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L’équation était assez simple à résoudre. Le président de la Commission départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT) Xavier COURTOIS n’ayant pu renouveler son mandat électoral lors des échéances cantonales en juin dernier, la place se libérait de facto pour y accueillir un nouveau prétendant. En l’occurrence, c’est l’élu régional Gilles DEMERSSEMAN qui a repris le flambeau de cet organe. Une succession logique, en somme : il en était jusque-là l'un des éléments prépondérants au sein du Conseil d'administration.

 

AUXERRE : Il est toujours hyper actif, le conseiller régional socialiste de Bourgogne Franche-Comté ! Gilles DEMERSSEMAN promène sa silhouette et son sens de la relation publique entre Dijon et Auxerre, de Toucy au moindre coin reculé de la campagne de Puisaye.

Enthousiaste et investi. On dirait que le temps n’a pas d’emprise sur lui, même s’il évoque à demi-mots une hypothétique retraite d’ordre professionnelle plutôt que citoyenne d’ici peu. On peine à le croire tant le garçon aime avoir des responsabilités. Ne serait-ce que pour faire bouger les lignes stratégiques d’organes institutionnels tels que la Région ou La Poste où il vient d’hériter de la fonction de président de la CDPPT, la Commission départementale de Présence Postale Territoriale.   

 

Une charge qui s’appuie sur de nombreuses années d’expérience…

 

Un appareil institutionnel qu’il connaît comme le fond de sa poche. Logique, il en était l'une des éléments prépondérants sous le mandat de son prédécesseur, l’ancien conseiller départemental Xavier COURTOIS, qui n’a pu retrouver son fauteuil en juin dernier.

Privilégier la concertation entre les élus et La Poste fait partie des axes prioritaires de cet outil qui a pour vocation de maintenir et de développer des liens. La présence postale est indispensable dans le cadre de la défense des services publics au cœur de la ruralité.

Reprendre le flambeau et succéder à Xavier COURTOIS s’apparentaient donc à une évidence légitime pour Gilles DEMERSSEMAN.

« Je n’avais pas trop le choix, plaisante-t-il, après les élections municipales, départementales et régionales, qui ont provoqué bon nombre de surprises dans le sérail ; au sein de cet organisme, j’étais l’un des rares à posséder ce regard fait d’expériences sur le fonctionnement de la CDPPT sur plusieurs exercices dans le temps ! ».

 

 

Un travail mutualisé avec tous les élus du territoire…

 

Membre de ladite structure depuis 2016, qui d’autres, hormis Gilles DEMERSSEMAN pouvait incarner cette salvatrice continuité au sein de cet organe vital pour le développement du relationnel pratico-pratique nécessaire avec les élus de proximité au moment même où le délégué départemental de La Poste quittait ses fonctions ? Marielle SOMMET faisant valoir ses droits à une retraite amplement méritée a laissé depuis sa place à Christine MORANGE, qui prend ses marques sur le département petit à petit.

Autre argument plaidant en la faveur de l’élu socialiste de la Région, sa volonté de travailler de façon mutualisée avec l’ensemble des élus de notre territoire. Qu’ils soient nommés dans un environnement urbain ou provenant d’horizons champêtres. Sans omettre le peu d’importance fait à la couleur politique ! 

« Ce qui compte en définitive lorsque l’on travaille avec des élus, précise Gilles DEMERSSEMAN, c’est le sens de l’intérêt commun au développement du territoire. Défendre le maintien du service public nous concerne tous. C’est mon sentiment le plus profond : nous devons travailler ensemble et sans parti pris pour le bien-être de nos territoires ».

 

 

Renforcer la présence postale dans les zones rurales : une certitude…

 

Sans ambages sur son rôle dont il esquisse les contours, le président évoque le devenir de la CDPPT. Elle veille à ce que le nombre de points contacts de La Poste ne baisse pas. Il en va de cette notion de service public à offrir à tous, et de l’accomplissement de ses missions régaliennes.

