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Le spécialiste de la bureautique, de l’informatique et de la commercialisation de fournitures de bureaux et d’ustensiles scolaires entame ce nouvel exercice avec beaucoup d’optimisme. De jolis contrats sont venus confirmer récemment la bonne vitalité de cette structure professionnelle, en place à Auxerre et dans l’Yonne depuis plus d’une décade. Les perspectives de développement se présentent sous de bons auspices pour son dirigeant, David PARIZOT. Ce dernier, responsable de la communication du « Club 15 », outil relationnel au service du Rugby Club Auxerrois, a effectué sa rentrée officielle il y a quelques jours sur le Sénonais lors d’une rencontre qui réunissait les chefs d’entreprise inféodés au réseau Entreprendre Bourgogne…

GRON : Détendu et satisfait de reprendre ses activités professionnelles, et promotionnelles en faveur de son club sportif de prédilection, le RCA (Rugby Auxerre Club) dont il anime le club d’affaires, David PARIZOT a débuté cette période de rentrée sous de bons alois. La société qu’il dirige depuis plus de dix ans ne connaît pas d’essoufflement dans sa propension à exercer son professionnalisme.

Bureautique, informatique, solutions technologiques, matériel de reprographie…OXO 89 est également passée maître dans l’art et la manière de vendre des fournitures. Qu’elles soient purement scolaires ou destinées à agrémenter les bureaux administratifs. Professions libérales, organismes publics, entreprises de services et industrielles mais aussi particuliers lui ont fait confiance dans cette relation privilégiée que cet entrepreneur communiquant a su décliner depuis tant d’années autour de lui.

De belles opérations avec le tissu professionnel local…

Profitant des retrouvailles du réseau Entreprendre Bourgogne, accueilli par un autre acteur économique qui possède le vent en poupe (Christophe ALLEMANDOU, PDG de PLASTIKPACK et actionnaire de la nouvelle société FRAPAK), David PARIZOT a eu l’opportunité de s’exprimer par notre intermédiaire sur sa rentrée économique.

« Les perspectives sont excellentes, devait-il préciser, nous avons conclu de belles opérations avec des partenaires professionnels… ».

Ainsi, près de 150 fauteuils de bureaux ont été acquis récemment par le leader mondial de la pompe industrielle MOUVEX afin d’équiper ses locaux. Une opération similaire aura permis au groupe de concessions RENAULT, SODIVA, de se doter de sièges confortables et de mobilier neuf pour équiper ses vitrines commerciales.

Prêt à anticiper sur les besoins de demain…

Pesant plus de 2,2 millions d’euros de chiffre d’affaires, OXO 89 dont le siège social est implanté à Perrigny emploie à l’heure actuelle une dizaine de collaborateurs. La rentrée scolaire aura été une excellente source de revenus pour l’enseigne. Elle propose des milliers de références de produits par le biais de la voie numérique.

« Nous avons connu une progression de notre chiffre au niveau de la vente de fourniture globale, ajoute David PARIZOT, le marché scolaire nous aura permis de diversifier nos activités en y affirmant notre compétence… ».

Dernièrement, le lycée de Saulieu (Côte d’Or) a sollicité la structure pour la vente et la pose d’un vidéo projecteur, de systèmes numériques tactiles et équipement WIFI.

Un nouvel enjeu est apparu également dans l’approche stratégique du métier : la dématérialisation des archives et des factures. Malgré une concurrence exacerbée, OXO 89 tire son épingle du jeu. Y compris sur le volet des obligations relatives à la pratique de la RGPD.


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Corrélé fortement au développement économique et sociétal d’un territoire, le déploiement du numérique constitue l’un des enjeux majeurs auxquels les pouvoirs publics doivent s’attaquer de pied ferme. Or, la plupart des gouvernances étatiques s’étant succédées au fil de ces dernières années ont pris soin d’ignorer la fracture numérique, pourtant soulignée par Jacques CHIRAC. Aujourd’hui, le constat est observable avec désappointement : il nous place avec un bonnet d’âne parmi les derniers rangs des nations européennes encore inaccessibles ou presque aux vertus de la 4G. Alors que dans certaines sphères technologiques, on évoque déjà la 5G, voire la 6G ! Vice-président en charge du développement économique et numérique de la Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne, Régis LHOMME est la cheville ouvrière du plateau conférence qui sera donné le 11 octobre prochain autour des évolutions alternatives usitées partout en France pour résoudre ces problématiques de couverture…

TONNERRE : Pourquoi la Communauté de communes dont vous êtes le vice-président en charge du développement économique et du numérique a-t-elle souhaité organiser cette table ronde à destination des forces vives de l’économie et des institutionnels de l’Yonne ?

