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Fort des 51,5 % de voix obtenues par Marine LE PEN au second tour des présidentielles dans l’Yonne, le Rassemblement National espère bien transformer l’essai et remporter la bataille des législatives en s’octroyant les trois circonscriptions en lice. Appelant pour cela à la mobilisation de son électorat. 

 

AUXERRE Candidat RN dans la troisième circonscription, Julien ODOUL est catégorique : « nous avons une chance historique de l’emporter… ». En 2017, il lui avait manqué un peu plus de 4 000 voix pour triompher de sa rivale, Michèle CROUZET, alors étiquetée LREM. Cinq ans plus tard, s’ils se retrouvent de nouveau face à face, le contexte a changé souligne le porte-parole du Rassemblement National : « en 2017, il y avait un électorat qui avait fait « pschitt », ne voulant plus entendre parler de politique…Aujourd’hui, l’objectif est clair, c’est d’empêcher Emmanuel MACRON d’obtenir les pleins pouvoirs et faire qu’un grand nombre de députés RN puisse s’opposer à la poursuite de la politique funeste et de la casse sociale que l’on connaît, particulièrement en milieu rural… ». Encore faut-il pour cela convaincre les pêcheurs du dimanche de se rendre aux urnes les 12 et 19 juin prochains : « la victoire est à portée de bulletins de vote à condition qu’ils se remobilisent. S’ils revotent, ils gagnent, c’est mathématique ! ».

 

 

« André VILLIERS, un candidat droit dans ses bottes qui ne me fait pas peur… »

 

Elue l’an dernier au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté et conseillère municipale d’opposition à Villeneuve-sur-Yonne, Audrey LOPEZ défendra les couleurs du RN dans la seconde circonscription : la plus grande en surface du département, avec un territoire qui s’étend du Migennois au Morvan en passant par le Tonnerrois et le Chablisien. Installée dans l’Yonne depuis 2019, cette ancienne fonctionnaire de police de 45 ans, aujourd’hui reconvertie dans l’architecture d’intérieur, mise sur une forte implantation de son parti dans cette circonscription, pour compenser son déficit de notoriété face à un adversaire, André VILLIERS solidement implanté dans le paysage depuis longtemps. Trop longtemps selon la candidate : « il est bien implanté mais il ne me fait pas peur… On n’a pas les mêmes idées ni les mêmes points à défendre. Je me soucie plus des Icaunais, lui se soucie plus de conserver sa place… ». 

 

 

Une première expérience aux législatives pour le candidat de la première circonscription…

 

Fidèle à cette Puisaye qui l’a vu naître il y a 73 ans, Daniel GRENON concourra pour la première fois de sa vie politique aux législatives en étant tête d’affiche du Rassemblement National dans la première circonscription de l’Yonne. Venu à la politique sur le tard, mais revendiquant une appartenance de toujours au Front National, cet ancien commerçant aujourd’hui retraité, se veut avant tout « homme de terrain », après avoir longtemps œuvré dans le milieu sportif icaunais et particulièrement le tir à l’arc, où il contribua notamment à la création de la « Sentinelle de Brienon », portant les couleurs du club jusque sur la scène européenne. Présent sur la liste ODOUL aux régionales 2021 et candidat sur le canton de Cœur de Puisaye aux départementales de la même année, celui qui se présente comme un « retraité libre et volontaire, allant toujours au bout des choses… », espère bien, en dépit d’une expérience limitée en politique, l’emporter contre son rival le plus direct, Guillaume LARRIVÉ pour qui, précise-t-il haut et fort, « je n’ai jamais voté ! ». Affichant sans complexes ce qui à ses yeux le différencie de son jeune adversaire : « il a de l’instruction plein la tête, moi j’en ai dans la tête et au bout des doigts… ». Toujours prompt à décocher des flèches semble-t-il… !

 

 

Propos entendus :

Avec le sens de la formule qui le caractérise et un goût prononcé pour la provocation, Julien ODOUL y est allé de ses petites phrases lors de ce point presse, sortant pour l’occasion « l’artillerie lourde ». La puissance de feu des « Tontons flingueurs » à lui tout seul !


