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INITIACTIVE 89 a organisé pour la première fois une rencontre entre entrepreneurs et investisseurs, lors du concept « Adopte ma boîte ». Accueillis dans la salle Marie-Louise Fort de l’Amphi, sept start-ups ont pu ainsi « pitcher » en présentant leurs structures devant un jury.

 

SENS: La directrice d’INIACTIVE 89, Angélique COEURDOUX, souhaitait créer un lieu de rencontres et d’échanges pour les entrepreneurs et les investisseurs. De cette volonté est née la toute première édition du projet « Adopte ma boîte », un événement un peu à l’image de l’émission « Qui veut être mon associé ? ». L’animation recevait 140 convives pour l’occasion, parmi eux, les élus du territoire, des partenaires et une vingtaine d’investisseurs. Animée par Marouane MARCHOUD, lui-même entrepreneur, cette session était aussi l’opportunité pour les start-ups de se démarquer devant un jury composé d’investisseurs afin d’obtenir des fonds pour financer leur projet.

 

Sept start-ups face à un jury

 

Au total, quarante entreprises avaient retenu l’attention d’INIACTIVE 89 dont sept qui ont pu défendre leur projet pendant cinq minutes. La société CoachEo, créée par Amélie DARNAT il y a deux ans et basée à Dijon, développe un logiciel métier pour les coachs sportifs. En lice également, la société MODULATIO conçoit et fournit une technologie qui permet de réduire la quantité de matières premières. « Nous tirons parti du meilleur et du plus ancien bureau d’étude qui existe : la nature elle-même » confie Ximena WALERSTEIN, co-fondatrice de la start-up auxerroise aux côtés de Romuald VIGIER.

 

 

 

« Les COGITEURS » remportent la palme !

 

La lauréate de la soirée fut finalement l’entreprise « Les COGITEURS » créée en 2022, située à Epernay (Marne). Sa dirigeante Valérie ROQUES a perçu cette soirée comme « un coup de booster ».

« Voir d’autres personnes, écouter d’autres projets qui sont incroyables » lui a donné l’impression « de faire partie d’un plus grand tout ». « Mon expertise est à la fois dans le management et dans la pédagogie auprès des enfants » confie la cheffe d’entreprise qui travaille avec une équipe de huit personnes dont une nouvelle animatrice scientifique.

La structure propose un magazine, assorti d’un kit pour réaliser deux expériences scientifiques destinées aux enfants de 8 à 12 ans. « Beaucoup d’écoles se sont abonnées au magazine » confie Valérie ROQUES qui évoque aussi le manque de culture scientifique des élèves de primaire dont un rapport de l’Académie des Sciences faisait état en novembre 2020. Aujourd’hui, l’objectif est donc de financer le développement de kits d’ateliers adaptés au milieu scolaire.

 

Floriane BOIVIN

 

 


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Malgré les idées reçues, la France n’est pas le pays où l’on fraude le plus. Même si l’imposition est la plus forte. Jusqu’ici, l’OCDE dénonce en permanence, les abus des fraudes fiscales en tout genre, mais semble très impuissante à résoudre le problème. Les paradis fiscaux se développent : îles Vierges britanniques, îles Caïmans et les Bermudes, pour les plus importants. Quant à la crise économique, sur fond de guerres et de crises financières potentielles, elle ne va pas inciter les protagonistes de la fraude fiscale à s’amender…

Au XVe siècle, une fiscalité royale permanente (taille, aides, gabelle essentiellement) s'est imposée. L'expansion des échanges, les créations fiscales sont généralement dues en monnaie. Seuls les prélèvements anciens (seigneuriaux, dîme) restant acquittés en nature. La Révolution supprimera les impôts seigneuriaux et ecclésiastiques.

Avec l'affirmation de l'absolutisme royal au XVIIe siècle, le poids de la fiscalité ne cesse d'augmenter. Les plus grands fraudeurs seront les fermiers généraux, qui détournent à leur profit une part de la collecte des impôts dus au roi. FOUQUET fut la plus brillante illustration de cette infamie sous Louis XIV. La situation fiscale est bouleversée en 1914 avec la création de l'impôt sur le revenu, qui vise à ponctionner davantage les revenus importants, et l'apparition de la déclaration de revenus.

