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Sans doute, le Silex fera salle comble. Comme au plus beau soir de sa programmation artistique et culturelle. Mais, là, il s’agira d’écouter une toute autre musique pour l’auditoire Avec une partition bien singulière jouée au pupitre de chef d’orchestre par une Florence LOURY qui forte de ses 25,34 % de suffrages exprimés en sa faveur, au soir du premier tour, espère bien gonfler la voilure de son « vaisseau » où la rejoignent à bord de plus en plus de soutiens républicains pour faire barrage au Rassemblement National.

 

 AUXERRE : L’équipage ne cesse de grossir pour un embarquement immédiat au Silex, programmé ce mercredi à 19 heures. Plusieurs noms circulent déjà parmi la liste des invités : Nicolas SORET, Guy FEREZ, Mathieu DEBAIN, Mani CAMBEFORT. Quant à Pascal HENRIAT, malgré ses divergences politiques avec la candidate en lice, il apportera son suffrage dimanche à Florence LOURY. Tiens, on y ajoute aussi celui de Victor ALBRECHT, un autre candidat malheureux du tour précédent qui aura loupé le coche de la triangulaire pour un déficit de…quatre cents voix. Une paille !

Mais, là, est le jeu et le respect de la démocratie. Même si cela fait mal au ventre, après coup ! Céline BAHR et la sénatrice Dominique VERIEN seraient aussi de la partie ? Le mot d’ordre est simple pour celle qui affrontera au second tour, ce dimanche 07 juillet, le candidat du RN Daniel GRENON dans un match qui sent le parfum de revanche, l’écologiste Florence LOURY. Un remake de l’été 2022.

 

 

Certes, elle faisait grise mine, la candidate du NFP devant la porte d’entrée du bâtiment préfectoral, à la fin de cette longue journée dominicale, où les résultats d’Auxerre se faisaient attendre comme à l’habitude.

De très longues minutes, aussi très insupportables pour Victor ALBRECHT qui espérait encore passer le cap de la qualification, à l’identique de la représentante du Nouveau Front Populaire qui voyait petit à petit l’écart avec le premier, Daniel GRENON, se réduire un peu mais pas suffisamment pour inverser la tendance.

Exit, cette première manche. Place à l’entre-deux tours.

 

 

Des jeunes de 16 ans prendront la parole…

 

Même si l’inquiétude est toujours là, la conseillère municipale d’opposition de l’Auxerrois est bien décidée coûte que coûte à réaliser le front républicain avec le plus grand nombre de partisans et d’adversaires d’hier pour faire barrage au Rassemblement National, en passe peut-être de remporter la manche, ayant à son actif, 40,40 % des voix.

Mercredi soir, dans la salle du Silex, un ultime meeting permettra d’offrir une tribune à des jeunes, âgés de 16 ans, qui adresseront des messages à leurs aînés. Avant que la candidate verte, accompagnée de son suppléant, Bruno CANCELLA-BRAULT, ne vienne au pupitre pour y donner ses dernières recommandations : elles auront pour prétexte la mobilisation générale pour éviter la réélection de Daniel GRENON dans la circonscription.

Le lendemain, le Nouveau Front Populaire prévoit des rassemblements républicains devant toutes les mairies des communes de la circonscription, englobant une partie de l’Auxerrois et la Puisaye-Forterre. A 20 heures, il s’agira de permettre aux citoyens d’échanger dans le calme sur le moment historique vécu dans l’Hexagone devant les « Maisons du peuple », porteuse de la devise, « Liberté, égalité, fraternité ». Un véritable rendez-vous républicain, qu’on se le dise…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Chez les puristes de cette musique si débridée et légère, importée des Etats-Unis, laissant la part belle à l’improvisation, aux joutes musicales à n’en plus finir et à la dextérité complice des instrumentistes, on commençait à ronger son frein, avec une certaine impatience. Mais, cette fois-ci, ça y est ! Le parvis du castel moyenâgeux devrait bruisser de ces folles sonorités sautillantes, deux jours durant les 05 et 06 juillet prochains. « Jazz à Druyes », édition 2024, nous revient avec ses agréables soirées où l’on se dit que la vie est belle…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Le credo est simple avec le retour de ce festival en nos terres de l’Yonne ! La fidélisation du public, via un programme hyper léché, bien élaboré comme une excellente recette de cuisine, concocté autour de l’ambition, du professionnalisme, de la qualité, et de l’esprit de fête, aussi.

