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Il ne se passe pas une journée, une heure, sans que les écrans cathodiques et les outils digitaux ne déversent aux heures de grande écoute ou en continu leurs flux d’images répugnantes et horrifiques qui ne peuvent que soulever le cœur et faire phosphorer, peut-être, nos consciences. Que l’on soit chrétien, protestant, orthodoxe, juif, musulman, bouddhiste, animiste ou… bien simplement athée !

Mais, qui, in fine, se soucie véritablement du sort des malheureux Gazaouis, confrontés depuis des mois à une guerre atroce dont ils sont les victimes collatérales car ils ne sont pas nécessairement des soutiens du Hamas, ayant procuré des milliers de morts parmi les enfants, les femmes et les hommes de la société civile palestinienne, devant faire face désormais au pire fléau qui ne peut s’abattre sur l’Humanité : la famine !

Les reportages au fil de l’eau des équipes journalistiques de la planète entière sur place sont choquants. Voire si troublants si l’on s’en réfère à l’Histoire. Ils rappellent d’étranges souvenirs. De curieuses impressions de déjà-vu. Nauséabonds et ignobles pour la condition humaine, parqués dans les camps de la mort…

Des souvenirs honteux dont ceux de ces femmes et de ces hommes, de ces enfants, aussi, aux regards apeurés et creusés par la faim tenace qui dévore l’estomac que l’on pensait sortir d’un autre temps, d’une autre époque, d’un autre monde. Que l’on pensait ne plus jamais voir dans ce premier quart d’un vingt-et-unième siècle devant être celui de la prospérité, de la technologie, des progrès de la science et de la médecine, de la liberté de pensée…Un monde moderne, qui vacille de plus en plus au fil des jours et aux quatre coins de la planète…Tout cela en s’accélérant comme à la vitesse d’une année-lumière. Pauvre de nous !

 

Pendant ce temps-là, le monde s’en fout !

 

Du haut de leur tour d’ivoire, posée sur le sol méridional de Manhattan à New York, les technocrates des services administratifs des Nations Unies (ONU) se contentent de tirer la sonnette d’alarme et réaliser des statistiques – elles ont au moins le mérite d’exister et de faire réagir dans les chaumières -, via des rapports les plus alarmistes les uns que les autres, publiés depuis plusieurs semaines sur le naufrage de la bande de Gaza.

Un naufrage ? Que dis-je, un véritable abysse humanitaire qui va conduire plus de 500 000 personnes civiles (soit un Gazaoui sur cinq) vers une mort certaine si rien n’évolue ni ne change sur le registre politique et interventionniste dans le bon sens du terme, pour sauver enfin cette population.

Un Gazaoui sur cinq est ainsi condamné à mourir de faim en cette année 2025 où l’on célèbre le retour de Tom CRUISE et de Robert de NIRO sur les marches du Festival de Cannes, où Donald TRUMP vient de se voir offrir un somptueux aéroplane ayant coûté 450 millions de dollars au Qatar tout en engrangeant de juteux contrats, où les préoccupations des Français demeurent encore et toujours sur le départ de l’âge de la retraite à prendre à 62 ans ou à 64 ans et de préparer du mieux possible les ponts et les vacances, où d’ergoter sur les chances de victoire de  LOUANE disputant le concours de l’Eurovision et de savoir si celles-ci sont enfin fondées pour faire oublier notre fiasco perpétuel observé depuis 1977 et le fameux titre, « L’Oiseau et l’Enfant » d’une légendaire Marie MYRIAM, passée depuis dans la case des oubliettes  !

 

 

Une diplomatie de l’insulte et de la gâchette

 

Un peuple est en train de crever, voire d’être exterminé à la vue de tous puisque les mots « génocide » et celui « d’épuration ethnique » ont été prononcés officiellement par les plus hautes instances universelles dont les Nations Unies – une grande majorité d’Israéliens fait aussi le même constat désormais malgré les actes odieux commis le 07 octobre 2023 inexcusables en terre d’Israël, y compris auprès des militaires qui ne comprennent plus le positionnement jusqu’au-boutiste de leur gouvernement – et personne n’agirait en conséquence ?!

