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La crypto-monnaie s’invite lors de la deuxième édition du trophée « Prestige & Patrimoine ». Un rendez-vous, accueilli au Domaine golfique de Roncemay le vendredi 23 juin prochain. Parmi les réjouissances intellectuelles qui y seront concoctées, outre la venue de Pierre MARTINET, l’entrepreneur invité par la CPME de l’Yonne, une conférence autour de la crypto-sphère et des nouvelles opportunités monétaires qui se présentent à nous, sera assurée par l’équipe de MUGI, le spécialiste régional. Concepteur de ce rendez-vous, Gilles GENEST nous en dit plus, dans une tribune sur cette spécificité…   

 

TRIBUNE : Ces dernières années ont été charnières pour le monde financier. Après la révolution Internet des années 2000, communément appelées « Web 1 » et « Web 2 », c’est l’arrivée du Bitcoin en 2009 qui a amorcé un nouveau tournant dans notre manière d’aborder l’économie et de gérer les finances entrepreneuriales.

Petit à petit, les révolutions technologiques s’ancrent dans le paysage financier et transforment le quotidien des investisseurs et des épargnants, qui voient dans ce changement une véritable opportunité de diversifier et optimiser leur patrimoine.

Le stade de la simple spéculation est maintenant franchi. Le train du « Web 3 » est en marche et il ne s’arrêtera pas. D’un marché de niche, majoritairement orienté vers les particuliers, l’écosystème tout entier s'institutionnalise de plus en plus et éveille l’intérêt des banques et grandes entreprises. Cet engouement se propage aussi dans de nombreux pays qui voient dans ces monnaies numériques et ces nouvelles technologies des moyens efficaces de contourner les complexités du système financier traditionnel.

 

 

Conserver le contrôle des actifs pour les utilisateurs…

 

Cette nouvelle finance, décentralisée, repose sur les fondations de Bitcoin et se base donc sur l’utilisation de la « blockchain » pour vérifier et tracer toutes les opérations qui y sont effectuées. Transparence et anonymat sont au cœur de ce nouveau système d’échange monétaire.

L’aspect sécurisé par la cryptographie est également une plus-value importante de cette finance qui s’astreint à la gouvernance centralisée des banques et repose sur la confiance et la vérification. Pas de triche possible avec la « blockchain », qui à la manière d’un livre de compte, va recenser toutes les transactions et les rendre consultables par tous.

En résumé, l’utilisation du Bitcoin comme moyen de paiement alternatif, et de la « blockchain » en général, va permettre aux utilisateurs de garder le contrôle de leurs actifs. 

Malgré cela, c’est un écosystème qui demeure encore jeune, puisqu’il n’a qu’une quinzaine d’années d’existence. Les défis sont encore grands pour le premier crypto-actif qui fait face à de nombreuses critiques, souvent infondées, telles qu’une consommation très énergivore (malgré l’utilisation de 60 % d’énergie renouvelable pour son fonctionnement) ou encore le fait de faciliter les transactions illicites (elles ne représentent en fait que 0,15 % des transactions en 2022).

 

 

Les seuls à pouvoir conseiller : les acteurs régulés de l’écosystème…

 

Face au besoin grandissant de compréhension des spécificités de l’investissement crypto, nombreux sont les investisseurs et entreprises nécessitant un accompagnement dédié et surtout légitime de la part des différents acteurs du secteur.

Depuis le loi pacte 2019 en France et la mise en place du statut de Prestataire de Services sur Actifs Numériques (PSAN) par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), la régulation des plateformes d’investissement en crypto-actifs est maintenant une obligation mais aussi une garantie de légitimité.

En effet, il est maintenant essentiel de s’associer avec les acteurs régulés de l’écosystème car ils sont désormais les seuls à pouvoir conseiller et accompagner efficacement et en toute sécurité leurs partenaires et clients. 