Lorsque la monnaie fiduciaire circulait beaucoup, commerçants et artisans préféraient être réglés en liquide : ils échappaient ainsi, pour la facture, à la TVA et à l’impôt. Le problème, c’est que jusque vers la fin des années 70, le fisc se mettait systématiquement en dehors des règles constitutionnelles : « vous avez fraudez de 18 % », et le commerçant de répondre : « non ! ». Le fisc opérait alors un redressement automatique (il possédait des barèmes par profession), en arguant du fait que ledit commerçant devait prouver le contraire. Le président Valéry GISCARD d’ESTAING mit fin à cette incongruité juridique. Le problème, c’est qu’à l’époque, ne pas tricher d’au moins le taux arbitraire de l’administration, aurait été un acte de mauvaise gestion !

Le pli était pris et dans certains secteurs, les dyslexiques des déclarations fiscales confondaient allègrement la répartition de la fraude : 18 % déclarés et 82 % sous la table… Les commerçants-artisans concernés plaçaient l’argent illicite sous forme de bons de caisse au porteur et le réinvestissaient dans leur résidence principale : ils achetaient les matériaux et payaient leurs collègues artisans au « black ». L’argent sale était ainsi recyclé dans les mêmes circuits illégaux.

 

Évasion fiscale ou fraude : quelle situation ?

 

L’Observatoire européen de la fiscalité (EU Tax Observatory), hébergé par l’École d’économie de Paris, a publié un rapport sur l'évasion fiscale à l'échelle mondiale. Il apparaît que, si la fraude fiscale est caractérisée par des pratiques clairement illégales, d'autres pratiques « se situent dans une zone grise sur le plan légal, entre l'optimisation fiscale et l'évasion, comme le déplacement des bénéfices vers des sociétés-écrans sans substance économique ». Elles permettent aux acteurs économiques qui ont le plus profité de la mondialisation de réduire encore davantage leurs taux d'imposition, ce qui diminue les recettes gouvernementales et accroît les inégalités. En 2021, l’optimisation fiscale représentait en France près de 180 milliards d’euros. En 2023, la fraude concernant les impôts directs et réclamés par le fisc s’élevait à 14 milliards.

Par exemple, en utilisant fréquemment des sociétés-écrans pour échapper à l'impôt sur le revenu, les milliardaires du monde entier bénéficient de taux d'imposition effectifs allant de 0 à 0,5 % de leur patrimoine. Le rapport estime cependant que l'évasion fiscale offshore a été divisée par trois au cours des dix dernières années grâce à l'échange automatique d'informations bancaires.

À propos du taux d'imposition minimum mondial de 15 % sur les multinationales qui avait été décidé en 2021, le rapport regrette l'adoption de nombreuses dérogations qui ont affaibli fortement sa portée !

La lutte contre la fraude fiscale, quant à elle, concerne principalement les entreprises car les particuliers, eux, ont moins de marge de manœuvre pour frauder (surtout depuis la mise en place du prélèvement à la source). La fraude la plus identifiée est celle à la TVA où les entreprises gonflent le montant de la taxe à se faire rembourser par l'État.

 

 

La fraude fiscale représente en France entre 80 et 100 milliards d'euros

 

Il est très difficile de chiffrer précisément le phénomène, mais ce qui est certain, c’est qu’il se compte en milliards d’euros. Entre 80 et 100 milliards d’euros, selon le syndicat solidaire des Finances Publiques. Chaque année, le manque à gagner serait compris entre 20 et 25 milliards d’euros, selon les estimations de l’INSEE. Et sur cette somme, seulement 2,2 milliards d’euros ont été recouvrés par l’administration fiscale, un montant en hausse mais qui reste inférieur aux montants non payés. Contrairement à de nombreux pays, la France ne dispose d'aucune évaluation rigoureuse de la fraude fiscale, ni même de « l'écart fiscal » (estimé en 7 et 27 milliards), tel est le constat formulé par la Cour des Comptes.

