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S’il y avait un chiffre à retenir à l’issue de la décision prise par les élus de l’Auxerrois le 25 mai dernier, ce serait celui-là ! 140. C’est en million d’euros le montant de l’enveloppe budgétaire qui sera investie au cours de ces vingt prochaines années par la Communauté d’Agglomération et le délégataire pour la construction de deux unités de traitement, la rénovation de 140 kilomètres de réseau ou encore l’installation de 35 000 compteurs de nouvelle génération. Quant au partenaire retenu pour mener à bien ces missions, l’Auxerrois a finalement opté pour SUEZ…

 

AUXERRE : Ils étaient deux opérateurs en lice sur la grille de départ pour espérer enlever le marché. Celui-ci n’était pas n’importe lequel, par ailleurs ! Puisqu’il s’agissait du renouvellement de la délégation du service public (DSP) d’eau potable et d’assainissement de la communauté de l’Auxerrois. Un sérieux dossier pour les deux protagonistes qui avaient postulé à cet appel d’offres. Ils étaient donc les seuls à y prétendre. Avec d’un côté, SUEZ. De l’autre, VEOLIA.

Deux poids lourds de la gestion de l’eau dans l’Hexagone qui se retrouvaient en concurrence frontale pour l’attribution définitive de ce dossier. Or, le suspense aura tourné court lors de la dernière séance communautaire accueillie à Champs-sur-Yonne. La préférence de l’exécutif communautaire revenant à SUEZ ; c’est donc ce mastodonte de la gestion de l’eau qui empochait la mise dans cette partie où chacun avait au préalable fourbi ses armes et ses arguments !

 

Un contrat de vingt ans pour la distribution, de cinq ans pour l’assainissement…

 

Hormis les voix discordantes de quelques représentants de l’opposition – dans la pure logique des choses lorsque l’on est dans la minorité ! -, les élus de la CA ont choisi ce nouveau contrat, celui-ci devant courir sur deux décennies ou presque. Car dans les faits, le nouvel accord qui deviendra effectif d’ici peu, c’est-à-dire à partir du 01er juillet 2023, se décompose de la manière suivante : cinq ans pour le volet assainissement, mais vingt ans pour la distribution d’eau potable.

Pourquoi avoir choisi le long terme dans l’approche méthodique de ce dossier ? C’est simple ! Les élus communautaires favorables à ce dispositif se sont positionnés sur la sécurisation et la gestion optimale des ressources en eau potable au cours de ces vingt prochaines années. Une raison à cela : le risque de ruptures d’approvisionnement qui devrait aller crescendo dans les années qui viennent dans l’Hexagone, confronté à de récurrentes périodes de sécheresse, imputable à la mutation climatique.

Concrètement, et c’est cela qui a conforté leurs choix, les élus de l’Auxerrois majoritaires ont joué la carte de la distribution d’une eau potable de qualité – elle est même définie de « premium » - qui soit en permanence disponible quel que soient les problématiques observées au niveau du climat et de ses incidences.

 

   

Des travaux à la pelle pour améliorer l’accès à l’eau potable…

 

Dans un premier temps, débuteront d’importants travaux. Ceux qui concernent la sécurisation des ressources et des réseaux de distribution plutôt vieillissants, c’est-à-dire des chantiers qui seront engagés dès 2025.

Une nécessaire intervention sur le terrain qui est évaluée à 140 millions d’euros, somme investie au cours des deux prochaines décennies par l’Auxerrois et SUEZ.

S’il faudra patienter encore deux années avant d’observer le premier coup de pelleteuse en 2025, les travaux se termineraient dès l’année suivante. Trois principales zones de captage sont ciblées : la Plaine du Saulce à Escolives-Sainte-Camille, les Boisseaux à Monéteau et la Plaine des Isles, répartie entre Monéteau et Auxerre. Y seront érigées deux unités de traitement. Elles permettront d’éliminer les micropolluants tels les pesticides et les résidus médicamenteux – bof, on trouve même cela dans l’eau ! – grâce à des filtres à pression performants. Coût de l’investissement : 18 millions d’euros.

