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Pas si  simple de pouvoir commercialiser dans des conditions optimales sa gamme de véhicules dans un pays où la recrudescence de la pandémie explose au quotidien. Au cours de ces dernières vingt-quatre heures, cent mille nouveaux cas se sont déclarés d’est en ouest de la première puissance mondiale…

Etats-Unis : Une chose est sûre : le constructeur américain essaie tant bien que mal à conserver le cap de la dynamique commerciale dans l’un des nations les plus perturbées par l’épidémie de coronavirus.

Au mois d’octobre, la marque du continent américain a commercialisé plus de 181 000 véhicules (un chiffre qui ne prend pas en compte les poids lourds) grâce à son réseau de concessionnaires.

Deux modèles se sont distingués. L’emblématique Lincoln qui a su tirer son épingle du jeu marketing avec une progression de 2,8 % des ventes à l’instar de Corsair qui a même dépassé 37 % de hausse !

 

 

Toutefois, FORD a vu ses résultats chuter de 6,1 % dans un contexte que l’on imagine très délicat. Son modèle le plus vendu Outre-Atlantique reste néanmoins le pick-up F 150. Sa version relookée devrait boostée les opérations commerciales du constructeur, sans doute à horizon 2021.

L’un des porte-parole du groupe a précisé par voie de presse que le constructeur publierait dorénavant davantage d’informations sur ses performances afin de rassurer les investisseurs. Surtout pendant la période complexe de la pandémie.

 

 


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Le vice-président en charge du développement touristique Patrick AYACHE ne cesse de le marteler : la Région se mobilise en faveur de la filière. Un secteur économique en réelle souffrance qui est affecté par la succession de vagues épidémiologiques. Contraignant les touristes à demeurer cloîtrés chez eux. La riposte prendra la forme de plusieurs initiatives. Elles seront dévoilées le 13 novembre lors de la séance plénière…

DIJON (Côte d’Or) : Voilà un secteur d’activité fondamental de notre territoire qui était à l’éclosion de jolies perspectives économiques pour l’année 2020 avant qu’un virus improbable ne vienne le clouer au sol. Ou presque. Que peut faire ce segment indiscutable de notre activité sans la présence du moindre visiteur dans ces lieux de référence patrimoniale ?

Peu de choses, en vérité pendant la période de confinement. Mais, derrière les châteaux, les musées, les sites d’exception qui forgent la notoriété de la Bourgogne Franche-Comté bien au-delà de nos frontières, il y a des femmes, des hommes et des entreprises en déshérence. Soit 50 000 professionnels qui ne vivent et raisonnent qu’au service de l’accueil de la clientèle, la promotion d’un cadre idyllique ou la satisfaction de fidéliser durablement celles et ceux qui aiment flâner au détour d’un haut-lieu culturel.

Face à ce frein sanitaire préjudiciable à la pérennité des entreprises, la Région tente de sauvegarder du mieux possible la filière et ses inestimables emplois. 

Solennel, l’air grave, le vice-président en charge du développement touristique Patrick AYACHE a donc profité de sa prise de parole lors d’une conférence de presse concoctée par Bourgogne Franche-Comté Tourisme pour lister plusieurs pistes devant répondre aux attentes actuelles. En premier lieu, un plan d’accélération de l’investissement touristique.

 

L’itinérance et le tourisme durable : deux vecteurs à déployer…

 

Ce dernier s’intègre parmi le plan de relance global (40 millions d’euros) décliné à l’échelle du territoire. Sans trop en déflorer son contenu, l’élu franc-comtois a simplement insisté sur le focus ambitieux qui lui serait donné. Notamment dans le domaine du tourisme durable, une thématique en pleine expansion à l’heure actuelle qui favorise la sauvegarde de la planète.

Une incitation à la mue des stations de montagne qui vivaient traditionnellement autour des activités liées à la présence massive de la neige s’impose. A terme, ces centres d’accueil en altitude optimiseraient leurs activités de loisirs durant les quatre saisons calendaires. La Région devrait pousser à la reconversion de ces stations d’hiver en y mettant les moyens financiers conséquents.

