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Mille deux cents mètres carrés de superficie. Une construction qui va sortir de terre, à proximité de l’entité professionnelle « ARMATIS » en zone des Clairions à Auxerre, livrable si toutes les conditions sont réunies à l’été 2024. L’UDAF de l’Yonne va faire peau neuve dans les mois à venir en finançant par le prisme des emprunts la réalisation de ce nouveau bâtiment flambant neuf qui accueillera son siège social et celui d’AGORA, son service des mesures judiciaires. Pour une enveloppe de quatre millions d’euros…

 

AUXERRE : Pour l’heure, il n’y a que quelques barrières et un peu de grillage qui en délimitent les contours. Avec au-dedans en son centre, de la végétation encore drue et une herbe folle, revigorée après l’épisode de pluies observé la semaine dernière sur l’Auxerrois. Mais, à terme, c’est-à-dire à l’été 2024 – on avance le mois de juin avec précision - si tous les éléments du puzzle de ce jeu de construction grandeur nature s’emboîtent idéalement, ce sera un édifice flambant neuf, dont l’esquisse en trois dimensions nous est déjà connue grâce à son donneur d’ordre, l’UDAF de l’Yonne.

Son directeur, Jean-Pierre MASCLET, bouillonnant d’idées et enthousiaste à vivre à fond cette future période de totale créativité – il possède moult projets dans ses tiroirs que nous distillerons bientôt dans ces colonnes ! – est ravi de la projection futuriste de l’ensemble.

 

 

Plus de 80 personnes dans un édifice flambant neuf…

 

Le nouveau siège de l’Union départementale des associations familiales de l’Yonne (UDAF) ne manquera ni de visibilité ni de place pour accueillir en son sein les collaborateurs du service des mesures judiciaires, la branche « UDAF AGORA », et ceux de la structure originelle, ouverte spécifiquement aux structures associatives.

Une réunification sous le même toit, attendu et espéré depuis longtemps par ses acteurs, pour ne faire in fine plus qu’un seul endroit en termes de point d’accueil dans la capitale de l’Yonne.

Ce seront au total près de quatre-vingt personnes qui occuperont ces futurs locaux. Toutefois, l’heure du déménagement ne s’inscrit pas encore parmi les priorités du personnel, au vu des délais impartis à la conception du nouveau bâtiment.

Le chantier a débuté le 11 avril dernier. Un ouvrage ayant nécessité une enveloppe budgétaire de quatre millions d’euros qui est financé par des emprunts contractés par l’organisme et amortissables sur plusieurs années, on s’en doute !

 

Thierry BRET

 


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Loup y es-tu dans nos campagnes de Bourgogne Franche-Comté ? Visiblement, un peu trop pour les élus régionaux du Rassemblement National. Ils tirent à boulet rouge contre la présence de ce mammifère faisant peur dans les chaumières depuis la nuit des temps. Il est vrai que les agriculteurs en pâtissent puisque plus d’un millier de bêtes ont été les victimes du prédateur entre 2021 et 2022. De là à exiger un débat public lors de la session de juin dans l’hémicycle, il n’y a qu’un pas…de loup à franchir !

 

DIJON (Côte d’Or) : Haro sur une menace réelle et croissante dans nos campagnes qui perturbe les activités agricoles et horrifie de plus en plus les éleveurs d’ovins. Ces derniers comptent les cadavres de leurs malheureuses brebis égorgées après le passage nocturne du loup dans leurs champs.

Le retour en grâce du mammifère dans l’Hexagone est loin d’être apprécié de tous à l’instar de la réimplantation de l’ours dans les Pyrénées. Bien sûr, le milieu de l’agriculture pousse des cris d’orfraie devant l’évidence : le loup n’est pas un animal comme les autres, il tue pour se nourrir et provoque des dégâts parmi les troupeaux, menaçant l’écosystème pastoral. Un milieu agricole qui se met à dos, fort logiquement, la sphère des écologistes et autres défenseurs de la cause animalière…

 

L’impossible cohabitation entre éleveurs de moutons et mangeurs d’ovins !

 

Du côté politique – on aime y chasser en meute aussi pour défendre une idée ou un projet -, c’est le Rassemblement National qui met donc les pieds dans le plat. En l’occurrence par la voix du président de groupe de la Région Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL. Celui-ci exige des « réponses concrètes » de la part de l’exécutif pour maîtriser enfin la situation.

« Sur la question du loup, explique-t-il dans un communiqué de presse, il y a visiblement un blocage entre les positions idéologiques de la gauche et des écologistes qui croient au miracle de la cohabitation – (celle-là n’est aucunement d’ordre politique !) -, entre les éleveurs de moutons et les mangeurs d’ovins d’un côté, et l’absence de considération du gouvernement pour les éleveurs, de l’autre… ».