«Jazz à Druyes » va donc poser ses valises au pied du fameux château de l’illustre famille des Courtenay de jadis (du temps de Philippe-Auguste, ça date non ?!) pour égayer durant deux soirées, mélomanes et aficionados de cette musique si particulière qui déferla sur le monde en provenance des Etats-Unis !

Quel choc ! Et quelle folie sonore qui fit vibrer longtemps les nocturnes parisiennes de Saint-Germain-des-Prés, chères aux regrettés, entre autres, Boris VIAN et Henri SALVADOR ! C’était au temps de René COTY ! Un bail…

Quatrième rendez-vous du nom, l’évènement s’inscrira dans une veine similaire à ses prédécesseurs. Un instant de pure magie pour celles et ceux qui adorent passionnément la musique, qu’elle soit produite d’une guitare acoustique, électrique, piano, cuivres, violons, percussions, batteries !

 

Quatre rendez-vous déclinés pour les mélomanes au pied du château…

 

Au niveau de la symbolique, l’édition nouvelle qui va se déguster tel un bon cru que l’on a hâte de se délecter en bouche, répond au nombre de quatre. Un chiffre correspondant à la stabilité, la structuration, la fondation, l’équilibre. Une véritable numérologie, non pas hasardeuse mais toute en légitimité pour les organisateurs de ce rendez-vous fleurant bon l’été qui recherchent avec cet opus davantage de solidité, de construction dans leur édifice artistique, mais aussi de rigueur et de détermination. Ne serait-ce point d’ailleurs le propre de tout musicien qui se respecte à l’interprétation d’un morceau ?!

Une fois que cela est dit, que penser de ce futur millésime qui devrait donner de l’ivresse aux férus de ce genre musical puisant ses racines dans le blues, le ragtime ou le negro spiritual ? Grâce à de talentueux instrumentistes, le public ne devrait pas être déçu par le plateau programmé durant ces deux journées. Quatre (décidément Michelle et Didier GILBERTAS, les métronomes qui sont à la baguette pour la réussite de cette aventure, aiment ce chiffre !) concerts seront assurés sur le parvis du château, sous,  et on l’espère déjà du côté de la météo, de belles conditions estivales !

 

De fines « gâchettes » du jazz made in Bourgogne

 

On retrouvera notamment des fidèles d’entre les fidèles, le saint des saints des instrumentistes qui affectionnent l’endroit depuis sa création en la personne de l’harmoniciste Laurent MAUR – il présentait en mai dernier au festival « Fleurs de Jazz » dans la Nièvre sa « Fantaisie Improbable » avec sa complice, l’excellente flûtiste Emilie CALME – ou le guitariste, accompagné de son trio éponyme, Jean-Baptiste HARDY, qui redonnera une lecture personnalisée de quelques  standards, distillés de ses compositions mélangeant les influences, les genres, et les musiques du monde. Un sacré métissage qui ne peut que séduire les oreilles expertes des mélomanes, assurément.

Notons, et c’est de coutume, également la présence de l’école de musique, de danse et de théâtre de Puisaye-Forterre ou encore le « Small Band » de l’incontournable François CANARD dans ses œuvres.

 

Près de 500 spectateurs en l’espace de deux jours…

 

Si les trois précédentes éditions furent organisées sous la tutelle associative des « Lumières de Druyes », c’est désormais la nouvelle structure « Jazz à Druyes » qui en porte l’intégrale responsabilité. Un changement de paradigme logique, selon Michelle et Didier GILBERTAS, qui voulaient se concentrer pleinement à la programmation et à l’organisation de l’évènementiel, en toute indépendance. Une décision prise naturellement avec le succès rencontré la saison passée où le festival aura accueilli près de cinq cents spectateurs en deux jours.

Déclinant son animation sur le principe de la participation libre du public en matière de paiement, l’entité organisatrice s’est fixée comme objectif d’engranger quelques subsides lui permettant d’assurer des investissements  techniques (éclairages, matériels sonorisation) ; soit d’indispensables dépenses lui garantissant sérieux, qualité et durabilité.

Transparent, le couple s’en explique : « il est important pour nous de construire un financement ayant une répartition équilibrée entre subventions publiques, sponsors privés et participation des spectateurs.. ».