« La nature peut être aménagée, ajoute-t-il, on peut analyser les besoins réels des utilisateurs selon la configuration géographique, on peut y adopter l’ajout de nouvelles prestations et services, mais une chose est sûre : on ne doit pas supprimer cette présence postale de nos territoires. On va même aller encore plus loin dès cette année, comme l’a rappelé Philippe WAHL, le président de La Poste en novembre lors de la réunion des présidents de CDPPT : on devrait voir grossir le nombre de ces points contact dans les prochains mois… ».

A ce jour, le chiffre n’a pas encore été officialisé par les instances suprêmes de l’entreprise. Mais, l’initiative s’avère rassurante pour celles et ceux qui émettaient encore des doutes de voir s’éloigner cette présence postale, indispensable à la pérennité d’un territoire. La CDPPT et son président veillent au grain.

 

Thierry BRET

 


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Tournée dans le pays de la Salers, au cœur du Cantal, cette comédie de Christopher THOMPSON s’affiche sur les écrans des cinémas de l’Yonne depuis plusieurs jours. Un hommage à un corporatisme qui pratique l’élevage de qualité dans le respect des paysages et des saisons…

 

BILLET : Fort bien interprété, ce long-métrage aurait pu être tourné dans nos campagnes. Actuellement à l’affiche, « Tendre et Saignant » est une comédie de fort bon goût, une belle ode bouchère ainsi qu’un hommage qualitatif pour toute la filière artisanale.

Cette charmante comédie, mettant en scène Géraldine PAILHAS et Arnaud DUCRUET, narre les aventures d’un commis-boucher qui décide de se battre pour sauver une boucherie de proximité. Alors que l’héritière de ce commerce, une rédactrice en chef d’un magazine de mode n’en a cure. S’en suit une cohabitation presque impossible entre la néo-propriétaire et le commis non sans humour !

Ces deux dernières années, cinq boucheries artisanales furent reprises dans l’Yonne et l’on ne peut que s’en réjouir. Situées à Gron, Cravant, Tonnerre ou encore à Ouanne, ces bouchères et bouchers vous attendent le sourire aux lèvres, légitimement fiers de leur bel étal.

Quant à celle de Saint-Bris-le-Vineux, elle vient juste de rouvrir ! Bon film, comme dirait l’autre, et longue vie à l’entrecôte !

 

Thierry BRET et Gauthier PAJONA

 


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Le secteur de l’automobile, s’il n’est pas encore à l’agonie, dans sa configuration actuelle, mérite néanmoins une attention très particulière pour qu’il ne passe pas de vie à trépas. Forte de ses 45 000 salariés, la filière est particulièrement exposée en Bourgogne Franche-Comté, du fait de difficultés multiples, structurelles et conjoncturelles. Pour Nicolas SORET, vice-président en charge des finances, de l’économie et de l’emploi, « la course contre la montre est lancée »…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il fallait sauver, jadis sur grand écran, le soldat Ryan d’une mort certaine. Il faut venir au secours désormais de la filière automobile territoriale, moribonde et soumise à d’innombrables difficultés économiques. Tel est l’énoncé du problème, une complexe équation à plusieurs inconnues, auquel est confronté le pouvoir exécutif régional.     

Comme devait le préciser lors de son intervention en conférence de presse le troisième vice-président de la Région, Nicolas SORET : « La course contre la montre est lancée si l’on ne veut pas que tout l’édifice s’écroule ».

 

De profondes mutations comparables à la crise de la sidérurgie…

 

Entre compétitivité et mutations profondes liées aux réponses à apporter aux problématiques environnementales, la filière de l’automobile ne sait plus à quels saints se vouer.

D’autant, que la crise sanitaire est passée par là, entraînant avec elle, son lot de surprises désagréables et inéluctables. Celles-ci se sont traduites par la chute progressive des ventes et surtout la pénurie en matière d’approvisionnement qui perturbe depuis le retour à la croissance.

La Bourgogne Franche-Comté est située dans l’œil du cyclone. Logique quand on peut se targuer d’être la première région industrielle de l’Hexagone. Une position, certes, très flatteuse sur le papier mais qui l’est beaucoup moins lorsque les rouages de l’entrepreneuriat se grippent. De ce fait, 350 établissements professionnels sont aujourd’hui suspendus aux décisions que prendront les pouvoirs publics afin de tenter de relever la tête. L’enjeu est de taille. Il y va de la pérennité de près de 45 000 emplois.

