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Malgré les conditions météorologiques déplorables, la France vit sur un rythme ralenti en pleine saison estivale. Cela n’empêchera pas trois membres du gouvernement d’effectuer un court déplacement en province pour y rencontrer les exploitants du secteur viticole…

 

CHABLIS: L’Hexagone qui ne souffre pas de canicule vit pourtant à l’heure de la saison estivale. Sur un rythme plus ralenti que d’ordinaire. Pourtant, cette journée du 20 juillet devrait être synonyme d’effervescence dans la cité vineuse avec la réception de trois représentants de l’Etat.

En effet, Franck RIESTER, ministre délégué en charge du Commerce extérieur et de l’Attractivité, Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie et Clément BEAUNE, secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes, ont planifié une visite en terre de l’Yonne avec comme objectif prioritaire de soutenir la filière viti-vinicole nationale.

Les trois membres du gouvernement CASTEX seront accompagnés du représentant personnel du Président de la République en matière de gastronomie, Guillaume GOMEZ.

 

 

Une visite s’articulant en trois parties…

 

Outre une rencontre avec les spécialistes de l’oenotourisme locaux, le quatuor échangera avec les professionnels et exploitants du secteur vineux, clé de voûte du rayonnement de la France à l’international.

Si ce déplacement offrira une tribune légitime à ses interlocuteurs pour détailler les aides apportées par le plan de relance dans le département, en particulier en matière agricole, l’accord trouvé récemment entre les Etats-Unis et l’Union européenne de suspendre pendant cinq ans les surtaxes liées à l’affaire opposant les avionneurs AIRBUS et BOIENG permettra d’esquisser de nouvelles perspectives commerciales côté exportation.

Dans le concret, les ministres se déplaceront dans les locaux du BIVB (Bureau interprofessionnel des vins de Chablis) avant de se rendre sur l’aire des Lys où leur sera présenté le vignoble et de visiter les établissements de La CHABLISIENNE.

 

Thierry BRET

 

 


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La légitimité du concept n’est plus à faire. Quelques mois à peine auront suffi à imposer dans le paysage informatif et commercial de l’Yonne la plateforme numérique, bénéficiant du coup de pouce de la Région. « J’veux du local », au terme de sa première année d’existence, se porte bien. Elle envisage l’avenir sous ses meilleurs auspices, en souhaitant augmenter la jauge côté producteurs à promouvoir…

 

AUXERRE : Lancé en mai 2020, « J’veux du local », à l’appellation si explicite, fonctionne depuis à son rythme. Que l’on qualifierait volontiers de croisière. Adoubé par les organismes du territoire, à l’instar de la Région, du Département ou de la Chambre d’Agriculture, l’outil offre une fenêtre de tir opportune aux professionnels des métiers de bouche, agriculteurs, viticulteurs et dans une moindre mesure, restaurateurs et artisans, désireux optimiser leur visibilité.

Alors quand il s’agit de commémorer le premier anniversaire de ce concept, le président de la chambre consulaire agricole ne cache pas son enthousiasme. Arnaud DELESTRE sait que la plateforme a su faire mouche en l’espace de douze mois auprès de ses fidèles suiveurs. Et cela ne semble pas devoir se terminer dans un proche avenir.

 

 

De belles références parmi les 228 producteurs répertoriés…

 

Deux cent vingt-huit acteurs des filières agricoles et des métiers de bouche bénéficient à ce jour du référencement judicieux proposé par la plateforme, ayant pris sa source originelle en Saône-et-Loire. L’objectif du second exercice serait d’en ajouter 120 autres dans un laps de temps plutôt court ! Un potentiel de nouveaux contacts qui ne manquera pas d’interpeller les quatre mille visiteurs fréquentant déjà le site avec assiduité.

Parmi les producteurs référencés, 26,4 % sont convertis à l’agriculture biologique, 19,4 % ont rejoint le réseau « Bienvenue à la Ferme » et 7,5 % disposent d’une distinction honorifique obtenue au concours général agricole.

Ce sont les producteurs de fruits et légumes qui sont les plus représentés dans ce panel éclectique du savoir-faire départemental. Ils sont au nombre de 57. A noter qu’une cinquantaine de viticulteurs figure en bonne place dans ce dispositif digitalisé.