Plus largement, le règlement « MiCA (Markets in Crypto-Assets) », initié par l'Union Européenne, va venir renforcer ce cadre réglementaire avec la délivrance d'un passeport européen permettant aux entreprises cryptos régulées d'opérer sur l’ensemble du territoire européen.

Il s’agit donc d’un véritable tournant pour l’ensemble de la crypto-sphère, qui sort petit à petit de sa coquille spéculative pour proposer une nouvelle vision financière, régulée, performante et pleine d’opportunités.

 

Gilles GENEST

J3G Patrimoine

 


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Il est judicieux, parfois, d’aller à l’encontre de nos « a priori ». De ceux qui s’instillent au plus profond de nos neurones et qui en troublent totalement notre perception. Par exemple, dans le landerneau, le Centre d’Examens de Santé, sis au 25 Rue du Clos à Auxerre. Le fameux « CES » - rien à voir avec l’enseignement secondaire ! - dont on parle peu au final et qui pourtant nous concerne tous ! Ramification préventive de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM), ce lieu est ouvert à tous les publics, bien au-delà des seules personnes éloignées de la médecine…

 

AUXERRE : Il faut en avoir le cœur net ! Et franchir avec enthousiasme les portes de l’un de ces établissements, pourtant ouverts au grand public, afin de se forger sa propre opinion ! Tel est le point de départ du premier acte de ce chapitre « découverte » qui se rapporte à la visite du Centre d’Examens de Santé (CES) d’Auxerre. Un édifice, presque anodin dans sa configuration architecturale et à peine perceptible dans le paysage de la ville, situé à quelques encablures des locaux, entre autres, de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne (CPAM) qui en assure la gestion.

Nonobstant l’absence de qualité patrimoniale de la structure – ce n’est pas vraiment la vocation initiale de l’endroit ! -, ce site devrait être connu et fréquenté de tous, tant son rôle est prépondérant à l’amélioration de la qualité de vie de nos concitoyens, sur un volet qui leur est très cher : celui de la santé !

En mode préventif et diagnostic, essentiellement, avant de passer ensuite à la seconde étape de ce parcours de soin très utile menant aux thérapies.

 

 

Les plus vulnérables de notre société mais aussi les autres !

 

Le Centre d’Examens de Santé. Bien sûr, beaucoup en connaissent l’existence et d’autres l’ignorent. Mais, les « a priori » sont solides et bien ancrés dans les esprits car une large majorité de personnes interrogées alentour pour les besoins de cet article en ont encore une perception éloignée de la réalité.

Ainsi, le lieu serait réservé exclusivement de facto à celles et ceux qui sont les plus éloignés de la médecine, ces personnes en grande précarité et en souffrance, les oubliés de l’existence, les « perdus de vue » de la sphère professionnelle, les décrocheurs, les jeunes, les sans domicile fixe, les migrants, etc.

Bref, celles et ceux qui seraient les plus vulnérables de notre société, ayant des problèmes d’accès à leurs droits les plus élémentaires dont celui de se soigner,  celles et ceux qui sont en carence d’un suivi médical assuré par un médecin traitant dont ils n’intègrent plus la patientèle d’un cabinet par manque criant de praticiens sur notre territoire…

On ne peut rejeter comme l’eau du bain avec le bébé l’ensemble de ces arguments énoncés par les quidams, observateurs croisés au hasard de la rue. Bien sûr, le centre répond à des besoins de santé publique. En arguant comme axiomes prioritaires : la prévention et le dépistage. Mais, qu’on se le dise, cela s’adresse à tout le monde ! Ruraux comme urbains, jeunes et vieux, hommes, femmes et enfants ! C’est donc un élément prégnant de la chaîne sanitaire qui permet de veiller au grain en cas de crises importantes comme celles vécues lors du douloureux épisode de la COVID ou de la grippe.

