Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’ISR, vous connaissez ? C’est une nouvelle notion qui désigne les différentes approches consistant à intégrer les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance dans la gestion financière. Une finance novatrice qui se veut développement durable permettant à celles et ceux des particuliers qui y souscrivent d’appréhender leurs placements tout en réduisant les risques environnementaux à long terme. En promouvant « Ambition Durable », la banque mutualiste régionale propose la première des obligations verte…

DIJON (Côte d’Or) : Encourager les principes vertueux inhérents au développement durable par le biais d’actions significatives ne date pas d’hier pour l’établissement bancaire mutualiste. Depuis 1984, cela se traduit au travers des encours de bilan puisque 10,8 milliards d’euros de financement ont déjà été consentis à tout ce qui touche de près ou de loin à la transition énergétique.

Deux faits majeurs corroborent cet engagement citoyen : d’une part, la signature de l’Accord de Paris sur le climat et d’autre part, l’arrêt de tout financement dédié à l’industrie du charbon thermique, à l’exploration et à la production du pétrole et du gaz de schiste.

Aujourd’hui, la banque coopérative pousse le bouchon un peu plus loin. Ciblant à la fois les investisseurs particuliers et les personnes morales qui ont tout intérêt à positionner leur épargne sur des concepts qui intègrent les enjeux environnementaux de demain.

Bref, la Banque Populaire vit à l’heure de la révolution green et développe une stratégie fourmillant de projets qui y répond. A l’instar d’un nouveau produit, lancé en septembre sur le marché obligataire.

 

Une obligation verte destinée à subvenir aux besoins du bâtiment…

 

« Ambition Durable », la bien-nommée en sa qualité d’obligation, illustre le soutien de la structure bancaire à cette transition sociétale devenue inaliénable à la pérennité de l’homme. Sa finalité est d’appuyer le financement durable des territoires.

Dans l’absolu, les fonds récoltés auprès des personnes physiques par cet outil obligataire permettront de subventionner le secteur du bâtiment via la construction et la rénovation d’édifices à empreinte environnementale faible.

Côté rentabilité, la Banque Populaire a opté pour un indice actions « eau et océan » comme moteur de la performance.

 

 

Cet indicateur se compose d’une quarantaine de sociétés européennes qui contribuent à la préservation de l’eau et des océans, deux des enjeux fondamentaux de notre avenir.

En donnant du sens à l’épargne de ses sociétaires, l’établissement incite ainsi les épargnants à investir conformément à leurs valeurs éthiques, tout en valorisant leur placement, et en devenant acteur de la transition énergétique.

 

Une offre qui intègre une longue liste de solutions financières…

 

La création de cette première obligation verte complète la liste déjà importante de solutions de financement en faveur de l’amélioration de la sauvegarde de la planète, déclinables autour de livrets d’épargne spécifiques ou d’une trentaine d’assurance-vie qui couvrent un très large spectre de l’ISR.

Les épargnants voient d’un très bon œil cette initiative originale. 60 % d’entre eux se disent intéressés par ces produits à l’épargne responsable, encore peu développés dans les réseaux bancaires de l’Hexagone.

Via le groupe BPCE, ces produits à l’orientation éthique innovante devraient faire florès à l’avenir dans les deux grands réseaux représentés au sein de cette entité nationale qui comprend 9 millions de sociétaires et est devenue le second acteur bancaire de France : la Banque Populaire et les Caisses d’Epargne.

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’équivalent de quatre millions de colis devrait être acheminé chaque jour vers les foyers français durant la période des fêtes de fin d’année. Une surcharge de travail considérable pour l’entreprise qui ne pourra y faire face sans accroître ses effectifs. Conséquence : neuf mille postes proposés en contrat à durée déterminée et intérimaires seront à pourvoir pour endiguer ce flux…

DIJON (Côte d’Or) : Le confinement aurait presque du bon pour le service colis de La Poste ! L’entreprise croule depuis plusieurs mois sous les envois de paquets qui ne cessent de circuler dans l’Hexagone depuis le printemps. Face à la demande des consommateurs qui privilégient les achats en ligne, l’établissement s’attend à gérer des pics record au moment de la période des fêtes de fin d’année.

Pour répondre à ce besoin, il n’y a d’autres alternatives que d’embaucher de la main d’œuvre supplémentaire : soit 9 000 personnes bénéficiant d’un contrat en CDD ou par l’intérim.

Ces nouveaux emplois, concevables sur l’ensemble du territoire national, iront grossir les effectifs des plateformes logistiques où se réalisent le tri des colis et la distribution de ceux-ci vers les bureaux de poste. Sachant que le groupe estime à quatre millions de colis à traiter au quotidien jusqu’au terme des fêtes de fin d’année. Ce sont cent millions de colis qui transiteront en France à cette période contre quatre-vingt millions d’unités l’an passé !

