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Sa présence est un évènement. L’un de ces instants rares à biffer sur un agenda parce que la thématique du jour abordée lors d’une conférence débat mérite que l’on s’y intéresse de très près. Le mal-logement dans la France de 2023, évoqué sans tabou et dans sa froide réalité. Le vécu de 4,1 millions de personnes selon le récent rapport de la Fondation Abbé Pierre. Un chiffre qui fera réagir Bernard DEVERT, président-fondateur très investi de la structure « Habitat et Humanisme »…

 

AUXERRE : La France du logement va mal. Très mal, même pour celles et ceux de nos compatriotes qui souffrent dans leur chair et dans leur cœur d’une absence totale de logement personnel.

La récente livraison du très attendu rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre sur la question fait froid dans le dos. Ce sont à date plus de quatre millions de Français qui vivent dans la précarité immobilière la plus détestable. Un chiffre qui prend une considérable ampleur si l’on y ajoute les 12 millions de personnes touchées à des degrés divers par la crise du logement. Bref, la France, sixième puissance mondiale selon les spécialistes, place plus de 15 millions de ses habitants dans les affres de l’incertitude et de la paupérisation du fait de ce que l’on nomme d’ordinaire le mal-logement.

 

La politique du logement pointée du doigt par la Fondation Abbé Pierre…

 

Un mal qui ronge sournoisement les esprits. Surtout de celles et ceux qui en sont les victimes innocentes. Ces personnes qui auront à subir de plein fouet depuis 2020 une crise sanitaire mondiale, puis les effets retors de la crise énergétique imputable à la guerre en Ukraine. Le 28ème rapport de la Fondation Abbé Pierre arrive donc à point nommé pour tirer la sonnette d’alarme : il y a urgence à informer et à agir !

C’est le bien-fondé de l’association « Habitat et Humanisme » Son ADN, en quelque sorte. Une structure qui aime titiller les consciences, en essayant de faire bouger les lignes. De la pensée, certes, mais aussi dans l’action. Du spéculatif à l’opératif, en somme, il n’y a qu’un pas !

Aussi, à l’issue de son assemblée générale ordinaire – elle se déroulera ce mercredi 10 mai à partir de 17h30 dans l’une des salles de l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre -, se déroulera une conférence débat, dont le fil d’Ariane sera consacré au mal-logement. Un item où il y a beaucoup à dire – et surtout à faire ! –tant la politique du logement déclinée par le gouvernement dans ce début de second quinquennat, manque singulièrement de consistance.

Or, il semblerait, pour l’heure, que 2023 soit toujours dans la même veine et sans saveur appétissante au niveau de la politique du logement menée par l’équipe gouvernementale alors que l’année dernière le même rapport livré par la Fondation Abbé Pierre avait déjà ressorti plusieurs préconisations à suivre pour faire reculer ce fléau du mal-logement du paysage français. Des suggestions au nombre de six avaient été clairement formulées, pour mémoire : la généralisation de l’objectif « zéro personne sans domicile », produire 150 000 logements sociaux par an, encadrer les marchés immobiliers afin de diminuer les prix, l’éradication des passoires énergétiques en une décennie, résorber l’habitat indigne et, enfin, déclencher un choc de redistribution des logements.

 

 

Un homme de foi pour faire respecter l’un des droits essentiels : se loger !

 

Toutefois, l’Etat n’est pas indifférent à cette délicate problématique. Le Conseil national de la Refondation, organe apparu en novembre 2022, pourrait se charger de la mise en application et du suivi de ce dossier capital.

Président-fondateur de la structure associative, « Habitat et Humanisme », Bernard DEVERT fera le déplacement depuis la capitale des Gaules (Lyon) pour donner mercredi soir à Auxerre son analyse – on l’imagine pertinente - lors de ce plateau conférence où siègeront à ses côtés l’élue locale en charge de la santé, des affaires sanitaires et sociales, des solidarités, du handicap et des seniors, Maryline SAINT-ANTONIN. Un débat où prendront part deux représentants des services de l’Etat, Jean-Michel LOUYER et Jean-François SILVAN, de la direction départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP 89) et peut-être un représentant du Conseil départemental.

