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D'ordinaire, par un beau jour printanier, assis en terrasse, tout en admirant les jolis massifs plantés par les jardiniers municipaux sénonais (sincère bravo à leur  professionnalisme !) en sirotant un verre, on peut entendre par vent d'ouest les annonces en provenance de la gare de Sens : « le train TER numéro 891485.... » sauf que, ce jour-là, point de terrasse, car, comme l'eût dit mon grand-père maternel, il pleuvait comme « une vache qui pisse ! ».

 

SENS : Poussons la porte de cet établissement emblématique du parvis ferroviaire.  Au plafond, subsistent encore moult ballons colorés, souvenir de l'an 1, dignement fêté la veille, semble-t-il !
Après une trop longue période de fermeture, Fred, l'homme des nuits bigarrées de « La Fonderie » de Soucy, en binôme avec Sabine, sa souriante sœur, a rouvert cette belle antre gourmande, qui dans un lointain passé fit hôtel 24/24 ou presque ! Leur credo a de suite fonctionné : de bons produits, bien cuisinés, assortis d'une dose certaine de convivialité. Des racines familiales aveyronnaises peuvent en attester !
Aux fourneaux, « bon sang ne saurait mentir », le jeune cuisinier Benjamin DUCASSOU boucher à l'origine s'applique et se régale à satisfaire la clientèle aussi ! Séquence nostalgie des eighties, lorsque l'établissement était tenu par le couple MASSOLOT, d'anciens bouchers de Malakoff (Hauts-de-Seine). De bon matin, ça ripaillait sec, avec les gars du proche abattoir, entre terrine de pied de porc et tête de veau. Au service, il y avait un « p'tit jeune », qui plus tard, fit sa place dans le coin : Francis BLANCHE ! Bon mais ça, c'était avant, revenons à...2022 !

 

 

Un nectar des temps passés à redécouvrir le « Lillet »…


L'ardoise du jour (plat du jour à 13 euros et une formule à 16 euros) est plutôt alléchante. Prenons le temps de la réflexion, en dégustant un délicieux apéritif : un verre de « Lillet » rosé édulcoré de « Schweppes-agrume », accompagné de petits fours (rare et délicate attention, pas vrai !).

Le « Lillet », nectar bordelais des temps passés, faillit disparaître, et dut sa renaissance, voici quelques années à Olivier MARTIN, orfèvre mondialement connu en matière de spiritueux. Il visita plus de cent pays de par le monde, toujours en quête de belles raretés. Pour le « Lillet », ce fut moins lointain !

Arrivent alors au comptoir,  « M. Extincteur » et Jean-Pierre, le bricoleur rigolard natif de Gron. Ils commandent deux « jaunes » à l'unisson, que le patron leur sert avec quelques frites maisons !

 

Un œuf à la coque truffé servi avec un zeste d’élégance…


Mon assiette d'œuf à la coque truffé arrive alors. Elle est très bien dressée, non sans une certaine élégance, avec ses petites mouillettes, mais aussi une salade bien assaisonnée. J'accompagne ce plat d'un « Vézelay blanc » du domaine Yves et Delphine DUPONT de Saint-Père-sous-Vézelay. Un vin que votre serviteur vous recommande !

Pendant ce temps, arrive tout trempé, un cyclotouriste, soulagé de se mettre à l'abri ! En sirotant son verre de « Chablis », il me raconte arriver de la jolie commune de Condrieu (quel vin !) après plusieurs étapes. Bon appétit, jeune homme !

 

 

Le fait maison est en vedette dans  l’établissement…

 


Pour suivre, c'est un désormais classique de notre cuisine poissonnière : un « fish and chips », ici joliment présenté. La cuisson nette du poisson, les délicieuses frites faites maison, vous savez avec de vraies patates, si, si ! Et une sauce tartare onctueuse. C'est délicieux. Ce plat, je l'ai dégusté moult fois antan, de par le monde, mais mon premier, ce fut à l'occasion d'un voyage scolaire en Angleterre en 1975. Le poisson était alors servi sur du papier journal, avec une belle rasade de vinaigre !
Les clients arrivent en force ce midi-là. Sitôt débarrassées, les tables sont redressées pour accueillir de nouveaux convives ! A la table d'à côté, quelqu'un explique à ses compères que ses visites chez l'orthophoniste l'aide à mieux s'exprimer, comme quoi…

 

 

Les plaisirs d’un bon déjeuner rassérénant…  



L'assiette de trois fromages arrive à bonne température (bravo ! C'est plutôt rare) et bien choisis : cantal, soumaintrain bien affiné pour terminer par un comté. Je me suis alors laissé tenter par un « Irancy » du vigneron Benoît CANTIN,  bonne pioche !