 

Une immersion pour tester le parcours en qualité de patient…

 

Pour en savoir davantage sur ce qui se pratique réellement à l’intérieur de ce curieux bâtiment, érigé tout en longueur et posé là sur un petit promontoire surplombant un très utile parking afin d’y stationner son automobile, prise de rendez-vous et invitation à se rendre presque dès potron-minet à la porte d’entrée du complexe.

7h45 : c’est l’instant « t » un brin matinal pour s’annoncer à la personne, masque de protection sur le visage, qui officie à l’accueil. Vérification de la convocation et de l’identité, explication du programme (plutôt copieux !) du patient que je suis et  me voilà assis dans le hall d’entrée, avec pour obligation de remplir un questionnaire, inspiré par deux sommités scientifiques de l’université de Montréal, RICCI & GAGNON, se rapportant à une auto-évaluation de l’activité physique.

Suis-je inactif, actif ou très actif ? Une série d’une vingtaine de questions complétée sur le document plus tard, et je suis appelé par une sympathique assistante qui me précède dans une pièce pour un premier entretien où il est question de « Carte Vitale ». Il s’avère que je connais bien la personne que j’ai reconnu malgré le tissu bleu lui couvrant le nez et la bouche – les restes de la pandémie ! - puisqu’il s’agit de l’une de mes voisines !

Commence alors et pour environ trois bonnes heures qui s’égrènent à la vitesse grand « V », un périple sanitaire des plus étonnants, d’une salle d’auscultation à une autre, où l’ouïe, la vue, les dents, la motricité, le cœur – l’électrocardiogramme avec les diodes posées sur le corps -, nécessitent entretiens et inspections des professionnels de santé qui évoluent in situ, avec moult explications.

En guise de préambule, signalons pour celles et ceux que cela rebutent toujours un peu, la partie biologique avec la sempiternelle prise de sang à jeun. Par chance, l’infirmière (elles sont neuf à œuvrer au CES) a des doigts de fée, enfonçant la pointe de l’aiguille avec délicatesse ! Une opération utile afin de contrôler les taux de diabète, de cholestérol, les plaquettes, etc.

 

 

Si le CES n’existait pas, il faudrait l’inventer !

 

Toujours accompagné d’une jeune femme, souriante et sympathique qui oriente la patientèle (un petit groupe d’une vingtaine de personnes dans cette tranche horaire très matinale) vers l’un ou l’autre des différents ateliers médicaux selon leur disponibilité faisant office de parcours de soin, le visiteur suit ce protocole complet et réfléchi, en rencontrant au fur et à mesure de ce « chek-up » éclectique les différentes composantes de cette équipe pluridisciplinaire, rodée à ce schéma parfaitement huilé.

Evoquer l’équipe, c’est saluer le professionnalisme et la gentillesse des six médecins cliniciens, des neuf infirmières, de la personne gérant la partie administrative et logistique, des deux dentistes, de l’assistante dentaire, des quatre techniciennes de laboratoire et de l’aide-soignante. Ils sont aux petits soins pour toutes les personnes qui sont accueillies dans le centre auxerrois.

Avant l’ultime étape qui me conduira d’ici quelques instants dans le bureau du médecin clinicien,  responsable du CES, le docteur Said BROUCHE – c’est à lui de rendre le verdict et de compléter informatiquement votre dossier personnalisé-, c’est avec la psychologue – eh, oui, on peut même s’installer sur le divan pour exprimer en toute liberté et quiétude ce que l’on a sur le cœur dans ce lieu ! -, que je termine ce long cheminement sanitaire qu’il est impératif de fréquenter un jour ou l’autre, histoire de mieux évoquer les dépistages, parler des comportements à risque, connaître les pathologies, surveiller ses douleurs chroniques, renouer, enfin, des liens salvateurs et précieux avec la médecine pour celles et ceux qui en seraient trop éloignés.

Cerise sur le gâteau : une petite collation est même servie au beau milieu de ce parcours, afin d’humaniser davantage la relation particulière que vit la patientèle avec le monde médical en cet endroit qui, s’il n’existait pas, serait nécessaire d’inventer !