Il est à signaler que les actions menées depuis le début des années 2000 sur la préservation de la ressource dans ces périmètres de captage se poursuivront à l’avenir, en étant amplifiées à partir de nouvelles mesures.

 

 

Renouveler chaque année 1 % du réseau de distribution…

 

Quant au réseau d’acheminement de l’eau potable, il va subir également un sérieux lifting ! Aussi, les tuyaux qui amènent l’eau jusqu’au robinet vont être améliorés. Objectif : il faut optimiser leur rendement et le passer ainsi de 75 % à l’heure actuelle à 85 % dès 2031.

Précision intéressante de Crescent MARAULT, président-maire de la Communauté de l’Auxerrois : « Chaque année, nous allons renouveler 1 % de notre réseau de distribution d’eau, explique-t-il, alors que la moyenne nationale se situe à 0,58 %... ».

Une opération qui représente un investissement de 80 millions d’euros sur les vingt prochaines années. Soit 4 millions d’euros de travaux annuels.

Dans le chapitre des autres réalisations connexes qui sont envisagées afin que ce maillage communautaire fonctionne à la perfection, citons la création d’interconnexions des systèmes de distribution entre Saint-Bris-le-Vineux, Vincelles et Vincelottes, mais aussi entre les réservoirs du haut de Saint-Georges-sur-Baulche et la station météo ainsi qu’entre le réservoir de Chevannes et celui de Vallan.

Tout ceci étant prévu sur 2024. Connecter ces réseaux séparés au réseau principal est la priorité de cette démarche pratico-pratique, afin de garantir la distribution d’une eau « premium » à tous les habitants de l’agglomération. Sur ce point précis, le coût de la manœuvre s’élèvera à 1,3 million d’euros.

Enfin, et pour être tout à fait complet sur le sujet, les ouvrages de stockage se verront gratifier d’une enveloppe de 5 millions d’euros leur permettant d’être réhabilités et adaptés, avec comme conséquence le doublement de leur capacité en 2026. Ce sera le cas, notamment pour le réservoir de Chantemerle.

 

Une hausse de 6 euros par mois et par famille à partir de 2027…

 

In fine, quelles seront les conséquences de tous ces aménagements pour le consommateur au bout du robinet ?

La première d’entre elles concerne la pose de compteurs de nouvelle génération. 35 000 de ces appareils seront installés d’ici à la fin 2025. Les habitants de l’Auxerrois bénéficieront donc d’un service d’eau qui sera connecté grâce à un système de « télérelève ». Mais, de quoi parle-t-on, précisément ?

Ce dispositif permettra de recevoir une facturation au réel de l’eau consommée. Exit l’époque hasardeuse et parfois confuse de l’estimation ! Le déploiement de ce nouveau mode de consommation débutera d’ici quelques jours, dès le mois de juillet prochain. Une offre de service nécessitant un investissement de cinq millions d’euros. Autre avantage de ce principe présenté comme vertueux : la détection des fuites en temps réel. Ces fameuses fuites dont il va falloir éradiquer les effets au vu de leurs pertes considérables et coûteuses !

Parallèlement, une Maison de l’Eau sera construite à Auxerre en complément de l’accueil habituel réservé aux clients et des accueils temporaires dans les mairies et les maisons France Services, lors des périodes de facturation. On y trouvera une kyrielle d’informations sur le développement des projets, les investissements en cours et à venir, mais aussi des indicateurs propres à l’amélioration de la qualité.

Reste à poser la question qui brûle toutes les lèvres à la lecture de ce dispositif fortement « aquatique » sur l’Auxerrois : le prix du mètre cube d’eau par mois !

Celui-ci évoluera évidemment à la hausse à partir de 2027 pour 73 % des ménages mais d’une manière très modérée, de l’ordre de six euros par mois et par famille. Ce chiffre est calculé sur la base d’une consommation annuelle de 62 m3, ce qui représente la consommation moyenne de trois quarts des ménages de l’Auxerrois.