La nomination d’Elisabeth BORNE à Matignon ?
« Un choix qui augure de lendemains extrêmement difficiles, avec un bilan assez sanguinolent au gouvernement. Elle n'arrive pas avec une page blanche, une personne qui est un bloc de technocratie… Le logiciel on le connaît, Madame BORNE, on la connaît, ce sera la continuité en pire… ».


André VILLIERS, député sortant de la deuxième circonscription ?
« Aujourd’hui, je pense que ce que les électeurs ne supportent plus, c’est la tromperie, la duperie. Monsieur VILLIERS est un professionnel de la trahison, il est tout ce qui éloigne de la politique… ».

 


L’avenir de la droite et du parti Les Républicains ?
« La réalité, c’est que la droite n’existe plus, c’est un concept dépassé qui appartient à l’histoire… Elle est aujourd’hui divisée, avec une partie de la droite bourgeoise rangée sous la bannière « macroniste » et quelques résidus chez LR, attendant de voir s’ils vont rentrer au gouvernement… ».

 

Éric ZEMMOUR et son parti « Reconquête » ?
« A quoi ça sert de voter « Reconquête » au premier tour pour faire 2 à 3 %, si ce n’est pour se faire plaisir… ».

 

Michèle CROUZET, candidate sortante dans la troisième circonscription ?
« Son bilan est affligeant, même insultant pour les électeurs… Elle s’est désintéressée complètement du département, absente sur le terrain, personne ne l’a vue, personne ne la connaît… ».

 

Dominique BERNERD

 

 


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Pour lui, c’est très clair : « la politique n’est pas un métier ». Ironisant le trait quand il ajoute que cette occupation n’est pas à réserver aux personnes en manque d’activités. A 54 ans, le candidat Les Républicains (LR) de la troisième circonscription de l’Yonne brigue un premier mandat à la députation car il souhaite répondre à la fonction initiale de cette mission : l’engagement. Histoire de prendre son destin en main et d’en assumer pleinement ses responsabilités…

 

JOIGNY: Sitôt la séance photographique avec la presse terminée, Gilles PIRMAN n’a qu’une hâte : enlever la cravate bleue foncée qui confère à la solennité de l’instant. Même si la prise de vue se réalise sous l’ombre bienfaitrice d’un arbre – un arrière-plan plus architectural témoigne que ce cliché n’a pas été pris au beau milieu d’une zone champêtre ! -, le candidat des Républicains feint ne pas trop souffrir d’une chaleur déjà suffocante, sous le coup de midi.

Prolixe dans ses propos, il vient d’achever une longue conférence de presse, en configuration petit déjeuner, accueilli dans un restaurant de la ville. Soucieux du moindre détail et de la préséance dans ses relations publiques.

Le personnage, décontracté, est à l’aise face aux multiples questionnements des journalistes qui l’entraînent à la fois vers des rivages purement politiciens – la présence étrange et contradictoire de plusieurs listes de droite sur la circonscription, un coup de pouce fait au Rassemblement National ? -, plus personnels quant à sa propre vision de la chose politique dans le contexte si particulier que nous vivons et vraiment très stratégiques sur les plus-values qu’il peut apporter à son territoire de prédilection, lui l’homme rôdé aux pouvoirs publics, en cas d’élection au soir du 19 juin.

 

La politique : un engagement au service des autres…

 

La politique ? « Je ne vis pas que de cela ! », confie-t-il tout de go dès les premiers instants de cet entretien à bâton rompu où ses coreligionnaires – le premier cercle de son équipe de campagne – l’écoutent quasi religieusement sans piper mot.

D’ailleurs, il le précise sans ambages : s’il n’obtient pas les suffrages nécessaires des électeurs au terme du second tour de ce scrutin, capital pour sa formation en quête d’un véritable rebond après le naufrage des présidentielles, Gilles PIRMAN aura suffisamment de responsabilités lui permettant de rebondir.

