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Ce n’est que justice, in fine ! Surtout lorsqu’il s’agit de se disputer le podium de la sélection départementale de l’emblématique challenge, catégorie cuisine, pour y décrocher le pompon, qualificatif à la finale régionale. Pour cette édition 2023, les jeunes filles n’ont pas eu à rougir de leurs prestations culinaires, bien au contraire ! Elles occupent deux des trois premières de ce concours placé sous la présidence du double étoilé Michelin, Michel BLANCHET. L’une d’elle, Lily Rose MARTENS, décroche même le jackpot en empochant le titre !

 

AUXERRE : Vlan, ça déménage dans le milieu parfois très masculin de la gastronomie tricolore après les prometteurs résultats de deux disciples de la cuisine d’Escoffier qui se sont payés le luxe (et surtout le culot !) de coiffer quasiment tous les candidats masculins sur le fil dans l’obtention du titre départemental du « Meilleur apprenti de France » édition 2023.

 

Deux lauréates aux trois premières places !

 

Mieux, façon cerise sur le gâteau, l’une d’elle, la brunette Lily Rose (l’agréable prénom !) MARTENS – elle fait à l’heure actuelle en qualité d’apprentie ses gammes au restaurant « La Toupie » dans l’Aube voisine à Troyes – a remporté haut la main le droit de défendre les couleurs de l’Yonne au futur concours régional de la catégorie, accueilli en Côte d’Or à l’automne. Epreuve évidemment qualificative pour la finale hexagonale disputée à Paris, un peu plus tard.

 

 

 

Mais, comme un bonheur est toujours accompagné d’une bonne nouvelle, la demoiselle n’est pas la seule du sexe féminin à s’être enhardie à la lumière des projecteurs, côté résultats, puisque la troisième marche du podium est occupée par Léane VERRAT qui apprend les rudiments du métier au restaurant « Aux Maisons ». Seul – il faut bien le citer par souci de parité, que diable !, Thibaud DEQUIEROS (« Le Crieur de Vin » à Sens) se glissera dans l’interstice laissé par les deux « nanas » afin d’y glaner la seconde place du classement.

 

 

La gent féminine inspirée par le sujet du jour

 

Une fois n’est pas coutume dans la pratique de l’art culinaire, les filles ont pris le pouvoir derrière les fourneaux d’autant que le sujet les a un tant soit peu inspiré (et convaincu le jury de chefs, présidé par Michel BLANCHET) avec à la clé la réalisation d’œufs pochés façon bourguignonne pour six couverts, un filet de daurade façon dieppoise avec sauce au vin blanc et julienne de légumes pour quatre couverts et une panna cotta, servie avec sa compotée d’abricots fondants pour six couverts.

« Oh les filles, Oh les filles » chantait en 1974 le groupe parodique « Au Bonheur des Dames » : une musique virevoltante qui pourrait mettre en condition ces néo-talents au féminin à la conquête de nouveaux accessits culinaires. A commencer par les titres régionaux et nationaux de ce MAF cuisine 2023 !

 

Thierry BRET

 

 


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Bien joué ! Le colonel du SDIS 89, Sébastien BERTAU, sur le fil du rasoir, a su reprendre la balle au bond, au moment où le gong final allait clore le séminaire de rentrée du MEDEF de l’Yonne, consacré aux femmes cheffes d’entreprises. « Il a osé » prendre la parole à l’ultime minute de la manifestation pour inciter la gent féminine à postuler auprès des services départementaux des sapeurs-pompiers. Logique : la filière ouvre ses portes à la féminisation de ses personnels…

 

AUXERRE: Pro de la communication, le colonel Sébastien BERTAU, directeur du service départemental d’incendie et de secours de l’Yonne ? Assurément, oui ! Le patron des sapeurs-pompiers de l’Yonne a profité de la toute dernière minute de la manifestation du jour, le colloque de rentrée du MEDEF 89 consacré aux femmes cheffes d’entreprises, pour évoquer devant un auditoire en très large majorité de femmes les besoins de féminisation de la structure.

A date, 21 % des sapeurs-pompiers sont issus des rangs de la gent féminine en France (et encore, il y a beaucoup de personnels infirmiers). Or, le responsable du SDIS de l’Yonne aimerait accroître cette tendance ; son message aura été on ne peut plus clair : « osez Mesdames, devenir lieutenant ou capitaine des sapeurs-pompiers ! ».