Parce que nous avons des solutions simples pour donner accès à l’Internet sur des territoires délaissées par la République et qui n’ont pas de solutions à court terme. Il n’est pas besoin d’épiloguer sur le handicap que cela représente tant pour les particuliers avec la dépréciation de l’immobilier, que pour les entreprises qui nous disent que c’est le plus grand frein à leur déploiement après le bassin d’emplois…

Depuis trois ans, le Tonnerrois a déployé cette technologie préconisée par l’opérateur numérique WE ACCESS sur le territoire. Quel en est le bilan aujourd’hui ?

Globalement positif, sur les 52 communes de la CCLTB, 28 étaient en totale déshérence et sans aucun service. Nous avons donné l’accès à 16 d’entre elles. Les communes suivantes seront servies dans les mois qui viennent. A côté de cela, nous avons équipé une vingtaine d’entreprises qui étaient en souffrance, proposant soit un service standard, soit un service professionnel avec une connexion synchrone, du débit montant et descendant identique. Je souhaite aussi mentionner que nous offrons le même service aux écoles gérées par la Communauté de communes qui avaient souvent un accès Internet aléatoire, voire inexistant.

Pourquoi avoir choisi cette structure plutôt que d’être passé par l’un des quatre opérateurs historiques, spécialistes en ce domaine ?

Tout simplement parce que les territoires ruraux ne sont pas dans le radar des opérateurs historiques. Ils n’avaient aucune offre à nous proposer.

« La France est l’un des plus mauvais élèves en Europe… »

Comment analysez-vous la situation de la couverture du numérique très haut débit aujourd’hui dans notre département ? Voire en France ?

Le jugement ne peut être que sévère. La France est un des mauvais élèves de l’Europe. Elle a d’ailleurs été épinglée dans un rapport de la Commission européenne (Digital Economy Society Index 2017) avec une couverture 4G qui la plaçait au 27ème rang sur 28 pays en Europe pour l’économie numérique globale. Un autre exemple, le rapport ARIASE nous place au 18ème rang avec – par exemple – fin 2016 seulement 11 % des foyers ayant accès à la fibre. Le retard est lié aux choix des gouvernements successifs qui n’ont pas fait les efforts nécessaires, laissant les opérateurs privés devenir les maîtres du jeu.

Concernant l’Yonne, le retard est aussi évident. Après avoir réalisé que la fibre ne pourrait être installée partout, les budgets ne permettent que de la montée en débit, utilisant le cuivre, avec des résultats très divers compte tenu de l’état du réseau cuivre. Les solutions alternatives comme la voie hertzienne, facile à mettre en œuvre et à coûts contenus ne semblent pas être considérées par les pouvoirs publics. Ils sont donc mis en œuvre par des collectivités comme des communautés de communes ou des régions à l’instar de la Bourgogne Franche-Comté.

Pourquoi un tel retard alors que dès 1995 le président de la République de l’époque, Jacques CHIRAC, évoquait la lutte contre la fracture sociale et numérique ?

Nos politiques ont beaucoup parlé et peu agit. Alors que d’autres pays prenaient le problème avec plus de pragmatisme, on en paye maintenant le prix.

Dans ce dossier, vous faites figure de cavalier solitaire dans le déploiement de cet accès au numérique par la voie hertzienne. En votre qualité de collectivité, comment peut-on expliquer l’absence de subsides financiers de la part des autres grands acteurs institutionnels concernés par ce sujet (Etat, Région, Département…) ?

