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Le projet est mené conjointement par la Chambre départementale d’Agriculture et les services de la préfecture de l’Yonne. Il a pour objectif de finaliser le déploiement du photovoltaïque sur notre territoire. Via une charte officielle qui en baliserait les principes élémentaires. La production d’électricité issue des exploitations agricoles est l’une des pistes de diversification qui interpelle de plus en plus la filière…

 

AUXERRE : Trouver de nouvelles idées pour se garantir des revenus et de substantielles rentrées d’argent : voilà un défi qui préoccupe bon nombre d’acteurs de la filière agricole aujourd’hui.

Depuis quelques années, l’une des pistes de prédilection qui peut prendre forme dans les exploitations s’identifie par la pose de systèmes photovoltaïques au sol.

Une vingtaine d’opérateurs proposent désormais leurs services auprès des exploitants dans l’Yonne. Ils collaborent en étroite osmose avec la Chambre d’agriculture à la conceptualisation de ces dossiers. Découvrir le potentiel agronomique des parcelles susceptibles de porter ces projets suppose le besoin de devis qui sont réalisés par leurs soins.

Pour encadrer toutes ces initiatives, l’idée d’une charte départementale officielle, harmonisant la production d’électricité d’origine photovoltaïque dans ces exploitations, a été évoquée. L’idée a fait son petit bonhomme de chemin. Tant à la chambre consulaire de l’Yonne, présidée par Arnaud DELESTRE, qu’au sein de la préfecture et de ses services ad hoc.

Un projet de document a été ébauché avant qu’il ne soit transmis auprès de la Direction départementale des Territoires (DDT), préfigurant une première rencontre bipartite le 09 février dernier à Auxerre.

Si le dossier suit son évolution normale, le projet de charte pourrait être finalisé avant le terme du mois de mars.

Mais, avant de le mettre en application au niveau du territoire, la Chambre d’Agriculture précise qu’il conviendra aussi de recueillir les avis des différents partenaires associés à son déploiement, à savoir les représentants des deux associations de maires de l’Yonne, les présidents des communautés de communes, les associations environnementales et sociétales.

Parmi lesquelles, on trouve en guise de référence la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO), UFC/Que Choisir, ADENY ou encore FNE. S’ajouteront à ces contacts les quatre syndicats agricoles représentatifs tels que la FDSEA, les Jeunes Agriculteurs, la Confédération Paysanne et la Coordination Rurale.

Enfin, seront invités à examiner cette charte pour avis la SAFER de Bourgogne Franche-Comté, le Syndicat départemental des Energies de l’Yonne (SDEY) et le Syndicat national des Energies renouvelables.

Dès que la concrétisation de ce texte novateur deviendra effective, l’Yonne pourra alors se targuer d’avoir la primeur au plan national d’un tel engagement de partenaires sur ce sujet de plus en plus porteur…

 

Thierry BRET

 


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Décidément, les saisons estivales et leurs longs épisodes traumatiques de sécheresse que doivent subir les professionnels de l’agriculture se suivent et se ressemblent. A l’instar des trois années précédentes, le gouvernement vient d’exhumer le fameux régime de « calamités agricoles » de ses tiroirs. Il concerne les pertes de récolte de fourrage occasionnées par des températures hors normes…

 

AUXERRE : Que faire face aux aléas climatiques et à la rigueur persistante de la chaleur dès que la période estivale nous revient ? Si les adeptes du farniente et de la bronzette à outrance se contentent volontiers de la situation, ce n’est pas le cas des agriculteurs.

Depuis plusieurs années, ces derniers éprouvent les pires des difficultés à y faire face, notamment les éleveurs qui peinent à nourrir convenablement leur cheptel.

La sécheresse de l’été 2020 se sera inscrite dans la droite ligne de celle subie l’année précédente. Et de celle d’avant par les professionnels de la filière.

Les pertes de récolte sur fourrage ont été très importantes, engendrant la reconnaissance par l’Etat du régime de « calamités agricoles ». Un arrêté ministériel a officialisé la chose en date du 03 mars 2021.

Indemnisables, ces pertes se rapportent à la production des prairies temporaires et permanentes sur bon nombre de communes de notre département (voir la liste en annexe).

Concrètement, les éleveurs concernés par cet aléa climatique peuvent solliciter une indemnisation par le Fonds national de gestion des risques en agriculture. Mais, attention, si et seulement si, leurs prairies ne bénéficiaient pas d’une couverture assurantielle lorsque le sinistre est survenu.

