Il y a comme un air de retrouvailles, entre ces deux équipes qui se connaissent très bien. D’un côté, il y a l’AJ Auxerre. De l’autre, un prétendant au maintien dans cette Ligue 1, âprement disputée à chaque journée : l’Association Sportive de Saint-Etienne. Les blancs et bleus face aux Verts ! Avec en toile de fond, une joute toute particulière qui se disputera samedi après-midi dans le « Chaudron ». Un antre qui se nomme Geoffroy Guichard, avec sa horde de supporters en folie et son glorieux passé !
AUXERRE : Voilà une affiche qui sent le soufre ! Promise incertaine sur le papier, elle pourrait peut-être permettre aux Icaunais de glaner leurs premiers trois points à l’extérieur en cas de victoire. C’est le souhait le plus abouti de Christophe PELISSIER ! Le coach de l’AJ Auxerre y croit dur comme fer et se fixe cet objectif lors de ce déplacement dans le Forez, à l’occasion de la septième journée de Ligue 1. Un entraîneur qui aura soupesé les forces et les faiblesses de son groupe lors du traditionnel exercice avec la presse, à l’abbé Deschamps, jeudi aux alentours de midi.
« Le groupe est au complet, précise-t-il en se rassurant, hormis les blessés de longue date… ».
Pourtant, on le sent un peu contracté à l’idée de se déplacer à Saint-Etienne ; d’autant que les dernières rencontres disputées sur les terrains adverses n’ont guère été profitables aux Bourguignons. « On a cet objectif de prendre des points à l’extérieur, insiste-t-il cependant devant les journalistes qui le pressent de questions, l’idée est de répéter ce genre de performance contre Brest qui nous avait permis d’être coordonnés et acharnés, aussi. Mais, chaque match a sa vérité… ».
Un coach auxerrois heureux de jouer dans un stade bien rempli
Un brin philosophe, le coach auxerrois ? On ne le serait à moins ; d’autant que le club de l’Yonne a enchaîné avec quatre défaites d’affilée, plongeant les supporters dans le doute. Face à un promu qui pointe à l’avant-dernière place du classement général, l’AJA se doit de relancer la machine et de faire bonne figure, même loin de sa base arrière.
« Pour réussir dans un championnat, il faut réaliser des séries positives, souligne-t-il. Après Brest et les trois buts marqués contre la formation du Finistère, Christophe PELISSIER mise sur la logique de la continuité. Même dans ce stade mythique qu’est celui de Geoffroy Guichard, fleuron de référence du football hexagonal. Loin de l’impressionner malgré la réouverture des quatre tribunes dans l’enceinte sportive.
« C’est une chance que ces tribunes accueillent le public, ajoute le coach, il n’y a rien de pire que de jouer dans des stades fermés ! ».
On imagine l’ambiance aux alentours de 17 heures ce samedi entre ces deux équipes proches l’une de l’autre.
La loi des séries, c’est qu’elle doit s’arrêter !
Des sautes de concentration et du relâchement de la part du collectif sont la cause identifiée par l’entraîneur pour expliquer les défaites de ce début de saison. « On a pourtant réalisé des choses de belle qualité, rappelle-t-il, mais au final, cela nous a coûté cher ! ».
Alors, l’AJA est-elle capable de supporter la pression adverse ? « Oui, on sait marquer des buts mais il faut arriver à trouver l’équilibre et être plus solide en défense ».
Lors du dernier déplacement dans la Loire – les deux clubs évoluaient encore en division inférieure en mars 2024 -, Saint-Etienne avait su trouver la faille dans la défense icaunaise, s’imposant sur le score de un à zéro. « On n’a jamais gagné à Geoffroy Guichard mais les séries sont faites pour s’arrêter ! ».