La fraude se confond de plus en plus avec l’évasion fiscale mais concerne surtout les grandes entreprises et les plus riches ! Nos braves commerçants et artisans n’ont quasiment plus aucune possibilité de frauder. Ils doivent s’informer de toutes les possibilités offertes par le code des impôts, aux fins de prendre en compte les avantages liés aux exonérations, aux abattements, à la meilleure optimisation liée au statut juridique (nom propre, société, et quelle forme, montages juridico-financiers…). Les syndicats professionnels, l’expert-comptable, le notaire, les consultants peuvent accompagner le conseil. C’est plus judicieux que de pratiquer des comptabilités occultes et parfois, pour des café-restaurants, des caves secrètes pour entreposer les denrées et le vin. C’était vrai jusque dans les années 70.

Il existe aussi la fraude sociale, les salariés non déclarés, dont le coût pour l’Etat est estimé à plus d’un milliard d’euros. L’argent de la drogue représente le recyclage le plus important sur la planète. Les fameux narcodollars atterrissent dans les paradis fiscaux et réapparaissent grâce à des « lessiveuses » : une société écran qui intègre du chiffre d’affaires avec des clients fictifs : cafés, restaurants et casinos. Ces derniers semblent un lieu de prédilection pour la mafia et autres trafiquants : ces établissements sont pourtant soumis au contrôle permanent de la police et des RG…

Le fisc sait aussi s’adapter. Durant ma période bancaire, j’ai pu ainsi participer à une opération plutôt anecdotique : afin d’enlever un important marché de construction, une société française devait verser un « bakchich » de cinq millions de francs. Les cinq millions comptés par mes soins étaient passés en douane avec l’agrément fiscal, estampillé, « fraude permise » !

Cependant, ledit montant ne pouvait pas être intégré dans les charges et représentait un coût pour l’entreprise. Ce n’était pas perdu pour tout le monde : personne n’était dupe, sur les cinq millions, à la sortie, il y en avait réellement trois pour le commanditaire et deux pour le dirigeant de l’entreprise bénéficiaire…

Autres temps, autres mœurs ! Aujourd’hui, les techniques de fraudes ou d’optimisations atteignent des degrés de sophistication jamais égalés, IA oblige…

Lors d’une conférence co-animée par un économiste et un cadre de Bercy, un auditeur intervint : « le contrôle fiscal coûte plus cher que ce qu’il rapporte ! ». Réponse du fisc : « oui, mais imaginez ce que ça coûterait s’il n’y en avait pas ! ».

         

Jean-Paul ALLOU

 


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De la fierté. Des compliments, aussi. De la part des parents qui encouragent, en toute logique, leur progéniture. Elles et ils, ont réussi leurs examens. En l’occurrence, elles, puisque c’est bien du concours « Un des Meilleurs apprentis de France » catégorie esthétique dont il s’agit. Une épreuve consacrée à la sélection départementale qui s’est disputée dans le saint du saint de l’excellence en matière d’apprentissage, le CIFA de l’Yonne.

 

AUXERRE ; Ils ont de quoi être fiers les parents des candidats du concours « Un des Meilleurs apprentis de France », de la catégorie esthétique. La sélection départementale de l’épreuve qui se déroulait dans les locaux du CIFA de l’Yonne, le centre interprofessionnel de la formation par l’apprentissage, a tenu toutes ses promesses avec quatre jeunes filles qualifiées pour le concours régional de Bourgogne Franche-Comté sur les six lauréates ayant obtenu une distinction. Précisons que treize prétendantes au sacre se lançaient sur la grille de départ.

Un concours dont les récompenses et les encouragements oraux furent prononcés par le président départemental des MOF, Marc LABARDE, toujours affublé de sa célèbre écharpe rouge, sa griffe vestimentaire qui porte chance aux candidats de l’Yonne visiblement.

 

Les résultats

Lucie POQUEREAU, institut Citron Vert, médaille d’or

Adèle GUEGAN, institut Yves Rocher, médaille d’or

Capucine BERTRAND, institut Yves Rocher, médaille d’argent

Alicia OUDART, institut Pur Elégance, médaille d’argent

Rachelle SAIB, institut Yves ROCHER, médaille de bronze

Lauren BONGIBAULT, institut Azur Bien Etre, médaille de bronze.