Prenant conscience des injustices liées au logement dans les années 1980, Bernard DEVERT – il a suivi en parallèle de son activité de placements immobiliers et de promotion immobilière un parcours théologique qui va aboutir à la prêtrise en 1987 ! -, a porté sur les fonts baptismaux « Habitat et Humanisme » en 1985, sur la base de deux principes : l’esprit d’entreprise à travers le génie immobilier et la soif de justice.

Dès l’origine, « Habitat et Humanisme » sera pensé, non comme une association caritative ordinaire mais comme une entreprise à caractère social, réconciliant l’économique et le social, l’humain et l’urbain. C’est en faisant appel à des investisseurs privés réunis en SCI que les premiers logements seront acquis, et c’est toujours cette même dynamique d’innovation et d’entrepreneuriat social qui caractérise le mouvement, trente années plus tard. Le président ne dit-il pas pour justifier cette création, la chose suivante : « La ville doit être traversée par la différence, et non se développer à partir de strates monolithiques. Et là où le vivre ensemble n’est pas perceptible, il y a injustice ; l’homogénéité de l’habitat concourt à la rigidité assassine des sociétés occidentales.»…

 

En savoir plus

Conférence débat « l’état du mal-logement dans la France de 2023 »

Organisée par « Habitat et Humanisme », à l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre

A partir de 19 heures

Sur invitation.

 

Thierry BRET

 


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A contre-courant du projet de loi immigration défendu par Gérald DARMANIN, La France Insoumise prône en la matière, une politique « humaniste et réaliste ». C’est ce que sont venus rappeler lors d’une soirée débat à Auxerre, Danièle OBONO, députée LFI de la 17ème circonscription parisienne et Mickael IDRAC, docteur en sociologie des migrations, co-responsable national sur le sujet, au sein de la formation politique présidée par Jean-Luc MELENCHON...

 

AUXERRE : L’image avait en septembre 2015 ému le monde entier. Aylan, un enfant syrien de trois ans, retrouvé mort noyé sur une plage turque, avec le sable pour linceul, tee-shirt rouge et bermuda bleu balayés par les vagues de la mer Egée et devenu rapidement le symbole d’une crise migratoire trop souvent réduite à l’inhumanité des chiffres, dans leur triste globalité.

Plus de 24 000 décès auraient été recensés depuis 2014 pour la seule mer Méditerranée. Autant de destins fracassés, autant de familles endeuillées, autant de vies brisées par la cupidité de passeurs assassins… En huit ans, peu de choses ont changé si ce n’est que cette hécatombe contribue à alimenter le fantasme « d’invasion » véhiculé par certains, à l’encontre de l’idée même que l’on se fait du « pays des Droits de l’Homme ». Pour autant, peut-on « accueillir toute la misère du monde », comme s’interrogeait en son temps Michel ROCARD, alors Premier ministre ? Non répondent une majorité de Français qui, selon un sondage Ifop-Fiducial réalisé en novembre dernier, considèrent à 70 % que notre pays compte déjà beaucoup d’étrangers et réfutent toute idée d’accueil d’immigrés supplémentaires.

 

 

Un pauvre qui fuit un pays pauvre va dans le pays le plus proche…

 

« Encore faut-il savoir de quoi et de qui on parle » rétorque Mickael IDRAC, qui rappelle qu’en matière d’immigration, la France se situe à un niveau bien inférieur à la moyenne, avec 36 % de personnes supplémentaires accueillies en vingt ans, contre 120 % de plus pour la Suède ou 100 % pour le Royaume-Uni. La réunification familiale, « que l’on nous vend comme un fléau », ne représentant désormais que moins de 4 % des titres de séjour octroyés.

A ses yeux, le projet de loi sur l’immigration défendu par le ministre de l’Intérieur n’a pour but que de « détricoter » le système d’asile français, en « complexifiant un peu plus l’accès au droit, l’objectif est de fabriquer de l’illégalité, avec pour conséquence de permettre l’expulsion des personnes… ». S’interrogeant sur l’idée même de « crise migratoire », si l’on considère que 3 % seulement de la population mondiale sont concernés, « un chiffre structural sous lequel on ne peut descendre », parmi lesquels 38 % de flux entre pays du Sud contre 34 % de flux sud-nord, voire 86 % de flux sud-sud en cas de migrations forcées : « un pauvre qui fuit un pays pauvre va dans le pays le plus proche, il ne se dit pas, « et si je visais la France ou la Belgique ? » … ».

