces législatives anticipées. Le député sortant et candidat pour la troisième circonscription Julien ODOUL tenait un point presse il y a peu à Sens. Il semble plutôt serein face au Nouveau Front Populaire et à la majorité présidentielle…

 

SENS: Toujours en tête des sondages à quatre jours du premier tour des élections, le Rassemblement National et leurs alliés du LR continuent de mobiliser leurs troupes autour de leurs deux thèmes de prédilection : le pouvoir d’achat et l’immigration.

Candidat dans la troisième circonscription de l’Yonne, Julien ODOUL a déclaré que « ces idées de bon sens peuvent arriver au pouvoir s’il y a une mobilisation populaire démocratique dans les urnes ».

Le RN veut en finir avec un système obsolète, basé sur « des bidouillages » depuis quarante ans et proposer des mesures nouvelles déjà appliquées dans d’autres pays européens comme en Espagne. « On libère, on allège, on dynamise » ajoute le candidat.

Même s’il ne souhaite pas vraiment spéculer sur les résultats des élections ni se projeter dans une « politique fiction », Julien ODOUL croit en la possibilité d’une majorité absolue pour le RN et préconise un « raz-de-marée patriote » au second tour.

Mais le candidat envisage toujours cette fonction au-delà de ces enjeux nationaux avec la volonté de répondre aux problématiques locales et une proximité avec la population.

« Je serai toujours le député des lotos et des vide-greniers » affirme le président du groupe RN à la Région, qui se montre plutôt confiant pour la circonscription où il avait été élu avec 55,84 % en 2022.

Pour lui, pouvoir continuer ce qu’il a commencé il y a deux ans est primordial. C’est « construire un travail parlementaire qui soit au plus près des réalités et en même temps de pouvoir échanger, avoir les critiques… ».

 

Floriane BOIVIN

 

 


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Il a le sourire facile. Et la poignée de main franche et ferme. Ce n’est pas tous les jours d’ailleurs qu’une petite commune de l’Yonne reçoit la visite du second personnage de l’Etat en ces murs. Ceux de la mairie qui se transforment dans l’une de ses pièces en salle de conférence de presse, pour la circonstance. Sur les 577 circonscriptions de l’Hexagone – celles qui auront droit dès dimanche 30 juin à un grand coup de projecteur médiatique au terme du premier tour de scrutin! -, la première de l’Yonne, chère à Guillaume LARRIVE, le Président du Sénat Gérard LARCHER n’a pas hésité à se rendre en terre icaunaise afin d’y apporter son amitié et son soutien à la nouvelle prétendante à l’hémicycle national, Céline BAHR…

 

MEZILLES: Une touffeur à ne pas mettre un homme politique dehors ! Et pourtant, cravaté et costumé comme le veut la fonction d’homme d’Etat, le Président du Sénat se prête au jeu de l’interview avec nos amis de France 3, malgré les ardents rayons de l’astre diurne. L’ombre se fait rare sur le parvis de la mairie de la localité de Puisaye qui reçoit sa visite, mais l’ancien vétérinaire devenu deuxième personnage de l’Hexagone après le locataire de l’Elysée n’en a cure !

En l’espace de quelques minutes, face caméra, il confirme avec force et vigueur son attachement aux valeurs républicaines, aux vertus de la liberté et de la démocratie, et surtout à la modération en politique, appelant ses électeurs à rallier le projet incarné par Les Républicains (LR) – les vrais de vrais ! – et défendu localement par la jeune postulante au titre de députée de l’Yonne, une Céline BAHR qui a su fourbir ses armes en l’espace de quelques années (et quelques mandats) dont ceux de conseillère régionale, communautaire et municipale, proche du président-maire d’Auxerre, Crescent MARAULT.

L’objectif pour le haut parlementaire est naturellement de barrer la route aux extrêmes, ceux de gauche autant que ceux de droite, via leurs projets qui ne trouveront jamais grâce à ses yeux.