En fait, je ne crois pas que nous fassions réellement cavalier solitaire. Il y a en France près de 200 opérateurs alternatifs en plus des quatre structures historiques. Si nous avons choisi WE ACCESS, c’est parce que ces professionnels avaient déjà équipé avec succès d’autres communautés de communes, comme le Larzac. Concernant l’absence de subsides, nous avons eu chaque fois la même réponse. C’est-à-dire : « Nous comprenons votre problème, mais ce type d’action n’est pas intégré dans le Schéma Régional de Développement Numérique.. ». Sans tenir compte que ce schéma ne prévoyait rien pour notre territoire.

Depuis plusieurs mois, collectivités et entrepreneurs s’abonnent à votre proposition, qui s’avère moins onéreuse et plus fonctionnelle que les autres. Comment réagissent ces abonnés qui jusque-là éprouvaient de sérieuses difficultés ? Est-ce que les particuliers sont également concernés ?

Globalement le retour est très positif, même si nous devons encore améliorer le service. Cela vaut pour les entreprises comme pour les particuliers.

 « Nous sommes dans une situation d’urgence économique… »

 L’objectif avec cette démarche est-il de faire du prosélytisme à tout crin autour de ce procédé qui est au final méconnu ?

Non. Nous pensons que ce ne peut être qu’une solution transitoire pour quelques années en attendant l’évolution des technologies. Mais, nous croyons aussi que les usagers, entreprises ou particuliers, ne peuvent pas attendre. Nous sommes dans une réelle situation d’urgence économique et sociale.

Un important budget est consacré à ce déploiement. Est-ce suffisant en l’état ? Combien faudrait-il pour équiper l’ensemble de notre territoire ?

Nous faisons le maximum de ce que notre collectivité peut abonder. C’est suffisant pour le Tonnerrois. Mais, nous regrettons du peu d’intérêt des pouvoirs publics pour cette solution. Ils ont un plan et n’en sortent pas, même si – pour le Tonnerrois – ce plan ne prévoit rien de concret ; soit quelques montés en débit auxquelles nous ne croyons pas…

Pire, nous espérions de la flexibilité car nous souhaitons monter trois nouveaux pylônes. Nous étions prêts, techniquement, pour les mettre en service avant la fin de l’année. Mais, un nouveau processus administratif risque de ralentir fortement cette opération, qui se fera, mais on ne sait pas à quelle échéance dans le temps…

Qu’espérez-vous en termes de réaction et de commentaires avec cette première soirée explicative du 11 octobre ?

Je pense que nous avons le savoir-faire mais pas le faire-savoir. Si cette soirée pouvait faire prendre conscience de l’urgence de la situation, et qu’il existe des solutions concrètes. Nous souhaitons que les pouvoirs publics s’y intéressent. A ce titre-là, nous aurions atteint notre objectif.

Le numérique très haut débit représente-t-il un sérieux enjeu politique sur notre département ?

Cela me semble évident, car c’est fortement corrélé au développement économique. Si nous voulons attirer des entreprises, favoriser l’emploi et désenclaver la ruralité, cela ne peut se faire qu’en donnant à tous l’égalité devant la fracture numérique. Combien d’emplois pourraient-ils être crées dans l’Yonne par l’apport du télétravail ? Combien de nouvelles entreprises s’installeraient si elles avaient accès aux mêmes services qu’en zone périurbaines ? C’est pour moi un enjeu politique majeur et qui ne doit pas être restreint à l’axe géographique « Auxerre/Sens ».

Quelles seront les prochaines étapes que vous envisagez de provoquer pour continuer ce travail informatif auprès des usagers professionnels et personnels ?

C’est un travail de fourmi. Mais, nous continuerons. Il reste au moins douze communes à équiper. A chaque fois, nous faisons une réunion d’information auprès des habitants et des entreprises concernées. La communication de la Communauté de Communes reflète aussi cette activité.

En définitive, nous souhaiterions réellement une prise de conscience des pouvoirs publics qui devraient apporter davantage de soutien, pas seulement financier lorsque qu’une collectivité est dans l’obligation de se substituer à l’Etat pour un enjeu d’une telle importance.


