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« C’est la conquête de l’Ouest ! ». C’est par cette boutade, ne faisant nullement référence au far-west et à ses mythiques cow-boys que le premier vice-président de l’Auxerrois Christophe BONNEFOND a débuté sa prise de parole, lors de la cérémonie inaugurale de la nouvelle tranche de pavillons individuels, construits par l’OAH à Vallan, commune chère à Bernard RIANT. Pourtant, derrière la pointe d’humour, le conseiller départemental s’est fait plus grave en rappelant que « le temps jouait en défaveur des collectivités ». Une allusion à peine voilée sur le projet de loi ZAN…

 

VALLAN : On a tous en mémoire la fameuse petite formule linguistique que nous avait assénée feu le président de la République François MITTERRAND alors dans l’exercice de ses fonctions, « il faut du temps au temps ».

Une phrase, certes, empreinte de sagesse pour le « vieux Sphinx » du Morvan, alors au crépuscule de sa carrière politique. Peut-être s’est-il remémoré ces quelques mots prononcés par l’homme d’état à la rose, le premier vice-président de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois ? Mais, pour Christophe BONNEFOND, dans le domaine du foncier et de la construction, le temps ne se présente pas du tout comme un allié !

Pire, « on ne peut plus laisser le temps jouer contre nous… ». En filigrane, l’ensemble des projets immobiliers, en l’occurrence ceux portés par le bailleur social OAH (Office Auxerrois de l’Habitat), doivent sortir hors de terre le plus vite possible et pas seulement…à l’ouest de la capitale de l’Yonne. D’où la référence à l’autre phrase, dite par l’élu départemental : « c’est la conquête de l’Ouest, aujourd’hui ! ».

 

Il faut accélérer les projets fonciers pour garder l’attractivité…

 

Invité à s’exprimer lors de la phase inaugurale de la nouvelle tranche de pavillons individuels – une opération concoctée par l’OAH de vingt habitations, comprenant garage et jardin privatif – venant enrichir le potentiel d’accueil de la commune dirigée par Bernard RIANT, Christophe BONNEFOND souhaite que les délais de construction soient moins contraints par rapport au texte de loi sur le « zéro artificialisation nette » (ZAN). Un projet qui fait la une de l’actualité cette semaine chez les parlementaires !

Puis, martelant ses propos avec sérieux au pupitre où un vent violent vint tourmenter le micro en créant quelques interférences sonores peu académiques, l’élu rappela que « dans un an, la plupart des constructions s'arrêteront sur l'Auxerrois. Je pense que beaucoup de gens n'en sont pas encore conscients… ».

Inquiet, Christophe BONNEFOND ? « L’Auxerrois – et Auxerre - est un bassin/ville de taille moyenne qui a un certain retard par rapport à d’autres villes et bassins de même strate sur ce sujet du foncier. Or, si nous voulons garder et retrouver une place digne de ce nom par rapport à l'attractivité, il nous faut accélérer ! ».

 

 

Le temps joue contre nous, on n’y peut rien…

 

Du pur pragmatisme, en vérité avant que l’élu n’ajoute que beaucoup d’entreprises allaient s’installer dans la zone d’activité d’Aux-R-Parc – tous les terrains seraient vendus ! – et qu’il était impérieux désormais de s’interroger sur le logement de ces futurs salariés.

« Je le répète, insistait-il, le temps joue aujourd'hui contre nous, c'est comme ça, on n'y peut rien. Il est nécessaire de s'adapter et que l’on soit plus réactif, que l’on soit plus agile… ».

Indispensable, il est vrai, pour accompagner ce dynamisme incarné par l’Office Auxerrois de l’Habitat, qui comme devait le souligner son président, Vincent VALLE, dispose de plusieurs atouts et projets dans son escarcelle.

« L’office porte de très belles réalisations, devait conclure Christophe BONNEFOND, j'en suis très heureux pour l'ensemble de l'Auxerrois. Mais, il faut que nous puissions servir les 28 communes qui les réclament ! Il faut que cela arrive dès que possible… ».

