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« Nous travaillons main dans la main, au service du développement économique… ». Sur la scène inaugurale de la troisième édition du Forum de l’Emploi, accueilli dans les salons de l’hôtel de ville de Joigny, François BOUCHER (Les Républicains) a résumé en une petite phrase l’état d’esprit collaboratif qui règne sur ce territoire central de notre département. Une phrase qui n’aura pas été contestée par Nicolas SORET, édile du cru (Parti Socialiste) ni par le conseiller régional du Parti Communiste, Patrick BLIN…

 

JOIGNY : Quand des élus d’un territoire, même d’obédiences politiques divergentes, s’entendent à merveille pour servir les desseins de l’intérêt général de leurs administrés et de la chose économique, il faut le dire et le faire savoir de manière limpide ! C’est en substance le message de clôture qu’aura fait passer le maire de Migennes et président de la Communauté de commune ad hoc, François BOUCHER, au terme de son intervention inaugurale, en qualité de président de la Mission Locale de ce secteur géographique, mercredi matin, en ouverture de la troisième édition du Forum de l’Emploi.

 

 

Un François BOUCHER, volubile et très à l’aise dans l’exercice oratoire qui aux côtés de Nicolas SORET, président de la CC du Jovinien et maire de Joigny et du conseiller régional, membre de la seconde  commission en charge du développement économique et l’emploi, Patrick BLIN, a été on ne peut plus clair sur le travail coopératif de ce trio dans l’intérêt général de leurs administrés.

« Nous sommes régulièrement en contact, devait-il ajouter, pour que l’ensemble des territoires du Centre Yonne avance dans le bon sens… ».

Un bon sens qui se caractérisait ce jour par l’aide à apporter aux personnes dans leurs recherches et l’accompagnement vers l’emploi, la formation et l’orientation. Au vu du nombre des participants et de la fréquentation dans les allées, le pari a été réussi. Il est à mettre à l’actif de la Mission Locale et de l’ensemble de ses partenaires institutionnels !

 

Thierry BRET

 


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Après Dijon, ce jour, l’exercice est dupliqué dès mercredi à Troyes. De la pure logique, en fait, puisque l’établissement bancaire offre ce particularisme d’agir au plus près des territoires sur sa zone d’influence, tant en Champagne qu’en Bourgogne. La « Banque verte » place dorénavant l’accompagnement des entreprises vers la transition écologique comme l’une de ses missions primordiales. Une direction spécifique vient même d’y être créée. Elle est incarnée par Eric CAMPOS : il en a défini les contours lors d’une intervention publique…

 

DIJON (Côte d’Or) : Ce n’est pas une marotte de plus liée à un quelconque phénomène modal. Bon nombre d’entreprises prennent désormais le taureau par les cornes, non pas pour le mener à l’abattoir afin de mieux l’achever mais bien pour l’emmener avec elles vers d’autres rivages plus sûr où l’on parle à foison de développement durable, d’économies d’énergies, de transition écologique. Des bienfaits concédés à la planète pour qu’elle devienne plus respirable et par ricochet, favorable à l’humain. Dont il faut préserver coûte que coûte l’existence…

Dans ce domaine, le Crédit Agricole n’est pas en reste. Une évidence quand on demeure la première banque à agir quotidiennement sur son territoire auprès des filières corporatistes ayant un lien direct avec la nature. Une légitimité quand on dispose d’une telle force de frappe (vitrines commerciales, nombre de salariés, présence de proximité, modernisme technologique, moult expériences acquises au fil de l’eau, désirs d’expérimentation…).

Le premier des deux épisodes déclinés cette semaine par l’établissement régional auprès des chefs d’entreprises sur la transition écologique est ainsi sans appel : le Crédit Agricole se positionne comme l’un de ces acteurs inaliénables avec lequel il est impératif de travailler afin d’être guidé au plus juste vers les nouveaux paradigmes se présentant à nous.

 

 

Le fruit de trente années d’expériences et de réflexions…

 

Alors, quand l’orateur de l’instant – Eric CAMPOS, directeur du pôle transition énergétique, nouvellement apparu au sein de la « grande maison » - prend la parole en guise de préambule lors de ce moment qui restera une journée de travail intense et enrichissante à bien des égards par le flux d’informations fournies et des réflexions, affirmant que le Crédit Agricole demeure au passage le premier partenaire bancaire des énergies renouvelables, on ne peut que le croire !

