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Il aime l’Yonne et ses décideurs économiques. Ils le lui rendent bien ! Puisque nombreux aiment se délecter de ses réflexions pertinentes et de ses idées savantes faciles à comprendre. L’éditorialiste de « L’Express » et essayiste interviendra lors de la prochaine assemblée de CER France BFC dans l'Yonne à Auxerre le 22 octobre prochain…Evènement en perspective !

 

AUXERRE : Que celles et ceux qui sont déjà partenaires, adhérents et clients de CER France se manifestent vite pour mettre une option sur l’une des places disponibles favorisant l’accueil de la future assemblée générale sur le territoire de l’Yonne ! Pour les autres, une seule alternative, devenir très vite partenaire pour en bénéficier !

Une pointure de la prose économique nous revient bientôt (environ une visite annuelle ou tous les deux ans biffée sur son agenda tant il adore notre département) : j’ai nommé Nicolas BOUZOU !

On ne présente plus le personnage : une sommité de l’économie et de ses arcanes dont il sait vulgariser la moindre information, exemples à l’appui.

La plume de « L’Express », auteur de moult ouvrages, dont le dernier « Homo Sanitas » a été publié récemment, Nicolas BOUZOU est de retour !

Une aubaine pour les organisateurs de la manifestation, CER France qui organisera sa grand-messe annuelle en accueillant dans l’enceinte du parc des expositions son public d’adhérents et ses collaborateurs. 

L’économiste qui ne pratique pas la langue de bois en assénant quelques bonnes vérités invitera le public à se plonger dans les enjeux de demain, plaçant l’entrepreneur face à l’accélération des mutations que l’on peut supposer majoritairement numérique et technologique.

Bref, après l’annonce de la venue de Philippe DESSERTINE hier à Auxerre pour disserter lors de la cérémonie des vœux de l’UIMM et du MEDEF en janvier, c’est au tour de Nicolas BOUZOU de nous rendre une petite visite de courtoisie intellectuelle comme il en a désormais pris l’habitude cet automne.

Décidément, l’Yonne devient le terrain de jeu préféré des élites de l’économie. Plutôt bon signe pour l’attractivité de ce territoire, non ?

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est une réussite pour l’association « Confrérie du bois » et pour son président Luc FRAISSE. Depuis 2015, après une première édition en 2016, puis à raison d’une fête tous les deux ans (sauf l’année de la pandémie), l’organisation est peu à peu montée en puissance avec cette année un premier concours de bûcheronnage sportif qui a attiré 18 concurrents dont 13 français, trois tchèques et un italien. Le vainqueur, Alexandre Meurisse, a totalisé le meilleur score sur l’ensemble des cinq épreuves : à la hache, au passe-partout et à la tronçonneuse.

 

PONT-SUR-YONNE : L’idée est à l’origine de rassembler des acteurs de l’ensemble de la filière bois, bien présente sur le département et en région. Une découverte pour le public venu aussi bien pour glaner des informations sur les entreprises et les produits, voire sur les formations en lycée professionnel, que pour profiter de l’ambiance estivale au bord de l’étang de la Vandoise. En outre, ils ont pu admirer des animations placées sous le signe de la tradition avec les combats médiévaux et des sonneurs écossais.

Dans cette ambiance festive, Luc FRAISSE, président de la Confrérie du Bois, apporte quelques précisions sur la situation actuelle de la filière.

« Elle se porte bien, avec environ 400 entreprises sur le Sénonais et des carnets de commande bien remplis. Les demandes de formation par apprentissage sont assez nombreuses. Le problème étant parfois le niveau scolaire des postulants car il s’agit de métiers très techniques dans lesquels il faut des connaissances de base, par exemple savoir calculer.

 

 

Une pénurie qui prend ses origines dans des velléités spéculatives…

 

Selon vous qu’en est-il de la pénurie de matériaux bois dont on a entendu parler ?