 

 

Le zéro pointé de Guillaume LARRIVE au député sortant…

 

Quelques minutes auparavant, aux côtés de son suppléant – le maire de Saint-Privé, Jean-François BOISARD qu’elle qualifiera de « soldat de la République » -, c’est une Céline BAHR tout en dynamisme et en verve qui aura posé les jalons de son programme, à proximité de son mentor et « passeur de relais » comme il le définira lui-même un Guillaume LARRIVE, plus virulent que jamais contre le bilan de son prédécesseur, un certain Daniel GRENON (RN) qui l’avait éliminé dès le premier tour des législatives de 2022, à la grande surprise générale. Un bilan fait de zéro pointé tant dans les propositions de lois que les rapports parlementaires, sans omettre la prise de parole en séance, selon l’ancien député gaulliste.

Mais, cette confrontation initiale se terminera sept jours plus tard de la manière la plus inédite et inattendue entre la candidate de la NUPES, la Verte Florence LOURY et le résident de Toucy, inconnu ou presque des observateurs de la chose politique.

A l’autre bout de la table, Michel CARRE, l’édile de Mézilles, savoure intérieurement l’instant. Un tel plateau politique réuni dans sa bourgade : fichtre, cela est à inscrire dans les annales en lettres d’or !

Bon, du côté de la presse, on prend les mêmes et on recommence dans ce genre d’exercice ! Entre l’Yonne Républicaine et France 3, et…France Bleu Auxerre qui se fait attendre ! Qu’importe ! Céline BAHR lance les débats à une heure précise et déroule sa présentation avant de céder la parole au premier des sénateurs, le Président du Palais du Luxembourg ! 

Un défenseur inlassable des communes et une référence tutélaire de la droite républicaine et du centre, une droite qui peine à se rassembler sous la même bannière, précisera-t-elle en guise d’introduction.

 

 

Une « téléconsultation » d’à peine deux minutes sur la dissolution…

 

Défendre les citoyens qui travaillent, retrouver l’ordre dans les comptes publics comme dans la rue et respecter davantage les territoires ruraux intègrent les priorités de la jeune candidate.

« Notre conviction est qu’il ne faut pas rajouter du chaos au chaos, explique une Céline BAHR pesant chaque mot prononcé, la France ne doit pas être abandonnée aux extrêmes. C’est un appel à la non-résignation : je le dis comme citoyenne et en qualité de jeune maman, c’est pourquoi je m’engage dans ce combat… ».

Quant à Gérard LARCHER, heureux d’être là et de s’amuser dans le même temps de participer à un exercice similaire dans le Vaucluse via la magie d’un enregistrement vidéo, il ne veut pas que la France rurale, cette France si chère à ses yeux, soit oubliée par les élites parisiennes.

« Une partie de notre pays a le sentiment de ne plus être entendu. Outre le choix de l’amitié envers Guillaume LARRIVE et Céline BAHR, être là aujourd’hui à leurs côtés, c’est aussi un choix strictement politique pour le Président du Sénat que je suis, précisera l’orateur, je ne souhaite pas que l’avenir de ces territoires soient confiés au RN. Il y a une extraordinaire crise de confiance entre les citoyens et les élites en particulier l’Elysée. Quand je vois le programme des deux blocs adverses, je suis très inquiet : pourtant il y a une autre voie qui s’inscrit dans les valeurs de la droite et du centre et elle doit être présente le 30 juin et le 07 juillet… ».

 

 

Ne voulant pas baisser les bras, Gérard LARCHER estime que la candidate de la première circonscription possède toutes ses chances pour rassembler et l’emporter. Puis, il reviendra sur l’étrange épisode de la dissolution du Palais Bourbon dont beaucoup, y compris dans le propre camp présidentiel n’ont su entraver que couic sur les explications !

