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Pas contents, les élus de l’opposition de la localité périphérique d’Auxerre ! Ils l’ont fait savoir de manière très implicite en quittant dès les premières minutes le conseil municipal du 22 novembre dernier. Un claquement de porte inattendu avant que ne soit proclamée ouverte la séance de travail des élus. Ce mouvement d’humeur a pris ses origines sur un aspect de pure sémantique autour du terme « municipalité ». De nouvelles joutes en perspective ce lundi soir où le conseil se tiendra ?

 

MONETEAU: Il y a différentes manières de faire connaître sa désapprobation quand les choses déplaisent lors d’une séance de prise de parole collective ! En l’occurrence, la tenue d’un conseil municipal.

La première consiste à interrompre à tout moment l’orateur principal, en l’occurrence le maire ou l’un de ses représentants, pour le faire taire et apporter de la contradiction aux échanges, à défaut de débat constructif.

La seconde peut s’appréhender dans la conservation d’un mutisme absolu, façon « je fais la gueule » et « je ne dirai pas un traître mot de la soirée ».

La troisième de ces préconisations utiles à conserver en mémoire fait appel à l’humour et à son pouvoir de franche dérision, mâtinée d’un zeste d’ironie par rapport à ce qui est avancé en séance. Effets comiques garantis !

La quatrième possibilité s’effectue comme dans les travées de l’hémicycle du Palais Bourbon de temps à autre par voies d’invectives, à la limite des insultes et des noms d’oiseaux. Le signe élégant de la démocratie dans toute sa splendeur !

Enfin, pour clore ce jeu des sept familles du reproche contradictoire, ramenées à cinq hypothèses dans le cas qui nous importe, il reste toujours l’opportunité pour les contestataires de se lever séance tenante une fois que tout le monde est installé confortablement et de quitter brusquement la salle en se faisant remarquer le plus possible ! Une pirouette toujours astucieuse !

C’est donc cette dernière marque de mécontentement très visible et incisive qu’ont choisi les six représentants de l’opposition à la gouvernance actuelle du conseil municipal de Monéteau il y a quelques jours. Une façon d’agir quasi immédiate puisque survenant juste quelques minutes après les propos liminaires de ce rendez-vous.

 

 

Par ici la sortie pour les élus de l’opposition !

 

Ce chambardement soudain dans le protocole, façon coup de canif dans la bien-pensance, prend ses origines dans la circulation d’une pétition de l’un des habitants de la commune. Monsieur MAHUT pour ne pas le citer ! Ce dernier interpelle en la questionnant par écrit l’édile Arminda GUIBLAIN, à propos d’un différent dans le voisinage concernant des travaux. Précisant qu’il souhaitait faire connaître également les fruits de sa requête à l’opposition municipale. Ce dernier se voit alors confirmé par l’élue qui a succédé à Robert BIDEAU au poste de maire que « l’opposition ne faisait pas partie de la municipalité ».

Une opposition qui n’a jamais eu connaissance de la demande écrite de ce villageois comme devait le préciser quelques jours plus tard par voie téléphonique à Presse Evasion, Patrick PICARD, ancien candidat aux élections départementales et élu local.

« Nous sommes abasourdis par la réponse du maire, explique-t-il, en quoi les élus de son opposition ne font pas partie intégrante de la municipalité ?! ».

 

 

Il aurait été alors précisé à M. MAHUT que « les élus minoritaires obtiendraient des informations sur ledit dossier une fois que des décisions seraient prises ». Dont acte !

Dénonçant l’absence de concertation entretenue par Arminda GUIBLAIN à leur égard, les six élus concernés se sont donc levés de leurs sièges en prenant le chemin de la sortie de la salle du conseil.

« Nous ne pouvions accepter cette situation, justifie Patrick PICARD, nous avons choisi de montrer ouvertement notre désapprobation… ».

 

Une opposition qui dénonce le mépris à son égard…

 

Quant au terme incriminé, « municipalité », qui a provoqué l’ire de l’opposition, il  est donc au centre de la problématique conflictuelle. Il possède d’ailleurs une double signification au plan étymologique.