« Cela fait bientôt plus de trente ans que nous nous intéressons à cette thématique, confesse-t-il devant un parterre d’entrepreneurs du microcosme dijonnais. Nous sommes aussi le premier investisseur institutionnel avec la filiale Crédit Agricole Assurances ; celle-ci a une production de 15 GigaWatts en objectif d’investissements d’ici 2025. ».

 

 

Un groupe entrepreneurial bien engagé sur ce sujet comme va s’en apercevoir tout au long de cette prise de parole une assistance fort à l’écoute.   

« Il faut investir massivement dans les énergies renouvelables, renchérit l’intervenant, micro en main, aujourd’hui, toutes les caisses régionales sont positionnées sur ce sujet. Sortir des énergies fossiles est donc une nécessité. Nous, de notre côté, on s’est engagé à en sortir. Même si nous sommes encore dans l’obligation de les financer parce que l’économie ne peut pas s’arrêter comme cela du jour au lendemain… ».

 

 

 

Créer un deuxième métier : celui de producteur d’énergie…

 

 

Toutefois, dans huit ans, plus un centime d’euro d’investissements ne sera accordé par le Crédit Agricole aux entreprises qui produisent des énergies fossiles dans l’OCDE. Reste une autre problématique qu’évoquera dans la foulée Eric CAMPOS : celle de la transition écologique vue par le prisme de la société. Avec une équation très complexe à résoudre entre la croissance et la décarbonation. Sur un aspect purement immobilier, la rénovation thermique devra s’appliquer à plus de 400 000 logements en France. Pas si simple !

« Face à tous ces enjeux, poursuit Eric CAMPOS, le Crédit Agricole a décidé de créer un nouveau métier autour de la transition énergétique. Dont j’ai aujourd’hui la charge. On doit être capable de créer de nouvelles expertises techniques pour décarboner le plus possible. Notre établissement recrute ainsi des conseillers, des ingénieurs, des spécialistes de la transition afin d’accompagner les entreprises… ».

Et l’orateur de citer l’exemple décalé de SOFINCO, filiale autrefois connue pour la pratique de ses crédits à la consommation, devenue au fil des ans un vecteur indispensable de la mobilité douce.

« Nous allons passer d’un modèle centralisé à un modèle décentralisé, ajoute le conférencier, la création d’énergie sera demain au plus près des territoires. Il faut être en capacité d’accompagner cette granularité de la production d’énergie en France. Nous exercerons alors un deuxième métier, celui de producteur d’énergie… ».

Conclusion pour Eric CAMPOS : la solution globale au niveau de la question climatique n’existe pas ; seule la solution faisant référence à la somme des solutions locales fera foi. D’où ce besoin inextinguible pour l’établissement de tenter des choses et d’expérimenter à outrance. C’est en essayant que l’on trouve des solutions précise l’adage. Une maxime partagée par l’ingénierie bien-pensante du Crédit Agricole, visiblement et qui veut la partager vers le plus grand nombre !

 

Thierry BRET

 


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C’est la faute à pas de chance. A cette satanée saison 2022/2023 où la Ligue professionnelle de football a choisi de réduire la voilure de son championnat élite, en renvoyant dans les limbes quatre clubs au lieu de deux, comme il était de coutume d’ordinaire chaque année. Et malheureusement, à ce petit jeu-là, l’AJ Auxerre n’aura pas fait le poids face aux cadors habituels et aux « chanceux » expérimentés – le FC Nantes ! – de cette compétition longue et difficile. Bye, bye la Ligue 1, retour à la case départ, en Ligue 2…

 