Eh oui, nous sommes bien au XXIème siècle sur cette planète Terre, totalement chamboulée au niveau des comportements et des mentalités, et les homélies pacifiques du nouveau souverain pontife, Léon XIV, depuis le Saint-Siège du Vatican n’y changeront rien, malheureusement, malgré leurs bienveillances.

Pas plus, d’ailleurs, que les atermoiements d’un président de la République hexagonale qui a pourtant tancé les agissements supra-belliqueux de la gouvernance israélienne du moment, et qui s’est fait traiter de suppôt du terrorisme en retour ! Circulez, il n’y a plus rien à voir du côté de la diplomatie qui se pratique dorénavant à coup d’invectives et de noms d’oiseaux ! Quand ce ne sont pas les armes qui prennent le relais avec cynisme et ironie comme dans certaines régions de l’Europe de l’Est…

 

L’Histoire est un éternel recommencement…

 

Aujourd’hui, il faut le savoir : Gaza crie famine, des dizaines de milliers d’enfants vont peut-être mourir de faim dans les jours et les semaines à venir, dans une parfaite indifférence mondiale, alors que les aides alimentaires existent et sont irrémédiablement bloquées à la frontière égyptienne de la bande palestinienne dévastée et quasi rasée de la surface du globe. Mais, comme le suggère si bien Donald TRUMP dont son plan de paix a été aussi confronté à l’échec ici au Proche-Orient, « on peut réaliser de belles choses et faire un bon travail si je m’en occupe ! ».

Allez-y, « Mr Président », vous avez carte blanche et toute la latitude inimaginable pour agir à bon escient et faire que cette catastrophe humanitaire de très grande ampleur, digne des fléaux humanitaires du siècle dernier époque de la Seconde Guerre mondiale dont les Juifs furent pourtant les principales et malheureuses victimes, ne se reproduise pas…L’Histoire n’est-elle pas un éternel recommencement, en somme ?

 

Thierry BRET

 


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Etoilé Michelin depuis 2019, le sympathique chef Franco BOWANEE est installé depuis de longues années au château du Vault-de-Lugny, auprès d'un couple de patrons lui faisant fort légitimement pleine et entière confiance. Petit à petit, se fit la montée en puissance de la maison (le potager, la nouvelle cuisine, la salle magnifique...), sans oublier cette belle année 2019, et l'attribution méritée de cette étoile que Franco et sa brigade visaient depuis quelques années. Professionnel apprécié de ses collègues (dans le milieu, c'est loin d'être toujours le cas !), je me souviens du regretté cuisinier auxerrois Jean-Pierre SAUNIER disant : « Franco, c'est mon pote ! ».

 

VAULT-DE-LUGNY : Récemment, un entrefilet publicitaire dans la presse locale attira mon attention. Un buffet-déjeuner à 49 euros était proposé du lundi au vendredi au Château du Vault-de-Lugny. De quoi passer un agréable moment, une fois l'imposant portail franchi et d'admirer la beauté des lieux. Évidemment, un buffet concocté par un chef étoilé ne ressemble en rien à ces formules, souvent des plus quelconques, dans lesquelles une masse de plats médiocres achetés en grande surface alimentaire sont indiqués un peu tristement, à volonté.

 

On passe un joli moment dans cet établissement

 

D'impeccables asperges sauce gribiche ou le taboulé cohabitent avec les classiques du chef, parmi lesquels la crème brûlée au foie gras ou le silure en persillé. En la matière, Franco fut novateur en utilisant ce poisson de rivière que d'aucuns trouvaient vaseux. Il le décline en version bourguignonne, et c'est franchement bon, comme une saveur inattendue.