« Oui, il y a eu une consultation du chef de l’Etat, plaisante Gérard LARCHER, sur sa prise de décision. Celle-ci a duré au bas mot une minute et trente secondes ! J’appelle cela de la téléconsultation, pour faire référence à la télémédecine ! C’est à peine si on a eu le temps de prendre la tension de la France !».

Une tension qui depuis vire au cauchemar obsessionnel et frise l’apoplexie chez les investisseurs et entrepreneurs, sans omettre les observateurs internationaux, toujours secoués par de tels soubresauts sismiques irréversibles, dans un contexte international déjà délétère.

Pour Gérard LARCHER comme pour Guillaume LARRIVE, c’est clair : le coup de « BAHR » vers la droite et le centre droit est plus que jamais nécessaire dès le 30 juin prochain pour retrouver le lustre de la France…

 

Thierry BRET

 

 


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Affable, il est égal à lui-même, le « Traiteur intraitable » ! Accessible, humaniste, souriant, détendu, dispo. Pourtant, à 77 ans, il est à la tête d’une entreprise familiale qui n’a rien perdu de sa superbe, dans le domaine des plats préparés dont certains, tel le fameux taboulé, sont passés à la postérité médiatique et…publicitaire ! Grâce à ce génial « gimmick » où le Bourguignon natif de la Bresse a su redonner ses lettres de noblesse à la corporation des traiteurs. Normal alors que le CFA La Brosse prônant les valeurs et les vertus du travail bien fait, le choisisse comme parrain des nouvelles salles de cours inaugurées au sein de l’établissement…

 

VENOY : L’an dernier, à pareille époque, l’Isérois d’adoption avait effectué le déplacement depuis Saint-Quentin-Fallavier et ses trois mille mètres carrés d’unités de production jusque dans l’Yonne à l’invitation de la CPME (Confédération des Petites et Moyennes Entreprises) lors de la conférence d’honneur accueillie pour les Trophées « Prestige & Patrimoine », concept évènementiel entre golf et économie, concocté par le spécialiste de la gestion patrimoniale, Gilles GENEST.

Cette fois-ci, Pierre MARTINET était de nouveau dans l’Yonne, du côté du CFA La Brosse, en qualité d’invité d’honneur, d’une cérémonie qui ne pouvait que lui faire chaud au cœur – il est de formation agricole d’origine -, l’inauguration de nouvelles salles de classe, au sein de l’établissement agricole. Un invité accueilli comme une rock star, toujours à la pointe du succès ! Logique, le personnage est devenu une figure de l’entrepreneuriat familial dans l’Hexagone depuis le succès rencontré par les produits commercialisés à son estampille. Ces jours-ci, les chaînes audiovisuelles hexagonales inondent de spots publicitaires bien ficelés les éléments marketing de la société, en rappelant à qui veut l’entendre le fameux slogan du « traiteur intraitable », le coup de génie de quelques publicistes heureux !

 

 

 

L’envie, le dénominateur du succès cher à Pierre MARTINET

 

Arborant un ensemble rouge des plus vivifiants à l’œil, Hélène DECULTOT-TREMBLAY, toute en élégance et hôte de ces lieux en sa qualité de directrice du CFA La Brosse, ne put s’empêcher d’accueillir son illustre invité comme il se devait, le plaçant immédiatement sur le piédestal de la réussite professionnelle.   

« Qu’importe d’où l’on vient, le dénominateur commun du succès, c’est l’envie. Cette phrase que l’on trouve dans votre livre, Pierre MARTINET, je souhaite qu’elle nous inspire toutes et tous au quotidien, en particulier nos apprentis. Elle nous inspirera avec certitude puisqu’elle se trouve affichée à l’intérieur de ce nouveau bâtiment. Que ce soit l’envie d’apprendre, l’envie de transmettre ou l’envie de développer chaque jour de nouveaux projets… ».

Une entrée en matière idéale pour la jeune femme avant de laisser la parole à l’homme d’affaires qui vient de décider de céder son entreprise, fin mai, au groupe « LDC », l’un des leaders européens sur le marché de la volaille et du traiteur. Une cession devant être effective d’ici la fin de l’année pour les 700 collaborateurs de l’entreprise iséroise.