Surtout depuis que l’Europe a décidé dans le cadre du Green Deal d’interdire à la vente les véhicules à motorisation thermique neuf, et ce dès 2035. Motif : les rejets de Co2 imputables à ces moteurs occasionnent 12 % des émissions de dioxyde de carbone de l’Union.

Conséquence : la corporation tremble car elle se doit de changer dans un laps de temps très court de paradigmes. L’anticipation est devenue le synonyme de profondes mutations pour le secteur, un bouleversement comparable à celui vécu par la sidérurgie dans les années 1970.

 

 

Une feuille de route aux contours stratégiques précis…

 

Pour Nicolas SORET, le dossier est complexe. Il l’a précisé sans fioritures lors de sa prise de parole.

« La difficulté que l’on croyait conjoncturelle est en fait de plus en plus structurée avec ces contraintes observées dans les approvisionnements et la pénurie des semi-conducteurs. Or, du fait de la mondialisation des règles économiques, les constructeurs s’adressent plus facilement aux sous-traitants installés dans les pays à bas coûts pour qu’ils interviennent dans la fabrication de pièces. C’est le cas avec les nations de l’Asie du Sud-Est. Enfin, pour couronner le tout, la bascule historique entre le choix du moteur thermique et celui de l’électrique a conduit à un contexte aujourd’hui irrévocable de non-retour en arrière… ».

La naissance d’une feuille de route régionale automobile est devenue de ce fait une évidence. C’est une sorte de force de frappe pour aider à la mutation de la filière. Une approche qui repose à la fois sur les entreprises et leurs salariés, mais aussi sur les territoires qui les accueillent.

Le leitmotiv est simple : anticiper les mesures qui s’appliquent sur les territoires les plus exposés par cette nouvelle crise industrielle.

De quoi se constitue cette fameuse feuille de route, précieux cahier des charges utile devant permettre de préserver les emplois ? Deux axes d’intervention de la Région y répondent. Le premier se base sur le diptyque, action et coopération.

« C’est simple, ajoute le président de la CC du Jovinien et maire de Joigny, l’idée est de mettre en place une force d’intervention pour les mutations automobile afin de proposer à chaque sous-traitant un accompagnement qui soit le plus adapté… ».

Le second volet se rapporte aux outils et méthodologies destinés aux entreprises, aux actifs et aux territoires via des curseurs importants tels que l’orientation, la formation, la reconversion afin de limiter le plus possible la casse sociale. Nom de code de l’outil : le GPECT, acronyme pour « gestion prévisionnelle des emplois et carrières territorialisés ».

 

 

Un effort financier soutenu en 2022 de l’ordre de 36 millions d’euros…

 

Cette feuille de route, aux contours mûrement étudiés, n’est pas le fruit d’un quelconque hasard. Une multitude d’auditions ont été réalisées avec tous les acteurs et spécialistes de la filière automobile afin d’en brosser la trame. Tout cela a été conforté par une enquête effectuée sur le territoire dont les résultats sont connus depuis le mois de décembre.

« Nous sommes capables de savoir grâce à cela quels seront les territoires les plus exposés à l’avenir selon la réalité de leur tissu industriel, souligne Nicolas SORET.

Un exemple d’anticipation devant également s’appuyer sur le concours des intercommunalités qui connaissent à merveille le potentiel économique de leurs entreprises. Il ne faudrait pas qu’un sous-traitant soit oublié par ce dispositif et passe à travers les mailles du filet.

« Aussi, renchérit le vice-président en charge des Finances, de l’Economie et de l’Emploi, nous allons contractualiser avec les territoires ce principe afin d’anticiper du mieux possible la situation. Cela passe aussi par l’évolution professionnelle des salariés qui doivent gagner en compétences pour qu’ils soient le moment venu capables de rebondir sous le sceau de la diversification de leurs activités sur d’autres filières si leur entreprise venait à être touchée ».