En dessert, la tarte au citron revisitée ne me laisse pas un souvenir impérissable : la meringue est trop sucrée, et il manque ce parfum d'agrume de l'appareil citronné. Nous la revisiterons une fois prochaine, mieux citronnée, espérons-le !

Dehors, il pleut et il vente. Quel temps ! Décidément, rien de tel qu'un bon déjeuner rassérénant !
Bravo à nos jeunes aubergistes du XXIe siècle ! Pour sûr, leurs glorieux prédécesseurs du siècle passé auraient des raisons bien légitimes d'être fiers de ces courageux.

 



En savoir plus :

 

Les - : les serviettes en papier mériteraient une qualité un brin supérieure svp !

Les + : le cadre est chaleureux, on s'y sent à l'aise ! Le bon rapport qualité-prix, avec de la bonne cuisine. Quant aux toilettes, elles sont très propres.

La Brasserie de la Gare

3 Place François Mitterrand

89100 SENS

Tel : 06.31.47.29.06.

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Et si la vie de chacune et de chacun s’améliorait enfin ? Et si les intérêts du peuple et des salariés devenaient la préoccupation essentielle des responsables politiques en lice pour changer la France de paradigme ? Ce sont deux idées majeures qui auront été prônées durant la campagne par plusieurs forces de gauche dont le Parti Communiste, la Gauche Républicaine et Socialiste (GRS), le Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) et les Radicaux de Gauche.

 

AUXERRE : La France des « jours heureux » peut-elle réellement se construire ? A quarante-huit heures du premier tour de scrutin,la réponse est on ne peut plus affirmative auprès des quatre formations politiques qui se reconnaissent derrière le candidat communiste, Fabien ROUSSEL.

Aux côtés du PCF, les représentants de la GRS, du MRC et des Radicaux de Gauche font bloc autour de la grande révélation de cette campagne, Fabien ROUSSEL, qui, même s’il n’est crédité que de quelque 3 % des intentions de vote, aura su trouver sa place dans cette course d’endurance, bénéficiant d’une réelle cote de sympathie y compris auprès d’électeurs de droite !

Un communiste qui pourrait bien faire la nique à la représentante officielle du Parti Socialiste si l’on en croit la plupart des sondages, en la devançant au soir du dimanche 10 avril !

 

 

D’ailleurs, le secrétaire départemental du PCF dans l’Yonne Alain RAYMONT s’en fait l’écho avec la publication de son dernier communiqué de presse, invitant les citoyens de l’Yonne à se rendre aux urnes et à y déposer le précieux bulletin au nom du parlementaire nordiste de 52 ans.

« Voter Fabien ROUSSEL, écrit-il, c’est choisir un projet clair et novateur pour l’avenir de la France, le choix du travail avant le profit, de la hausse des salaires et des retraites, celui de la République laïque et sociale, mais aussi démocratique, écologiste et féministe avec des services publics pour toutes et tous… ».

Un choix qui ne pouvait se conclure sans faire allusion à l’une des thématiques sociétales récurrentes depuis qu’a éclaté la guerre en Ukraine : la souveraineté énergétique, industrielle et alimentaire. Garante de l’indépendance de l’Hexagone. Bref, celle des « jours heureux », en vérité. Alors, le 10 avril, sera-ce le « grand soir » de Fabien ROUSSEL ?

 

Thierry BRET

 

 


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Serait-ce la résurgence de souvenirs sportifs, issus de sa jeunesse lorsqu’il se destinait à un cursus de sport étude, dans sa discipline de prédilection, à savoir le football ? Où est-ce le tempérament bien construit de ce personnage affable et communicatif de vouloir faire évoluer les lignes en y apportant son savoir-faire, ses expériences et ses envies ? Toujours est-il que le nouveau préfet de l’Yonne a d’ores et déjà affiché ses intentions dès sa prise de parole initiale avec la presse. Celles de rendre encore plus attractive l’Yonne à travers ses atouts. En éradiquant tous les obstacles !

