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Même si tous les panneaux d’affichage ne sont pas encore pourvus de leur document identifiant l’image de leurs candidats, le parti « Reconquête ! » sera bel et bien présent sur les trois circonscriptions de l’Yonne, lors de ce premier tour de scrutin, ce dimanche 30 juin. Un choix stratégique que le délégué départemental de l’Yonne, Jean-Christophe LETIERCE, avait validé le 17 juin dernier avec la publication d’un communiqué de presse…

 

AUXERRE : « La France et l’Yonne ont besoin des vérités que porte « Reconquête ! ». Le message ne fait l’once d’aucune ambiguïté. Le parti souverainiste, un peu déboussolé après le départ de Marion MARECHAL et de quelques-uns de ses leaders nationaux après les européennes, sera bien dans la course des législatives, sur les trois circonscriptions de l’Yonne. Ainsi en a décidé la fédération départementale et son responsable, Jean-Christophe LETIERCE.

Le chef d’entreprise et conseiller municipal de Charny-Orée-de-Puisaye est lui-même candidat sur la première circonscription.

Infirmière en psychiatrie, c’est Sylvie DEMUSSY qui portera le flambeau de la formation créée par Eric ZEMMOUR, sur la seconde circonscription tandis qu’Annick VILBOIS – elle est cheffe d’entreprise dans le civil – défendra les couleurs de « Reconquête ! » dans la zone la plus septentrionale du département, la troisième circonscription.

Au total, ce sont 330 prétendants à l’hémicycle du Palais Bourbon qui s’élanceront dans les starting-blocks en ce prochain jour dominical.

« C’est avec le sens du devoir que nous nous lançons dans cette bataille cruciale pour la survie de notre pays, précise Jean-Christophe LETIERCE, nos candidats sont plus motivés que jamais au regard de l’espoir que suscite cette dissolution… ».

Avec ces candidatures, le parti du polémiste Eric ZEMMOUR fait le choix de continuer d’imposer ses idées dans le débat public. Des idées qui ne sont pas forcément portées par d’autres, en vérité…

 

Thierry BRET

 


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En terminer avec l’entre soi politique et le clientélisme existant entre les élus qui représentent les citoyens. Etre des élus indépendants et transparents dans leurs actions menées en faveur des administrés : voilà ce que demande dans une tribune en mode lettre ouverte, le suppléant du député sortant (Daniel GRENON) de la première circonscription de l’Yonne, Jean-Marc PONELLE.

 

TRIBUNE : Pour quelle raison s’engager en politique ? Par amitié pour un homme qui comme moi vit à l’ombre du plaisir de Dieu, dans ce beau pays de forêts, de lacs et de collines magnifiées par la main de l’homme de culture, qui consacre sa vie à aider autrui et dont la porte, une fois élu député, est restée toujours ouverte comme pourrait en témoigner le restaurateur en face de chez moi ou l’épicier non loin.

Par admiration pour ce même homme de bonne volonté qui s’est lancé dans l’arène politique prenant le risque de l'opprobre permanent des médias, des réseaux, des personnalités qui, du haut de leur Aventin, donnent la leçon au bon peuple et la présence d'un "front républicain" bien artificiel et hypocrite, cherchant surtout à protéger des situations assises depuis de nombreuses années maintenues à coups de petits arrangements entre partis, de clientélisme et d'argent public dilapidé pour des causes douteuses.

Par convictions car cela est nécessaire et utile afin que notre pays ne tombe pas dans une décadence économique, sociale, éducative et culturelle ou une soumission à des idéologies délétères incitant à des 07 octobre en les relativisant.

En ces temps difficiles, la situation de la France est inquiétante tant du point de vue de la disparition annoncée de son identité multiséculaire, de la faiblesse d'un gouvernement pusillanime dont la communication est souvent ridicule, incapable de limiter une immigration illégale devenue impossible à assimiler, de se faire respecter, d'organiser l'ordre et la sécurité des citoyens, d'anticiper les difficultés en donnant des instructions lisibles et contraignantes aux administrations, de se libérer du carcan européen lorsque celui-ci empêche de prendre des décisions plus efficaces et conformes à l'intérêt des citoyens.