Dans le second volet de ce reportage, après cette mise en bouche découverte, place sera faite aux projets et à la stratégie de ce centre d’examens de santé avec l’équipe directionnelle de la CPAM de l’Yonne, un centre, promis à perdurer dans les mois et années à venir…

 

Thierry BRET

 


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Elle est toujours aussi communicative, la souriante présidente du MEDEF de l’Yonne Emmanuèle BONNEAU ! Profitant de la signature d’un partenariat avec la direction régionale de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire à Chablis, la responsable du syndicat patronal icaunais a confirmé la venue de la vice-présidente nationale à l’automne prochain à Auxerre. En effet, Dominique CARLAC’H, candidate à la succession de Geoffroy ROUX DE BEZIEUX ouvrira le bal de la nouvelle saison, le 07 septembre, invitée de la conférence économique de rentrée…

 

CHABLIS : Derrière une information, il s’en cache toujours une autre, c’est bien connu ! Un peu à la manière des trains qui se succèdent sur les voies ferroviaires du réseau SNCF !

Alors que le partenariat avec la direction régionale de l’assureur mutualiste, GROUPAMA Paris Val-de-Loire se porte bien depuis 2022, son renouvellement, prétexte à une soirée de retrouvailles conviviales – La Chablisienne – agrémentées de paraphes apposés au bas de documents, aura été source d’une autre information intéressante pour les milieux économiques.

En effet, dans sa brève intervention orale, servant de liminaire à la soirée placée sous le signe de la découverte de la coopérative viticole du cru, Emmanuèle BONNEAU, présidente du MEDEF de l’Yonne, a évoqué la venue en septembre prochain de la vice-présidente nationale du puissant syndicat patronal de l’Hexagone : Dominique CARLAC’H.

 

 

 

 

Une vice-présidente du MEDEF en campagne hexagonale !

 

Une visite en septembre, à la date du 07, synonyme de prise de parole lors de la traditionnelle conférence économique de rentrée que se plaisent à décliner de manière factuelle Claude VAUCOULOUX, délégué général et ses équipes dans l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise.

Une visite que les observateurs de la chose économique ne manqueront pas de surveiller de très près : Dominique CARLAC’H est candidate à la présidence nationale de la vénérable institution patronale, une prétendante très sérieuse à la succession de Geoffroy ROUX DE BEZIEUX lors du vote le 06 juillet qui l’oppose à l’autre candidat, Patrick MARTIN

Le dernier déplacement de la cheffe d’entreprise dans l’Yonne date de la célébration de la remise de l’insigne de l’Ordre national du mérite à l’ancien président du MEDEF Yonne, Etienne CANO. C’était il y a tout juste un an à Auxerre ! C’est peut-être auréolé de sa nouvelle promotion en cas de victoire que l’ex-championne de France d’athlétisme du 400 mètres foulera le sol auxerrois !

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une figure de l’alimentaire en France et à l’international. Un personnage charismatique, haut en couleur, passionné de l’Ovalie et fier de ses racines bourguignonnes. A 76 ans, le « Traiteur intraitable » comme il aime se qualifier dans les spots publicitaires – il en a fait le slogan de son entreprise éponyme – sera l’un des invités du trophée « Prestige & Patrimoine », accueilli le 23 juin au Domaine de Roncemay. Un visiteur d’envergure qui prendra la parole, grâce à la CPME de l’Yonne…

 

AUXERRE : Une heure et demie en compagnie de Pierre MARTINET et de son franc-parler ! Voilà ce que nous a mijoté l’organisateur du fameux trophée « Prestige & Patrimoine », Gilles GENEST, à l’occasion de la deuxième édition de cette incontournable manifestation promotionnelle vantant les mérites de l’attractivité entrepreneuriale de notre territoire le 23 juin prochain.

