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Aux grands hommes, la patrie reconnaissante ! L'homme en tant qu'être humain, comme de bien entendu, mesdames ! Commençons par les précautions qui s'imposent en 2023. Originellement une église édifiée au XVIIème siècle - avant de devenir le temple de la Renommée - eut comme architecte, sûrement le plus célèbre des Irancycois. Bienvenue dans l'un des villages vineux icaunais les plus attachants, comme blotti ou enserré par son vignoble (AOC depuis 1998) qui en 2016 eut l'honneur d'accueillir la grande Saint-Vincent bourguignonne, organisée de bien jolie manière par Thierry R. et toute sa bande !

 

IRANCY : Comme tant de nos villages, Irancy (autour de 300 habitants) compta moult commerces. Un jour du temps passé, le truculent et regretté vigneron René CHARIAT m'en fit faire le tour : là antan un boucher, ici deux épiceries. Seul boutique de centre village désormais, « Le Soufflot », avec sa rougeoyante façade, se voit de loin.

On ne peut évoquer cet établissement, sans un mot sur son lointain fondateur : Fabien ESPANA. Ce dynamique petit-fils de vigneron - désormais chablisien -  imprima une belle âme à ce comptoir  bistrotier qui connut vite un succès aussi mérité que convivial.

Désormais, qu'on se le dise, « Le Soufflot », c'est un restaurant. Adieu joli comptoir ! L'ambiance de la salle et de ses imposantes tables, revêt - quoi de plus normal - un parfum vineux, et un rien de vigne parcourt la lumineuse verrière. Ne quittons pas Noé et Bacchus pour signaler la très jolie carte des vins des plus éclectiques.

 

 

Ah, cet œuf en meurette et son jaune étincelant dans l’assiette…


A l'accueil, sieur LAMELOISE - patronyme culinaire de choix s’il en est ! - est à son affaire. La gougère accompagnant l'apéritif est particulièrement onctueuse. En entrée, l'œuf meurette au ratafia est plutôt goûteux et son jaune qui coule étincelant. On se demande parfois, quel est le plat emblématique de notre Bourgogne. La réponse est là, me semble-t-il !

La carte par ce midi frisquet de février proposait un « Mont d'Or » chaud. Ce plat hivernal est délicieux, accompagné ici d'impeccables pommes de terre sautées et d'une salade verte bien assaisonnée (bravo, car cela devient rare). Mention bien aussi pour le délicieux pain qui est fabriqué par une jeune boulangère locale.

 

 

Notre maître d'hôtel propose alors de nous choisir le vin qu'il met en chaussette, en obturant l'étiquette. Je goûte et regoûte encore, les deux autres convives aussi. Je me hasarde : est-ce un cru du Beaujolais ? Notre sommelier rigole et pour cause !

Après la boulangère, la vigneronne Raphaëlle GUYOT (retenez bien son nom svp !). Il s'agit d'un vin de pays de l'Yonne, « Les Robinettes », du terroir de Puisaye-Forterre (commune de Treigny). Que Saint-Vincent se joigne à moi pour applaudir cette jeune passionnée, ancienne stagiaire du réputé domaine VERRET.

 

 

 

 

Un baba qui laisse pantois par sa qualité…

 

Le dessert devait conclure ce bon déjeuner : un original baba - pâte Savarin, ici faite maison -, ce qui se sent au palais. L'on échappe ainsi à l'aspect industriel et spongieux, avec du « Cointreau », alcool angevin fin et délicat, quelque peu oublié de nos jours. Ce n’est pas assez « in », ni « start-uper »…bref, trop franchouillard sûrement !

Ne quittons pas le domaine des spiritueux en trempant nos lèvres dans le gin onirique distillé dans le Tonnerrois par « VALOUR-LEMAIRE », nous y décelâmes un fort joli produit estampillé made in Yonne !

Dans ce bel estaminet, vineux et villageois, le jeune chef Romain - ancien élève du réputé lycée hôtelier Vauban - délivre une cuisine soignée et goûteuse. Faisons vivre ces commerces ruraux car désormais en France, 62 % des villages n'ont plus aucun commerce (ce chiffre n'était que de 25 %  voici quarante ans...). C’est triste mais hélas imparable. Raison de plus pour les défendre, lorsqu'ils sont là au quotidien. Car demain, il sera trop tard…

 

 

En savoir plus :

 

Les - : snif-snif, la disparition de l'usage de l'imposant comptoir !

Les + : l’atmosphère est plaisante. Une entrée, un plat et un dessert sont servis autour de 32 euros.