 

 

 

Se donner une légitimité identitaire autour de la xénophobie…

 

Rappelant qu’au programme de La France Insoumise était inscrit, outre une politique d’ouverture réclamant le retour de la carte de séjour de dix ans, la création d’un statut de « détresse environnementale », considérant en la matière la responsabilité des pays occidentaux : « que ce soit dans les catastrophes climatiques entrainant des millions de déplacements de population, dans les guerres ou dans les dérèglements économiques à travers le monde… ».

Plaçant d’emblée le débat sur le terrain politique, Danièle OBONO a dénoncé le climat dans lequel cet énième projet de loi est proposé : « il s’agit pour eux de se constituer une base sociale et électorale structurée par autre chose que l’adhésion au macronisme, qui reste aujourd’hui minoritaire dans la société. Ils ont besoin de ce liant que constitue l’aspect xénophobe autour de l’immigration, leur permettant en la matière, de se donner une légitimité identitaire… ».

 

 

Bulletin passable, peut mieux en faire en matière d’accueil !

 

Ironisant dans le même temps sur le nombre pléthorique de lois concernant l‘immigration votées depuis 1990 : « une loi tous les dix-huit mois ! A ce rythme, impossible de dresser un bilan, une frénésie législative qui empêche le débat et ne vise pas à régler un problème migratoire mais à justifier sans cesse l’existence de ce débat… ».

Prenant pour exemple l’accueil réservé aux réfugiés Ukrainiens, la députée de Paris se dit persuadée que seul un choix politique empêche d’appliquer le même traitement à d’autres populations : « il y a là une dimension politique de faire croire que c’est un problème insurmontable, de manière à en faire une rente politicienne. Je ne dis pas que c’est simple, mais on l’a vu avec les réfugiés en provenance d’Ukraine, on peut accueillir dignement dans ce pays… ».

Avec en point d’orgue ces données rappelées par Mickael IDRAC sur le sujet, à savoir que la France, « pays des Droits de l’Homme » est celui accueillant le moins de réfugiés ukrainiens en Europe. A titre d’exemple : 40 fois moins que les Tchèques, 25 fois moins que les Polonais, 11 fois moins que les Allemands, 5 fois moins que les Belges et 2 fois moins que les Grecs… Bulletin passable, peut mieux faire !

 

Dominique BERNERD

 


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Du 04 au 10 juin prochain, Vichy accueillera les « VIRTUS Global Games » dans son cadre de verdure bien connu des curistes. Soit treize disciplines, permettant à un millier d’athlètes internationaux de s’affronter durant une semaine de compétitions. Une répétition instructive à douze mois des Jeux Olympiques de Paris. Terre de sport, comme chacun le sait, Auxerre réceptionnait le week-end dernier l’équipe nationale de Para Handball adapté. Avec le concours du club local…

 

AUXERRE : C’est au complexe sportif René-Yves AUBIN que s’est déroulé ce stage préparatoire de l’équipe de France de Para Handball avant qu’elle ne rejoigne d’ici quelques jours les infrastructures d’accueil de Vichy, théâtre de cette édition 2023 des « VIRTUS Global Games » du 04 au 10 juin.

Une équipe tricolore qui se frottera durant cette compétition aux cadors de la discipline, où deux joueurs et un entraîneur évoluant au sein du Handball Club Auxerrois (HCA) ont été sélectionnés. De quoi apporter pleine satisfaction au président Raphaël BESANCENOT et à l’ensemble de son staff !

 

 

La formation tricolore a été reçue également par les officiels de la ville, en l’occurrence le premier vice-président de l’Agglomération de l’Auxerrois, Christophe BONNEFOND et Hicham EL MEHDI, en charge des Sports en sa qualité d’adjoint municipal. On notait également la présence de l’élue responsable de la Communication, Emmanuelle MIREDIN.