Depuis, la bonne idée de Franco a fait des petits. Cette semaine, lors d'un déplacement en Saône-et-Loire, il m'en fut proposé par deux fois : en amusette, mais aussi en plat dans une délicieuse pôchouse (« Le Saint-Pierre » à Lugny). L'œuf mimosa est bien entendu de la partie, comme le tarama ou une bonne salade de tomates surmontée d'une onctueuse burrata. Le pain est délicieux, la vaisselle plutôt jolie, le service est attentif.

Bref, l'on passe à table un fort joli moment. Parfois, le chien truffier de la maison passe discrètement, si d’aventure une lichette de jambon ne traîne bien opportunément au sol ! Seul petit bémol, le vin au verre est un peu « chérot » et servi à l'office, nous privant du plaisir de voir l'étiquette sur la bouteille.

 

 

 

Des assaisonnements qui permettent de voyager

 

Chaque jour de la semaine, le plat chaud diffère. Pour les amateurs, le lundi, c'est tête de veau ! Ce midi-là, d'impeccables crevettes en sauce cohabitent avec un riz aux épices. Cette subtile notion d'assaisonnement, c'est un peu la patte du chef, dont les plats nous font souvent subtilement voyager ! Le dessert est un original flan à l'acacia (fleurs avec lesquelles l'on peut faire des beignets, un plaisir aussi éphémère que fugace). Le joli jardin lui aussi, concourt au plaisir des yeux.

Un buffet varié de grande qualité qui mérite vraiment un petit détour afin de s'arrêter pour profiter aussi de la parfaite quiétude des lieux !

 

 

En savoir plus :

Les - : les tarifs vineux sont un peu élevés.

Les + : le rapport qualité-prix de cette gourmette formule déjeuner à 49 euros (lundi à vendredi) est correct.

 

 

Contact :

 

Château de Vault-de-Lugny

11 Rue du Château

89200 VAULT-DE-LUGNY

Tel : 03.86.34.07.86.

Stationnement à l'extérieur.

 

Gauthier PAJONA 

 

 

 

 


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Incontestablement, elles savent manier la truelle, les personnalités ayant procédé ce jeudi aux alentours de midi à la pose de la première pierre du futur bâtiment EDF qui sera érigé au cours de ces prochains mois dans le quartier d’affaires, Valmy, au nord de la capitale régionale ! Tout en sourire et avec une certaine dextérité – l’habitude sans doute des rendez-vous inauguraux ! -, l’édile de Dijon, Nathalie KOENDERS et la directrice de l’Action régionale EDF Bourgogne Franche-Comté, Carmen MUNOZ-DORMOY ont joué de l’instrument de maçonnerie afin de préparer convenablement la pose du parpaing initial, clé de voûte symbolique du futur siège social du spécialiste énergétique…

 

DIJON (Côte d’Or) : Emménagement probable, en 2027 ! D’ici là, il faudra donc s’armer de patience avant de pouvoir occuper les bureaux du futur bâtiment à l’estampille EDF qui accueillera plus de trois cents personnes dans le quartier d’affaires du Dijon septentrional, celui de Valmy. La première pierre, tout un symbole, a été posée ce jeudi en fin de matinée, par les personnalités, associées à cet évènement inaugural, à savoir Carmen MUNOZ-DORMOY, directrice de l’Action régionale EDF Bourgogne Franche-Comté, Nathalie CABLE, déléguée immobilier EDF Région Nord-Est, Philippe ERNANDES, directeur de la stratégie immobilière du groupe EDF et Marc GUILLOT, responsable constructeur de la société EDENSY. Une cinquième personnalité, en l’occurrence, l’édile de Dijon Nathalie KOENDERS leur aura prêté main forte lors de cet exercice qui aura suscité moult applaudissements à l’issue, sous le crépitement des flashes photographiques.