 

 

Quand le loup s’invite lors d’un grand débat à l’hémicycle…

 

Constatant que les attaques de la bête – elle n’a pourtant rien à voir avec celle du Gévaudan ! - augmentent ces dernières semaines de manière significative (à Nitry dans l’Yonne mais aussi en Saône-et-Loire, dans le Doubs et de l’autre côté de la frontière helvétique dans le canton de Vaud), le porte-parole du parti mariniste demande à la majorité régionale de prendre enfin ses responsabilités.

« Il est temps de rendre compte de la situation exacte devant les élus régionaux, souligne Julien ODOUL. Le choix clair de la défense de nos éleveurs, de la protection de leurs troupeaux et par conséquent de la mise en place d’une politique de régulation massive du loup dans nos territoires est notre priorité… ».

De ce fait, il réclame un débat public lors de la prochaine session de l’assemblée plénière, prévue en juin.

« Il est temps d’évoquer les conséquences économiques et sociales subies par les éleveurs de la région après autant de dévastations, ajoute le numéro cinq du Rassemblement National. Et surtout d’envisager quelles mesures sont à prendre pour lutter efficacement contre ce prédateur… ».

 

 

La nomination d’un médiateur « grands prédateurs » est insuffisante…

 

Arguant que depuis plusieurs mois, les éleveurs et la Chambre régionale d’Agriculture alertent les pouvoirs publics, les préfets et le Conseil régional sans réelle réponse coordonnée et concrète face à la recrudescence de ces attaques multiples, Julien ODOUL tel un « loup aux dents longues » pointe du doigt la responsabilité de l’exécutif. Celui-ci est selon lui, trop inféodé à ses alliés écologistes et incapable de prendre les mesures nécessaires en faveur des éleveurs et de leurs intérêts animaliers.

« La seule action régionale faisant office de réponse est de financer aujourd’hui un médiateur « grands prédateurs » : mais cela ne suffit pas… ».

Bref, le loup tient donc la vedette en ce mois d’avril dans les alcôves de la politique régionale. En sera-t-il la tête d’affiche en juin à la Région lors de débats que l’on suppose animés, nul ne le sait encore à l’heure où se rédigent ces lignes !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il est résolument optimiste, le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté. Vincent MARTIN se satisfait de la labellisation du premier pôle de compétitivité concernant son secteur d’activité. Un sésame, ô combien précieux on s’en doute, ayant vu le jour fin mars. Se profile ainsi la perspective de belles opportunités sur ce pan crucial de l’économie. A condition que les collectivités reprennent leur politique volontariste au niveau des investissements.

 

BESANCON (Doubs) : Les indicateurs seraient-ils dans le vert chez les professionnels des travaux publics ? En tout cas, quelques bonnes nouvelles égayent le moral de leur porte-parole officiel dans la région, à savoir le président de la FRTP, Vincent MARTIN.

La première d’entre elles, concerne la labellisation du premier pôle de compétitivité inhérent au secteur d’activité. Un coup de pouce des plus sympathiques qui est survenu en mars dernier et qui a été vécu avec beaucoup de fierté de la part des dirigeants de l’entité régionale puisque l’association « ECORCE TP » – véritable pilier d’une économie en faveur du développement durable tant au niveau de sa réflexion et de sa conception jusqu’à l’exploitation des ouvrages – est précisément membre fondateur de ce pôle.

 

Des outils lancés par le gouvernement pour répondre aux attentes…

 

La seconde, provient de la représentation étatique et de la mise en exergue de plusieurs dispositifs visant à maintenir la capacité d’investissement des collectivités locales, qui comme chacun sait demeure le nerf de la guerre via la commande publique pour tout entrepreneur des TP qui se respecte !

Malgré un contexte conjoncturel on ne peut plus délicat et tourmenté – c’est le moins qu’on puisse dire ! -, les collectivités locales ont reçu des messages limpides et forts de la part de l’Etat qui leur donne des moyens de maintenir la pression sur leurs nécessaires investissements.

Noms de code de ces outils mis à disposition des élus et de leurs services techniques : la DETR (dotation d’équipement aux territoires ruraux), la DSIL (dotation de soutien à l’investissement local) ou encore le Fonds Vert dont se fait écho lors de tous ses déplacements dans les huit zones départementales de notre contrée, le préfet de Région Franck ROBINE.

