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In fine, il n’y aura pas de changement de cap autour de la politique applicative en faveur de la transition énergétique sur l’Auxerrois. Les hommes peuvent bien changer au gré d’un scrutin ; les idées demeurent, voire persistent si tant est qu’elles soient dans l’air du temps, louables et acceptables par toutes les composantes ! L’adoubement de la poursuite du projet hydrogène, pourtant initié par l’ancienne gouvernance, en est la parfaite démonstration consensuelle…

AUXERRE: L’orientation budgétaire de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois aura beau être compressée du fait de la conjoncture actuelle propre à la situation sanitaire (elle sera votée le 17 décembre prochain), le projet de développement de l’hydrogène sur ce secteur géographique reste bel et bien d’actualité. Et un choix prioritaire.

Ainsi en a décidé l’assemblée communautaire lors de sa séance de travail du jeudi 22 octobre, à l’unanimité. Un choix consensuel exemplaire qui mérite d’être souligné, bien au-delà des tergiversations politiciennes coutumières qui viennent agrémenter les échanges. Parfois, en les rendant inaudibles.

Pour une fois, les élus de la majorité comme ceux de l’opposition sont tombés d’accord. Faisant montre d’unité, un fait plutôt rarissime dans l’absolu.

L’enjeu est de taille, il est vrai. Non seulement, l’Agglo deviendra propriétaire de cinq bus à hydrogène devant desservir les lignes principales facilitant la fluidité du transport sur zone ; mais en outre, l’édification d’une station de production s’inscrira parmi les éléments à prioriser dans un intervalle temporel maîtrisé faisant de la ville de Paul Bert une référence à l’échelon hexagonal.

Grâce à ce mode de transport collectif, celui-ci devant s’adosser à la circulation des trains à hydrogène devant relier Auxerre à Laroche-Migennes, la capitale de l’Yonne deviendra une ville vertueuse en matière de gestion environnementale, ne rejetant plus aucun gramme de gaz carbonique dans l’atmosphère.

 

 

Un premier bus livré en décembre, quatre autres suivront en 2021…

 

D’ailleurs, le programme, tel qu’il avait été défini par l’ancien président de l’Agglomération de l’Auxerrois Guy FEREZ, envisage de doter la structure institutionnelle de ce mode de combustible sur l’ensemble du parc de bus. Ainsi, ce sont 31 véhicules qui devront rouler vert à terme.

Quant à la station, elle serait implantée sur la plaine des Isles à Auxerre où elle servirait à la fois à la production du précieux combustible mais aussi à son stockage.

Certes, un surcoût grèvera quelque peu le budget initial. Le président de la Communauté d’agglomération Crescent MARAULT ne s’en est pas caché. C’est aussi le prix à payer pour être autonome et devenir propriétaire de ces cinq premiers bus.

L’enveloppe est plutôt élevée. Il en coûtera 3,7 millions d’euros à la collectivité territoriale pour devenir acquéreur de ces moyens de locomotion performants sur un plan environnemental. Sachant que des subsides en provenance de fonds européens et de la Région Bourgogne Franche-Comté compenseront pour moitié les dépenses nécessaires à cet investissement.

 

 

Livré courant décembre, le premier de ces cinq véhicules sera mis en circulation immédiatement. Il faudra ensuite s’armer de patience, c’est-à-dire jusqu’à l’automne 2021 pour que les quatre autres bus ne viennent grossir la flotte de la collectivité icaunaise.

Construite non loin de la gare SNCF, la fameuse station de production et de stockage sortira de terre d’ici un an. Sa construction incombera à une filiale du groupe EDF, HYNAMICS.

