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Ses yeux sont immensément tristes. Assise, seule, sur l’un des bancs de bois qui ornementent la salle des pas perdus du bâtiment préfectoral, la candidate écologiste, concourant sous l’égide du Nouveau Front Populaire (NFP), semble perdue. Le regard fixant le vide, à l’annonce du résultat définitif qui vient de tomber aux alentours de 21H30. Comme en 2022, Florence LOURY a échoué de peu, à conquérir ce poste de député de la première circonscription qui lui glisse entre les doigts. Il s’en est fallu de 1 277 voix. Une paille à l’échelle de l’arithmétique. Un gouffre, un soir de scrutin électoral où elle doit s’avouer vaincue…

 

AUXERRE: La déveine ? La malchance ? La scoumoune ?...La colère, aussi ! Intérieurement, elle fulmine, la candidate écologiste, ralliée à la bannière du Nouveau Front Populaire (NFP). Une fois de plus, le scénario s’est rejoué avec la même conclusion pour celle qui espérait tant prendre sa revanche sur l’adversité et mettre un terme définitif à la carrière de député, de son rival de Puisaye, le parlementaire sortant, le Rassemblement National Daniel GRENON.

Les ultimes réunions publiques de ces derniers jours, les soutiens inconditionnels à sa cause de militante verte, sociale et pro-environnementale n’auront donc pas suffi à infléchir la tendance : le couperet est donc tombé, au soir de cette journée dominicale du 07 juillet, au goût amer pour ses partisans.

Ne réalisant que 48,62 % des suffrages, Florence LOURY a donc connu une deuxième défaite de rang face à un Daniel GRENON que l’on n’aura pas aperçu beaucoup sur le terrain, hormis une conférence de presse collégiale à Auxerre avec l’ensemble des cadres et candidats départementaux du parti mariniste.

 

 

Le difficile jeu de la démocratie

 

Longtemps en tête de cette course à l’échalote législative où il n’y a in fine qu’un seul lauréat à féliciter – il atteindra même facticement 56 % des voix après 72 % des bulletins dépouillés, ceux de la Puisaye-Forterre notamment -, Daniel GRENON perdit quelque peu de sa superbe, en termes de pourcentage, lorsque les résultats de la ville d’Auxerre furent enfin, et après une interminable attente, communiqués aux services de la préfecture qui en assurèrent le relais informatif auprès des suiveurs.

Perdant au passage cinq points sur le summum obtenu de 56 % ! Oui, mais, voilà : si les scores enregistrés par la conseillère communautaire et municipale d’opposition d’Auxerre suscitèrent de l’enthousiasme parmi ses fidèles par leur aspect plus que prometteurs, cela n’aura pas suffi en définitive à renverser la vapeur et prendre le meilleur sur le député sortant de la formation souverainiste.

Avec 48,62 % des suffrages exprimés, l’écologiste dut se résigner une nouvelle fois à baisser la garde et à céder, à contrecœur, mais c’est le jeu de la démocratie, cette dure bataille malgré des soutiens venus d’obédiences plus élargies qu’à l’accoutumée. On se remémorera la présence, notamment de Victor ALBRECHT, le candidat malheureux de la majorité présidentielle, qui à la tribune, face à un auditoire exalté du Nouveau Front Populaire, aura apporté son soutien sincère à la candidate verte, dans un souci de front républicain.

 

 

Les votes « blanc » ont été fatals à la candidate écologiste

 

Un peu plus tôt, la soirée avait commencé entre espérance et inquiétude pour Florence LOURY dès l’annonce des résultats nationaux, égrenés par le téléviseur placé dans le vaste hall de l’hôtel de la préfecture. Si le score inattendu du NFP fit éclater de joie les nombreux aficionados de la candidate écologiste – le premier fédéral du Parti Socialiste Mani CAMBEFORT avait enfin retrouvé le sourire et se permit même de se saisir de la zapette afin d’augmenter le volume sonore de l’appareil ! -, le doute s’installa très vite dans les esprits lorsque les résultats des zones rurales apparaissaient sur l’écran dédié à retranscrire les choix des électeurs de l’Yonne. D’autant que Daniel GRENON prenait très vite le large, menant la course en tête avec un réel confort de voix et en pourcentage.