Seconde suggestion de l’élu : l’essor de l’itinérance. Un tourisme qui séduit de plus en plus les randonneurs qu’ils soient pédestres, à cheval ou à bicyclette. Notre territoire figure, à ce titre, parmi les références leader dans l’Hexagone. Un effort sera mis tout particulièrement autour de six destinations itinérantes d’exception. Des destinations qui seront dévoilées par Patrick AYACHE le 13 novembre prochain lors de la session plénière de l’exécutif.

La Région apportera aussi son soutien à toutes les initiatives valorisant le tourisme durable à travers de grands évènements structurants.

 

Aider les investissements en hôtellerie et dans l’hébergement…

 

Enfin, Patrick AYACHE eut un mot sur l’une des composantes de ce tourisme si éclectique dont on parle peu : celui issu de l’environnement social. Un pan d’activité qu’il considère aujourd’hui comme « malade », voire « inadapté » par rapport à la mise aux normes d’aujourd’hui. « Nous allons essayer de les rénover afin de répondre aux attentes réelles du moment… ».

Le vice-président conclut son intervention en évoquant un concept dont les origines sont cent pour cent régionales mais qui essaime désormais ailleurs sur d’autres territoires : un outil d’aides aux investissements touristiques de type hôtellerie et amélioration des équipements dans le secteur de l’hébergement.

Autant de moyens anticipatifs que l’élu régional présentera en séance le 13 novembre afin de les déployer dès le terme de ce nouveau confinement au service de l’attractivité de notre territoire.

Thierry BRET

 


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Réunis ce mardi 03 novembre à Auxerre pour étudier et analyser toutes les préconisations à mettre en place afin de sortir les commerces non-alimentaires de la mauvaise passe actuelle, la préfecture de l’Yonne, les collectivités territoriales et les chambres consulaires se sont accordés sur un point. Il est impératif d’accompagner les professionnels dans la continuité de leur activité…

AUXERRE: En filigrane, le message de soutien aux commerces de proximité est sans équivoque de la part des institutions du département. Il émane notamment du préfet de l’Yonne Henri PREVOST, lui-même, des représentants des collectivités territoriales et des responsables des chambres consulaires départementales qui étaient conviés à une séance de travail ce mardi afin d’examiner les dispositifs d’aides à développer pour faire face à la conjoncture actuelle.

Services de l’Etat, consulaires et collectivités ont fait part de leur convergence d’intérêt pour soutenir ces entrepreneurs, acteurs centraux de la vie économique et sociale de notre territoire.

Même si la bonne conduite du confinement impose un certain nombre de restrictions salvatrices pour juguler la propagation de l’épidémie, il n’empêche que l’interdiction de l’accès à une typologie de commerces ne signifie pas pour autant la rupture totale de toute activité.

En ce sens, la pratique de retrait en magasin, nommément reconnu sous le vocable angliciste, « click-and-collect », représente un indéniable atout qu’il est nécessaire de développer.

Au sortir de ce rendez-vous, la préfecture et les organismes consulaires ont décidé d’encourager fortement ce moyen consumériste. Ainsi, des initiatives vont être conduites au service des commerces, elles bénéficieront du relais des collectivités territoriales.

 

Banque Populaire

 

Plusieurs initiatives pour soutenir le commerce local…

 

L’adoption de ces solutions solidaires et novatrices passe en premier lieu par l’information. Un document se présentant sous la forme d’un guide (il s’intitule sobrement « Comment vendre et communiquer pendant le confinement ») sera transmis à chacun des professionnels. De même, une piqûre de rappel sera injectée dans les consciences sur les aides d’Etat existantes qui permettent aux entreprises de traverser la période de confinement.

En parallèle, le lancement d’une plateforme départementale en ligne est imminent. Y seront répertoriés les magasins et les restaurants ayant mis en application le principe du « click-and-collect » mais aussi de vente à emporter ou de livraison.

Enfin, les participants de cette cellule de crise en soutien au commerce incitent à l’aide collective ou individuelle à la création d’outils numériques par les artisans et les commerçants.