Je ne l’explique pas bien car les forêts françaises sont en expansion depuis les années soixante. La raison avancée est qu’il y aurait une forte demande de l’étranger, aussi bien la Chine que les Etats-Unis. Mais, ces dernières années les scieries ne tournaient pas à 100 %. Il reste donc une marge de progression. Cette pénurie est en tout cas préjudiciable car les artisans ont continué de travailler durant la pandémie mais certains chantiers se sont trouvés à l’arrêt. L’explication que je vois est plutôt une volonté de faire monter les prix. Au printemps 2021, la reprise a été très forte, on avait du mal à suivre. Le problème pour certains a été que les devis avaient été signés pour disons 100 € et qu’au moment de commander les matériaux ceux-ci avaient augmenté jusqu’à environ 140 €… ».

 

Claire CIUPA

 

 

 


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Plus de 250 postes sont à pourvoir dans la filière viticole en ce mois de septembre pour participer aux traditionnelles vendanges dans l’Yonne. Pôle Emploi et l’ANEFA ont organisé ce mardi matin à Auxerre une permanence afin d’accueillir toutes les personnes susceptibles de rejoindre les vignobles pour une durée d’une quinzaine de jours…

 

AUXERRE : Le gel et la maladie (le mildiou entre autres) ont fragilisé les grappes de raisin cette année. Conséquence : leur récolte nécessite une approche quasi manuelle dans les vignobles. Au grand dam des professionnels qui ont donc recours à un besoin de main d’œuvre très important.

Aussi, pour résoudre cette problématique à plusieurs inconnues lorsque l’on évoque le recrutement et son potentiel, Pôle Emploi et l’ANEFA (Association nationale pour l’emploi et la formation en agriculture) se sont penchés sérieusement sur la question. Ils ont organisé une permanence dans le hall d’accueil de l’organisme, ce mardi en matinée.

D’autant que plus de 250 postes sont à pourvoir de manière temporaire (une quinzaine de jours) pour répondre aux besoins des viticulteurs du cru. Toutes les personnes en recherche de job (étudiants, inactifs, retraités) peuvent prétendre à ce recrutement qui ne requiert pas de profil type particulier.

Parallèlement, et pour une période de quatre mois, les viticulteurs offrent des emplois de saisonnier devant assurer la taille dans les vignobles. Principalement ceux de Chablis et de ses alentours.

A contrario, ces postes doivent intéressés un public plus expérimenté possédant un certificat de taille.

 

 

Le marché caché des vendangeurs est encore plus éloquent : 700 postes recherchés !

 

Si 250 offres sont d’ores et déjà disponibles pour grossir les rangs des vendangeurs s’affairant sous le soleil de cet été indien vécu dans l’Yonne, les instigateurs de cette campagne de sensibilisation estiment à plus de 700 le nombre de postes vacants dans le marché caché de la filière.

Autant dire que celles et ceux qui veulent s’activer parmi les vignes pour y cueillir le fruit de la récolte (tant en grappes qu’en numéraire) peuvent le faire sans l’once d’une difficulté cette saison.

Désireux de distiller le maximum de renseignements sur le sujet, les services de Pôle Emploi ont également placé un mur affichant des références dans le hall d’entrée du site auxerrois. Ce mur répertorie chacune des offres en quête de besoin.

Animatrice au sein de l’ANEFA Yonne, France LAHUTTE a tenu la permanence en cette matinée de mardi pour répondre à toutes les interrogations.

Précisons enfin qu’une autre filière de l’agriculture, celle de l’élevage, recherche une centaine de personnes afin de rejoindre les exploitations réparties sur notre territoire.

 

Thierry BRET

 

 


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Au bout de cinq années de forcing auprès des services de l’Etat, la maire de Sens Marie-Louise FORT est enfin parvenue à obtenir l’autorisation d’aménager l’extension des Jardins de l’Orangerie, ancien havre de paix des archevêques jusque-là laissé à l’abandon. Inauguré depuis peu, c’est une incontestable réussite pour les férus de patrimoine et de verdure…

 

SENS : Cultivés par des communautés religieuses depuis le Moyen-Âge, les jardins de curé étaient de véritables havres de paix qui joignaient l’utile à l’agréable. Se mêlaient de nombreuses plantations, de fruits et légumes, de fleurs traditionnelles servant à la décoration de l’église, de plantes médicinales et potagères, bordées par du buis. Ils leur permettaient de subvenir à leurs besoins quotidiens, médicaux et alimentaires, mais ils leur offraient aussi un lieu de détente.