 

 

 

Contact :


Restaurant « Le Soufflot »

Irancy

Tel : 03.86.42.39.00.

Fermeture : dimanche soir, lundi


Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


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En exclusivité, nous avons pu goûter le nectar blanc 2021 du Domaine des SENONS, grâce à Thierry CHARPENTIER qui y œuvra au cœur des ceps replantés. Cette bouteille porte le numéro 140 sur les 856 produites…Une pièce de collection ?

 

SENS: Joli nez, une belle élégance, de la rondeur en bouche (petit bémol peut-être sur l’effet boisé un rien trop prononcé) : en tous les cas, ce vin est une bonne surprise et fort plaisant à la dégustation.

Il se dit que la bouteille serait vendue autour de trente euros. Ce n’est pas donné le prix de la rareté retrouvée !

 

 

Bravo en tous cas à ces courageux vignerons qui travaillent activement au retour de la vigne dans le Sénonais.

D’ailleurs, quelle belle vue depuis le chai implanté sur les hauteurs de Paron. Un bon restaurant y serait des plus légitimes, serait-on en droit de penser. Une suggestion à suivre de près…

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Voilà vingt ans, par un froid lundi morvandiau de février (le 24 précisément), l'emblématique cuisinier Bernard LOISEAU, établi à Saulieu en Côte d'Or, mit fin à ses jours, dans sa maison familiale, au cœur de cette bourgade qu'il affectionnait tant depuis un peu plus d'un quart de siècle. Pourquoi ? Comment ? Son terrible secret, cet homme fragile et attachant de 51 ans, l'emporta avec lui…

 

SAULIEU (Côte d’Or) : Ce midi-là, le service se déroula paisiblement. A son issue, le chef roula impeccablement son tablier. « A ce soir, chef ! » lui envoya Cédric, l'un de ses chefs de partie. Pour la dernière fois de sa vie, Bernard referma la porte de la cuisine, avant de rentrer chez lui, faire une petite sieste, l'une de ses habitudes coutumières...

Puis, après un temps de repos, ce chasseur saisit son fusil de chasse pour commettre l'irréparable. La suite, on s'en souvient. Médias et TV qui débarquent dans le Morvan, frappé au cœur du départ de ce truculent  personnage qui aimait la presse télé et radios.

Je me souviens parfaitement de ce lundi 24 février 2003. Ce jour-là, nous étions à Paris avec le chef sénonais Patrick GAUTHIER qui venait de décrocher deux étoiles au Michelin pour son restaurant «  La Madeleine » ainsi qu'un « bib » gourmand pour son bistrot du « Crieur de Vin », deux distinctions perdues depuis.

Après son interview depuis le plateau de « Gourmet TV », en direct du Salon de l'agriculture parisien, nous étions allés boire un ou deux verres d'Alsace, et tandis que nous sortions du salon, en passant le long du stand limousin, nous apercevions de plantureuses cartes postales illustrées d'une tête de veau. Sachant que Bernard appréciait ce mets - il allait parfois le déguster en famille à « L'Auberge Ensoleillée » de Dun-les-Places dans la Nièvre -, tout comme nous, c'est à l'unisson que nous lui adressions cette amicale missive, vers l'heure de son décès.

 

 

Un pied de romarin près de la pierre tombale…

 

Le lendemain, en découvrant l'horrible nouvelle, nous avons tous eu un peu la gueule de bois. Dans l'Yonne, où Bernard était fort connu, je me souviens d'une indicible émotion palpable. Ce personnage et ses expressions favorites (« Je suis au taquet, j’ai la niaque !») faisaient un peu partie de notre quotidien, tout comme sa bonne bouille.

Le vendredi 28, jour de son enterrement, nous sommes nombreux à déjeuner au sud de l'Yonne, à « L'Auberge des Cordois », sise à Sainte-Magnance, tenue par le cuisinier Sylvain GAUTHIER, désormais avallonnais. De cet enterrement, sous un beau soleil d'hiver, j'ai le terrible souvenir de Blanche, sa dernière gamine, qui tandis que le cercueil paternel quittait la basilique, s'accrocha alors à l'une des poignées en hurlant : « papa, papa.. ».

Bernard repose désormais au cimetière de Saulieu. Au pied de son impeccable pierre tombale, pousse un pied de romarin, l'une de ses herbes culinaires préférées. 

Dès le lendemain, Dominique, sa courageuse veuve, maman de trois enfants, encore mineurs (Bérengère, Bastien et Blanche), solidement épaulé par le chef Patrick BERTRON rouvrit l'établissement. C'était il y a vingt ans.