Autant de préconisations utiles et pragmatiques qui doivent permettre au commerce local de faire face durant cette période complexe…

 


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Avec ce nouveau reconfinement, le gouvernement doit donc forger l’avenir des entreprises françaises. Ainsi, entre l’enclume de l’économique et le marteau du sanitaire, il lui appartient de réaliser la forme aussi parfaite que possible qui permettra à notre économie de survivre à cette nouvelle épreuve. Une tribune de Claude VAUCOULOUX, délégué général du MEDEF et de l’UIMM dans l’Yonne…

TRIBUNE : Je dis qu’il lui appartiendra de, car en la matière, et malgré les déclarations répétées d’une volonté de concertation sensée enrichir la réflexion et, pourquoi pas participer à la prise de décision (on peut toujours rêver), on voit bien que tout semble finalement se concentrer dans les sous-sols de l’Elysée.

Dans une telle situation, il ne faut pas alors s’étonner que des interrogations émergent çà et là, et plus encore, des mécontentements. Lesquels se fondent sur l’incompréhension des mesures qui sont prises.

Prenons l’exemple de la fermeture des petits commerces. En voilà une affaire ! Dans sa volonté louable de limiter au maximum les déplacements et les interactions sociales, le gouvernement a donc décidé que les petits commerces non indispensables fermeraient.

Dans le même temps, les grandes surfaces qui peuvent rester ouvertes, continuent à vendre y compris les articles que les petits commerces, qui ont dû fermer, ne peuvent donc plus vendre.

Rupture d’égalité de traitement manifeste qui fait justement s’indigner les petits commerçants qui menacent d’organiser une fronde. Ils sont d’ailleurs de plus en plus souvent soutenus par leurs élus locaux. Le gouvernement mesurant le risque, prend alors une mesure de rééquilibrage, en interdisant aux grandes surfaces de vendre autre chose que des produits indispensables. Faut-il d’ailleurs s’entendre sur ce qui est indispensable et sur ce qui ne l’est pas !

Ainsi, saisissant le marteau du sanitaire, il se met à frapper sur l’enclume de l’économique. Résultat, tout le monde finit par être perdant ! Le petit commerçant est certes rétablit dans une égalité de traitement vis-à-vis de la grande distribution. Mais, ce n’est pas pour autant qu’il va pouvoir reprendre ses activités.

 

 

Vers la paralysie complète de notre économie…

 

La grande distribution, quant à elle, va perdre des pans entiers de ses ventes pour se retrouver fragilisée en fin de compte. On semble oublier ici, que l’économie fonctionne suivant un principe de mécanique des fluides, dont on sait bien que lorsque l’on empêche la sortie, c’est tout le circuit que l’on bloque !

Ainsi, en empêchant l’écoulement des produits et marchandises, nous allons provoquer à terme la paralysie complète de notre économie ! A quoi bon alors

continuer de faire tourner les usines, si aucun commerçant n’est en mesure de vendre les productions ?

D’ailleurs, les commandes vont très vite se raréfier et les industriels vont une fois encore se retrouver face à des carnets vides, alors que sans doute, il aurait été possible de l’éviter.

 

 

Si l’on avait voulu prendre une mauvaise décision, on n’aurait pas fait autrement ! En tout cas, s’il y en a qui se frottent les mains, ce sont bien les géants du « net » qui eux, vont une nouvelle fois rafler la mise !

Pourtant, dès les annonces du reconfinement prononcées, le président du MEDEF Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a alerté les pouvoirs publics sur les risques engendrés par ce nouveau confinement, notamment pour les plus petites de nos entreprises, et plus largement aussi pour toute l’économie nationale.

La réponse de l’Etat fut alors une nouvelle fois le « quoiqu’il en coûte nous allons les sauver » ! Entre nous, qui aujourd’hui peut bien encore croire que l’Etat sera en capacité de creuser ad vitam aeternam des déficits déjà abyssaux ? Mais malheureusement, dans son souci de ne pas se déjuger, il préfère placer des cautères, fussent-ils sur une jambe de bois ! Le tapis des générations futures ressemble pourtant dès à présent à une espèce d’Himalaya, tant le volume des dettes que nous avons glissé dessous depuis des décennies est considérable !

Et nous voudrions encore aggraver la situation au-delà de ce qui déjà est totalement déraisonnable ? On voit bien que la solution n’est pas là. L’Etat doit absolument changer de paradigme.

 

L’Etat doit absolument changer son logiciel…

 

Le MEDEF et les branches professionnelles vont formuler des propositions pour que l’économie puisse reprendre à minima une marche nous permettant de sauver l’essentiel, par des moyens non artificiels.