 

Une ère historique où il faut changer de modèle…

 

Depuis les dernières élections européennes, nos dirigeants ont vu pour reprendre les écrits de Chantal DELSOL que « l’Europe politique requiert un changement primordial : cesser de considérer les peuples comme des ramassis de crétins. Reprendre à nouveaux frais le fondement démocratique qui veut l’autonomie des particularités, régions et nations. Le mépris et l’intolérance qui nous assaillent évoquent davantage un despotisme qu’une démocratie. »

Ils ont vu mais leur attitude n’a pas changé à l’égard des gens d’ici que nous sommes, leur préférant les gens d’ailleurs ou de nulle part.

« Nous sommes dans une ère historique qui impose de changer profondément de modèle » avait déclaré Emmanuel MACRON, raison pour laquelle il a choisi de « dégoupiller une grande pour l’envoyer entre les jambes » des parlementaires.

Les électeurs de l’Yonne l’ont pris au mot et ont choisi de placer en tête le Rassemblement National lors des élections européennes et devront transformer l’essai. Une révolution copernicienne, la découverte d’un nouveau monde comme en 1492, dans ce pays qui, jusque-là, se laissait docilement mener par une politique centriste vidée de toute substance immédiatement prête à céder aux sirènes du « macronisme ».

Mais le monde s’est transformé et le constat des difficultés croissantes en matière de pouvoir d’achat, de transports, de santé, la dégradation des services publics résonne comme un démenti éclatant de toute action véritable à la tête de l’Etat, droite et gauche confondues depuis une quarantaine d’années.

L’enlisement dans une spirale négative, chaque pseudo-réforme aggrave un peu plus la situation, les dysfonctionnements s’accumulent comme les couches administratives et les directives, la « chienlit » comme aurait dit un certain Général.

Cet échec est cuisant et ce, à tous les niveaux : santé, sécurité, drogue, justice, enseignement, transports, pouvoir d’achat, police démobilisée, magistrature en doute, personnels de santé désabusés et dégoutés, enseignants démotivés, dettes, désindustrialisation, immigration clandestine exponentielle, appauvrissement des classes moyennes, disparition du sens des responsabilités au sein de certains syndicats ou institutions.

 

La fausse dramaturgie de la « peste brune »…

 

Nos concurrents centristes ne proposent rien d’autre que la perpétuation d’un système inamovible, ce qui entrainera une désaffection de plus en plus grande de la politique et des élus. Le parti LR se divise entre ceux qui sont incapables de saisir une opportunité historique et ceux qui franchissent le Rubicon.

A moins que l’on préfère un chaos économique, social et identitaire avec une gauche disparate rassemblant des défenseurs de la laïcité comme des soutiens au communautarisme islamique, des pro-nucléaires comme des pro-éoliens, des européens comme des souverainistes, embrassons-nous, Folleville pour quelques investitures de plus et surtout rejouons une énième fois la fausse dramaturgie de la « peste brune ».

Nous citoyens de base, nous ne demandons rien d’autre que de vivre sereinement, en paix avec des familles stables.

Quelques mesures simples peuvent dans l’immédiat améliorer la situation (baisse de la TVA sur l’énergie (dont le coût sera d’ailleurs compensé par le maintien ou l’augmentation de la consommation), augmentation des salaires de 10 % sans charges dans la limite de 3 000 euros (mesure dont le coût est à relativiser puisque sans cette mesure l’augmentation n’aurait pas eu lieu et que la consommation engendrée provoquera une augmentation des recettes de TVA), suppression de subventions inutiles, réduction d’avantages exorbitants pour des clandestins, amélioration des contrôles à la frontière, peines planchers et double peines, véritable négociation des OQTF, meilleur contrôle des fraudes sociales, etc… mais il est impératif qu’une majorité absolue soit donnée au Rassemblement National et à ses alliés.

Par la suite viendra l’amélioration du système des carrières longues pour les retraites et les solutions référendaires pour modifier la constitution viendront avec la présidentielle.

