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Reflétant la brillance de l’astre diurne au zénith de cette belle journée de « Family Week » (une excellente initiative ludique et pédagogique concoctée par l’agence Yonne Tourisme), la médaille orne le sweat bleu azur d’un représentant associatif comblé par les évènements. Non seulement, la manifestation accueillie dans son antre (La Grange de Beauvais) est couronnée de succès. Mais, en outre, il a reçu une honorable distinction pour l’ensemble de son œuvre, au service des autres via le bénévolat…

 

VENOUSE : Le bronze, en guise de récompense. Un remarquable accessit honorifique dont la remise à son bénéficiaire aura clos la cérémonie inaugurale de la deuxième édition (réussie) de cette « Family Week », porteuse des valeurs du tourisme familial à partager sur notre territoire. Son récipiendaire se nomme Patrick HENRY. Un visage bien connu dans le sérail associatif et patrimonial de l’Yonne. Un personnage qui est hors du commun. Pugnace et volontaire, aussi, puisque cela fait 26 ans que ce dernier contribue à redonner ses lettres de noblesse à cette ferme cistercienne fondée au XIIIème siècle, à quelques encablures de l’abbaye de Pontigny. Un projet aussi fou et intemporel que le château de GUEDELON. Un concept mélangeant la nature, le patrimoine, la pédagogie, les expériences, l’humain…

Modeste, Patrick HENRY. Un brin timide aux entournures lorsqu’il doit prendre la parole afin d’expliciter la genèse de cette incomparable aventure débutée il y a plus de deux décennies.

« Je suis le porte-parole de ce concept, précise-t-il, mais sans la cinquantaine de bénévoles qui s’active régulièrement, il ne se passerait rien même si la dynamique existe ! ».

 

 

Ici : c’est une deuxième famille…

 

Allons, bon, notre porte-étendard de ce site à découvrir sans modération fait montre d’une extrême humilité ! Saluant l’acharnement, la motivation, l’assiduité de toutes celles et de ceux qui l’ont accompagné dans ce projet au long cours un peu décérébré (sur le papier uniquement à ses débuts car personne n’y croyait !) mais si riche et intense en rencontres diverses et variées depuis.

Que de chemin parcouru depuis le lancement de ce vaste chantier de saine réhabilitation patrimoniale. Il s’installe dans le concret au détour d’un bâti réaménagé. D’un jardin qui, une fois sa cure de jouvence effectuée, retrouve sa fonction initiale : produire des légumes.   

Derrière le factuel, de ce que l’on peut admirer et apprécier de cet espace décidément bien différent des autres, se sont développés l’amitié entre tous ces bénévoles et la cohésion sociale. Un modèle sociétal vertueux, en somme.

D’ailleurs, le mot sera lâché par son auguste représentant en personne : la famille. « Ici, renchérit Patrick HENRY, c’est une seconde famille. Un cocon que chacun aime à retrouver dès qu’il le peut… ».  

Alors, c’est sûr : il était impérieux pour ses instigateurs de pouvoir accueillir pour sa deuxième édition, cette « Family Week » de très bon augure, proposée par les ingénieuses figures de l’agence Yonne Tourisme.  

Une richesse intellectuelle qui donne du fil à retordre à l’agenda complexe de ce retraité bon teint qui vit cette expérience unique « à la manière d’un emploi à plein temps » !

 

 

 

Un aréopage de personnalités pour assister à cette cérémonie…

 

Pour ce parcours de bénévole émérite, l’attribution de la médaille de bronze à l’estampille de la Jeunesse, des Sports et de l’Engagement Associatif semblait être une évidence. Tant le patronyme de Patrick HENRY reste indissociable à ce valeureux concept.

Gérant de la SCI dix ans durant entre 1996 et 2016, le lauréat du jour aura successivement occupé les fonctions de trésorier de l’association éponyme, celles de vice-président et de président à partir de 2013. Une structure dont le seul credo est d’assurer la sauvegarde, la restauration et l’animation du site avec la mise en place d’une stratégie de développement orienté autour du tourisme, de la vigne, des jardins et du numérique.

Tuteur du Service Civique (à ses moments perdus mais ils sont rares !), Patrick HENRY est également responsable du Rucher, apparue en 2016.  