Au nombre de 30 000 au XIXème siècle, ils ne sont plus qu’une poignée à l’heure actuelle, notamment en raison du changement de mœurs, de l’avènement de la télévision ou encore de l’urbanisation. Encore que, depuis quelques années, un réel engouement pour ces espaces verdoyants sortis d’une autre époque semble émerger chez les amoureux du jardinage. D’ailleurs, les conseils pour créer son propre jardin de ce style foisonnent sur la toile.

 

Il faudra attendre le XXIème siècle pour revoir un jardin de curé à Sens…

 

L’extension des Jardins de l’Orangerie a endossé de nombreux rôles à travers les siècles. Au XVIIIème, l’archevêque de Sens, Mgr LANGUET de GERGY décide d’agrandir cet espace de verdure en réalisant de nombreux travaux. Mais après la Révolution, les jardins sont laissés à l’abandon, puis réhabilités par Mgr de la FARE, sous la Restauration.

Au début du XXème siècle, avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat, l’ensemble archiépiscopal laisse place à un « sanctuaire de l’enseignement pour jeunes filles » comme le raconte Marie-Louise FORT. Le jardin devient une cour de récréation et l’Orangerie, un gymnase. Il se mue ensuite en « un vaste dépôt municipal ».

Le jardin de curé ne renaîtra finalement de ses cendres qu’au XXIème siècle. Il trône désormais parmi quelques rescapés de son espèce, dont celui du peintre Claude MONET à Giverny, l’un des plus charmants. 

 

 

La ville de Sens se réapproprie cette tradition ancestrale…

 

« Ici, les jardiniers ont encore pu donner libre court à leur imagination en proposant une composition savante de plantes médicinales, tinctoriales, aromatiques et potagères » a déclaré Marie-Louise FORT lors de l’inauguration de ce nouvel espace d’agrément.

La ville de Sens s’était donnée pour objectif de faire revivre l’un de ces jardins qui jouxtaient autrefois les abbayes, couvents ou monastères. Non sans effort car elle œuvrait depuis cinq ans afin de persuader la DRAC (Direction régionale des Affaires culturelles) de Bourgogne de l’utilité d’une telle initiative. Celle-ci venant enrichir le patrimoine floral et historique du territoire sénonais.

Le parcours de ce projet fut davantage semé d’embûches, étalé sur de nombreux mois, et freiné par les mesures de confinement. Il voit finalement le jour cet été après plus de 2 000 heures de travail, coûtant au total 105 000 euros.

 

 

La ville souhaite faire de l’acier Corten sa marque de fabrique…

 

Le service des parcs, jardins et espaces verts a pu, une nouvelle fois, faire la preuve de son talent horticole en aménageant ce  jardin. Du design à la culture, le service a entièrement mené ce projet hors normes, sauf pour la sécurité incendie, prise en charge par une entreprise externe. La municipalité tenait à favoriser des matériaux et des matières premières françaises, voire locales.

Issue du sud de l’Yonne, la pierre de Bourgogne orne notamment la fontaine. Elle est un élément essentiel de cette installation. Tout comme l’acier Corten avec lequel ont été fabriqués les bacs, fournis par la société ATECH, basée dans les pays de la Loire.

Le responsable du service, Aurélien LOISEAU, précisa, en outre, qu’il « existe une ligne rouge entre chaque espace vert » grâce à l’utilisation de l’acier Corten. Les quatre grandes lettres de la ville de Sens, apposées au mur du quai Schweitzer et souhaitant la bienvenue aux bateliers, sont d’ailleurs aussi faites de cette matière.  « Dans tous nos projets, on va l’intégrer au fur et à mesure… ». Sage résolution !