Bref, au vu des investissements nécessaires qui garantissent le maintien de la qualité premium et à sa pérennité dans le temps, cette hausse de la tarification semble parfaitement abordable et maîtrisable pour les familles…

 

Thierry BRET

 


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C’est net et sans bavure ! La biodiversité et le covoiturage ne s’inscrivent pas encore parmi les priorités essentielles des collectivités qui font la demande du Fonds vert, après la dépose d’un dossier en préfecture. Sur les dix grands items, intégrant le dispositif voulu par l’Etat, virent en tête (et de très loin) la rénovation thermique, la transformation de l’éclairage public et, à un degré moindre, le recyclage des friches.

 

JOIGNY : Est-ce une surprise en soi ? La rénovation thermique, la transformation de l’éclairage public et le recyclage des friches figurent, et de très loin, dans le trio de tête des dossiers qui ont été déposés par les collectivités de l’Yonne depuis le lancement il y a quatre mois du dispositif Fonds vert. Un processus novateur qui donne l’opportunité à l’Etat de soutenir les initiatives locales et territoriales visant à l’amélioration de la transition écologique et du développement durable.

Profitant de la remise d’un chèque de 500 000 euros à la collectivité de Joigny pour la rénovation thermique de l’un de ses groupes scolaires, l’école Saint-Exupéry – un projet de 1,7 million d’euro de financement de l’Etat au titre de la DETR (1,2 million) et du Fonds vert (500 000 euros)  -, le préfet de l’Yonne Pascal JAN s’est fendu d’un point étape très instructif sur le dispositif, quatre mois après le déploiement de la mesure sur le territoire icaunais.

 

Déjà 72 dossiers dans l’escarcelle de la préfecture…

 

A date, ce sont 72 dossiers réalisés par des collectivités locales qui ont ainsi été déposés auprès des services préfectoraux. Seize d’entre eux ont déjà reçu la bénédiction urbi et orbi du haut fonctionnaire de l’Etat, Pascal JAN, qui les a rendus recevables à l’enveloppe étatique, soit un total de 8,9 millions d’euros affectés sur le seul territoire de l’Yonne. Ces seize dossiers liminaires représentent un total d’aides de 2,3 millions d’euros. Le reliquat restant pour l’heure en cours d’instruction.

Jugeant ce score de 72 dossiers « plutôt encourageant et positif », le préfet de l’Yonne s’attend à une montée en puissance du nombre de demandes faites par les collectivités d’ici la fin de l’année ; sachant que l’enveloppe initiale de 8,9 millions est encore loin d’être épuisée.

Naturellement, mais pouvait-il en être autrement dans le choix des collectivités, cette première somme de dossiers porte pour l’essentiel sur des travaux de rénovation thermique des infrastructures (28), le changement de l’éclairage public en mode moins consommateur d’énergie (28) et la revalorisation des friches (10). Une manière peut-être de contourner la récurrente problématique des ZAN (zone artificialisation nette) qui préoccupe moult élus ruraux.

 

 

Le covoiturage et l’encouragement de la biodiversité ne font pas recette…

 

A contrario, quelques-unes des dix thématiques prévues par les Fonds vert ne font absolument pas recette auprès des collectivités demandeuses des fameux subsides. C’est le cas, notamment, de la prévention des incendies de forêt  – « un effort est à faire sur ce sujet insiste Pascal JAN » -, de la prévention des inondations ou encore de la renaturation des villes. Etonnant alors que ces items se rapportent directement aux effets induits des changements climatiques.

Quant à la mobilité douce, elle ne semble pas faire florès non plus dans les alcôves municipales où l’encouragement du covoiturage se traduit par le dépôt d’un seul et unique dossier de soutien officiel à ce jour !

Bref, en matière de transition écologique et environnementale, le chemin est encore long pour qu’évoluent positivement les mentalités de nos élus territoriaux et de leurs administrés même avec des subventions étatiques à la clé !

Optimiste, Pascal JAN estime toutefois que ces dossiers se réduisant néanmoins aujourd’hui à la portion congrue devraient arriver de façon plus conséquente en 2024 avec la continuité du dispositif.