 

 

 

Un bref retour dans le passé, nous ramène alors au milieu des années 70. Bernard a 24 ans. Après son apprentissage chez « Troisgros » à Roanne, marqué par l’obtention des trois étoiles Michelin en 1968, il se promit alors d'y arriver le jour venu. 

Après une période parisienne à « La Barrière » de Clichy, il s’installe au « Relais de la Côte d'Or » au 2, rue d'Argentine à Saulieu. La maison eût un  glorieux passé, trois étoiles Michelin dès 1933 - année de leur création - avec le chef Alexandre DUMAINE, secondé par Jeanne, son épouse polyglotte.

 

 

Le vague à l’âme quelques jours avant son décès…


Mais, la maison dans laquelle s’investit Bernard est un peu défraîchie. Les étoiles Michelin se sont un peu envolées. Bernard et sa petite brigade se retroussent les manches et se mettent au boulot. En 1977, la première étoile Michelin est décrochée pour la salade d'écrevisses, les aiguillettes de canard aux pêches et le gâteau au chocolat. En 1982, Michelin double la mise pour le foie gras, le ragoût de homard et toujours les aiguillettes de canard. Bernard s'endette et rachète l'établissement. Arrive ensuite un jeune cuisinier depuis sa Bretagne natale : Patrick BERTRON.

Bernard et sa jeune épouse en veulent plus. Beaucoup plus. Ils vont s'en donner les moyens. 1982/1991 : sûrement la plus belle décennie de la carrière de Bernard, et sa cuisine très personnelle, tout près du produit. En 1991, le Michelin accorde trois étoiles au chef Bernard LOISEAU pour les grenouilles à la purée d'ail et jus de persil, le sandre rôti au vin rouge, ou encore le blanc de volaille de Bresse et foie gras au jus de truffe.

Vingt-trois ans après la famille Troisgros, Bernard entre dans la cour des grands. Ensuite, la maison se développa : Paris, Beaune,  la bourse. Cette vie trépidante et endettée le rendait-il heureux ? N'aurait-il pas aimé parfois, retrouver le tapis vert d'une partie de cartes avec son copain Jean DUCLOUX (cuisinier emblématique de Tournus) ou le plaisir campagnard d'une journée de chasse ?

Quelques jours avant son décès, M et Mme LOISEAU déjeunaient avec leurs amis BOCUSE à Collonges-au-Mont d'Or.  Paul remarqua alors le vague à l'âme de son ami bourguignon. Peut-être était-il déjà trop tard ?

On peut penser qu'il aurait été fier du devenir et du positionnement actuel du groupe LOISEAU, vingt ans après, en ce 24 février 2023, où l'on se souvient toujours du personnage avec autant d’émotion.

 
Gauthier PAJONA

 

 


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Muni d’une solide expérience dans sa besace – plus d’un quart de siècle lui ayant permis d’explorer moult aspects des politiques culturelles, artistiques, pédagogiques et touristiques -, le nouveau responsable du fameux site conceptuel vantant les glorieuses aventures de nos ancêtres les gaulois – confrontés à la puissance de César et à ses armées – vient de prendre ses marques, le 15 février du côté d’Alise-Sainte-Reine. Un sacré challenge après le fructueux épisode Michel ROUGER qui aura duré la moitié d’une décennie. Que Laurent BOURDEREAU est prêt à relever par Toutatis !

 

ALISE-SAINTE-RENE (Côte d’Or) : On ne présente plus la fameuse structure touristique de Côte d’Or qui aura accueilli encore plus de visiteurs que les années antérieures en 2022 ! Un site ludique, pédagogique, interactif, et technologique qui fait le bonheur des petits, et des plus grands. En famille ou entre amis. Et ce, depuis dix ans !

Jamais à court d’idées, ses dirigeants ont su faire évoluer ce lieu patrimonial qui offre l’heureuse opportunité à ses visiteurs de plonger dans l’histoire de notre pays, à l’époque où la France s’appelait encore la Gaule. Sacrés gaulois, d’ailleurs, qui n’avaient qu’une seule crainte : que le ciel ne leur tombe sur la tête !

Des gaulois, parfois réfractaires comme aime à le rappeler la présidence actuelle de la République dès la première manifestation revendicative venue, dont les aventures sont régulièrement remises au goût du jour via la magie de la bande dessinée (merci à Albert UDERZO et à René GOSCINNY et à leurs successeurs !) ou plus récemment sur le grand écran avec les énièmes épisodes des péripéties de personnages imaginaires cultes, Astérix et Obélix !