En premier lieu, il représente le corps municipal, c’est-à-dire l’ensemble des personnes qui administrent une commune (le maire, ses adjoints et ses conseillers municipaux qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition) ; et la circonscription qui est administrée par ce même corps municipal. Mais en aucun cas, le terme qui se veut généraliste ne fait de distinguo entre les élus au pouvoir et ceux qui y seraient opposés…

Et Patrick PICARD de conclure : « Jamais durant les quatre mandats que nous avons effectué auparavant avec Robert BIDEAU, nous n’avons caché la moindre pétition venant de nos concitoyens à l’opposition. Cet écart est inacceptable et vient s’ajouter à une liste importante de mépris à notre égard… ».

On attend maintenant la réponse argumentée de la première des élus de la commune qui nous a promis d’apporter des éléments de clarification à cette péripétie inhabituelle dans la vie institutionnelle d’un conseil municipal. A savoir le sens de la terminologie exacte d’un mot de notre vocabulaire !

 

Thierry BRET

 


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Du quart d’heure, initialement prévu de manière très inopinée, l’entretien a été prolongé beaucoup plus longuement. Frôlant presque le tour du cadran de l’horloge, soit une soixantaine de minutes. Ouvert au dialogue et réceptif à l’écoute, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD a reçu une petite délégation du collectif du quartier Saint-Siméon. Afin d’entendre ses doléances en matière de santé…

 

AUXERRE : Ironie du sort ou hasard d’un destin particulièrement circonstancié, la présentation du Pacte Santé 2022-2024 ainsi que la convention de partenariat établie entre la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) et le Conseil départemental au profit des bénéficiaires de l’aide sociale à l’enfance, s’inscrivaient parmi le copieux ordre du jour de la séance plénière de l’organisme vendredi matin.

Quelle ne fut donc pas la surprise des conseillers départementaux de voir la présence, assez importante, d’un groupe de personnes dans le petit espace réservé au public désireux, de voir les arcanes d’une session dans l’hémicycle. Des membres d’un collectif qui s’est constitué depuis plus d’un an dans le quartier de Saint-Siméon. Une zone géographique urbaine qui est aujourd’hui désertée de toute présence médicale…

Le collectif a donc profité de l’ordre du jour, connu par avance, de la séance plénière, retransmise en live sur Facebook pour investir les lieux de manière très pacifique. Interrogées, ces personnes réclament le retour d’un praticien sur ce quartier qui en comptabilisait encore quatre il y a deux décennies. Plus de généralistes à signaler alors que la population est vieillissante.

 

De longues minutes de discussion avec les représentants du collectif…

 

Avant même que ne débute la séance de travail avec le traditionnel appel des élus aux alentours de 09 heures 30, la responsable de la communication de l’organe départemental Laurence VEE est venu quérir cinq représentants de ce collectif afin qu’ils puissent rencontrer de visu le président de l’exécutif.

Un échange impromptu où devaient se greffer également Grégory DORTE, le premier vice-président de l’assemblée et Gilles PIRMAN, vice-président en charge du volet médico-social. Une rencontre à huis clos où rien ne devait filtrer des échanges, évidemment.

 

 

Des quinze minutes, initialement accordées, d’autres s’ajoutèrent. Attestant de facto que le collectif avait sans doute pas mal de choses à dire aux élus ! Il faudra attendre près d’une cinquantaine de minutes pour que ne débute enfin l’ultime session plénière de l’année. Avec un préambule de Patrick GENDRAUD qui prit la parole avant même d’ouvrir officiellement les travaux.

Le président a fait part de sa compréhension face au désarroi de ses concitoyens devant la situation inexorable de la démographie médicale.

 

 

« Nos gouvernants doivent exiger que les jeunes généralistes s’installent dans les zones rurales.. »…

 

« On ressent l’angoisse des personnes qui ont effectivement un manque de médecins dans leur zone d’habitation. Nous, de notre côté, on essaie de faire tout ce que l’on peut dans nos possibilités pour pallier cette baisse de démographie médicale. Mais, on ne peut pas faire non plus l’impossible… ».

Puis, plus véhément dans ses propos, Patrick GENDRAUD s’est retourné vers l’Etat.

« Chaque fois, je le dis et je le redis encore, assène-t-il avec détermination, tant que nos gouvernants n’auront pas pris la décision de demander aux praticiens généralistes d’aller exercer pendant un certain nombre d’années sur des territoires où précisément il n’y a plus de médecins, nous n’y arriverons pas ! ».