Depuis deux décennies, il incarne les prises d’initiatives effectives de la localité de Saint-Clément où il agit en qualité d’édile. Sa vice-présidence, exercée dans le cadre du Conseil départemental depuis 2011, lui offre d’autres opportunités de pouvoir s’exprimer à travers des dossiers qu’il défend au quotidien. Notamment l’épineux sujet de la santé, un véritable casse-tête chinois, fort complexe à résoudre du fait du phénomène de désertification médicale observée en France depuis de nombreuses années.

Dans l’absolu, pourquoi se lancer alors dans une telle aventure – elle comporte des risques du fait de l’âpre concurrence -, la première du genre pour hériter d’un siège dans l’hémicycle du Palais Bourbon ?

« Je vis pour la politique parce que je recherche un type d’engagement, je ne vis pas de la politique, rétorque-t-il avec assurance à l’interrogation commune des médias faisant valoir la nuance.

Cela ne l’empêche pas de se présenter sur la grille de départ de cette législative dans un esprit serein mais déterminé. Face à la conjoncture actuelle – « le pain noir est encore à venir » annonce-t-il un brin prophétique -, Gilles PIRMAN ne pouvait hésiter plus longtemps avant de se prononcer sur sa candidature. Justifiant son entrée en campagne par le prisme du sérieux et de la solidité.

 

 

Un chantre de la culture du résultat…

 

Puis, il égrène les mots clés de son engagement qui repose sur une certaine idée de la culture du résultat. « Servir », « faire en sorte que ce soit mieux après que l’on se soit engagé qu’auparavant », « écouter » : simple comme bonjour, dans la bouche de Gilles PIRMAN, qui reste calme durant son exercice oratoire.

Il ajoute dans la corbeille de la mariée de ses explications détaillées, les termes « agir », « construire », « le faire pour les autres ». Et toujours dans l’intérêt de son territoire.

Il réfute, a contrario, tout engagement nourri de convictions partisanes – il a bien sûr ses convictions personnelles – pour se concentrer stricto sensu sur des convictions de résultats.

S’adressant aux abstentionnistes et à celles et ceux qui rejettent la chose publique, y compris dans sa plus simple expression, l’élu du Sénonais place le critère de l’expérience au centre du message.

« C’est cette expérience que j’apporte en ma qualité de candidat aux législatives sur cet arrondissement, souligne-t-il, une expérience faite de valeurs exercée depuis vingt ans… ».

S’arrêtant longuement sur le volet de la santé et la délicate offre de soins – le niveau le plus faible de la Bourgogne Franche-Comté -, le conseiller départemental évoque les motivations de son engagement. « Il y a quelque chose à faire sur ce sujet ô combien essentiel pour nos concitoyens ».

 

 

Jouer le rôle d’ambassadeur du territoire à l’Assemblée…

 

Précisant, au terme de son intervention, que sur ce dossier, du fait de son engagement et de son implication, « ce sera mieux après qu’avant ». Sans doute, parce qu’on part de tellement loin dans la réalité !

Devenir l’ambassadeur du territoire, c’est le vœu de Gilles PIRMAN, capable en faisant allusion une fois de plus au dossier de la santé, de « pouvoir assurer un diagnostic complet de son arrondissement », tout en fédérant et en ne divisant pas.

« C’est mon antithèse, affirme-t-il, je préfère que les gens s’additionnent plutôt qu’ils ne se divisent ou se soustraient… ».

Nicolas BOURSIN, président des Jeunes Républicains et directeur de campagne, opine du chef à l’écoute des propos tandis que Marianne PICOUET, suppléante du candidat, esquisse un léger sourire.     

Décochant une banderille avant de conclure l’exercice en direction de la députée sortante, Michèle CROUZET – « elle n’a aucun bilan à présenter en fin de mandat » -, Gilles PIRMAN tacle tour à tour le représentant du Rassemblement National, Julien ODOUL qui « incarne le désarroi de nos concitoyens » et Véronique FRANTZ, adjointe de la Culture de Sens qui se présente sous l’étiquette de divers droite, en créant de « la confusion ».