Localement, tous les départements de Bourgogne-Franche-Comté devraient également recrutés de nouveaux éléments pour accroître les capacités opérationnelles des services concernés…

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A l’instar de la société de l’Yonne PAPYHAPPY dont les seniors sont le cœur de cible, les entreprises de la Silver Economie s’inquiètent de la situation préoccupante des personnes âgées en cette période sanitaire si complexe. Il est vrai que sur les 40 000 décès déjà imputables à la COVID-19 en France, beaucoup concernent les seniors.

JOIGNY : Etat dépressif, sentiment d’abandon et de rejet, solitude : les personnes âgées traversent une période particulièrement difficile de leur existence depuis le début du nouveau confinement.

Vivant le plus souvent de manière isolée, elles voient leurs moyens de communication se restreindre comme la neige qui fond au soleil avec leur entourage. Qui lui-même peut-être aussi contraint de rester à demeure afin de ne pas s’exposer à l’infection virale.

Certes, il reste les outils numériques. Force est de constater que bon nombre de nos glorieux aînés ne sont pas des adeptes chevronnés du clavier et de la souris.

Plutôt que de rester murer dans le silence et l’ennui, Joachim TAVARES, patron de la start-up PAPYHAPPY, a pris l’initiative de proposer aux seniors d’appeler directement les équipes de la plateforme icaunaise.

Objectif : nouer des liens au détour d’une conversation sur des thèmes de leur choix !

 

 

Concrètement, les seniors peuvent ainsi partager leurs craintes, évoquer leurs problèmes mais aussi faire part de leurs espérances avec les collaborateurs de la TPE au bout de la ligne.

Baptisée « Masqué mais pas isolé », cette opération relationnelle faisant montre d’altruisme favorise le dialogue avec ces personnes âgées qui peuvent ainsi s’extraire le temps d’un échange téléphonique salvateur de leur isolement.

Pour ce faire, il suffit d’appeler un numéro gratuit (03.72.60.57.00.) et le tour est joué. Le service est fonctionnel de 09 à 16 heures tous les jours du lundi au vendredi. Sage idée que celle-ci !

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Existait-il un autre choix que celui d’allonger la dette sur une période plus longue tout en assumant ce cap de la dégradation ? La capacité de désendettement de la Bourgogne-Franche-Comté, bien inférieure à celles de bon nombre de contrées de l’Hexagone, se situait à deux années et demie. Avec les nouvelles mesures prises par l’exécutif dans le cadre du plan de relance économique, soit 400 millions d’euros de plus destinés aux investissements, elle devrait s’étaler sur les neuf prochaines années. Un delta maximal qu’il conviendra de respecter sans aller au-delà pour ne pas tout mettre en péril…

DIJON (Côte d’Or: « J’ai choisi de frapper un grand coup parce que tous les efforts réalisés jusque-là dans les exercices budgétaires précédents nous le permettent… ». La présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY est montée au créneau avec détermination ce vendredi en fin de matinée afin de clarifier sa stratégie avant l’assemblée plénière de ce lundi 16 novembre. Une séance où seront débattues les orientations budgétaires de l’institution régionale pour l’exercice 2021.

Face à la presse mais à distance grâce au principe de la visioconférence, l’élue qui a été contrainte de décaler le rendez-vous prévu initialement le vendredi 13 novembre a détaillé les grandes lignes directrices d’un projet budgétaire, très impacté par la crise sanitaire actuelle.

Si de facto, les débats seront prioritairement concentrés sur les dépenses, la présidente n’en omettra pour autant pas les recettes. Le nerf de la guerre, à ses yeux. Sans qu’il n’y ait de solutions miracle. Car, dans le domaine, il n’existe aucune certitude.

Tout se fera en fonction de la capacité de reprise de l’économie et des…aides fournies par l’Etat. Un état qui s’est porté par ailleurs garant de subvenir aux besoins des collectivités régionales qui en éprouveraient le besoin. La Région aura recours à cette manne quasi providentielle mais indispensable car les nouvelles orientations budgétaires qui seront décidées lors de la prochaine réunion de la commission permanente le 20 novembre s’établissent à 400 millions d’euros de financement supplémentaires. Une enveloppe destinée à l’investissement.

 

Un numéro d’équilibriste qui est très complexe...

 

D’un côté, il faut entretenir l’espoir auprès des commerçants mais aussi des cafetiers et hôtels/restaurants qui ont perdu gros dans l’affaire en les soutenant de la meilleure façon possible (une aide de 7,3 millions d’euros) tout en sachant de l’autre côté que les recettes imputables à la fiscalité (TVA, taxes sur le carburant, rentrées d’argent inhérentes au trafic des TER) seront moindres.