Les quatre premières obtiennent leur billet pour le concours régional.

 

Thierry BRET

 

 


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Ce n’est pas un centre de formation ordinaire. Ici, sur le vaste site implanté à Appoigny, on y parle de transport routier, de logistique, de marchandises à affréter, de CACES, de matières dangereuses, de manipulation de chariots, etc. De transport de voyageurs, aussi. Mais, avec le retour du mois d’avril, le centre AFTRAL auxerrois va mettre l’accent sur un tout autre sujet, propre à l’actualité sportive ; les Jeux Olympiques. Lors d’une opération bien particulière qui se déclinera le 06 avril prochain, à partir de 09 heures…

 

APPOIGNY ; Nom de baptême du chantier élaboré depuis plusieurs mois par les responsables du centre de formation transport et logistique de la place, « AFTRALYMPIQUES ». Un jeu de mot non dénué d’humour, faisant référence directe et subtile avec l’actualité sportive qui nous attend cette année en France, les Jeux Olympiques de Paris.

Samedi 06 avril, en matinée, sera donné le coup d’envoi de cette animation spécifique, première du nom et pour cause au vu de la rareté du fameux évènement sportif international. Le centre AFTRAL devrait connaître l’effervescence des grands jours, similaire aux journées où se déroulent les examens.

Toutefois, que l’on ne s’y méprenne pas. Derrière le côté fantaisiste de la chose, réaliser une série d’épreuves théoriques et pratiques sur une journée supposée riche en émotions, se cache un rendez-vous bien tangible, celui-là, qui servira de notation dans le cadre du CAP Conducteur routier en marchandises, un examen.

Formateurs et apprenants seront placés à la même enseigne ; c’est-à-dire qu’ils participeront avec cet état d’esprit de réciprocité et de partage aux épreuves. Une première, en somme, qui dynamise déjà les futurs candidats. Un peu l’application concrète de la célèbre formule que l’on doit au baron Pierre de COUBERTIN, « l’essentiel est de participer… ».

Répartis en équipes de quatre à cinq candidats, élèves, formateurs et tuteurs joueront le jeu. Afin de se surpasser lors des épreuves qui comprendront des quizz, une évacuation en situation d’urgence d’un autocar, un test de connaissance du code de la route, un plateau sur le CACES, des exercices à concevoir avec l’aide des deux simulateurs dont est pourvu le centre de l’Yonne. Au total, six défis qui permettront de départager les meilleurs, on s’en doute mais aussi de donner un maximum de points, bien réels ceux-là, afin d’obtenir le CAP, précieux sésame qui conduit vers l’avenir professionnel.

Précisons, et cela mérite aussi un cocorico pour la prise d’initiatives, que le centre de formation AFTRAL d’Auxerre est le premier à l’échelle de l’Hexagone à proposer une telle manifestation. Un concept qui pourrait être dupliqué sur les autres structures que compte cet acteur de la formation pédagogique en France, soit plus de 135 accueillis aux quatre coins du territoire national.

Si le jeune Guillaume NARCY – il est un des alternants à suivre ce CAP Conducteur routier marchandises en prenant part à cette épreuve originale – se charge de la communication et des relations presse autour de l’évènement, c’est la formatrice de référence du centre icaunais, Sophie THEVENET qui en pilote le déroulé et le contenu.

Des « AFTRALYMPIQUES » qui ne devraient pas manquer de piment lors de cette journée où les familles et les amis sont invités à venir encourager dans un cadre festif les jeunes champions…La flamme est déjà allumée chez AFTRAL Auxerre.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 

 


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La connaissance de l’eau à distiller dès le plus jeune âge, cela coule de source chez VEOLIA. Eduquer aux gestes salvateurs pour la planète – l’économie d’une ressource naturelle qui va aller en se raréfiant à l’avenir – les enfants dès la maternelle et le primaire pour qu’ils servent de courroie de transmission auprès de leurs parents et leur environnement familial est un fin calcul sur lequel l’opérateur a décidé de miser en Bourgogne Franche-Comté. Grâce à une mallette au contenu pédagogique qui a été testée aux côtés du SIVOM du Gâtinais. Explications…