Il est à noter que l’encouragement à la préservation de la biodiversité n’a connu aucun écho parmi les 72 dossiers déjà déposés. Un sujet pourtant ô combien crucial dans nos campagnes que portent haut au quotidien les voix des écologistes.

Là encore, Pascal JAN fait montre d’optimisme, espérant un recentrage des futurs dossiers à venir vers ces orientations primordiales à la sauvegarde de la planète, et de ses habitants.

 

La sobriété énergétique, la vraie solution qui nous concerne tous ?

 

« Nous sommes dans une dynamique positive, affirme Pascal JAN, plutôt que de recevoir des projets en trop grande quantité, il est judicieux de collecter des projet de qualité… ».

Le porte-étendard de l’Etat sur notre territoire aura insisté également sur l’importance d’initier ces projets à l’aide de ce fonds : « L’Yonne doit s’inscrire dans cette démarche de transition écologique et environnementale. Forcément, le faire signifie profiter de progrès économiques et sociaux à terme. Au bout du compte, il y aura des gagnants et des perdants sur cette thématique : autant se situer dans la première catégorie… ».

On sent bien que le préfet a envie de doper l’attractivité de ce territoire dont il accompagne la gestion depuis plus d’un an. Un mot cher à ses yeux ! « Il faut agir aujourd’hui et prévoir pour demain, précisera-t-il un peu plus tard lors de son exposé.

Nonobstant, le vrai cheval de bataille de cette politique tous azimuts de l’Etat envers la transition écologique repose sur un principe vertueux fondamental : la sobriété énergétique. L’un des leitmotivs préférés de Pascal JAN qui ne manquera pas de l’aborder avant de conclure ce bilan intermédiaire sur le Fonds vert.

« C’est l’ultra priorité de l’urgence écologique… ». Une priorité que doivent s’approprier coûte que coûte nos concitoyens dans leurs gestes journaliers. La seule véritable attitude responsable de notre société ?

 

Thierry BRET

 


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« Nous travaillons main dans la main, au service du développement économique… ». Sur la scène inaugurale de la troisième édition du Forum de l’Emploi, accueilli dans les salons de l’hôtel de ville de Joigny, François BOUCHER (Les Républicains) a résumé en une petite phrase l’état d’esprit collaboratif qui règne sur ce territoire central de notre département. Une phrase qui n’aura pas été contestée par Nicolas SORET, édile du cru (Parti Socialiste) ni par le conseiller régional du Parti Communiste, Patrick BLIN…

 

JOIGNY : Quand des élus d’un territoire, même d’obédiences politiques divergentes, s’entendent à merveille pour servir les desseins de l’intérêt général de leurs administrés et de la chose économique, il faut le dire et le faire savoir de manière limpide ! C’est en substance le message de clôture qu’aura fait passer le maire de Migennes et président de la Communauté de commune ad hoc, François BOUCHER, au terme de son intervention inaugurale, en qualité de président de la Mission Locale de ce secteur géographique, mercredi matin, en ouverture de la troisième édition du Forum de l’Emploi.

 

 

Un François BOUCHER, volubile et très à l’aise dans l’exercice oratoire qui aux côtés de Nicolas SORET, président de la CC du Jovinien et maire de Joigny et du conseiller régional, membre de la seconde  commission en charge du développement économique et l’emploi, Patrick BLIN, a été on ne peut plus clair sur le travail coopératif de ce trio dans l’intérêt général de leurs administrés.

« Nous sommes régulièrement en contact, devait-il ajouter, pour que l’ensemble des territoires du Centre Yonne avance dans le bon sens… ».

Un bon sens qui se caractérisait ce jour par l’aide à apporter aux personnes dans leurs recherches et l’accompagnement vers l’emploi, la formation et l’orientation. Au vu du nombre des participants et de la fréquentation dans les allées, le pari a été réussi. Il est à mettre à l’actif de la Mission Locale et de l’ensemble de ses partenaires institutionnels !

 

Thierry BRET

 


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Après Dijon, ce jour, l’exercice est dupliqué dès mercredi à Troyes. De la pure logique, en fait, puisque l’établissement bancaire offre ce particularisme d’agir au plus près des territoires sur sa zone d’influence, tant en Champagne qu’en Bourgogne. La « Banque verte » place dorénavant l’accompagnement des entreprises vers la transition écologique comme l’une de ses missions primordiales. Une direction spécifique vient même d’y être créée. Elle est incarnée par Eric CAMPOS : il en a défini les contours lors d’une intervention publique…

 

DIJON (Côte d’Or) : Ce n’est pas une marotte de plus liée à un quelconque phénomène modal. Bon nombre d’entreprises prennent désormais le taureau par les cornes, non pas pour le mener à l’abattoir afin de mieux l’achever mais bien pour l’emmener avec elles vers d’autres rivages plus sûr où l’on parle à foison de développement durable, d’économies d’énergies, de transition écologique. Des bienfaits concédés à la planète pour qu’elle devienne plus respirable et par ricochet, favorable à l’humain. Dont il faut préserver coûte que coûte l’existence…

Dans ce domaine, le Crédit Agricole n’est pas en reste. Une évidence quand on demeure la première banque à agir quotidiennement sur son territoire auprès des filières corporatistes ayant un lien direct avec la nature. Une légitimité quand on dispose d’une telle force de frappe (vitrines commerciales, nombre de salariés, présence de proximité, modernisme technologique, moult expériences acquises au fil de l’eau, désirs d’expérimentation…).

Le premier des deux épisodes déclinés cette semaine par l’établissement régional auprès des chefs d’entreprises sur la transition écologique est ainsi sans appel : le Crédit Agricole se positionne comme l’un de ces acteurs inaliénables avec lequel il est impératif de travailler afin d’être guidé au plus juste vers les nouveaux paradigmes se présentant à nous.

 

 

Le fruit de trente années d’expériences et de réflexions…

 

Alors, quand l’orateur de l’instant – Eric CAMPOS, directeur du pôle transition énergétique, nouvellement apparu au sein de la « grande maison » - prend la parole en guise de préambule lors de ce moment qui restera une journée de travail intense et enrichissante à bien des égards par le flux d’informations fournies et des réflexions, affirmant que le Crédit Agricole demeure au passage le premier partenaire bancaire des énergies renouvelables, on ne peut que le croire !

« Cela fait bientôt plus de trente ans que nous nous intéressons à cette thématique, confesse-t-il devant un parterre d’entrepreneurs du microcosme dijonnais. Nous sommes aussi le premier investisseur institutionnel avec la filiale Crédit Agricole Assurances ; celle-ci a une production de 15 GigaWatts en objectif d’investissements d’ici 2025. ».

 

 

Un groupe entrepreneurial bien engagé sur ce sujet comme va s’en apercevoir tout au long de cette prise de parole une assistance fort à l’écoute.   

« Il faut investir massivement dans les énergies renouvelables, renchérit l’intervenant, micro en main, aujourd’hui, toutes les caisses régionales sont positionnées sur ce sujet. Sortir des énergies fossiles est donc une nécessité. Nous, de notre côté, on s’est engagé à en sortir. Même si nous sommes encore dans l’obligation de les financer parce que l’économie ne peut pas s’arrêter comme cela du jour au lendemain… ».

 

 

 

Créer un deuxième métier : celui de producteur d’énergie…

 

 

Toutefois, dans huit ans, plus un centime d’euro d’investissements ne sera accordé par le Crédit Agricole aux entreprises qui produisent des énergies fossiles dans l’OCDE. Reste une autre problématique qu’évoquera dans la foulée Eric CAMPOS : celle de la transition écologique vue par le prisme de la société. Avec une équation très complexe à résoudre entre la croissance et la décarbonation. Sur un aspect purement immobilier, la rénovation thermique devra s’appliquer à plus de 400 000 logements en France. Pas si simple !

« Face à tous ces enjeux, poursuit Eric CAMPOS, le Crédit Agricole a décidé de créer un nouveau métier autour de la transition énergétique. Dont j’ai aujourd’hui la charge. On doit être capable de créer de nouvelles expertises techniques pour décarboner le plus possible. Notre établissement recrute ainsi des conseillers, des ingénieurs, des spécialistes de la transition afin d’accompagner les entreprises… ».