Cerise sur le gâteau (et pour rassurer sans doute le maire de Venoy), l’est et le nord de l’agglomération auxerroise recevront bientôt leurs dotations de nouvelles constructions sous pavillon de l’Office Auxerrois. Une remarque que n’aura pas manqué de formuler Vincent VALLE, son président !

 

Thierry BRET

 

 


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Le chiffre est stupéfiant. Un tiers des écoles françaises présentent encore des traces d’amiante dans leurs bâtiments. Un résultat net et sans appel, en fin de compte puisque l’essentiel des écoles érigées avant 1997 renferme dans ses plafonds et autres toitures ce matériau isolant, désormais prohibé par les pouvoirs publics. La section auxerroise de LFI s’en inquiète…

 

AUXERRE : Et revoici l’amiante qui refait surface ! Tel un serpent de mer dont on avait oublié l’existence mais qui demeure là, tapi dans les eaux troubles de l’actualité, prêt à surgir !

Isolant à la réputation sulfureuse, responsable de moult pathologies dont certaines mortelles à l’instar de cancers, l’amiante n’est plus en odeur de sainteté auprès des Français soucieux de la qualité de leur cadre de vie. Privé ou public.

En témoigne la demande faite par les représentants de La France Insoumise (LFI) d’Auxerre qui mettent en garde celles et ceux qui fréquentent au quotidien les établissements scolaires. Enseignants, enfants, personnels de mairie et de périscolaire, usagers des écoles : tous sont potentiellement en danger. De mort ? Quand on sait que l’exposition à ces fibres serait à l’origine de 100 000 décès d’ici 2050, on ne peut que s’alarmer, il est vrai !

 

 

Disposer des DTA de tous les établissements scolaires d’Auxerre…

 

« Nous demandons à la municipalité d’Auxerre de rendre public les DTA – les dossiers technique amiante, un document obligatoire pour les constructions dont le permis de conduire a été délivré avant le 01er juillet 1997 -, précise un communiqué de presse signé Adrien PROVENCE, l'un des porte-paroles de LFI dans l'Yonne, d’ores et déjà, nous savons grâce à cette étude que beaucoup d’écoles d’Auxerre présentent des traces d’amiante… ».

Parmi celles-ci, citons l’école élémentaire Courbet, la maternelle et l’élémentaire Rive Droite, la maternelle Henri Matisse, la maternelle Jean Zay, l’école primaire des Clairions, la maternelle des Mignottes, l’école élémentaire de Brazza,…Les autres établissements ne sont pas répertoriés dans la liste noire, faute de données recueillies.

Haro contre les bâtiments construits au détriment de la santé publique est le message en filigrane qui est adressé par LFI à travers cette alerte.

 

Thierry BRET

 


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Qui l’eut cru ? Mais, l’inauguration de la Maison de santé pluridisciplinaire de Sens, accueillie dans le quartier des Champs-Plaisants, a offert l’opportunité à l’édile de la ville septentrionale, successeur de la regrettée Marie-Louise FORT maintes fois citée lors de cette cérémonie protocolaire quelque peu perturbée par l’orage de s’en référer à l’œuvre majeure de NIETZSCHE, « Ainsi parlait Zarathoustra » ! Une citation destinée au docteur Luc BURSKI, médecin généraliste et grand ordonnateur de ce projet, enfin abouti…

 

SENS : Cette phrase-là, elle va droit au cœur de l’intéressé – le docteur en médecine générale Luc BURSKI - qui éprouvera le plus grand mal à se contenir pour ne pas verser des larmes lui embuant les pupilles à l’issue de la cérémonie. C’est une grande leçon d’humilité et de profond respect qu’auront vécu celles et ceux, parmi les nombreux invités, qui devaient se réfugier au premier étage de l’édifice à peine inauguré, du fait d’un violent orage qui après avoir menacé le bon déroulement de la réception prévue à l’extérieur devait faire chuter des trombes d’eau au moment de la prise de parole. Une phrase que l’on doit à Paul-Antoine de CARVILLE, le maire de Sens en docte érudit qu’il est, extraite de l’œuvre maîtresse du philosophe allemand, Friedrich NIETZSCHE, « Ainsi parlait Zarathoustra » !