On notera pour l’anecdote la présence de trente-neuf marchés (ils ne sont pas tous répertoriés), une douzaine de collectifs de vente, six caves et autres lieux agro-alimentaires (brasserie). La présence de boucheries se limite pour l’heure à deux commerces. Trop peu encore, de l’avis du président de la Chambre départementale d’Agriculture.

 

 

Un premier objectif avec 120 nouveaux producteurs à convaincre…

 

Si le nombre de pages consultées dépasse le palier de 8 200 unités, précisons que 50 % des utilisateurs emploient leur smartphone pour aller à la quête d’une information pertinente.  

Présente sur la totalité des départements que compte la Bourgogne Franche-Comté, la plateforme promotionnelle (elle n’est pas un site marchand) pourrait accueillir encore près de cent vingt producteurs supplémentaires, en particulier ceux issus du domaine viticole, au cours de ces prochains mois. C’est le vœu le plus cher du président DELESTRE qui prend conscience de la force de frappe offerte par cette vitrine de communication.

D’ailleurs, l’outil connaît un regain d’intérêt de la part d’autres chambres consulaires même éloignées de notre secteur géographique. C’est le cas en particulier avec le département de l’Ardèche qui devrait bientôt en être pourvu.

Outre les viticulteurs qui figurent parmi la liste de prospects à convaincre afin de rejoindre le concept, les restaurateurs s’inscrivent en priorité dans la boucle pour renchérir une offre à l’éclectisme accru que propose à date le dispositif.

C’est certain : la plateforme n’en est qu’au balbutiement de ses possibilités…

 

Thierry BRET

 


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Innovation pédagogique à tous les étages au sein de l’établissement à vocation agricole de l’Auxerrois ! L’apport de simulateurs de conduite d’engins devrait être un sérieux plus éducatif pour les élèves qui fréquentent la filière. D’autant que sept de ces appareils aux multiples options y seraient fonctionnels pour assurer une découverte des risques inhérents aux métiers, mêlant aspects ludiques et modernistes. Qui a dit que l’enseignement agricole n’était pas à la pointe de la technologie ?!

 

VENOY : C’est presque une révolution de palais au sein de l’institution agricole de l’Auxerrois. Appréhender toutes les subtilités techniques propres aux différents métiers de la filière par le prisme de la simulation électronique représente un sérieux avantage pour celles et ceux des apprenants qui s’y exercent.

Testés par plusieurs élèves, trop heureux de vivre cette expérience unique, les simulateurs de conduite d’engins offrent une kyrielle de possibilités, devenant une étude de cas grandeur nature où le conducteur doit savoir manier les manettes de ce pseudo engin virtuel avec dextérité et prudence.

Muni de diverses options (enjambeur, véhicule agricole, transport animalier, van, tractation d’une remorque…), l’appareil plaçait dans un contexte proche du réel ces jeunes gens encore inexpérimentés à la conduite qui souhaitaient en découdre avec lui, histoire de se mesurer aux vertus du digital !

 

Le volet sécuritaire examiné en priorité…

 

Naturellement, du fait du confort usuel de cet appareil issu du made in France, les apprentis conducteurs d’engins agricoles purent aborder le volet sécuritaire et la découverte des dangers existants à leur mauvaise maniabilité. Avec en filigrane, le souci de l’optimisation économique des engins, bien réels ceux-là, que ces jeunes apprenants seraient amenés à piloter ultérieurement lors d’exercices sur le terrain. En maîtriser avec plénitude les gestes serait un gage supplémentaire pour en éviter la casse ! Donc, les coûts inutiles à leur réparation !

Conscient de cette prodigieuse avancée pédagogique favorisant la confiance et l’engouement des élèves, le CFA La Brosse, associé au lycée et au CFPPA éponymes, envisagent très sérieusement de se doter de sept de ces appareils révolutionnaires, fortement usités dans le milieu des travaux publics et du bâtiment.

Grâce au concours du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté qui supporterait 80 % de l’achat, l’établissement disposerait d’un reste à charge plus que correct pour en financer l’octroi.

Une enveloppe budgétaire de 700 000 euros TTC serait nécessaire pour acquérir sept de ces simulateurs de dernier cri, gavés de multiples options. Il n’est pas exclu que d’autres partenaires économiques inféodés à la cause agricole participent au projet.