Moyennant quoi, la Région augmentera son effort financier, déjà significatif, à destination des TPE et PME de la filière automobile cette année. Soit une ligne budgétaire de 36 millions d’euros, portée à l’exercice 2022. Une enveloppe venant s’additionner aux moyens de l’Etat, existants et nouveaux, ainsi que ceux de la nouvelle programmation des fonds européens FEDER.

La feuille de route régionale automobile, tracée sur la période 2022/2024, prend ainsi son envol. Il en va de la pérennité du tiers de l’emploi industriel de notre territoire qui incombe uniquement à une filière automobile qui attend une vraie bouée de sauvetage à terme…

 

Thierry BRET

 


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Dans la série « Messieurs les Anglais, tirez les premiers », le Rassemblement National de l’Yonne fait chauffer la poudre ! Avant même que ne soient concoctées les joutes verbales à la saveur si acidulée et retorse des meetings politiques. Du moins pour ceux qui pourront se tenir dans notre département malgré les contraintes de la crise sanitaire. En invitant la porte-parole de Marine LE PEN le 30 janvier, le RN est donc l’une des premières formations à se lancer dans le grand bain des réunions publiques…

 

SAINT-JULIEN-DU-SAULT : Paraît-il qu’elle n’a pas sa langue dans sa poche et qu’elle ose dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas, l’oratrice du premier meeting officiel de campagne, organisé par le Rassemblement National de l’Yonne !

Promue depuis peu au poste très convoité de porte-parole officielle de la candidate à la présidence de la République (Marine LE PEN), la conseillère régionale du Var Laure LAVALETTE étrennera sa nouvelle distinction en public ce dimanche 30 janvier après-midi dans la salle des fêtes de la localité, chère à Guy BOURRAS !

N’y voyons d’ailleurs aucun signe de ralliement de la part de l’édile de cette bourgade (il vient de rejoindre le comité de soutien de Valérie PECRESSE), aux idées prônées par la droite de la droite.

C’est plutôt la volonté des organisateurs locaux, les représentants du RN de l’Yonne, d’avoir choisi un endroit pratique, situé à équidistance des grands axes entre Auxerre, Sens, Joigny, Migennes ou Saint-Florentin pour se réunir.

Seuls les militants de l’Avallonnais ou du Vézelien devront effectuer quelques kilomètres supplémentaires pour venir assister à cet échange que l’élue de Toulon aura avec l’auditoire.

 

 

Un franc parler qui fait mouche sur les plateaux télé…

 

Accueillie par Julien ODOUL, président du groupe RN de Bourgogne Franche-Comté et porte-parole national du mouvement bleu marine dès 15 heures, Laure LAVALETTE devrait avec son franc parler qui lui est coutumier et dont se gargarisent certaines émissions du PAF la recevant régulièrement sur ses plateaux, faire mouche devant une assistance toute acquise à sa cause et aux arguments sécuritaires qu’elle véhicule.

La conseillère municipale de Toulon, au terme de cette réunion publique, partagera le verre de l’amitié avec les militants et dégustera la galette des rois avant de retrouver le soleil azuréen de son Var originel.

Son déplacement n’est-il que le prélude à la venue de Marine LE PEN dans le nord de la Bourgogne ? Ce n’est pas impossible puisque le bruissement des rumeurs persiste…

Thierry BRET

 


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Il mouille sa chemise, le ministre délégué en charge du tourisme, des Français de l’étranger, de la Francophonie et, depuis peu, des PME/PMI ! A l’instar de ses collègues du gouvernement, tous mobilisés en vue de la plus que probable candidature d’Emmanuel MACRON avant la mi-mars, Jean-Baptiste LEMOYNE s’engage à 100 % dans la campagne présidentielle. Samedi, à Auxerre, il a tâté le pouls de ce terrain icaunais dont il est issu, rencontrant tous les acteurs politiques favorables au renouvellement de bail de l’actuel locataire de l’Elysée…

 

AUXERRE : La présentation des vœux ne servait en fait que de louable prétexte à la venue du membre du gouvernement en terre icaunaise ce samedi après-midi. Porte-voix de la majorité présidentielle dans l’Yonne, Jean-Baptiste LEMOYNE avait beaucoup d’autres choses à dire que de simples souhaits à formuler à l’ensemble de l’auditoire.