Un principe de péréquation sanitaire dont il serait grand temps de mettre en exergue pour sortir de ce marasme récurrent pour des territoires qui n’ont pas la chance d’être urbains. Il en va aussi de la dépense de l’argent public pour y parvenir ! Chacun devant méditer ensuite sur le préambule du président. Un avant-goût prometteur des futurs échanges à venir sur le Pacte Santé 2022/2024…  

 

Thierry BRET

 


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Il ne faut pas couper les cheveux en quatre ! Mais, le comité de soutien à la candidature de l’actuel locataire de l’Elysée pour les présidentielles de 2022 qui vient d’être porté sur les fonts baptismaux il y a quelques jours à Sens, se revendique comme étant l’unique et le seul à être reconnu pour tel dans le sérail politique local. Qu’on se le dise ! Rassemblé autour de la députée Michèle CROUZET et du président départemental du MoDem Pascal HENRIAT, cet organe aux contours élargis est en ordre de marche…

 

SENS: Il ne fait aucun doute que le président de la République se déclarera d’ici peu en qualité de candidat afin de renouveler son bail de cinq ans à l’Elysée. Le contraire serait surprenant, voire totalement ubuesque. Même si en 2017 l’ancien chef de l’Etat François HOLLANDE avait choisi de se retirer de la course à la présidence dès le mois de décembre.

Dans le cas présent, le scénario n’est pas comparable. Non seulement, Emmanuel MACRON jouit encore d’une bonne marge de progression dans les intentions de vote des Français au premier tour (tous les sondages le positionnent largement en tête selon tous les cas de figure concurrentiel), mais en outre, il est toujours donné vainqueur pour la seconde échéance dans les bureaux de vote.

Jusqu’à aujourd’hui, 08 décembre, où la surprenante Valérie PECRESSE, encore toute auréolée de son succès plus ou moins prévisible au congrès des Républicains, semble changer la donne ! Elle pourrait l’emporter in fine sur le score de 52 % à 48 % si l’élection avait eu lieu hier. Mais, il ne faut pas prendre argent comptant cette photographie prise à un instant précis alors qu’il reste cinq mois de campagne…

Alors, on pourrait presque se poser la question en préliminaire de la suite de cet article : à quoi bon constituer un comité de soutien uniquement pour appuyer la candidature du chef de file des Marcheurs tant sa présence au cœur de cette joute électorale paraît évidente ?

 

Un comité de soutien à la candidature présidentielle articulé autour d’une douzaine d’élus…

 

Un organe qui prend sa genèse autour du principe « Renaissance », initié lors des échéances européennes, où s’invitent en haut de l’affiche les représentants de La République en Marche, du MoDem, d’Agir La Droite constructive, de Territoires de Progrès, et même maintenant d’Horizons, la nouvelle formation créée par l’ancien Premier ministre Edouard PHILIPPE.  

Oui mais voilà, n’en déplaise à celles et ceux qui y verraient une épine dans leur chaussure en jouant cavalier seul leur partition (ce qui est le cas dans le Sénonais !), ce comité fraîchement émoulu existe désormais et a le mérite d’avoir été officialisé devant les représentants de la presse selon le cérémonial habituel.

Une rencontre formalisée par la présence d’une douzaine de personnalités du Sénonais qui auront eu tout le loisir de s’exprimer les uns après les autres selon un long processus de prise de parole sur les raisons les ayant poussées à s’engager davantage au sein de cet outil.

 

 

« C’est un comité de soutien qui regroupe toutes les sensibilités politiques se retrouvant dans l’action présidentielle, lâche Michèle CROUZET, en outre, ses membres en sont tous des élus comme le souhaitait le Président de la République… ».

Une manière de les impliquer davantage, sans doute, dans la défense du bilan de ce quinquennat et la présentation du futur programme lors de la campagne ? Parmi ces élus territoriaux, il y a des maires, des conseillers municipaux en provenance des localités qui forment la communauté du Grand Sénonais.

 

 

Jouer sur la base de l’union de tous…

 

On y aperçoit aussi le député suppléant, Yannick VILLAIN. La vice-présidente nationale de l’association des maires ruraux de France, Dominique CHAPPUIT. Et puis, c’est très prometteur pour lui car il prend de plus en plus d’épaisseur dans la sphère politique du cru : Nathan DOS SANTOS, le président régional du mouvement des Jeunes avec Macron. L’appareil étant chapeauté, même s’il est précisé qu’il n’y a pas de chefs dans ce système, par Michèle CROUZET et Pascal HENRIAT !