 

VILLETHIERRY ; C’est presque une mallette diplomatique. Avec un contenu plutôt éclectique dans les tests et expériences à réaliser que les enseignants peuvent mener auprès de leurs jeunes élèves en classe afin de les éduquer à préserver, voire à économiser, cette ressource naturelle si nécessaire à l’homme, l’eau. Là, où on est surpris en qualité d’observateur de l’initiative, c’est la cible visée. Des enfants, certes, mais pas ceux qui fréquentent les collèges ou les lycées, mais bel et bien ceux du primaire, voire de la maternelle.

Une sacrée initiative que pilote VEOLIA et ses équipes en Bourgogne Franche-Comté. Une animation qui repose sur cette mallette offerte par l’entreprise gestionnaire de l’eau au…SIVOM du Gâtinais. Pour les amateurs d’explication d’acronymes, le Syndicat intercommunal à Vocation Multiple, pour celles et ceux qui avaient déjà oublié.

 

 

Eduquer les plus jeunes pour qu’ils en parlent à leurs parents

 

D’ailleurs, la représentante de la structure, en l’occurrence sa présidente, Christine AITA, ne manque pas une miette des explications fournies par Thierry CHANUSSOT, directeur du territoire Nord-Bourgogne de VEOLIA. Carte façon planisphère à l’appui, ce dernier en bon pédagogue explique la situation de l’eau à l’échelle du globe. L’eau douce disponible par habitant sur la Terre. Et à bien regarder la carte dépliée par notre interlocuteur devant les yeux intéressés des institutrices de l’école maternelle de Villethierry, il y a du souci à se faire pour certains des pays du continent africain ou du Moyen-Orient. La guerre de l’eau est déjà dans tous les esprits ; le réchauffement climatique et son aggravation n’arrangent rien en matière de crise géopolitique qui risque de poindre son nez dans l’échiquier planétaire.

Alors, éduquer les plus jeunes des générations de cette véritable problématique qui va vraiment s’accélérer dans les années à venir n’est peut-être pas le moindre mal.

Les enseignantes posent des questions sur le contenu de cette mallette magique qui propose pipettes, fioles, et ustensiles utiles à des prélèvements. Une manière ludique de découvrir le cycle de l’eau, tel un mini-laboratoire portatif puisque facile à manipuler. Commentaires de Thierry CHANUSSOT durant son exposé aux représentantes du SIVOM et aux enseignantes, « cette mallette pédagogique permet à l’élève de suivre une vraie démarche scientifique, basée sur l’observation, la formulation d’hypothèses, et la validation par l’expérience… ».

 

 

Une quinzaine d’expériences à réaliser avec la mallette…

 

Joindre l’utile à l’agréable donc autant pour les institutrices que nos chères têtes blondes (ou brunes) qui vont accroître leurs connaissances autour de cette matière liquide indispensable à la vie.

Si d’ordinaire, le public visé par ce genre d’initiative se situe davantage vers le secondaire en mode 6ème et 5ème, VEOLIA a voulu tester avec la bénédiction du SIVOM du Gâtinais les bienfaits de cette malle à la Houdini dans les classes inférieures, notamment les cours moyens et élémentaires. Même les maternelles, avec un langage adapté, ont pu bénéficier de cette session pour le moins enrichissante de perles et paroles d’enfants. In fine, ce sont trois écoles à Domats, Villebougis et Villethierry qui ont ainsi pu profiter de ces séances explicatives, et leurs écoles de ces mallettes prêtes à l’emploi.

Des mallettes offertes, rappelons-le, par VEOLIA Eau, aux écoles des collectivités dont les services aquatiques sont gérés par l’opérateur hexagonal.

Une quinzaine d’expériences se rapportant à l’état de l’eau, sa potabilité, son transport peuvent ainsi être tentées en cours durant la période scolaire. Une judicieuse idée qui ne demanderait qu’à être dupliquée dans les autres SIVOM de l’Yonne. Voire à destination des plus grands et notamment des adultes, grands gaspilleurs de la ressource au quotidien, comme chacun le sait…

 

Thierry BRET

 


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