Puis, tout s’interrompit, ou presque, après 72 % des suffrages exprimés durant des minutes qui n’en finissaient pas et avant que ne soient remontés les résultats de la Ville d’Auxerre. C’est à croire que les bureaux de vote de la capitale de l’Yonne fonctionnent encore avec des bouliers pour le comptage du nombre de voix tant l’attente paraissait interminable ! Un cas d’école étrange et pour le moins curieux en termes de réactivité qui nous revient d’ailleurs à chaque élection !

 

 

Forcément, cette attente rajouta du stress et de l’angoisse pour les principaux intéressés par ce duel entre le RN (il n’y avait pas l’ombre d’un représentant officiel concernant la première circonscription de l’Yonne ?!) et le NFP. Les visages se figèrent, les mines s’allongèrent, les bouches se crispèrent. Bref, durant une bonne heure avant que la délivrance du verdict ne mit un terme à ce suspense, il y avait comme une chape de plomb dans l’entrée de la préfecture et les suiveurs qui prenaient leur mal en patience en avalant vite fait une gougère au passage. Arrosée d’une petite coupe de crémant.

On connaît la suite. Point de miracle donc pour Florence LOURY qui aura été aussi la « victime » collatérale du nombre de votes blanc, soit quatre mille bulletins placés dans les urnes sur cette seule circonscription ! A croire que les adeptes du « ni, ni », quant à eux, avaient bien rempli leur mission…En condamnant la candidate écologiste à ne pouvoir siéger, cette fois-ci encore, au Palais Bourbon.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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C’est devenu une habitude. Mais, le public en redemande d’une édition à l’autre de ce rendez-vous estival qui lance la saison des festivités culturelles dans le village au célèbre château moyenâgeux. Logique : l’Ecole de Musique, Danse et Théâtre de Puisaye à Toucy (EMDTPF) possède une notoriété, faisant tâche d’huile un peu partout sur le territoire. Notamment, sa formation spécialisée dans la reprise de standards et de morceaux plus méconnus de jazz, le « Small Band ». Dirigé par l’excellent saxophoniste François CANARD, le groupe n’a pas déçu les amoureux de Count BASIE, réunis au pied du castel…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Il n’y aurait pas ce petit vent frisquet qui ébouriffe les cheveux, on se serait vraiment cru aux meilleures heures de l’été, côté atmosphère ! Le cadre, tout d’abord. La scène, devant accueillir les instrumentistes des deux formations de la soirée, est placée juste devant la muraille de cet édifice massif et chargé d’histoire qui fait la renommée touristique de ce merveilleux village, à l’appellation si « druidique » !   

Mais, ne nous plaignions pas : les conditions météo auraient pu être pires ! L’astre diurne est bel et bien au rendez-vous, occulté de temps à autre par un nuage couleur albâtre filant dans le ciel. Le soleil darde de ses rayons couchants un public encore un peu timide et sur la réserve – elle n’est pas parlementaire celle-là !-, en ce début de soirée d’un samedi marqué par le lancement des animations d’été à Druyes.

Cela sent bon les vacances à plein nez même si les organisateurs de l’association éponyme, « Jazz à Druyes », ne chôment pas derrière le petit espace faisant office de buvette et de point d’accueil, positionné dans l’herbe.

En guise de mise en bouche de la soirée, avant que le guitariste prodige, Jean-Baptiste HARDY, ne vienne produire ses notes de musique aux connotations orientales ramenées d’un séjour de plusieurs mois en Turquie, l’EDMTPF ouvre le bal !

 

 

Un standard de Count BASIE en guise de hors d’œuvre !

 

Côté jazz-rock, on se remémore les appellations à rallonge des groupes cultes et dinosaures de la spécialité musicale ayant éclos au début des années 1970 et de réputation mondiale, CTA pour « Chicago Transit Authority », devenu un peu plus tard tout bonnement « Chicago » ou encore « BS&T », à savoir « Blood Sweat & Tears ». Des références inégalées en la matière, cinq décennies plus tard !

Bon, là, avec l’EDMTPF, on est certes un cran plus modeste dans la notoriété à titre comparatif avec les deux autres formations américaines ! Toutefois, l’excellent professeur et saxophoniste, hors pair lui-même, François CANARD a su démontrer à ce public de férus que la valeur n’attend pas le nombre des années.