Plus que jamais, l’Yonne peut s’honorer de porter le titre distinctif de « Terre de jeux » !

 

Thierry BRET

 

 


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Il ne faut pas se fier aux apparences. On le sait, elles sont parfois trompeuses à plus d’un titre. Derrière le sourire angélique et bienveillant de la conseillère municipale d’opposition auxerroise, Maud NAVARRE, se cache une profonde colère. Qu’elle partage avec son amie et colistière – « Les Printemps pour Auxerre » - Farah ZIANI : le mépris fait à la qualité de l’enseignement secondaire qui va se traduire par la mise sous le paillasson des clés du lycée Saint-Germain. Une clôture définitive des portes a été annoncée pour 2026…

 

AUXERRE: Elles ne décolèrent pas les deux élues de l’opposition de la ville d’Auxerre. Et pour une fois, leur courroux ne provient pas d’une décision prise par la majorité municipale ! Non, l’objet de leur mécontentement n’est autre que la fermeture du lycée Saint-Germain, établissement bien connu des familles locales. Un groupe scolaire qui, somme toute, devrait mettre la clé sous le paillasson et ce de manière définitive d’ici trois ans, soit en 2026. De là à prendre la plume afin de rédiger une tribune à paraître dans un organe de presse, il n’y a qu’un pas. Il a été franchi sans l’once d’une hésitation par les deux rédactrices de cette lettre ouverte qui appelle nécessairement des réponses ; voici le résultat de ce travail épistolaire à découvrir ci-dessous à l’estampille de Maud NAVARRE et de Farah ZIANI…

 

 

Une lettre ouverte qui pose bon nombre d’interrogations…

« L’annonce de la fermeture du lycée Saint-Germain en 2026 est une nouvelle entaille dans l’enseignement secondaire auxerrois et icaunais. Après les menaces qui ont plané sur le lycée Jacques-Amyot il y a quelques mois, après la fermeture du collège Bienvenu-Martin il y a quelques années, c’est au tour du lycée Saint-Germain dont le déplacement du centre-ville d’Auxerre vers le lycée Fourier semble définitivement acté.

Nous déplorons cette décision purement financière (faire des économies) qui ne présente aucun intérêt ni sur le plan pédagogique, ni sur le plan des infrastructures.

Sur le plan pédagogique, c’est un recul. Les élèves de Saint-Germain et de Fourier vont être concentrés dans un grand lycée (environ 1 400 élèves).

 

 

Le lycée Fourier accueille déjà des élèves issus en partie de « milieux en difficultés », comme l’explique le représentant de la FSU enseignant à Fourier, Olivier THIEBAUT dans l’édition de « l’Yonne Républicaine » du 26 avril 2023.

La fusion avec le lycée Saint-Germain va accroître le phénomène. Cette décision revient tout simplement à concentrer les difficultés sociales et scolaires dans un même établissement, qui plus est, avec un gros effectif à gérer.

L’encadrement administratif sera lui aussi mutualisé et sans doute, à terme, des enseignants aussi. Autrement dit, ce sera moins de moyens humains pour des élèves qui en ont particulièrement besoin !

Sur le plan des infrastructures, on aurait pu attendre du Conseil Régional pourtant constitué d’une majorité comprenant des élus écologistes qu’il s’engage dans un projet d’envergure pour rénover le lycée Fourier construit il y a maintenant plusieurs dizaines d’années et qui présente des problèmes d’isolations (fenêtres défectueuses par exemple). C’était l’occasion de lancer un plan de rénovation énergétique de ces bâtiments qui en ont bien besoin. Raté !

 

 

Enfin, notre centre-ville va continuer à se désertifier : ce sont 200 jeunes de moins et plusieurs dizaines d’enseignants et personnels administratifs qui ne fréquenteront plus les commerces. C’est un nouveau coup porté au développement de l’hyper-centre, dans l’attente d’un éventuel projet de la mairie qui ne viendra pas - de toute façon - avant plusieurs années.