Bien sûr que les entreprises et les salariés qui y travaillent ont besoin de l’accompagnement de l’Etat. Mais plus que de cela, elles ont besoin pour vivre, de pouvoir travailler et vendre leurs productions ou services ! Et si pour une fois, on les écoutait ?

Plus jamais, nos vies ne seront celles que nous avons connues avant cette pandémie, car il va nous falloir apprendre à vivre avec le virus. Alors si nos vies doivent changer, nous devons dès à présent aussi changer nos logiciels. En premier lieu, l’Etat doit changer le sien.

Ce changement dans nos existences, qui nous est imposé par une situation exogène, ne doit pas se traduire par une avalanche de règlements tombés du haut !

Nul doute cependant que la tentation est, et restera grande en la matière, puisque c’est toujours comme ça qu’il a pratiqué. Le changement doit au contraire donner l’occasion à nos dirigeants de faire enfin confiance à la population et de faire le pari de l’associer à ces changements.

Comment pouvons-nous espérer que les Français se sentent redevables d’une confiance envers l’Etat, si celui-ci ne la lui accorde pas ? Il ne nous est pas permis d’attendre que l’autre commence. Cette fois, seul l’Etat peut donner l’impulsion.

 

 

La réflexion utile plutôt que la sanction inutile !

 

On le voit bien avec le sujet des attestations. Gare à celui qui n’aura pas coché la bonne case, ou bien qui aura oublié sa carte d’identité en changeant de veste ! On ira alors au bout de la logique du règlement et invariablement on collera la prune au dangereux contrevenant qui ainsi, aura mis la race humaine en danger !

Remarquez, si sauver l’humanité ne coûte que 135 euros, ce serait dommage de s’en priver, n’est-ce pas ! Aller au bout de la logique du règlement mène toujours quelque part à s’interdire de réfléchir.

Eh bien en ce moment, je pense qu’il est ô combien préférable de réfléchir, tant la situation est inédite et complexe, que d’appliquer des règlements à la lettre et d’ailleurs pas toujours dans l’esprit !

Et puis réfléchir, ça veut dire aussi se donner des chances de comprendre, donc d’apprendre et par conséquent de se mettre en mesure d’anticiper. En la matière, les entreprises ont appris du premier confinement et elles sont en capacité de fonctionner (lorsqu’elles ne sont pas administrativement fermées bien sûr), y compris dans le mode dégradé que nous connaissons.

Mais le moins que l’on puisse dire, à tort ou à raison, c’est que nous n’avons pas vraiment l’impression que l’Etat ait quant à lui beaucoup appris de la première période !

En tout cas, il n’en fait pas toujours la démonstration. Je ne prendrai qu’un seul exemple, dont je veux bien admettre qu’il est un peu anecdotique, mais que je considère néanmoins comme révélateur.

Qui ne s’est pas étonné lors de la dernière intervention du Président de la République, de la piètre qualité persistante du sous-titrage de son allocution ? Comment voulez-vous alors donner une impression de maîtrise de la situation, si vous n’êtes même pas capable de régler un si petit détail !

 

Laisser travailler les entrepreneurs en leur accordant de la confiance…

 

Les chefs d’entreprises, notamment des petites et moyennes, c’est-à-dire celles qui constituent 90 % du tissu icaunais, vont donc une nouvelle fois se débattre pour essayer de survivre.

Eux aussi attendent qu’on leur fasse confiance. Ils ont d’ailleurs démontré toute leur capacité à mettre en œuvre les mesures et les organisations du travail permettant de conjuguer à la fois raison sanitaire et nécessité économique.

Ils n’ont pas besoin qu’on leur impose des règles supplémentaires, mais au contraire, qu’on leur facilite la tâche, alors que celle-ci est devenue aujourd’hui incroyablement compliquée. Ils n’ont pas besoin des menaces de contrôles et de sanctions, si d’aventure par exemple, le télétravail ne se trouverait pas universellement déployé.

Pourtant chacun le sait bien, le télétravail n’est qu’un outil, certes très intéressant lorsqu’il correspond à la résolution de certaines problématiques, mais il ne peut bien évidemment pas être érigé en solution unique et universelle ! 

Non ! Ils ont besoin qu’on les laisse travailler, en ayant confiance dans leur sens des responsabilités, pour que vive leur entreprise et leurs salariés. Il en va de l’avenir de notre économie et donc de la France !