Un véritable numéro d’équilibriste qui nécessite une cohésion dans le pilotage de ce dossier. Rien que la perte des recettes sur les TER a été provisionnée à vingt millions d’euros à titre d’exemple en espérant que l’Etat compense le manque à gagner…

A contrario, dans ce combat qu’elle mène pour favoriser le plan de relance économique avec le soutien des EPCI via la signature d’un pacte, Marie-Guite DUFAY souhaite que la Région soit présente en investissement et en fonctionnement dans son intervention budgétaire.

 

 

Via une équation qui est la suivante : six euros prélevés par habitant dont quatre se destinent à l’investissement, un par le biais de la Région vers le fonctionnement et le reliquat qui émane des intercommunalités.

Toutefois, face aux nouvelles difficultés imputables à la seconde période de confinement, la représentante du pouvoir régional va autoriser les EPCI à intervenir sur les paiements de loyer. Avec quelques bémols, notamment pour les intercommunalités de moins de 15 000 habitants qui seront dispensées de la parité requise.

In fine, c’est une somme de 5,6 millions d’euros qui couvrira les frais de fonctionnement des professionnels qui devra être validée.

 

Pas de coupes sombres ni de hausse de la fiscalité…

 

Quant à réaliser des coupes sombres en réduisant drastiquement les budgets de fonctionnement de certains postes clés, il n’en est pas question. Ainsi, la formation des demandeurs d’emploi ne sera pas pénalisée par une quelconque décision arbitraire.

Ni même le monde de l’éducation nationale via les lycées dont la Région a les compétences en matière de gestion. Alors que la Bourgogne Franche-Comté peut s’enorgueillir de posséder au plan national le plus grand nombre d’établissements répartis sur ses huit départements. Il en va de même pour des secteurs, moins prioritaires certes mais tout aussi importants comme la culture, le sport ou l’enseignement supérieur.

De là à augmenter la fiscalité afin de contenir ces importantes dépenses, il n’y aurait qu’un pas. Que Marie-Guite DUFAY balaie d’un revers de la main définitif : « Il n’en est pas question, et je m’y engage… ».

Enfin, un geste hautement symbolique sera envisagé à destination des soignants. Et  plus spécifiquement des infirmières et des infirmiers de première et deuxième année qui ont contribué à renforcer les équipes sanitaires dans les centres hospitaliers du territoire depuis le printemps. Un subside de deux millions d’euros sera ainsi versé auprès des IFSI (Institut de Formation en Soins Infirmiers) qui devront s’assurer de séances de rattrapage au niveau des formations sans qu’il y ait de préjudices pour les apprenants…

Quant à la préservation de l’emploi, elle reste une grande priorité, notamment auprès des personnes en instance d’insertion dans la vie active. Quatre mille places supplémentaires vont être intégrées à ce projet qui sera supporté avec une manne financière accordée par l’Etat.

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Qu’importe la crise, pourvu qu’il y ait l’ivresse ! Le principal bailleur social de notre département ne déroge pas d’un iota à sa politique d’investissement déclinable sur l’année 2021. C’est donc une enveloppe de 26 millions d’euros qui va être injectée dans l’économie locale à la construction, la rénovation ou la démolition de logements sur le territoire de l’Yonne. Une manne providentielle pour les artisans du bâtiment qui n’en espéraient pas tant !

AUXERRE : Pour son soixante-dixième anniversaire, DOMANYS vient de faire un magnifique cadeau aux artisans du bâtiment de notre territoire. Eux qui, comme tant d’autres de professionnels, vivent avec une réelle anxiété les turpitudes de l’entrepreneuriat soumis aux périodes de confinement à répétition.

Profitant de la soirée de présentation de sa politique d’investissement à l’aune de 2021, le premier bailleur social de l’Yonne leur a donné du baume au cœur. Et une mirifique manière de garnir leurs carnets de commandes, quelque peu en berne depuis plusieurs mois pour certaines de ces entreprises.

Excusez du peu mais DOMANYS va tout de même injecter l’équivalent de 26 millions d’euros l’année prochaine dans les travaux de construction, de réhabilitation et de démolition de logements sur son secteur de prédilection. Une excellente nouvelle qui devait mettre en pamoison le président de la structure lors de sa prise de parole introductive : Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne.

Ce dernier fera part dans sa brève allocution de son immense fierté et de sa joie de contribuer au bien-être de cette économie territoriale qui en a tant besoin en pareille période de disette imposée par le volet sanitaire. Car, devait-il le rappeler en substance, 79% de ce programme d’investissement 2021 reviendront au plan financier du fait de leur sollicitation sur appel d’offres aux TPE et PME de l’Yonne. Une vraie bouffée d’oxygène pour sortir de l’ornière actuelle !