 

La jeunesse, la priorité de la transmission du « traiteur intraitable »

 

Le fils d’agriculteur de Beaurepaire-en-Bresse qui a débuté sa carrière en 1968 est aujourd’hui à la tête d’une entreprise aux 230 millions d’euros de chiffre d’affaires. « J’ai su prendre le train en marche de la grande distribution et j’ai surtout osé, glissera savoureusement en guise de préambule, et devant une assistance tout ouïe, le « traiteur intraitable », sur la qualité des produits.  

Soumis au jeu de l’interview par quatre apprentis, devant poser des questions en direct, Pierre MARTINET retraça ses origines, se référant à sa vie dans l’exploitation familiale. Il expliqua ensuite ses rapports privilégiés avec les acteurs des milieux agricoles.

« Que retenez-vous de votre parcours en tant qu’apprenti ? ». Une jeune fille posa une seconde interrogation au professionnel de l’agro-alimentaire.

« L’apprentissage, c’était très dur, expliqua Pierre MARTINET, narrant ses péripéties de jeune charcutier – un métier qui n’a plus rien à voir avec ce qui se pratique de nos jours -, je commençais à 6 heures du matin et je finissais vers 21 heures. Ce n’était pas raisonnable mais c’était une autre époque… ».

Sur les 700 salariés, plus de 40 apprentis vivent leur alternance au sein du groupe MARTINET. « C’est la volonté de donner leur place aux jeunes, 90 % sont embauchés à l’issue de cet apprentissage… Nous recrutons toujours des jeunes, en permanence… ».

Accordant sa confiance aux jeunes générations, l’ancien dirigeant du club de rugby de Bourgoin-Jallieu possède une belle image de la jeunesse, même « s’il y en a une minorité qui font c… ! ».

 

 

Le taboulé chez MARTINET ? 35 000 tonnes de produits annuels !

 

Quant à la recette du succès, elle est simple selon le célèbre traiteur. Il faut bosser, bosser, bosser et avoir la « gnaque », tout le temps ! « Mais, il faut avoir un petit peu la tête bien faite, aussi ! ».

La question suivante fut un tantinet plus philosophique. « Quel message voulez-vous transmettre aux générations du futur ? ».

« Il faut être créatif, tout le temps, rétorqua l’homme d’affaires, j’ai commencé à faire les marchés en vendant des poulets, et puis j’ai trouvé un tripier qui confectionnait des museaux. J’ai ajouté des légumes au museau et j’ai élaboré des recettes de traiteur. Il faut également être polyglotte avec l’anglais et l’espagnol, c’est le plus important aujourd’hui… ».

Ne parlant pas la langue de Shakespeare, Pierre MARTINET a pu néanmoins écouler ses produits aux Etats-Unis, au Brésil ou dans d’autres pays européens. Avec une certaine réussite.

Il raconta ensuite l’élaboration des recettes de ses fameux taboulés, ajoutant des raisins secs et en lui donnant une connotation orientale dans les années 90. Un marché qui pèse aujourd’hui 70 000 tonnes dont 35 000 échoient au seul groupe MARTINET ! C’est dire !

Du petit lait pour Hélène DECULTOT-TREMBLAY et Marc LABARDE, fidèle d’entre les fidèles de l’apprentissage en sa qualité de responsable du concours du Meilleur Apprenti de France dans l’Yonne !

Recevant quelques présents gentiment offerts par les apprentis agricoles, l’entrepreneur fut ensuite invité à couper le ruban de ces quatre nouvelles salles de classe, offrant ainsi ergonomie et optimisation de l’espace pour ces têtes bien pleines qui rêvent peut-être en secret de devenir elles aussi des « traiteurs intraitables » ! Qui sait !

 

Thierry BRET

 

 


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