Le dommage indemnisable au titre des pertes de récolte correspond au déficit fourrager, défini comme les besoins alimentaires des animaux non couverts par la production fourragère évalué à 900 UF/EVL.

Lors du dépôt de demande, les éleveurs seront dans l’obligation de justifier la présence d’une police d’assurance incendie/tempête sur leurs bâtiments d’exploitation avec paiement de la contribution additionnelle et d’une perte totale supérieure ou égale à 13 % du produit brut global théorique de leur exploitation.

 

En savoir plus :

 

Les producteurs disposent :

  • d’un formulaire de demande d’indemnisation téléchargeable sur le site Internet des services de l’État de l’Yonne à l’adresse suivante:

http://www.yonne.gouv.fr/Politiques-publiques/Agriculture/Mesures-nationales-et-mesures-exceptionnelles/Calamites-agricoles

Le document devra être retourné dans un délai de trente jours à compter de la date d’affichage de l’arrêté ministériel en mairie. Il existe aussi le site TéléCALAM, permettant d’effectuer la demande d’indemnisation par télé-procédure, à l’adresse :

http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr/demarches/exploitation-agricole/demander-une-aide-pac/article/demander-une-indemnisation

Toute demande devra être signée entre le 15 mars 2021 et 14 avril 2021 à 24 h.

Pour être tout à fait complet sur le sujet, précisons que ALYSÉ, en charge de l’identification animale pour le département de l’Yonne, met également ses services à disposition des éleveurs qui souhaitent être renseignés de leur effectif d’animaux présents au moment du sinistre et des quantités d’animaux vendus au cours de l’année 2019.

 

Contacts au :

ALYSE

Tel : 03.86.92.36.32.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

DDT (Direction départementale des Territoires) :

Tel : 03.86.48.42.34./ 03.86.48.42.66. (uniquement le matin de 09 h 00 à 11 h 45)

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est au cours de l’assemblée générale de l’organisme qui rassemble les Maisons de Bourgogne et du Beaujolais, soit près de soixante-dix entreprises, ce vendredi 26 février que le PDG de la Maison Albert BICHOT a hérité de nouvelles responsabilités. Investi dans le milieu de la viticulture depuis moult années, ce chef d’entreprise a été plébiscité par ses pairs…

BEAUNE (Côte d’Or) : Diplômé de l’Institut supérieur de Commerce, le nouveau président de l’Union des Maisons de Vins de Grande Bourgogne est un personnage connu et apprécié par ses pairs. Ceux-ci l’ont hissé à la présidence de cette vénérable institution régionale lors de son assemblée générale ce vendredi.

Membre du Comité permanent du Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne (BIVB), Albéric BICHOT, dirigeant de la maison viticole éponyme de Beaune, s’est investi également au sein du Conseil de bassin viticole Bourgogne-Beaujolais-Jura-Savoie.

Précisant en filigrane que « la solidité économique de la filière des vins de Bourgogne en ces temps de pandémie se confirmait », Albéric BICHOT a rappelé lors de sa prise de parole que « les grands chantiers de la filière viticole envisagés à l’avenir dans le cadre de son développement ne pouvaient être que la résultante d’un travail d’équipe de tous les instants… ». Voir l’article à venir qui sera consacré à ce thème.

L’Union des Maisons de Vins de Grande Bourgogne (UMVGB) réalise 60 % de la commercialisation des vins de Bourgogne.

L’entité est également membre de la Fédération des négociants éleveurs de Grande Bourgogne. Cette structure accueille une centaine de maisons de Bourgogne, Beaujolais, Jura, Savoie et Bugey. Elle y totalise un chiffre d’affaires qui excède le milliard d’euros (1,6 milliard précisément) et emploie environ cinq mille collaborateurs.

 

Thierry BRET

 


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Depuis le début de la pandémie, le Crédit Agricole soutient les acteurs de la filière agri/viticole de notre contrée en accompagnant leurs projets de développement. Sans omettre, l’octroi d’aides indispensables pour éviter les écueils. Soit environ 400 prêts garantis par l’Etat (PGE) et 38 millions d’euros destinés aux exploitations frappées de plein fouet par la crise.   

DIJON (Côte d’Or) : Face aux grands enjeux sociétaux devant favoriser la préservation de la planète, renouveler les équipements agricoles au bénéfice de matériels plus à même de renforcer la transition agro-écologique est devenu une nécessité très sérieuse pour les professionnels de la filière.