Son but est de créer une dynamique d’équipe, devait-il rappeler, « mon rôle est d’être coach, pas magicien ! ». Sur quoi, il a amplement raison Christophe PELISSIER ! Samedi, ce n’est pas d’une baguette magique dont il aura besoin mais bel et bien de la combativité et du volontarisme de tous ses joueurs pour battre une ASSE en convalescence dans son « Chaudron » ! En résumé, le coach souhaite débloquer le compteur des trois points à l’extérieur du côté du Forez…
Thierry BRET
Le dynamisme de la Communauté de communes du Gâtinais en Bourgogne n’est pas un vain mot. Tant au niveau de l’engagement de ses représentants – ils organisaient ce mercredi les deuxièmes « Rencontres Inter-entreprises » du cru, accueillies dans le magnifique château de Vallery, à l’ouest de Sens -, que de la réalité entrepreneuriale. Grâce à un projet de territoire, orienté sur l’attractivité. Ainsi aura pu s’exprimer le vice-président de la Région BFC, Nicolas SORET, qui n’a pas manqué de saluer les initiatives prises dans ce secteur septentrional de notre département.
VALLERY : Ambassadeur de l’institution régionale puisqu’il en est l’un des vice-présidents en charge de l’économie, des finances et de l’emploi, Nicolas SORET était présent à la tribune inaugurale de ces secondes « Rencontres Inter-entreprises », portées par le Gâtinais en Bourgogne, accueillies mercredi en matinée dans l’un des écrins de ce secteur géographique, le splendide château de Vallery.
Faisant fi de toute allusion historique et patrimoniale sur le lieu qui lui permettait de s’exprimer, l’édile de Joigny salua en revanche la prise d’initiatives de cette communauté de communes en organisant de tels rendez-vous, propices à la rencontre entre décideurs économiques, institutionnels et représentants de l’Etat (on notait la présence du préfet de l’Yonne Pascal JAN qui avait effectué le déplacement depuis Auxerre et celle du sous-préfet de l’arrondissement de Sens, Wassim KAMEL).
Lors de sa prise de parole, Nicolas SORET insista beaucoup sur les compétences de l’institution régionale à l’égard de la formation. Précisons que les thématiques de ces « rencontres » s’articulaient autour de la jeunesse, du recrutement et de l’emploi. Une formation qui entre bien dans le domaine de compétences de la Région Bourgogne Franche-Comté.
« A ce titre, nous travaillons main dans la main avec France Travail qui a engagé sa mue en décembre dernier, rappelait l’élu régional, cela permet à l’organisme d’adapter des formations au plus proche des demandeurs d’emploi… ».
Le rôle de la Région aux côtés des entreprises
Une fois ceci prononcé, Nicolas SORET expliqua dans le détail les interventions de la Région sur le domaine plus élargi de l’économie. « Nous sommes présents à toutes les étapes de la vie de l’entreprise, devait-il souligner, dans les laboratoires de recherche de Bourgogne Franche-Comté, nous allons détecter ce que peuvent être les initiatives élaborées par les chercheurs qui se transformeront demain en startups, et ces dernières nous les accompagnerons en les finançant, voire même grâce à certains dispositifs en entrant au capital de ces structures, ou par l’intermédiaire de fonds d’investissement ».
In fine, l’objectif de ce soutien institutionnel est de faire évoluer la startup en TPE, puis en PME, grâce à une multitude d’outils financiers dont l’accompagnement dans l’immobilier d’entreprise. A ce titre, Nicolas SORET devait citer en exemple, en ce qui concerne notre territoire, le rôle prégnant joué par la SEM Yonne Equipement, dont sa représentante, Clarisse MARTIN, assistait à la manifestation.
« On peut assurer le portage immobilier afin d’éviter que les entreprises aient à décaisser de l’argent de leur trésorerie pour ce poste, ajouta l’orateur à la tribune.
Le panorama des filières « force » de notre territoire
Dans un second temps, Nicolas SORET fit un tour d’horizon non exhaustif sur les filières « force » de la Bourgogne Franche-Comté.
« Ces filières font l’histoire et la richesse de notre contrée, insista-t-il, et la première de ces filières ce n’est pas celle qui se porte le mieux actuellement, c’est l’automobile. Un secteur qui est en plein retournement historique. L’automobile est en difficulté du fait de la transition du moteur thermique vers le moteur électrique, et la Région BFC a mis en place tout un tas d’outils, favorisant la diversification de ces entreprises. Notamment vers l’aéronautique et le marché de la défense… ».
