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L’eurodéputé Damien CARÊME était dans l’Yonne cette semaine, en soutien à Stéphanie MODDE, chef de file d’une liste réunissant quatre mouvements écologistes, en lice aux régionales, pour la présidence de Bourgogne Franche-Comté. Au fil de ses trois mandats, l’ancien maire de Grande-Synthe (59) a su mener une politique sociale et écologique ambitieuse, faisant de sa commune, la « capitale française de la biodiversité 2010 ». Regard croisé de la candidate et de son soutien, sur quelques sujets d’actualité autour de la filière bio et des énergies renouvelables…

AUXERRE : Que répondez-vous à ceux qui affirment que l’alimentation bio est élitiste et ne pourra jamais suffire à nourrir le monde ?

Damien CARÊME : « Oui, le bio est plus cher aujourd’hui, mais pourquoi ? Même si c’est moins qu’avant 1992, où les aides allaient directement dans les poches de l’agrobusiness, les primes sont toujours conditionnées au nombre d’hectares et c’est en cela que le bio est défavorisé par rapport au conventionnel… J’ai été maire pendant dix-huit ans, d’une ville populaire et socialement en difficulté et pour permettre au plus grand nombre de mieux se nourrir, nous avons créé des jardins partagés, en ville. Où ces populations parvenaient à subvenir à leurs besoins alimentaires avec leurs propres productions « bio ». Il y a tout un travail pédagogique à effectuer ne serait-ce que de réapprendre aux gens à se nourrir avec des fruits et des légumes de saison. Là où ils ont l’impression de faire des économies en achetant des produits préparés issus de la malbouffe ! Je me souviens de cette gamine de huit ans, me disant lors de nos premières récoltes, que c’était la première fois qu’elle voyait sa mère éplucher une carotte ! »

Stéphanie MODDE : « Les agriculteurs ont effectivement pour vocation, de nous nourrir et en ce sens, l’agriculture biologique a fait énormément de progrès. Il suffit de voir les famines qui persistent, pour se dire que si l’agriculture conventionnelle suffisait à nourrir la planète, cela se saurait ! Après, encore une fois, tout dépend de l’orientation que l’on donnera aux aides de la PAC, qui pour l’heure, nourrissent surtout les plus gros céréaliers… Il nous faut trouver les bons leviers, que ce soit sous forme de bons alimentaires pour les plus précaires, ou en travaillant avec les épiceries solidaires, pour rendre le bio accessible à tous. Il ne le sera que si on change nos modes de consommation, c’est un tout ! ».

Vous plébiscitez dans votre programme des filières plus courtes, notamment en ce qui concerne la restauration collective dans les lycées de Bourgogne Franche-Comté. Pour autant, la filière bio a-t-elle les moyens de ses ambitions pour pouvoir fournir les produits nécessaires de façon pérenne toute l’année ?

SM : « C’est tout l’enjeu de la prochaine mandature, de pouvoir enfin le permettre. Le premier défi étant la recherche de foncier disponible et un travail a déjà été fait en ce sens par la SAFER et les Chambres d’Agriculture. Des marges de manœuvre se dessinent, comme dans la Nièvre, où pas mal de petites communes ont encore un peu de disponibilité, avec pour certaines, la possibilité de contractualiser et faire que le foncier disponible soit redirigé vers les filières bio. Le second levier passe par des contrats pluriannuels et un engagement fort avec la restauration collective, afin d’assurer aux filières plus de débouchés… Concernant l’élevage, j’ai rencontré l’interprofession à Dijon et appris que  pour une question de coût notamment, 80 % des viandes consommées dans la restauration collective, étaient importées alors qu’en même temps, nous sommes dans la région, sur des filières d’excellence, avec des bêtes élevées sur le modèle extensif ! Pour réduire le coût par repas, on peut aussi diminuer le grammage de viande car d’une manière générale, nous en mangeons trop aujourd’hui, et privilégier de la viande de bien meilleure qualité… ».

 

 

Que pensez-vous de la colère des agriculteurs bio vis-à-vis du plan national présenté dans le cadre de la prochaine PAC, visant à maintenir un flou entre le bio et la norme « Haute Valeur Environnementale », leur faisant perdre selon eux, une part importante des aides prévues ?

DC : « Cette norme a de bons côtés, à commencer par le repeuplement obligatoire des haies, une mesure qui aujourd’hui n’est pas imposée en bio. Mais cela reste une norme demandée par l’agro-industrie, apparue parce que l’agriculture raisonnée ne marche pas. Il y aurait je pense, un mix à faire des deux et inventer la « bio HVE » ! (rires)

SM : « Il y a peut-être certaines choses intéressantes, mais pour moi, que cela s’appelle culture raisonnée ou Haute Valeur Environnementale, c’est la même chose, une usine à gaz ! L’important reste bien les pratiques culturales dans les champs, c’est-à-dire moins de pesticides, moins d’intrants, un respect plus grand de l’environnement. A un moment donné, il faut nommer les choses et passer le cap ! Toute une réflexion est à faire, il en va de la survie de notre agriculture ».

