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« Si tu ne viens pas à Lagardère, c’est Lagardère qui ira à toi ! ». La direction de l’établissement public local (EPL) de VENOY s’est-elle inspirée de la célèbre maxime extraite de l’œuvre livresque de Paul FEVAL (« Le Bossu ») pour concevoir les premières portes ouvertes numériques de son histoire ? Toujours est-il que ce samedi 16 mai, en visioconférences, les futurs élèves, leurs familles mais aussi les adultes en quête de formations qualifiantes auront l’opportunité de s’immerger parmi les quatre établissements agricoles du groupe.

VENOY : Prévues initialement à la mi-mars, les traditionnelles portes ouvertes de l’EPL des Terres de l’Yonne auront fait chou blanc cette année. A la suite de leur annulation imputable à l’épidémie de coronavirus qui a placé le territoire en une longue période de confinement.

Un crève-cœur manifeste pour l’établissement public local. Celui-ci regroupe quatre structures pédagogiques à vocation agricole : le lycée de La Brosse (311 apprenants étudiants et élèves confondus), le lycée professionnel agricole de Champs-sur-Yonne (210 élèves), le Centre de formation professionnel pour adultes (CFPPA) qui accueille près de 700 personnes, et le Centre de formation par l’apprentissage (CFA) de l’Yonne, et ses 86 apprenants.

Or, qu’à cela ne tienne, et en faisant fi des péripéties qui l’avaient obligées à annuler l’opération, la direction du groupe a décidé de reconduire ses portes ouvertes mais de manière virtuelle ce samedi 16 mai en matinée et en après-midi.

Objectif de l’animation qui se veut inédite dans sa forme : présenter les arcanes pédagogiques des différentes structures à travers ses divers cursus afin de préparer la future rentrée. Celle de l’automne, il va sans dire.  

 

 

A chaque site, ses codes et mots de passe dédiés…

 

Pour se faire, il suffit de consulter les références de chacun des établissements à découvrir pour y trouver les informations nécessaires qui expliquent ce dispositif numérique ingénieux.

Le programme détaillé des visioconférences y est dévoilé. Il sera également possible de s’entretenir par visioconférence depuis votre fauteuil avec les enseignants.

Sachant que seul le CFA agricole assurera une séance de découverte en présentiel, samedi en matinée, dans le respect des gestes barrières et des mesures de protection d’usage.

En savoir plus :

Lycée La Brosse 

Lycée de Champs-sur-Yonne

CFPPA

CFA


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Ce nouvel outil consultatif initié par les services de l’Etat aura pour vocation de réaliser un diagnostic précis des attentes et besoins des professionnels à l’arrêt depuis huit semaines. C’est la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois Cécile RACKETTE qui aura la responsabilité de coordonner et d’animer ce comité ouvert aux institutionnels et acteurs économiques de la filière…

AUXERRE : Préoccupé par la situation très délicate dans laquelle se situent aujourd’hui les professionnels du tourisme de notre territoire, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST a décidé de créer un comité ad hoc permettant d’analyser en profondeur la pertinence exacte de la situation.    

Le représentant de l’Etat vient d’en confier la responsabilité à la sous-préfète de l’Avallonnais et du Tonnerrois Cécile RACKETTE. Cette dernière animera et coordonnera ce nouveau dispositif de veille.

Celui-ci aura pour objectif d’aider et d’accompagner les professionnels de ce secteur très impacté par la présence de l’épidémie dans la lente reprise de leurs activités.

A l’instar de la cellule économique générique et de celle, spécifique aux métiers du BTP, ce comité réunira l’ensemble des représentants de la filière professionnelle du tourisme.

S’y retrouveront associés de facto l’Etat, la Région Bourgogne Franche-Comté, la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne ainsi que l’agence de développement économique, Yonne Tourisme, présidée par Anne JERUSALEM.

Ce comité procèdera à sa première séance de travail la semaine prochaine.

Il aura pour mission de réaliser un diagnostic précis du contexte et d’apporter des éléments de réponse au redémarrage des activités touristiques dans le département.

D’ores et déjà, et selon le plan de sortie de crise qui a été présenté récemment par le Premier ministre Edouard PHILIPPE, on sait à titre d’exemple que les « petits musées » auront la possibilité de rouvrir leurs portes à l’approche de la période estivale.

Etudier les moyens d’action qui favoriseront les professionnels du tourisme à sortir la tête hors de l’eau sera l’une des prérogatives de cette cellule…

 

 


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Se constituer une base de données analytique de référence pour mieux répondre aux exigences des transformateurs de céréales et à leurs producteurs est le chantier dans lequel s’est engagé avec enthousiasme l’entrepreneur Fabien MAURICE depuis la reprise de cette SAS en 2018. Alors que se peaufine la future récolte céréalière, cet ingénieux professionnel utilise le modernisme à bon escient (laboratoire, site multimédia…) pour créer une dynamique novatrice dans la filière pouvant s’extérioriser à l’Hexagone…

CHABLIS : Quelques jours avant le début de la période de confinement, une réunion d’information sur la commercialisation des grandes cultures bio, réalisée directement depuis la ferme se déroulait dans les locaux de la structure professionnelle pilotée par Fabien MAURICE. 