Une allusion à peine voilée au contexte géopolitique international et la nécessité pour la France de se réarmer à grands coups de milliards d’euros afin de se préparer à toute éventualité.
Puis, la santé fut également citée parmi les filières « force ». « Les filières de biothérapies sont très importantes dans la région, d’ailleurs – il s’adresse à Jean-François CHABOLLE, le président de la CC du Gâtinais en Bourgogne – nous sommes en recherche de foncier pour implanter ces entreprises de biothérapies. L’idéal quand on est à la frontière de trois régions ! Quant à l’industrie du luxe, elle fonctionne très bien sur notre territoire ! ».
Les solutions apportées par les pôles de compétitivité et les clusters
Nicolas SORET s’amusa alors à égrener le classement des quatre premières sociétés mondiales sur ce secteur qui sont la fierté de l’Hexagone !
Ce sera ensuite la filière agro-alimentaire (elle est portée par chez nous par la viticulture), sans omettre l’aéronautique qui a désormais trouvé sa place dans notre environnement économique.
« A la tête de chacune de ses filières, il existe un pôle de compétitivité ou un cluster, rappela l’élu de l’Yonne, on ne le sait pas toujours. Quand on vit dans l’Yonne, que l’on travaille dans l’Yonne ou que l’on entreprend dans l’Yonne, on a assez peu les yeux tournés vers la Bourgogne Franche-Comté, parce que sans doute, les centres de décisions de Besançon et de Dijon sont trop éloignés. Pourtant, ces pôles de compétitivité et ces clusters peuvent apporter beaucoup dans le développement de vos entreprises. Avec des solutions partagées et des innovations… ».
Il devait conclure ses propos en évoquant le rôle du programme « Territoires d’Industrie », né d’un double choc dans l’Yonne quand deux sociétés phares de l’industrie automobile de Migennes connurent de sombres difficultés, les condamnant à terme.
« D’ailleurs, le Gâtinais en Bourgogne à la demande de Jean-François CHABOLLE, a été raccroché au programme « Territoires d’Industrie », il y a des ressources dédiées avec la CCI de l’Yonne, des moyens financiers mis par l’Etat et la Région existent pour aider les entreprises à leur développement. ».
Autant d’informations encourageantes que les entrepreneurs présents dans la pièce auront sans doute notées sur un calepin avant de prendre attache avec les représentantes de l’AER (Agence Economique Régionale) et de « Territoires d’Industrie » qui assistaient elles-aussi à cet inventaire utile qui n’avait rien à voir avec celui de Jacques PREVERT !
Thierry BRET
Les neurones ont dû bien « phosphorer », c’est indéniable ! Mais, le résultat est là. Elégant, évocateur, sobre, identifiable dès le premier coup d’œil et sans l’usage d’une calligraphie tarabiscotée : le nouveau logo du Grand Sénonais vit ses premières heures dans le bureau de son président, Marc BOTIN qui en assure en avant-première sa présentation. Une nouvelle signature forte, tant au niveau de son ancrage régional que de sa proximité avec la capitale de l’Hexagone, que l’on doit à une nouvelle recrue du service communication de la structure…
SENS : Bon, c’est sûr, l’ancien logotype, symbolisant l’institution sénonaise, fait un peu pâle figure, désormais à côté de cette nouveauté graphique à l’harmonie millimétrée ! Trop vertical, des sigles un tantinet trop ramassés sur eux-mêmes, des coloris ne s’harmonisant pas forcément les uns aux autres. Rien à voir avec l’innovation du jour ! Un logo est fait pour vivre et évoluer au fil du temps, c’est bien dans cette idée-là que le président de la vénérable institution, Marc BOTIN, avait donné son feu vert, permettant à ses équipes, en l’occurrence celle de la communication, de réfléchir à la question en planchant sur le sujet !
On doit la nouvelle création à une jeune recrue ayant rejoint le service de la communication il y a quatre mois. Comme quoi : la prime à la jeunesse peut aussi faire des merveilles !