Une citation que l’édile positionna au terme de son intervention où il avait salué au préalable le travail essentiel des agents de la ville, toujours prompts à s’investir, y compris dans la réflexion autour d’un tel projet.

« C’est grâce à l’une d’elle, prénommée Juliette, que nous avons sollicité l’intervention financière de l’ANRU afin de financer cet établissement, faisant partie intégrante du projet urbain décliné par la Ville ».

 

Le soutien de l’ANRU et du Département, mais aussi des autres partenaires…

 

On ne sait pas si la dénommée Juliette était bel et bien présente parmi les nombreux invités, jeudi en fin d’après-midi, sur le site célébré, en tout cas la Ville lui doit une fière chandelle puisque l’ANRU (Agence Nationale de la Rénovation Urbaine) n’aura pas ergoté dans son soutien à la réalisation de cet établissement sanitaire, érigé au cœur du quartier des Champs-Plaisants.

Une aide devant se traduire dans les faits par une enveloppe budgétaire de 300 000 euros, somme devant s’ajouter aux autres appuis financiers émanant notamment de la Région ou du Département – la collectivité territoriale ayant joué le jeu avec le projet de l’établissement privé, une première pour elle, à hauteur de 250 000 euros -, preuve de grand réalisme envers l’intérêt général.

 

 

Faire naître une étoile scintillante avec un tel projet, bénéfique au quartier…

 

En concluant son propos par cette citation – « Il faut porter en soi un chaos pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante » - qu’il adressa au sympathique praticien, Luc BURSKI, sis à ses côtés, Paul-Antoine de CARVILLE s’est voulu empreint de sagesse et de réconfort pour l’auguste personnage qui eut à maintes reprises le souffle court avant de remercier celles et ceux qui l’avaient soutenu depuis tant d’années à l’édification de ce projet, aujourd’hui abouti.

« Luc, renchérit le maire de Sens, avec ce peu de chaos que tu avais en toi, tu as fait naître une étoile scintillante… ». Une étoile qui devrait briller longtemps dans ce quartier, telle une boussole éclairante de la solidarité et de l’altruisme, afin que nul ne soit oublié ?

Des propos tenus par le maire devant rendre un hommage appuyé à celle dont il fut le premier adjoint durant plusieurs années, Marie-Louise FORT. « C’est sur une intuition qu’est né ce projet de maison de santé pluridisciplinaire, ajouta-t-il, une intuition que nous partagions Marie-Louise et moi… ».

Un projet qui sera finalement monté de manière plutôt rapide et de farouche volonté par la gouvernance municipale, d’alors. Logique qu’il y ait de la fierté parmi tous les orateurs devant s’exprimer au vu du résultat…

 

Ne pas détricoter les maisons de santé qui fonctionnent au bénéfice des autres…

 

Puis, recoiffant symboliquement sa casquette de représentant politique du cru, Paul-Antoine de CARVILLE ne put clore son allocution sans faire allusion à la désertification médicale – même si dans ce nouveau centre de soins, plus d’une vingtaine de praticiens accueille la patientèle plus qu’au centre-ville  - : « une aide et une prime aux médecins ne sera accordée qu’aux jeunes étudiants qui désirent s’installer sur le territoire, devait-il affirmer.

Histoire d’éviter l’irrésistible course à l’échalote qui prévaut à l’heure actuelle dans la recherche des subventions aux médecins ? Sans doute. A l’instar du refus de l’édile sénonais de détricoter une maison de santé qui fonctionne bien pour aller renforcer un établissement ailleurs, plus chancelant au niveau de ses effectifs.