Et l’orateur de citer l’exemple décalé de SOFINCO, filiale autrefois connue pour la pratique de ses crédits à la consommation, devenue au fil des ans un vecteur indispensable de la mobilité douce.

« Nous allons passer d’un modèle centralisé à un modèle décentralisé, ajoute le conférencier, la création d’énergie sera demain au plus près des territoires. Il faut être en capacité d’accompagner cette granularité de la production d’énergie en France. Nous exercerons alors un deuxième métier, celui de producteur d’énergie… ».

Conclusion pour Eric CAMPOS : la solution globale au niveau de la question climatique n’existe pas ; seule la solution faisant référence à la somme des solutions locales fera foi. D’où ce besoin inextinguible pour l’établissement de tenter des choses et d’expérimenter à outrance. C’est en essayant que l’on trouve des solutions précise l’adage. Une maxime partagée par l’ingénierie bien-pensante du Crédit Agricole, visiblement et qui veut la partager vers le plus grand nombre !

 

Thierry BRET

 


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C’est la faute à pas de chance. A cette satanée saison 2022/2023 où la Ligue professionnelle de football a choisi de réduire la voilure de son championnat élite, en renvoyant dans les limbes quatre clubs au lieu de deux, comme il était de coutume d’ordinaire chaque année. Et malheureusement, à ce petit jeu-là, l’AJ Auxerre n’aura pas fait le poids face aux cadors habituels et aux « chanceux » expérimentés – le FC Nantes ! – de cette compétition longue et difficile. Bye, bye la Ligue 1, retour à la case départ, en Ligue 2…

 

AUXERRE: C’est le pire des scenarii où il ne fallait pas tomber ! La victoire de Nantes, dans son antre de Loire-Atlantique face au voisin angevin, bon dernier de Ligue 1 alors que dans le même temps, Lens et sa superbe dominaient de la tête et des jambes une vaillante équipe bourguignonne qui se sera persuadée d’y croire jusqu’au bout. Les pronostiqueurs ne s’y étaient point trompés avant la rencontre. Le différentiel entre les surprenants nordistes – ils terminent à la deuxième place du championnat à quatre longueurs seulement d’une formation parisienne toute en contraste et mi-figue mi-raisin encore ce week-end – et les Auxerrois n’a pas été usurpé lors de cette finale pour le maintien. Sur le papier, les Bourguignons n’avaient qu’une infime probabilité de pouvoir battre les époustouflants nordistes. Dans les faits, les spectateurs qu’ils soient rivés devant leur écran de télévision ou dans le stade ont vite compris dès l’entame de cette ultime joute de la saison que le plus dur serait devant eux ! Et quand survint le premier but de l’équipe adverse, l’espoir ne tint plus qu’à un fil. D’autant que du côté de Nantes, Angers devait battre en retraite devant sa cage, encaissant ce petit but qui in fine fera toute la différence en envoyant les Icaunais au tapis, sans qu’il y ait quoi que ce soit à contester.

 

 

Lens ne se privera pas d’alourdir la note en marquant trois buts. Auxerre réduisant le score, sans réelle motivation à une quinzaine de minutes de la clôture de cette rencontre écrite d’avance côté suspense.

Au bout du compte, les protégés de Christophe PELISSIER n’auront pas démérités durant ce match capital même si les frissons de l’enthousiasme ne furent guère nombreux et convaincants pour entretenir la flamme de l’espérance.

Conséquence, mais en toute logique, au vu de la rencontre – voire de la saison qui fut tendue à l’extrême -, l’AJ Auxerre retrouvera donc Troyes et sa victime expiatoire de la saison dernière, l’AS Saint-Etienne, dans le futur championnat de Ligue 2 qui avec Bordeaux, fait figure de série B de belle classe et à l’allure prometteuse tout de même. Il faut bien se consoler d’une manière ou d’une autre, non ?

 

Thierry BRET

 


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