Labellisé Territoire à énergie positive pour la croissance verte (TEPCV), l’Auxerrois ne pouvait manquer ce rendez-vous crucial pour sa politique de sauvegarde de l’environnement. Implanter l’hydrogène aura aussi pour conséquence de jouer la carte de la modularité puisque ce combustible ne se cantonnera pas à la seule alimentation des bus à l’estampille de la collectivité. Sont concernés par le projet les transports ferroviaires, sans doute en 2023, et routiers. Et pourquoi pas, à perspective plus ou moins lointaine les cycles fonctionnant à partir de ce gaz…

Thierry BRET

 

 


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Le parc d’activités du nord d’Auxerre suscite-t-il un quelconque intérêt de la part des investisseurs ? Beaucoup d’interrogations planent autour du concept : de prime abord, celles de la nouvelle gouvernance de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Loin d’accueillir la trentaine d’entreprises industrielles prévues et de porter les 1 500 emplois supplémentaires sur le bassin, l’extrême prudence semble être le mot d’ordre actuel vu le contexte économique…

AUXERRE: Où en est aujourd’hui le projet de développement du parc d’activités AuxR_Parc ? Si quatre implantations potentielles d’entreprises figuraient jusqu’alors dans les petits papiers de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, la donne arithmétique semble avoir changé quelque peu au cours de ces dernières semaines.

Pourtant, trois sociétés s’étaient manifestées positivement en signant un accord de principe à leur installation sur le site de cinquante hectares dont YCARE et IBB Tech. La quatrième de ces structures a préféré renoncer à ce jour à cette venue, rendant désormais obsolète sa demande. Une disparition des écrans radar sans doute imputable aux effets pernicieux de la conjoncture actuelle qui pénalise fortement les velléités entrepreneuriales des dirigeants de société.

Mais, le constat est flagrant. Pas l’ombre d’une construction ni l’esquisse d’un bâtiment professionnel ne s’érige sur ce vaste espace aménagé de lampadaires, d’abris bus et d’asphalte situé entre Appoigny et la bretelle septentrionale de l’autoroute A 6.

De quoi susciter des interrogations sur la pertinence réelle de ce dossier dans le cénacle politique de l’Auxerrois. A commencer par l’un des porte-étendards de l’opposition, le premier secrétaire fédéral du Parti socialiste Mani CAMBEFORT qui a interpellé le président de l’Agglo Crescent MARAULT lors de la session communautaire ce jeudi 22 octobre.

 

Pas de PME/PMI originaires de l’Ile-de-France…

 

Une mise au point légitime pour mieux appréhender les tribulations de ce dossier au demeurant vertueux sur le papier qui selon son cahier des charges prévoyait l’installation d’une trentaine d’entreprises de la sphère industrielle et l’accueil à terme de 1 500 emplois. Des éléments favorables devant booster le bassin de l’Auxerrois !

Or, force est de constater que les 34 hectares de foncier proposés sur ce parc qui englobe trente-trois lots de 1 300 à 50 000 mètres carrés ne répondent pas en l’état à cet objectif ambitieux.

 

 

Les emprunts réalisés autour de ces travaux d’aménagement se sont avérés élevés. Sachant que le budget d’investissement pour initier ce parc représentait une enveloppe d’une vingtaine de millions d’euros à l’origine dont deux émanant de subventions de l’Etat, de la Région, et du Département. Une somme affectée à la réalisation d’études, de travaux, à l’archéologie (près d’une dizaine d’années de fouilles et recherches), et à la compensation de l’impact du projet sur l’environnement.

Si le concept avait pour vocation de séduire des PME/PMI franciliennes à la recherche d’un foncier et d’un immobilier attractifs (le prix du mètre carré s’établit à 45 euros), aucune de ces entités professionnelles originaires de l’Ile-de-France n’a pour l’heure daigner contractualiser avec les services de l’organisme communautaire son désir de délocaliser ses structures dans l’Yonne.   

 

 

La Bibliothèque nationale ? Un projet sous-dimensionné au plus offrant…

 

Le président de l’Agglo Crescent MARAULT l’a d’ailleurs précisé dans sa réponse à l’élu socialiste Mani CAMBEFORT : les quatre dossiers déjà étudiés émanaient de sociétés icaunaises ayant choisi un transfert de leurs activités d’une zone d’accueil à une autre. En outre, l’édile d’Auxerre de rajouter que l’impératif critère industriel n’était pas respecté au vu de la typologie desdites entreprises. Celles-ci étant davantage orientées vers la notion de services et de commercialisation…

Lors de cet échange nourri avec les leaders de l’opposition, l’inéluctable question sur la délocalisation de la Bibliothèque nationale de France au nord d’Auxerre surgit de la bouche de l’écologiste Denis ROYCOURT. Un dossier « sous-dimensionné » de l’avis de Crescent MARAULT pour qui les projections de postes (de 80 à 100 pas plus), si tant est que le projet soit retenu après les tours de table et les appels d’offres au plus offrant, ne permettraient pas de répondre au « cahier des charges initial de créer 1 500 emplois ! ».