Le visuel ne manque pas de relief dans sa conception, ni de sa pertinence ! « Grand Sénonais » y apparaît en lettres majuscules aux caractères grossis, entouré d’une multitude de petits points placés en arc de cercle, symbolisant un hémicycle institutionnel. On l’aura compris sous les points se cache le conseil communautaire et sa représentation graphique…
Un logo approuvé à l’unanimité par l’Agglomération
Mais, la vraie nouveauté provient du lettrage supérieur. Il est placé en demi-arc de cercle avec cette mention « En Bourgogne, aux portes de Paris ». Et non l’inverse, d’ailleurs ! Une traduction renforcée de cette appartenance et cet ancrage territorial à notre région bourguignonne, amputé en filigrane de sa branche franc-comtoise ! Tiens, tiens, y aurait-il une volonté sécessionniste dans l’Yonne septentrionale ?!
Quant à la proximité avec Paris et l’Ile-de-France, elle répond à de la pure logique, en somme : ne dit-on pas que le Sénonais intègre déjà la « Grande Couronne » francilienne ?
In fine, l’ensemble graphique se présente avec ses plus beaux atours. Incitant au mouvement et à la modernité. Renvoyant le précédent logo au monde d’avant, au niveau créativité ! C’est simple : le nouveau support identitaire et visuel de l’institution communautaire a été approuvé à l’unanimité par les représentants des 27 communes composant l’organisme intercommunal. Preuve que l’entente peut être parfaite, selon les dossiers traités ! D’où une certaine fierté pour le président Marc BOTIN, satisfait de cette création qui va l’accompagner jusqu’au terme de son mandat communautaire en 2026. Voire un peu plus en cas de candidature et de succès à sa succession lors de la prochaine échéance ?
Thierry BRET
Il y a un petit parfum de « rentrée des classes » qui flotte dans l’air. L’une de ces fragrances agréables au nez qui met du baume au cœur parmi l’assistance parce qu’en bout de course, il est question d’emplois à pouvoir au terme d’un long processus de formation. Celle qui devrait mener une quinzaine de demandeurs d’emploi vers le métier de secrétaire générale de mairie ! Un poste clé, au cœur d’un organigramme municipal exigeant et polymorphe, on s’en doute. Une préparation que l’on doit au CNFPT, le Centre national de la Fonction Publique Territoriale de l’Yonne…
AUXERRE : Des cours théoriques pour bien assimiler tous les arcanes de la profession. Soit un équivalent de deux cents heures, voilà un copieux programme à digérer en cette période de rentrée ! Mais, ces séances pédagogiques où il sera de bon ton de prendre des notes et de faire preuve d’assiduité comme pour tout élève qui reçoit une leçon, seront agrémentées de leur équivalence pratique. Une immersion sous la forme de stages (là-aussi, le programme comprend deux cents heures de formation !) aux côtés des acteurs des collectivités territoriales. Elles (il n’y pas l’ombre d’un représentant de la gent masculine dans cette nouvelle session pédagogique !) seront in fine au nombre de quinze pour se frotter à ce parcours « sup » (!) de l’apprentissage menant au beau métier de secrétaire général de mairie.
Un métier qualifié ainsi par Jean-Pierre GERARDIN, président du Centre de Gestion 89. Durant de longues minutes, en guise de préambule à la réunion de lancement de la nouvelle formation 2024/2025, et dans un silence religieux, il prendra soin de détailler les missions imputables à cette fonction, hautement stratégique dans une commune rurale. Rappelant les objectifs de ce rendez-vous, suivi par les quinze heureuses élues après sélection.
« Quinze demandeurs d’emploi ont été recrutés pour bénéficier de cette formation de 400 heures, explique-t-il, celle-ci se terminera dans trois mois en fin d’année. Pendant ce laps de temps, les stagiaires auront abordé différents modules relatif à la fonction de secrétaire général de mairie : l’état civil, la comptabilité publique, l’urbanisme, les marchés publics, etc. ».
Promouvoir ce type de formation pour pallier aux manques
In fine, le taux de retour à l’emploi est plus que significatif pour ces prétendants à ces postes, avec près de 70 % en 2023 !