Sachant que des conventions de partenariat ont été initiées – et elles le sont toujours ! – entre le SDIS et les entreprises du cru dans le cadre d’un plan de développement territorial, sur le registre du volontariat, pour renforcer aussi les rangs des sapeurs-pompiers volontaires. Où les femmes sont admises, bien évidemment !

Malin, le colonel aura rappelé à bon escient que chez les fonctionnaires, l’égalité était parfaite en matière de salaires ! On n’est donc bien loin de ce qui pratique habituellement dans le privé !

Prochainement, le SDIS de l’Yonne s’enrichira du savoir-faire d’une jeune femme, titulaire d’un master de droit et gestion, un apport très appréciable pour le territoire…

 

Thierry BRET

 


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Acronyme vedette de la visite ministérielle du jour au sein de l’Unité d’Enseignement en Elémentaire Autisme (UEEA) de Laborde à Auxerre, sous l’égide de l’EPNAK : le terme « AESH » ! Il se traduit par la formulation suivante : « accompagnant d’élèves en situation de handicap ». Un terme que les syndicats de l’Education nationale connaissent bien puisque nourricier de leurs revendications sociales. Un sigle que les familles concernées par le handicap vénèrent puisque porteur de solutions judicieuses pour leurs enfants scolarisés. Un mot qu’Aurore BERGE n’aura pas occulté de ses échanges car 6 500 de ces AESH sont en voie de recrutement…

 

AUXERRE : On peut dire que l’intervention inopinée de l’un des vice-présidents du Conseil départemental, en l’occurrence Christophe BONNEFOND, aura fait tilt au beau milieu des échanges nourris lors de la visite ce lundi après-midi de la ministre en charge des Solidarités et des Familles, Aurore BERGE à Laborde !

Effectuant sa toute première rentrée scolaire depuis qu’elle occupe ce portefeuille ministériel suite à sa nomination le 20 juillet dernier, l’ancienne présidente du groupe LREM à l’Assemblée nationale a su saisir l’opportunité qui lui était offerte pour évoquer dans le détail la politique d’éducation inclusive dont le gouvernement se veut le métronome. Via, notamment, le rôle et le poids des « AESH » dans cet environnement pédagogique si particulier.

Alors qu’il s’inquiétait de la précarité et de l’absence de professionnalisation de ces postes, pourtant si cruciaux pour accompagner les élèves en situation de handicap, l’élu de l’Yonne aura donc mis le doigt sur l’un des sujets brûlants de l’actualité inhérente à l’Education nationale de ces derniers jours – outre, évidemment, la rentrée des classes en ce 04 septembre ! –, soit  l’annonce faite il y a quelques jours (c’était le 28 août) par le nouveau ministre Gabriel ATTAL d’une série de mesures devant faciliter l’éducation inclusive, à savoir la volonté de recruter 6 500 AESH en 2023.

 

Davantage de formations, revoir les statuts de la fonction

 

C’est au nom de l’équité pédagogique que cette décision a été entérinée par le ministère de l’Education nationale, et la volonté de renforcer le modèle de l’éducation inclusive, tel que l’a fixé la sixième Conférence nationale du handicap (CNH) le 26 avril dernier.

Or, à date, 136 000 personnes sont déjà répertoriées parmi cette catégorie, celle des accompagnants d’élèves en situation de handicap en France. L’apport de ces 6 500 postes supplémentaires est un signe de progrès pour Aurore BERGE qui aura pu commenter cette décision gouvernementale, face micros et caméras, en conférence de presse.

« Il nous faut continuer en ce sens, déclara-t-elle, avec plus de formations puisque c’est une demande très forte de la part des enseignantsil existe aujourd’hui 25 heures de formation qui leur sont destinées pour appréhender l’accueil et la prise en charge de ces enfants - ; certains enseignants n’ont quant à eux jamais eu de formation, il faut remédier à cela… ».

 

 

 

Naturellement, l’amélioration de ce statut et sa rémunération intègrent les priorités gouvernementales, comme devait l’ajouter la ministre.

« Il faut qu’il y ait plus de femmes à l’avenir qui décident de s’engager dans ces métiers qui ne doivent pas se limiter aux seules classes maternelles et élémentaires. Il faut aussi apporter des solutions qui soient adaptables aux collèges et aux lycées…On doit à ces enfants la poursuite évidente de leur scolarité. Leur réussite est aussi notre réussite… ».