A ce petit jeu du siphonage des compétences, Paul-Antoine de CARVILLE dit non de manière catégorique ! « Zarathoustra a ainsi parlé » !

 

Thierry BRET

 

 

 


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On connaissait la formule usuelle « du producteur au consommateur ». En voici une nouvelle variante qui aurait pu se traduire ainsi lors de la visite de la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté au Pôle Formation 58/89 et à la Maison de l’Entreprise de l’Yonne par ces quelques mots : « du financeur à l’utilisateur ». En déplacement sur notre territoire, Marie-Guite DUFAY a eu tout le loisir de s’immerger sur ce site qui prépare les jeunes générations à l’industrie de demain…

 

AUXERRE : Rencontre intéressante qui était proposée là dans l’une des salles de réunion de la Maison de l’Entreprise/Pôle Formation 58/89 en fin de semaine dernière. La venue de la présidente de l’exécutif régional ne pouvait laisser indifférent à l’heure des messages favorables à la ré-industrialisation de l’Hexagone. Et de cet impérieux besoin de former davantage de compétences en sensibilisant les plus jeunes mais pas que pour répondre aux enjeux vitaux des entreprises.   

Soutien financier de l’infrastructure, la Région Bourgogne Franche-Comté a pris soin, via des échanges nourris de sa présidente avec un public composé de demandeurs d’emploi en cours de reconversion, de mieux saisir ce qui se pratiquait réellement au sein de cet établissement à cheval dans sa zone d’influence sur deux départements limitrophes, la Nièvre et l’Yonne. Ce qui n’est guère commun dans le paysage local.

Attentive à la moindre remarque de l’auditoire, répondant aux interrogations du public, évoquant en guise de credo la qualité de ces métiers qui sont porteurs d’avenir, Marie-Guite DUFAY rappela aussi que le secteur industriel avait des besoins forts en matière de recrutement.

 

 

 

 

Un outil pédagogique au service de l’industrie de demain…

 

Dans un premier temps, Olivier LASSAUSSE, directeur général adjoint du Pôle Formation 58/89, accompagné de la responsable de la formation continue et insertion, Laure MINCHENEAU, présentèrent, slides à l’appui, les grandes lignes directrices de l’établissement dirigé par le délégué général de l’UIMM de l’Yonne, Claude VAUCOULOUX. Au détour de toutes ses subtilités (IFAG, ITII, etc.).

Un Claude VAUCOULOUX particulièrement satisfait de cette visite de la « patronne » de la Région qui apporte sa contribution financière à la construction de l’industrie de demain.

« Voir à quoi sert l’argent que nous recevons est important, expliqua-t-il, d’autant que nous concevons au quotidien dans cette maison un véritable outil pédagogique servant à l’industrie de demain… ».

Puis, la présidente de l’exécutif régional eut droit à une découverte des nouvelles installations du site, celles-ci comprennent un atelier de chaudronnerie-soudure, une ligne de production 4.0, un atelier d’usinage, etc.       

« Ici, ajouta-t-il, nous développons des technologies connectées au service de l’homme… ».

Rassurant, quant à l’éthique proposée !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Ah, les courageux ! Voilà des entrepreneurs qui n’hésitent pas à se lever aux aurores afin de prendre part à des travaux, somme toute très bien ficelés, mais très respectueux d’un ordonnancement méthodique, au rythme agréable d’une clochette qui tintinnabule pour rappeler à l’ordre des intervenants trop bavards ! Bienvenue dans le « saint des saints » des réseaux d’affaires et d’influence de la sphère entrepreneuriale qui n’a pas honte de parler business et chiffre d’affaires ! Le BNI Auxerre a ouvert grandes ses portes à une soixantaine d’invités, propices à en découvrir les rouages…

 

APPOIGNY: Il faut être un lève-tôt pour espérer rejoindre un jour ou l’autre le pionnier des réseaux d’affaires qui phosphore à plein régime dans le département de l’Yonne. Une séance de travail, devant débuter à 07h30 tapante avec le sourire aux lèvres, les idées bien en phase et la mine toute fraîche : ce n’est pas concevable pour celles et ceux qui entament leur journée de travail à partir de 09 heures, voire beaucoup plus !