Un commentaire en forme de boutade, certes, mais qui traduit la lucidité de l’édile d’Auxerre sur le devenir de ce projet.

« Nous serons déjà très satisfaits si nous parvenons à créer 500 emplois sur cette zone, lâcha avec réalisme le président de la Communauté, en arguant que la réalité économique actuelle avait totalement brassé les cartes.

D’autant que la concurrence est rude, voire impitoyable entre les villes de l’Hexagone qui tentent de récupérer la part de ce gâteau de l’attractivité territoriale. Qui se partage désormais à la portion congrue au vu du contexte conjoncturel.

Thierry BRET

 

 


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Ce sera une incontestable première en Bourgogne Franche-Comté. La signature, ce lundi 26 octobre en matinée, d’un partenariat unissant trois des acteurs clés de la transition énergétique sur notre territoire : EDF, ENEDIS et le SDEY, le Syndicat Départemental des Energies de l’Yonne. Les bénéficiaires en seront les Icaunais eux-mêmes. Grâce à ces paraphes, tout devrait s’accentuer très vite en matière de développement énergétique durable…

AUXERRE: L’information est capitale. D’autant qu’elle s’applique à l’une des thématiques brûlantes de l’actualité économique du moment : la transition énergétique. Elle a le mérite de mettre en présence, et ce dès lundi 26 octobre, des décideurs essentiels de ce dispositif qui vise à préserver la planète et à réduire de manière drastique les économies des collectivités et citoyens au niveau de leur consommation d’énergie.

Qui d’autres que les opérateurs que sont EDF et ENEDIS auraient pu s’assoir à la table de ces négociations abouties aux côtés du Syndicat départemental des Energies de l’Yonne ? Ce sont en effet les trois protagonistes de cette histoire. Ils prendront le temps de s’expliquer face à la presse des enjeux qui découleront de cet accord, un nouveau contrat de concession liant les signataires pour un bail de trente ans.

La convention favorisera le partage des données et la mise en exergue d’innovations performantes entre les trois partenaires, à l’instar du réseau d’intelligence pour le développement photovoltaïque ou l’essor de nouvelles bornes permettant de recharger les véhicules électriques.

Il sera également question de valoriser les redevances reversées au Syndicat départemental des Energies et de poursuivre la dissimulation des réseaux électriques.

 

De fructueuses négociations qui s’inspirent d’un modèle national…

 

Le fondement de cet accord tripartite repose sur un nouveau modèle national de cahier des charges de concession, édicté par la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR), ENEDIS, EDF et France Urbaine. Un document qui prend en compte les coûts et les besoins de la transition énergétique, une hausse des redevances versées aux syndicats d’énergie et de nouveaux investissements garantissant une qualité optimale de la fourniture d’énergie.

Depuis 2019, le SDEY sous l’impulsion de son président Jean-Noël LOURY s’est engagé dans une fructueuse négociation avec ses partenaires afin de revoir avant son terme le document initial signé en 1999 en s’inspirant du nouveau modèle national.

 

 

 

Rappelons que cette année-là, ce qui était à l’époque la Fédération départementale d’électrification de l’Yonne avait concédé les 4 300 kilomètres de réseau basse tension du département à EDF/GDF (aujourd’hui ENEDIS) pour une période de trente ans.

De son côté, ENEDIS s’est engagé à apporter au SDEY un montant total prévisionnel de 54 millions d’euros, corrélés au montant de ses investissements.

Un premier programme pluriannuel va courir jusqu’en 2024. ENEDIS y investira 9,5 millions d’euros.

La renégociation du nouveau contrat a permis au syndicat de l’Yonne d’obtenir, étalé sur huit ans, une enveloppe supplémentaire de 3,3 millions d’euros. Elle se destinera à financer un programme de résorption des cabines hautes et des fils nus. S’y ajouteront des actions de modernisation et d’innovation.