 

AUXERRE : Sportif dans l’âme, c’est en compétiteur de l’attractivité du territoire et en soutien inconditionnel à l’économie que s’est présenté le successeur d’Henri PREVOST lors de sa première prise de contact formelle avec la presse, mardi en fin de matinée. Accueillant avec cordialité et sens de la communication parfaitement bien huilé les représentants médiatiques du département, Pascal JAN s’est offert un exercice oratoire d’une trentaine de minutes façon « livre ouvert » dans son vaste bureau, la tasse de café à la main. Balayant les uns après les autres les grands dossiers sur lesquels il devra très vite plancher une fois le temps d’installation passé.

Un entretien prolixe où le haut fonctionnaire aura pu narrer en le résumant son parcours éclectique et riche qui devait conduire ce natif de Tours successivement à Bordeaux (notamment à Sciences Po où il officia es qualité de professeur agrégé des universités en droit public) et à Fort-de-France, où il fut encore il y a peu le recteur de la région académique de la Martinique.

 

 

Un premier poste au sein de la préfectorale pour ce quinquagénaire à l’allure sportive…

 

Troquant la touffeur humide de l’île exotique pour des températures printanières nettement moins clémentes en Bourgogne, ce sagittaire, ayant convolé en justes noces et père de trois enfants, est arrivé depuis quelques jours à Auxerre, découvrant ainsi son premier poste au sein de la préfectorale. Une prometteuse promotion pour ce quinquagénaire (il est âgé de 54 ans) à l’allure svelte et sportive, féru du ballon rond et désolé de voir se morfondre dans les limbes de la Ligue 1, des Girondins de Bordeaux (l’un de ses clubs fétiches) aux portes de la division inférieure. Sans doute, se consolera-t-il très vite avec la possible accession de l’AJ Auxerre parmi l’élite ?

Naturellement, ce n’est pas de football ni des plaisirs gourmands que cet épicurien aura à cœur de découvrir au détour de ses nombreuses pérégrinations durant ces deux prochaines années de présence en terre icaunaise dont il fut question !

Répondant aux interrogations de la palette journalistique qui se présentait à lui, Pascal JAN aura abordé avec franchise et en nourrissant ses propos de ressentis personnels inhérents à sa nouvelle fonction un panel de sujets qui fait le lit de l’actualité icaunaise habituelle.

 

 

« L’Yonne n’a pas de faiblesses, elle subit seulement des contraintes qu’il faut éradiquer… »…

 

Des difficultés quotidiennes des milieux agri/viticoles aux problématiques de la sous-traitance industrielle (le volet automobile) avec l’emploi, de la sécurité routière (vaste fléau que celui-ci dans l’Yonne, territoire remportant le pompon de l’accidentologie au plan hexagonal) à la présence des forces de l’ordre au plus près des concitoyens, rien ne manquera in fine dans cet inventaire à la Prévert des missions régaliennes qui incombent au représentant de l’Etat.

D’ailleurs, lorsqu’on lui pose la question d’identifier les « forces et les faiblesses » de l’Yonne, en matière d’attractivité, Pascal JAN répond péremptoire que le terme de « faiblesse » n’est pas du tout adapté à la réalité de ce département. « Disons qu’il existe des contraintes extérieures dont il faudra tout mettre en œuvre pour les supprimer… ».

Un positionnement combattif et impliqué pour le nouveau venu qui défend déjà bec et ongles les atouts du territoire le plus septentrional de la Bourgogne, du fait de sa ruralité et de sa proximité avec l’Ile-de-France limitrophe. Déjà un bon point dans sa besace et une attitude ambitieuse qui devrait plaire aux milieux économiques du sérail.

 

 

Les milieux agri/viticoles, cibles de ses premières visites sur le terrain…

 

Car, de l’appétence à l’économie, il en aura été beaucoup question durant ces courtes trente minutes de conversation où Pascal JAN déflora la feuille de route de ses futures actions sans trop en détailler la substantifique moelle. Une manière goûteuse de mettre les médias en appétit et d’attendre avec impatience les premières apparitions du haut fonctionnaire sur le terrain.

Ses primes visites seront justement destinées au monde agricole d’ici la fin de la semaine. D’autant qu’un épisode gélif d’importance a occasionné de sérieux dégâts tant dans l’arboriculture que chez les vignerons.