Il incombait lors de cette cérémonie ensoleillée au président du Comité départemental de l’Yonne des médaillés de la Jeunesse, des Sports et de l’Engagement Associatif (FFMJSEA) Joël BARLIER de rendre solennel cet instant. Un moment empli d’émotions, suivi par les parlementaires, Marie EVRARD, sénatrice et André VILLIERS, député, ainsi que les représentants du Conseil départemental dont Patrick GENDRAUD, son président, Isabelle FROMENT-MEURICE, vice-présidente en charge de la Culture et du Tourisme ou encore Gérard ANDRE. On notera aussi la présence de Nicolas SORET en sa qualité de troisième vice-président de la Région, chargé de l’Economie, la Formation et l’Emploi.

 

 

Après le bronze, place à l’argent ou à l’or ?

 

En l’absence excusée de Valérie GABARD, cheffe du service départemental à la Jeunesse, à l’Engagement et aux Sports à Auxerre mais en présence de Maurice LAGIERE, membre du conseil d’administration, Joël BARLIER rappela les missions de cet organe déconcentré de la fédération nationale, qui est le seul représentant légal de la distinction ministérielle de la Jeunesse, des Sports et de l’Engagement Associatif.

L’encouragement au bénévolat fait figure de prérogative de la part de cet organisme dont la mission principale est d’honorer et d’offrir chaque année les médailles de la JSEA aux récipiendaires des deux promotions annuelles, celle du 01er janvier et celle du 14 juillet.

Une médaille de bronze que Patrick HENRY aurait dû recevoir en fin d’année 2020 dans les salons de la préfecture. Mais, c’était sans compter les affres de la crise sanitaire qui en auront perturbé le bon déroulement. Il aura suffi d’un peu de patience pour que le mentor de « La Grange de Beauvais » soit enfin distingué !

Et après le bronze, qui sait si cette figure emblématique de la préservation du patrimoine dans l’Yonne n’obtienne pas un jour l’argent ou l’or, distinction suprême ?!

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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C'est terriblement  attristant. Mais comment comprendre désormais la sélection annuelle du guide Michelin ? Avant de revenir dans l'Yonne, demeurons quelques instants sur l'ensemble de l'Hexagone. C'est un secret de Polichinelle, mais les temps sont durs aussi chez Michelin. Et, contrairement à la légende toujours volontairement entretenue, leurs équipes d'inspectrices et d'inspecteurs visitent fort peu la plupart du territoire dorénavant...

COGNAC : Pour l’édition 2022, les inspecteurs sont allés essentiellement en Bretagne (un tiers des promotions « bibs gourmands » et six nouvelles tables étoilées) mais aussi en Occitanie (quatre promotions « bibs » et trois nouvelles étoiles). Ces deux régions récoltent donc la moitié des promotions « bibs gourmand » et 20 % des étoiles de toute la France. Quant à Paris, cela représente un tiers environ des promotions d'étoiles dont une scandaleuse distinction trois étoiles après trois mois d'ouverture seulement de l’établissement ! Même plus le temps d’effectuer les quatre saisons culinaires, c'est aussi triste qu'irrespectueux. Et où sont désormais les promotions de petites tables indépendantes et familiales ? En matière de double étoile cette année, les palaces raflent la mise. Antan dans le Michelin, on trouvait aussi de bonnes petites adresses campagnardes, à l'époque lointaine où leurs équipes faisaient leur boulot. Oui mais ça, c'était avant !

 

Le rôle des attachés de presse prime sur le savoir-faire culinaire…

 

En 2021, l'Yonne a perdu douze référencements (Le Clos des Jacobins à Sens, Le Rive Gauche à Joigny...) sans que l'on sache, ni comprenne bien pourquoi. Récemment, en m'attablant au grand hôtel Bain (de père en fils depuis 1737), sis à Comps-sur-Artuby (Var) où nous déjeunons fort bien, je fus surpris en sortant, d'apercevoir l'autocollant Michelin 2018 tout à fait justifié. Depuis lors, le patron dépité m'expliqua leur avoir écrit par deux fois pour comprendre cette anormale suppression. Sans réponse aucune, comme de bien entendu.

Ces petites tables qui bénéficiaient autrefois d'un logo spécifique : établissement proposant un menu simple à moins de ...euros, n'intéressent plus le Michelin. Pour lequel, on a hélas désormais l'impression que ne comptent que le « bling-bling », l'immédiateté, les réseaux dits sociaux ainsi que le faire-savoir des attaché(e)s de presse,  primant désormais sur l'élémentaire savoir-faire culinaire.