Justement, et sur ce dernier point, l’augmentation de la jauge public est l’un des critères facilitant la pérennité de l’entreprise artistique, tant au niveau du bar et des consommations qui y sont vendues lors des entractes, qu’au passage du « chapeau » dans le public où les spectateurs peuvent donner à hauteur de leurs possibilités. Un mix nécessaire à l’essor de ce festival des plus prometteurs et enthousiasmants, à découvrir sans modération au pied d’un édifice du Moyen-Age…

 

 

En savoir plus :

Festival « Jazz à Druyes »

Les 05 et 06 juillet sur le parvis du château de Druyes-les-Belles-Fontaines

Entrée libre, participation des spectateurs au chapeau.

Programmation :

Le vendredi 05 juillet et le samedi 06 juillet :

18h30 : en première partie de chacun des spectacles, l’école de musique, de danse et de théâtre de Puisaye-Forterre qui jouera des musiques de son répertoire, « Shades of Jazz » animé par Nicolas COUSON (le 05) et « Small Band » animé par François CANARD, le 06 juillet.

20h30 : le concert principal, avec Laurent MAUR et les flûtes d’Emilie CALME et leur « Family Business Quintet » le 05 juillet.

La formation de Jean-Baptiste HARDY Trio (le 06 juillet) avec du jazz métissé à base de musiques du monde.

Buvette ouverte pendant toute la durée du festival.

 

Thierry BRET

 

 


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Sacré casting que celui-là, mine de rien ! Une sorte de « piste aux étoiles » en mode politique, chère au regretté Roger LANZAC, comprenant, pour l’heure, cinquante-et-un patronymes connus et reconnus, en très large majorité issus de la droite républicaine et du centre droit de la terre de l’Yonne, qui se refusent à baisser les bras, face aux trois grands blocs qui devraient jouer néanmoins les premiers rôles lors de ces échéances législatives 2024. Céline BAHR a bien de la chance : elle ne se lance pas toute seule dans l’âpre bataille de la première circonscription !

 

AUXERRE : Après le soutien de Gérard LARCHER, Président du Sénat, en début de semaine, Céline BAHR remet le couvert en publiant une liste de cinquante-et-un signataires – c’est simple, on dirait une tribune publiée dans les colonnes du quotidien « Le Monde » pour une noble cause altruiste ! -, diffusée largement sur les réseaux sociaux et vers les canaux médiatiques afin de mieux la relayer.

Un « appel à un ami » de dernière minute qui s’avère plutôt fructueux au vu du retour de signatures et qui se transforme en une mobilisation quasi générale, à quelques exceptions près – certains noms de personnalités notoires du centre droit ne figurent pas sur cet inventaire à la Prévert favorable à la jeune candidate des Républicains -, suscitant légitimement quelques interrogations stratégiques et tactiques !

Ainsi, parlementaires, maires, conseillers régionaux, conseillers départementaux, anciennes gloires de la vie politique icaunaise n’ont pas hésité à répondre positivement à cet « appel du 28 juin » - tiens, tiens, cela ne vous rappelle pas quelque chose quand la Patrie est en danger ! – en apposant leurs paraphes au bas de cet écrit, symbolisant le comité de soutien à Céline BAHR à l’avant-veille du premier tour de scrutin. Une liste qui ne demande encore qu’à s’étayer pour les éventuels retardataires qui seraient toujours dans les atermoiements politiciens !

Bref, la « solitude du coureur de fond » n’est pas le truc actuel de la conseillère régionale et élue de la Ville d’Auxerre, qui aux côtés de son suppléant, Jean-François BOISARD, aura donc mis le paquet pour rallier derrière son panache blanc de la conviction électoraliste le maximum de ténors de la droite et du centre droit de l’Yonne qui se sentent malgré tout désabusés après le psychodrame vécu ces derniers jours chez Les Républicains. Comme quoi, l’esprit de famille chez les gaullistes de souche demeure très vivace !

 

     

 

La liste des cinquante élus et maires de l’Yonne :

 