 

 

Des retombées tangibles pour les acteurs de la filière BTP…

 

En sus et en guise de cerise juteuse sur le gâteau, l’Etat a annoncé la hausse de 320 millions d’euros de la dotation globale de fonctionnement. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, il est bon de rappeler que l’augmentation de l’ordre de 290 millions d’euros de l’effort de péréquation n’est pas un vœu pieu. Elle s’applique favorablement aux projets des territoires ruraux.

Autant d’éléments positifs – et c’est suffisamment rare pour les signaler ! – dont s’abreuve sans modération un Vincent MARTIN confiant pour la suite des opérations. L’équation est donc très simple : si les collectivités ont les moyens financiers et les coudées franches pour mener à bien leurs projets d’investissements structurels, c’est autant de retombées économiques palpables à mettre au profit des entreprises de travaux publics et du bâtiment qui en réaliseraient les chantiers !

Un deal astucieux et logique du rapport gagnant-gagnant dans toute sa splendeur qui existe entre ces deux mondes qui n’en font plus qu’un si toutes les conditions collaboratives sont réunies, sous le sceau du partenariat…

 

Thierry BRET

 


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L’amour de la gastronomie et de ses valeurs est un fil d’Ariane qu’ils ont en commun. Depuis 2015, l’enseigne METRO et le référent des arts de vivre à la française, le guide MICHELIN, se distinguent lors de cérémonies où se remettent les fameuses plaques au coloris rouge vif à la toque, nouvellement étoilée ou ayant su faire perdurer cette honorifique distinction. En témoigne le rituel vécu dimanche soir au Domaine de RONCEMAY par le chef Patrick GAUTHIER (« La Madeleine »)…

 

DOMAINE DE RONCEMAY : Emu, le chef de « La Madeleine » ? Sans aucun doute. En tout cas, il était profondément satisfait de se retrouver en pareille circonstance pour recevoir des mains de la direction de la Halle de METRO Auxerre cette glorieuse distinction, la plaque au coloris vermillon rappelant son étoile qui a été obtenue cette année encore, dans le fameux petit guide rouge au célébrissime patronyme universel, c’est-à-dire « Michelin ».

Un Patrick GAUTHIER qui malgré les trente ans d’exercice dans le métier qu’il affectionne tant ne cachait pas sa joie de recevoir de la part de Philippe BULANT, directeur de l’enseigne auxerroise, ce glorieux sésame à poser en devanture de la façade de l’établissement sénonais. Le restaurant « La Madeleine » a gagné cette année encore – le contraire eut été surprenant – les louanges des inspecteurs du fameux guide qui fait la pluie et le beau temps dans le sérail de la gastronomie française depuis des lustres.

 

La recherche des bons produits : le dénominateur commun…

 

Même s’il est étoilé depuis trois décennies maintenant, Patrick GAUTHIER a reçu sa plaque commémorative, dans le charmant cadre du Domaine de RONCEMAY – il sera accueilli par Thierry GARRET hôte de ces lieux -, avec toujours autant de plaisir à l’identique de celle obtenue au premier jour. Une distinction qu’il a partagée en présence de plusieurs membres de ses équipes, dont la cheffe du « Crieur de Vin », la dynamique Cécile PUECHBROUSSOUX, mais aussi les collaborateurs de METRO Auxerre, réunis autour de leur directeur, Philippe BULANT ; ce dernier devant mettre le cap, à partir du 02 mai, vers la Savoie pour y reprendre la destinée de la halle d’Albertville.

 

 

« On a tous un point commun, soulignera le chef de Sens, c’est la recherche permanente des bons produits et la découverte de ces ingrédients à travailler avec respect jusqu’au fond de l’assiette… ».

Quant à la remise collective avec l’ensemble des chefs étoilés du quart Grand-Est de l’Hexagone, assurée par MICHELIN, elle s’effectuera à Reims le 22 mai dans l’une des tables de prestige de la capitale de la Champagne, chez « LALLEMAND ». On devrait y retrouver les deux autres détenteurs icaunais de ces étoiles, « La Côte Saint-Jacques » (double étoile) et le Château de Vault-de-Lugny.

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une première en Bourgogne Franche-Comté ! Elle s’articule autour d’un nouveau projet, sous la forme un plan d’action territorial qui va se décliner dans le cadre de la SNAP, soit la Stratégie Nationale pour les Aires protégées. Sur une période qui court sur l’exercice 2022/2024, l’Etat et la Région ont donc décidé de joindre leurs efforts afin de favoriser la biodiversité…

 

DIJON (Côte d’Or) : Réuni mercredi dernier dans l’hémicycle de l’hôtel de la Région, le Comité régional de la biodiversité – un organisme co-présidé par le préfet de région, Franck ROBINE et la présidente du Conseil régional, Marie-Guite DUFAY - a validé le Plan d’Action territorial, premier du genre, en faveur des aires protégées de notre territoire.