 

 

Une sélection entre deux prestataires basée sur le coût et les options…

 

Selon Hélène DECULTOT, directrice du CFA agricole, le choix entre les deux prestataires français (ACREOS et TENSTAR) n’est pas encore définitivement entériné.  L’heure est toujours à la phase des essais entre les deux concepts.

Si tout se déroule comme prévu dans le cahier des charges, ces simulateurs de conduite d’engins pourraient être opérationnels au printemps 2022.

Juste avant les futures portes ouvertes du site où ils deviendront les vedettes américaines de ce rendez-vous. Près de 450 élèves ainsi que des personnes en formation continue y auraient accès par la suite.

La décision définitive sera prise en septembre quant au prestataire retenu. Le coût ne sera pas le seul critère de sélection ; l’établissement aura une préférence pour le concept le plus éclectique en termes de possibilités d’options.

La filière de l’enseignement agricole s’inscrit désormais sous le sceau de la modernité avec l’apport de ces outils numériques. A l’instar du lycée viticole de Beaune qui dispose déjà de ce dispositif d’enseignement virtuel dans ses locaux.

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est une question d’équilibre entre partenaires. En filigrane, le maître mot, justifiant la signature de cet accord de coopération entre Paris et le territoire de l’Yonne. Une convention faite de réciprocité, de partage de valeurs qui augure de réelles perspectives à moyen terme pour ses signataires. Ainsi que les filières qu’ils représentent. L’agriculture, fournisseur de denrées alimentaires, et le tourisme dont il sera louable de consolider la promotion dans la capitale…

 

JOIGNY : Ce n’est pas tous les jours qu’un accord de partenariat valide le rapprochement entre la capitale de l’Hexagone et les organismes institutionnels qui défendent les intérêts économiques de l’Yonne.

Ce n’est pas tous les jours, non plus, que l’édile de Paris se déplace sur notre territoire, au demeurant si peu éloigné de la première métropole hexagonale. Surtout, pour y parler développement de projets et d’économie.

Autant dire que la visite de Madame le maire de Paris, Anne HIDALGO, revêtait d’un caractère très particulier à la limite de l’évènementiel. Il suffisait pour s’en convaincre d’observer l’aéropage d’élus et de personnalités présents dans le salon d’honneur de l’hôtel de ville de JOIGNY. Au premier rang desquelles siégeait l’ancien président du Conseil départemental et ministre de la Coopération, Henri de RAINCOURT. Un élu aux appétences LR.

Conviée par Nicolas SORET, maire mais aussi président du PETR Nord-Yonne (Pôle d’Equilibre Territorial et Rural) et de la Communauté de communes du JOVINIEN, Anne HIDALGO ne s’était jamais rendue de manière officielle dans le centre de l’Yonne. L’opportunité lui en a été donnée ce 24 juin. Elle y a paraphé l’important document qui lie désormais la ville monde que représente la capitale à notre territoire.

 

 

Des lentilles vertes à la conquête des cantines parisiennes…

 

De quoi s’agit-il précisément avec la présence de cette liasse de papiers ? De renforcer tout bonnement les relations économiques entre les deux instigateurs de ce partenariat.

La Ville de Paris, via la compagnie « Eaux de Paris », est propriétaire de champs favorisant la captation de l’eau dans l’Yonne, et ce, depuis longtemps. Ne dit-on pas, volontiers, que quatre Parisiens sur dix boivent de l’eau en provenance de notre département ?

L’Yonne possède des vertus nourricières envers la métropole voisine et ses 2,2 millions d’habitants. Grenier fruitier et légumier séculaire de la capitale, le territoire du nord de la Bourgogne a toujours entretenu des relations privilégiées avec sa puissante voisine. Le bois, les céréales, le vin, le lait transitent immuables vers Paris au gré de la rivière et de ses bateaux lourdement chargés. Celle qui coule jusqu’à Montereau, avant de se muer en un fleuve, la Seine.

Effet gigogne en guise de bon procédé : bon nombre de structures industrielles quittent la capitale pour s’installer dans cette partie de la province dans les années 1950 sous l’impulsion de Charles de GAULLE. C’est donc à une vieille histoire d’amour perdurant entre Paris et la terre icaunaise que nous avons à faire avant que celle-ci ne s’altère au début des années 1980.

Entraînant une trop longue période d’oubli.