  • Gilles ABRY, maire de Leugny, conseiller départemental du canton Cœur de Puisaye (Bléneau, Toucy, Saint-Fargeau)
  • Mahfoud AOMAR, maire de Valravillon, président de la communauté des communes de l’Aillantais en Bourgogne, président de l’AMF 89
  • Jacques BALOUP, maire de Sementron, ancien conseiller général de la Forterre
  • Jean-François BOISARD, maire de Saint-Privé
  • Pierre BORDIER, ancien sénateur de l’Yonne, ancien maire de Saint-Fargeau
  • Patrick BUTTNER, maire de Villiers-Saint-Benoît
  • Françoise CANCELA, maire de Fleury-la-Vallée
  • Michel CARRÉ, maire de Mézilles
  • Gérard CHAT, maire de Senan
  • Alain CHEVALLIER, maire de Poilly-sur-Tholon
  • Jacky CHEVAU, ancien maire de Sougères-en-Puisaye
  • Paul CHOCAT, maire honoraire de Chastenay
  • Michel CHOCHOIS, ancien maire de Lain
  • Nadia CHOUBARD, maire de Lainsecq
  • Claude CONTE, maire de Thury
  • Catherine CORDIER, maire de Ouanne
  • Guy CORMEROIS, ancien maire de Saint-Sauveur-en-Puisaye
  • Micheline COUET, maire d’Egleny
  • Jean-Pierre CROST, conseiller régional de Bourgogne Franche-Comté
  • Jean DESNOYERS, maire de Mouffy
  • Fernando DIAS GONCALVES, maire de Montholon, vice-président de la communauté des communes de l’Aillantais en Bourgogne
  • Alain DROUHIN, maire de Bléneau, vice-président de la communauté des communes de Puisaye-Forterre
  • Vincent DUFOUR, maire de Ronchères
  • Gérard FOUCHER, maire de Rogny-les-Sept-Ecluses
  • Isabelle FROMENT-MEURICE, vice-présidente du conseil départemental de l’Yonne, conseillère départementale de Cœur de Puisaye (Bléneau, Saint-Fargeau-Toucy), 1eradjoint au maire de Villiers-Saint-Benoît
  • Patrick GENDRAUD, président du conseil départemental de l’Yonne
  • Jacques GILET, ancien maire de Champignelles
  • Francis HEURLEY, maire de Quenne
  • Gilles HOUBLIN, maire de Charentenay
  • Luc JACQUET, maire de Fouronnes
  • Richard JASKOT, maire de Villeneuve-les-Genêts
  • Jean JOUMIER, ancien maire de Saint-Fargeau
  • Éric JUBLOT, ancien maire de Charny
  • Isabelle JOAQUINA, adjointe au maire d’Auxerre, conseillère départementale de l’Yonne (Augy, Auxerre, Bleigny le Carreau, Champs-sur-Yonne, Quenne, Saint-Bris, Venoy)
  • Michel KOTOVTCHIKHINE, maire de Toucy
  • Guillaume LARRIVÉ, député de l’Yonne de 2012 à 2022, ancien conseiller régional de Bourgogne
  • Crescent MARAULT, maire d’Auxerre, vice-président de la communauté d’agglomération de l’Auxerrois
  • Claude MILLOT, maire de Moutiers-en-Puisaye
  • Valérie MULLER, maire déléguée de Villiers-sur-Tholon
  • Rémy NADIN, ancien maire de Lain
  • Éric PAURON, maire de Champignelles
  • Benoît PERRIER, maire de Fontenoy
  • Sylviane PETIT, maire déléguée d’Aillant-sur-Tholon
  • Denis POUILLOT, maire de Sainpuits
  • Henri de RAINCOURT, ancien ministre, ancien sénateur de l’Yonne, ancien président du conseil départemental de l’Yonne
  • Thierry ROUMEGOUX, maire délégué de Volgré
  • Jean-Pierre SANCHIS, maire de Champcevrais
  • Magloire SIOPATHIS, maire d’Appoigny, conseiller départemental de l’Yonne, vice-président de la communauté d’agglomération de l’Auxerrois
  • Maryline THIEULENT, maire de Courson-les-Carrières
  • Philippe VANTHEEMSCHE, maire d’Escolives-Sainte-Camille
  • André VILLIERS, député de l’Yonne depuis 2017, ancien président du conseil départemental de l’Yonne

 

A l'instant, on peut ajouter le nom de Dominique CHARPENTIER, maire de Saint-Fargeau, ce qui porte à 52 élus le nombre de soutiens..

 

Thierry BRET

 


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Son credo tient en trois points. Liberté, dignité, autorité. La base élémentaire d’un programme qu’il veut solide pour faire face aux incertitudes et à l’inconnu. Surtout depuis que les « caprices du Président de la République au soir du 09 juin ont précipité l’Hexagone au bord du précipice ». Le terme de sa campagne – il se présente sous le vocable généraliste de la « droite » sur la troisième circonscription de l’Yonne – s’effectuera par un ultime tour de piste, ce soir, à l’hôtel de ville de Joigny. Ultime tour de piste ? Pas si sûr, s’il arrive à convaincre et à se hisser en invité surprise pour la seconde passe d’armes…

 

JOIGNY : 19 heures, ce vendredi. Dernière réunion publique avant le jour J pour le candidat Grégoire WEIGEL, la quarantaine alerte et dynamique, qui se présente dans la troisième circonscription de l’Yonne, avec le fol espoir de créer la surprise et de se qualifier pour le second tour de ces élections législatives si inattendues. L’étiquette choisie par le postulant est on ne peut plus simple à la compréhension : la droite. Toutes les droites ? Que nenni !