On l’aura compris : les deux heures de session que s’imposent de manière très régulière les membres du BNI (Business Network International) d’Auxerre ou d’ailleurs – la représentativité de ce club aux consonances américaines dans le mode de fonctionnement et dans l’appellation se retrouve aussi à Sens, Joigny ou à Avallon – préfigurent astucieusement la journée d’un entrepreneur ou cadre supérieur membre, puisque ces heures sont positionnées avant de se rendre au bureau.

 

Le rôle fondamental de la clochette qui rythme le temps de parole…

 

Une fois que ce code pratico-pratique connu et mémorisé de tous, il faut se laisser guider par le maître de cérémonie de la structure, en l’occurrence le responsable tournant puisque la présidence change tous les six mois, et suivre le méthodique déroulé proposé par ses soins à l’assistance.

La semaine dernière, ils étaient une soixantaine de visiteurs, dirigeants de boîtes du cru, invités par le BNI Auxerre, à venir s’imprégner de ces us et coutumes qui peuvent parfois surprendre le quidam, vue de l’extérieur. Ici, pas de salamalecs ni de perte de temps ! D’ailleurs, le métronome qu’utiliserait un pianiste répétant inlassablement ses gammes avant de s’essayer à une sonate de SCHUBERT a été remplacé par une…clochette ! De celle que l’on emploie à la réception d’un hôtel. Mais, pour demeurer dans la métaphore musicale, il aurait été peut-être judicieux de se servir d’un triangle, non ?!

 

 

Une réunion du BNI ? Des retrouvailles entre commerciaux pour pas cher !

 

A la baguette, le chef d’orchestre de la session matinale du jour n’est autre que Francis MOREAU, actuel président de l’entité et passé maître en matière d’animation de l’ensemble. Parmi les personnalités : on remarquera la présence de Lucien BONNENFANT, le délégué du BNI pour le territoire de l’Yonne, trop heureux de constater que l’affluence est de la partie !

Pour lui, c’est simple : une rencontre du BNI se résume en une séance de « retrouvailles entre commerciaux qui ne coûtent pas cher » !

Le credo étant de faire du business, encore du business, et toujours du business, entre les membres de ce club dont le fil d’Ariane n’est autre que la recommandation personnalisée.

 

 

1,6 million d’euros de chiffre d’affaires réalisé à l’année à Auxerre…

 

J’ai un besoin, je le détermine et l’explique en séance publique, attendant un retour de l’un des interlocuteurs qui peut y apporter une solution concrète et immédiate. Pas si bête, en matière de relations publiques, très opérationnelles !

Accroître les effectifs de ce cercle vertueux répond à une logique implacable : plus on est nombreux et plus on réalise des affaires ! Elémentaire, mon cher Watson !

Chiffres à l’appui, en onze années de fonctionnement, le BNI a réalisé pour près de 130 millions d’euros de business entre ses membres ! Rien qu’à Auxerre, le chiffre d’affaires annuel dépasse 1,6 million d’euro, avec plus de 700 recommandations dans l’année ! Le taux de renouvellement des adhérents d’une saison à l’autre est exponentiel : preuve que ce système de réseautage direct satisfait les consciences.

Reste à savoir, combien de ces invités opteront in fine pour l’intégration définitive au sein de ce réseau qui est très dynamique sur la place ? Mais, même à ce petit jeu-là, le ratio peut s’avérer intéressant si 10 % de ces visiteurs basculaient sans coup férir dans le nouveau monde des affaires !

 

Thierry BRET

 


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