Et si jadis, en feuilletant le Michelin, on pouvait y trouver des hôtels à tous les prix (voilà vingt ans, ils inventèrent le « Bib-hôtel : bonnes nuits à petits prix ») tout cela est révolu en 2022.

Les hôtels sont sur le net, et les restos demeurent encore dans une des dernières versions papier, vraisemblablement en sursis. Va pour le net et tapons dans la catégorie hôtels, la ville d'Auxerre. On me propose alors Le Château de la Resle à 225 euros la nuit, ou La Borde à Leugny pour 450 euros, le Panoramic à Sancerre pour 106 euros, le château  du Vault-de-Lugny pour 300 euros ou encore le relais Bernard Loiseau à Saulieu pour 408 euros ! Sans commentaire, mais attristant. Tant pis pour les familles, les touristes, les randonneurs, les motards et autres.... qui n'intéressent plus le Michelin.

 

 

Des absences très curieuses dans le palmarès…


Notre région, la Bourgogne Franche-Comté est, une fois de plus, desservie, par ce millésime, oublieux de nos territoires. Comme en 2021, les seules promotions se font à Dijon (un étoilé et un bib) ainsi qu'une étoile à Beaune : un bib sur 33, deux étoiles sur 50. Cherchez l'erreur !

Quant à la partie franc-comtoise, elle est scandaleusement délaissée depuis des années : rien. Les équipes Michelin ne passent plus chez nous, et comme me le confia navré, voilà deux ans, le sympathique journaliste Vincent FERNIOT : « le Michelin n'aime plus la Bourgogne Franche-Comté » !

Comment comprendre l'absence de promotion double étoile à l'écrin de Yoann CHAPUIS à Tournus (Saône-et-Loire) ? Un récent déjeuner merveilleux, en janvier dernier dans ce bel antre, me rendit méritée cette distinction. Las...

Peut-être est-ce lié à l'expression excessive de l'ego culinaire régional, de certaines divas des fourneaux qui leur cassaient les pieds,  ou que sais-je encore ?

 

 

Un bilan famélique pour le seul département de l’Yonne…


Dans l'Yonne désormais, ne subsistent plus que trois tables étoilées (nécessitant un entretien régulier de leur brillance culinaire) et deux « bibs gourmands ». Il y a deux décennies, le département comptait huit tables étoilées et cinq « bibs gourmands ».  En 2022, il demeure aussi d'autres références culinaires, solides elles aussi (L’Escale 87 à Villeblevin,  Les Cordois autrement à Avallon...). Mais l'on ne peut s'empêcher de penser que si le Michelin passait dans notre département, en y faisant son job de dénicheur tout simplement - ce qui hélas n'est plus le cas depuis pas mal d'années...- d'autres tables y seraient fort légitimement valorisées...Un « bib gourmand » serait ainsi mérité au Rive Gauche jovinien ou au Martin Bel Air de Saint-Martin-du-Tertre.

Comme tant d'autres départements (les Ardennes, la Haute-Saône, la Haute-Marne, la Nièvre, la Creuse...), l'Yonne fait partie des territoires oubliés par le Michelin, qui préfère aller à Courchevel ou sur la Côte d'Azur. Voire en Bretagne cette année !
Cette belle institution culinaire, respectée par la profession, gagnerait urgemment à retrouver ses fondamentaux,  tout en s'adaptant au XXIe siècle. Ce qui est loin d'être incompatible, Michelin, c'est un « p'tit bout de la France » - même en 2021, si, si ! Avec ses routes, ses territoires et sa cuisine réputée, aussi....

Amis pneumatiques : retrouvez-en le goût pour l'édition 2023 ! Et puisque nous sommes en Bourgogne, nunc est bibendum ! Bon appétit et large soif !



Gauthier PAJONA

 


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La pression imputable à la COVID-19 s’amenuise au-dessus de nos têtes, c’est une évidence. C’est ce qu’ont pu observer les membres icaunais du réseau Entreprendre Bourgogne lors de leurs retrouvailles conviviales, concoctées au sein de l’un des complexes économiques les plus novateurs de la région, ULTERIA. Accueillis par Alexis NOLLET, maître de cérémonie et responsable du site, les entrepreneurs ont pu renouer avec le plaisir d’échanger ensemble…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : De larges sourires s’affichaient sur les visages radieux de celles et ceux des participants trop heureux de se retrouver en pareille circonstance. Une soirée conviviale entre professionnels, réunis au cœur d’un complexe économique qui ne cesse de faire parler de lui : ULTERIA. Voilà ce qui attendait les membres de la délégation icaunaise d’Entreprendre Bourgogne, réseau dont les ramifications régionales ne sont plus à présenter. Un réseau qui accompagne, soutient et porte les projets de ces entrepreneurs jamais en manque d’inspiration créatrice.