Une opportunité pour présenter à l’ensemble de la filière céréalière mais aussi à ses transformateurs les potentialités offertes par IDENTITE CEREALES qui est une structure novatrice à bien des égards.

La société date de 1995. Mais, son rachat survenu en 2018 par son nouveau dirigeant va lui donner un sérieux coup de booster au niveau de son activité. Le lancement de l’application multimédia, « Le Grenier d’Identité » la saison dernière, constitue déjà une réponse limpide apportée à l’ensemble de la filière.

L’outil n’est autre qu’un inventaire en ligne de l’état des stocks en ferme des producteurs de céréales. Des stocks issus de la totalité des variétés de blés analysés à la moisson, conservés et identifiés dans les fermes.

On l’aura compris, ce sont autant de précieuses informations qui sont ainsi répertoriées et distillées vers les transformateurs de ces produits, en particulier les meuniers. 

A partir de l’automne, cette base de données sera utilisable en accès libre pour la profession. Si la reconnaissance de l’outil commence à bien circuler en Bourgogne Franche-Comté, ses consultations devraient s’étendre à d’autres territoires d’ici peu. Tant les analyses réalisées sur les céréales sont pertinentes et utiles à la corporation.

 

 

Un programme 2.0 de vente sur mesure entre producteurs et transformateurs…

 

Parmi celles qui sont réalisées dans le cadre du programme « MIXOLAB », à partir d’un matériel d’analyses de dernière génération et dont le financement a été soutenu par la Région, citons les cultures suivantes qui servent de réflexion aux travaux engagés : le blé (étude de l’humidité, des protéines, des impuretés…), l’orge (calibrage, humidité, protéines, impuretés…), le colza (impuretés, taux d’huile, humidité), l’avoine (humidité et impuretés), le triticale (idem), les pois (humidité, impuretés, couleur, bruches…) ou encore d’autres graines où des procédés d’analyse par spectrométrie sont employés.

L’ensemble des lots analysés intègre alors la fameuse bibliothèque de référence dans laquelle l’exploitation est identifiée selon les certifications qu’elle a obtenues.

Cette reconnaissance de la qualité des produits stockés en ferme favorise ensuite la commercialisation des céréales qui est abordée en direct entre les acquéreurs (meuniers, exploitants portuaires, exportateurs) et les producteurs céréaliers.

Des opérations réalisées avec l’aide et l’accompagnement de la SAS de Chablis qui facilite cette interface dans la stratégie de vente et du contrôle.

Pour la panification, les meuniers peuvent ainsi sélectionner la variété la plus aboutie à leurs besoins selon un cahier des charges strict qui engloberait aussi le gain de temps. L’identification des lots de céréales étant immédiate, la consultation du site « Le Grenier d’Identité » offre la réponse appropriée à leurs exigences.

Mieux, grâce à ce catalogue éclectique numérisé, il est possible pour la meunerie de travailler à partir de variétés de blé aux caractéristiques très particulières, voire anciennes, et d’en avoir le suivi régulier dans l’approvisionnement.

On le voit, les perspectives de développement sont immenses pour IDENTITE CEREALES qui souhaite que la mutualisation de son outil informatif s’élargisse également aux courtiers.

L’année dernière, 350 lots de blés constituaient le référentiel de base. Il devrait en être d’autant cette saison. Demain, il y en aura davantage car la vocation de ce support digital est bien de se positionner à l’échelle de l’Hexagone.

Une opportunité heureuse pour l’organisme stockeur (agrément obtenu le 01er janvier 2017) qu’est devenue l’entreprise IDENTITE CEREALES.

Pesant aujourd’hui 4,5 millions d’euros de chiffre d’affaires, la SAS agréée bio en 2017 a bénéficié des précieux subsides de la Région et de BPI France dans le financement de son programme « MIXOLAB », un concept unique qui aura permis de placer cette entité aux trois collaborateurs sur une très belle orbite.

 

 

 


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Sur suggestion de la préfecture de l’Yonne, la Chambre d’agriculture s’est réunie il y a quelques jours pour faire le point sur les mesures à prendre afin de faciliter le retour à la normalisation dans le secteur de la viticulture. Avec au centre des interrogations qui persistent : la réouverture des caveaux individuels ou collectifs…

AUXERRE : Initiée par la chambre consulaire départementale, cette séance de travail aura permis d’entendre les représentants des différentes composantes de la viticulture icaunaise. A savoir les caves coopératives, les vignerons indépendants ainsi que les syndicats d’appellations.

Certes, les mesures vers un retour à l’existence normale ne sont pas encore connues dans leur globalité, mais une question taraude désormais les esprits des professionnels de la viticulture : qu’en sera-t-il exactement de la réouverture des caveaux individuels ou collectifs après la date butoir du 11 mai ?