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Tirant les enseignements de trois années de mise en œuvre effective sur le terrain des bienfaits de l’Internet hertzien comme solution d’alternative crédible en matière de numérique très haut débit, la Communauté de communes « Le Tonnerrois en Bourgogne » proposera un plateau conférence le jeudi 11 octobre. Celui-ci, destiné à accueillir les décideurs économiques et institutionnels du territoire icaunais, voire aubois, se déroulera au Domaine GRUHIER à Epineuil à partir de 18 heures. De nombreux utilisateurs, chefs d’entreprises, collectivités et élus, viendront expliquer de leurs témoignages pertinents la fiabilité de ce système qui permet d’offrir à moindre coût et avec un réalisme efficient le très haut débit de manière satisfaisante…

TONNERRE : L’idée de partager autour de soi la parfaite maîtrise de cette technologie et de le faire savoir au plus grand nombre germait dans les esprits depuis plusieurs semaines déjà.

Vice-président en charge de l’économie et du numérique au sein de la Communauté de communes « Le Tonnerrois en Bourgogne », Régis LHOMME, encouragé par sa présidente Anne JERUSALEM, elle-même élue au sein du Conseil départemental de l’Yonne, en a donc validé le principe ces jours-ci.

En fin d’après-midi du jeudi 11 octobre, l’organisme institutionnel sera l’organisateur d’une rencontre explicative, ouverte exclusivement aux forces vives de  l’économie du territoire icaunais.

La thématique en est liminaire : il s’agira pour les donneurs d’ordre de ce concept participatif de dresser le bilan de trois années d’utilisation effective de solutions hertziennes en matière de développement du numérique très haut débit sur le secteur. Une préconisation technologique qui s’apparente comme une opportunité alternative crédible, économique et fonctionnelle pour les entreprises qui l’emploient déjà à bon escient. Et ces dernières commencent à être nombreuses à l’avoir adoubée sur cette zone géographique.

Le principe de ce rendez-vous, le premier de la sorte mais qui pourrait se renouveler l’année prochaine, est d’apporter un éclairage exhaustif sur les possibilités technologiques usitées et recommandées par la communauté de communes territoriale.

Une table ronde participative pour expliquer les principes vertueux du système…

Invités à s’exprimer et à débattre lors d’une table ronde, une petite dizaine d’entrepreneurs mais aussi de représentants de collectivités narreront leur propre expérience liés à ce sujet. Ces témoignages instructifs se complèteront de phases introductives sur les difficultés observées sur le département en matière de couverture numérique et les carences de l’Etat pour les résoudre.

Grâce aux procédés techniques mis en place par la société WE ACESS, localisée en Normandie dont le PDG, François HEDIN, présent lors de cette rencontre, explicitera les principes, de plus en plus d’entreprises du Tonnerrois bénéficient de cet atout numérique de haute qualité en matière de couverture. Cent cinquante abonnés profitent déjà de ce système, peu onéreux pour leur budget. L’objectif de la Communauté de communes « Le Tonnerrois en Bourgogne » est d’atteindre très vite les 500 utilisateurs.

Se servant de relais quasi naturels (châteaux d’eau, pylônes publics, toits d’édifices religieux, fermes…) pour véhiculer la fibre par ondes radio, l’organe institutionnel du Tonnerrois (ce dernier engobe 28 localités) se fait le chantre de ce modernisme opérationnel accessible auprès de tous les concitoyens.

Alors que paradoxalement, il existe une grosse méconnaissance informative autour de ce procédé numérique par la voie hertzienne et de ses vertus, bon nombre de sociétés (et non des moindres sur le Tonnerrois) ont opté pour le choix d’un abonnement. Un sésame qui leur ouvre toutes grandes les portes de l’avenir et de la pérennité technologique sans avoir à subir les sempiternelles contraintes de faiblesse de réseau ou de présence de zones blanches néfastes à leur développement économique. Les entreprises industrielles telles que  ARBEO, TMS, DUMAS, JPG ou ROY n’ont pas hésité à opter pour ce judicieux système pour un coût modique dont leurs responsables sont aujourd’hui très satisfaits.

S’appuyer sur les réseaux des influenceurs pour prêcher la bonne parole…

Dès lors, on aura compris la volonté des forces dirigeantes de la communauté de communes. Faire savoir au plus grand nombre, et pas seulement aux entrepreneurs et collectivités du Tonnerrois, que ce système est fiable et adaptable en toutes circonstances.