 

Rassembler le maximum de collaborateurs d’EDF sous le même toit

 

Une journée extraordinaire vécue sous un beau soleil, au fond, comme l’a qualifia la directrice de l’action régionale de l’énergéticien régional, avec sa petite pointe d’accent ibérique, qui ajoutait de la chaleur à ce rendez-vous. Première à prendre la parole, Carmen MUNOZ-DORMOY montra sa satisfaction à accueillir l’ensemble des invités sur ce lieu, théâtre du futur chantier de construction de ce qui sera d’ici deux ans le nouveau bâtiment référence d’EDF BFC.

« Cet édifice va nous permettre de rassembler toutes nos équipes ou presque sur un lieu unique, devait-elle préciser, Dijon est une localisation extrêmement importante pour EDF, du fait de son siège régional – une entreprise qui emploie plus de 7 000 collaborateurs – et de son rayonnement sur les autres territoires… ».

Seront accueillis dans cette future réalisation les métiers du commerce, via les différentes directions régionales. Le CRC (centre relation clientèle) sera également accueilli dans ces locaux.

L’édifice, dans sa configuration future, sera emblématique de l’approche actuelle de la stratégie d’EDF dans sa lutte contre la présence du carbone. « Il sera zéro émission directe, ajouta Mme MUNOZ-DORMOY, car il va être tout électrique au niveau de sa ressource énergétique. Et je le rappelle, la bonne place des énergies fossiles est sous nos pieds… ».

Un credo que ne cesse de marteler la responsable d’EDF BFC à chacune de ses apparitions publiques !

 

 

Un vrai lieu de travail au service du territoire

 

Puis, Philippe ERNANDES prit la suite au niveau des interventions. Le directeur de la stratégie immobilière du groupe énergéticien insista sur la qualité de décarbonation du projet. D’une part, trois implantations actuelles réparties à Dijon seront désormais regroupées sur un même et unique endroit à l’issue de ce chantier. Une réelle plus-value pour les collaborateurs devant travailler ensemble dans une cohésion optimale. D’autre part, cet immeuble confortera les choix décisionnels du groupe EDF de se doter de sites environnementaux exemplaires au niveau de la consommation d’énergies et de dimensionner les surfaces des bureaux aux réels besoins des équipes. Un argument qui a pris tout son sens en l’espace de quelques années à la suite du développement du télétravail et de limiter les espaces vides.

Autre particularisme ayant retenu l’intérêt : la pose de panneaux photovoltaïques sur les parkings placés tout autour du bâtiment, créant ainsi un espace « d’ombrières » plutôt ergonomique. Grâce à cela, le nouveau bâti bénéficiera d’une production électrique assurée en autoconsommation.

Quant au taux de réemploi de mobilier devant « habiller » les intérieurs de ce bâtiment, il sera supérieur à 40 %. « Cela va nous éviter d’avoir à produire du mobilier inutilement, souligne Philippe ERNANDES, nous allons également équiper à hauteur de 50 % des emplacements spécifiques pour recevoir des bornes de recharge destinées aux véhicules électriques… ».

Selon les besoins à venir, une extension des espaces est déjà prévue pour la direction immobilière du groupe. Question d’anticipation maîtrisée ! Les salariés du groupe EDF ne seront pas pris au dépourvu pour appliquer la mobilité douce dans leur déplacement professionnel entre le bureau et le domicile, la station de tramway se situant à quelques pas de ce nouveau site.

Enfin, en guise de conclusion et souhaitant paraphraser RABELAIS, Philippe ERNANDES parla de cette pierre posée ce jour comme étant une « pierre vive » car « elle sera un vrai lieu de travail au service du territoire ».

 

 

 

Une vision contemporaine et le souci de l’innovation

 

Nathalie CABLE qui pilote les équipes en région devant travailler à l’édification de ce projet, gagna à son tour le pupitre. « Ce projet sera une réussite technique mais aussi économique, environnementale et humaine, devait-elle ajouter. Nous allons travailler à l’aménagement de ce bâtiment une fois construit à échéance 2027, avec nos équipes de collaborateurs professionnels de l’immobilier, agissant en interne… ».