Par ailleurs, nous l’avons dit et redit pendant la campagne, pour faire revenir les citoyennes et les citoyens aux urnes, il faut en terminer avec des élus issus du monde de l’entre-soi politique et choisir des élus qui représentent les citoyens, en toute indépendance, sans compte à rendre, sans clientèle à satisfaire, sans amis à récompenser, sans cursus « honorum » à compléter. Daniel GRENON a été l’un de ces élus et il le sera encore après le 30 juin ou le 07 juillet…

 

Jean-Marc PONELLE

 


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Sacré casting que celui-là, mine de rien ! Une sorte de « piste aux étoiles » en mode politique, chère au regretté Roger LANZAC, comprenant, pour l’heure, cinquante-et-un patronymes connus et reconnus, en très large majorité issus de la droite républicaine et du centre droit de la terre de l’Yonne, qui se refusent à baisser les bras, face aux trois grands blocs qui devraient jouer néanmoins les premiers rôles lors de ces échéances législatives 2024. Céline BAHR a bien de la chance : elle ne se lance pas toute seule dans l’âpre bataille de la première circonscription !

 

AUXERRE : Après le soutien de Gérard LARCHER, Président du Sénat, en début de semaine, Céline BAHR remet le couvert en publiant une liste de cinquante-et-un signataires – c’est simple, on dirait une tribune publiée dans les colonnes du quotidien « Le Monde » pour une noble cause altruiste ! -, diffusée largement sur les réseaux sociaux et vers les canaux médiatiques afin de mieux la relayer.

Un « appel à un ami » de dernière minute qui s’avère plutôt fructueux au vu du retour de signatures et qui se transforme en une mobilisation quasi générale, à quelques exceptions près – certains noms de personnalités notoires du centre droit ne figurent pas sur cet inventaire à la Prévert favorable à la jeune candidate des Républicains -, suscitant légitimement quelques interrogations stratégiques et tactiques !

Ainsi, parlementaires, maires, conseillers régionaux, conseillers départementaux, anciennes gloires de la vie politique icaunaise n’ont pas hésité à répondre positivement à cet « appel du 28 juin » - tiens, tiens, cela ne vous rappelle pas quelque chose quand la Patrie est en danger ! – en apposant leurs paraphes au bas de cet écrit, symbolisant le comité de soutien à Céline BAHR à l’avant-veille du premier tour de scrutin. Une liste qui ne demande encore qu’à s’étayer pour les éventuels retardataires qui seraient toujours dans les atermoiements politiciens !

Bref, la « solitude du coureur de fond » n’est pas le truc actuel de la conseillère régionale et élue de la Ville d’Auxerre, qui aux côtés de son suppléant, Jean-François BOISARD, aura donc mis le paquet pour rallier derrière son panache blanc de la conviction électoraliste le maximum de ténors de la droite et du centre droit de l’Yonne qui se sentent malgré tout désabusés après le psychodrame vécu ces derniers jours chez Les Républicains. Comme quoi, l’esprit de famille chez les gaullistes de souche demeure très vivace !

 

     

 

La liste des cinquante élus et maires de l’Yonne :

 