 

 

Embarquant à ses côtés des musiciens jeunes et moins jeunes, possédant tous cette fibre commune et viscérale de la passion du jazz, le chef d’orchestre et métronome de ce combo encore à l’état pédagogique, de par son appellation, nous a prouvé qu’il y avait de belles perspectives dans l’air et des talents à la pelle dans cette Ecole de Musique, Danse et Théâtre de Puisaye, dont le siège social est, faut-il le rappeler, à Toucy !

L’interprétation du fameux « Blues in Hoss Flat » du non moins talentueux chef d’orchestre et pianiste Count BASIE (il a co-écrit ce titre en 1957 avec son complice Franck FOSTER) fut une excellente entrée en la matière pour donner le tempo et le « la » de cette soirée de belle facture jazzy ! Un morceau qui devait illustrer en guise de bande son en 1961 le long métrage du désopilant et génial Jerry LEWIS, « Le Zinzin d’Hollywood » !

 

 

Un des airs universels du jazz servi sur un rythme chaloupé : « Lil’Darlin » !

 

Puis, la formation enchaîna après quelques explications sommaires du maître à penser François CANARD par le trépidant « Cornbread », du méconnu Lee MORGAN, trompettiste américain qui enregistra ce morceau de près de dix minutes en 1967. Sur l’album de l’époque, on notait la présence d’un certain… Herbie HANCOCK au piano !

Moment de grâce avec l’interprétation de « Lil’Darlin », que l’on doit à Neal HEFTI, l’un des trompettistes accueilli au sein du Count BASIE Orchestra, publié en 1957 ! L’une des références très mélodieuses et universelles des standards du jazz construit sur un tempo très lent. On connaissait jusque-là les versions d’Oscar PETERSON ou de George BENSON, voici désormais celle toute en finesse et en virtuosité qui nous a été livrée par les instrumentistes experts de « l’EDMTPF » !

Pour les puristes, signalons que le regretté Henri SALVADOR en avait assuré une adaptation à la française, rendant hommage au roi des rois des «big bands », sobrement intitulé, « Count Basie » en 1963 !

Ce fut un délicieux rendez-vous pour mélomanes avertis ou néophytes en soif de découvertes initiatiques ! Il se poursuivit au pied de ce château plusieurs fois séculaire…jusqu’en début de soirée. C’est sûr, vivement la saison prochaine !

 

Thierry BRET

 

 


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Parmi une certaine frange de la population de l’Hexagone, cela semble être encore de l’hébreu. Peut-être même de l’araméen, pour les plus réfractaires des potentiels utilisateurs qui n’y entravent que couic au fonctionnement d’un ordinateur, d’un clavier ou d’une souris.

Pourtant, que l’on vive à la campagne comme à la ville, que l’on soit jeune comme plus âgé, instruit ou peu diplômé, le numérique a progressivement fait son lit dans notre existence. Sans passer, aujourd’hui, serait plus qu’illusoire tant les bienfaits de l’informatique se sont avérés probants dans bien des domaines du quotidien.

Nonobstant, chez certains de nos compatriotes (les seniors), la maîtrise du numérique est encore inconcevable. Une vraie problématique en soi, dans la vie de tous les jours quand on sait que bon nombre d’opérations administratives et financières utilisent abondamment ce canal de communication afin d’y véhiculer des informations élémentaires, mais aussi indispensables.

Ne pas connaître les rudiments de fonctionnement d’un ordinateur, les principes de base de son utilisation s’appelle « l’illectronisme ». Comme il y a l’illettrisme, cette particularité concerne à notre époque près de 15 % des Français. C’est à la fois très peu en pourcentage mais encore beaucoup trop en nombre d’individus qui se privent ainsi d’une ressource informative prédominante dans la société actuelle.

 

Rendre le numérique accessible à tous !

 

Pour y faire face, il existe des initiatives. Toutes les plus méritoires les unes que les autres afin de faire tomber les préjugés autour de cette technologie, et en favoriser ainsi ses usages. L’une d’entre elles a pour instigateur la MAIF !

Le sixième assureur automobile de France et le premier assureur du secteur associatif s’est engouffré dans cette mission quasi régalienne de première nécessité : rendre le numérique accessible au plus grand nombre.    