Sans aides de quiconque, l’organe exécutif a par le biais d’un autofinancement volontariste de 400 000 euros décidé d’équiper les 28 communes intégrées dans sa zone. A ce jour, 19 bourgades ont reçu les équipements nécessaires pour profiter de cette manne technologique qui n’est pourtant pas tombée du ciel.

Viable de manière économique, le système préconisé par WE ACCESS s’adapte particulièrement bien aux zones rurales, les grandes oubliées dans la lutte contre la fracture numérique que dénonçait déjà en son temps (1995) le président Jacques CHIRAC. Des secteurs géographiques où les opérateurs historiques ne se précipitent pas pour trouver des solutions appropriées et rapides car elles ne sont pas suffisamment rentables.

Dernier point : nos voisins du Loiret se sont engouffrés depuis plusieurs mois dans ce type d’aménagement assuré par l’entreprise normande. Quarante-cinq communes se disent très satisfaites des prestations numériques très haut débit proposées. Alors, pourquoi ne pas privilégier la même méthodologie par chez nous ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Opérationnel depuis le début de l’année, le nouveau site industriel de ce spécialiste de l’emballage plastique occupe un espace privilégié de huit mille mètres carrés dans la zone d’activité de GRON. Soutenu par un pool bancaire composé de quatre établissements, le projet s’est identifié à la construction d’un bâtiment flambant neuf de 3 600 m2, ergonomique et pourvu d’une douzaine d’équipements modernes, situé à proximité de PLASTIKPACK, le leader européen de la production de jerricanes de petites contenances. Logique, en somme, puisque Christophe ALLEMANDOU, dirigeant de cette société, et son frère, Stéphane, responsable de la société de négoce SACCOF PACKAGING, localisée à Brie-Comte-Robert (Seine et Marne), sont à l’origine de la venue en France de ce concept novateur importé des Pays-Bas…

GRON : Créée à l’origine dans le royaume batave, FRAPAK dispose de plusieurs unités de production et de bureaux commerciaux dispatchés à travers le continent européen (Allemagne, Danemark, Belgique, Italie…). Positionnée sur le marché de l’emballage, l’entité familiale conçoit et fabrique un large éventail de produits de conditionnement à destination des sphères de la cosmétique, de la pharmacie, de la parapharmacie ainsi de la branche alimentaire.

Confection de pots, de pompes distributrices de crèmes et de savons, de flacons, de pulvérisateurs, de pompes à gâchettes et de bouchons n’ont plus aucun secret pour l’ingénierie de FRAPAK qui inonde les secteurs industriels de réalisations conçues à base de PET, c’est-à-dire de polyéthylène téréphtalate, travaillé par le subtil procédé d’injection-soufflage.

Ce concept détonnant a fait tilt dans l’esprit aguerri des frères ALLEMANDOU. Tous les deux sont dans la partie. Ou presque. Christophe est à la tête de PLASTIKPACK, une PME de très belle facture qui au fil des années a acquis ses lettres de noblesse dans la fabrication de jerricanes de petites contenances (de 2 à 30 litres).

Une rencontre fantastique et un projet industriel…

Employant une cinquantaine de collaborateurs, la structure implantée à GRON atteint désormais 30 millions d’euros de chiffre d’affaires. Elle en est devenue la figure de proue européenne. Bénéficiant d’une coopération de la robotique très appréciable et fonctionnelle dans l’unité de production.

Exerçant son savoir-faire en Ile de France, son frère, Stéphane, pilote une société de négoce spécialiste dans le plastique : SACCOF PACKAGING. Créée en 1966 par les parents de Christophe et de Stéphane, la structure dispose de plusieurs plateformes logistiques en France et travaille en accointance avec la société SCHULTZ. Leur rencontre avec la néerlandaise Marjolein PUTTER dont le père Robert est une référence dans le milieu de la plasturgie il y a quelques années s’avère aujourd’hui déterminante.

Fédérés au cœur d’une SAS où entre en jeu le troisième actionnaire, l’entreprise batave FRAPAK BV, les partenaires de ce projet décident de porter sur les fonts baptismaux une entité industrielle en France qui fabriquerait des flacons et des pots de petites dimensions. Soit un panel de références qui oscille entre 10 millilitres à 8 litres.