Le sujet de l’éolien fait débat notamment dans l’Yonne, où les installations se sont multipliées ces dernières années. Vous êtes candidate à la présidence de la région, quel est votre programme en la matière ?

SM : « L’éolien est une énergie renouvelable, qui s’inscrit dans un mix énergétique où il a toute sa place. Pour autant, nous refusons toute installation d’éoliennes issues d’un fonds d’investissement et sans réelle concertation. Il faut privilégier des projets de moins grande envergure, avec des éoliennes plus petites. La technologie avance sur le sujet, et surtout, en concertation avec les populations, les collectivités et pourquoi pas aussi, des projets citoyens… Il faut que tout soit fait en bonne intelligence, la meilleure énergie étant par définition, celle qui n’est pas dépensée. Oui à l’éolien, mais pas n’importe où, pas n’importe comment et pas avec n’importe qui ! »

 

Propos recueillis par Dominique BERNERD

 


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On connaissait déjà les « Crop Circle ». Ces cercles aux formes bizarroïdes qui occupent çà et là des parcelles d’exploitation. Aux confins du réel, de la supercherie ou pourquoi pas du surnaturel ! Mais, là, il s’agit de tout autre chose nettement plus terre-à-terre qui se nomme le « relay-cropping ». Un anglicisme de plus, à découvrir pour les professionnels de l’agriculture, ce jeudi 17 juin dans le cadre de la journée INNOV’ACTION portée par la Chambre d’agriculture de l’Yonne…

 

AUXERRE : Définir cette technique novatrice pourrait se résumer en une ligne : le « relay cropping », c’est une piste de réflexion innovante pour récolter deux cultures sur une même campagne.

Et qui d’autre pour l’évoquer que les techniciens de la Chambre départementale d’Agriculture qui, dans le cadre d’une journée du programme INNOV’ACTION, décortiqueront à loisir ce processus.

L’épisode II de cette saga se poursuivra donc avec la complicité de la SEP de Bord à Bligny-en-Othe, ce jeudi 17 juin en matinée, entre 10 et 13 heures.

Entre la visite de parcelles et le retour d’expérience observé sur les semis de sorgho, soja et tournesol, les participants ne manqueront pas de sujets de discussion, assurément !

 

Thierry BRET

 

 


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L’opération se décline à travers l’Hexagone. Du 04 au 06 juin. Logique que le Muséum d’Auxerre y participe pour la seconde fois consécutivement. La conservatrice de ce lieu culturel Sophie RAJAOFERA a bien fait les choses. Ouvrant tout grand les accès de son parc où différentes activités seront proposées dont l’une sert à mesurer les arbres. La nature, enfin, s’apprécie sous le soleil du printemps…

 

AUXERRE : La thématique semble être une évidence en soi : la transmission des savoirs. Des connaissances qui permettent de mieux appréhender tout ce qui nous entoure au niveau de la nature, un environnement dont on nous parle tant depuis des années à travers sa préservation.

Pour en connaître davantage sur cet item qui intègre la grande manifestation annuelle consacrée aux jardins, immersion directe au Muséum d’Auxerre, du vendredi 04 juin au dimanche 06 juin.

Là, des animations spécifiques et des expositions vous y attendent. Elles ont été concoctées par l’équipe de cet établissement dirigé par Sophie RAJAOFERA. On y appréciera un outil très utile, la croix du bûcheron, servant  à mesurer la hauteur des arbres ; on y découvrira les zones de pousse spontanée du parc et ses espèces inattendues ; on y discutera avec un apiculteur évoquant le quotidien de son métier et cet amour qu’il éprouve envers les abeilles ; on y regardera la nouvelle exposition en plein air, baptisé sobrement « L’Art aux jardins ». Des fleurs et des insectes qui ont inspiré la créativité des artistes.

Il n’est pas exclu de pouvoir se poser dans l’herbe en empruntant un kit contenant une couverture de sol et des livres ainsi des jeux !

Quant aux plus curieux, ils se muniront de leurs smartphones contenant les QR Codes à scanner et auront tout le loisir d’observer avant de les identifier les oiseaux de ce lieu de verdure. A moins qu’ils ne décident de se plonger dans l’exposition temporaire, consacrée aux coraux à voir à l’intérieur du musée…

 

  

En savoir plus :

Rendez-vous aux Jardins

Muséum d’Auxerre

5, boulevard Vauban

89000 AUXERRE

Ouverture exceptionnelle du parc vendredi de 8h30 à 17h30

Week-end : de 10h à 17h30.