Sur le papier, cela pourrait surprendre, après tout. Mais, à y regarder de plus près, et chiffres à l’appui, on s’aperçoit très vite à qui l’on a à faire avec ce réseau assurantiel, couvrant l’ensemble des besoins de plus de 4 millions de sociétaires en France. Si cet acteur entrepreneurial intervient dans les domaines des assurances de biens, de prévoyance, de la santé, de l’assistance, de l’épargne ou du crédit, on ne supposait nullement que la MAIF pouvait endosser l’habit de pédagogue hors pair et de conseil dans le secteur du numérique !

Ici, dans le cas présent, ce poids lourd de l’économie nationale – le chiffre d’affaires annuel du groupe assurantiel s’élevait à près de 4,5 milliards d’euros en 2022 – n’a pas hésité à s’investir pleinement sur le sujet en décidant, selon les références de sa propre charte déontologique, de porter une attention toute particulière à l’autre afin de le placer au cœur de ses engagements. En terme clair, il suffit d’initier le plus grand nombre de Français à la chose numérique, via un concept plutôt bien construit dans les faits, le « Numérique Ethique Tour » !

 

 

 

Des sollicitations qui émanent des collectivités rurales

 

Ingénieux, le dispositif novateur se veut itinérant et possède cette faculté adaptative de pouvoir se rendre partout où l’on fait appel à lui. La demande émanant le plus souvent des collectivités locales, principalement rurales qui sont confrontées chaque jour aux manques de moyens administratifs afin de répondre aux besoins réels de la population. Les sortir de leur isolement est aussi une réponse appropriée à leurs besoins.

Ainsi, et de manière gratuite, ce « Numérique Ethique Tour » se pose ici ou là, au gré des sollicitations des élus de France pour que les publics puissent se cultiver sur les connaissances basiques et fondamentales de la technologie, ayant fait le plus de progrès au cours de ces vingt dernières années.

Une plongée immersive et didactique au cœur des principes de base du numérique, ses outils et ses innombrables utilisations.

Mais, ce n’est pas tout dans cette démarche que l’on se doit de découvrir par ses multiples portes d’accès. Si le fondement repose sur l’acculturation à la pratique la plus aboutie de l’usage de l’informatique, la MAIF et son ingénierie se sont mis dans l’idée, avec ce concept, de faire de la prévention sur les risques encourus par ce monde enclin à bon nombre de dérives et de dérapages. Plus ou moins contrôlés !

 

 

La surexposition aux écrans : attention danger !

 

Cible privilégiée de la démarche : la jeunesse ! Et plus spécifiquement, les scolaires, très exposés aux malveillances de la pratique informatique.

Des ateliers participatifs, assurés par des spécialistes de la question, offrent un espace pédagogique intéressant pour casser les codes existants autour de l’informatique, en prodiguant les bons conseils se rapportant à l’éthique et aux dangers pour les jeunes utilisateurs.

Le programme éducatif de la structure assurantielle mériterait, s’il n’existait pas encore, d’être inventé. Non seulement, il est une vitrine non exhaustive de la découverte de l’ensemble des services et des dispositifs innovants, donnant l’accès aux connaissances mais en outre, il encourage les solidarités, aide à agir en faveur de l’environnement et surtout à savoir en les évitant quels sont les nombreux pièges dans lesquels l’internaute ne doit pas tomber !

Et quand on parle de pièges et de risques pour ces jeunes populations, vient à l’esprit, immanquablement, la problématique du cyber harcèlement. Un fléau dans la société moderne, totalement inféodée à l’utilisation de ces appareils ; une hantise pour les cellules familiales qui ne savent pas comment les contrecarrer.

Face aux dangers de la surexposition aux écrans, ce programme qui a fait étape la semaine dernière trois jours durant pour la première fois en Bourgogne Franche-Comté – cocorico, cela se déroulait à Toucy, dans l’Yonne, à l’initiative de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre -, interpelle par son interactivité avec son public et les messages forts qui y sont distillés.

Utile et plus que nécessaire quand on sait que les enfants de deux ans sont 84 % à regarder la télévision au moins une fois par semaine et que la moyenne passée devant les écrans pour ceux âgés de trois à dix-sept ans s’élève à trois heures par jour en France, tout écran confondu !

Vite, il y a donc urgence à reprendre les choses en main et alerter les familles sur ce phénomène d’exposition croissante qui gagne les petits (mais aussi les plus grands et les adultes) ainsi que ses dangers d’accoutumance aux écrans dans notre monde.