Se positionnant au-dessus de la mêlée, lui, il veut être jugé sur les résultats qu’il obtiendra lorsqu’il aura achevé son mandat. Sa façon de regarder l’avenir et d’avancer, en somme…

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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Faute d’un accord de coalition avec les autres formations classées « ultra droite », quelles sont les chances pour le parti « Reconquête ! » de décrocher des sièges aux prochaines législatives, après la défaite d’Éric ZEMMOUR aux présidentielles ? Ils seront au total 550 candidats à se présenter sur la ligne de départ, issus pour certains des Républicains et du Rassemblement National. Mais, aussi de la société civile, à l’image des trois engagés en course dans l’Yonne…

 

AUXERRE : Marie DUMOULIN le confesse tout naturellement : « Mon expérience politique est très limitée… ». Pas de quoi freiner la jeune femme de 33 ans aux attaches icaunaises qui se présente sous les couleurs de « Reconquête ! » dans la deuxième circonscription de l’Yonne.

« Là, où sont mon cœur et mes racines » pour cette parisienne d’adoption où elle réside et travaille. Son engagement récent pour Éric ZEMMOUR est né explique-t-elle, de sa volonté de participer « à la renaissance de la droite depuis l’effondrement du parti des Républicains, la vraie droite, que seule « Reconquête ! » incarne aujourd’hui et créer une réelle alternative à ce face-à-face stérile entre les Marcheurs et le Rassemblement National… ».

 

Le retour à une vraie droite patriote dans le pays…

 

Même credo pour Laurence LOUIS-STOKOBER, à la conquête du siège de député de la troisième circonscription, dans le nord du département. Cette enseignante, résidente depuis une dizaine d’années sur le plateau du Gâtinais, appelle, elle aussi, au retour d’une « vraie droite patriote », avec pour fil conducteur « les valeurs liées au mérite », en réponse aux modifications qui s’opèrent à travers le pays, jugées « alarmantes, particulièrement dans l’Yonne à travers le développement de la précarité et de l’appauvrissement de la population, mais aussi de l’insécurité, avec des chiffres supérieurs à la moyenne nationale… ».

C’est à l’automne dernier que cette habituée de l’engagement associatif s’est lancée pour la première fois dans la sphère politique en sillonnant le département pour collecter des parrainages et contribuer à la présence du polémiste maurassien aux élections présidentielles.

 

 

Lutter contre le grand déclassement dans les territoires ruraux…

 

A la tête d’une entreprise de neuf salariés, de retour dans l’Yonne depuis une quinzaine d’années après une enfance vécue à Maillot, Paul TEQUI, 46 ans, tentera dans quelques semaines de ravir la première circonscription au député sortant, le Républicain Guillaume LARRIVÉ. Premier investissement politique pour lui aussi, plus habitué à l’engagement associatif, notamment sportif, pour s’être occupé de l’entraînement des plus jeunes au Rugby Club Auxerrois pendant sept ans.

Réfutant toute qualification d’extrême droite ou ultra droite, lui aussi se veut représentant de la « seule droite », en première ligne pour lutter contre ce qu’il qualifie de « grand déclassement de nos territoires ruraux… ».

Il évoque au passage l’une des théories favorites d’Éric ZEMMOUR qu’est le « grand remplacement » : « Je suis quelqu’un ancré dans le réel, je vois les difficultés. On ne peut nier aujourd’hui ce grand remplacement, 70 % des Français le reconnaissent, il n’y a que les politiciens qui ne veulent pas le voir… ».

Il est aussi attaché à l’écologie oui, mais « une écologie réelle, pas utopique. Ma femme a une voiture électrique, en milieu rural, c’est une catastrophe ! ».

Novices en politique, les trois néo-candidats n’en partagent pas moins une certitude, lorsqu’est évoqué un éventuel désistement en cas de défaite au soir du 12 juin prochain : « Nous serons présents au second tour ! ».