AUXERRE: C’est le pire des scenarii où il ne fallait pas tomber ! La victoire de Nantes, dans son antre de Loire-Atlantique face au voisin angevin, bon dernier de Ligue 1 alors que dans le même temps, Lens et sa superbe dominaient de la tête et des jambes une vaillante équipe bourguignonne qui se sera persuadée d’y croire jusqu’au bout. Les pronostiqueurs ne s’y étaient point trompés avant la rencontre. Le différentiel entre les surprenants nordistes – ils terminent à la deuxième place du championnat à quatre longueurs seulement d’une formation parisienne toute en contraste et mi-figue mi-raisin encore ce week-end – et les Auxerrois n’a pas été usurpé lors de cette finale pour le maintien. Sur le papier, les Bourguignons n’avaient qu’une infime probabilité de pouvoir battre les époustouflants nordistes. Dans les faits, les spectateurs qu’ils soient rivés devant leur écran de télévision ou dans le stade ont vite compris dès l’entame de cette ultime joute de la saison que le plus dur serait devant eux ! Et quand survint le premier but de l’équipe adverse, l’espoir ne tint plus qu’à un fil. D’autant que du côté de Nantes, Angers devait battre en retraite devant sa cage, encaissant ce petit but qui in fine fera toute la différence en envoyant les Icaunais au tapis, sans qu’il y ait quoi que ce soit à contester.

 

 

Lens ne se privera pas d’alourdir la note en marquant trois buts. Auxerre réduisant le score, sans réelle motivation à une quinzaine de minutes de la clôture de cette rencontre écrite d’avance côté suspense.

Au bout du compte, les protégés de Christophe PELISSIER n’auront pas démérités durant ce match capital même si les frissons de l’enthousiasme ne furent guère nombreux et convaincants pour entretenir la flamme de l’espérance.

Conséquence, mais en toute logique, au vu de la rencontre – voire de la saison qui fut tendue à l’extrême -, l’AJ Auxerre retrouvera donc Troyes et sa victime expiatoire de la saison dernière, l’AS Saint-Etienne, dans le futur championnat de Ligue 2 qui avec Bordeaux, fait figure de série B de belle classe et à l’allure prometteuse tout de même. Il faut bien se consoler d’une manière ou d’une autre, non ?

 

Thierry BRET

 


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La crise du logement se décline également avec la crise du bâtiment. L’abbé Pierre a eu beau marteler que « gouverner, c’est d’abord loger son peuple », le logement n’a jamais été une cause politique dans l’Hexagone. Aujourd’hui, les tensions dans la population sont si exacerbées que le bâtiment et le logement constituent une nouvelle bombe sociale pour un gouvernement qui a du mal à nous rassurer…

TRIBUNE : Le secteur immobilier est menacé, miné par les hausses des prix et des taux d'intérêt de plus en plus élevés. C'est tout le secteur de la construction qui pourrait connaître une grave crise, avec 100 000 à 150 000  emplois qui pourraient disparaître, selon la Fédération Française du Bâtiment. Dans le même temps, les ventes de biens ont chuté de 15 à 20 % avec un coût du crédit plus cher et des conditions d’obtention des prêts plus drastiques. Les projets immobiliers sont en stand-by malgré plus de 2,5 millions de ménages en attente de logements  sociaux !

Le secteur subit de plein fouet les hausses des prix. Celle des matériaux d'abord, mais aussi celle de l'énergie et plus généralement du prix des terrains, qui empêchent toute opération immobilière, même l'achat de pavillon. Il faut ajouter les nouvelles normes imposées par la France via l’Europe et qui accroissent les coûts de production.

Et les autorités sont déjà au courant, selon le président de la Fédération Française du Bâtiment. « Il y a six mois, le Ministre du Logement a évoqué une bombe sociale dans le logement neuf et Bruno LE MAIRE a déjà rencontré les présidents des banques. Tout le monde a pris la mesure de la situation, l'audit est partagé… conclut Olivier SALLERON qui anticipe au moins deux années de crise dans le secteur. L’Etat, encore une fois constate et enregistre les faits, et demande aux autres de trouver des solutions. Aucune anticipation, aucune politique sociale, aucune stratégie ne concerne le logement.

Les professionnels du secteur avaient pourtant adressé une lettre ouverte au Président de la République en mai dernier. Le retour est éloquent : les conclusions du « Conseil National de la Refondation Logement », attendue le 09 mai, est reportée au 05 juin ! Les professionnels attendent fébrilement de «  puissantes mesures d’urgence » pour faire « face à la crise du logement qui s’installe durablement dans notre pays ». Tous ont bondi. « L’heure n’est plus aux constats, aux atermoiements ni aux hésitations. Quand l’Etat prendra-t-il la véritable mesure du risque de bombe économique, sociale et sociétale ?, tempêtent-ils.