La droite républicaine, modérée, mais sans affichage politique trop marquée. On le sait très bien, par les temps qui courent, c’est plutôt un argument rédhibitoire pour certains électeurs, allergiques aux partis politiques !

Professionnel du barreau – tant à Sens que dans la capitale -, celui qui veut porter le flambeau au nord de l’Yonne contre le péril incarné par le Rassemblement National souhaite devenir un parlementaire responsable, aux convictions claires et assumées, refusant la provocation des extrêmes et la « paresse du en même temps ». Une bonne raison, en somme, pour solliciter les suffrages des électeurs de l’Yonne septentrionale !

Il s’en explique : « aussitôt la dissolution prononcée, les soi-disant adversaires d’hier qui juraient pendant la campagne des européennes qu’ils sortiraient de la NUPES et de son agrégat contre nature l’ont réanimé et promettent désormais de faire encore pire… ».  

Bing, l’union de la gauche en prend un bon coup sur la tête ! Mais, ce n’est pas mieux de l’autre côté du spectre politique. « Ils disent, essayez-nous ! C’est leur unique programme ! ».

 

Le rejet de la confrontation systématique LFI/RN…

 

La confrontation RN/LFI l’indispose. Un choix beaucoup trop restrictif aux yeux de ce candidat qui jadis fut d’abord salarié, puis agent public avant d’embrasser la carrière d’avocat. Ce père de quatre enfants, engagé dans la vie associative et locale, a donc choisi de se lancer dans la bataille de ces élections législatives, composant avec Louis-Marie AUBE – ce dernier est directeur financier – un binôme qui entend faire jouer de ses atouts pour convaincre les électeurs du cru.

« Nous refusons la compromission avec le Rassemblement National et l’irresponsabilité de la gauche, écrit-il dans l’un de ses communiqués de presse.

Peu connu dans le sérail politique icaunais, Grégoire WEIGEL n’en a pas pour autant les faveurs de plusieurs maires des communes de la circonscription ainsi que des élus Les Républicains. « Ils s’engagent à mes côtés… ».

Et si Grégoire WEIGEL réussissait la surprise du chef au soir du 30 juin en obtenant les suffrages qualificatifs pour l’explication finale ? Impossible n’est pas français, dit-on ! Réponse, dimanche, aux alentours de 20 heures !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Plus de 200 sympathisants et militants, exaltés par l’espoir de voir leur candidate ravir le fauteuil de député à l’extrême droite ont assisté hier soir au Silex au meeting organisé par le NFP, en soutien à Florence LOURY et son suppléant, Bruno CANCELA-BRAULT. Une soirée riche en moments d’émotion, où les différents intervenants ont voulu montrer qu’aussi hétéroclite soit-il, « l’attelage » de gauche roule et tient la route ! Une route, ils en sont persuadés, ne pouvant conduire qu’à la victoire dans la première circonscription de l’Yonne le 30 juin et le 07 juillet.

 

AUXERRE : « C’est un moment où l’Histoire nous convoque… ». A l’heure où les derniers sondages voient entre 250 et 300 députés RN rejoindre les bancs de l’Assemblée Nationale au soir du second tour des législatives, l’élue municipale d’opposition Sophie FEVRE, qui a ouvert la soirée, a rappelé en quelques mots les enjeux à quatre jours du premier tour : « la défaite du « macronisme » ne doit pas être celle de la République…».

Mais dénoncer la pensée de l’extrême droite ou rappeler le passé néofasciste et collaborationniste de ceux qui portèrent le Front National sur les fonts baptismaux peut-il suffire aujourd’hui à convaincre et retrouver tous ces électeurs des classes populaires, sensibles au chant des sirènes « bleu marine » ?

A tour de rôle, les représentants icaunais des partis rassemblés sous la bannière du Nouveau Front Populaire (NFP) ont pris la parole, déclinant les différents thèmes du programme concocté au national et porté par la candidate, Florence LOURY, dans la première circonscription.

 

 

Le « Mozart de la finance » en perd ses partitions !