Le chantier, quant à lui, sera assuré par le groupe dijonnais de promotion immobilière EDENSY, dont Marc GUILLOT était l’un des représentants lors de cette manifestation. « C’est un projet qui incarne une vision contemporaine et le souci d’innovation de notre groupe, tant dans le développement durable que dans la conception architecturale, affirma l’orateur face au public, tout en étant respectueux de l’environnement. Et valoriser l’utilisation des énergies renouvelables… ».

S’appuyant sur la présence de la maquette du futur édifice, protégé par un plexiglass, Marc GUILLOT détailla la configuration de ce site de quatre étages qui optimisera la lumière naturelle tout en créant des espaces de vie ouverts. La végétation sera présente sur les balcons ainsi que sur les parkings, avec la plantation d’arbres.

« Nous ferons tout avec ce bâtiment pour limiter son empreinte carbone, insista le responsable du pôle construction de son entreprise, le chauffage sera produit par des pompes à chaleur à haute performance. Des leds basse consommation éclaireront les pièces avec détecteurs de présence. Ce sera un véritable modèle de bureau durable, alliant esthétique, confort et efficacité énergétique… ».

Pas moins de vingt entreprises locales et 140 emplois seront ainsi mobilisés à la réalisation de ce chantier d’importance dans ce secteur nord de Dijon. Un bâtiment qualifié de sur-mesure par le représentant d’EDENSY, fier de ce nouveau projet alliant construction et écologie.

La première vice-présidente de Dijon Métropole et édile de Dijon Nathalie KOENDERS devait conclure cette cérémonie au protocole respecté. « A travers la pose de cette première pierre, c’est aussi l’ouverture d’un nouveau chapitre de l’ancrage d’EDF en Bourgogne Franche-Comté, fleuron de l’industrie hexagonale et partenaire des collectivités, avec qui nous partageons les valeurs… ».

Un siège social avec ses 300 personnes qui viendra grossir dès qu’il sera en fonction en 2027 le nombre d’emplois répertoriés sur le quartier d’affaires de Valmy (à ce jour plus de 4 500 postes opérationnels !) ce qui engendre quelques contraintes, notamment au niveau du stationnement et de la fluidité de la circulation. Mais, ceci est une autre histoire !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le lieu se veut très emblématique. Il est champêtre, évidemment, pour coller le plus possible à l’esprit de la structure devant l’investir lors de cette journée dominicale du 18 mai 2025 ! Mais, c’est aussi l’un des hauts lieux du tourisme de l’Yonne, si ce n’est de Bourgogne ! Guédelon ! Nul besoin de le présenter ! C’est ici que le soixante-dixième anniversaire de la fédération des « Gîtes de France » de l’Yonne se déroulera, ce dimanche, avec plus de 70 personnes adhérentes de la structure attendues !

 

GUEDELON : A l’évocation d’un mariage, on parlerait volontiers de noces de platine ! Soixante-dix années de vie commune ! Dans le cadre de la célébration d’un anniversaire, permettant de saluer la longévité d’une structure associative, il n’existe pas de terme caractéristique particulier. Mais, nul ne peut ignorer que 70 ans d’âge pour une fédération, c’est loin d’être anodin. Surtout pour les membres qui en assurent toujours sous le sceau du bénévolat la pérennité !

C’est donc ce dimanche 18 mai, au cours de la journée que l’on espère belle et ensoleillée au vu du cadre choisi que se dérouleront les festivités inhérentes à cet anniversaire, se rapportant aux « Gîtes de France » et à son antenne départementale de l’Yonne.

70 ans, au compteur ! Une heureuse opportunité de commémorer l’évènement par la plus belle des manières qu’il soit : l’organisation d’un pique-nique. Il sera accueilli dans l’enceinte de GUEDELON, site du fameux chantier de construction expérimental d’un château-fort d’inspiration moyenâgeuse débuté en 1997 !