Autant dire que la prise de fonction du nouveau directeur du MuséoParc Alésia, Laurent BOURDEREAU, se révèle idéale par sa synchronicité tant l’actualité « gauloise » fleurit à la une des médias de l’Hexagone à date !

Un garçon qui prend la suite des opérations après Michel ROUGER que bon nombre de spécialistes de la chose culturelle et touristique régionale appréciaient. Un défi digne du « Combat des Chefs » et de sa BD opposant les irrésistibles gaulois, gavés de potion magique, aux cohortes de légionnaires romains !

 

Une expérience unique à la tête du musée de « La Vache qui rit » !

 

A la lecture du cursus du nouvel impétrant devant prendre les rênes du marqueur identitaire départemental que représente le musée bourguignon, une chose s’avère exacte : Laurent BOURDEREAU n’aura pas besoin d’ingurgiter une infime dose de la célèbre potion druidique pour trouver très vite ses repères au sein de l’établissement.

La petite cinquantaine, le nouvel « Abraracourcix » - chef gaulois du village – revient donc sur ses terres originelles, puisque natif de Dijon.

Directeur des affaires culturelles des villes de Lure (Haute-Saône) et de Chaumont (Haute-Marne), puis administrateur de l’espace Michel Simon à Noisy-le-Grand et du festival « Chalon dans la Rue » - les puristes se souviendront toujours des balbutiements de cette manifestation populaire et pérenne créée par le duo Pierre et Quentin -, voilà notre homme qui étoffe un peu plus son CV, qui comprend tellement d’arborescences avec notamment les titres de directeur des domaines départementaux de Chamarande et Méréville pour le compte du Conseil départemental de l’Essonne, de 2008 à 2015.

Quittant le public pour le privé (pourquoi pas ?!), il s’installe à Lons-le-Saunier dans le Jura à la demande du groupe BEL pour y diriger le musée de « La Vache qui rit », l’emblématique fromage crémeux, référence identitaire du groupe industriel familial. Une expérience d’un septennat !

 

Favoriser les échanges entre générations et vers le plus grand nombre…

 

Nourri de ses pérégrinations à travers la Bourgogne Franche-Comté, on le retrouve quelque temps du côté de la Nièvre où il effectue un bref passage au sein de l’établissement public de pratique et d’enseignement artistique, Réso Nièvre.

La suite, on la connaît : il pose ses valises à Alise-Sainte-Reine, cadre bucolique et champêtre idéal pour se remémorer l’histoire de nos ancêtres !

Agé de 52 ans, Laurent BOURDEREAU souhaite imprégner sa griffe sur ce lieu, « où l’on peut prendre le temps des échanges entre générations et où nous soutenons l’accessibilité pour le plus grand nombre… » - une des marques de fabrique de l’endroit. Un challenge impeccable à relever pour ce titulaire d’une maîtrise en histoire de l’art de l’Université de Bourgogne. De quoi joindre l’utile à l’agréable, par Bélénos !

 

Thierry BRET

 

 


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Il ne faut pas trop se fier à la signalétique routière ! Et à l’interdiction manifeste de ne pouvoir stationner sur le parking de la Porte de Paris. La fameuse place, située au nord du rond-point permettant l’accès au cœur de ville, accueillait moult véhicules malgré la venue de ce  curieux poids lourd, à l’estampille de « L’Aventure du Vivant » que les Avallonnais retrouveront mercredi chez eux !

 

AUXERRE : Il sillonne l’Hexagone de part en part et s’est posé le temps de deux longues journées sur le parking de la Porte de Paris, lundi et mardi. De 09 heures à 18 heures, un délai suffisamment large pour que le jeune public, issu du milieu scolaire, mais aussi les plus grands en âge de s’insérer dans la vie active puisse y découvrir son intérieur. Une remorque étrange, contenant le matériel adéquat entre projecteur de vidéo et simulateur, voire tablettes interactives (voir l’article à venir à ce propos), explicitant les différentes filières de l’enseignement agricole. Une initiative portée par l’ANEFA de Bourgogne Franche-Comté où étaient embarqués une kyrielle de partenaires institutionnels…et les acteurs de l’agriculture territoriale.

 

En savoir plus :

L’Aventure du Vivant

Mercredi 22 février et jeudi 23 février 23 à Avallon

De 09 h à 18h sur le parking de la RD 606

En face du cimetière.

 

Thierry BRET

 

 


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