Après la visualisation d’une courte vidéo sur l’antériorité de l’organisme (on ne peut décemment pas résumer soixante-dix années d’existence sur un clip de trois minutes !), la directrice de DOMANYS Karine LASCOLS d’un pas alerte rejoindra le pupitre de l’amphithéâtre du 89 afin de détailler les grandes lignes de sa politique managériale et stratégique, à la fois sur le bilan 2020 et en se projetant vers l’avenir.

Les slides se succédaient à volonté sur la chaîne You Tube du bailleur social. De précieux auxiliaires visuels pour bien mémoriser les chiffres essentiels qui caractérisent une entreprise forte de 180 collaborateurs au service des habitants de l’Yonne.

 

 

Une bonne santé financière malgré le contexte difficile sur le marché HLM…

 

Dans les faits, le principal bailleur du département gère 9 000 logements pour l’accueil de 18 000 locataires qui sont ainsi répartis dans l’une des habitations implantées dans près de deux cents communes de l’Yonne. 32 % d’entre eux intègrent la catégorie des seniors.

Le cinquième pourvoyeur de la commande publique icaunais (168 marchés en 2019) a consacré une enveloppe financière de 23,5 millions d’euros l’an passé à la réhabilitation et l’édification des logements sur son secteur. La crise sanitaire, on le constate, n’aura donc pas eu d’impact tangible sur la volonté de la structure à aller plus en avant pour servir au mieux les intérêts des locataires. Le budget 2020 étant à la hausse !

Humaine, pratico-pratique, l’entité DOMANYS a pris de soin de régler rubis sur ongle et dans des délais de grande réactivité à trente jours ses fournisseurs et prestataires via les dix mille factures traitées cette saison !

 

 

Même si le contexte économique n’est pas aussi idyllique que cela dans la sphère HLM avec la réduction du loyer solidarité (soit une fourchette de moins-value oscillant entre 1,6 et 2,6 millions d’euros cette année), grevant de 7,3 % le chiffre d’affaires global de la structure.

Il n’empêche que la santé financière reste d’actualité pour l’un des quatre représentants de la société de coordination IDELIANS. Un état des lieux positif qui aura permis de maintenir cette année ce programme d’investissement aussi prometteur pour 2021.

 

 

Un plan stratégique de patrimoine adopté le 17 décembre 2019

 

La stratégie de développement de DOMANYS repose sur un PSP, plan stratégique de patrimoine. Il en définit la ligne directrice avec 36 % de production nouvelle et 64 % de préservation de l’existant. Soit l’exercice en cours, 1 733 logements à réhabiliter, 495 nouveaux logements à construire, 244 logements trop vétustes à démolir et la vente de 344 logements à des néo-propriétaires.

Ainsi, parmi les principaux projets à biffer sur les tablettes, citons au niveau des acquisitions une résidence sociale de trente logements à Auxerre à horizon du premier semestre 2022, des réalisations équivalentes à Charbuy et à Saint-Moré, l’acquisition de trois logements à Sens et de huit logements à Migennes. Soit un total de 54 logements pour un équivalent de 5,4 millions d’euros de travaux.

Côté réhabilitation (celle-ci se rapporte le plus souvent à l’établissement d’études, de diagnostics, de concertations avec les habitants, de programmes de travaux avec pour objectif la maîtrise de la facture énergétique), des consultations sont en cours à Saint-Julien-du-Sault pour 56 logements (budget de 2,5 millions d’euros avec ATRIA), à Joigny pour 124 habitations et un équivalent de 4,4 millions d’euros avec les équipes de la Ville, à Cheny pour 42 logements avec un enjeu financier de 2,1 millions d’euros avec ATRIA, à Avallon pour quarante logements avec 2 millions d’euros de travaux.

Mais, aussi à Sens 26 logements (780 000 euros), Monéteau (cent logements pour 4 millions d’euros) ou encore Vallan avec cinq logements pour 125 000 euros de budget. Soit un total de 393 logements pour 16 millions de travaux.

Reste le chapitre de la démolition : il concerne la destruction de logements implantés à Champignelles (24 logements pour 350 000 euros), Cheny (39 logements), Migennes, Druyes-les-Belles-Fontaines, Saint-Florentin et Thorigny-sur-Oreuse où il est question pour ces trois derniers exemples de supprimer une unique habitation. Au total seront concernés 79 logements pour un coût d’1,6 million d’euros.

Avis aux artisans du secteur bâtiment : la consultation des marchés publics est accessible sur la référence de Territoires numériques https://marches.ternum-bfc/

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil