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Le chiffre « quatre » vient de lui porter bonheur ? « Quatre », pour évoquer en termes de symboles le solide, le tangible, le sensible. « Quatre », aussi, qui rappelle par ordre de croissance sa qualité de nouvelle présidente de la structure chapeautant le programme artistique des « Amis de l’Abbaye de REIGNY ». Elue à l’unanimité au terme d’une assemblée générale « musicale », Florence TRUBERT occupe désormais le fauteuil de responsable de l’association…

 

VERMENTON : Insuffler une programmation culturelle ayant du sens. Et de la voix dans un cadre qui jadis, à l’époque cistercienne et monacale, privilégiait la contemplation du beau et de l’esthétisme en adoptant les préceptes de la règle du silence. Fil d’Ariane personnel de la nouvelle présidente, ce choix stratégique devrait nourrir les ambitions de Florence TRUBERT afin de perpétuer l’œuvre déjà entamée par ses trois prédécesseurs, Philippe ALBOU – le fondateur de la vénérable association -, Claude MARTIN et Olivier DUMAS, avec cette accession à cette présidence.

La quatrième responsable des « Amis de l’Abbaye de REIGNY », en poste depuis le 02 avril, souhaite ainsi, parmi ses axes prioritaires, offrir une scène de renom aux artistes confirmés mais aussi aux néophytes qui deviendront les talents de demain. Ouvrant grandes les portes à des publics éclectiques, de tous les âges et de tous les horizons, prêts à être immergés dans une programmation de qualité et jubilatoire pour l’esprit cette saison. Les mélomanes savent de quoi l’on parle, évidemment !

Un avant-goût de la richesse programmatique et de son excellence auditive a pu être donné aux deux cents adhérents de l’entité culturelle, à l’issue d’une assemblée générale qui aura permis d’installer de manière unanime dans son fauteuil présidentiel, l’ex-vice-présidente de l’association.

Grâce à un trio d’instrumentistes hors pair, revisitant les œuvres de SCHUBERT et de RACHMANINOV : l’ukrainienne Anna JBANOVA au piano, le russe Dimitri MASLENNIKOV au violoncelle et le français François PINEAU-BENOIS, violoniste de son état.

 

Même les Jeux olympiques vont s’inviter dans la programmation 2024 !

 

Familière des univers cisterciens – elle a collaboré à la création d’un opéra donné en plein air pour l’Abbaye de ROYAUMONT dans le Val d’Oise – Florence TRUBERT a également publié une monographie sur l’Abbaye de CLAIRMONT, édifice situé dans la Mayenne, lors de la célébration du neuvième centenaire de la naissance de Saint-Bernard.

Il est vrai que l’univers du patrimoine représente plus qu’une passion pour cette érudite ! Florence TRUBERT n’est-elle pas la rédactrice en chef de la revue « Demeure Historique », un média ciblant plus spécifiquement les propriétaires de monuments et jardins historiques privés dans l’Hexagone ?

D’ailleurs, c’est à ce titre là que Florence sera chargée en 2024 de coordonner les manifestations propres à la célébration du centenaire de la Demeure Historique dont l’Abbaye de REIGNY est adhérente.

Toujours en 2024, le porte-étendard des « Amis de l’Abbaye de REIGNY » profitera de l’actualité – à savoir les Jeux olympiques accueillis à Paris – pour thématiser les spectacles du site cistercien en fonction de cet évènement planétaire. Le sport fera donc une entrée remarquée dans ce bâtiment chargé d’histoire : à l’heure où se rédigent ces lignes, on ne sait pas encore de quelle manière officielle !

Un élargissement des possibles culturels qui a déjà reçu, on s’en doute, le soutien indéfectible des propriétaires des lieux, Béatrice et Louis-Marie MAUVAIS, ainsi que de leurs enfants, impliqués tous ensemble dans cette aventure collective et associative. Faire revivre un site cistercien par la voix de la culture où autrefois ne régnait que le silence…

 

En savoir plus :

La programmation 2023

Week-end du 06 au 08 mai : chantier avec travaux de peinture et de jardinage, en soirée la pièce d’Eugène LABICHE, « Les 37 sous de Mr Montaudoin ».

Le 11 juillet : traditionnel spectacle des jeunes avec « La Soupe à la grimace » donné par TOUK TOUK Compagnie.

Le 23 juillet : déjeuner en blanc au bord de la Cure organisé au profit de la restauration du moulin…

Le 30 juillet  à 17 heures : 16ème édition de « Jazz sous les Tilleuls » avec le concert «  Swingin’ the Boogie » par le trio Jean-Pierre BERTRAND (piano), Gilles CHEVAUCHERIE (contrebasse) et Lionel GRIVET (batterie).

Le 17 septembre : Journées européennes du Patrimoine avec une conférence sur l’exposition universelle de 1867 à Paris par Edouard VASSEUR, professeur à l’école des Chartes et séance de dédicace de son ouvrage à l’issue de sa conférence.

Le 15 octobre à 15h30 : Concert des jeunes talents Barbara et Nathalie DIOME, pianiste et violoncelliste, elles interpréteront des œuvres de TCHAIKOVSKY, PROKOFIEV et STRAVINSKY.

 

Thierry BRET

 

 


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Mille deux cents mètres carrés de superficie. Une construction qui va sortir de terre, à proximité de l’entité professionnelle « ARMATIS » en zone des Clairions à Auxerre, livrable si toutes les conditions sont réunies à l’été 2024. L’UDAF de l’Yonne va faire peau neuve dans les mois à venir en finançant par le prisme des emprunts la réalisation de ce nouveau bâtiment flambant neuf qui accueillera son siège social et celui d’AGORA, son service des mesures judiciaires. Pour une enveloppe de quatre millions d’euros…

 

AUXERRE : Pour l’heure, il n’y a que quelques barrières et un peu de grillage qui en délimitent les contours. Avec au-dedans en son centre, de la végétation encore drue et une herbe folle, revigorée après l’épisode de pluies observé la semaine dernière sur l’Auxerrois. Mais, à terme, c’est-à-dire à l’été 2024 – on avance le mois de juin avec précision - si tous les éléments du puzzle de ce jeu de construction grandeur nature s’emboîtent idéalement, ce sera un édifice flambant neuf, dont l’esquisse en trois dimensions nous est déjà connue grâce à son donneur d’ordre, l’UDAF de l’Yonne.

Son directeur, Jean-Pierre MASCLET, bouillonnant d’idées et enthousiaste à vivre à fond cette future période de totale créativité – il possède moult projets dans ses tiroirs que nous distillerons bientôt dans ces colonnes ! – est ravi de la projection futuriste de l’ensemble.

 

 

Plus de 80 personnes dans un édifice flambant neuf…

 

Le nouveau siège de l’Union départementale des associations familiales de l’Yonne (UDAF) ne manquera ni de visibilité ni de place pour accueillir en son sein les collaborateurs du service des mesures judiciaires, la branche « UDAF AGORA », et ceux de la structure originelle, ouverte spécifiquement aux structures associatives.

Une réunification sous le même toit, attendu et espéré depuis longtemps par ses acteurs, pour ne faire in fine plus qu’un seul endroit en termes de point d’accueil dans la capitale de l’Yonne.

Ce seront au total près de quatre-vingt personnes qui occuperont ces futurs locaux. Toutefois, l’heure du déménagement ne s’inscrit pas encore parmi les priorités du personnel, au vu des délais impartis à la conception du nouveau bâtiment.

Le chantier a débuté le 11 avril dernier. Un ouvrage ayant nécessité une enveloppe budgétaire de quatre millions d’euros qui est financé par des emprunts contractés par l’organisme et amortissables sur plusieurs années, on s’en doute !

 

Thierry BRET

 


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Loup y es-tu dans nos campagnes de Bourgogne Franche-Comté ? Visiblement, un peu trop pour les élus régionaux du Rassemblement National. Ils tirent à boulet rouge contre la présence de ce mammifère faisant peur dans les chaumières depuis la nuit des temps. Il est vrai que les agriculteurs en pâtissent puisque plus d’un millier de bêtes ont été les victimes du prédateur entre 2021 et 2022. De là à exiger un débat public lors de la session de juin dans l’hémicycle, il n’y a qu’un pas…de loup à franchir !

 

DIJON (Côte d’Or) : Haro sur une menace réelle et croissante dans nos campagnes qui perturbe les activités agricoles et horrifie de plus en plus les éleveurs d’ovins. Ces derniers comptent les cadavres de leurs malheureuses brebis égorgées après le passage nocturne du loup dans leurs champs.

Le retour en grâce du mammifère dans l’Hexagone est loin d’être apprécié de tous à l’instar de la réimplantation de l’ours dans les Pyrénées. Bien sûr, le milieu de l’agriculture pousse des cris d’orfraie devant l’évidence : le loup n’est pas un animal comme les autres, il tue pour se nourrir et provoque des dégâts parmi les troupeaux, menaçant l’écosystème pastoral. Un milieu agricole qui se met à dos, fort logiquement, la sphère des écologistes et autres défenseurs de la cause animalière…

 

L’impossible cohabitation entre éleveurs de moutons et mangeurs d’ovins !

 

Du côté politique – on aime y chasser en meute aussi pour défendre une idée ou un projet -, c’est le Rassemblement National qui met donc les pieds dans le plat. En l’occurrence par la voix du président de groupe de la Région Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL. Celui-ci exige des « réponses concrètes » de la part de l’exécutif pour maîtriser enfin la situation.

« Sur la question du loup, explique-t-il dans un communiqué de presse, il y a visiblement un blocage entre les positions idéologiques de la gauche et des écologistes qui croient au miracle de la cohabitation – (celle-là n’est aucunement d’ordre politique !) -, entre les éleveurs de moutons et les mangeurs d’ovins d’un côté, et l’absence de considération du gouvernement pour les éleveurs, de l’autre… ».

 

 

Quand le loup s’invite lors d’un grand débat à l’hémicycle…

 

Constatant que les attaques de la bête – elle n’a pourtant rien à voir avec celle du Gévaudan ! - augmentent ces dernières semaines de manière significative (à Nitry dans l’Yonne mais aussi en Saône-et-Loire, dans le Doubs et de l’autre côté de la frontière helvétique dans le canton de Vaud), le porte-parole du parti mariniste demande à la majorité régionale de prendre enfin ses responsabilités.

« Il est temps de rendre compte de la situation exacte devant les élus régionaux, souligne Julien ODOUL. Le choix clair de la défense de nos éleveurs, de la protection de leurs troupeaux et par conséquent de la mise en place d’une politique de régulation massive du loup dans nos territoires est notre priorité… ».

De ce fait, il réclame un débat public lors de la prochaine session de l’assemblée plénière, prévue en juin.

« Il est temps d’évoquer les conséquences économiques et sociales subies par les éleveurs de la région après autant de dévastations, ajoute le numéro cinq du Rassemblement National. Et surtout d’envisager quelles mesures sont à prendre pour lutter efficacement contre ce prédateur… ».

 

 

La nomination d’un médiateur « grands prédateurs » est insuffisante…

 

Arguant que depuis plusieurs mois, les éleveurs et la Chambre régionale d’Agriculture alertent les pouvoirs publics, les préfets et le Conseil régional sans réelle réponse coordonnée et concrète face à la recrudescence de ces attaques multiples, Julien ODOUL tel un « loup aux dents longues » pointe du doigt la responsabilité de l’exécutif. Celui-ci est selon lui, trop inféodé à ses alliés écologistes et incapable de prendre les mesures nécessaires en faveur des éleveurs et de leurs intérêts animaliers.

« La seule action régionale faisant office de réponse est de financer aujourd’hui un médiateur « grands prédateurs » : mais cela ne suffit pas… ».

Bref, le loup tient donc la vedette en ce mois d’avril dans les alcôves de la politique régionale. En sera-t-il la tête d’affiche en juin à la Région lors de débats que l’on suppose animés, nul ne le sait encore à l’heure où se rédigent ces lignes !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il est résolument optimiste, le président de la Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté. Vincent MARTIN se satisfait de la labellisation du premier pôle de compétitivité concernant son secteur d’activité. Un sésame, ô combien précieux on s’en doute, ayant vu le jour fin mars. Se profile ainsi la perspective de belles opportunités sur ce pan crucial de l’économie. A condition que les collectivités reprennent leur politique volontariste au niveau des investissements.

 

BESANCON (Doubs) : Les indicateurs seraient-ils dans le vert chez les professionnels des travaux publics ? En tout cas, quelques bonnes nouvelles égayent le moral de leur porte-parole officiel dans la région, à savoir le président de la FRTP, Vincent MARTIN.

La première d’entre elles, concerne la labellisation du premier pôle de compétitivité inhérent au secteur d’activité. Un coup de pouce des plus sympathiques qui est survenu en mars dernier et qui a été vécu avec beaucoup de fierté de la part des dirigeants de l’entité régionale puisque l’association « ECORCE TP » – véritable pilier d’une économie en faveur du développement durable tant au niveau de sa réflexion et de sa conception jusqu’à l’exploitation des ouvrages – est précisément membre fondateur de ce pôle.

 

Des outils lancés par le gouvernement pour répondre aux attentes…

 

La seconde, provient de la représentation étatique et de la mise en exergue de plusieurs dispositifs visant à maintenir la capacité d’investissement des collectivités locales, qui comme chacun sait demeure le nerf de la guerre via la commande publique pour tout entrepreneur des TP qui se respecte !

Malgré un contexte conjoncturel on ne peut plus délicat et tourmenté – c’est le moins qu’on puisse dire ! -, les collectivités locales ont reçu des messages limpides et forts de la part de l’Etat qui leur donne des moyens de maintenir la pression sur leurs nécessaires investissements.

Noms de code de ces outils mis à disposition des élus et de leurs services techniques : la DETR (dotation d’équipement aux territoires ruraux), la DSIL (dotation de soutien à l’investissement local) ou encore le Fonds Vert dont se fait écho lors de tous ses déplacements dans les huit zones départementales de notre contrée, le préfet de Région Franck ROBINE.

 

 

Des retombées tangibles pour les acteurs de la filière BTP…

 

En sus et en guise de cerise juteuse sur le gâteau, l’Etat a annoncé la hausse de 320 millions d’euros de la dotation globale de fonctionnement. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, il est bon de rappeler que l’augmentation de l’ordre de 290 millions d’euros de l’effort de péréquation n’est pas un vœu pieu. Elle s’applique favorablement aux projets des territoires ruraux.

Autant d’éléments positifs – et c’est suffisamment rare pour les signaler ! – dont s’abreuve sans modération un Vincent MARTIN confiant pour la suite des opérations. L’équation est donc très simple : si les collectivités ont les moyens financiers et les coudées franches pour mener à bien leurs projets d’investissements structurels, c’est autant de retombées économiques palpables à mettre au profit des entreprises de travaux publics et du bâtiment qui en réaliseraient les chantiers !

Un deal astucieux et logique du rapport gagnant-gagnant dans toute sa splendeur qui existe entre ces deux mondes qui n’en font plus qu’un si toutes les conditions collaboratives sont réunies, sous le sceau du partenariat…

 

Thierry BRET

 


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L’amour de la gastronomie et de ses valeurs est un fil d’Ariane qu’ils ont en commun. Depuis 2015, l’enseigne METRO et le référent des arts de vivre à la française, le guide MICHELIN, se distinguent lors de cérémonies où se remettent les fameuses plaques au coloris rouge vif à la toque, nouvellement étoilée ou ayant su faire perdurer cette honorifique distinction. En témoigne le rituel vécu dimanche soir au Domaine de RONCEMAY par le chef Patrick GAUTHIER (« La Madeleine »)…

 

DOMAINE DE RONCEMAY : Emu, le chef de « La Madeleine » ? Sans aucun doute. En tout cas, il était profondément satisfait de se retrouver en pareille circonstance pour recevoir des mains de la direction de la Halle de METRO Auxerre cette glorieuse distinction, la plaque au coloris vermillon rappelant son étoile qui a été obtenue cette année encore, dans le fameux petit guide rouge au célébrissime patronyme universel, c’est-à-dire « Michelin ».

Un Patrick GAUTHIER qui malgré les trente ans d’exercice dans le métier qu’il affectionne tant ne cachait pas sa joie de recevoir de la part de Philippe BULANT, directeur de l’enseigne auxerroise, ce glorieux sésame à poser en devanture de la façade de l’établissement sénonais. Le restaurant « La Madeleine » a gagné cette année encore – le contraire eut été surprenant – les louanges des inspecteurs du fameux guide qui fait la pluie et le beau temps dans le sérail de la gastronomie française depuis des lustres.

 

La recherche des bons produits : le dénominateur commun…

 

Même s’il est étoilé depuis trois décennies maintenant, Patrick GAUTHIER a reçu sa plaque commémorative, dans le charmant cadre du Domaine de RONCEMAY – il sera accueilli par Thierry GARRET hôte de ces lieux -, avec toujours autant de plaisir à l’identique de celle obtenue au premier jour. Une distinction qu’il a partagée en présence de plusieurs membres de ses équipes, dont la cheffe du « Crieur de Vin », la dynamique Cécile PUECHBROUSSOUX, mais aussi les collaborateurs de METRO Auxerre, réunis autour de leur directeur, Philippe BULANT ; ce dernier devant mettre le cap, à partir du 02 mai, vers la Savoie pour y reprendre la destinée de la halle d’Albertville.

 

 

« On a tous un point commun, soulignera le chef de Sens, c’est la recherche permanente des bons produits et la découverte de ces ingrédients à travailler avec respect jusqu’au fond de l’assiette… ».

Quant à la remise collective avec l’ensemble des chefs étoilés du quart Grand-Est de l’Hexagone, assurée par MICHELIN, elle s’effectuera à Reims le 22 mai dans l’une des tables de prestige de la capitale de la Champagne, chez « LALLEMAND ». On devrait y retrouver les deux autres détenteurs icaunais de ces étoiles, « La Côte Saint-Jacques » (double étoile) et le Château de Vault-de-Lugny.

 

Thierry BRET

 

 


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