Une demande d’explication a été faite auprès de la présidente de région Marie-Guite DUFAY qui botte en touche. Cette fermeture nécessite sans tarder des explications claires et précises sur le projet éducatif poursuivi. Le lycée Fourier est-il vraiment en mesure d’accueillir d’autres élèves alors que cet établissement mériterait d’être rénové ?

Quand allons-nous miser sur la jeunesse ? Nous entendons par différentes voix que notre ville mise sur la culture. Nous nous demandons à partir de quel âge les jeunes Auxerrois peuvent participer à la culture ?

De ce fait, nous demandons aux élus de tout bord, y compris de gauche et/ou proches de la présidente de région Marie-Guite DUFAY de s’opposer à cette fermeture et de défendre un enseignement de qualité. Notre territoire rural, en perte d’habitants, en a particulièrement besoin ! ».

 

L’appel fait en direction des élus socialistes de l’exécutif régional qui gèrent la destinée de la contrée sera-t-il entendu in fine ? C’est ce que souhaitent les deux auteures de cette lettre ouverte qui a, au moins le mérite, de mettre les pieds dans le plat et de lever quelques lièvres au sujet de l’éducation et de l’enseignement à distiller à notre progéniture…

 

Thierry BRET

 

 


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Le dossier est suivi de longue date par l’Agence Economique Régionale (AER). Il en vaut la peine car demain il s’agira de faire transiter massivement les marchandises de la Bourgogne Franche-Comté à l’international. Qu’elles soient industrielles ou agricoles. Une révolution liée à la mobilité durable et au respect de la protection environnementale. Réduire le transport sur route afin de le repositionner sur le rail, le fluvial et le maritime est devenu l’un des credo prioritaires de la Région en matière de logistique.

 

GRON : C’est accompagné du chef de projet de l’Agence Economique Régionale (AER) en charge du numérique, de la logistique et de la relation client, Alban STREBELLE, que le vice-président de la Région BFC, Nicolas SORET, s’est rendu sur le complexe portuaire en périphérie de Sens afin de s’imprégner de l’atmosphère du moment. Une ambiance propre à développer des échanges commerciaux à l’international, notamment en ce qui concerne les marchandises industrielles et agricoles transitant en nombre sur le complexe structurel du nord de l’Yonne.

Pourvu en sa qualité d’élu régional d’un large portefeuille comprenant les finances, le développement économique, l’emploi et l’économie sociale et solidaire (ESS), le maire de Joigny ne pouvait manquer de saluer tout le travail effectué de longue date sur le site septentrional du territoire, un point névralgique essentiel au rayonnement du commerce et de la circulation de produits manufacturés en provenance de l’Yonne, et bien au-delà.

Accueilli par Didier MERCEY, dirigeant de la société qui assure l’exploitation de la zone portuaire de Gron, LOGI YONNE, Nicolas SORET a par cette visite plus que de courtoisie rappelé le soutien de la Région à l’égard d’une telle infrastructure que représente cette zone portuaire, véritable carrefour entre différents modes de transport du fret : le fluvial, le maritime via les ports du Havre et d’Anvers en Belgique et le ferroviaire, avec la filiale, « LOGI RAILWAY ».

 

 

92 % des marchandises transitant par la zone portuaire partent à l’export…

 

Un chiffre résume à lui seul la place prépondérante tenue par le port de Gron et ses 20 000 mètres carrés de plateforme dans cet échiquier de l’import/export : 92 % des marchandises sont destinées à alimenter des circuits de distribution internationaux.

Ce déplacement aura aussi permis à l’élu de la Région de faire un point étape avec son hôte sur le projet initié conjointement par LOGI YONNE et la coopérative agricole, YNOVAE.

Cette dernière est désireuse de se doter d’une plateforme de chargement lui permettant d’écouler des céréales à bord de deux convois ferroviaires longs de 750 mètres ! Un concept de mobilité durable qui évitera aux poids lourds d’engorger les routes locales mais qui sera tout de même lourd financièrement à réaliser.

D’où le soutien indéfectible de l’exécutif régional qui va continuer à aider le port de Gron à se développer via cette orientation ferroviaire facilitant l’intermodalité.

 

Thierry BRET

 

 

 


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