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


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Il ne pouvait rêver mieux, l’ex-responsable de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne. Evincé du fauteuil suprême de président de l’organisme consulaire en novembre 2012, au terme d’élections qui lui seront défavorables, l’éleveur de Leugny effectue un retentissant come-back sur le devant de la scène de la filière. En se parant de la vêture de conseiller départemental en charge des questions agricoles et environnementales. Un formidable pied de nez à l’adversité ?

 

AUXERRE : Intérieurement, c’est sûr, le binôme d’Isabelle FROMENT-MEURICE, doit savourer l’instant présent. Elu lors des dernières échéances départementales dans le canton de Cœur de Puisaye avec 62,35 % des suffrages au second tour (expédiant ainsi dans les limbes de l’oubli le tandem du Rassemblement national), Gilles ABRY (LR-UDI) retrouve la tribune officielle de la Chambre départementale d’Agriculture, pour sa traditionnelle session de rentrée en cette matinée du 09 septembre.

Il siège aux côtés du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, d’Arnaud DELESTRE, le président de l’institution agricole et de François AVEZ, le nouveau directeur qui vient de prendre ses fonctions en remplacement d’Hervé MIVIELLE.

Une estrade que le personnage connaît bien, assurément. D’autant qu’il l’a fréquenté sous un tout autre registre six années durant, entre 2006 et 2012. A l’époque, l’agriculteur-éleveur y tenait la baguette de chef d’orchestre de l’assemblée consulaire. On connaît la suite : les élections de novembre 2012 furent fatales à sa réélection.

« Même si je suis aujourd’hui un élu du Département, annonce-t-il en guise de préambule, je reste surtout un agriculteur… ».

 

 

« Les agriculteurs sont là pour travailler la terre et nous nourrir… »…

 

Le ton est donné. Professionnel dans l’âme, le représentant de la commission Agriculture, Environnement et Alimentation du Conseil départemental sera celui des élus qui suivra l’actualité et les activités de la filière. Cela tombe bien : au moment où celle-ci en a le plus besoin !

D’ailleurs, l’orateur du jour n’a pas attendu très longtemps avant de se rappeler à notre bon souvenir par l’expression de petites phrases où la langue de bois est totalement proscrite du discours.

Florilège : « Nous, autres, les agriculteurs sommes là pour travailler et nourrir les hommes, il ne faudrait pas que certains utopistes et extrémistes l’oublient en ne pensant sauver que quelques oiseaux… ».

Ou encore : « Entre le Conseil départemental et la Chambre d’Agriculture, il y a un manque de coordination sur certains sujets ! ». Et celle-ci : « Je pense que l’outil AGRILOCAL coûte dix fois plus cher à son fonctionnement qu’il ne rapporte en terme de chiffre d’affaires… ».

Du sévère servi à l’état brut qui devrait bousculer quelque peu dans les chaumières !

Bref : on l’aura compris, Gilles ABRY n’a pas été élu au Département pour faire de la figuration. Surtout dès qu’il s’agit de défendre les intérêts et les droits de la filière agricole.

Former et anticiper intègrent son credo. Développer, l’esprit d’entreprise au sein de l’agriculture, aussi. « Nous allons travailler à de vrais projets d’avenir… ». Et peut-être, en toile de fond, essayer de résoudre la sempiternelle question de la pénurie de main d’œuvre qui plombe le travail dans les exploitations.

Se projetant vers l’avenir, l’élu spécialiste des questions agricoles évoque Paris et l’échéance olympique de 2024.

« Nous allons mettre une vraie action de communication afin de valoriser nos filières et notre campagne avant les Jeux… ». La proximité avec la capitale hexagonale ne peut qu’induire de réelles retombées économiques pour les filières de production.

Une chose est sûre : au terme de sa première prise de parole dans cette assemblée consulaire dont il connaît le moindre des rouages, Gilles ABRY entend bien ne pas flâner en route et entrer immédiatement dans le vif des sujets.

 

Thierry BRET

 

 


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