 

Un bonus destiné aux collectivités qui développeraient le périscolaire

 

Autre problématique cruciale, la grille des salaires. Selon les cas, ceux-ci oscillent entre 800 et 1 100 euros nets par mois. Autrement dit, une paille qui n’autorise pas à l’épanouissement personnel. Pourtant, les AESH représentent en nombre le deuxième métier de l’Education nationale en France !

Réponse d’Aurore BERGE : « il faut que ces contrats deviennent des temps plein ! C’est cela la première porte d’entrée pour améliorer le système. La problématique est la suivante : on a souvent des contrats qui sont sur des temps très courts, ce n’est pas suffisamment rémunérateur. Ils peuvent être établis de 15 à 17 heures. Parfois de vingt heures ! Si la personne n’est pas en temps plein, forcément les salaires ne suivent pas… ».

Solution évoquée : la mise en place d’un bonus destiné aux collectivités sur les activités du périscolaire. Où les besoins d’encadrement des enfants sont très importants.

« L’Etat va d’ailleurs aider les collectivités en injectant davantage d’argent pour celles qui vont accueillir ces enfants… ».

Un nouveau levier pour recruter de nouvelles AESH qui pourraient être ainsi salariées des collectivités tout en poursuivant leurs missions auprès des écoles. Le tout se muant en contrat en durée indéterminé.

Toujours est-il qu’une hausse de salaire a été également dévoilée par le nouveau ministre de l’Education nationale, le 28 août dernier, à savoir une augmentation prévue de 10 à 13 % par rapport à l’année antérieure. Un coup de pouce, certes positif. Mais, ce n’est pas encore suffisant au vu de l’importance de ces métiers qui permettent de garantir une scolarisation de qualité pour tous les élèves de la maternelle au lycée. Au nom de l’égalité des chances pour tous !

 

Thierry BRET

 

 


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Enfin ! L’apport d’une nouvelle plateforme, numérisée à l’évidence, mettant en exergue les offres de stages proposées par les entreprises de Bourgogne Franche-Comté à l’adresse des élèves et étudiants de la région n’est plus un vœu pieu. On doit cette heureuse initiative heureuse, après plus de trois ans de maturation aux services de la structure régionale. Premier objectif : la diffusion à minimum de 1 500 offres dans des secteurs variés sur l’ensemble du territoire. On en redemande !

 

DIJON (Côte d’Or) : Parmi les nouveautés marquantes de cette rentrée 2023, dévoilées par la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY, lors de sa traditionnelle conférence de presse, relative aux affaires scolaires et estudiantines, la création d’un nouvel outil numérique. Une plateforme des stages proposés en Bourgogne Franche-Comté, à destination de différents publics : collégiens, lycéens, étudiants, mais aussi demandeurs d’emploi ou salariés en reconversion.

Enfin, pourrait-on dire ! Car, bon nombre de familles s’arrachaient les cheveux et se faisaient jusque-là un sang d’encre à l’annonce de ces fameux stages en entreprise où il était nécessaire de faire jouer les réseaux, si tant est que cela marche !

Dorénavant, les choses seront plus faciles. Comme l’a précisé durant sa prise de parole la patronne de l’institution régionale : « Cette plateforme permettra à chaque jeune d’avoir un accès facilité à ces offres de stages… ». Une vraie mesure d’équité sociale, en vérité.

Puis, de renchérir : « Si certains jeunes trouvent facilement des stages parce que leur famille leur donne accès à un réseau, cela peut être beaucoup plus compliqué pour d’autres, en particulier les jeunes gens issus de milieux modestes… ».

 

Faciliter l’égalité des chances en matière de scolarité

 

C’est donc au nom de l’égalité des chances et la solidarité – un double credo cher à la présidente socialiste de la  région – que s’est patiemment créé ce nouvel outil, aidant à la réussite scolaire, opérationnel depuis peu.

Dans l’absolu, ce dispositif consultable par tous et de manière gracieuse regroupera des offres de stages disponibles sur différentes plateformes afin de simplifier les recherches. Si, au démarrage, il est question à minima de 1 500 références collectées – elles émanent de tous les secteurs entrepreneuriaux de notre territoire -, il s’avère très probable que le volume de stages à proposer aux populations ciblées monte en puissance à court terme. C’est en tout cas le souhait de la vice-présidente en charge des lycées, de l’offre de formation, de l’apprentissage et de l’orientation, Océane GODARD. Un effet boule de neige étant espéré : plus il y a d’offres dans l’escarcelle, plus cela en ramène !