C’était justement ce que professait déjà un ancien prétendant au trône présidentiel qui avait pour nom Éric ZEMMOUR…

 

 

En savoir plus :

Les trois candidats de « Reconquête ! » Marie DUMOULIN, Paul TEQUI et Laurence LOUIS-STOKOBER auront pour suppléants dans cette course à la députation, respectivement, Vincent RÉGNIER, Dimitri RODOR et Mathieu LASNIER.

 

Dominique BERNERD

 


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Point besoin d'un hectare de terre (10 000 m2) ou plus modestement d'un are (100 m2) pour planter quelques pieds de tomates chez soi. D'autant que c'est la période idoine de les cultiver même sur un balcon !

 

AUXERRE : Petit retour en arrière ! La tomate, ce beau légume-fruit, nous vient tout droit d’Amérique du Sud, plus précisément du Mexique et du Pérou. C'est Hernan CORTES, conquistador parti d'Espagne au XVIème siècle, qui contribua à sa rougeoyante découverte. Il la rapporta à la cour à son retour. Elle arriva peu après en Italie. En France, ce fut au début du siècle suivant.

D'abord considérée comme une plante d'ornement, il faudra attendre le milieu du XVIIIème siècle (avec peu à peu la naissance, puis l'essor des restaurants, caractéristique de l'époque) pour qu'elle gagne initialement les cuisines provençales,  par le biais des Italiens, puis peu à peu, celles d'autres régions.

Depuis lors, la tomate a été adoptée par les Français, au premier rang desquels les jardiniers des potagers, qui contribuèrent amplement à la faire connaître,  et savourer.

 

 

Des recettes goûteuses mettant en valeur la tomate…

 

Voici quelques exemples de plats, non exhaustifs comme de bien entendu, juste histoire de rendre hommage à ses centaines de variétés.

Une bonne salade de tomates, c’est excellent ! Il n'y a encore pas si longtemps,  elle n'avait pas forcément besoin d'être acoquinée avec miss Mozzarella !

On peut également citer des œufs brouillés à la tomate, des tomates à la provençale, une bonne tarte à la tomate, la sauce tomate…histoire d'accompagner quelques pâtes, le rougaïl-tomate (clin d'œil à l'hémisphère Sud), en gratin avec courgettes et pommes de terre,  en ratatouille...

Sans oublier, LE plat représentatif de notre belle de l’été : j'ai nommé les tomates farcies, un mets savoureux aux moult recettes.

 

 

Eviter de la manger hors saison : ce n’est plus de la tomate !

 

Ce légume-fruit correspond à une saison, de juillet à septembre environ. Sauf que, sans vergogne aucune, la grande distribution en commercialise toute l'année. Ce sont des trucs sans goût, sans odeur, venus d'on ne sait trop où (les Pays-Bas notamment). Mais, ne nous y trompons pas : la vraie tomate n'est pas celle-ci ! Elle n'a de tomate que le nom, ce qui est déjà  beaucoup trop d'ailleurs.

Nos marchés Icaunais comptent nombre de pépiniéristes ou de maraîchers les vendant par pieds. « Rose de Berne », « Cœur de bœuf », noire de Crimée, olivettes, Marmande, Marianne ou autres sauront ravir votre palais. Car rien de tel qu'une tomate de pleine terre, gorgée de soleil estival (enfin normalement !) pour en savourer le goût. Ces quelques plants de tomates embellissent toute surface potagère. Et quel sain régal ! Bon appétit et allez l'AJA !

 

 

En savoir plus :

 

La tomate a forcément droit de citation dans ce site culinaire, simple, précis et bien fait. Des recettes cuisinées de mère de famille, à l'intention de  tous, tout simplement. On y voyage aussi. Certes, nous y sommes  loin de « Top Chef » ! Cela n'a rien de très bobo non plus !  Point de photos artistiques, ni de 3D ! Se nourrir, juste, bien et bon.  Son nom : « Les Recettes de cuisine de Pascale » (au féminin). Via le net. Un site qui corrobore la maxime suivante : « On ne peut pas faire de cuisine, si l'on n'aime pas les gens ».