  • Gilles ABRY, maire de Leugny, conseiller départemental du canton Cœur de Puisaye (Bléneau, Toucy, Saint-Fargeau)
  • Mahfoud AOMAR, maire de Valravillon, président de la communauté des communes de l’Aillantais en Bourgogne, président de l’AMF 89
  • Jacques BALOUP, maire de Sementron, ancien conseiller général de la Forterre
  • Jean-François BOISARD, maire de Saint-Privé
  • Pierre BORDIER, ancien sénateur de l’Yonne, ancien maire de Saint-Fargeau
  • Patrick BUTTNER, maire de Villiers-Saint-Benoît
  • Françoise CANCELA, maire de Fleury-la-Vallée
  • Michel CARRÉ, maire de Mézilles
  • Gérard CHAT, maire de Senan
  • Alain CHEVALLIER, maire de Poilly-sur-Tholon
  • Jacky CHEVAU, ancien maire de Sougères-en-Puisaye
  • Paul CHOCAT, maire honoraire de Chastenay
  • Michel CHOCHOIS, ancien maire de Lain
  • Nadia CHOUBARD, maire de Lainsecq
  • Claude CONTE, maire de Thury
  • Catherine CORDIER, maire de Ouanne
  • Guy CORMEROIS, ancien maire de Saint-Sauveur-en-Puisaye
  • Micheline COUET, maire d’Egleny
  • Jean-Pierre CROST, conseiller régional de Bourgogne Franche-Comté
  • Jean DESNOYERS, maire de Mouffy
  • Fernando DIAS GONCALVES, maire de Montholon, vice-président de la communauté des communes de l’Aillantais en Bourgogne
  • Alain DROUHIN, maire de Bléneau, vice-président de la communauté des communes de Puisaye-Forterre
  • Vincent DUFOUR, maire de Ronchères
  • Gérard FOUCHER, maire de Rogny-les-Sept-Ecluses
  • Isabelle FROMENT-MEURICE, vice-présidente du conseil départemental de l’Yonne, conseillère départementale de Cœur de Puisaye (Bléneau, Saint-Fargeau-Toucy), 1eradjoint au maire de Villiers-Saint-Benoît
  • Patrick GENDRAUD, président du conseil départemental de l’Yonne
  • Jacques GILET, ancien maire de Champignelles
  • Francis HEURLEY, maire de Quenne
  • Gilles HOUBLIN, maire de Charentenay
  • Luc JACQUET, maire de Fouronnes
  • Richard JASKOT, maire de Villeneuve-les-Genêts
  • Jean JOUMIER, ancien maire de Saint-Fargeau
  • Éric JUBLOT, ancien maire de Charny
  • Isabelle JOAQUINA, adjointe au maire d’Auxerre, conseillère départementale de l’Yonne (Augy, Auxerre, Bleigny le Carreau, Champs-sur-Yonne, Quenne, Saint-Bris, Venoy)
  • Michel KOTOVTCHIKHINE, maire de Toucy
  • Guillaume LARRIVÉ, député de l’Yonne de 2012 à 2022, ancien conseiller régional de Bourgogne
  • Crescent MARAULT, maire d’Auxerre, vice-président de la communauté d’agglomération de l’Auxerrois
  • Claude MILLOT, maire de Moutiers-en-Puisaye
  • Valérie MULLER, maire déléguée de Villiers-sur-Tholon
  • Rémy NADIN, ancien maire de Lain
  • Éric PAURON, maire de Champignelles
  • Benoît PERRIER, maire de Fontenoy
  • Sylviane PETIT, maire déléguée d’Aillant-sur-Tholon
  • Denis POUILLOT, maire de Sainpuits
  • Henri de RAINCOURT, ancien ministre, ancien sénateur de l’Yonne, ancien président du conseil départemental de l’Yonne
  • Thierry ROUMEGOUX, maire délégué de Volgré
  • Jean-Pierre SANCHIS, maire de Champcevrais
  • Magloire SIOPATHIS, maire d’Appoigny, conseiller départemental de l’Yonne, vice-président de la communauté d’agglomération de l’Auxerrois
  • Maryline THIEULENT, maire de Courson-les-Carrières
  • Philippe VANTHEEMSCHE, maire d’Escolives-Sainte-Camille
  • André VILLIERS, député de l’Yonne depuis 2017, ancien président du conseil départemental de l’Yonne

 

A l'instant, on peut ajouter le nom de Dominique CHARPENTIER, maire de Saint-Fargeau, ce qui porte à 52 élus le nombre de soutiens..

 

Thierry BRET

 


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Son credo tient en trois points. Liberté, dignité, autorité. La base élémentaire d’un programme qu’il veut solide pour faire face aux incertitudes et à l’inconnu. Surtout depuis que les « caprices du Président de la République au soir du 09 juin ont précipité l’Hexagone au bord du précipice ». Le terme de sa campagne – il se présente sous le vocable généraliste de la « droite » sur la troisième circonscription de l’Yonne – s’effectuera par un ultime tour de piste, ce soir, à l’hôtel de ville de Joigny. Ultime tour de piste ? Pas si sûr, s’il arrive à convaincre et à se hisser en invité surprise pour la seconde passe d’armes…

 

JOIGNY : 19 heures, ce vendredi. Dernière réunion publique avant le jour J pour le candidat Grégoire WEIGEL, la quarantaine alerte et dynamique, qui se présente dans la troisième circonscription de l’Yonne, avec le fol espoir de créer la surprise et de se qualifier pour le second tour de ces élections législatives si inattendues. L’étiquette choisie par le postulant est on ne peut plus simple à la compréhension : la droite. Toutes les droites ? Que nenni !