 

 

 

Mais, le Conseil de Paris a une autre idée en tête. Elle prend corps, en partie, grâce à la maturation du temps. Premier aspect : l’Yonne et la capitale expérimentent l’installation d’agriculteurs bio. Ils produisent des lentilles vertes de très belle facture sur les terrains que possède la métropole lui servant de zone de captation de l’eau. L’expérience enregistre d’excellents résultats. Une fois récoltées, ces lentilles sont ensuite servies directement dans les cantines du XIème arrondissement, sans un quelconque intermédiaire.

Les professionnels de la filière, ceux de la Terre d’Othe, se frottent les mains. Non seulement, leurs produits nourrissent les jeunes têtes blondes scolarisées de la capitale, mais l’initiative, encourageante, augmente la rémunération des producteurs. Un constat positif, à l’origine de l’accord de coopération entériné ce jeudi 24 juin.

 

 

Agriculture et tourisme : les secteurs avantagés par ce contrat commercial gagnant/gagnant…

 

Il y a douze mois, le Conseil de Paris vote à l’unanimité la ratification de cet accord. Il en est de même chez ses deux partenaires icaunais, lors d’assemblées délibératives, le PETR Nord-Yonne, instance présidée par Nicolas SORET, et le PETR du Grand Auxerrois, dont le premier vice-président n’est autre qu’Etienne BOILEAU, signataire ce jeudi.  

Toutefois, un bénéficiaire de cette convention hautement stratégique suit avec moult  intérêts l’évolution du dossier. La Chambre d’Agriculture de l’Yonne qui en a étroitement défini les fondements.

L’organe consulaire, présidé par Arnaud DELESTRE, aurait eu tort de se priver de ces tractations dont il est profitable. L’accord offre, en effet, une immense opportunité pour les producteurs de l’Yonne d’ouvrir grandes les portes du juteux marché parisien. Avec en sus, une garantie de volumes et de prix sur plusieurs années !

 

 

 

Le contenu de ce premier rapprochement qui en appelle peut-être d’autres à terme s’articule autour de trois axes principaux : primo, la fourniture de denrées alimentaires à la ville de Paris ; secundo, la fourniture de matériaux issus de produits renouvelables destinés à la rénovation des logements parisiens ; tertio, l’aide que va apporter les structures ad hoc de la capitale à la promotion des richesses patrimoniales et touristiques de l’Yonne.

En résumé, l’agriculture et le tourisme devraient être les secteurs économiques largement avantagés par ce contrat gagnant/gagnant qui ne demande qu’à se développer très vite.

Une cerise vient aussi se rajouter sur ce gâteau aux subtilités déjà succulentes : la visibilité offerte aux producteurs. Ceux-ci pourraient toujours réinvestir dans des outils de transformation qui leur permettraient de créer de la valeur ajoutée dans notre département.

Un vœu, cher à Nicolas SORET, qui se satisfait pleinement d’engager un travail concret avec le monde agricole…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Une simple signature sur un morceau de papier peut-elle changer le cours d’une relation économique ? Si l’on en croit tous les interlocuteurs qui se sont exprimés en ce milieu d’après-midi à Joigny, la réponse est affirmative ! Désormais, la coopération entre la capitale de l’Hexagone et le territoire de l’Yonne devrait s’optimiser et connaître des jours meilleurs…    

 

JOIGNY : Tout sourire, l’édile de Paris Anne HIDALGO appose sa griffe au bas des documents soigneusement rangés dans le parapheur posé devant elle. Son plus proche voisin de table, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et maire de Joigny, Nicolas SORET, en fait de même. Un sourire à l’identique sur le visage…

Le ticket politique médiatique de ce jeudi 24 juin sera accompagné dans la démarche par le troisième signataire de cet accord aux réelles perspectives économiques pour la filière agricole, entre autres, soit le premier vice-président du PETR du Grand Auxerrois Etienne BOILEAU.

 

 

La convention de coopération actée entre la capitale de l’Hexagone et l’un des acteurs politiques du département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté augure de réelles opportunités à terme puisqu’il prévoit la fourniture de denrées alimentaires et de matériau bio-ressourcés à la ville de Paris ainsi qu’une promotion à la découverte touristique de l’Yonne.

Un partenariat dont nous dévoilerons les enjeux et les impacts dans un article à paraître ce vendredi…

 

Thierry BRET

 

 


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