Une assistance très l’écoute et nombreuse (pas loin de soixante-dix personnes) qui eut même du mal à trouver une place assise au premier étage de la Tour d’Orbandelle, lieu d’accueil trop exigu de ces retrouvailles agrémentées d’une conférence de presse.

Convier la presse, justement pour ne seulement qu’exprimer ses vœux ? Forcément, les médias attendaient surtout autre chose à se mettre sous la dent question actualité. Ils ne furent pas déçus même si pour l’heure rien n’a transpiré de manière officielle sur la date exacte à laquelle le Président de la République allait rejoindre la grille de départ de la course à la présidentielle en se déclarant !

 

Un appareillage déjà bien huilé entre Ensemble Citoyens et les comités de soutien…

 

A ce propos, ce n’est un secret de Polichinelle pour personne : Emmanuel MACRON sera bel et bien candidat à sa propre succession avant que ne tombe la période butoir de ces inscriptions fatidiques. Le contraire eut été étonnant même si quelques velléités contestataires fusent çà et là parmi certains cortèges défilant dans l’Hexagone opposés à l’application du passe vaccinal.

Stratégiquement, rien ne sert de courir, il faut savoir partir à point comme le précisait la fable. Il n’est pas impossible, d’ailleurs, comme le confiera en aparté l’un des fers de lance de cette réunion, que le chef d’Etat patiente encore un peu jusqu’à la mi-mars avant de se prononcer.

Charles de GAULLE n’avait-il pas attendu l’ultime ligne droite, soit trente jours avant l’échéance, pour donner sa position sur le sujet !

Qu’importe ! Tout l’appareillage constructif devant mener vers la réélection élyséenne du nouveau président de l’Union européenne semble déjà bien huilé. Entre l’unité convergente affichée par toutes les composantes politiques du mouvement « Ensemble Citoyens » et la multiplication des comités de soutien, au nombre de neuf à ce jour dans l’Yonne, une chose est sûre : la majorité présidentielle n’est pas restée les deux pieds dans le même sabot, anticipant la chose avec pragmatisme depuis longtemps. Alors que leur candidat favori n’a pas encore livré officiellement ses intentions.

 

 

« Nous considérons que les résultats sont là »…

 

Une démarche collective que commentera par ailleurs avec enthousiasme un Jean-Baptiste LEMOYNE très décontracté, prolixe dans ses propos livrés en préambule de cette présentation aux médias.

« Nous sommes également rejoints par des personnes qui souhaitent s’engager, lâcha le ministre debout face à l’auditoire, l’objectif étant de s’investir derrière le Président de la République et de réaffirmer notre engagement ! ».    

Séduits il y a cinq ans par le projet de rassemblement fédérateur voulu par le Président de la République, tous se disent fin prêts à rentrer de nouveau en campagne dans la perspective (allons donc !) d’une candidature d’Emmanuel MACRON. Malgré les crises et les péripéties traversées : en premier lieu, celle inhérente à la COVID-19.

« Nous considérons que les résultats sont là, s’exclame Jean-Baptiste LEMOYNE, défendant le bilan présidentiel, regardez en matière économique, même le Prix Nobel de la discipline, l’Américain Paul KRUGMAN dit que le pays qui avait le mieux résisté à la crise n’est autre que la France ! ».

Sans omettre qu’au niveau de la croissance économique au sein de l’Union européenne, la France, toujours elle, vire en tête avec insolence, dixit le représentant du gouvernement.

« Tout cela profite aussi au département de l'Yonne, souligne le ministre du Tourisme et des PME/PMI, je rappelle les 120 millions d'euros mis sur la table pour le secteur de la santé pour rattraper tous les investissements qui n'ont pas été fait depuis bien quinze ou vingt ans par celles et ceux qui nous ont précédés. Un certain nombre de dossiers a enfin été débloqué. Je pense notamment au projet de contournement de la déviation sud d’Auxerre.  Le Premier ministre Jean CASTEX a débloqué les crédits… ».