Existant depuis deux décennies, le cursus attire des personnes soucieuses de se réinsérer dans la vie active. Comme le stipule Jean-Pierre GERARDIN, « il est important d’assurer la promotion et la communication autour de cette formation, parce que les secrétaires générales de mairie (cela concerne les localités de moins de 3 500 habitants) sont devenues de la denrée rare au fil des années. En parler autour de nous est capital afin d’attirer les profils adaptés à la spécificité de ce métier… ».
Un métier qui représente un réel potentiel d’opportunités afin de répondre aux enjeux de nos territoires. Mais qui éprouve des difficultés à trouver des candidatures alors que les besoins sont présents. La formation proposée par le Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT) offre l’avantage de mettre en relation les impétrants et les secrétaires de mairie déjà en poste. Un sérieux avantage pour mieux en appréhender tous les aspects.
Thierry BRET
Les professionnels de santé et partenaires du DAC (Dispositif d’Appui à la Coordination de l’Yonne) ont pu tester par eux-mêmes différents ateliers leur permettant de pratiquer une discipline sportive. Un rendez-vous organisé peu dans le principe du « Yonne Tour Sport », la manifestation estivale annuelle, qui est déclinée par le Conseil départemental envers les enfants et adolescents. 250 participants auront vécu cette belle journée de détente et de remise en forme sur le parvis de la salle des fêtes…
VENOY : Tout un panel d’activités sportives et pédagogiques (à titre d’exemple, les gestes à connaître pour prodiguer les premiers secours) a été proposé aux professionnels de santé et partenaires du DAC 89, le Dispositif d’Appui à la Coordination, lors d’une conviviale journée de découverte, réunissant plus de deux cent-cinquante participants.
Médecins, personnels intervenants dans les structures sanitaires de type EHPAD et dans les domaines du social et du médico-social s’adonnaient donc avec le sourire à ces activités, présentées sous la forme de mini-ateliers. Des pôles de convergence que les familles ou les seniors connaissent bien dans l’Yonne puisque le Conseil départemental avait prêté ses infrastructures lui servant à animer habituellement ses opérations en faveur de la pratique du sport sur notre territoire, qu’il s’agisse de « Yonne Tour Sport » ou de « Yonne Sport Seniors ».
Naturellement, ces ateliers devaient être adaptés au maximum pour que les adultes puissent à leur tour connaître les sensations de l’escalade sur l’immense structure gonflable, découvrir des parcours fait d’agilité avec le maniement de ballons et de sauts d’obstacles, ou se retrouver tout bonnement autour d’un baby-foot ou d’une table de tennis de table, discipline sportive auréolée de la présence dans le circuit international des frères LEBRUN, très populaires depuis les récents Jeux de Paris et l’obtention de leurs médailles de bronze !
Un rendez-vous à renouveler dès la saison prochaine
En parallèle, quelques stands (SDIS, DAC 89, GRAD avec les outils e-santé, du Département avec les conseils santé ou de la CPAM, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie) accueillaient entre deux exercices physiques ou ludiques le public de professionnels, avides d’informations. Soutenue par l’Agence régionale de Santé, cette opération a été coordonnée par le DAC 89 et le Conseil départemental.
Pour mémoire, le Dispositif d’Appui à la Coordination de l’Yonne est un organisme qui intervient depuis quelques années dans la coordination aux professionnels de santé avec différentes missions, celles comprenant l’information et l’orientation et celles qui correspondent aux soutiens administratifs.
Quant aux coordinateurs de parcours complexes, ils agissent aux côtés des professionnels de santé lors de dossiers particulièrement ardus à régler. Sachant qu’à ce jour, la « complexité » d’un parcours de soin n’est pas définie, selon Célia LOCKNER, chargée de la communication du DAC 89, et est évaluée régulièrement en présence de l’ensemble des partenaires.
Cette première journée de sensibilisation ludique aux activités sportives devrait en toute logique, au vu de son succès, se réitérer dès l’année prochaine. Beaucoup de partenaires présents en ont manifesté le désir avec d’excellents retours, au terme de cette journée baptisée, « Yonne Santé Vous Sport ».
Thierry BRET