Accueilli dans le splendide cadre golfique du Domaine de Roncemay, l’évènement aura pour parrain l’une des figures emblématiques de la réussite hexagonale côté business, le natif de Saône-et-Loire – du côté de la Bresse -, Pierre MARTINET.

Une silhouette, une voix, un parcours d’exception qui se sont façonnés au fil des ans – depuis 1968 – au gré d’une kyrielle d’expériences et d’aventures que viendra nous narrer lors d’une conférence le célèbre « Traiteur intraitable » !

A ses côtés, on retrouvera les deux porte-étendards de la CPME de l’Yonne, l’ancien président de la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises, Olivier TRICON – il a quitté son mandat pour prendre de nouvelles responsabilités au sein du mouvement s’immergeant un peu plus sur le dossier export et international -, et son successeur en la personne de Baptiste CLERIN, sous le feu des projecteurs avec le lancement de sa nouvelle vitrine professionnelle, « ORIGINAL CAMPER », concept positionné sur la vente et location de véhicules et produits nomades, inauguré ce samedi 17 juin à Monéteau.

 

 

L’itinéraire d’un entrepreneur tout feu tout flamme…

 

Un trio de choc à l’estampille de la CPME pour évoquer la réussite professionnelle, mais aussi l’abnégation, le volontarisme, le courage, la valeur travail, l’ambition, les envies d’un chef d’entreprise, ses projets.

Elle est loin l’époque où Pierre MARTINET, alors charcutier-traiteur, ouvrait sa première boutique à Jujurieux dans l’Ain en 1968 ! L’ancien président du mythique club de rugby de Bourgoin-Jallieu – il a aussi à son actif la création de son propre team automobile en variante rallye – n’a pas les deux pieds dans le même sabot, innovant sans cesse et faisant de sa SAS un acteur économique de poids. Avec des centaines de salariés à l’appui, une présence au Brésil et dans la plupart des pays européens. Sans omettre un chiffre d’affaires qui ne cesse de grimper.

Réputé pour la fameuse recette du museau en vinaigrette, entre autres, mais aussi pour ses taboulés et ses déclinaisons de produits bio, le groupe est installé en Isère, à Saint-Quentin-Fallavier où le siège social a bénéficié d’un nouvel agrandissement.   

L’itinéraire de Pierre MARTINET – homme médiatique – sera distillé à livre ouvert lors de cette conférence placée sous l’égide de la CPME dont il est l’un des représentants…

 

En savoir plus :

Conférence de Pierre MARTINET

Trophée « Prestige & Patrimoine »

Domaine de Roncemay

Le vendredi 23 juin 2023 à 17h30

Un évènement organisé par la CPME 89, L’Atelier de l’Immo, J3G Patrimoine, AKOR Immo et SP Consulting Informatique.

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’égalité homme/femme est une nouvelle fois mise à mal. Comme d’habitude, devrait-on dire avec une certaine lassitude. Le constat est flagrant : 95 % des emplois d’AESH (accompagnants d’élèves en situation de handicap) sont occupés par la gent féminine. Or, le projet de fusion avec le métier d’AED (Assistant d’éducation) ne passe pas. Il est synonyme de plus grande précarité à venir pour les « oubliées » de l’Education nationale. D’où le mouvement protestataire vécu ce jour devant la DSDEN…

 

AUXERRE : Le regard un peu perdu dans le vide malgré le cadre verdoyant du décor, elles discutent sans relâche de la situation. Un drapeau syndical à la main – les multiples couleurs de ces bannières reconnaissables parmi mille flottent au vent -, elles sont une majorité de femmes à s’être réunies là, dans le petit parc attenant à l’imposant édifice qui en arrière-fond accueille les services départementaux de la direction de l’Education nationale.