Dès 10h30, les convives auront la possibilité de profiter librement du site, avant de se regrouper à l’espace pique-nique dédié aux alentours de douze heures, pour y prendre l’apéritif offert par l’association, avant d’écouter le discours de la présidente des Gîtes de France 89, Hélène RAVOT, juste avant de s’immerger dans ce concept médiéval des temps modernes, lors d’une causerie assurée par un représentant de l’endroit, l’un des plus visités de Bourgogne.

On notera la présence de plusieurs propriétaires possédant l’estampille de la célèbre référence en provenance de départements limitrophes à l’Yonne, soit de la Nièvre, du Loiret mais aussi de Côte d’Or.

Le principe de ce rendez-vous anniversaire est très simple : chaque participant apporte son déjeuner ou récupère un panier repas sur place.

 

 

Aider également la filière agricole par effet gigogne

 

On doit la création de « Gîtes de France » dans les années 1950 à l’initiative d’un homme de cœur, le sénateur Emile AUBERT. Fortement marqué par l’identité de sa région et porteur des valeurs humanistes de l’après-guerre, il a l’idée de créer un gîte rural à La Javie, une localité des Alpes-de-Haute-Provence. L’idée est simple, offrir de la convivialité dans l’hospitalité touristique.

Aujourd’hui, ce réseau accueille 42 000 propriétaires qui ouvrent les portes de leurs demeures et proposent plus de 55 000 hébergements (gîtes, chambres d’hôtes, gîtes de groupe, gîtes d’enfants, gîtes d’étapes, campings et chalets) dans toute la France.

Au niveau économique et sociétal, son importance est reconnue : cela offre une excellente opportunité aux agriculteurs de lutter contre l’exode rural, de développer leur filière et d’augmenter leurs revenus. A peine ouvert, le succès est au rendez-vous. L’expérience donnera naissance à un nouveau concept de tourisme social : des vacances à coûts modérés et accessibles à tous. Au fil des années, le concept a su évoluer et s’étoffer, ouvrant la voie à un tourisme plus culturel, axé sur les traditions et la préservation du patrimoine. Quant aux valeurs du réseau, elles sont restées les mêmes : accompagner les vacanciers en proposant des hébergements authentiques et conviviaux dans l’Hexagone.

Cela méritait bien un petit cocorico pour les 70 ans de la structure ! C’est fait !

 

Thierry BRET

 

 


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Sa casquette du jour ? Le développement du numérique. Un item justifiant sa présence, jeudi après-midi, place du monument aux morts. Il est vrai que l’élue de l’Auxerrois et de la Ville d’Auxerre, Emmanuelle MIREDIN, possède différentes cordes à son arc ! Adjointe en charge des finances, de la communication et de la jeunesse, ce bras droit de Crescent MARAULT ne voulait pas manquer le passage du « DIGITRUCK » qui propose une multitude de services liés au numérique, un concept itinérant accueilli dans le chef-lieu de l’Yonne, au cours de la quinzaine…

 

AUXERRE: Un enjeu de société majeur, le numérique ? « Oui ! ». C’est en guise de préambule à cette inauguration officielle ce que devait affirmer de façon catégorique l’adjointe en charge de cette technologie au sein de la municipalité auxerroise, Emmanuelle MIREDIN, lors de sa prise de parole, jeudi au beau milieu de l’après-midi, place du monument aux morts.

L’élue icaunaise devrait ouvrir le bal, sous un chaud soleil printanier, de la cérémonie inaugurale saluant la présence de cet étrange « container » mobile, le « DIGITRUCK » à l’estampille du fabricant asiatique « HUAWEI » et de ses différents partenaires associés au projet (Mission ECOTER, KONEXIO, Close the Gap), installé là sur la place centrale du cœur de ville. Un emplacement idoine pour être repéré de tous et de loin, comme cela devait être confirmé par les animateurs de l’opération !

Se former gratuitement au numérique ! La belle affaire, en somme. Telle est l’opportunité offerte et affichée par ce « container roulant » qui a choisi de faire une halte appréciable dans la capitale de notre département. Et ce jusqu’au 24 mai inclus !