Ayant bénéficié lui-même d’une expérience d’élu municipal dans une vie antérieure – entre 2008 et 2014 en Gironde sur la localité de Saint-Morillon – le nouveau préfet ne pourra rencontrer pour l’heure les personnalités de la sphère politique, devant respecter le principe de réserve imputable à la présidentielle.

Poursuivant sur la continuité de ses prédécesseurs, Pascal JAN semble posséder la sagesse analytique et induite des représentants de l’Education Nationale à laquelle il a appartenu durant tant d’années. Son trop court vécu de footballeur étudiant lui a sans aucun doute conféré aussi cette insatiable volonté de bien faire, de se projeter en avant, droit au but même s’il portait jadis le maillot d’arrière gauche.

Un volontarisme qui pourrait peut-être l’aider à « tacler » toutes les aspérités et les freins qui peuvent ralentir l’attractivité économique de notre département…

 

Thierry BRET

 

 


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Ils en ont voulu. Ils ont bossé. Parfois à la limite du doute. En connaissant les affres du trac qui étrangle la parole, face à un jury. Un exercice oratoire qui n’est jamais facile à appréhender. Mais, in fine, l’objectif est atteint. L’obtention du diplôme de REAB. Traduction littérale : « Responsable de l’Entreprise Artisanale du Bâtiment ». Un titre qui au-delà de la gloriole personnelle (« ils l’ont fait ! ») accompagne les ambitions de ces jeunes entrepreneurs du bâtiment…

 

AUXERRE : C’est la pleine maîtrise de soi, au plan managérial, lorsque l’on peut s’enorgueillir de posséder dans sa besace personnelle le diplôme correspondant à cette formation. Le « REAB » : un précieux sésame que tout chef d’entreprise du bâtiment tente de conquérir après moult difficultés car l’exercice n’est guère aisé à appréhender. On l’aura encore constaté, ce 05 avril au siège de la CAPEB de l’Yonne, où trois récipiendaires du fameux trophée ont reçu leur titre distinctif.

Un peu timide, ces trois gaillards ! Ils masquent sans doute leur émotion. D’autant que l’un d’entre eux, Benjamin ASSIMON, plombier chauffagiste de son état, est accompagné de ses parents. Logique : il a repris la société familiale. Donc, au-delà des mots de félicitation qui lui sont adressés par Eric GUYOU, le futur successeur de Jean-Pierre RICHARD, inamovible président de la CAPEB excusé pour la circonstance, c’est un sentiment de fierté qui brille dans le regard du jeune homme.

Les parents savourent. Cela crépite de photos afin d’immortaliser l’instant…

Son voisin de gauche, René MAGOTOE, électricien de base mais touche-à-tout expérimenté en climatisation et en…plomberie car il s’aventure vers le large éclectisme potentiel des métiers de cette corporation, est, quant à lui, nettement plus volubile. Manifestement très heureux de se retrouver là, sans que ce soit vraiment le fruit du hasard.

 

 

« Construire Demain » : le sens pédagogique idéal à ce cursus…

 

Enfin, Dimitri MORIN exerce l’activité de peintre. On dirait, du fait de son apparence juvénile, un jeune étudiant qui vient de toucher le Graal à l’issue de son cursus universitaire sanctionné d’un examen. Se dandinant sur une jambe, puis l’autre. Ce fut parfois très complexe mais il a réussi. Sa gratitude va immédiatement au formateur, Jacky LECURET, de la société Construire Demain, qui a suivi ce trio d’apprenants plusieurs mois durant malgré les soubresauts intempestifs de la crise sanitaire. Jamais facile de transmettre le savoir derrière un écran d’ordinateur !

« Construire Demain » : la noble appellation ! Une structure de formation qui depuis trois décennies déploie à l’aide de ses formateurs chevronnés toute son énergie sur le terrain du bâtiment pour accompagner les gestionnaires de ces TPE/PME et leurs conjoints vers le rendez-vous avec le succès.

 

 

Une maîtrise approfondie de la gestion d’une entreprise…

 

Celui de faire progresser l’outil qui est leur appartenance et dont ils ont pris les rênes de la destinée : leur entreprise. C’est clair : à date, plus de dix mille structures implantées aux quatre coins de l’Hexagone leur ont déjà fait confiance. D’où cette collaboration naturelle avec les services de la CAPEB. C’est ce que devait rappeler Christophe BERTEAU, le coordinateur du syndicat professionnel dans l’Yonne, lors de sa prise de parole, plutôt enjouée.