Les cibles prioritaires sont les marchés de la cosmétique, de la parapharmacie et pharmacie et de l’alimentaire, à l’instar de l’enseigne FLEURY MICHON. Mais, FRAPAK a su développer en parallèle des lignes de produits de conditionnement spécifiques. Pour accueillir des champignons, des épices ou du miel, à titre d’exemple.

Neuf mois après l’ouverture et à la veille de son inauguration officielle, ce jeudi 20 septembre en présence de nombreuses personnalités institutionnelles et économiques du sérail, les perspectives de développement sont excellentes pour FRAPAK. Une quinzaine de personnes y travaillent depuis avril en rythme horaire des 3X8.

Une enveloppe budgétaire globale de 11 millions d’euros à l’investissement

L’investissement initial s’est élevé à 11 millions d’euros. Dont 3,5 millions destinés uniquement à l’édification du bâtiment, qui est équipé d’une douzaine de machines de pointe, permettant injection, étirage et soufflage. L’ingénierie des moules aura nécessité une enveloppe de deux millions d’euros. Des budgets obtenus avec la bénédiction d’un pool bancaire comprenant quatre établissements sous la houlette de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté. Précisons, que les dirigeants de la jeune structure ont reçu les faveurs de BPI France qui par le biais de son antenne régionale, a crédité de deux millions d’euros ce concept qualifié d’industrie du futur.

Côté financier, Christophe ALLEMANDOU et la directrice générale du site Marjolein PUTTER se montrent très satisfaits après ce quelques mois d’exploitation. Grâce à des carnets de commande plutôt bien garnis. Ce qui permet en ce troisième trimestre d’équilibrer les comptes. A horizon de cinq ans, le chiffre d’affaires devrait dépasser les douze millions d’euros. Prometteur pour cette PME qui devrait tutoyer les sommets de la réussite…


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Consacrant une enveloppe de cent millions d’euros par an destinée à améliorer le quotidien de 130 lycées publics, la Région Bourgogne Franche-Comté investit pour la modernisation des bâtiments et des équipements pédagogiques. Si cette aide se traduit par des travaux d’entretien, elle concerne aussi la rénovation des bâtiments et le financement de matériel général. A l’instar de l’acquisition et renouvellement de mobiliers, d’équipements des filières d’enseignement général, technologique et professionnel comme les machines, les équipements sportifs, les matériels de laboratoire. Les centres de formation d’apprentis mais aussi l’enseignement supérieur s’ajoutent à cette liste. Comme le rappelait la présidente Marie-Guite DUFAY, venue inaugurée au lycée Louis Davier de Joigny, le nouveau pôle logistique…

DIJON (Côte d’Or) : Accompagnée de la rectrice de l’académie de Dijon, Frédérique ALEXANDRE-BAILLY et du vice-président en charge des lycées et de l’apprentissage, Stéphane GUIGUET, la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté Marie-Guite DUFAY a procédé à l’inauguration du nouveau pôle logistique du lycée Louis Davier à Joigny, il y a quelques jours.

Accueillie par le proviseur du site pédagogique, Jean-Marc VATINET, la représentante de l’exécutif régional a pris soin de visiter avec beaucoup d’intérêt cet établissement, l’un des plus fréquentés de l’Yonne.

Cette visite offrit à l’élue régionale l’opportunité de présenter les investissements réalisés par le territoire bourguignon franc-comtois en faveur des apprenants et du corps enseignant.

Près de 92 000 lycéens fréquentent les 130 établissements publics répertoriés sur notre contrée. Ils comptent 20 426 places en internat. Quant au personnel, il représente 2 836 agents techniques permanents.

Parmi les priorités de l’institution régionale, notons le raccordement de 123 lycées à la fibre optique d’ici la fin de 2018 et le développement des énergies renouvelables avec l’installation de réseaux de chaleur dans une trentaine d’établissements, huit chaufferies biomasse et une vingtaine d’installations photovoltaïques.

Quant au plan pluriannuel de sécurisation des lycées, un budget s’élevant à 10 millions d’euros, il intègre également les axes majeurs de l’exécutif régional.


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