Preuve que l’évènement revêtait une certaine forme de solennité malgré les apparences trompeuses d’un buffet agrémenté d’excellents fromages de chèvre de Claire GENET, la présence du directeur régional, Arnaud GRAVEL. Ce dernier n’avait pas hésité à avaler les kilomètres via l’autoroute depuis la capitale de Bourgogne pour prendre part à cette visite découverte d’un site qui mérite amplement le détour. Positionné judicieusement entre plusieurs arpents de vignoble, lui conférant un aspect champêtre du meilleur effet.

 

 

Que retenir de ces retrouvailles, les premières en fait à occuper une place parmi l’agenda après cette longue mise entre parenthèses imputable à la crise sanitaire ?

D’une part, que le réseau Entreprendre Bourgogne se porte comme un charme, au meilleur de sa forme fonctionnelle. On le doit à Sophie BERNARD, animatrice hors pair de ce réseau sur notre département qui travaille en parfaite complicité intellectuelle avec plusieurs de ses ambassadeurs tels que les deux Alain, BOUNON  et PETIT. Que d’autre part, le plaisir de se revoir entre ses adhérents fait toujours plaisir à voir. Qu’enfin, le groupe Yonne, fort de sa quarantaine de membres, ne cesse de grossir, incorporant à chaque nouvelle session de travail des additifs supplémentaires. L’amorce d’une belle saison à venir, en somme…

 

Thierry BRET

 

 

 


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S’il est bien une adresse, dont on a entendu parler plutôt favorablement depuis moult années, c'est bien celle-ci ! Ah, le réveillon de la Saint-Sylvestre des années 70/80, le repas des noces d'or des grands-parents ou celui  de la communion de la cousine ! Que de souvenirs  gourmands en ces murs : nous voici revenus à l’hôtel restaurant du Cheval Blanc !

 

CHARNY-OREE-DE-PUISAYE : Dans les années 60, il fut même brièvement mentionné au Michelin. A une époque où le guide prenait encore un malin plaisir à traîner dans nos campagnes. Il y est fait mention d'une altitude de 139 mètres pour CHARNY, dont la population a peu varié depuis lors, autour de 1 400 habitants. Il fait bon flâner dans cette petite bourgade encore commerçante. Même si l'excellent charcutier-rôtisseur est hélas fermé depuis des lustres. En outre, le village est animé chaque dimanche par un très joli marché.

Rendons grâce tout d'abord, à ces établissements qui proposent chaque jour, un menu ouvrier de vraie cuisine à 14 euros. Par exemple, ce jour-là, un menu qui comprend du clafoutis tomate cerise et emmenthal, puis une crépinette de volaille sauce champignons et riz basmati, avant de se terminer enfin par un fromage blanc agrémenté de confitures maison. Nombre de travailleurs profitent de cette jolie salle rustique, aux imposantes poutres et à l'insert de cheminée y développant une douce chaleur.

 

 

Mais où est donc passée la petite mise en bouche de jadis ?

 

Pauline est notre souriante serveuse ce midi-là. Tandis qu'elle nous propose de choisir le vin, elle nous confie tout de go préférer le nectar rosé ! Celui qui fait immanquablement penser à l'été.

Nous choisissons alors le menu de l'Ouanne, proche cours d'eau, à 36 euros, attirés par quelques-unes de ces dénominations. On ne peut que regretter, qu'à ce tarif-là, ne nous soit pas servie une petite mise en bouche : une gougère,  un toast de foie gras ou une louche de crème de potimarron. Que sais-je encore ! Au prix du menu, tel qu’il est proposé, cela nous semble anormal...

Les coquilles Saint-Jacques sont ici aux poireaux confits et beurre blanc à la vanille. La cuisson est parfaite. La sauce est bonne. Quant au  mariage des fruits de mer avec les poireaux, il est bien souvent réussi. La cassolette d'escargots de mon binôme de tablée est fort appréciée, notamment sa goûteuse crème à l’ail.