Les deux élus du Mouvement Démocrate martèlent à l’envie que seul ce comité pourtant à peine éclos sera reconnu de manière officielle par les instances suprêmes. Celles, visiblement de La République en Marche et du MoDem.

Une allusion à peine masquée (la blague habituelle en période de COVID !) avec ce qui a pu être créé auparavant. Par exemple, du côté de l’ancien maire de Sens, Daniel PARIS et de Patrice TAMPIED, le référent départemental de LREM…

D’ailleurs, affirmative, la parlementaire de l’Yonne rappelle que l’objectif n’est pas de voir fleurir ici ou là 50 000 comités de soutien ! L’essentiel étant d’en faire émerger quelques-uns, des structures opérationnelles comprenant des compétences et de l’efficience. Dont acte !

On dénombre à l’heure actuelle trois comités de soutien à la candidature du Président de la République dans l’Yonne. Celui qui officie à Avallon. Celui porté par le tandem Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI et Alain DROUHIN en Puisaye-Forterre et donc le petit dernier en date dans la partie septentrionale du département. Trois passerelles identitaires qui ne manqueront pas de se mailler dans l’esprit « Ensemble Citoyens », nouvelle appellation portée sous le feu des projecteurs d’une soirée inaugurale à la Mutualité à Paris qui prévaut depuis peu dans ces préparatifs de l’avant campagne officielle.

Mais, ce principe de « maison commune » où le rôle de Michèle CROUZET est mis en exergue par Pascal HENRIAT (« elle en a toute la légitimité puisqu’elle est la parlementaire de la Nation élue ») ne se cantonnera pas à la seule élection présidentielle, il va sans dire !

Même si aucun des acteurs de cette conférence n’aura fait une allusion très appuyée sur les futures législatives qui se profileront dans l’Hexagone dès le mois de juin. Il est clair que ces comités de soutien seront très utiles pour y abattre ses cartes personnelles au plus près du terrain. Ainsi soit-il !

 

Thierry BRET

 

 


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Invité à venir s’exprimer à la médiathèque de Bléneau, Charles ONANA a parlé de l’action secrète de Joséphine BAKER au profit de la France Libre lors d’une causerie de belle qualité. Une rencontre passionnante avec un personnage clé de notre histoire qui méritait un jour d’entrer au Panthéon…

 

BLENEAU : Des millions de téléspectateurs l’ont regardé et écouté sur plusieurs chaînes de télévision et quelques antennes radiophoniques. Au lendemain de la réception de l’héroïne au Panthéon, Charles ONANA était accueilli à la médiathèque de Bléneau par Alain DROUHIN, maire, et Nathalie BILLIETTE, bibliothécaire. De nombreuses personnes étaient présentes pour écouter la conférence.

Docteur en sciences politiques, chercheur, Charles ONANA a eu accès aux archives de l’armée de l’air et du ministère de l’Intérieur. Il voulait connaître le détail des actions menées par Joséphine BAKER pendant les années d’occupation.

 

« J’ai fait mon devoir »…

 

Interrogée après la Libération, la chanteuse se contentait de répéter qu’elle avait tout simplement fait ce qu’elle devait. Elle n’est pas seule à donner une telle réponse, plutôt commune à tous ceux qui ont travaillé pour les services. C’est la consigne.

Dans les archives, Charles ONANA a trouvé des indications plus précises sur les renseignements et documents obtenus dans un consulat à Paris. On apprend qu’une composition de musique peut dissimuler des informations secrètes. On découvre que le statut d’agent secret n’est pas exclusivement réservé à des hommes protégeant leur anonymat sous un grand imperméable de couleur mastic.

 

 

Une femme au sacré tempérament…

 

Que ce soit sur la ligne Maginot ou plus tard en Afrique du Nord, Joséphine BAKER a chanté et dansé pour les troupes. Elle a aussi donné des galas dont la recette permettait d’améliorer l’ordinaire des soldats. Elle a utilisé son statut de vedette internationale pour transporter photos et documents.

Il faut « un sacré tempérament » pour donner des autographes avec le sourire alors que l’on transporte des éléments secrets, accrochés à ses dessous.