 

Un programme « porteur d’espoir », selon Adrien PROVENCE (LFI), Valentin ANDRY (EELV), Mani CAMBEFORT (PS) et Pascale MARLIN (PCF), pour sa part pressée d’en découdre : « nous attendions cette union entre les forces de gauche depuis longtemps, alors maintenant, on y est et on fonce ! ».

L’occasion aussi pour Mani CAMBEFORT d’ironiser sur l’héritage d’Emmanuel MACRON en matière de finances publiques : « Suppression massive et non ciblée de recettes fiscales pour 50 milliards d’euros, aides aux entreprises mal ciblées pour 223 milliards d’euros selon « France Stratégie » qui n’est pas un repère de gauchistes ! La France épinglée avec six autres pays par la Commission Européenne pour déficit excessif…, pas mal pour quelqu’un se présentant comme le « Mozart de la finance » et prétend nous donner des leçons ! ».

 

 

Rappelant dans le même temps la position inscrite dans le programme au regard du conflit israélo-palestinien : « paix au Proche-Orient, avec la reconnaissance immédiate de l’Etat de Palestine, aux côtés de celui d’Israël ». Une position qui, a rajouté dans un sourire le conseiller municipal et communautaire d’opposition, est « celle de la France depuis 1982 et le discours de François MITTERRAND devant la Knesset, le socialiste que je suis ne pouvait pas ne pas le nommer… ».

 

 

La politique sociale de la France, juste, fraternelle et équitable…

 

Rouge, vert, rose, violet…, un kaléidoscope de couleurs semble rythmer la soirée lorsqu’au fil des différentes prises de paroles, les militants agitent leurs drapeaux respectifs. Des retrouvailles pour beaucoup, faisant fi des querelles du passé. Les témoignages s’enchaînent, parmi lesquels celui particulièrement émouvant d’Adrien, jeune militant LGBTQ venu rappeler les craintes de sa communauté à l’idée de voir l’extrême droite arriver au pouvoir : « on ne choisit pas son orientation sexuelle ou son identité de genre… Nous aussi avons droit au « Liberté, égalité, fraternité »… ».

Citant pour exemple l’agression d’une personne au soir des élections européennes, pour cause d’appartenance sexuelle différente : « ils nous ont fait sentir que d’ici quelques semaines, cela pourrait devenir la norme et ça fait peur… ».

Autre témoignage émouvant, celui d’Isabelle POIFOL-FERREIRA, ancienne adjointe de l’ancien édile Guy FEREZ à la culture et au patrimoine, aujourd’hui conseillère régionale et conseillère municipale d’opposition. Fille d’immigrés portugais fuyant la dictature de SALAZAR, père ouvrier, membre d’une fratrie de huit enfants, porteuse elle aussi d’espoir et de défense des valeurs de gauche : « Quel avenir pouvait-on me prédire quand j’étais enfant ? J’ai pourtant fait des études et je suis là devant vous, parfaitement intégrée et porteuse de mandats de la République. Ce parcours, je le dois à la politique sociale de la France, je n’ai pas honte de le dire. Je le dois aussi aux valeurs de la République, que sont la fraternité et l’égalité… ».

 

 

Un écart minime de 730 voix par rapport à 2022…

 

Déjà deux heures que le meeting est commencé. Les plus chanceux (ou les plus prévoyants…) ont la chance d’être assis confortablement dans l’atmosphère climatisée du Silex. Un voyage en « première classe » au regard de la cinquantaine de personnes installées à l’extérieur sous la moiteur estivale, sur des sièges rajoutés à la hâte, faute de places suffisantes à l’intérieur. Bientôt 21 heures, la candidate fait enfin son apparition sur scène, précédée par un suppléant « requinqué » : « ça rebooste des soirées comme ça et ça fait du bien ! ».

Les traits sont tirés, mais Florence LOURY reste ferme dans son discours : « c’est une campagne express, fatigante, mais nous sommes déterminés… ». Rappelant qu’en 2022, seulement 730 voix la séparaient de son rival au soir du second tour, « à peine 2 % des abstentionnistes de la circonscription ».

Les « on va gagner » s’enchaînent au son de l’air des lampions. Clap de fin et photo de famille sur scène, avec en toile de fond musicale les notes et paroles de « Bella ciao » : « Una mattina mi sono alzato, un matin je me suis réveillé…. » Chant d’espoir ? Chant de victoire ou chant de résistance ? Pour tous ceux présents ce mercredi soir au Silex, réponse le 07 juillet au soir !  

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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