 

 

Le menu ouvrier : le régal des salariés des travaux publics !

 

Ensuite adorant le canard, je choisis une cuisse confite à l'irancy. Elle est accompagnée de son pressé de pommes de terre au lard fumé. Si la volaille fondante et la sauce sont bonnes, la pressée de pommes de terre est, quant à elle, beaucoup trop cuite. Sa couleur noire en atteste et la rend de fait, difficile à couper. C'est dommage ! Car, une fois la croûte ôtée, le mets est bon. Quant au filet de veau du convive, il est servi rosé comme demandé.

Puis, il y a un délicieux fromage blanc aux herbes pour continuer ! Les tables environnantes choisissent majoritairement le menu ouvrier et se régalent. On reconnaît les gars de chantier à leur veste fourrée, de couleur jaune réfléchissante ! Dos à la cheminée, une petite mamie sirote sa bière paisiblement.

 

 

S’il vous plaît, le parfait glacé à servir avec sa larme de « calva » !

 

En dessert, le parfait glacé au calvados l'est un peu trop, glacé ! Cela le rend difficile à couper. C'est bon. Même s’il nous sembla, qu'une petite goutte de « Calva » sur ce dessert ne lui eût pas fait de mal, le musclant quelque peu, sans grever le budget de l'établissement, comme de bien entendu !

Merci à ce type d'établissement de faire vivre nos bourgs et villages, pour le plus grand plaisir d'une clientèle, souvent très fidèle.  A la semaine prochaine, ailleurs encore attablés !

 

 

 

En savoir plus

Les + : impeccables toilettes avec table à langer (bonne idée !). Très jolie salle.

Les - : il nous sembla que le menu à 36 euros (une coquette somme) ne remplit pas toutes ses promesses ce jour-là. Un jour sans peut-être, cela arrive. Et de grâce, remettez-nous des salières poivrières,  plutôt que ces sachets, dignes du bar en voiture 4 du TGV !

Contact :

Hôtel-restaurant Le Cheval Blanc

04, Rue des ponts

89120 Charny-Orée-de-Puisaye

Tel : 03. 86. 63. 60. 66.

Site : www.chevalblanc-charny.com 

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Et si le coup d’essai qu’il entreprend en accointance avec le retour du printemps se muait en un véritable coup de maître in fine ?! Pour cela, il lui suffit de rallier les déçus des formations politiques traditionnelles, dont certaines y laisseront des plumes au lendemain des présidentielles et de convaincre les férus indécrottables de l’abstentionnisme au sein de ce parti du progrès social et de l’humanisme pur jus. Pas si bête, en somme !

 

AUXERRE: La démarche pourrait reposer sur une simple nostalgie de façade mais ce n’est pas cela qui anime aujourd’hui le quotidien de l’un de ces personnages majeurs de la vie politique auxerroise. Une figure charismatique qui ne se range pas dans la catégorie des « perdreaux » de l’année. Pour autant, ce n’est pas parce que le compteur du temps a déjà égrené 68 coups à l’horloge qu’il serait impensable de ne pas se projeter encore en avant, vers de nouveaux projets et de réelles perspectives. Qu’elles soient associatives ou politiques. Voire les deux, si on les additionne. Car tel devrait être le cas d’ici quelques semaines.

Jacques HOJLO, puisque c’est de lui dont il s’agit, refait surface. Pas comme un serpent de mer faisant le yoyo selon les courants ou un intriguant perfide qui reviendrait pour brouiller les cartes dans le jeu très complexe du microcosme politique local actuel en quête de quelque chose.

D’ailleurs, ce qui frappe quand on discute tranquille avec cet humaniste au grand cœur, c’est son humilité profonde. Une sagesse mâtinée avec l’âge de ses artères mais attention qui reste toujours dans le vent et au contact des réalités. Ce n’est pas parce que l’on est sexagénaire, que l’on possède un solide passé d’élu derrière soi que l’on est tout juste bon à incarner un cacique de la vie publique à jeter comme un Kleenex usagé !

 

Des bisbilles entre radicaux de gauche et valoisiens un tantinet à droite…

 

Certes, ce serviteur des autres se revendique de la plus vieille formation politique de France, apparue en 1901 ! Cela ne s’invente pas. Le Parti Radical. Et d’évoquer à la façon d’un inventaire à la Prévert (tiens, un autre Jacques là-aussi !) les patronymes célèbres de ses pairs qui ont su porter hautes les couleurs de cette structure en France dans une période que les moins de vingt ans (mais aussi beaucoup d’autres !) n’ont pu connaître.