La droite républicaine, modérée, mais sans affichage politique trop marquée. On le sait très bien, par les temps qui courent, c’est plutôt un argument rédhibitoire pour certains électeurs, allergiques aux partis politiques !

Professionnel du barreau – tant à Sens que dans la capitale -, celui qui veut porter le flambeau au nord de l’Yonne contre le péril incarné par le Rassemblement National souhaite devenir un parlementaire responsable, aux convictions claires et assumées, refusant la provocation des extrêmes et la « paresse du en même temps ». Une bonne raison, en somme, pour solliciter les suffrages des électeurs de l’Yonne septentrionale !

Il s’en explique : « aussitôt la dissolution prononcée, les soi-disant adversaires d’hier qui juraient pendant la campagne des européennes qu’ils sortiraient de la NUPES et de son agrégat contre nature l’ont réanimé et promettent désormais de faire encore pire… ».  

Bing, l’union de la gauche en prend un bon coup sur la tête ! Mais, ce n’est pas mieux de l’autre côté du spectre politique. « Ils disent, essayez-nous ! C’est leur unique programme ! ».

 

Le rejet de la confrontation systématique LFI/RN…

 

La confrontation RN/LFI l’indispose. Un choix beaucoup trop restrictif aux yeux de ce candidat qui jadis fut d’abord salarié, puis agent public avant d’embrasser la carrière d’avocat. Ce père de quatre enfants, engagé dans la vie associative et locale, a donc choisi de se lancer dans la bataille de ces élections législatives, composant avec Louis-Marie AUBE – ce dernier est directeur financier – un binôme qui entend faire jouer de ses atouts pour convaincre les électeurs du cru.

« Nous refusons la compromission avec le Rassemblement National et l’irresponsabilité de la gauche, écrit-il dans l’un de ses communiqués de presse.

Peu connu dans le sérail politique icaunais, Grégoire WEIGEL n’en a pas pour autant les faveurs de plusieurs maires des communes de la circonscription ainsi que des élus Les Républicains. « Ils s’engagent à mes côtés… ».

Et si Grégoire WEIGEL réussissait la surprise du chef au soir du 30 juin en obtenant les suffrages qualificatifs pour l’explication finale ? Impossible n’est pas français, dit-on ! Réponse, dimanche, aux alentours de 20 heures !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Plus de 200 sympathisants et militants, exaltés par l’espoir de voir leur candidate ravir le fauteuil de député à l’extrême droite ont assisté hier soir au Silex au meeting organisé par le NFP, en soutien à Florence LOURY et son suppléant, Bruno CANCELA-BRAULT. Une soirée riche en moments d’émotion, où les différents intervenants ont voulu montrer qu’aussi hétéroclite soit-il, « l’attelage » de gauche roule et tient la route ! Une route, ils en sont persuadés, ne pouvant conduire qu’à la victoire dans la première circonscription de l’Yonne le 30 juin et le 07 juillet.

 

AUXERRE : « C’est un moment où l’Histoire nous convoque… ». A l’heure où les derniers sondages voient entre 250 et 300 députés RN rejoindre les bancs de l’Assemblée Nationale au soir du second tour des législatives, l’élue municipale d’opposition Sophie FEVRE, qui a ouvert la soirée, a rappelé en quelques mots les enjeux à quatre jours du premier tour : « la défaite du « macronisme » ne doit pas être celle de la République…».

Mais dénoncer la pensée de l’extrême droite ou rappeler le passé néofasciste et collaborationniste de ceux qui portèrent le Front National sur les fonts baptismaux peut-il suffire aujourd’hui à convaincre et retrouver tous ces électeurs des classes populaires, sensibles au chant des sirènes « bleu marine » ?

A tour de rôle, les représentants icaunais des partis rassemblés sous la bannière du Nouveau Front Populaire (NFP) ont pris la parole, déclinant les différents thèmes du programme concocté au national et porté par la candidate, Florence LOURY, dans la première circonscription.

 

 

Le « Mozart de la finance » en perd ses partitions !

 

Un programme « porteur d’espoir », selon Adrien PROVENCE (LFI), Valentin ANDRY (EELV), Mani CAMBEFORT (PS) et Pascale MARLIN (PCF), pour sa part pressée d’en découdre : « nous attendions cette union entre les forces de gauche depuis longtemps, alors maintenant, on y est et on fonce ! ».