 

Thierry BRET

 


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Sans chauvinisme aucun, force est de reconnaître, que bien souvent, désormais, nos entrées de ville sont d'une rare mocheté (en la matière,  Sens et Auxerre ne font hélas point exception !), les coulisses de notre pays sont aussi jolies qu'accueillantes. Dans le Rhône, la route départementale entre Villefranche-sur-Saône et Tarare nous permet entre autres, d'admirer les pierres dorées en terre du Beaujolais. Tournant la tête à gauche, mais aussi à droite, tout y est beau ! Quel plaisir !

 

LEGNY (Rhône) : Soudain, avec un brin de malignité survient l'heure du déjeuner. Parfois, l'estomac sait le rappeler aussi. Mais en la matière, les choses deviennent parfois quelque peu ardues. Elle était bien jolie cette auberge du vignoble, hélas fermée à tout jamais dans ce petit bourg, tandis que dans le village suivant « Le Relais Beaujolais » est en fermeture hebdomadaire. Mince alors...

 

Le « 500 », pour 500 bornes depuis Paris ?

 

C'est alors, que proche du énième rond-point, on aperçoit nombre de fourgonnettes stationnées. On a l'impression que maçons, plaquistes et autres peintres s'y sont donné rendez-vous ! Il y a du monde au restaurant-bar, « Le 500 » (peut-être à « 500 bornes » depuis la capitale !) tenu par Cédric et Franck PROST, deux frangins sûrement !

Une petite table est disponible, en ce jour estival ensoleillé - si, si ! - alors installons-nous, tandis que les bécanes, elles aussi, se reposent. Les serveuses s'activent avec brio, en apportant des assiettes copieuses, signature de la maison. La formule déjeuner est à 18 euros, avec des lasagnes ce midi-là ! La carte fait la part belle à la viande, onglet de bœuf à 23 euros ou foie de veau à 25 euros. Le tout, région oblige, est accompagné d'un petit pot (46 cl) de beaujolais, vin agréable s’il en est.

 

 

 

Une réputation qui n’est plus à faire localement



Avouons sans ambages, que ce n'est pas d'une grande finesse - ce n'est pas l'endroit ! – mais, c'est bon ! L'onglet est impeccablement saignant, tout comme le foie de veau rosé. Un brin de persil sur la viande n'eut pas dérangé ! Mention bien pour la salade verte, assaisonnée à point. Sitôt débarrassée, la table est de nouveau occupée par des convives. La réputation locale de l'endroit n'est sûrement plus à faire.

En dessert, le chef pâtissier, c'est Franck ! Sa spécialité est le « pétillant framboise ». C’est un biscuit financier avec une compotée de framboises et de crème pistache. Cela tient au corps mais c’est bien ! A l'intérieur de l'établissement, le comptoir, lui non plus, ne désemplit pas.

Et adossé au « 500 », la gare de Bois-d'Oingt, avec la ligne Lyon-Paray-le- Monial, permet aussi d'y venir en train. Rendons grâce à ces valeureuses petites adresses, qui année après année, tendent à disparaître, hélas. Merci au « 500 » et aux autres, aussi !

 

 

 

En savoir plus :

 


Les - : il y a un peu d'attente, mais bon, il y a du monde !


Les + : l'ambiance est typique dans ces nobles cantines de travailleurs !

 

Contact :

Le 500

Parking de la Gare

69620 LEGNY

Tel : 04. 72. 38. 07. 24.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Ils prennent tout deux du plaisir à être immortalisés sur le cliché. L’œil vif et toujours pétillant de l’un, la réelle complicité de l’autre ! Des amis de plus de soixante-ans ! Suffisamment rare pour être mentionné ! Durant toutes ces décennies qui nous séparent de leur première rencontre, datant de 1963 sur un complexe sportif à vocation footballistique, à aujourd’hui, ils ont nourri de véritables liens affectifs. Logique, alors, que l’emblématique figure de l’AJ Auxerre soit le témoin d’honneur de la cessation de toutes activités du docteur Serge TCHERAKIAN au sein de la vénérable association, « TAB’AGIR » !

 

AUXERRE : Leur amitié n’a pas pris une ride. Inexorable, face au temps qui passe. Alors, à chaque occasion où ils se rencontrent, les retrouvailles n’en sont que plus savoureuses. Presqu’un clin d’œil succulent à déguster avec délectation, lors de ces moments agréables que l’existence peut nous réserver ! 