 

Des faillites en cascades dans le viseur…

 

L’envolée des taux de crédit, qui passent de 1 % en octobre 2021 à plus de 5 % aujourd’hui, a fortement pénalisé les ménages qui ont reporté leurs projets immobiliers à plus tard. Les emprunteurs ne sont pas les seuls à être touchés par la crise. Les professionnels du secteur subissent de plein fouet ce retournement du marché. Ainsi, plus de 500 agences immobilières ont mis la clé sous la porte ou ont été placées en redressement judiciaire entre mai 2022 et avril 2023.

A l’instar des agences immobilières, une autre profession en souffrance est celle des courtiers. Le nombre de courtiers en déclin a atteint 142 en un an à fin avril, soit une hausse de près de 78 % par rapport à l’année précédente. Il y a cinq ans, le nombre de défaillances annuelles ne dépassait pas les 50 cas. Le taux d’usure, taux maximum auquel une banque peut prêter, était révisé tous les trimestres. Les courtiers alertaient sur le décalage avec la remontée des taux d’intérêt. Le taux d’usure est depuis février revu tous les mois, et ce, jusqu’au 01er juillet.

Les promoteurs ne sont pas en reste. Les faillites de promoteurs sont en hausse de quasiment 54 % sur les quatre premiers mois de l’année. On constate 111 cas de faillite, et la construction n’est pas épargnée non plus : 696 défaillances ont été dénombrées.

 

 

 

Logement neuf : le secteur s'enfonce dans une crise profonde…

 

Depuis trois mois, la demande en logements neufs dégringole. Cette spirale négative inquiète la Fédération des promoteurs immobiliers, qui réclame des mesures de soutien et d’accompagnement. Pour autant, entre les habitations laissées vacantes ou en cours de rénovation et la croissance démographique, un accroissement du parc immobilier est nécessaire, à raison de 450 000 logements neufs chaque année. Les promoteurs réclament au ministère de l’Économie des mesures pour relancer les achats. Les maires signent de moins en moins de permis de construire, les ventes chutent, les taux de crédits augmentent : ce sont tous les ingrédients des drames à venir…

Il y a de plus en plus de mal logés et des projets de logements sociaux sont au point mort. Les crédits sont trop chers et associés à une inflation galopante. Le budget logement fait passer une bonne partie de la population française en dessous du seuil de pauvreté. Les faillites s’enregistrent à la « pelle » et des « brouettes » de licenciement sont à prévoir à la clé, provoquant aussi un appauvrissement des ressources des communes !

En effet, l’essentiel des taxes payées chez le notaire lors des transactions immobilières passent dans le budget de nos communes : la cerise sur le gâteau après la suppression de la taxe d’habitation ! Le gouvernement avait déjà préparé ses bonnes résolutions pour 2023, avec une série de mesures et de réglementations. Logement, transition énergétique, gestion des déchets, aménagement territorial… beaucoup d’entre elles concernent le BTP.

La crise du bâtiment devient ainsi un ferment de révolte sociale qui s’ajoute ou se fond dans les crispations ambiantes : inflation, immigration non maîtrisée, justice en trompe-l’œil, police débordée, délinquance et trafic de drogue aux portes de nos écoles,… et la réforme des retraites qui fait toujours l’objet du conflit social avec les citoyens, les syndicats et le parlement.

 

 

Existe-t-il des solutions ?

 

Les professionnels du secteur demandent une aide de l’Etat pour les entreprises en difficultés. Peu pertinent, quand il n’y a pas de commandes, autant mettre du sparadrap sur une jambe de bois !

Parmi les mesures que l’Etat peut prendre : permettre aux banques de faciliter les conditions d’octroi de crédit (durée, capacité d’endettement), et booster les prêts à taux zéro en programmant une accession au plus grand nombre. Le secteur se remet en cause depuis quelques années et opère le virage d’une véritable révolution industrielle.