Une formation utile pour René MAGOTOE qui a la tête de son entité, « Phoenix Conception », a su renaître de ses cendres alors qu’il ne savait pas s’il allait pouvoir surmonter la crise de la COVID et son tombereau d’incertitudes pesant sur son chiffre d’affaires.

Des hommes de l’art, pas forcément spécialistes de la gestion d’une structure professionnelle, voilà ce qu’étaient auparavant les trois lauréats comme devait le stipuler Dimitri MORIN. Chose aujourd’hui révolue grâce à ce « REAB » obtenu en deux ans dont ils en redemanderaient presque une prolongation…

 

Thierry BRET

 

 


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Elle n’est pas vraiment ordinaire, cette fameuse mallette. Certes, elle n’est pas diplomatique pour un sou (quoique, dès que l’on aborde le délicat problème de la désertification médicale dans l’Yonne, il faut être précautionneux sur ses propos !) mais elle s’apparente à quelque chose de fort utile en période de disette sanitaire. Perçue sur le secteur Vanne et Othe, et financée conjointement par le Département et l’assureur mutualiste GROUPAMA, cet élément de télémédecine devrait très vite faire des émules sur notre territoire…

 

VILLENEUVE-L’ARCHEVEQUE : Le dispositif se veut prometteur. Il est surtout très utile dans la lutte contre la désertification médicale. Celle qui frappe bon nombre de départements de l’Hexagone depuis plusieurs années. Une récurrente problématique dont les effets se feront ressentir encore durablement dans les zones un peu trop reculées des centres urbains, le temps de former de nouveaux praticiens après les modifications notoires apportées au numérus clausus.

Le recours à la télémédecine représente ainsi une excellente alternative de substitution. Un système adoubé par le Conseil départemental de l’Yonne qui intègre la mise en œuvre du Pacte Santé 2022/2024. L’une de ces illustrations concrètes qui va progressivement arriver sur le terrain est justement la mallette médicale.

Simple dans son utilisation, telle que l’aura démontrée le docteur Arnaud CHEVILLARD lors de ses explicatifs à la Maison de Santé de Villeneuve l’Archevêque.

 

Un premier test concluant dans la Vanne et le Pays d’Othe…

 

La première de ces mallettes est en expérimentation depuis quelques jours. Certes, elle ne remplacera jamais la consultation physique du médecin. Mais, la pratique numérique de la santé réserve de belles surprises. Avec le concours d’infirmières et d’infirmiers, l’appareil, véritable aide au diagnostic pathologique, peut aborder les rudiments de la médecine généraliste.

Dans les faits, ce sont les infirmières munies de ces précieuses mallettes qui se rendent au domicile du patient.  Elles contiennent une tablette numérique. L’auxiliaire idéal pour débuter une conversation en visioconférence auprès du généraliste, demeuré à son cabinet. La suite, on l’imagine aisément. En cas de soucis, le patient est orienté vers son médecin traitant.

La communauté de communes de la Vanne et du Pays d’Othe a été retenue pour vivre cette première expérience. D’autres suivront, assurément. Qu’il s’agisse de Gilles PIRMAN, vice-président en charge de la Santé au Département ou de son président Patrick GENDRAUD, tous deux sont favorables à l’utilisation de ces valises médicales au potentiel sanitaire évident.

 

 

Dix mallettes médicales pour couvrir les caisses locales de GROUPAMA…

 

D’ailleurs, le Conseil départemental de l’Yonne a prévu leurs achats dans le cadre de son Pacte Santé 2022/2024, bénéficiant d’une enveloppe de 5,4 millions d’euros globale.

Partenaire privé de l’opération, puisque cet axe de réflexion a été validé au plan national, GROUPAMA Paris Val-de-Loire a cofinancé ce premier spécimen.

Son président, celui de la fédération des caisses locales de l’Yonne, Pascal MAUPOIS, présent lors de cette démonstration officielle aux côtés de Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement dans l’Yonne et la Seine-et-Marne, l’a confirmé : l’assureur mutualiste, soucieux d’optimiser son ancrage territorial, s’engage à doter d’une mallette médicale l’une des communes située dans les dix caisses locales que compte le département.

Quant au maire de Villeneuve L’Archevêque, Sébastien KARCHER, il s’est dit satisfait de présenter cet appareillage lors de cette cérémonie des plus pédagogiques.

 

Thierry BRET

 


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