Thierry BRET

 


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Pendant la crise sanitaire, les formations se poursuivent ! C’est en substance le message fort qu’a voulu délivrer la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne aux entrepreneurs ayant soif de connaissances. Onze d’entre eux ont assisté le 15 octobre à la présentation de quatre nouveaux cycles pédagogiques proposés par les services ad hoc de l’organisme consulaire…

AUXERRE : Présentées et dispensées par Loïc CHEVALLARD, partenaire de la CCI de l’Yonne, ces formations se veulent avant tout pratico-pratiques avec des exercices et astuces à utiliser au quotidien pour faciliter la vie des chefs d’entreprise.

Créateur de sa société « ADN Potentiel », ce coach certifié auprès des managers et dirigeants a pour devise professionnelle : « prendre soin de soi, pour prendre soin de son entreprise… ».

Il compte apporter des réponses précises à son public autour de quatre modules ayant pour items la performance durable, la maîtrise du temps, l’adoption de la résilience pour surmonter les difficultés ou encore la déconnexion du manager.

Dans la première thématique, le sachant expliquera comment cultiver son énergie pour être durablement performant et booster sa santé et vitalité malgré des journées bien remplies. Il suffit pour cela d’adopter de nouvelles pratiques pour récupérer de l’énergie autant au quotidien qu’en période propice au « coup de mou » ! L’autohypnose, la respiration ventrale mais aussi une bonne hygiène de vie contribuent à cela. Des items qui seront abordés durant ce module.

Pensé avant tout pour aider les entrepreneurs à sortir la tête hors de l’eau, ce cours fait aussi allusion aux règles qui changent au fil des jours en cette période inédite, où toutes les prévisions peuvent tomber à l’eau du jour au lendemain.

Loïc CHEVALLARD proposera des exercices et astuces pour savoir surmonter les difficultés et ce, sans sacrifier sa santé et/ou sa vie privée.

 

Banque Populaire

 

Maîtrise du temps et déconnexion des nouvelles technologies…

 

Le second volet se rapportera à la procrastination en matière de maîtrise du temps. Celles et ceux qui ont la sensation de courir après le temps ou de toujours remettre à plus tard ce que l’on veut concevoir le jour même seront les bienvenus dans ce cycle. Avec son lot de petits conseils grâce à la mise en place d’une routine de vingt-et-un jours à la demande de certains participants.

Le troisième thème concernera la résilience pour surmonter les difficultés. Par résilience, on entend la capacité à pouvoir y faire face. Le coach fera découvrir à son auditoire trois étapes simples pour transformer les échecs en réussite. Une recette à appliquer aussi bien dans le domaine professionnel que dans l’existence ordinaire.

Il sera également question de « management déconnecté » dans le quatrième chapitre de ce parcours. A réserver pour celles et ceux qui ne peuvent jamais décrocher du travail que ce soit par les actes ou dans la pensée.

Cibles prioritaires visées : le téléphone portable et les boîtes mail ! L’orateur apportera des éléments de réponse pour déterminer l’usage précis des outils numériques tout en identifiant les dérives.

 

En savoir plus :

 

Ces quatre modules se dérouleront lors de sessions proposées les 17 et 19 novembre, ainsi que les 01 et 03 décembre à la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, au 26 de la rue Etienne Dolet à Auxerre.

Renseignements et inscriptions auprès de Jean-Pierre LANTERNIER, responsable de la formation à la CCI au 03.86.49.40.92.

Maryline GANDON

 

 


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Sur ses fonds propres, l’opérateur de télécommunication déploie la fibre optique jusqu’au logement mais aussi dans les entreprises. En installant deux armoires optiques dans la localité périphérique d’Auxerre, ORANGE offre la possibilité à 330 foyers et entreprises d’être reliés au monde via la connexion optimale…

AUGY : Un « PMZ » pourrait presque s’apparenter au plan de la symbolique à la partie immergée d’un iceberg. Peu de chose à découvrir en surface, en vérité et les quatre-vingt-dix pour cent du contenu le plus intéressant étant positionnés sous la ligne de flottaison. Invisible à l’œil nu !

Ces fameux « points de mutualisation de la zone » de raccordement (c’est-à-dire les petites armoires métalliques qui bordent certaines rues des localités connectées) sont les seuls et uniques éléments visibles à ce jour qui évoquent la présence de la fibre optique dans une commune ou dans un quartier d’une agglomération urbaine.