Plusieurs innovations promettent depuis des années d'augmenter la productivité des constructeurs et de réduire les coûts du logement neuf. Le secteur semble accélérer leur utilisation sous plusieurs pressions. L'impératif de construire bien davantage de logements, moins chers aussi pour en faciliter l'accès, relève plus que jamais du défi dans un contexte d'inflation des matériaux mais aussi de mise en oeuvre d' une nouvelle réglementation environnementale de la construction neuve, un facteur inflationniste avec le durcissement des normes.

C’est la mise en œuvre de la cybertechnologie, de l’automatisation tous azimuts afin de limiter les coûts de main d’œuvre, des connectivités ubiquitaires, prises de décision décentralisées et en temps réel… Le seul problème est financier : les nouvelles technologies sont très coûteuses. L’Etat pourrait intervenir dans le cadre de prêts bonifiés, par exemple.

Une autre ouverture pour diminuer les coûts liés au béton : le secteur Bois-Bâtiment fait partie intégrante de l’aval de la filière Bois-Forêt, par sa capacité à utiliser le matériau bois dans la composition de tous types d’ouvrages, tant en menuiserie intérieure, et agencement, qu’en enveloppe et en structure. Ici encore, l’Etat peut jouer un rôle de facilitateur en matière d’emploi et de formation, de gestion de la forêt…

A côté des 13 milliards mis sur la table pour l’industrie, que compte faire l’Etat pour palier une crise économique et sociale sans précédent dans notre pays ? Le nerf de toute entreprise, c’est surtout le client ! Si l’Etat n’intervient pas rapidement pour passer des commandes de logements sociaux, par exemple, de débloquer des ressources pour la construction via l’épargne des français, nous allons droit à la catastrophe…

Raymond DEVOS nous avait déjà prévu dans son sketch concernant les évènements de mai 1968 : « je vais maintenant pousser un cri d’alarme, si le gouvernement actuel n’est pas capable d’assurer la catastrophe, je dis attention, l’opposition pourrait  s’en emparer… » !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Pas de surprise dans l’univers du sponsoring sportif départemental ! En apposant sa griffe au bas des documents officiels qui lient l’assureur mutualiste régional à la structure associative, porteuse du concept, le directeur des établissements de GROUPAMA Paris-Val-de-Loire de l’Yonne et de Seine-et-Marne, Jacques BLANCHOT, a confirmé le soutien de son entreprise à la plus grande concentration cyclotouriste de notre territoire…

 

AUXERRE : Le contraire eut été étonnant ! C’est donc en pure formalité qu’a été reconduit cette semaine le partenariat unissant la structure associative du comité d’organisation de la Franck Pineau à l’un des spécialistes de l’assurance-prévoyance de notre territoire, GROUPAMA Paris Val-de-Loire. Un coup de pouce, à la fois financier, de communication et de logistique qui a été réitéré pour la troisième édition successive du côté de l’établissement mutualiste.

C’est en présence de l’ancienne gloire du cyclisme professionnel hexagonal, Franck Pineau, parrain émérite de la fameuse manifestation cyclotouriste à laquelle il a donné son nom – la dernière édition de 2022 aura rassemblé tout de même la bagatelle de plus de 1 200 adeptes de la « petite reine » - que le président du comité organisationnel, Eddy BEVRE et le directeur des établissements GROUPAMA Yonne et Seine-et-Marne, Jacques BLANCHOT, ont paraphé les documents, permettant la reconduction de cet acte coopératif au moins pour une année supplémentaire.

 

 

Une affaire de famille ou presque pour Franck PINEAU qui rappelons est l’un des encadrants de l’équipe cycliste professionnelle de la Française des Jeux/Groupama !

La future édition de cette grande concentration familiale popularisée depuis plus de deux décennies par Serge LE DOUSSAL, ancien président de l’entité, et Eddy BEVRE, son successeur, se déroulera samedi prochain, le 10 juin, au départ du mythique stade de l’AJ Auxerre, à l’Abbé Deschamps.

Cette année, ce n’est pas moins de 17 nouveaux parcours, empruntant les belles routes de l’Avallonnais, qui seront proposés dont neuf destinés exclusivement aux pratiquants du cyclo, deux pour le Gravel, deux pour les VTT et trois pour les férus de la randonnée pédestre.

 

Thierry BRET

 

 


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