Les visages sont moroses. La cigarette électronique vissée au coin des lèvres, on refait le monde en souhaitant qu’il devienne meilleur. Aïe ! On sent poindre du désespoir, de la crainte manifeste envers l’avenir, de la fatigue et des doutes. De la colère, aussi. Contre un projet de fusion incompréhensible de tous, voulu par le gouvernement dont elles ne veulent pas : ce regroupement entre les AED et les AESH. Pour ne faire plus qu’un seul et unique service, plus exploitable, moins souple, et nettement moins avantageux à tous les niveaux pour les premières de cordée qui en subiraient désormais les frais !

 

Dénoncer les conditions de travail précaires de femmes méritantes…

 

Profitant de l’ombrage naturel des arbres, aux côtés des représentants syndicaux (FNEC-FP, FO, CGT éduc’action, FSU, SUD éducation, Action et Démocratie de l’Yonne…) venus les soutenir, ces femmes attendent tout en discutant de leurs problèmes et en prenant leur mal en patience l’heure « h » de ce rendez-vous fixé avec l’inspecteur d’Académie.

Celui-ci est prévu à 16 heures. Encore cent-vingt longues minutes à patienter ! A deviser, debout à la fraîcheur bienveillante des branches, sur cet acte II de l’école inclusive que les syndicats conspuent. Un drôle d’accueil, tout de même !

Un rassemblement ayant pour objectif de dénoncer les conditions de travail des plus précaires parmi les précaires de ces catégories professionnelles qui exercent dans l’Education nationale : ces fameux AESH, ces personnes qui accompagnent au quotidien les élèves en situation de handicap. Plus qu’un métier, un sacerdoce et une belle preuve d’amour envers autrui…

 

 

AESH/AED : les « cocus » de service dans les revalorisations ?

 

Indispensables dans l’exercice de leur fonction, ces professionnelles ne sont pourtant toujours pas reconnues par l’institution pédagogique. Payées, bien en-deçà des huit cents euros mensuels, elles n’ont toujours pas obtenu le moindre statut officiel, devenant de fait une partie intégrante de la Fonction publique. Un signe de reconnaissance, non ? Et pour ne rien arranger, elles touchent un salaire misérable à la Cosette et aucune augmentation en perspective pour ces personnes dévouées qui aident les enfants invalides dans leur scolarité. Sic !

De leur côté, les AED (Assistant d’éducation), non rien à leur envier, côté revalorisation. Eux aussi, sont les « cocus » de service dans l’histoire. Le saint des saints des « vrais oubliés » de cette grande famille polymorphe de l’Education nationale qui se sent déjà trahie à moult occasions par son ministère…

 

Une perte du pouvoir d’achat de 16 %, seulement 1,5 % de hausse des salaires !

 

Partout en France, des rassemblements ont eu lieu ce jour pour dénoncer cet état de fait innommable pour celles et ceux qui en doivent en subir les conséquences. Et ce n’est pas le « minuscule » petit pourcentage et demi d’augmentation dévoilé hier soir par le gouvernement en matière de revalorisation salariale qui semble changer la donne dans la lutte menée par l’intersyndicale.

« Du pur mépris, lâche un Philippe WANTE, délégué départemental de la FSU 89, révolté, avec une inflation estimée à plus de 5 % et des produits de première nécessité qui dépassent les 15 %, on est très loin de ce qu’il faudrait en matière de hausse des salaires ! Le calcul est simple : c’est 16 % de perte de pouvoir d’achat pour les Français ! ».

En rencontrant l’inspecteur d’académie afin de pouvoir échanger avec lui, le souhait du leader syndical est de lui faire prendre conscience de la réalité précise de la situation. Etre bénéficiaire d’un AESH est un droit de scolarité fondamental pour les élèves en situation de handicap et leur famille. Ne serait-ce que dans le département de l’Yonne, ce sont six cents personnes qui sont concernées par ce métier, aujourd’hui en très grand danger de mort.

Veut-on reconnaître enfin à sa juste valeur le travail de ces personnes exerçant pour le compte de l’Education nationale ? Une interrogation que l’on est en droit de se poser, à l’heure où la méritocratie dans la Fonction publique refait surface...

 

Thierry BRET

 


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