Avant la période de confinement, nombre d’entre eux conjuguaient dégustation sur site et vente à emporter. D’où une manne financière à ne pas négliger pour les professionnels.

Depuis la mi-mars, la filière viticole souffre fortement du fait où les ventes de vins (notamment celles réalisées à partir de bouteilles) ont considérablement diminuées. Tant à l’export que sur le territoire national.

Compte tenu du respect des mesures de protection, de la distanciation sociale et des gestes barrières, les professionnels ne semblent pas enclins à réintroduire la pratique de la dégustation de crus au sein des caveaux. Un avis qui prend en considération les responsabilités de chacun vis-à-vis des consommateurs acheteurs mais aussi des salariés des établissements.

 

S’adosser sur les décisions des pouvoirs publics pour les débits de boissons…

 

Il ressort de cette réunion de travail plusieurs préconisations. Elles sont de deux ordres.

La première s’adosse aux décisions prises par les pouvoirs publics en matière de réouverture nationale des activités de débit de boissons et de restauration. Les principes mis en vigueur assortis d’adaptations spécifiques seraient alors repris pour conditionner la réactivation de la pratique de la dégustation dans les caveaux.

La seconde concerne la vente de vins en bouteilles qui ne pourra se faire uniquement en respectant les mesures usuelles de lutte contre le coronavirus applicables dans les commerces de détail.

Sur ce dernier point, les représentants de la filière viticole invitent tous les établissements icaunais identifiés à respecter scrupuleusement ces préconisations.

 

 

 

 


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Un grand nom de la cuisine gastronomique icaunaise vient de nous quitter en la personne du chef Charles GODARD, parti à  85 ans rejoindre Michel MORET, Bernard LOISEAU et Paul BOCUSE. Une vie bien remplie pour cet homme sympathique, chaleureux et charismatique aimant la chasse - point de bobos contestataires en la matière à l'époque !- et la pêche.

JOIGNY : Enfant de restaurateur, Charles fera son apprentissage à « l'Hostellerie de La Poste » à Avallon, triple étoilé Michelin sous la férule de M. HURE. On s'y délectait notamment de quenelle de homard à la crème et de poulet en civet au vieux Bourgogne !

Après-guerre, ses parents avaient repris le « Modern’ Hôtel » à Joigny, maison déjà mentionnée dans le Michelin après le premier conflit mondial. Avant la suivante, le chef AUDART fut étoilé dans le célèbre guide pneumatique !

En 1949, Charles et son frère Jean-Claude virent arriver l'étoile Michelin de leurs parents. On venait de loin, après des années de restriction et de tickets, déguster les rognons flambés Saint-Hubert ou le caneton au gratin. D’ailleurs, le palmipède marquera la cuisine de la famille GODARD avec notamment un plat d'anthologie : le canard à la Gaston GODARD.

Mais à la fin des années 50 survient un terrible drame familial. Gaston, son père, est assassiné « par erreur » par des activistes de l'OAS. Dès lors, Charles, épaulé par son frère et sa maman, armé de son courage et de son amour de la bonne cuisine, reprendra les fourneaux du « Modern’ Hôtel ». L’établissement sera étoilé au Michelin quarante-quatre ans durant jusqu'en 1993.

On venait de loin dans cette maison provinciale où il faisait bon vivre et déguster l'andouillette flambée, la truite fourrée  au fumet de Chablis (souvenir vraisemblable de son apprentissage) la cassolette d'escargots, le tournedos maison, le fameux canard, sans oublier de conclure ce festin par le « maillotin », une délicieuse pâtisserie.

 

 

Une figure emblématique qui aura donné naissance à de prometteurs talents…

 

Tenant d'une autre époque de la cuisine, Charles GODARD participa aussi à moult semaines de la gastronomie française à l'étranger. La fin des années 60/début 70 le vit se tirer gentiment la bourre avec Michel LORAIN de « La Côte Saint-Jacques » pour le plus grand plaisir des clients qui avaient délaissé la nouvelle autoroute A6 au profit de l'antique nationale 6 et faire étape à Joigny.
Personnalité locale, il fut notamment à l'origine de la création de l'Amicale des Cuisiniers de l'Yonne, aujourd'hui présidée par Daniel AUBLANC.

A Sens, Charles racheta « L'Hôtel de Paris et de la Poste » où son fils Philippe œuvra jusqu'à l'an passé.

Quant à sa fille Claire, elle dirige le « Paris-Nice » avec David, son époux. Aujourd'hui, il est bien triste de voir ce « Modern' Hôtel » de Joigny à l'abandon. Des générations d'icaunaises et d'icaunais s'y sont régalées.
Au revoir chef GODARD, reposez en paix !

Et à l'heure où chaque soir le personnel médical est applaudi, on ne peut qu'adresser un carton jaune à l'hôpital de Joigny, qui par une blâmable précipitation n'a pas permis à sa famille de faire vêtir élégamment le corps de leur cher défunt pour son ultime voyage…

Gauthier PAJONA

 


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