« Le numérique ? Cela concerne tout le monde, renchérit Emmanuelle MIREDIN, derrière son pupitre doté d’une sonorisation intégrée fonctionnant à la perfection, côté auditif ! A tout âge, des plus jeunes aux seniors, cette technologie est utilisée. Et selon des usages quotidiens… ».

Note d’humour : l’élue d’Auxerre donnera en guise d’exemple concret de l’utilité récurrente du numérique, celui du traitement de sa…déclaration fiscale ! Des déclarations de revenus qui occupent bon nombre de nos concitoyens à l’heure actuelle.

 

Des outils numériques indispensables à la recherche d’un emploi

 

Toutefois, devait poursuivre l’oratrice en rappelant l’existence de la « Quinzaine de la Parentalité », une manifestation se déroulant en cette mi-mai à Auxerre, « il faut aussi s’intéresser à l’usage du numérique auprès des plus jeunes et de nos enfants ».       

Une connaissance multiple des usages de ces techniques dites modernes et dans le vent qui s’impose également envers les adolescents et les jeunes adultes. « Il est important de connaître toutes les particularités de ces outils, y compris dans leurs moyens rédactionnels, ajouta Emmanuelle MIREDIN, afin de chercher un emploi ou pour trouver une formation, voire un logement… ».

D’ailleurs, pour corroborer ses propos, la porte-parole de la municipalité – elle devait s’exprimer en présence du président-maire Crescent MARAULT qui assistait à la manifestation -  cita les résultats d’une étude, stipulant que 35 % des Français déclarent être en difficulté face au numérique. Une large frange de la population hexagonale, en vérité ! Sans doute, la statistique est-elle encore plus élevée dans les territoires ruraux.

« Pourtant, souligna Mme MIREDIN, nous sommes une population résiliente qui sait s’adapter au challenge de la modernité… ».

Un outil qu’il est bon de bien appréhender afin de développer nos territoires et nos entreprises, dira en substance une Emmanuelle MIREDIN volubile et enthousiaste derrière le micro.

 

 

 

Une opportunité pour les Auxerrois de découvrir le digital

 

Se référant à ses notes, l’élue icaunaise aborda ensuite le sujet de la formation proposée par ce concept ambulant qui sillonne la France depuis…2021 !

« Elle est gratuite, insista l’oratrice, on a déjà des habitués qui profitent de cette présence pour venir se former – à date 85 personnes ont gravi les quelques marches métalliques permettant d’accéder à l’intérieur de cette remorque aménagée pour pouvoir bénéficier de l’aubaine ! – on est ravis que les Auxerrois s’emparent de cette possibilité de se former au digital… ».

Constatant les aspects vertueux de ce système de « l’aller vers », Emmanuelle MIREDIN se félicita de l’audace qui encadre ce « DIGITRUCK » un peu particulier en matière de consommation énergétique, assurant son fonctionnement. « On critique le numérique en disant que c’est consommateur d’énergie alors que vous, vous êtes totalement autonomes grâce à des panneaux solaires qui recouvrent ce container : bravo pour cette énergie verte ! ».

Un container que l’élue en charge du développement numérique aurait volontiers déplacé dans les différents quartiers de la ville. Mais, les Auxerrois ne lésinent jamais à bouger et à se mobiliser pour découvrir des innovations qui peuvent leur apporter des avantages, y compris sur l’utilisation de ces technologies !

« C’est une chance pour Auxerre, résuma Emmanuelle MIREDIN, de vous recevoir car vous n’étiez jamais venus dans notre agglomération… ».

En guise de conclusion, l’élue se fit l’ambassadrice de sa ville de prédilection et de son club de football préféré (AJA) à l’intention des organisateurs de cette opération nationale. « Nous gagnons à être connus ! », lança-t-elle tout sourire. A l’instar de ce curieux « DIGITRUCK » du numérique dont les Auxerrois peuvent bénéficier encore plusieurs jours en le visitant. Qu’on se le dise !

 

Thierry BRET

 

 

 


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