Georges CLEMENCEAU, Jean MOULIN, Jean ZAY, pour les fondamentaux mais aussi Pierre MENDES-France ou encore Robert FABRE, clé de voûte de l’Union de la Gauche en 1972 lors du Congrès d’Epinay qui allait placer sur orbite un François MITTERRAND goguenard vers la victoire présidentielle moins de dix ans plus tard.

Bon, c’est sûr : tout n’est pas rose non plus dans le milieu du radicalisme à la française. Des disputes se succèdent en divorces au fil des ans entre ceux qui prônent leur appartenance à la mouvance de gauche et sociale, et leur corollaire, les Valoisiens, nettement plus libéraux et un tantinet à droite toute !

 

 

D’ailleurs, en 2017, une tentative de rapprochement entre ces deux tendances a viré au flop, entraînant un nouveau déchirement parmi les lointains héritiers du « Tigre ». Georges CLEMENCEAU pour les incultes !

L’une des personnalités marquantes de ces grandes années qui titille encore l’esprit de Jacques HOJLO se nomme Jean-Baptiste BIENVENU-MARTIN. Eh oui, on connaît son nom en l’identifiant avec un établissement scolaire du secondaire qui a connu des déboires fonctionnels qui lui furent fatals. On imagine que de là-haut ce personnage, nommé trois fois ministre du Culte, du Travail et de la Justice en qualité de Garde des Sceaux a dû se tourner maintes et maintes fois dans sa tombe en apprenant la nouvelle de la fermeture du collège auxerrois qui portait son nom !

Alléluia ! Le patronyme de ce représentant de l’Etat va reverdir localement. Pas plus tard qu’au cours de ces prochaines semaines en désignant l’appellation du futur cercle collectif (peut-être sous la forme juridique d’une association) que Jacques HOJLO, rempart immuable de la laïcité et du progrès social va faire naître dans le département.

 

Un cercle Bienvenu-Martin pour faire phosphorer les idées…

 

Objectif de ce cabinet de réflexion à maturité constante : l’organisation de rencontres et de réunions participatives se rapportant aux préoccupations régaliennes de la société, à savoir le travail, la justice, le progrès social. Trois sujets centraux qui sont le fondement du parti radical en plein renouveau.

Dans le concret, l’ancien élu socialiste de l’équipe de Guy FEREZ (devenu durant ses mandats ardent défenseur de la cause radicale de gauche) s’appuiera sur un autre visage de l’époque « rose » qu’a connue la ville d’Auxerre : l’ancienne élue Elodie ROY.

Tout ceci se fera sous l’égide des grands préceptes de la majorité présidentielle, Jacques HOJLO est l’un des membres du comité de soutien du président de la République Emmanuel MACRON.

Avec cet outil associatif, le cercle Bienvenu-Martin, le chef de file du Parti Radical de l’Yonne souhaite attirer à lui des personnes éloignées de la politique, des réfractaires aux partis actuels qui risquent de se disloquer après la présidentielle, des représentants de la société civile mais aussi des abstentionnistes, dont les rangs ne cessent de grossir en France.

Vice-président national du réseau « Habitat et Francophonie » dont il a aussi géré le mandat de président par le passé, Jacques HOJLO demeure un maillon fort au sein de la Fédération des Offices Publics de l’Habitat. Il fut pour mémoire président de l’Office Auxerrois de l’Habitat.

Le second souffle donné au Parti Radical en France induit nécessairement une action directe lors des prochaines législatives de juin. Jacques HOJLO qui ne brigue rien à titre personnel entend en revanche positionner sur les bons rails celles et ceux de ces bonnes volontés qui pourraient jouer un rôle crucial de catalyseur dans le sérail.

« Nous n’avons aucun complexe, précise-t-il, le passé flamboyant plaide en notre faveur, et nous pouvons être très utile à notre pays, au demeurant à notre territoire départemental… ».

Le Parti radical effectue donc son come-back. Oyez, oyez braves gens : il faudra désormais compter sur lui pour impulser de nouvelles espérances et des lignes novatrices à celles et à ceux qui croient toujours en l’humanisme et au progrès sociétal ! Ainsi soit-il !

 

Thierry BRET

 


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