Joséphine BAKER clamait son amour de la France, ce pays où elle avait découvert que tout le monde pouvait dîner au restaurant, sans distinction de couleur de peau.

 

En savoir plus

Le livre de Charles ONANA, « Joséphine Baker contre Hitler », est publié par les éditions Duboiris. Il peut être commandé dans toutes les bonnes librairies.

 

Thierry CARABIN

 

 


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De la pure logique. Elle se concrétise, non pas par la pose d’une simple plaque commémorative enrubannée de son référent tricolore à découper par les officiels comme le veut l’usage. Mais, de deux rappels à l’ordre, visuels et bien situés évoquant ce « saint des saints » de l’excellence gastronomique en mode apprentissage finement ciselé ! Adoubé par la vénérable institution qu’est depuis 1883 l’Académie Culinaire de France, le CIFA de l’Yonne bénéficie désormais d’une reconnaissance universelle aux petits oignons !

 

AUXERRE : Quelle palette face à nous ! La fine fleur des grandes toques du territoire Icaunais se retrouve dans l’antre de l’excellence gastronomique départementale exprimée dans sa version la plus éducative possible : l’apprentissage.

Des chefs de renom discutent avec le plaisir lors de ces retrouvailles enjouées. Parfois au glorieux passé. Pour d’autres, aux recettes succulentes dont certaines copiées n’ont jamais été égalées depuis leur jus initial !

Réunis dans l’espace brasserie du restaurant d’application, tous portent beau. Les vestes d’apparats sont munies de leurs insignes si caractéristiques et reconnaissables. Celles qu’ils arborent fièrement avec magnificence et droiture, traduisant leur appartenance à l’honorable Académie Culinaire de France.

Une institution mémorable que cette structure, fondée en 1883 par un esthète de la cuisine, le Suisse Joseph FAVRE, et qui accueille aujourd’hui plus de mille quatre cents membres. Le nec plus ultra de la gastronomie hexagonale : des académiciens…

 

 

Un dénominateur commun usuel aux deux parties : l’excellence !

 

La venue de toutes ces pointures de l’artisanat poussé à son paroxysme professionnel coïncide avec la pose de plaques commémoratives, au nombre de deux, marquant la reconnaissance de l’entité nationale, présidée par Fabrice PROCHASSON, Meilleur Ouvrier de France 1996, au centre interprofessionnel de formation d’apprentis auxerrois.

Cet incontournable CIFA dont on nous tresse des lauriers, synonymes de réussites et de victoires surtout auprès de celles et ceux qui le fréquentent, depuis bientôt plus de quatre décennies.

 

 

Un CIFA qui sait aussi se distinguer à travers l’une des filières corporatives dont il assure la promotion via ses jeunes pousses qui en sortent chaque année diplômes dans l’escarcelle. Les métiers de l’hôtellerie et de la restauration, service compris !

Avec à la baguette pédagogique l’une des figures locales de cette prestigieuse académie Jean-Marie LAMOUREUX, il apparaissait évident que tôt ou tard un tel rapprochement puisse exister entre gens de bonne compagnie ayant comme dénominateur commun ce mot : excellence !

 

 

Des bulles de bonheur dans les yeux des apprenants…

 

Comme devait le préciser lors de son intervention le vice-président des Toques Françaises et ancien chef chez LENOTRE à Paris Fabrice PROCHASSON : «  la vocation de notre institution est de défendre, perfectionner, transmettre l’art culinaire français à travers le globe… ».

Pour les jeunes apprentis qui auront le plaisir de servir à la table du Com’des Chefs cette noria d’étoiles et de références de cet art sublime qu’est celui de la cuisine, c’est l’effervescence façon champagne millésimé !

Des bulles de bonheur qui pétillent jusqu’au fond des regards. Y compris dans les yeux de Michel TONNELLIER.

Le président du CIFA boit du petit lait. Autant de toques connues et reconnues dans un environnement qu’il connaît si bien : cela le laisse rêveur. A l’instar de Marcel FONTBONNE, vaillant directeur de l’établissement qui a même décidé d’entamer un cycle de découverte à la cuisine depuis le mois d’octobre, devenant à son tour apprenant parmi les élèves ! Belle manière d’illustrer le volet de l’exemplarité !

 

Thierry BRET

 

 

 


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