 

Doubler le nombre de parrainages dans l’Yonne…

 

Que veulent Jean-Baptiste LEMOYNE et la soixantaine de personnes qui l’entoure ? « Qu’il y ait cinq ans de plus d’actions, de réformes, de transformations du pays ! répond ce dernier, grâce à cet appel fait à Auxerre qui nous réunit aujourd’hui ! ».

Un appel prononcé à quatre-vingts jours du premier tour de cette échéance capitale pour le pays. Quatre-vingts jours, non pas pour effectuer le tour de la planète comme le permettait l’imaginaire débridé et talentueux de Jules VERNES, mais quatre-vingts jours pour convaincre le plus grand nombre d’Icaunaises et d’Icaunais de rallier la cause de la majorité présidentielle.

Sera-ce si facile pour le territoire qui occupe la troisième position hexagonale en plus grand nombre de comités de soutien à la cause élyséenne de réussir son pari en mobilisant le maximum d’électeurs ? En tout cas, Jean-Baptiste LEMOYNE et son équipe espèrent doubler le nombre de parrainages accordés par les élus en faveur d’Emmanuel MACRON par rapport à 2017. Vu l’effectif éclectique des présents lors de cette rencontre explicative, c’est déjà une certitude d’y parvenir !

 

 

En savoir plus :

 

Parmi les personnalités présentes lors de cette cérémonie des vœux de la majorité présidentielle à Auxerre, citons :

Jean-Baptiste LEMOYNE, ministre en charge du Tourisme, de la Francophonie et des PME/PMI,

Victor ALBRETCH, directeur de campagne du Président dans l'Yonne et membre de La République en Marche,

Marie-Agnès EVRARD, sénatrice de l’Yonne,

Michèle CROUZET, députée de l’Yonne,

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président d’AGIR La Droite Constructive 89 et président de la CC de Puisaye-Forterre,

Pascal HENRIAT, président du MoDem 89 et conseiller départemental de l’Yonne,

Jacques HOJLO, président du Parti Radical 89,

Muriel VERGES-CAULLET, déléguée régionale de Terres de Progrès Bourgogne Franche-Comté,

Malika OUNES, ex-conseillère départementale de l’Yonne,

Mahfoud AOMAR, président de l’Association des maires de France 89,

Irène EULRIET, conseillère départementale de l’Yonne,

Patrice-José TAMPIED-AZURZA, délégué départemental de La République en Marche 89,

Laurent BOUQUET DES CHAUX, référent auxerrois de La République en Marche,

Yves VECTEN, conseiller départemental de l’Yonne,

Alain DROUHIN, maire de Bléneau,

Robert BIDEAU, ex-conseiller départemental de l’Yonne,

Thierry CORNIOT, maire de Seignelay,

Emilie LAFORGE, maire de Branches,

Jean-Philippe BAILLY, ancien adjoint de la Ville d'Auxerre, membre d'AGIR...

L’Yonne est le troisième département de France à disposer du plus grand nombre de comités de soutien à ce jour. Il se situe juste derrière les Yvelines (31) et les Hauts-de-Seine (14). A égalité avec l’Essonne.

Les neufs comités de l’Yonne sont localisés en Puisaye-Forterre (le premier à avoir été créé devait rappeler le président de la CCPF Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI), Serein et Armance, Gâtinais en Bourgogne, Grand Sénonais, Jovinien, Avallonnais, Vannes et Pays d’Othe, Yonne Nord et Migennois). Le dixième groupe de travail localisé dans l’Auxerrois devrait voir le jour d’ici peu sous la houlette de Malika OUNES…

Le nombre de comités de soutien au niveau national s’élève à 400 structures. Elles fédèrent des élus locaux et anciens élus, ainsi que des figures de la société civile en France et dans les DOM TOM. Les Français vivant à l’étranger sont également concernés par ces dispositifs.

 

Thierry BRET

 

 


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