 

Thierry BRET

 

 


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Quelque 672 400 candidats ont finalement été reçus au baccalauréat 2023 après la session de rattrapage estivale, soit un taux de réussite de 90,9 %. Il est en baisse de 0,2 point par rapport à juin 2022. Après trois sessions perturbées par la COVID-19, l’édition 2023 se tenait pour la première fois conformément à la réforme de 2019. Elle se solde par un taux de réussite au baccalauréat général de 95,7 % (– 0,4 point par rapport à 2022), un taux de réussite au baccalauréat technologique de 89,8 % (– 0,8 point) et un taux de réussite au baccalauréat professionnel de 82,7 % (+ 0,3 point).

 

TRIBUNE : Le problème que pose la réussite au bac, c’est l’entrée à l’université. Le baccalauréat est devenu un permis pour apprendre et notre système éducatif n’a jamais été fait pour produire des jeunes opérationnels au travail. Ce constat vaut pour les collèges, lycées et autres universités. On peut noter des efforts réalisés, grâce notamment aux formations en alternance.

Quant aux nostalgiques de la trique et du bonnet d’âne, tous ceux qui pensent que leur bac est bien supérieur à celui d’aujourd’hui, ils se fourvoient dans des sentiers nébuleux. Dans les années qui précèdent 1980 (arbitrairement), le nombre de matières enseignées et les méthodes d’enseignement étaient bien plus limitées que celles d’aujourd’hui. En conséquence, on avait une connaissance plus profonde des éléments étudiés.

Pour feu le certificat d’études, on exigeait la connaissance des départements, des préfectures et chefs-lieux de cantons. Aujourd’hui, on exige de nos élèves, et ce depuis la communale, des connaissances qui couvrent un large spectre. Nous avons des bacheliers qui ont donc étudié un peu de géopolitique, la nature et l’écologie, la philosophie selon les critères les plus récents (ma génération s’est arrêtée à Platon, voir Spinoza…). Quant aux techniques liées aux découvertes de la robotique et de l’intelligence artificielle, elles sont naturellement abordées… Les jeunes doivent maîtriser l’informatique sous tous les aspects utilitaires, avoir quelques compétences en droit, ne serait-ce que pour se repérer dans leur environnement familial et scolaire…

 

 

Il faut des femmes et des hommes rationnels et compétents dans leur domaine

 

Hier, les parents attentionnés disaient à leur bambin qui se rendait à l’école : « attention quand tu traverses la rue et soit poli ». Point final ! Aujourd’hui, il faut toujours faire attention en traversant la rue et être poli, mais il faut ajouter : « ne parle pas aux personnes inconnues, si des personnes que tu connais se permettent de te toucher, si des camarades de classe te harcellent, si tu fais l’objet de rackets à la sortie de l’école ou dans la cour de récréation prévient tout de suite les profs et tes parents ! ».

Oui, plus rien n’est comparable et nos jeunes bacheliers en savent bien plus que nous quand nous avions leur âge. Mais attention, ce n’est pas non plus un blanc-seing pour écrire phonétiquement, comme dans la plupart des « SMS »…

Une réforme du bac ne s’impose pas forcément. Mais, elle doit s’inscrire dans un projet éducatif global. Quelle place donner aux arts et aux sports, quelles disciplines à prioriser ? Donner plus de liberté aux enseignants en ce qui concerne le mode pédagogique et les contenus de certaines matières…

Les professionnels de l’éducation savent ce qu’il faut  faire : les professeurs, les médecins et nutritionnistes, les psychologues, les éducateurs sportifs, et une oreille attentive auprès des parents. Dans cette réflexion, il convient d’écarter les technocrates de l’administration, les politiques et leurs affrontements idéologiques avec les syndicats… bref, il faut autour de la table, des femmes et des hommes rationnels, compétents dans leur domaine, apportant connaissance et expérience.

 

 

« Le doute est l’école de la vérité »

 

Alors prendre pour mesure d’urgence l’allongement de la durée du repas, c’est digne d’un normalien mais certainement pas d’un titulaire du certificat d’études primaires ! Quand on sait que certains incompétents de la chose publique ont trouvé comme solution, pour que les étudiants se mobilisent et viennent en classe jusqu’au bout de la saison, de faire passer le bac durant le mois de juin !

Trop simple, trop simpliste, épistémologiquement non cohérent avec les us et coutumes du ministère de l’Education… Bref, si les béotiens lambda se mettent à réfléchir…

Si Anatole FRANCE précisait « de toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure », je nous invite à méditer cette humble pensée de Francis BACON : « Le doute est l’école de la vérité… ».

 

Jean-Paul ALLOU

 


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