Le 16 octobre dernier, sous la bise glaciale d’un zéphyr virevoltant, entre deux vols hésitants mais progressifs de grues dans le ciel, a été inaugurée dans la localité sise au sud-ouest d’Auxerre l’une de ces composantes au demeurant essentielles à la propagation de cette technologie.

Implantée allée des Vignes (un clin d’œil sympa au niveau de la sémantique aux vignobles environnants !), cette ossature métallique constitue l’une des deux armoires placées par l’opérateur de télécommunication engagé sur ce déploiement, à savoir ORANGE.

 

 

Un précieux fil d’Ariane dont plus personne ne pourrait se passer…

 

La fibre s’y déploie à l’instar d’une vingtaine d’autres communes du département de l’Yonne. Dans la seule communauté d’agglomération de l’Auxerrois, plus de 28 000 foyers et entreprises bénéficient déjà du très haut débit. Un déploiement qui tient toutes ses promesses en termes de réactivité et d’efficience. Il est réalisé à partir des propres deniers (les fonds propres) du leader international sur la fibre optique.

Stratégiquement, le schéma opérationnel est plutôt bien huilé. L’essor de ce réseau au modernisme stupéfiant quant à ses capacités techniques repose sur différentes strates : les études, conçues en coordination avec les équipes municipales, l’installation des fameuses armoires avant que ne soit posée la fibre dans les fourreaux de génie civil existants.

Puis, de manière progressive, ce précieux fil d’Ariane reliant l’usager au monde du numérique est déployé devant les habitations individuelles, à l’intérieur des immeubles pour pouvoir pénétrer dans chaque logement, dans les collectivités sans omettre les entreprises.

Bref, tout le monde est concerné par l’éligibilité à ce mode révolutionnaire de communication numérique. A ce jour, 69 % des foyers et locaux professionnels de la bourgade disposent de ce merveilleux sésame dont nul ne pourrait se passer désormais, après y avoir goûté !

Une fois les délais réglementaires observés, la fibre devient disponible à la commercialisation par tous les fournisseurs d’accès Internet. Naturellement, ORANGE y abat sa propre carte commerciale mais pas seulement puisque les trois autres opérateurs historiques peuvent aussi cofinancer ce nouveau réseau.

 

 

9 milliards d'euros injectés pour équiper 3 600 communes...

 

C’est le cas, en l’état, de Free dont les jarretières rouges (les gaines dans lesquelles passent la fibre) sont visibles à l’intérieur des armoires. Celles-ci restant toutefois à forte dominante orange, pour le moment.

Responsable technique chez ORANGE, Patrice DOS SANTOS expliquera à ses interlocuteurs, en l’occurrence l’édile d’Augy Nicolas BRIOLLAND, à l’écoute, et l’un de ses adjoints les finesses pratico-pratiques de ce support technologique dont beaucoup espèrent l’arrivée à leur domicile.

Rappelons pour mémoire que la fibre optique équivaut à pouvoir accéder à une nouvelle dimension de partage de données, de divertissements comme le streaming vidéo, les contenus Ultra Haute Définition, le stockage sur le cloud, le son de haute définition ou la caméra à 360° !

Depuis le discours prononcé par le président de la République lors de la conférence nationale des Territoires le 17 juillet 2017, tout doit être mis en place pour que la couverture en haut débit soit finalisée d’ici la fin 2020 en France ; il en est de même pour le très haut  débit pour tous avant le terme de 2022.

Ayant injecté 9 milliards d’euros pour couvrir 3 600 communes à l’échelle de l’Hexagone, ORANGE a fait de ce challenge sa principale priorité. Un défi motivant qui aura eu des répercussions heureuses au niveau de l’emploi avec la création de près de 15 000 postes parmi cet écosystème en pleine expansion.

 

 

En savoir plus :

Pour connaître l’éligibilité du foyer ou du site professionnel, ORANGE met en ligne une carte de couverture sur la référence suivante : reseaux.orange.fr/cartes-de-couverture/fibre

Dès que l’adresse apparaît éligible, il est possible de contacter librement le fournisseur d’accès Internet de son choix. Et pour être informé à chaque étape du déploiement, jusqu’au raccordement, il est possible de s’inscrire sur le site…

Thierry BRET

 


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