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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« On y croit ! ». Et, au vu des premières tendances informatives données par les instituts de sondage nationaux, ils auraient tort de ne pas arborer un large sourire – celui de potentiels vainqueurs de ces législatives en juin ? – sur leurs visages. Les trois candidats de ces échéances électorales dans l’Yonne et leurs suppléants sont prêts à croquer toutes les voix avec délectation qui viendront tomber dans leur escarcelle…

 

AUXERRE : 29 % contre 26 %. L’écart semble se creuser irrémédiablement au dernier pointage, proposé par les instituts de sondage,entre la NUPES et Ensemble. Un premier tour au bénéfice de ce surprenant attelage, qui s’est constitué en dernière minute, par une gauche en quête de résurrection, ayant soif de revanche, après son échec lors de la récente présidentielle.

Encore à touche-touche juste avant la désignation de la nouvelle Première ministre Elisabeth BORNE, les intentions de vote pour la NUPES continuent de prendre de la constante, en version exponentielle, à la plus grande satisfaction de ses ouailles qui croient mordicus en la victoire possible au soir des 12 et 19 juin prochains.

Le tribun de cette gauche, variante 2022, Jean-Luc MELENCHON qui se voit déjà Premier ministre à la place du Premier ministre – aurait-il lu les désopilantes aventures du fameux fakir « IZNOGOUD » né de l’imaginaire fertile de René GOSCINNY et de Jean TABARY- est peut-être en passe de réussir son pari. Du moins, la première étape de cette accession possible vers les arcanes suprêmes de l’exécutif national. Gagner la prime rencontre des deux manches des législatives 2022 ?

 

La montée en puissance de LFI et d’EELV au détriment du PCF et du PS…

 

En tout cas, dans l’Yonne, la mayonnaise, aussi savoureuse soit elle pour les adeptes d’une gauche unie et revivifiée, a pris une belle couleur sans que trop d’œufs ne se soient perdus en cours de route ! Même si les puristes du socialisme se plaindront en s’arrachant les cheveux de ne pas retrouver de candidats à la rose dans l’une des trois circonscriptions de notre territoire.

Et à ce petit jeu-là, de qui représente quoi, c’est d’une simplicité enfantine (IZNOGOUD nous revoilà !) et très simple : La France Insoumise (LFI) et EELV (Europe Ecologie Les Verts) tirent plus que convenablement les marrons du feu dans ce match qualificatif pour élire domicile à Matignon.

Net et sans bavure. Reléguant le Parti Communiste – il aura réalisé toutefois un score plutôt honorable avec un Fabien ROUSSEL disposant d’une très belle cote de sympathie y compris chez les électeurs de droite et du centre -, et surtout un Parti Socialiste, qui ne cesse de boire le calice jusqu’à la lie, après le naufrage de son égérie, Anne HIDALGO vers la seconde division. Ce n’est pas bien, localement, quand dans le même temps, l’emblématique club de football du terroir tente de bouleverser les paradigmes en espérant retrouver l’élite dès la saison prochaine.

 

Ni discordance ni fausses notes dans les arguments…

 

Ils y croient dur comme fer, ces candidats qui se lancent dans cette nouvelle joute électoraliste. Ils ont raison tant au plan mental que pour la motivation car l’appétit vient en mangeant, c’est bien connu.

On sent bien que dans les explicatifs de ces six personnes, les trois titulaires et leurs suppléants, il y a de l’engagement dans les propos, de la passion –elle semble être parfois viscérale pour servir une cause, celle de la défense des intérêts du peuple et de son pouvoir d’achat -, de l’envie, de l’espérance, de l’émotion. De vivre, peut-être, un instant historique si la courbe des sondages ne cesse d’aller dans leur sens ?