L’occasion aussi pour Mani CAMBEFORT d’ironiser sur l’héritage d’Emmanuel MACRON en matière de finances publiques : « Suppression massive et non ciblée de recettes fiscales pour 50 milliards d’euros, aides aux entreprises mal ciblées pour 223 milliards d’euros selon « France Stratégie » qui n’est pas un repère de gauchistes ! La France épinglée avec six autres pays par la Commission Européenne pour déficit excessif…, pas mal pour quelqu’un se présentant comme le « Mozart de la finance » et prétend nous donner des leçons ! ».

 

 

Rappelant dans le même temps la position inscrite dans le programme au regard du conflit israélo-palestinien : « paix au Proche-Orient, avec la reconnaissance immédiate de l’Etat de Palestine, aux côtés de celui d’Israël ». Une position qui, a rajouté dans un sourire le conseiller municipal et communautaire d’opposition, est « celle de la France depuis 1982 et le discours de François MITTERRAND devant la Knesset, le socialiste que je suis ne pouvait pas ne pas le nommer… ».

 

 

La politique sociale de la France, juste, fraternelle et équitable…

 

Rouge, vert, rose, violet…, un kaléidoscope de couleurs semble rythmer la soirée lorsqu’au fil des différentes prises de paroles, les militants agitent leurs drapeaux respectifs. Des retrouvailles pour beaucoup, faisant fi des querelles du passé. Les témoignages s’enchaînent, parmi lesquels celui particulièrement émouvant d’Adrien, jeune militant LGBTQ venu rappeler les craintes de sa communauté à l’idée de voir l’extrême droite arriver au pouvoir : « on ne choisit pas son orientation sexuelle ou son identité de genre… Nous aussi avons droit au « Liberté, égalité, fraternité »… ».

Citant pour exemple l’agression d’une personne au soir des élections européennes, pour cause d’appartenance sexuelle différente : « ils nous ont fait sentir que d’ici quelques semaines, cela pourrait devenir la norme et ça fait peur… ».

Autre témoignage émouvant, celui d’Isabelle POIFOL-FERREIRA, ancienne adjointe de l’ancien édile Guy FEREZ à la culture et au patrimoine, aujourd’hui conseillère régionale et conseillère municipale d’opposition. Fille d’immigrés portugais fuyant la dictature de SALAZAR, père ouvrier, membre d’une fratrie de huit enfants, porteuse elle aussi d’espoir et de défense des valeurs de gauche : « Quel avenir pouvait-on me prédire quand j’étais enfant ? J’ai pourtant fait des études et je suis là devant vous, parfaitement intégrée et porteuse de mandats de la République. Ce parcours, je le dois à la politique sociale de la France, je n’ai pas honte de le dire. Je le dois aussi aux valeurs de la République, que sont la fraternité et l’égalité… ».

 

 

Un écart minime de 730 voix par rapport à 2022…

 

Déjà deux heures que le meeting est commencé. Les plus chanceux (ou les plus prévoyants…) ont la chance d’être assis confortablement dans l’atmosphère climatisée du Silex. Un voyage en « première classe » au regard de la cinquantaine de personnes installées à l’extérieur sous la moiteur estivale, sur des sièges rajoutés à la hâte, faute de places suffisantes à l’intérieur. Bientôt 21 heures, la candidate fait enfin son apparition sur scène, précédée par un suppléant « requinqué » : « ça rebooste des soirées comme ça et ça fait du bien ! ».

Les traits sont tirés, mais Florence LOURY reste ferme dans son discours : « c’est une campagne express, fatigante, mais nous sommes déterminés… ». Rappelant qu’en 2022, seulement 730 voix la séparaient de son rival au soir du second tour, « à peine 2 % des abstentionnistes de la circonscription ».

Les « on va gagner » s’enchaînent au son de l’air des lampions. Clap de fin et photo de famille sur scène, avec en toile de fond musicale les notes et paroles de « Bella ciao » : « Una mattina mi sono alzato, un matin je me suis réveillé…. » Chant d’espoir ? Chant de victoire ou chant de résistance ? Pour tous ceux présents ce mercredi soir au Silex, réponse le 07 juillet au soir !  

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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