Deux poids lourds de la vie associative auxerroise, ensemble. Que dis-je, deux monuments ! Les retrouver cote à cote le temps d’une cérémonie évènementielle n’aura été que pur bonheur pour celles et ceux qui auront eu la chance d’y participer. C’était il y a quelques jours, dans cet antre de la convivialité et de la qualité de la réception que représente cette belle maison qui se nomme « Le Normandie ». Un établissement familial à la tenue parfaite…

 

Une complicité au service des actions altruistes

 

Le cadre idoine, donc, pour cet instant de félicité que n’oublieront jamais les composantes de cette association, « TAB’AGIR », à commencer par sa directrice, Françoise AMELOT. Mais, de cela, nous reparlerons !

Là, dans l’immédiat, c’est ce duo de « magiciens » (chacun à leur manière, l’un au service de la santé de nos concitoyens, l’autre pour nous enchanter à partir d’un ballon rond) qui nous importe !

Guy ROUX et Serge TCHERAKIAN ! Serge TCHERAKIAN et Guy ROUX ! L’un qui ne va pas sans l’autre, sur l’échelle de l’altruisme, de la solidarité, de l’entraide et de l’humanisme. Combien de manifestations caritatives ont-ils organisé ensemble pour venir en aide aux malades du cancer ou pour rappeler que le tabac n’est pas vertueux pour l’humain ?

Toujours alerte et prolixe dans le fil de ses pensées, Guy ROUX narrera quelques anecdotes croustillantes dont il aime livrer la teneur en société.

« Ils nous arrivent de nous retrouver pour faire des facéties en essayant de gagner un peu d’argent pour une noble cause, se souvient l’homme au célèbre bonnet bleu – il ne le portait pas ce jour-là ! -, on a vendu mes vélos et on a fait une grosse réussite en termes de gains comme si on était des professionnels de la vente aux enchères ! ».

 

 

 

La chasse à la cigarette parmi les joueurs…

 

Puis, avec un brin de pudeur, l’ex-coach de l’AJJ Auxerre avouera avoir fumé. Mais, il rectifiera très vite ses propos : « en fait, j’ai fumé deux cigarettes dans ma vie, rassura-t-il, le jour de mes 14 ans avec les Américains dans les camps militaires. Cela ne m’a pas plu et cela m’a guéri pour la vie ! ».

Pourtant, dès les débuts de sa glorieuse carrière d’entraîneur dans cet univers du football qu’il chérit tant, Guy ROUX est alors confronté entre 1961 et 1963 à la prolifération du tabac parmi les sportifs. « Tous les joueurs fumaient ! ». Malgré la morale que le coach pouvait apporter à ses protégés.

« Il était interdit de fumer dans les lieux de vie où les joueurs se retrouvaient ensemble… ».

Mais, des regrets ont refait surface à l’amorce de cet échange que l’invité d’honneur a relaté devant un public à l’écoute studieuse. Des remords pour une catégorie de joueurs que Guy ROUX avouera avoir lui-même un peu négligé dans ce contrôle strict au tabagisme sportif : les gardiens de but.

« Parmi les cinq grands gardiens de but de classe internationale qui ont transité par l’AJA, j’en ai perdu deux à cause du tabac, souligne d’une voix triste Guy ROUX, Bruno MARTINI, décédé d’une crise cardiaque et Marian SZEJA (champion olympique pour la Pologne en 1972) qui fumait beaucoup en arrivant de son pays… ».  

 

La fierté d’avoir mené des campagnes de sensibilisation communes

 

Une erreur que regrette encore Guy ROUX, avec profonde humilité. Un Guy ROUX qui se sera beaucoup investi aux côtés du docteur Serge TCHERAKIAN alors président de la Ligue départementale contre le Cancer.

« Je suis fier d’avoir aidé le docteur à partager un peu de ses campagnes de sensibilisation, conclut l’éternel coach de l’AJA, cela va m’aider quand je me présenterai en haut avec un petit bagage ! ».

Une ultime note d’esprit que ne manqua pas de relever l’assistance en riant à gorge déployée ! Y compris le complice de toujours, un docteur Serge TCHERAKIAN, ému sans doute jusqu’aux larmes…

 

Thierry BRET

 


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