Résultante de cet accord national qui n’aura pas in fine accouché d’une souris, malgré moult circonvolutions et périodes d’atermoiements, cette déclinaison locale ne désire qu’une seule chose : être en parfaite harmonie afin de pouvoir interpréter la même partition. Sans couacs et fausses notes.

Force est de constater que la conférence de presse, proposée il y a quelques jours dans les locaux auxerrois de la formation écologiste, n’aura pas révélé de discordance dans les arguments.

Que ce soit chez les thuriféraires investis, hérauts de cette nouvelle alliance ou chez les chefs de partis, venus en témoin, rappeler que les bienfaits de cette coalition, faisant l’unanimité chez ses signataires.

 

 

La NUPES : une alliance qui va au-delà d’une simple candidature…

 

La NUPES (Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale) ne se présente pas pour tenter un coup d’essai, un brin expérimental, ou simplement occuper le terrain, avec ce nouveau scrutin. Que nenni ! La volonté farouche de ces auteurs est de la faire perdurer durablement dans ce paysage issu de la recomposition politique, née de l’après présidentielle qui aura mis à mal bon nombre de certitudes.

Même si, étymologiquement, la nouvelle appellation n’est pas très marketing (!) – doit-on prononcer le « s » terminal ou pas ? -, la NUPES a choisi comme logotype officiel la lettre « nu » (V), treizième de l’alphabet grec, voire même d’origine phénicienne selon les puristes, qui appliqué à la physique, correspond à la « fréquence ». Serait-ce un signe positif pour évaluer le nombre d’électeurs ayant déposé un bulletin étant favorable à cette alliance des partis de gauche au fond des urnes les jours de scrutin ? !

Au-delà de cette « fréquence » symbolisée par ce sigle antique, cet accord, qualifié d’historique par ses commentateurs (Mani CAMBEFORT pour le PS, Alain RAYMONT pour le PCF, Andy WALKDEN pour EELV, et Florent, le porte-parole de La France Insoumise s’exprimant au nom de tous ses camarades), se situe bien au-delà d’une simple candidature unique. Dans les trois circonscriptions de l’Yonne, la mobilisation des différentes composantes de cette nouvelle alliance est palpable.

 

 

Le « V » de « Nu » pour évoquer la victoire finale ?

 

Les thèmes de campagne ne manquent pas : la retraite à soixante ans, le blocage des prix, l’instauration d’une cuisine bio et gratuite dans les collectivités de type scolaire, la planification écologique – item plus que jamais d’actualité même dans la bouche d’Emmanuel MACRON visiblement ! -, la création de services publics pour redynamiser les territoires ruraux qui en ont grandement besoin, la revalorisation du SMIC à 1 400 euros, le soutien à l’agriculture, l’équité applicable dans la fiscalité ou encore le passage à la VIème République, l’inéluctable antienne de Jean-Luc MELENCHON, qui souhaite organiser un référendum d’initiative citoyenne et la fin de la « monarchie présidentielle ».

C’est sûr, les candidats de la NUPES, gonflés à bloc par les récents sondages, se voient investir fin juin le Palais Bourbon en nombre en réalisant le coup du siècle, c’est-à-dire provoquer une cohabitation et un changement de gouvernement.

Qu’en sera-t-il exactement vu du bout de notre lorgnette, dans l’Yonne, terre de droite et du centre droit, depuis tant d’années ?

Confiants,  titulaires et suppléants n’hésitent pas en guise de réponse à faire usage de la lettre grecque « nu » au terme de la conférence de presse, une lettre qui n’a pas été choisie par hasard en matière de symbole. Avec son « V » qui rappelle ostensiblement le signe de la victoire…

 

 

En savoir plus :

La liste des candidats :

Première circonscription :

Florence LOURY, titulaire et Claire LAROCHE-FONTAINE, suppléante,

Deuxième circonscription :

Philippe VEYSSIERE, titulaire et Judicaëlle CALIF, suppléante.

Troisième circonscription :

Manon DENE, titulaire et Jérôme THIRIET, suppléant.

 

Thierry BRET

 


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