Je terminerai d’ailleurs cette tribune sur une petite pirouette. A quoi bon faire le choix de préserver la santé des gens, s’il s’agit dans le même temps de les faire mourir économiquement ?

Entre nous, mourir en bonne santé ; c’est tout de même ce qui pourrait nous arriver de plus stupide ! Ne croyez-vous pas ?

Claude VAUCOULOUX

Délégué général du MEDEF et de l’IUMM de l’Yonne

 


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Entre 2007 et 2019, le groupe suédois, leader incontesté sur le marché des roulements, a injecté 56 millions d’euros pour maintenir à flot son site dans l’Yonne afin de compenser ses pertes. Aujourd’hui, l’insuffisance des volumes de production lui est désormais fatale. L’industriel scandinave opte donc pour une nouvelle réorganisation. La fabrication des couronnes d’orientation devrait être transférée vers l’unité de Saint-Cyr-sur-Loire. Engendrant de facto l’arrêt définitif de l’usine locale en 2022…

AVALLON: Exportant 96 % de ses produits, à la volumétrie parfois exceptionnelle, vers l’Asie du Sud-Est, l’unité de fabrication du scandinave SKF opérationnelle dans l’Yonne ne devrait plus fonctionner à horizon 2023. C’est la date qui a été arrêtée par le groupe suédois pour clore de manière définitive le chapitre évoquant sa présence en terre icaunaise. Au grand dam des 141 collaborateurs qui y exercent toujours leur savoir-faire professionnel.

C’est au terme d’un Comité Social et Economique (CSE) qualifié d’extraordinaire se déroulant ce lundi 02 novembre que le directeur général du site, Frédéric BOUILLY, a fait part de la décision stratégique du groupe. Soit la réorganisation de son empreinte industrielle dans l’Hexagone.

Dans un communiqué de presse, publié le 03 novembre, le président de Bearing Operations, Kent VIITANEN, explique « qu’un certain nombre de réorganisations a été annoncé cette année ». Des décisions difficiles mais nécessaires pour pouvoir continuer à répondre aux attentes de ses clients en termes de compétitivité, de flexibilité et de qualité.

« Nous travaillerons en concertation avec les représentants du personnel pour proposer la meilleure transition possible aux salariés concernés, notamment grâce à des programmes de formation et la recherche de nouvelles opportunités professionnelles… ».

 

 

Création de 63 nouveaux postes à Saint-Cyr-sur-Loire…

 

Dans l’absolu, l’arrêt de l’activité interviendrait d’ici la fin de l’année 2022, avant que ne soit définitivement fermé le site la saison suivante.   

L’unité de production de SKF (Slewing Bearings) à Avallon emploie cent-quarante-une personnes. Certaines avaient manifesté leur réprobation devant les grilles du site lundi matin en faisant grève. Elles ne connaissaient pas encore la décision prise par leur employeur même si elles la redoutaient.

SKF dispose de six filiales et huit sites répartis en majorité dans le nord de la France. Celui de Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire) distant de 335 kilomètres de la ville méridionale de l’Yonne est implanté non loin de Tours. Il devrait accueillir la production de couronnes d’orientation jusque-là conçues dans les ateliers icaunais.

A ce titre, soixante-trois nouveaux postes y seront créés. Destinés à la promotion interne, il va s’en dire, et aux reclassements potentiels du personnel avallonnais.

Ce transfert de production favorisera l’éclosion d’une offre plus compétitive et plus flexible pour les clients de SKF, selon le communiqué de presse. Et de bénéficier, par effet gigogne, de synergies avec le centre de services et un certain nombre de ressources comme la logistique, la qualité, et d’autres fonctions support déjà existantes en Indre-et-Loire.

Pour l’heure, et alors qu’aucun autre site du groupe n’est menacé de fermeture dans l’Hexagone, SKF prévoit de soumettre à la consultation des partenaires sociaux ses projets de réorganisation.

Des séances de négociations vont ainsi s’échelonner durant un trimestre afin de définir le meilleur accompagnement possible à mettre en exergue pour aider les salariés à se reconvertir ou à se reclasser. Un délicat chantier en perspective…

Thierry BRET

 

 


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