Composée de 123 représentants, cette instance consultative favorise les échanges et concertations autour des grandes thématiques inhérentes à la biodiversité et à son développement. Elle coordonne également la Stratégie nationale pour les aires protégées (SNAP). Une initiative impulsée par l’État.

Celle-ci doit permettre, d’ici 2030, d’enrayer la perte de biodiversité en protégeant 30 % du territoire français, dont un tiers est sous protection forte ; c’est-à-dire sur lequel s’applique une réglementation stricte des activités. Ainsi, elle met l’accent sur la pertinence, la cohérence et l’interconnexion du réseau d’aires protégées pour assurer un maillage efficace à l’échelle nationale.

 

 

Sept objectifs pour enrayer la perte de biodiversité…

 

Dans le cadre de la SNAP, l’Etat et la Région s’engagent à faire respecter sept priorités favorables à la préservation de la biodiversité. Celles-ci se rapportent au développement d’un réseau d’aires protégées résilient aux changements globaux, à l’accompagnement de la mise en œuvre d’une gestion efficace et adaptée du réseau d’aires protégées, de favoriser des activités durables au sein du réseau d’aires protégées, mais également de conforter l’intégration du réseau d’aires protégées dans les territoires, de renforcer la coopération à l’international pour enrayer l’érosion de la biodiversité, de porter un réseau pérenne d’aires protégées et enfin de conforter le rôle des aires protégées dans la connaissance de la biodiversité.

Des objectifs conformes aux orientations de la Stratégie régionale pour la biodiversité 2030 et aux priorités de la Stratégie de mandat 2021-2028 du Conseil régional. Rappelons que son ambition est d’augmenter les surfaces d’espaces naturels protégés et de soutenir les réserves naturelles régionales. À ce jour, les aires protégées couvrent 26,17 % du territoire.

Grâce à ce premier Plan d’Action territorial, le nombre et la superficie des aires protégées devraient augmenter en Bourgogne Franche-Comté. Plusieurs territoires – ils représentent 88 projets d’aires – vont ainsi faire leur entrée dans ce schéma. On peut citer le Parc naturel régional du Doubs horloger, la réserve naturelle régionale du Bief du Nanchez dans le Jura ou encore quatre autres projets de réserves naturelles de grottes à chauve-souris situées en Côte d’Or et dans le Doubs.

Plus près de nous, signalons les trois projets d’extension de sites NATURA 2000 qui sont implantés dans le Morvan, ceux de la moyenne vallée du Doubs et la vallée de la Loue et du Lison.

 

 

Deux dispositifs pour accélérer la préservation des aires protégées…

 

Pour se faire, la Région a désormais la compétence sur le concept NATURA 2000 et ce depuis le 01er janvier 2023. La Bourgogne-Franche-Comté compte 118 sites, couvrant 13,8 % de son territoire, soit 6 590 km2. Elle est la 6ème région française en termes de superficie. L’année 2023 est marquée par une réorganisation de la gouvernance des sites NATURA 2000. La loi 3DS du 21 février 2022 a transféré une partie de la compétence aux Régions en leur confiant le pilotage de la gestion de ces sites.

Cheffe de file en matière de biodiversité, la Région BFC assure ainsi cette nouvelle responsabilité, avec un budget annuel de 2,5 M€ (dotation de l’État) auxquels s’ajoutent 4,3 M€ de fonds européens (FEADER) jusqu’en 2027.

Quant à l’Etat, il s’appuiera sur le Fonds vert pour accélérer la transition écologique dans les territoires, un dispositif lancé en janvier 2023. Il s’agit de poursuivre, d’amplifier et d’accélérer la transition écologique et de renforcer la résilience des territoires pour s’adapter au changement climatique et lutter contre l’érosion de la biodiversité.

Doté au plan national de deux milliards d’euros, délégués aux préfets de région, le Fonds vert en Bourgogne Franche-Comté dispose d’une enveloppe globale de 72,12 M€ pour 2023. Il finance trois types d’actions : le renforcement de la performance environnementale dans les territoires, leur adaptation au changement climatique et l’amélioration du cadre de vie.

Il permettra en particulier de financer la mise en œuvre de la SNAP en accompagnant à la fois l’émergence et la gestion de ces aires. Sur l’enveloppe globale du fonds vert, 6,8 M€ sont dédiés à la biodiversité régionale

en 2023.

 

Thierry BRET

 

 


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