Programme complet de la manifestation sur auxerre.fr ou rendezvousauxjardins.culture.gouv.fr

 

Thierry BRET

 


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L’agence de développement touristique et relais territorial des OTSI, s’associe avec le réseau national LEBONPICNIC pour un partenariat qui devrait voir le jour prochainement. Le but est d’accompagner les consommateurs à la découverte de nouvelles saveurs locales. A travers un service de pique-niques, utilisé pour valoriser les productions du terroir…

 

AUXERRE : La Communauté de Communes Le Tonnerrois en Bourgogne ainsi que la Communauté des Communes de Chablis Villages et Terroirs ont choisi de s’associer à cette initiative. L’agence Yonne Tourisme a également proposé aux intercommunalités du territoire de soutenir le dispositif s’ils le souhaitent. De ce fait, elle a pris contact avec les offices de tourisme du département pour effectuer la mise en place de ce projet afin que les personnes venues en vacances ou en découverte de notre patrimoine puissent eux aussi profiter de cette nouveauté.

Les offices de tourisme du Migennois, de Chablis, Cure, Yonne et Tonnerrois, du Grand Vézelay et de l’Auxerrois ont répondu favorablement à cette sollicitation.

Yonne Tourisme a décidé de prendre en charge les coûts qui sont liés à la participation des entreprises. Ils comprennent l’accompagnement des artisans volontaires par l’équipe de LEBONPICNIC mais aussi leur frais d’inscriptions pour deux ans (hors kits et contenants).

 

Un avantage gustatif pour la découverte du territoire…

 

Ce projet de pique-niques se décline à base de produits du terroir qui peuvent être cuisinés par des artisans, des commerçants ou bien des restaurateurs du cru. Ces derniers étant réservables en ligne. Des visites y seront insérées, celles de parcs, jardins, châteaux...Les consommateurs ont ainsi la possibilité de découvrir la nourriture mais aussi différents lieux du territoire.

La présidente de Yonne Tourisme Anne JERUSALEM a déclaré à propos de cette initiative que « Yonne Tourisme et ses partenaires se donnent pour objectif de proposer, dès cet été une offre de pique-nique répondant aux besoins des touristes en itinérance dans l’Yonne, notamment le long du Tour de Bourgogne à Vélo, du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle ou encore dans les vignobles icaunais. Nous savons d’ores et déjà que les activités de pleine nature seront très prisées cette saison… »

Pour réserver son pique-nique, il suffit de le sélectionner sur le site Internet et remplir le formulaire. Une demande de réservation doit être faite la veille avant 18 heures. Il est également possible de le réserver plus de 48 heures à l’avance, de ce fait, un mail est envoyé en guise de rappel aux consommateurs. Une initiative goûteuse à plus d’un titre…

 

Jordane DESCHAMPS

 


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Une fois n’est pas coutume dit l’adage. Mais, l’univers agricole sera placé sur le devant de la scène médiatique en juin prochain. Grâce à des spots publicitaires qui inonderont les canaux cathodiques des chaînes du groupe France Télévision. Objectif : vanter l’une des filières ayant le vent en poupe en France, la CRC pour « Culture Raisonnée Contrôlée ». Précisément celle que promeuvent les coopératives 110 Bourgogne et YNOVAE sur notre territoire…

 

PARIS : La campagne s’invite à la ville. Plus exactement, la vision bucolique de champs ensemencés de cultures imprégnera de ces images les esprits curieux des téléspectateurs. Les yeux rivés sur les écrans de leurs téléviseurs, ceux-ci découvriront tout au long du mois de juin une série de clips projetant sous le feu des projecteurs la filière CRC et ses bienfaits !

De quoi ravir les dirigeants des deux importantes coopératives de notre contrée, à savoir 110 Bourgogne et YNOVAE, qui encouragent au développement de ladite filière. Eux-mêmes étant de judicieux ambassadeurs de ce concept de valorisation.

Récemment, les responsables de 110 Bourgogne ont obtenu de précieux subsides de l’Etat dans le cadre de l’appel à projet France Relance. Afin de restructurer les filières agricoles et agroalimentaires au centre de bon nombre de préoccupations gouvernementales.

 

 

 

Concrètement, nous l’avions expliqué par le biais d’un article paru dans nos colonnes, l’entité 110 Bourgogne lançait un programme de travaux visant à réhabiliter quatorze silos à grains répartis sur la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne.

Au-delà du réaménagement pragmatique de ces silos se grève également la volonté de mieux rétribuer les productions des adhérents de la structure. Considérant que la filière CRC représente l’une des voix d’excellence dans sa démarche qualité, la coopérative 110 Bourgogne, à l’instar de trente-quatre autres entités similaires et plus de 3 000 agriculteurs, est devenue l’un des promoteurs de cette branche qui ne demande qu’à croître.

Gageons qu’après la diffusion de ces courts métrages, la filière CRC (elle a de beaux jours devant elle) sera mieux reconnue et identifiable par le grand public. Une filière qui produit 550 000 tonnes annuelles et représente 10 % des blés français destinés à l’alimentation humaine…

 

Thierry BRET

 


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