Ainsi, le Plan de relance agriculture initié par le gouvernement prévoit le versement de subventions adéquates à cette démarche. Celles-ci sont distribuées par France AGRIMER.

Le Crédit agricole Champagne-Bourgogne propose en parallèle un coup de pouce supplémentaire à cette initiative étatique : une avance de subvention sous la forme d’un prêt à taux zéro.

Le partenaire historique de ce secteur séculaire de l’économie crée ainsi une offre de préfinancement servant à l’acquisition immédiate de ces futurs équipements.

A titre d’exemples, cela répond à l’objectif de réduire et optimiser l’usage des intrants tels que les produits phytosanitaires, les effluents, les fertilisants mais aussi d’adapter le travail des agriculteurs aux aléas climatiques. En effet, plusieurs épisodes de grêle, de gel, de sécheresse, de vents forts, voire de violentes tornades ont sévi la saison dernière sur l’Hexagone.

 

Une nouvelle mesure qui complète le dispositif déjà existant…

 

Dès réception de la subvention par l’agriculteur ou la CUMA (Coopérative d’utilisation de matériel agricole), le remboursement sans frais sera effectif.

Quant au montant, il est équivalent à la subvention attendue. Soit entre 20 et 40 % du plafond éligible, en fonction du matériel agricole choisi, du projet global et, naturellement, du profil de l’emprunteur. Cette offre sera par ailleurs proposée directement par le concessionnaire qui commercialise ledit équipement.

Commentaire à chaud de l’un des dirigeants de l’établissement bancaire Jean-Christophe ROUBIN, en charge de la direction de l’agriculture : « Le fait de bénéficier d’un préfinancement sans intérêt sur la quote-part de l’investissement subventionné représente un réel avantage… ».

Cette nouvelle offre complète le dispositif existant. Elle permet d’accompagner les agriculteurs dans cette phase de mutations profondes.

Directeur du développement des marchés de l’entreprise, de l’agriculture/viticulture, des marchés spécialisés et de la banque privée, Tristan LAMY se félicite du lancement de cette procédure en parfaite cohérence avec le Plan de relance agricole déclenché par l’Etat.

 

Thierry BRET

 


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Le Centre régional de la propriété forestière (CRPF) prodiguera conseils techniques et expertises dans le cadre du plan de relance mis en place par l’Etat pour rendre plus vertes nos forêts. Si la biodiversité est l’un des enjeux majeurs de cette intervention, en injectant 200 millions d’euros dans ce plan, l’Etat souhaite aussi redynamiser le volet économique de la filière…

DIJON (Côte d’Or) : Dans le cadre du dispositif visant à relancer les secteurs économiques du pays après l’atonie observée avec le prolongement de la crise sanitaire, le secteur forestier n’a pas été oublié des enjeux.

Bien au contraire, puisque c’est une manne financière de deux cents millions d’euros qui lui sera consacrée en Bourgogne Franche-Comté.

Si l’ambition de ces mesures est avant tout d’ordre économique,  le volet de la biodiversité et de sa préservation ne seront pas omis des critères de référence pour leurs attributions.

Etablissement public au service de la forêt et des propriétaires privés, le CRPF (Centre régional de la Propriété Forestière) sera mobilisé. Comme devait le préciser récemment son directeur François JANEX pour accompagner les bénéficiaires de ces aides en leur donnant des conseils techniques et de judicieuses expertises.

Le plan se rapporte au remplacement des épicéas plantés à basse altitude.

Depuis trois saisons, ces arbres souffrent d’attaques régulières d’insectes qui prolifèrent et provoquent la mortalité de ces résineux affaiblis par la sécheresse et les températures caniculaires de la période estivale.

Ce sont des essences de provenance locale, voire plus adaptées au sol et au climat qui permettront ce nécessaire reboisement.

Il est prévu que 60 % de la surface aidée soit recouverte avec des végétaux à objectif de production de bois. Le reliquat de ces plantations pourrait s’agrémenter d’un ensemble de variétés destiné au gainage et à l’accompagnement des arbres à objectif bois, mais aussi à la diversification du peuplement afin d’enrichir l’écosystème et améliorer ainsi son fonctionnement.

Le mélange de ces différentes essences sera rendu obligatoire pour les surfaces excédant les dix hectares. Précisons qu’en cas de génération naturelle d’essences adaptées, sur des zones considérées à forte potentialité environnementale, ces végétaux pourraient être conservés.

  

Thierry BRET

 

 


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